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Procédé et appareil pour imbriquer des segments de bande individualisés et former un rouleau. -
La présente invention se rapporte à un procédé pour imbriquer des segments de bande individualisés et former un rouleau.
La présente invention se rapporte également à un appareil pour la mise en oeuvre dudit procédé.
Cette invention se rapporte à un appareil pour la production de plusieurs sacs individuels enroulés de façon à former un paquet de sacs sur un rouleau. Les sacs individuels sont enroulés avec les bords avant des sacs arrière recouvrant les bords arrière des sacs avant lorsque les sacs sont amenés dans l'appareil d'enroulement formant le rouleau.
Plus spécialement, il est prévu un appareil d'enroulement dans lequel un dispositif d'enroulement du type à tourelle bien connu est utilisé pour réaliser des rouleaux de sacs, ou d'autres éléments au sens large. Un dispositif d'enroulement du type à tourelle est utilisé couramment pour enrouler une bande de sacs qui sont perforés entre les sacs mais reliés sur le rouleau final.
Les segments de sacs sont maintenus ensemble au niveau des perforations dans le rouleau de sacs et constituent une liaison facilement séparable entre sacs longitudinalement adjacents. Le consommateur déchire les sacs du rouleau au niveau des perforations lorsqu'il a besoin d'un sac. La seule fois où la perforation est utilisée par la machine pour séparer des sacs adjacents, c'est lorsqu'un nombre prédéterminé de sacs, par exemple vingt-cinq sacs constituant un rouleau de sacs, a été enroulé par le dispositif d'enroulement. Lorsqu'un compte de vingt-cinq sacs est atteint, la machine bien connue coupe la perforation entre le vingt-cinquième sac et le sac suivant.
Un nouveau rouleau de sacs est commencé sur un mandrin, ou sur un arbre d'enroulement sans mandrin lorsque des rouleaux de sacs sans mandrin sont enroulés, qui a été avancé en position sur le dispositif d'enroulement à tourelle.
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Le plus couramment, des rouleaux de sacs en matière plastique sont enroulés sous forme d'un rouleau sans mandrin, bien que des sacs sur des mandrins soient parfois souhaités. Le type de sac le plus couramment rencontré sur un rouleau sans mandrin est constitué par des sacs connus sous le nom de sac à ordures ou à déchets.
Ces sacs sont pliés dans le sens de la longueur afin de réaliser un segment compact étroit d'environ 76 cm de long et d'environ 15 à 20 cm de large. Lorsque les sacs sont dépliés, ils peuvent avoir une largeur comprise dans la plage allant de 61 à 81 cm. Ces dimensions sont simplement un exemple des tailles de sacs possibles. Il est évident que les sacs à ordures peuvent constituer une gamme complète de tailles. On peut considérer par exemple les sacs destinés à envelopper des arbres de Noël déployés, les sacs destinés à garnir des bidons dits de 200 litres, les sacs de la taille d'un sandwich et d'autres sacs pliés et dépliés longitudinalement et transversalement.
De manière additionnelle, d'autres articles peuvent être enroulés sur des dispositifs d'enroulement à tourelle du type divulgué ici. Par exemple, des bannières pliées longitudinalement ou allongées, des signes, des autocollants de pare-chocs, des segments de bandes prédécoupés, des tubes de matière plastique ou autre matériau, des produits tissés tel que des bandages prédécoupés, etc. La liste des articles qui peuvent être enroulés et distribués à partir d'un rouleau est longue.
Si ces articles doivent être reliés ensemble, bout à bout, tels quels, il y a des limites à la liste des articles qui peuvent être enroulés en un rouleau. Par exemple, si des autocollants de pare-chocs sont maintenus ensemble par une perforation, il peut en résulter un bord/une extrémité déchirée relativement indésirable lorsqu'ils sont décollés par le consommateur. Il en est de même avec des segments de bandes et des bandages prédécoupés. Il en est de même bien sûr également avec des sacs pliés longitudinalement.
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Mais si les segments sont simplement enroulés sous forme d'éléments distincts, alors, lorsqu'ils sont déroulés pour utilisation, il n'y a pas de dégradation des segments lorsqu'ils sont tirés du rouleau.
Une manière d'enrouler des sacs (ou éléments) en un rouleau de sacs est proposée par l'invention divulguée ici.
Suivant l'invention, le procédé du type précité est caractérisé par les étapes qui consistent à : - séparer un segment de bande avant d'un segment de bande arrière ; - guider un bord avant du segment de bande avant dans des moyens de saisie en aval ; - pousser une extrémité arrière du segment de bande avant dans une zone de formation du chevauchement située en amont des moyens de saisie - guider un bord avant d'un segment de bande suivant dans les moyens de saisie avant que le segment de bande avant passe complètement à travers les moyens de saisie ; - enrouler le bord avant du segment de bande avant autour d'une broche rotative située en aval, et démarrer la formation d'un rouleau ; - guider le bord avant du segment de bande arrière dans l'espace compris entre le rouleau en formation sur la broche et le segment de bande avant ;
et - continuer à agrandir le rouleau avec le segment de bande arrière et des segments de bande suivants.
