FR3134693A1 - Dispositif de traitement de la chevelure - Google Patents

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Abstract

Dispositif de traitement de la chevelure L’invention concerne un dispositif (2) de traitement de la chevelure, notamment de bouclage de la chevelure, comportant : deux mâchoires (3,4) de traitement de la chevelure mobiles l’une relativement à l’autre entre une configuration écartée d’engagement entre lesdites mâchoires (3,4) de cheveux à traiter et une configuration rapprochée de traitement des cheveux, un organe de traitement externe des cheveux présentant au moins une surface externe (13) de chauffage des cheveux s’étendant sur l’une des deux mâchoires (3,4) vers l’extérieur des deux mâchoires (3,4),un capot (70) de protection thermique monté de manière amovible par clipsage sur le dispositif (2) de manière à recouvrir au moins partiellement la surface externe (13) de chauffage, le capot (70) comportant un évidement (71) configurée pour former une zone (72) de déformation du capot (70) lors de son assemblage sur le dispositif (2). Figure pour l’abrégé : Fig. 11

Description

Dispositif de traitement de la chevelure
La présente invention concerne les dispositifs de traitement de la chevelure, et plus particulièrement mais non exclusivement ceux destinés à la mise en forme de la chevelure, notamment destinés au bouclage et/ou au lissage des cheveux.
L’invention concerne plus particulièrement les dispositifs de bouclage comportant deux mâchoires mobiles l’une par rapport à l’autre, pouvant prendre une configuration écartée d’introduction d’une mèche de cheveux entre elles et une configuration rapprochée, de traitement de la mèche.
De nombreux dispositifs de ce type ont déjà été proposés. Ces dispositifs comportent généralement des plaques chauffantes sur leurs surfaces externes autour desquelles sont enroulées les mèches de cheveux pour les boucler.
Certains dispositifs comportent également des plaques internes chauffantes entre lesquelles les mèches peuvent être pincées lors du bouclage et/ou pour permettre le lissage des cheveux.
Dans certains cas, le traitement de la chevelure est fait sans utiliser les plaques externes de chauffage, qui peuvent tout de même être chaudes lors du traitement. L’utilisateur doit alors éviter le contact avec ces surfaces chaudes sous peine de se brûler la peau ou le cuir chevelu.
US20060037625 divulgue l’application, à l’aide d’un adhésif, d’un matériau de protection thermique sur les surfaces chaudes.
KR20-0246302, KR200398545, KR10-0712248, CN203676383, CN110338540 décrivent la possibilité de monter des capots de protection thermique, de manière amovible, sur les surfaces chauffantes afin de protéger l’utilisateur.
Il existe un besoin pour perfectionner les capots de protection des dispositifs de traitement de la chevelure, notamment pour faciliter le montage et le démontage de ces capots.
Il existe ainsi un besoin pour perfectionner encore les dispositifs de traitement de la chevelure, notamment afin de bénéficier d’un dispositif sûr, versatile, performant, simple et confortable à utiliser, de fonctionnement fiable et de coût compatible avec une diffusion à large échelle.
Il existe également un besoin de disposer d’un dispositif de bouclage des cheveux pouvant également être utilisé comme lisseur de façon performante.
La présente invention répond à tout ou partie de ces besoins grâce à, selon l’un de ses aspects, un dispositif de traitement des cheveux, notamment de mise en forme, en particulier de bouclage de la chevelure, comportant :
- deux mâchoires de traitement de la chevelure mobiles l’une relativement à l’autre entre une configuration écartée d’engagement entre lesdites mâchoires de cheveux à traiter et une configuration rapprochée de traitement des cheveux,
- un organe de traitement externe présentant une surface externe de chauffage des cheveux s’étendant sur l’une des deux mâchoires vers l’extérieur des deux mâchoires,
- un capot de protection thermique monté de manière amovible par clipsage sur le dispositif de manière à recouvrir au moins partiellement la surface externe de chauffage, le capot comportant un évidement configuré pour former une zone de déformation préférentielle du capot lors de son assemblage sur le dispositif.
Le capot de protection permet de protéger l’accès à la surface chaude de la surface externe de chauffage lorsqu’elle n’est pas utilisée pour un traitement, par exemple, lorsque le dispositif est utilisé pour le lissage, tout en permettant d’ôter cette protection lorsque la surface externe de chauffage est utilisée notamment pour le bouclage ou l’ondulation des cheveux.
En usage, le capot empêche un contact accidentel avec la surface externe de chauffage sur le crâne, les oreilles, les joues, le cou ou les doigts de l’utilisateur, sans entraver ou complexifier ou dégrader l’utilisation du dispositif.
