PERFECTIONNEMENTS AUX FERMETURES INAMOVIBLES AVEC CAPUCHON AMOVIBLE , INTERDEPENDANTES DES DISPO S ITIO NS TUBULΛIRES D» UN FLACO N-CHALUMEAU POUR BO ISSONS MEME GAZEUSES ET LEURS PRO CEDES DE FABRICATION.
Selon sa demande de Brevet français déposé le 4 Février 1998 sous le n°98.01275, concernant un dispositif de fermeture monobloc. Celui-ci se caractérise par une partie inamovible qui enserre le goulot, mais sans que sa partie couvrante obture entièrement son orifice, qui se prolonge par un capuchon amovible entourant sans la toucher la partie saillante ou "paille" d'aspiration, ce qui laisse un espace annulaire autour de celle-ci. Ce capuchon vient obturer f'orifice du goulot, en y pénétrant superficiellement mais suffisamment, ce qui permet en même temps de fermer ce Flacon-Chalumeau. La jupe qui prolonge la partie couvrante mentionnée, porte deux légers bossoires entre lesquels se situe une encoche où est inséré le méplat supérieur du goulot; cette jupe est solidarisée à ce dernier au dessus du méplat inférieur, par des moyens thermiques connus. Le capuchon est rendu amovible par une ligne circulaire de moindre épaisseur à faiblesse contrôlée sur laquelle il suffit d'exercer une torsion pour le séparer de la partie inamovible et l'enlever. L'espace annulaire se transforme alors en évent, facilitant l'usage de la "paille" d'aspiration pour accéder à la boisson contenue dans ce type de Flacon- Chalumeau.
Mais dans le cadre de la présente invention qui rend dépendant l'un de l'autre, la tubulure interne et saillante avec une variante du dispositif de fermeture ayant fait l'objet du dépôt du 4 Février 1998, le demandeur décrira plus loin la combinaison permettant de solidariser la tubulure interne et saillante à la tubulure saillante formant tout à la fois le corps du tube cylindrique et son goulot, point de départ pour obtenir, par soufflage indirect, dans un moule à coquilles approprié ce type de Flacon-Chalumeau.
Dans son brevet français déposé le 28 Juin 1996 sous le n°96.08141, le demandeur explique le processus de fabrication d'un Flacon-Chalumeau obtenu par injection-soufflage, à partir de l'injection dans un moule approprié, d'un tube cylindrique à tubulures saillantes et interne.
Les trois tubulures saillantes sont disposées côte à côte et respectivement :
- La première pour le remplissage du Flacon-chalumeau.
- La deuxième comme "paille" d'aspiration puisque se prolongeant Interne.
- La troisième comme évent (ces deux dernières comportent chacune une ligne circulaire de moindre épaisseur permettant sur ces lignes, une séparation par torsion).
Selon les explications fournies dans le-dit brevet, le soufflage de ce tube s'effectue indirectement à partir d'un moule secondaire d'Injection. Cette disposition côte à côte des tubulures saillantes, entraîne pour leur fermeture après remplissage du Flacon- Chalumeau plusieurs opérations qui ralentissent la cadence de la production jusqu'à son point final :
- Obturation de l'orifice de remplissage, par la mise en place d'une capsule de fermeture.
- Fermeture par auto-soudage et pincement des orifices des deux tubulures restantes.
- Mise en place éventuelle d'une protection hygiénique de la tubulure utilisée comme "paille" d'aspiration. il en est de même pour pouvoir utiliser le Flacon-Chalumeau :
-Enlèvement éventuel de la protection hygiénique protégeant la "paille" d'aspiration.
- Enlèvement par torsion de la partie auto-soudée de la "paille" sur sa ligne circulaire de moindre épaisseur permettant ainsi son utilisation pour aspirer la boisson contenue.