Suivant un autre aspect de l'invention, l'appareil du type précité pour la mise en oeuvre du procédé de l'invention est caractérisé en ce qu'il comporte : - des moyens destinés à faire avancer une partie d'extrémité avant de chaque segment de bande qui arrive en provenance du rouleau à une première vitesse ;
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- des moyens destinés à ralentir la partie d'extrémité avant qui avance et former une boucle entre des extrémités opposées de chaque segment de bande qui arrive ; - des moyens formant collecteur à aspiration positionnés dans une zone de formation du chevauchement destinée à recevoir la boucle et à maintenir tendue une partie d'extrémité arrière de chaque segment de bande qui arrive alors que le segment de bande qui arrive est tiré par les moyens de ralentissement ;
et - des moyens situés entre les moyens d'avance et de ralentissement et destinés à mettre sous tension chaque segment de bande qui arrive et à le séparer d'un segment de bande suivant qui arrive ; - des moyens destinés à faire avancer la partie d'extrémité avant du segment de bande suivant qui arrive à la première vitesse jusqu'aux moyens de ralentissement, et à la mettre en chevauchement'au-dessus de la partie d'extrémité arrière du segment de bande avant, avant que la partie d'extrémité arrière tendue soit tirée hors des moyens formant collecteur à aspiration par les moyens de ralentissement ; - des moyens pour recevoir et enrouler en un rouleau les segments de bande en chevauchement ;
et - des moyens pour former un rouleau suivant de segments de bande en chevauchement sans interruption de l'arrivée des segments dans les moyens de réception et d'enroulement lorsque le premier rouleau cité est terminé.
L'élément clé de cette invention est l'appareil et le procédé pour mettre en chevauchement ou imbriquer des segments de sacs de telle sorte qu'un sac suit un autre sur le rouleau qui se forme sans interruption entre les segments de sacs. Dans une forme de réalisation préférée, lorsque la broche formant mandrin d'enroulement est entraînée, un espace entre les segment de sacs nécessite le démarrage et le guidage de chaque sac sur le
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rouleau de sacs qui se forme. Ceci est une difficulté. Le premier sac guidé sur la broche est maintenu sur la broche dans le dispositif de la demanderesse, tout comme dans les dispositifs de l'état de la technique, par une aspiration entre la broche et la première couche de sacs.
Il n'y a pas d'aspiration pour le deuxième sac, donc il est difficile d'amener le deuxième sac à démarrer sur le dessus du premier sac.
Une solution à ce problème consiste à imbriquer les sacs de telle sorte que le bord avant d'un deuxième sac ou sac arrière est placé en chevauchement au-dessus de l'extrémité arrière d'un premier sac ou sac avant de telle sorte que l'extrémité avant du sac arrière est saisie dans l'espace entre le rouleau de sacs qui a été formé et l'extrémité arrière du sac avant. Une fois que ce deuxième sac a démarré dans le rouleau qui-se forme, il est parfois sans importance que les sacs restent en chevauchement, bien qu'un chevauchement puisse aider à la distribution des sacs lorsqu'ils sont tirés hors d'un conteneur de stockage ou distributeur de rouleaux.
Le chevauchement de sacs est établi dans cette invention dans une zone de formation du chevauchement de l'appareil. Les sacs qui se chevauchent progressent vers le dispositif d'enroulement proprement dit dans une attitude en chevauchement. La zone de formation du chevauchement comprend l'utilisation d'une pression d'air ou d'un jet d'air dirigé au niveau des sacs en relation synchronisée, et l'utilisation d'un collecteur de maintien des sacs par aspiration dans une forme de réalisation. La synchronisation de l'application d'un flux d'air, à la fois sous pression et en aspiration est importante pour établir le chevauchement souhaité.
Dans une variante de réalisation, une boîte à vide est utilisée à la place du collecteur à aspiration, comme cela est expliqué plus loin.
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Il est à noter que le but de cette invention est de proposer un chevauchement des sacs qui sont amenés vers une zone d'enroulement. Le procédé et l'appareil présentés éliminent la nécessité d'avoir des sacs reliés l'un à l'autre lorsqu'ils sont enroulés.
Un autre but de cette invention est de proposer un rouleau de sacs qui n'ont pas à être déchirés au niveau de perforations par un consommateur qui veut prélever un sac dans un rouleau de sacs.
Cette invention propose également une"traction" du flux de produits au moyen de courroies placées contre les surfaces supérieure et inférieure des sacs constituant le flux de produits, de telle sorte que la liaison positive entre les sacs (au niveau de la perforation) peut être supprimée. Le fait d'avoir les sacs reliés ensemble pour tirer le flux de produits à travers le dispositif d'enroulement n'est pas nécessaire si le chevauchement est prévu et si des courroies supérieures et inférieures sont utilisées.