On dispose ainsi d’un dispositif performant pouvant servir pour lisser ou boucler les cheveux, tout en protégeant l’utilisateur de brûlure en fonction du mode d’utilisation. La sécurité d’utilisation est donc accrue par rapport aux produits de l’art antérieur.
De plus, l’évidement sur le capot permet de faciliter et de fiabiliser le montage et le démontage du capot sur le dispositif tout en restant peu coûteux à produire.
Le dispositif peut comporter deux bras dont les parties distales forment chacune l’une des deux mâchoires ; ces deux bras sont de préférence articulés entre eux à leurs extrémités proximales, opposées aux mâchoires, et peuvent comporter chacun une zone de préhension, du côté de l’articulation de laquelle la mâchoire s’étend, sur laquelle l’utilisateur peut appuyer pour déplacer les mâchoires entre les configurations rapprochée et écartée.
De préférence, chaque mâchoire est de forme allongée et s’étend selon un axe longitudinal, qui est de préférence un axe rectiligne.
Le dispositif peut ainsi être de forme allongée selon un axe longitudinal, de préférence rectiligne, en configuration rapprochée des mâchoires.
Organe de traitement externe de chauffage
Le dispositif peut comporter deux organes de traitement externes s’étendant chacun sur une des mâchoires et présentant chacun au moins une surface externe de chauffage des cheveux s’étendant sur la mâchoire respective vers l’extérieur du dispositif, de préférence en étant en opposition l’une de l’autre sur le dispositif en configuration rapprochée des mâchoires, le dispositif comportant deux capots de protection thermique montés de manière amovible sur le dispositif et agencés chacun sur une des deux surfaces externes de chauffage de manière à recouvrir au moins partiellement ladite surface externe de chauffage, chaque capot comportant une évidement configuré pour former une zone de déformation préférentielle du capot lors de son assemblage sur le dispositif.
De préférence, lorsqu’il n’y a qu’un seul organe de traitement externe présentant une surface externe de chauffage, celui-ci s’étend sur la mâchoire présentant l’évidement latéral.
Le ou chaque organe de traitement externe peut comporter une plaque externe s’étendant sur la surface externe de la mâchoire correspondante et de forme sensiblement complémentaire à cette dernière. La ou les plaques externes présentent une surface externe de contact avec les cheveux définissant au moins partiellement la surface externe de chauffage de l’organe de traitement externe.
La ou chaque plaque externe peut être en un matériau bon conducteur de la chaleur, la ou les surfaces externes de chauffage présentant une température par exemple supérieure à 50°C, mieux comprise entre 55° et 150°C en utilisation du dispositif, par exemple de l’ordre de 90°C.
La ou chaque surface externe peut être en métal, ou en céramique, de préférence en acier inoxydable, par exemple 304 selon la norme JISG4305.
La ou chaque plaque externe peut avoir une conductivité thermique d’au moins 20 W.m- 1.K-1. Une telle conductivité permet un chauffage rapide de la ou des surfaces externes de chauffage et une application de chaleur efficace sur les cheveux.
La ou chaque surface externe de chauffage peut être allongée le long d’un axe longitudinal de la mâchoire la portant.
La ou les surfaces externes de chauffage et la ou les surfaces internes de chauffage peuvent être au moins partiellement de même encombrement dans le plan médian du dispositif s’étendant entre les deux mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires. Ceci permet de pouvoir utiliser à la fois les surfaces interne et externe pour traiter une même mèche de cheveux, si cela est souhaité, par exemple au cours d’une opération de bouclage.
De préférence, les deux surfaces externes de chauffage sont sensiblement de même longueur le long de leurs mâchoires respectives.
De préférence, la ou chaque surface externe de chauffage est de forme convexe vers l’extérieur, notamment de forme hémicylindrique.
La ou chaque plaque externe peut comporter des éléments de fixation configurés pour coopérer avec des éléments complémentaires de la mâchoire correspondante ; la ou chaque plaque externe peut présenter des bords longitudinaux recourbés vers l’intérieur, configurés pour se fixer sur le corps externe de la mâchoire, notamment en s’engageant dans des rainures longitudinales correspondantes s’étendant sur le corps externe de la mâchoire le long de l’axe longitudinal de la mâchoire. Une telle fixation de la ou des plaques externes par des bords recourbés permet de ne pas avoir d’arête saillante de la ou des plaques externes venant au contact des cheveux enroulés autour de la mâchoire.
De préférence, l’organe de traitement externe s’étend sur une partie seulement de la surface externe de la mâchoire, notamment sur la partie de la surface externe de la mâchoire orientée au moins partiellement vers le côté opposé à la surface interne de chauffage de la mâchoire.