-Effectuer une opération similaire sur la tubulure servant d 'évent. Toutefois ce dispositif de fermeture monobloc n'est pas suffisant, à lui seul, pour faire obstacle au moment de son ouverture en enlevant le capuchon, à une montée et au débordement d'une boisson gazeuse, après la sortie du C02 sous pression qui vient s'accumuler au dessus du niveau de la-dite boisson dans la zone du goulot
En attendant de décrire les différentes dispositions améliorant la fabrication et l'utilisation d'un Flacon-Chalumeau, le demandeur est amené à développer la brève description faite dans son Brevet français du 4 février 1998, concernant les nouvelles dispositions des tubulures saillantes du tube cylindrique, par rapport à celles de son Brevet français du 28 Juin 1996 n°96.08141 ; mais sans avoir à intervenir sur les moyens mis en oeuvre pour obtenir par injection une tubulure interne se prolongeant saillante, les techniques mises en oeuvre et revendiquées dans ce Brevet ne sont pas concernées et n'ont même pas à intervenir dans le cadre de la présente invention; c'est la raison pour laquelle, le demandeur n'a pas représenté dans son entier les éléments femelle 6 et mâle 7 du moule principal dans les Figures où ils sont mis en évidence, mais uniquement la zone supérieure et terminale de ceux-ci qui seuls sont intéressés par la présente invention.
Mais avant d'aller plus avant dans les explications se rapportant aux différentes améliorations apportées par le demandeur, certaines étant dépendantes des caractéristiques nouvelles apportées au dispositif de fermeture et certaines nécessitant, dans certain cas, pour sa réalisation, la participation de la "paille" d'aspiration et dans tous les cas, la participation du goulot et même dans d'autres cas la participation du corps du tube cylindrique avant son rétrécissement pour former le goulot du futur Flacon- Chalumeau, mais alors avec également l'utilisation d'un Mandrin à double barre. Tous ces cas seront développés plus avant, avec les Figures explicatives correspondantes à l'appui de la présente invention. Ces nouveaux dispositifs de fermeture sont essentiellement remarquables de par les multiples avantages qu'ils apportent, avant et
pendant l'utilisation des capacitaires de ce type de Flacon-Chalumeau qui lui sont liés et vice et versa, et en premier :
- Fermeture monobloc inviolable, dès sa mise en place, avec une partie inamovible prolongée d'un capuchon amovible. - Protection de la "paille" contre toute pollution.
- Séparation du capuchon amovible par simple torsion exercée sur sa ligne circulaire de moindre épaisseur à faiblesse contrôlée.
- Création d'un espace annulaire servant d'évent, remplaçant la tubulure 17 du Brevet français du 28 Juin 1996 n°96.08141. - Enlèvement et remise en place facilités du capuchon amovible en installant un lien fin et souple reliant ce capuchon à la partie inamovible par utilisation de la matière de fluage provenant du matriçage.
Cette dernière disposition ne peut se concrétiser que dans la mesure où ce dispositif de fermeture est obtenu selon la technique d'extrusion-moulage décrite dans son brevet français du 9 Août 1961 n°1.344.169 et ses Additions, mais ne peut s'obtenir selon la technique d Injection-moulage. Le capuchon peut de préférence être strié et comprendre au besoin, compte tenu de sa taille réduite, une légère excroissance verticale améliorant sa préhension et l'effort nécessaire pour son ouverture. Cette technique est également revendiquée par le demandeur dans le cadre de la présente invention, pour toutes sortes de capsules de fermeture en plastique ou autres.
Devant faire référence à des Figures ayant fait l'objet de Brevets séparés, et pour permettre de comprendre, sans confusion possible, les améliorations techniques apportées par le demandeur, le numérotage des références et des Figures correspondantes des-dits Brevets sera mis (en parenthèse) avec le n° de cette Figure et la date du Brevet français concerné.
Alors que la liaison entre la paroi externe de la tubulure 16 s'effectue avec les parois externes des tubulures 15 et 17, ainsi qu'avec la paroi 14 (Figure 328.06.96), le demandeur fait désormais passer la "paille" d'aspiration à travers le goulot pour venir en saillie au dessus de son orifice (Figure 1 et 2/4.02.98), non plus sur un plan horizontal, mais sur un plan vertical avec la paroi interne du goulot uniquement, et sur une faible épaisseur ne gênant en rien le remplissage par ce goulot qui a un diamètre aux normes classiques. Le tube cylindrique injecté enveloppe complètement la paille d'aspiration, dans sa partie interne, pour venir se rétrécir afin de former le goulot, selon l'une des différentes techniques développées plus avant par le demandeur, sans ou avec le concours d'un mandrin à double barre 22 et 22' (Figure 11 /28.06.96), mais ne comportant qu'un seul tube creux d'injection dans son rôle d'élément mâle.