Aux dessins annexés, donnés uniquement à titre d'exemples non limitatifs : - la figure 1 est une vue de côté en élévation d'un dispositif d'enroulement destiné à enrouler des rouleaux de produits sur un dispositif d'enroulement à tourelle, avec certaines parties arrachées afin de représenter les parties constitutives intérieures et avec certaines parties non essentielles supprimées par souci de clarté ; - la figure 1A est une vue semblable à la figure 1 représentant une variante du dispositif de la figure 1 ; - les figures 2 à 7 sont des dessins schématiques d'une zone de formation du chevauchement, qui représentent le développement progressif d'une série de sacs à travers la zone de formation du chevauchement ;
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- les figures 2A à 7A sont des vues semblables respectivement aux figures 2 à 7 et correspondant à la variante représentée à la figure 1A ; - les figures 8 à 15 sont des dessins schématiques d'une variante de zone de formation du chevauchement, qui représentent le développement progressif d'une série de sacs à travers la variante de la zone de formation du chevauchement ; - les figures 8A à 15A sont des vues semblables respectivement aux figures 8 à 15 et correspondant à la variante représentée à la figure 1A ; - les figures 16 à 23 sont des dessins schématiques d'une variante de réalisation, qui représentent le développement progressif d'une série de sacs à travers la variante de la zone de formation du chevauchement.
Une appréciation et une compréhension totale de cette invention et des différentes variantes de réalisation de celle-ci apparaîtront à l'examen des dessins et à la lecture de la description suivante.
Tout d'abord, une forme de réalisation préférée de l'invention est représentée sur les figures 1 à 7. Si l'on se réfère en premier à la figure 1, l'appareil d'enroulement est représenté d'une manière générale en 10.
Un bâti 12 supporte un moteur d'entraînement 14 qui entraîne au moyen d'une courroie d'entraînement 20 une zone d'imbrication ou de formation du chevauchement ou de recouvrement désignée d'une manière générale par 16-En aval de la zone d'imbrication se trouve un dispositif d'enroulement à tourelle 22 qui supporte plusieurs broches d'enroulement sans mandrin, trois broches 24a, 24b et 24c dans le cas présent. Différentes parties constitutives de l'appareil sont décrites en suivant la trajectoire que suit un sac.
Il est à noter que le terme"bande", ""segment"-ou"sac"est utilisé pour décrire tout produit qui est enroulé sous forme d'un rouleau, tel que des sacs
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à ordures pliés longitudinalement et horizontalement ou pliés longitudinalement, des éléments séparés, ou l'équivalent de n'importe quel produit qui est décrit ci- dessus, ou n'importe quel produit qui est logiquement . enveloppé sous forme d'un rouleau.
Une bande ou feuille de film continue 26 entre dans le dispositif d'enroulement au niveau d'une extrémité d'entrée de celui-ci. Cette bande possède de manière typique des lignes de scellement transversales et des perforations au niveau de chaque ligne de scellement qui est formée dans la bande en amont du dispositif d'enroulement. La bande peut avoir été pliée longitudinalement de façon à réaliser plusieurs couches de film avant d'entrer dans le dispositif d'enroulement, ou bien la bande peut avoir été pliée avant de former les lignes de scellement transversales de façon à fabriquer un sac à fond en étoile. Ceci est une situation courante pour des sacs. La bande est tirée dans les rouleaux d'alimentation 30a et 30b qui sont entraînés par le moteur
14 au moyen de la courroie 20 et d'une deuxième courroie d'entraînement 32.
Les rouleaux d'alimentation 30a et 30b ont des vitesses accordées avec celles des rouleaux d'alimentation de sortie sur la machine à sacs (non représentée). Les rouleaux 30a et 30b peuvent être poussés ensemble de manière constante par des vérins pneumatiques (non représentés) afin de maintenir la pression sur la bande 26. La bande 26 progresse de manière générale vers l'aval en passant à travers un espace entre un ensemble de rouleaux de pincement ou ensemble de rouleaux de séparation 34a et 34b.
La courroie d'entraînement 20 peut être une courroie crantée de synchronisation qui entraîne également un rouleau d'entraînement 36b et, comme cela a été exposé ci-dessus, le rouleau de pincement 34b. Une deuxième poulie (non représentée) sur le rouleau de pincement 34b entraîne la deuxième courroie crantée 32 afin d'entraîner
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le rouleau d'alimentation 30b. La poulie sur le rouleau de pincement 34b est plus petite que la poulie qui s'y rapporte sur le rouleau d'alimentation mené 30b de sorte que la vitesse superficielle du rouleau de pincement 34b est supérieure à la vitesse superficielle du rouleau d'alimentation 30b.