De préférence, la ou chaque plaque externe est séparée et distincte de la ou chaque plaque interne.
La surface interne de chauffage et la surface externe de chauffage portées par la même mâchoire peuvent être chauffées par conduction thermique par une même source de chaleur s’étendant dans ladite mâchoire.
En variante, la surface externe de chauffage et la surface interne de chauffage portées par la même mâchoire peuvent être chauffées par des sources de chaleur distinctes respectives.
Une des mâchoires, notamment chaque mâchoire, peut présenter une portion distale dépourvue de plaque externe et/ou interne de chauffage des cheveux, notamment d’une longueur suffisante pour être saisie par l’utilisateur. Cette portion distale peut permettre à l’utilisateur de saisir le dispositif dans sa partie distale sans risquer de se brûler, ce qui est particulièrement utile lorsque le dispositif comporte un organe exerçant une traction sur les cheveux tel qu’un peigne comme nous le verrons par la suite, car une plus grande force peut alors être nécessaire pour déplacer le dispositif le long des cheveux.
Ladite portion distale dépourvue de plaque externe et/ou interne de chauffage des cheveux peut s’étendre sur une longueur, le long d’un axe longitudinal du dispositif, comprise entre 10 mm et 50 mm, préférentiellement entre 20 et 40 mm, avantageusement entre 25 mm et 30 mm.
Ladite portion distale dépourvue de plaque externe et/ou interne de chauffage des cheveux peut comporter un ou plusieurs reliefs permettant le maintien du doigt sur la portion distale tout en limitant le risque de contact avec la ou les surfaces externes de chauffage.
La longueur du ou de chaque organe de traitement externe peut être comprise entre 50 mm et 150 mm, préférentiellement entre 80 et 100 mm, avantageusement de l’ordre de 88 mm.
Portion externe de guidage
Au moins une, de préférence chacune des deux, mâchoire peut comporter une portion externe de guidage des cheveux. La ou chaque portion externe de guidage peut être délimitée latéralement en partie proximale et/ou distale de la mâchoire, mieux en partie proximale et distale de la mâchoire, par une surface d’arrêt tel qu’un épaulement. La ou chaque surface externe de chauffage peut s’étendre, au moins partiellement, mieux totalement dans la portion externe de guidage des cheveux de la mâchoire correspondante. De préférence, la longueur de la portion externe de guidage le long de l’axe longitudinal de la mâchoire est sensiblement égale à la longueur de la surface externe chauffante correspondante le long de l’axe longitudinal de la mâchoire. De la sorte, la ou chaque portion externe de guidage des cheveux peut former un repère visuel pour l’utilisateur signalant la zone de traitement externe, ce qui l’aide au bon positionnement des cheveux..
La ou chaque portion de guidage peut s’étendre sur la surface extérieure de la mâchoire correspondante, notamment en section transversale sur toute la surface extérieure de la mâchoire. La ou chaque surface d’arrêt peut s’étendre transversalement à la surface externe de la mâchoire, notamment s’étendre dans un plan formant un angle non nul, notamment compris entre 70° et 110°, avec l’axe longitudinal de la mâchoire, notamment s’étendre dans un plan sensiblement orthogonal à l’axe longitudinal de la mâchoire. La ou chaque surface d’arrêt peut s’étendre sur toute la circonférence de la mâchoire, notamment sur toute la surface extérieure de la mâchoire en section dans son plan d’extension.
Evidement latéral
L’une des mâchoires peut présenter un évidement latéral le long d’au moins une partie de la mâchoire, l’évidement latéral venant en regard d’au moins une partie de l’autre mâchoire et étant délimité en partie proximale et/ou distale de la mâchoire par une surface de guidage offrant un obstacle pour contenir les cheveux à traiter au sein de l’évidement latéral.
L’évidement latéral peut être délimité à la fois en partie proximale et en partie distale par une surface de guidage offrant un obstacle pour contenir les cheveux à traiter au sein de l’évidement latéral. Le fait que l’évidement latéral soit délimitée par des surfaces de guidage sur ces deux côtés permet un excellent guidage et un maintien optimal des cheveux dans l’évidement en limitant le risque de sortie de l’évidement.
La surface externe de la mâchoire présentant l’évidement latéral peut être dépourvue d’arête longitudinale saillante s’étendant vers l’extérieur de la mâchoire. La surface extérieure de la mâchoire au niveau de l’évidement peut ainsi être courbe et continue sans discontinuité de pente avec le reste de la surface de la mâchoire.