Ces nouvelles dispositions incluses dans la présente invention, entraînent nécessairement, comme précisé dès le début par le demandeur, un dispositif de fermeture monobloc comportant une partie inamovible prolongée d'un capuchon amovible; cependant plusieurs variantes de ce dispositif, selon la destination d'utilisation, sont prévues, certaines en combinaison avec la paille d'aspiration ce qui sera développé plus avant; quant à la tubulure utilisée comme évent (Figures 3, 3a, 6 et 8/28.06.96) elle se trouve supprimée dans le cadre de la présente invention, son rôle d 'évent étant tenu par un dispositif de la fermeture monobloc, intimement lié aux nouvelles dispositions des tubulures saillantes restantes et qui sont interdépendantes les unes des autres, ne pouvant se concevoir l'une sans les autres étant prises, isolément, sans utilité.
Les dessins annexés, donnés à titre d'exemples non limitatifs, permettront de mieux comprendre la présente invention.
- La Figure 1 est une coupe longitudinale, d'une coquille 5 d'un moule secondaire, et des éléments femelles 6 et 7, limitée à la partie supérieure du moule mâle (Figure
3/28.06.96).
- La Figure 2 est une vue de plan des coquilles 5 et 5' suivant la coupe A A de la Figure 1.
- La Figure 3 est une coupe verticale des coquilles 5 et 5' suivant la ligne de coupe C C de la Figure 2;
- La Figure 4 est une vue de plan des coquilles 5 et 5' selon la ligne B B de la Figure 1.
- La Figure 5 est une des variantes de la Figure 4 dans la disposition des ouvertures S pour le soufflage indirect et avec un mandrin de soufflage caractérisé par l'absence de tube de soufflage, remplacé par une sorte de ventouse d'étanchéité (non représentée).
- La Figure 6 est une coupe longitudinale du tube cylindrique venu par injection dans les moules utilisés à la Figure 1.
- La Figure 7 est une vue de plan du tube cylindrique, selon la ligne de coupe transversale de la Figure 6, cette coupe étant prise suivant la ligne D D de la Figure 6
- La Figure 8 représente, schématiquement et en élévation, avec un arrachement partiel, un flacon obtenu à partir du tube cylindrique injecté dans les Moules suivants la Figure 1 , représenté à la Figure 6; hachurés en diagonale de gauche à droite, la "paille" et le "goulot" qui ont été injectés entre les coquilles 5 5' du moule secondaire en affrontement et soufflés indirectement à partir des trous de soufflage S .
- La Figure 9 est une coupe longitudinale d'un des dispositifs de fermeture selon l'invention avec la partie de la "paille" représentée à la Figure 1.
- La Figure 10 est une vue en plan, selon la ligne de coupe transversale de la
Figure 9, cette coupe étant prise suivant la ligne E E de la Figure 9.
- La Figure 11 est une coupe longitudinale du Flacon de la Figure 8, mais sans la membrane M de la Figure 1 qui risquerait de rendre touffu le dessin, et sa fermeture monobloc
- La Figure 12 est une coupe longitudinale d'une coquille 5 du moule secondaire, et des éléments femelle 6 et mâle 7 du moule principal; ce Moule principal est caractérisé par une très fine lamelle circulaire L qui provient d Injection horizontale à partir du tunnel 12 dans la fente semi-circulaire creusée dans chacune des coquilles 5 et 5' du moule secondaire pour former, lors de leur affrontement, une fente circulaire permettant cette injection.
- La Figure 13 est un agrandissement d'une coupe longitudinale de la coquille 5 du moule secondaire représentée à la Figure 12.
- La Figure 14 est une coupe verticale de ces coquilles 5 et 5' suivant la ligne de coupe verticale F F de la Figure 13.
-La Figure 15 est une coupe longitudinale d'un autre dispositif de fermeture selon l'invention et de la partie de la paille comportant une très fine lamelle circulaire L, représentée aux Figures 12, 13 et 14.
- la Figure 16 est une vue en plan, selon la ligne de coupe transversale de la Figure 15, cette coupe étant prise suivant la ligne G G de la Figure 15.