Le rouleau d'entraînement 36b est normalement entraîné à une vitesse inférieure à celle du rouleau d'alimentation 30b, entraînant ainsi une réduction de la vitesse de la bande entre le côté d'entrée de la zone d'imbrication, désignée d'une manière générale par 16, et le côté de sortie de la zone. Normalement, dans les dispositifs d'enroulement de l'état de la technique connus des inventeurs, il n'y a pas de différentiel de vitesse entre l'ensemble de rouleaux d'alimentation 30a et 30b et l'ensemble de rouleaux d'entraînement 36a et 36b. Mais dans cette invention, ces ensembles de rouleaux sont entraînés à des vitesses différentes. Ceci est la première différence entre les dispositifs d'enroulement de l'état de la technique et le dispositif d'enroulement présenté ici.
La bande 26 est transportée entre une première courroie inférieure 40 et une première courroie supérieure 42 jusqu'à ce que la première courroie inférieure s'écarte de la première courroie supérieure au niveau d'un galet 44. Si le bord avant de la bande va tout droit jusqu'à l'ensemble suivant de rouleaux 36a et 36b, ce qu'il fait, il suit un plan généralement droit. Le tronçon médian de la bande ne suit toutefois pas ce plan, mais est poussé hors de celui-ci.
La bande est forcée contre la première courroie supérieure 42, une fois que la bande a passé la zone du galet 44, au moyen d'un jet d'air sortant d'un premier collecteur 46 d'amenée d'un flux d'air dirigé qui produit un flux d'air ou rideau d'air à pression positive, soufflé de façon synchronisée, comme cela est représenté par une flèche"A", au niveau du dessous de la bande 26
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dans la zone de formation du chevauchement, désignée d'une manière générale par 50, de façon à pousser la bande contre la première courroie supérieure 42. Les courroies 40 et 42 peuvent être des courroies élastiques en Nylon constituées de plusieurs éléments ronds individuels du genre câbles.
Le rideau d'air, flèche A, fait que le bord avant de la bande 26a est dirigé vers l'espace compris entre les rouleaux d'entraînement 36a et 36b et pénètre dans cet espace.
Il faut noter que la première courroie supérieure 42 accompagne le bord avant de la bande 26 jusqu'au rouleau d'entraînement supérieur 36a et passe ensuite autour d'au moins un galet de renvoi aval 54a situé en aval du rouleau 36a avant de retourner passer autour du rouleau d'alimentation supérieur 30a.
L'opération réelle de formation du chevauchement va être expliquée ci-dessous ; toutefois, le trajet de la bande, maintenant séparée en sacs ou segments individuels, va être pour le moment suivi au moyen de la vue en élévation de la figure 1 du dispositif d'enroulement.
Les sacs en chevauchement sont transportés à partir des rouleaux d'entraînement 36a et 36b sur une deuxième courroie inférieure 56 et sous la deuxième courroie supérieure 52 vers une broche 24. La forme de réalisation préférée utilise des broches qui sont pourvues d'ouvertures ménagées dans leur surface et reliées à un passage intérieur par l'intermédiaire duquel peut être créée une aspiration. Lors du démarrage de l'enroulement d'un rouleau de sacs sans mandrin, une broche vide telle que la broche 24c est mise en place dans une position sur le dessus des segments de bande qui sont enroulés en aval au niveau de la broche 24a. Synchronisée de façon à coïncider avec la mise en place de la broche 24c, une tubulure d'air 60 ayant un collecteur d'air 66c pivote vers le bas d'une manière générale au-dessus de la broche 24c.
Lorsque le bord avant du premier sac à enrouler sur
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la broche 24c s'approche de la broche, l'aspiration à travers les ouvertures dans la broche amène le bord avant du premier sac à s'enrouler autour de la broche 24c. Le collecteur d'air 66c est situé sur la base de la tubulure d'air et dirige un jet d'air, dans la position supérieure de la tubulure d'air 60, au niveau de la surface extérieure du premier sac. Ce jet d'air agit de façon à aider ce sac à démarrer sur la broche en rotation 24c et à maintenir vers le bas l'extrémité avant contre l'extrémité arrière du sac précédent lorsque les sacs sortent des courroies 52,56. Le transporteur support peut également être légèrement soulevé de façon à amener le nouveau sac sur la broche.
Une fois que le premier sac (et éventuellement plus d'un sac) est fixé sur la broche, la tourelle 22 tourne jusqu'à la position représentée sur la figure 1 et un rouleau de sacs se forme alors sur la broche 24c, comme représenté sur la broche 24a.
Lorsque la tourelle tourne jusqu'à la broche suivante, le rouleau plein est amené à la position la plus haute de la tourelle, représentée occupée par la broche vide 24b, où un mécanisme de poussée 64 pousse le rouleau plein de sacs hors de la broche 24b. Dans une forme de réalisation préférée, l'aspiration sur la broche est inversée au niveau de ce point afin de produire une pression d'air positive lorsque le rouleau de sacs est poussé hors de la broche.