La ou chaque surface de guidage peut présenter une hauteur variable. La plus grande hauteur de la ou des surfaces de guidage peut être comprise entre 0,5 mm et 1 cm, mieux entre 1mm et 5 mm. Préférentiellement, la hauteur est maximale, par exemple en étant égale à 5 mm, au niveau de sa partie latérale. En d’autres termes, l’évidement latérale forme un renfoncement de 5 mm de profondeur maximale.
De préférence, la mâchoire présentant l’évidement latéral présente une largeur prise, au niveau de l’évidement latéral, parallèlement au plan médian du dispositif défini par la surface de traitement interne en configuration rapprochée des mâchoires inférieure ou égale à la largeur de l’autre mâchoire, notamment présente une largeur comprise entre 50% et 95%, mieux entre 70 et 90% de la largeur de l’autre mâchoire.
L’évidement latéral peut s’étendre dans la portion de guidage de la mâchoire correspondante, la ou les surfaces de guidage étant formé par la ou les surface d’arrêt de la portion de guidage.
Ainsi, la ou les surfaces d’arrêt de la mâchoire présentant l’évidement latéral peuvent être de hauteur variable, notamment d’une plus grande hauteur au niveau de l’évidement latéral. La variation de hauteur de la ou des surfaces d’arrêt peut être sensiblement continu.
De préférence, hors de l’évidement, la hauteur de la ou des surfaces d’arrêt est sensiblement constante. En variante, la ou les surfaces d’arrêt peuvent présenter une hauteur variable autour de la ou de chaque mâchoire, même hors de l’évidement latéral.
Hors de l’évidement la plus grande hauteur de la ou des surfaces d’arrêt peut être comprise entre 0,2 mm et 4 mm, mieux entre 0,5 mm et 2 mm.
La ou chaque surface d’arrêt délimitant la portion externe de guidage des cheveux peut être au moins partiellement formée par une nervure s’étendant sur la surface externe. La nervure est, de préférence, plus épaisse en opposition de la ou des surfaces internes de chauffage que latéralement à la ou aux surfaces internes de chauffage.
La ou chaque portion externe de guidage peut être en retrait par rapport à un niveau de base de la mâchoire la portant, le niveau de base de la mâchoire étant le niveau de la mâchoire hors de la portion externe de guidage et de la nervure le cas échéant. La portion de guidage est donc une portion en creux de la mâchoire.
Capot amovible
Le ou chaque capot peut recouvrir totalement la surface externe de chauffage correspondante.
Le ou chaque capot peut présenter une forme complémentaire de celle de la surface externe de chauffage correspondante, notamment une forme incurvée, en section transversale.
Le capot peut s’étendre selon un axe longitudinal, préférentiellement destiné à correspondre avec l’axe longitudinal des bras du dispositif de coiffure lorsque le capot est assemblé à ce dernier, ledit évidement étant de forme allongée selon une direction formant un angle non nul avec l’axe longitudinal du capot, notamment un angle droit avec l’axe longitudinal du capot. Cela permet de conférer au capot une certaine élasticité de déformation, par déformation élastique du matériau constituant le capot selon l’axe longitudinal pour faciliter l’opération d’assemblage et/ou de désassemblage du capot.
L’ évidement peut être formé par une zone d’épaisseur réduite ou, de préférence, être traversante, c’est-à-dire réalisée au travers de toute l’épaisseur du capot.
L’ évidement peut être symétrique par rapport à un plan transversal à l’axe longitudinal du capot. Eventuellement, l’encoche présente une ou plusieurs ondulations à la surface du capot.
L’évidement peut présenter une largeur sensiblement constante sur toute sa longueur.
La largeur de l’évidement peut être comprise entre 0,1 et 3 mm, préférentiellement entre 0,5 et 2 mm, et est par exemple égale à 1mm.
L’évidement peut s’étendre sur au moins 50%, mieux au moins 70% de la largeur développée du capot.
Par «développée», on entend lorsque le capot est déplié fictivement pour s’étendre selon un plan.
L’évidement peut s’étendre sur le capot à une distance d’une des extrémités proximale ou distale du capot inférieure ou égale à 25% de la longueur du capot. Par exemple, l’évidement est situé à une distance comprise entre 1 et 20 mm, préférentiellement entre 1 et 10 mm, par exemple 3 mm d’une des extrémités proximale ou distale du capot. Cela permet de limiter la taille de la zone déformée élastiquement.
De préférence, le capot présente une saillie de préhension s’étendant de la surface externe du capot lorsqu’il est monté sur la mâchoire. La saillie de préhension peut s’étendre sur une des extrémités proximale ou distale du capot. Alternativement, la saillie de préhension s’étend à une distance d’une des extrémités proximale ou distale du capot inférieure ou égale à 25% de la longueur du capot.