- La Figure 17 est une coupe longitudinale du même dispositif de la Figure 15, mais avec une ligne de coupe H H.
- La Figure 18 est une vue de plan selon la ligne de coupe H H de la Figure 17.
- La Figure 19 est une coupe longitudinale d'une coquille 5 du moule secondaire, et des éléments femelles 6 et mâle 7 du moule principal, avec le mandrin à double barre 22 et 22' ne comportant qu'un tube creux d'injection qui se situe en affrontement avec la face supérieure des coquilles du moule secondaire en affrontement (FIG.11 28.06.96).
- La Figure 20 est une coupe longitudinale du tube cylindrique venu par injection dans les Moules utilisés à la Figure 19. II doit être entendu que les descriptions qui précèdent ou qui vont suivre, ne sont données qu'à titre d'exemples et qu'elles ne limitent nullement le domaine de l'invention, dont on ne s'éloignerait pas en remplaçant les détails d'exécutions décrits par tout autre équivalent.
D'autre part, le demandeur se limitera uniquement à donner les explications technique du procédé de fabrication sur les dispositions nouvelles des tubulures saillantes et interne concernées par la présente invention; pour les références non concernées, le demandeur renvoie aux brevets mentionnés ainsi que les Figures
concernées mises entre parenthèses avec la présentation des Figures, il joindra les-dites Figures pour comparaison.
Selon la FIG. 1 , l'élément mâle 7 du moule principal permet l'injection d'un tube cylindrique 14 qui se rétréci dans sa partie terminale pour former la tubulure saillante que nous désignerons "goulot". Ce tube cylindrique 14 est caractérisé en ce qu'il comporte, interne, une deuxième tubulure qui, d'interne devient saillante et est constituée par l'injection entre un tunnel 12 et un tube creux 12a et représentée en hachuré. La jonction entre la paroi interne du "goulot" 15 est caractérisée par une liaison verticale et sur une très faible épaisseur formant une membrane M qui sera expliquée avec les Figures 2 et 3. Le moule secondaire représenté par sa coquille 5 est caractérisé pour comporter en arrière de sa face d'affrontement un ou deux tunnels de soufflage S qui débouchent au dessus du "goulof 15 et en arrière de la membrane M, tandis qu'un autre tunnel de soufflage S est constitué, lors de l'affrontement des coquilles du moule secondaire, par deux demi-tunnels. Ce tunnel débouche au dessus de la partie fermée du tube creux 12a.
La FIG. 2 est une coupe transversale suivant la ligne de coupe de la FIG.1 et sur les coquilles 5 et 5' en affrontement du moule secondaire. On distingue en partant du centre, la canule 4b (voir Brevet français du 28.06.96 n°96.08141), le tube creux 12a, le tunnel 12. Partant du tunnel 12, la fine membrane M qui rejoint par l'intérieur le "goulof 15 et le méplat supérieur 18.
La FIG. 3 est une coupe verticale suivant la ligne de coupe C C de la FIG.2 sur les coquilles 5 et 5'. La partie terminale 7 de l'élément mâle est muni d'une tranchée 7' qui le traverse entièrement. Lors de l'affrontement de la partie terminale supérieure de l'élément mâle 7 avec la face inférieure de chacune des coquilles 5 et 5' en affrontement la matière est injectée par le tunnel aménagé 12, permettant cette injection latérale et verticale (alors que dans son Brevet français du 28 Juin 1996 n°96.0141 cette injection s'effectue horizontalement et à partir de la formation de la tubulure interne et saillante avec la face externe de la tubulure 15 formant également le "goulof ; ainsi qu'avec le coφs cylindrique et une troisième tubulure saillante servant d 'évent). Cette disposition de la tranchée T permet le retrait de l'élément mâle 7, tout en assurant une liaison par rmtérieurdu "goulof 15. On distingue également le tunnel de soufflage S et les méplats 18 et 18'.
Les FIG. 4 et 5 sont, vues de plan, les coquilles 5 et 5' en affrontement du moule secondaire qui montrent que l'on peut disposer les tunnels de soufflages de différentes façons. Cette disposition est donnée uniquement pour exemple. On distingue sur chacune des Figures, et en pointillés, les contours du "goulof 15, et du tunnel 12 d'un côté et du tube creux 22a de l'autre, ainsi que la membrane M reliant par l'intérieur le
"goulof 15. Ces Figures ne servent qu'à situer les éléments représentés sur les FIG. 1 , 2 et 3.