De préférence, deux collecteurs de sortie d'amenée d'air 66a et 66b, représentés sur la figure 1, sont prévus sur le dispositif d'enroulement à tourelle 20, bien qu'un seul 66 soit possible. Les collecteurs délivrent chacun un jet d'air en direction du bord avant du sac lorsque le sac s'approche du rouleau de sacs, comme cela est représenté sur les figures. Chaque jet d'air aide à maintenir le bord avant des sacs vers le bas contre l'extrémité arrière du sac précédent lorsque l'extrémité avant s'approche du rouleau.
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vans j-e moae ae realisation represente a ia figure 1A, les éléments semblables à ceux décrits cidessus en référence à la figure 1 portent respectivement le même numéro de repère que ceux-ci.
La courroie 42 tourne autour d'un galet de renvoi aval 54 situé en amont du rouleau d'entraînement 36a. De son côté la courroie 52 tourne autour d'un galet de renvoi amont situé en amont du galet 54.
Ainsi, le flux d'air représenté par la flèche A vient pousser le bord avant de la bande 26 contre la première courroie supérieure 42 et contre la seconde courroie supérieure 52 au voisinage du galet de renvoi 54.
Par ailleurs, la tubulure d'air 60 ne comporte pas de collecteur d'air 66c. La tubulure d'air 60, dans sa position inférieure rabattue sur la broche 24c, dirige un jet d'air sur la surface extérieure du premier sac pour aider celui-ci à démarrer sur la broche rotative 24c.
Le collecteur d'amenée d'air 66 constitue un autre élément facultatif représenté à la figure 1A. Il dirige un jet d'air vers le bord avant du sac lorsque celui-ci approche du rouleau de sacs. Ce jet d'air aide à maintenir le bord avant du sac vers le bas sur le bord arrière du sac précédent.
Si l'on passe maintenant aux figures 2 à 7, et 2A à 7A, l'opération de formation du chevauchement et d'imbrication va être décrite en discutant les figures progressives, des figures 2 et 2A aux figures 7 et 7A.
Comme cela peut se voir sur les figures 2 et 2A, le bord avant sur l'extrémité avant 26a est maintenu vers le haut contre la première courroie supérieure 42 par le jet d'air indiqué par la flèche A. Le sac, ou bande, 26 est bien sûr entraînée vers l'aval par les rouleaux d'alimentation 30a et 30b entre les courroies menées 40 et 42.
Lorsque l'extrémité avant 26a est pincée au niveau des rouleaux d'entraînement 36a et 36b,
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l'alimentation en air au niveau du premier collecteur 46 d'amenée d'un flux d'air dirigé est coupée. Les rouleaux d'entraînement 36a et 36b sont entraînés à une vitesse inférieure à celle des rouleaux d'alimentation 30a et 30b, de sorte qu'une boucle se forme dans la bande 26 dans la zone 50 de formation de la boucle ou de formation du chevauchement, comme cela est représenté sur les figures 3 et 3A. Afin d'assister la formation de la boucle, un jet d'air sort d'un deuxième collecteur 70 d'amenée d'un flux d'air dirigé dans la direction indiquée par la flèche B.
L'extrémité arrière de chaque sac ou segment de bande, représentée en 26b, a été perforée en amont du dispositif d'enroulement comme cela a été exposé cidessus. Lorsque cette perforation passe juste dans l'ensemble de rouleaux d'alimentation 30a et 30b et atteint un emplacement prédéterminé, les deux rouleaux de pincement ou de séparation 34a et 34b sont poussés ensemble afin de créer un pincement qui entraîne la bande à une vitesse supérieure à la vitesse de bande normale de l'ensemble des rouleaux d'alimentation 30a, 30b. La vitesse de bande plus élevée des rouleaux de pincement 34a et 34b par rapport aux rouleaux d'alimentation 30a et 30b, voir les figures 4 et 4A, augmente la tension dans la bande entre ces deux ensembles de rouleaux et sépare la bande en segments de bande ou sacs individuels au niveau de la perforation.
Un espace tel que 72 est formé entre les segments de bande. Les rouleaux de pincement 34a et 34b sont alors ouverts ou séparés l'un de l'autre avant que l'extrémité avant 26a du segment de bande suivant atteigne l'ensemble des rouleaux de pincement 34a, 34b.
Cette action sépare ainsi l'extrémité arrière de chaque sac ou segment de bande avant de l'extrémité avant du sac ou segment de bande suivant sur la bande perforée continue 26.
Si l'on observe les figures 4 et 4A et 5 et 5A, juste après que l'extrémité arrière 26b du sac quitte les
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rouleaux de pincement 34a et 34b, un jet d'air à haute pression, identifié par la flèche B, sort du deuxième collecteur 70 d'amenée d'un flux d'air dirigé. Ce jet d'air à haute pression pousse l'extrémité arrière 26b du sac dans la zone 50 de formation du chevauchement de sorte que cette extrémité est dirigée par gravité ou par un autre jet d'air à haute pression provenant d'un autre collecteur d'air (non représenté) en contact avec le collecteur à aspiration 74.