De préférence, la saillie de préhension et l’évidement s’étendent respectivement à proximité d’extrémités longitudinales du capot qui sont opposées.
Le capot peut être configuré pour être monté sur la mâchoire de sorte que la saillie de préhension soit située à proximité de l’extrémité longitudinale du capot s’étendant du côté proximal de la mâchoire. En d’autres termes, la saillie de préhension est située à proximité de la zone de préhension de dispositif de coiffure, ou encore du côté de la charnière de ce dernier. Ceci permet à l’utilisateur de détacher le capot avec la main (notamment avec le pouce) tenant la poignée du dispositif d’un seul geste et facilite donc la manipulation du capot.
Le capot et la mâchoire peuvent comporter des reliefs complémentaires de fixation du capot sur la mâchoire ; le capot peut notamment comporter des premiers reliefs, de préférence en saillie, s’étendant à ses deux extrémités longitudinales, agencés pour coopérer avec des deuxièmes reliefs complémentaires, de préférence en creux, du reste du dispositif, pour assurer la fixation du capot au reste du dispositif. De tels premiers reliefs peuvent être d’épaisseur égale ou plus faible que l’épaisseur de l’extrémité longitudinale du capot.
Les deuxièmes reliefs peuvent être de mêmes dimensions.
En variante, les deuxièmes reliefs sont de dimensions différentes, par exemple pour assurer un détrompage.
Les premiers reliefs peuvent s’étendre de l’extrémité longitudinale du capot correspondante selon une direction parallèle à l’axe longitudinal du capot.
Les deuxièmes reliefs peuvent s’étendre des ou dans les surfaces d’arrêt de la portion externe de guidage
De préférence, le capot est symétrique par rapport à un plan médian longitudinal.
Le capot peut avoir une épaisseur, de préférence variable, comprise entre 0,5 mm et 2 mm, de préférence entre 1 mm et 1,5 mm. De préférence, le capot est, en section transversale, plus épais au centre qu’au niveau de ses bords longitudinaux.
Le capot est de préférence en un matériau résistant à une température d’au moins 60°C, mieux d’au moins 100°C.
Le capot peut être en plastique renforcé ou non, notamment en polybutylène téréphtalate (PBT), du polyamide (PA), avec ou sans fibre de verre.
Le capot peut comporter des nervures de rigidification.
Le capot peut comporter des nervures de rigidification intérieures. Ces nervures permettent d’augmenter l’isolation thermique en ménageant une couche d’air entre la surface externe et le capot.
De préférence, le capot est configuré pour être monté sur le dispositif par coopération du premier relief s’étendant à une extrémité longitudinale du capot, notamment celle opposée à la saillie de préhension, avec le deuxième relief et par pivotement du capot sur le reste du dispositif autour d’un axe de pivot, notamment transversal au plan médian du capot, pour encliqueter le premier relief s’étendant à l’autre extrémité longitudinale du capot dans le deuxième relief du reste du dispositif complémentaire. Lors du montage, la zone de déformation préférentielle formée par l’évidement permet une déformation locale et contrôlée du capot. Cette déformation se produit notamment lorsque l’utilisateur exerce une pression depuis la saillie de préhension. Grâce à ce mouvement, le premier relief du côté de la saillie de préhension, lors du pivotement, peut venir en regard avec le deuxième relief correspondant.
Une fois le pivotement terminé, lorsque le capot est en contact avec la surface externe, la pression longitudinale est relâchée, ce qui permet au capot de retrouver sa forme initiale. le premier relief du côté de la saillie de préhension coopère alors avec le deuxième relief correspondant.
Pour retirer le capot, on procède inversement.
Ainsi, grâce à cette déformation locale, élastique et contrôlée, c’est-à-dire prévue par les concepteurs du capot, un jeu fonctionnel selon l’axe longitudinal apparait lorsque l’utilisateur assemble ou désassemble le capot avec le dispositif, ce qui facilite remarquablement les opérations d’assemblage ou de désassemblage du capot. En outre, une telle déformation permet de compenser et de prendre en compte les tolérances de fabrication des différentes pièces, garantissant ainsi le bon assemblage désassemblage sur l’ensemble des couples capot-dispositif.
En outre, grâce à la simplification de ces opérations, l’utilisateur est d’avantage incité à utiliser le ou les capot(s) de protection thermique lorsqu’il n’utilise pas la ou les surfaces de traitement externe, car il sait que les opérations de montage et démontage seront simples et intuitives. Il diminue ainsi le risque de se brûler les joues, les mains, les oreilles, le cou ou le cuir chevelu lors des opérations de lissage notamment (ou toute autre opération ne nécessitant pas l’utilisation de surface(s) externe(s).