La FIG. 6 représente une coupe longitudinale du tube cylindrique 14 sorti d'injection dans les moules de la FIG.1 soit : le corps du tube 14, sa partie rétréάe formant le "goulof 15, avec la membrane M venue par injection dans la tubulure saillante 16 se prolongeant interne 16a et que nous désignerons comme "paille" d'aspiration, elle se situe( solidaire de celui-ci) à l'intérieur du "goulof 15, qui comporte les méplats circulaires 18 et 18'.
La FIG. 7 est une coupe selon la ligne de coupe D D de la FIG. 6 où l'on retrouve en partant du centre, l'orifice non référencé de la "paille" d'aspiration 16 reliée verticalement par une membrane M de faible épaisseur et la paroi 14 du tube cylindrique. Le demandeur a anticipé en mentionnant la "paille" d'aspiration, ce qui sera effectif à la FIG. 8.
La FIG. 8 représente avec un arrachement partiel, le Flacon-Chalumeau obtenu par soufflage indirect dans un moule transformateur à coquilles, non représenté puisque non concerné par la présente invention, mais visible (FIG.7 de son Brevet français du 28 Juin 1996 n°96.0141). Comme pour ce dernier, la partie hachurée en diagonales de gauche à droite est venue d'injection dans le moule secondaire de la FIG.1 en utilisant les caractéristiques suivant les FIG. 2 et 3. On retrouve le corps du Flacon 14a, son fond matrice 14b, et son déchet 14c, le goulot 15 avec ses méplats 18 et 18', sa "paille" d'aspiration 16 se prolongeant interne 16a.
La FIG. 9 est une coupe longitudinale du dispositif de fermeture à grande échelle, et se rapporte à la FIG. 1 du brevet français déposé le 4 Février 1998 n°98.01275 par le demandeur et qui décrit dans celui-ci les procédés techniques permettant sa fabrication qui sont repris pour mettre en évidence les améliorations apportées par le demandeur dans la présente invention. Comme déjà mentionné ci-dessus, ce dispositif de fermeture monobloc est caractérisé par une partie inamovible, se prolongeant par un capuchon amovible, pouvant également s'obtenir par injection-moulage mais sans un lien fin et souple reliant la partie inamovible à son capuchon amovible, et avec lui en utilisant la technique d'extrusion-moulage selon le Brevet français du 9 Août 1961 déjà mentionné.
Ce dispositif se compose d'une jupe 1 , comportant un bossoire 1 '. Cette jupe 1 se prolonge par une partie couvrante 2 qui se caractérise pour ne pas obturer en fièrement l'orifice du goulot d'un Flacon-Chalumeau selon la FIG. 8, mais elle-même se continue par un capuchon 3 enserrant la "paille" 16 sans la toucher, en laissant entre- eux un espace annulaire 17, et fermant l'orifice de la "paille" 16 par sa partie terminale 4. Ce capuchon 3 comporte une ligne circulaire de moindre épaisseur 19 suivant la
technique déjà mentionnée du demandeur. Le lien fin et souple 20 relie le capuchon 3, au dessus de sa ligne de moindre épaisseur 19, à la partie couvrante 2.
La FIG. 10 est une vue de plan, selon la ligne de coupe transversale de la FIG. 9, cette coupe étant prise suivant la ligne E E de la FIG. 9, on retrouve la partie couvrante 2, le capuchon 3, la "paille" 16 avec, entre la face intérieure du capuchon 3, l'espace annulaire 17 qui sert d'évent, au moment de l'enlèvement du capuchon (et qui remplace la tubulure saillante avec la même référence 17 du Brevet français n°96.01410 du 28 Juin 1996).