Le collecteur à aspiration est constitué par une structure ayant une face avant 76 pourvue de plusieurs perforations débouchantes, telles que 80, qui aspirent de l'air et attirent le sac 26 qui est maintenu étroitement contre la face avant du collecteur à aspiration.
La partie d'extrémité arrière 26b du sac continue à se déplacer en direction du dispositif d'enroulement à tourelle 22 à une vitesse plus faible que celle de l'extrémité avant 26a du sac suivant lorsque celle-ci est entraînée par les rouleaux d'alimentation 30a et 30b (figures 6 et 6A). L'extrémité avant 26a du sac qui arrive est guidée pour venir sur la partie supérieure de l'extrémité arrière 26b du sac précédent, comme cela est représenté sur les figures 7 et 7A ; et son extrémité avant, une fois coincée entre le sac précédent et la deuxième courroie supérieure 52, est tirée à travers le système comme l'était le premier sac décrit ci-dessus.
On s'attend à ce que, pour certaines applications, le deuxième sac s'associe facilement à l'extrémité arrière du premier sac lorsque les sacs sont en chevauchement et tirés dans les rouleaux d'entraînement 36a et 36b ; toutefois, pour certains éléments de bande ou sacs, il peut être souhaitable de créer un collage léger ou temporaire entre l'extrémité arrière d'un sac et l'extrémité avant d'une deuxième sac dans la zone de chevauchement. Les inventeurs considèrent que ceci peut être réalisé de différentes manières. Par exemple, un
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matériau adhésif, qui peut être un matériau"collant"ou même de l'eau dans le cas présent, peut être injecté dans le jet d'air à haute pression"B"lorsqu'on souffle sur l'extrémité arrière du sac sur les figures 4 et 4A.
L'adhésif peut, en variante, être injecté et soufflé sur la face inférieure de l'extrémité avant 26a du sac avec le flux d'air"A" (figures 2 et 2A).
En variante, un matériau adhésif peut être appliqué par un applicateur indépendant sur la face supérieure de l'extrémité arrière ou sur la face inférieure de l'extrémité avant du sac suivant qui arrive.
Une autre variante consiste à appliquer une charge statique sur la face supérieure de l'extrémité arrière du segment de sac ou sous l'extrémité avant du sac suivant qui arrive au moyen d'un dispositif induisant de la charge statique.
Une fois que le chevauchement a été réalise, la bande, qui se compose des sacs ou autres segments en chevauchement, est supportée sur la deuxième courroie inférieure 56 jusqu'au dispositif d'enroulement à tourelle 22 où un rouleau de sacs ou segments imbriqués ou en chevauchement est enroulé.
Une autre variante de réalisation de l'invention est représentée sur les figures 8 à 15 et SA à 15A. Dans cette forme de réalisation, une boîte à vide 82 est ajoutée comme moyen de commande additionnel destiné à aider à la formation de boucle. Le cycle de formation de la boucle est le même que le cycle représenté sur les figures 2 à 7 et 2A à 7A ; toutefois, une source de vide est reliée à la boîte à vide (venant d'une pompe à vide, non représentée) lorsque la boucle se forme dans la boite à vide 82, comme cela est représenté sur les figures 11 et llA. La boîte à vide, représentée en coupe ou avec arrachement, est fermée sur tous ses côtés à l'exception de la partie supérieure où le sac est aspiré dans la boite à vide.
Dans une forme de réalisation préférée, le
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collecteur à aspiration 74 est d'un seul tenant avec la boite à vide et remplit la même fonction que dans la forme de réalisation préférée décrite ci-dessus.
Les figures 8 à 15 et 8A à 15A représentent également comment un sac plié ou un segment plié peut être manipulé. Sur les figures 8 et SA, le dispositif de pliage, qui est désigné d'une manière générale par 84 et qui est bien connu dans son principe, est utilisé pour plier les sacs ou les segments de bande individuels transversalement plutôt que longitudinalement, comme cela était fait en amont dans la forme de réalisation préférée précédente. Le pli transversal permet à des articles longs d'être pliés en"deux", le terme étant utilisé approximativement, de sorte que quand les sacs sont déroulés du rouleau final, le consommateur n'a à tirer qu'environ une demi-longueur de bande du rouleau afin d'obtenir un sac.
Dans cette variante de réalisation, les sacs individuels peuvent être amenés à l'unité d'enroulement depuis une machine de fabrication de sacs à fonctionnement intermittent ou un dispositif de fabrication de sacs à mouvement continu qui scelle et perfore la bande et sépare chaque sac de la bande continue.