Organe de traitement interne
Le dispositif peut comporter au moins un organe de traitement interne présentant une surface interne de chauffage des cheveux à traiter s’étendant sur l’une des deux mâchoires vers l’autre des mâchoires en configuration rapprochée des deux mâchoires et configurée pour venir au contact des cheveux s’étendant entre les deux mâchoires en configuration rapprochée de celles-ci.
Le dispositif peut comporter une surface interne de contre appui, en regard de la surface interne de chauffage en configuration rapprochée des mâchoires, destinée à venir pincer, avec la surface interne de chauffage, les cheveux à traiter en configuration rapprochée des mâchoires. La surface interne de contre appui peut être de forme complémentaire de la surface interne de chauffage.
De préférence, la surface interne de chauffage et la surface de contre-appui sont sensiblement de même longueur et/ou de même largeur.
La surface interne de contre appui peut également être une surface interne de chauffage d’un organe de traitement interne, le dispositif présentant, dans ce cas, deux organes de traitement interne s’étendant chacun sur une des mâchoires et présentant chacun au moins une surface interne de chauffage, les surfaces internes de chauffage étant en regard l’une de l’autre et étant configurées pour venir pincer entre elles les cheveux en configuration rapprochée des mâchoires.
De préférence, la surface interne de chauffage et la surface de contre-appui sont de forme allongée le long de la mâchoire la portant, notamment le long d’un axe parallèle à un axe longitudinal de cette mâchoire.
De préférence, la surface interne de chauffage et la surface de contre-appui présentent des surfaces de traitement venant au contact des cheveux qui sont sensiblement planes.
En variante, la surface interne de chauffage et la surface de contre-appui sont non planes, notamment courbes, creuses ou ondulées.
La surface interne de chauffage peut comporter des reliefs de surface, notamment des reliefs en saillie tels que des dents. Dans ce cas, la surface de contre-appui peut être plane ou comporter également des reliefs de surface, notamment des reliefs en saillie s’étendant entre les reliefs en saillie de la surface interne de chauffage en configuration rapprochée des mâchoires.
De préférence, la surface interne de chauffage présente une surface de traitement venant au contact des cheveux, qui est de forme sensiblement rectangulaire.
La ou chaque organe de traitement interne peut comporter une plaque interne s’étendant entre les mâchoires présentant une surface de contact avec les cheveux, la surface de contact avec les cheveux formant la surface interne de chauffage.
La ou les plaques internes peuvent être en un matériau bon conducteur de la chaleur, la ou les surfaces internes de chauffage présentant une température par exemple supérieure à 50°C, préférentiellement comprise entre 90°C et 230°C en utilisation, avantageusement entre 180°C et 210°C. La ou chaque plaque interne peut être en métal, de préférence en aluminium, notamment avec anodisation dure.
La ou chaque plaque interne peut avoir une conductivité thermique d’au moins 20 W.m- 1.K-1. Une telle conductivité permet un chauffage rapide de la ou de chaque surface interne de chauffage et un transfert de la chaleur efficace aux cheveux s’étendant entre la surface interne de chauffage et la surface de contre-appui.
La ou les organes de traitement interne peuvent être montés sur la mâchoire correspondante par insertion dans un logement de la mâchoire s’ouvrant en regard de l’autre mâchoire.
Le ou chaque organe de traitement interne peut comporter un support portant la plaque interne, le support étant monté dans le logement de la mâchoire correspondante.
Le ou au moins un des organes de traitement internes, notamment le ou au moins un des supports, peut être mobile dans le logement en translation selon un axe perpendiculaire à un plan médian du dispositif s’étendant entre les deux mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires et/ou par basculement dans le logement. La hauteur maximale de basculement et/ou de translation à partir de la position de repos du ou de chaque organe de traitement peut être comprise entre 0,5 mm et 5 mm, .
Par «basculement», il faut comprendre que le ou au moins un des organes de traitement internes, notamment le ou au moins un des supports, peut avoir un mouvement de rotation autour d’au moins un axe, le mouvement du ou de chaque organe de traitement interne pouvant être un mouvement plus complexe, avec des composantes de rotation autour de plusieurs axes, notamment autour ou parallèlement à l’axe longitudinal du ou de chaque organe de traitement interne et/ou autour ou parallèlement à un axe transversal du logement. De manière connue en tant que telle, le ou au moins un des organes de traitement internes peut par exemple être monté sur une rotule. Le basculement du ou d’au moins un des organes de traitement internes permet d’exercer une pression plus uniforme sur toute la longueur de la surface interne de chauffage et de tenir compte de l’angle de fermeture des mâchoires en fonction de l’épaisseur des cheveux. Cela permet une application homogène de la chaleur et de la pression sur les cheveux.