L FIG. 11 est une coupe longitudinale du Flacon suivant la FIG. 8, avec le dispositif de fermeture suivant la FIG.9. On retrouve la partie inamovible 1 reposant sur le méplat inférieur 18' du goulot 15, sa partie couvrante 2, qui se prolonge par le capuchon 3 avec sa partie 4 qui ferme l'orifice supérieur de la tubulure saillante 16, ce capuchon 3 est rendu amovible sur sa ligne circulaire 19 de moindre épaisseur à faiblesse contrôlée; il est relié à la partie couvrante 2 solidaire de la partie inamovible 1 , par un lien fin et souple obtenu par matriçage en utilisant le déchet de fluage suivant la technique décrite dans son Brevet français n°1.344.169 du 9 Août 1961 et ses Additions. La tubulure saillante 16 passe par l'intérieur du goulot 15 pour se prolonger interne 16a dans le corps du Flacon 14a et en constituer la "paille" d'aspiration. La membrane M, visible sur les FIG; 1 , 3 et 6, et en coupe sur les FIG. 2 et 7, n'est pas indiquée sur cette FIG. 11 , pour permettre une meilleur clarté dans le dessin.
La FIG. 12 représente les mêmes éléments et références que ceux de la FIG. 1 , mais comporte une caractéristique supplémentaire, avec la formation par injection, d'une lamelle circulaire L, de très faible épaisseur, mais avec un diamètre suffisant pour permettre à sa zone circulaire terminale de se soulever sous la pression exercée par une boisson gazéifiée par exemple. Cette lamelle L s'obtient en pratiquant sur chacune des coquilles 5 et 5' (non représentée) du moule secondaire, une ouverture en arc de cercle pour que la matière plastique injectée à partir de l'ouverture pratiquée dans le tunnel 12 puisse former ainsi cette lamelle circulaire L suivant la technique décrite dans le Brevet français n°96.08141 du 28 Juin 1996 (FIG.3). L'utilité de cette lamelle L sera démontrée grâce à la description et les explications relatives à la FIG. 15.
La FIG. 13 est un grossissement suivant la coupe longitudinale de la FIG. 12, mais limité à la coquille 5 du moule secondaire et à la partie terminale supérieure de l'élément mâle 7 du moule principal qui y pénètre. On retrouve, plus visibles, les éléments et références de la FIG. 12.
La FIG. 14 est une coupe verticale des coquilles 5 et 5' en affrontement, suivant la ligne double de coupe F F de la FIG. 13. On retrouve la coquille 5 et sa vis à vis 5',
l'un des tunnels de soufflage S, en arrière des faces d'affrontement des coquilles 5 et 5', la lamelle circulaire L qui se situe de part et d'autre des coquilles 5 et 5' en affrontement, l'élément terminal 7 pourvu d'une tranchée verticale 7' qui viennent en affrontement avec la face inférieure et terminale des coquilles 5 et 5', le goulot 15 avec ses méplats 18 et 18' ; la tranchée verticale 7' permettant la création de la membrane M qui solidarise la tubulure 16 à la face interne du "goulof 15, ce qui est visible aux FIG. 1, 2, 6, 7, 12 et 13.
La FIG. 15 est une coupe longitudinale d'un autre dispositif de fermeture avec des perfectionnements apportés à celui décrit dans le brevet français n°98.01275 déposé le 4 Février 1998. Ces perfectionnements concernent d'une part l'amélioration de la préhension du capuchon amovible 3 par la constitution d'arêtes saillantes 3' et concerne uniquement le dispositif de fermeture, d'autre part ils comportent des aménagements de la partie couvrante 2 pour constituer par 2' un logement 17" pour la lamelle L solidaire de la tubulure 16. En ce qui concerne l'arête saillante 3', il a paru nécessaire au demandeur d'améliorer la préhension du capuchon 3 en aménageant les coquilles du moule d'extrusion-moulage selon la technique revendiquée dans son Brevet français n°1.344.169 du 9 Août 1961 pour permettre d'utiliser une partie de la matière fluante par matriçage au moment de l'affrontement des coquilles; on peut les obtenir également par la technique d'injection-moulage et d'une façon analogue à l'obtention des méplats 18 et 18' de la FIG. I par exemple. Selon l'une ou l'autre des techniques utilisées, ces arêtes qui viennent en complément des stries verticales sur le capuchon 3, sont revendiquées par le demandeur dans le cadre de la présente invention pour tout type de dispositif de fermeture entraînant un mouvement de torsion, que celui-ci soit en matière plastique ou tout autre dispositif métallique, comportant une ligne continue ou intermittente de moindre épaisseur ou de point de faible résistance, qui découle du brevet français de 1961 , déjà cité du demandeur.