Des sacs tels que 86 (une seule référence numérique est utilisée pour chaque sac. Bien qu'ils puissent être des unités différentes, ils sont de structure identique) sont pliés par une lame d'air classique 90 qui dirige un jet d'air synchronisé,"D"sur les figures 9 et 9A, afin de plier les sacs dans l'intervalle compris entre les rouleaux d'alimentation 30a et 30b du dispositif d'enroulement. Il est à noter que, dans cette forme de réalisation, les rouleaux de pincement 34a et 34b de la première forme de réalisation ne sont pas nécessaires, étant donné que les sacs arrivent au niveau de la zone de chevauchement 50 indépendamment l'un de l'autre.
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La vitesse des rouleaux d'alimentation 30a et 30b est réglée à une valeur environ 10% supérieure à la vitesse du film qui arrive en provenance du dispositif de fabrication ou de pliage des sacs. Ceci ouvre un espace entre les sacs individuels.
Du fait de la double épaisseur du sac maintenant plié, une commande additionnelle de formation de boucle, constituée par la boîte à vide 82, peut être avantageuse.
L'alimentation en vide de la boîte 82 peut se faire par un amplificateur à air, une pompe à vide, un ventilateur ou équivalent.
Sur les figures 8, SA, 9,9A, 10 et 10A, un sac 86 a été plié et est transporté vers la zone 50 d'imbrication ou de chevauchement par le premier ensemble de transporteurs supérieur et inférieur.
Le flux d'air"A"provenant du premier collecteur 46 d'amenée d'un flux d'air dirigé aide l'extrémité avant du sac à atteindre l'intervalle entre les rouleaux d'entraînement 36a et 36b. Une fois que le sac a enjambé l'espace situé au-dessus de la boîte à vide 82, le flux d'air"B"est dirigé depuis le deuxième collecteur 70 d'amenée d'un flux d'air dirigé afin d'aider à la formation de boucle (voir les figures 11 et 11A). On relie en outre une source de vide à la boîte à vide 82 afin d'aspirer le sac dans la boîte de façon à former la boucle.
Le sac continue à se déplacer vers le dispositif d'enroulement à tourelle, comme cela est représenté sur les figures 12 et 12A, et l'extrémité arrière 86b du sac plié 86 est tirée vers le collecteur à aspiration 74 et maintenue légèrement contre le collecteur à aspiration lorsque le sac continue à être tiré en direction du dispositif d'enroulement à tourelle, en étant tendue.
Comme cela est représenté sur les figures 15 et 15A, un deuxième sac a été amené dans l'intervalle entre les rouleaux d'entraînement 36a et 36b et est soufflé et aspiré dans la boîte à vide 82 respectivement par le
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deuxième collecteur 70 d'amenée d'un flux d'air dirigé et la boîte à vide elle même. Sur ces figures 15 et 15A, l'extrémité avant du deuxième sac a été placée par dessus l'extrémité arrière du sac précédent, et le principe utilisé est le même que celui décrit dans la forme de réalisation préférée.
Une amélioration par collage, comme cela a été décrit ci-dessus, peut également être utilisée dans des formes de réalisation où des sacs pliés sont imbriqués ou mis en chevauchement.
Une amélioration est celle où, quand les sacs sont enroulés, le pli peut être placé de telle sorte que le pli n'apparait pas au milieu du sac mais est décalé, laissant ainsi une seule épaisseur de sac (bien que le sac puisse avoir plusieurs couches du fait d'un pli longitudinal) au niveau de l'extrémité arrière du sac plié. Ceci peut réduire le problème éventuel de l'enroulement d'épaisseurs différentes de bandes ou de films sur le rouleau final.
Un autre mode de réalisation de l'invention utilise une commande mécanique de formation de la boucle à la place des modes de réalisation de formation de la boucle utilisant un flux d'air exposés sur les figures 1 à 15. Sur les figures 16 à 23 est présenté un dispositif mécanique de formation de boucles. Ce dispositif est représenté manipulant des sacs pliés transversalement qui proviennent d'un dispositif de pliage désigné d'un manière générale par 84, comme cela était représenté dans la variante de réalisation immédiatement précédente.
Dans ce mode de réalisation mécanique de formation de la boucle, une came 92 fonctionne en coopération avec un bras basculeur 94 d'une manière bien connue afin de pousser une courroie pouvant fléchir 96 qui est la courroie supérieure d'un ensemble de deux courroies entre lesquelles est transporté le sac 86. (Bien qu'un dispositif actionné par came soit représenté, de
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nombreuses variantes, telles que des vérins pneumatiques, des vérins hydrauliques, des chaînes, des engrenages, etc. peuvent être utilisées afin d'amener de façon cyclique la courroie pouvant fléchir 96 d'un emplacement à un autre).
La courroie pouvant fléchir 96 passe autour d'une poulie associée au rouleau d'alimentation 30a qui sert à entraîner la courroie. Celle-ci peut être une courroie du type"câble"telle que décrite précédemment.