Le ou au moins un des organes de traitement internes, notamment le ou au moins un des supports, peut être monté en appui dans le logement sur un moyen de soutien configuré pour permettre le mouvement de l’organe de traitement interne correspondant dans le logement. Le moyen de soutien peut être telle que décrit dans FR3011449.
Le moyen de soutien peut être rigide ; en variante, il est élastiquement déformable. En variante encore, le moyen de soutien comporte une zone où l’appui se fait rigidement et une ou plusieurs zones où l’appui se fait contre un ou plusieurs organes de rappel élastique, qui sont par exemple agencés pour ramener l’organe de traitement correspondant dans une position de repos prédéfinie en l’absence de sollicitation mécanique par l’organe d’application. Le ou les organes de rappel élastique peuvent être des ressorts hélicoïdaux ou à lame.
De préférence, le moyen de soutien permet le basculement de l’organe de traitement interne dans le logement et comporte un relief en saillie au fond du logement et/ou de l’organe de traitement correspondant, notamment du support correspondant. Le relief en saillie peut être en forme de demi-sphère, ou en forme de dent sensiblement conique, ou en forme de demi-cylindre orienté perpendiculaire à l’axe longitudinal de l’organe de traitement interne.
En variante ou additionnellement au relief en saillie, le moyen de soutien comporte au moins un ressort, notamment un ressort à lame, disposé dans le logement, par exemple fixé au fond du logement ou fixé à l’organe de traitement interne, notamment au support. Le moyen de soutien peut comporter au moins deux ressorts, notamment deux ressorts hélicoïdaux disposés dans le logement, fixés sur le fond du logement ou fixés à l’organe de traitement interne, notamment au support, disposés notamment à proximité des extrémités axiales de l’organe de traitement interne correspondant. Le basculement de l’organe de traitement interne est alors possible du fait du caractère élastiquement déformable des ressorts.
Le ou au moins un des organes de traitement internes peut être mobile selon un axe perpendiculaire au plan médian du dispositif s’étendant entre les mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires d’une position haute sur une course d’enfoncement maximale définie par un relief de l’organe de traitement interne correspondant, venant au contact du fond du logement, et/ou par la coopération entre des nervures et des rainures latérales du logement et de l’organe de traitement interne, notamment du support, les rainures étant plus larges que les nervures correspondantes, de sorte que les nervures sont mobiles en translation dans les rainures selon l’axe précité entre deux positions.
Organe de traitement interne structure arrière
La ou au moins un des organes de traitement internes, notamment la ou au moins une des plaques internes, et de préférence chacun de ceux-ci, présente entre les mâchoires un premier bord latéral et un deuxième bord latéral opposé au premier bord latéral, le premier bord latéral étant configuré de sorte qu’un angle formé entre un plan médian du dispositif, s’étendant entre les mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires, et des cheveux sous tension mécanique, s’appuyant sur le premier bord latéral de l’organe de traitement interne correspondant, notamment de la plaque interne correspondante, et sur une surface extérieure de la mâchoire portant l’organe de traitement interne correspondant adjacente et disjointe de l’organe de traitement interne correspondant, notamment de la plaque interne correspondante,, soit inférieur ou égal à 120°, mieux inférieur ou égal à 110°, et strictement supérieur à 90°, mieux supérieur ou égal à 95°.
Par «des cheveux sous-tension mécanique», on comprend que les cheveux s’étendent selon une droite entre le premier bord latéral et la surface extérieure adjacente de la mâchoire portant de l’organe de traitement interne correspondant. En d’autres termes, l’angle précédent est ainsi défini entre le plan médian défini entre les mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires et un plan fictif au contact d’une part, du premier bord latéral, et d’autre part de la surface extérieure adjacente de la même mâchoire. Cette mise sous tension mécanique est notamment réalisée grâce à ou aux organes de traitement internes par pincement et au déplacement du dispositif le long de la mèche de cheveux.