Concernant l'aménagement constitué sous la partie couvrante 2', celui-ci constitue un logement, au moment de la mise en place du dispositif de fermeture monobloc représenté, pour la lamelle L venue en excroissance horizontale de la tubulure 16 du Flacon-Chalumeau 14a, contrairement à la membrane M qui est une excroissance verticale. Il est fréquent pour tout type de capacitaire contenant une boisson gazéifiée, de constater qu'au moment de son ouverture, et à la suite du C02 s'échappant, de voir qu'une partie de cette boisson suit le même chemin. La présence de la lamelle L selon la présente invention et son logement sous la partie couvrante 2" constituent, ensemble, un obstacle à cet inconvénient. En effet la boisson gazéifiée contenue dans ce type de Flacon-Chalumeau selon la présente invention, pour suivre le chemin du CO2, exercera une pression sur la fine lamelle L ; celle-ci et par sa périphérie externe, viendra se
plaquer sur la face interne supérieure de la partie couvrante 2', ne laissant au départ, qu'une infime quantité de boisson s'échapper au moment où le capuchon 3, amovible sur la ligne circulaire de moindre épaisseur 19, sera enlevé par torsion. Quant au CO2 venu s'accumuler au dessus de la surface de la boisson située dans la "paille" d'aspiration 16, sa quantité sera minime, la plus grande partie se situant dans la zone du goulot 15, aucun gaz ne prenant le chemin inverse du liquide, pour venir remonter dans un conduit central et interne que représente la partie interne 16a de cette "paille" d'aspiration, la quantité de boisson pouvant s'échapper par là étant négligeable.
Suivant les FIG. 15 et 17 identiques, mais avec des lignes de coupe différentes, on distingue les éléments constitutifs du dispositif de fermeture monobloc selon la présente invention, et la partie supérieure de la tubulure 16 du Flacon-Chalumeau qui seront interdépendants, ne pouvant se concevoir l'un sans l'autre. La jupe 1 repose sur le méplat 18' du goulot 15 qui est relié verticalement par une membrane M à la tubulure saillante 16 qui se prolonge interne 16a. Le bossoire 1 ' permet de rentrer en force autour du méplat 18 (voir au moins FIG. 14), on pourra néanmoins assurer l'inamovibilité de la jupe 1 autour du goulot 15 par un procédé thermique connu. La partie couvrante 2 se prolonge par 2' pour permettre d'avoir un espace 17' pour la lamelle circulaire L, venu de la tubulure saillante 16 au moment de son injection. Le capuchon 3 amovible sur sa ligne de moindre épaisseur 19, les parties saillantes 3' venues de matriçage au moment de l'affrontement des coquilles du moule utilisé selon la technique du Brevet français de 1961 déjà cité, ou selon un aménagement de chacune des coquilles d'un moule d'injection ayant un rôle femelle, mais uniquement limité au plan de joint de ceux-ci, et non pas comme pour la formation des méplats circulaires. La partie couvrante 4 ne pénètre pas dans l'orifice de la tubulure saillante 16, ce qui avait pour effet de freiner et rendre difficile le mouvement de torsion pour séparer le capuchon 3 sur sa ligne de moindre épaisseur 19. Le lien fin et souple 20 relie ia partie couvrante 2 au capuchon 3, mais au dessus de la ligne de moindre épaisseur 19 ; il est facultatif. Entre la paroi du capuchon 3 et celle de la tubulure 16, se situe un espace annulaire 17 servant d'évent, après séparation du capuchon 3, de la partie inamovible 1 , 2 et 2'. Les FIG. 16 et 18 sont des vues de plan selon les coupes transversales G G de la FIG. 15 et H H de la FIG. 17, où l'on retrouve sur chacune d'elles les éléments référencés des Figures mentionnées selon la coupe longitudinale de chacune d'elles.