La courroie pouvant fléchir circule jusqu'à un premier rouleau de renvoi 100 et ensuite jusqu'à un deuxième rouleau de renvoi 102 ; ces rouleaux 100 et 102 sont montés ensemble sur une entretoise 104 qui sert à maintenir une distance donnée entre eux. L'entretoise 104 et les rouleaux associés 100 et 102 sont montés sur des moyens de guidage tels que 106 qui s'étendent depuis un support 110 jusqu'à un deuxième support 112, comme cela est représenté sur la figure 16.
La courroie pouvant fléchir 96 passe également autour d'un rouleau de renvoi fixe 114. La courroie pouvant fléchir conserve une longueur donnée et n'est pas étirée de manière appréciable lorsqu'elle se déplace avec l'entretoise 104.
Sur la figure 17, un sac 86 commence juste à pénétrer dans l'intervalle entre les rouleaux d'alimentation. L'extrémité avant pliée du sac enjambe l'espace situé au-dessus de la zone d'imbrication, avec l'aide du rideau créé par le flux d'air A sortant du premier collecteur 46 d'amenée d'un flux d'air dirigé. A ce point, le processus est le même que celui décrit cidessus au sujet de la deuxième forme de réalisation principale.
Dans ce mode de réalisation, on n'utilise pas un jet d'air pour former la boucle dans le sac, pas plus qu'une boîte à vide. Le dispositif mécanique de formation de la boucle désigné d'une manière générale par 116, est au contraire utilisé pour former la boucle. Avec le sac 86
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représenté en position sur la figure 18, l'entretoise 104 est forcée à se déplacer par la came rotative 92 qui agit sur le basculeur 94, comme cela est représenté sur la figure 19, ou bien par d'autres moyens équivalents.
Le sac est forcé à pénétrer dans la zone située entre le collecteur à aspiration 74 et la première courroie inférieure 40, étant donné que la courroie pouvant fléchir 96, qui est pressée contre la face supérieure du sac, suit les premier et deuxième rouleaux de renvoi 100 et 102 à l'intérieur de la zone de formation de la boucle et de formation du chevauchement. Une fois que la courroie pouvant fléchir 96 a positionné le sac, la came 92 continue à tourner et le bras basculeur, qui peut être pressé par un ressort contre la came, emporte l'entretoise, qui est fixée au bras basculeur 94, hors de la zone de formation du chevauchement. A ce stade, la source de vide est reliée au collecteur à aspiration 74, et l'extrémité arrière du sac 86, comme cela est représenté sur la figure 20, est sollicitée en direction de la surface du collecteur à aspiration 74.
Il est à noter que, sur les figures 20 à 22, l'extrémité arrière di sac 86 ne parait pas affleurer la surface du collecteur à aspiration 74, bien qu'en fonctionnement le sac soit normalement parfaitement contre la surface. Cela est représenté légèrement plus clairement sur les figures ave < le sac légèrement écarté de la surface, ce qui se produit cependant avec certains matériaux.
La figure 22 démarre le cycle avec le deuxième sac ayant enjambé l'espace. Le cycle continue comme cela, été précédemment décrit et, sac après sac, chaque sac sui' le sac précédent et est imbriqué ou mis en chevauchement avec celui-ci comme cela peut se voir sur les figures et comme cela est expliqué.
Présenté d'une manière générale, on peut voir que ce qui a été décrit est un procédé d'imbrication de moyens sous forme de bande, en séparant un premier segmen
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de bande d'un segment de bande arrière, et en guidant ensuite le bord avant du premier segment de bande dans des moyens de saisie en aval. Une fois que ceci est fait, l'appareil pousse un tronçon médian du premier segment de bande hors du plan suivi par le bord avant du premier segment de bande. Le bord arrière du premier segment de bande est également poussé hors de ce plan et le tronçon médian ainsi que la section arrière entrent dans une zone en amont desdits moyens de saisie en aval.
Le bord avant d'un deuxième segment de bande ou segment de bande arrière est alors guidé dans les moyens de saisie, avant que l'extrémité arrière des premiers moyens formant bande passe complètement à travers les moyens de saisie.
Trois formes de réalisation de cette invention ont été représentées. Ces trois formes partagent le concept d'imbrication ou de chevauchement de segments de bande découpés de telle sorte que ces segments peuvent être enroulés comme s'il s'agissait d'une bande continue lorsqu'ils atteignent le dispositif d'enroulement à tourelle. Plusieurs autres formes de réalisation sont prises en compte par l'inventeur, comme le fait d'avoir la zone de chevauchement tournée par rapport à un déploiement vertical, il pourrait tout aussi facilement s'agir d'un déploiement horizontal, ou l'utilisation d'un adhésif dans chacune des formes de réalisation.
Bien entendu, la présente invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits et représentés, et on peut apporter à ceux-ci de nombreux changements et modifications sans sortir du domaine de l'invention.