La FIG. 19 représente une autre disposition en coupe longitudinale d'une coquille 5 du moule secondaire, des éléments femelle 6 et mâle 7 du moule principal, avec un mandrin à double barre 22 et 22' ne comportant qu'un tube creux d'injection 22a, ce qui caractérise la formation de la membrane M, non plus au ras de l'orifice dans sa partie terminale, mais à partir de ia partie terminale du goulot 15, étant entendu que cette
membrane M pourra se situer à n'importe quel niveau du goulot 15, mais de manière impossible à un niveau inférieur à celui représenté sur cette FIG. 19, pour autoriser le retrait du tube creux d'injection 22a du mandrin à double barre 22 et 22'. Le refroidissement s'effectuant comme pour le dispositif figuré et expliqué(dans son Brevet français n°96.08141 du 28 juin 1996), suivant le sens fléché. On retrouve du bas vers le haut, la partie supérieure des éléments femelle 6 et mâle 7 (à comparer avec la FIG. 3 du Brevet français n°96.08141 du 28 Juin 1996), des cavités communicantes 8 et 8', la cloison 9 du tunnel 12 hachuré, la tubulure interne 16a entre la paroi du tube creux 12a et le tunnel 12, à l'intérieur du tube creux 12a la canule 4b servant au retour du liquide de refroidissement venant par le tube creux 12a, selon le sens des flèches (et faisant partie du brevet français n°96.08141 du 28 Juin 1996). La membrane M solidarisant verticalement une partie de la tubulure 16a avec le corps du tube cylindrique 14; venant en affrontement sur ia partie terminale de l'élément mâle 7, le tube creux 22a qui limite dans sa partie terminale la membrane M, et constitue un élément mâle pour l'injection de la partie retrécie 15 (futur goulot 15) et ses méplats 18' et 18. Il est à noter que dans cette disposition de solidarisation de la "paille" d'aspiration que forment les tubulures 16 et 16a, il n'est pas possible d'obtenir la lamelle L comme dans les dispositions des FIG. 12, 13, 14, 15 et 16, ce qui exclue avec cette disposition, de faire obstacle à une montée intempestive d'une boisson gazeuse. Après retrait du mandrin à double barre 22 et 22' et du tube creux 22a qui enserre en même temps le tube creux 12a tout en laissant un espace d'injection pour former la tubulure saillante 16, le mandrin de soufflage indirect viendra en affrontement avec la face terminale supérieure des coquilles 5 et 5' (non représentées) du moule secondaire, en occupant le vide laissé par le retrait du tube creux 22a (non figuré). La FIG. 20 est une coupe longitudinale du tube cylindrique venu par injection dans les moules utilisés à la FIG. 19. Le demandeur rappelle que pour les parties inférieures de tous les Moules représentés partiellement celles-ci ne diffèrent pas de celles représentées dans son Brevet français n°96.08141 du 28 Juin 1996 où la technique peut être consultée, tout en précisant que certaines améliorations ont été apportées lors du dépôt de la demande PCT/FR97/01162 du 3O Juin 1997 (n° de publication internationale: WO 98/00280) du 8 Janvier 1998.
Sur cette FIG. 20, on distingue, venu d'injection entre les éléments femelle 6 et mâle 7 du moule principal, le corps cylindrique 14, ainsi que sa partie retrécie, avant le goulot 15. La tubulure interne 16a est venue d'injection entre la paroi du tunnel 12 limitée par ia cloison 9 et le tube creux 12a, celle-ci jouant un rôle d'élément mâle, tandis que le tunnel 12, faisant partie de l'élément mâle 7, a un rôle d'élément femelle. Sont venus d'injection dans le moule secondaire à coquilles 5 et 5' (non représentées) la partie
retrécie, formant le goulot 15 avec ses méplats 18 et 18', ainsi que le prolongement de la tubulure interne 16a, c'est à dire la tubulure saillante 16. La membrane M qui vient de la paroi externe de la tubulure 16a avant sa prolongation en tubulure 16, rejoint par l'intérieur la paroi du goulot 15. Cette membrane M, comme dans toutes celles figurées, est verticale et n'occupe qu'un espace limité à l'intérieur du goulot 15 ce qui ne peut affecter le remplissage du futur Flacon-Chalumeau, le tube de remplissage comportant, dans certains cas, une fente verticale pour permettre sa descente à llntérieur du goulot 15. Naturellement ce dit tube de remplissage comportera les dispositions classiques pour l'évacuation de l'air chassé par la montée de la boisson, ou encore un dispositif conçu par le demandeur dans la 1ère Addition n°88.254 du 17.04.1963 du Brevet français n°1.386.210 du 15 Janvier 1963.