Un tel angle avec la surface extérieure de la mâchoire permet d’avoir une boucle bien formée lors du bouclage des cheveux, par appui des cheveux sur le premier bord latéral et une surface extérieure adjacente de la mâchoire, notamment à l’image des boucles réalisées avec lame passée sur du ruban bolduc. De plus, avec un tel angle, le premier bord latéral est relativement proche de la surface extérieure de la mâchoire, sans toutefois dépasser de cette dernière. Cela permet, notamment durant le lissage des cheveux, de rapprocher le premier bord latéral du cuir chevelu, et donc d’augmenter la portion de cheveux traitée, sans pour autant toucher le cuir chevelure. Cela permet donc un traitement au plus près de la racine des cheveux tout en préservant le confort de l’utilisateur, malgré la température de la ou des surfaces internes.
Le premier et le deuxième bord latéral de la ou de chaque organe de traitement interne peuvent s’étendre chacun le long d’un axe longitudinal de la mâchoire portant la surface interne correspondante.
Le premier bord latéral peut être plus proche de la surface extérieure de la mâchoire portant l’organe de traitement interne qui lui est adjacente que le deuxième bord latéral ne l’est de la surface extérieure de ladite mâchoire qui lui est adjacente. Autrement dit, la ou chaque organe de traitement interne peut être décalée latéralement vers l’amont ou l’aval, de préférence vers l’aval, les cheveux étant déplacés de l’amont vers l’aval durant le traitement.
Les deux organes de traitement internes peuvent présenter un même encombrement dans le plan médian du dispositif s’étendant entre les deux mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires.
Chacune, ou au moins une des plaques internes, peut faire saillie latéralement du logement précité du côté du premier bord latéral d’une distance supérieure ou égale à 0,5 mm, de préférence supérieure ou égale à 0,8 mm, et/ou inférieure ou égale à 2 mm, mieux inférieure ou égale à 1,3 mm. Par exemple, Chacune, ou au moins une des plaques internes, peut faire saillie latéralement du logement précité du côté du premier bord latéral d’une distance de 1 mm.
Chacune, ou au moins une des plaques internes, peut faire saillie latéralement du support précité du côté du premier bord latéral d’une distance supérieure ou égale à 1 mm, de préférence supérieure ou égale à 1,5 mm, et/ou inférieure ou égale à 3 mm, mieux inférieure ou égale à 2 mm.
Le support de la ou de chaque organe de traitement interne peut, au repos, s’étendre vers l’autre mâchoire, notamment d’une hauteur au repos comprise entre 1 mm et 8 mm, de préférence entre 2 mm et 5 mm, notamment supérieure ou égale à la hauteur maximale de basculement et/ou de translation.
L’organe de traitement interne porté par le support peut être espacé de plus de 4 mm par rapport à l’ouverture du logement du support vers l’autre bras.
Par «au repos», on entend en configuration écartée des mâchoires.
De préférence, le, au moins un ou chaque organe de traitement interne, notamment la, au moins une ou chaque plaque interne, est asymétrique par rapport à un plan médian du logement de la mâchoire correspondante, orthogonal au plan médian du dispositif s’étendant entre les mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires, notamment peut présenter une distance transversale entre le premier bord latéral et le plan médian transversal du logement supérieure à celle entre le deuxième bord latéral et le plan médian transversal du logement.
Le, au moins un ou chaque organe de traitement interne, notamment la, au moins un ou chaque plaque interne, peut être espacée d’un plan s’appuyant latéralement sur les surfaces extérieures des deux mâchoires adjacentes et disjointes de l’organe de traitement interne correspondant d’une distance au repos inférieure ou égale à 6 mm, mieux inférieure ou égale à 5,5 mm.
Le premier bord latéral du ou de chaque organe de traitement interne est, de préférence, du côté de l’organe de traitement interne opposé à l’évidement.Le premier bord latéral du ou d’au moins un des organes de traitement internes, notamment de la ou d’une des plaques internes peut présenter une arête configurée pour venir en contact de cheveux sous tension s’appuyant sur le premier bord latéral et la surface extérieure adjacente de la mâchoire portant l’organe de traitement interne. L’arête peut être saillante, chanfreinée ou arrondie avec un rayon de courbure inférieur ou égal à 3 mm, de préférence inférieur ou égal à 2 mm avantageusement égal à 1,5 mm. Une telle arête favorise le bouclage ou l’ondulation des cheveux et permet d’obtenir de bons résultats de mise en forme, notamment de bouclage.
Organe de traitement additionnel
Le dispositif peut comporter un organe de traitement additionnel des cheveux s’étendant depuis l’une des deux mâchoires vers l’autre mâchoire en configuration rapprochée des deux mâchoires et agencé sur ladite mâchoire latéralement en configuration rapprochée des mâchoires par rapport à l’organe de traitement interne.
L’organe de traitement additionnel permet d’adjoindre au lissage ou au bouclage un traitement additionnel permettant d’améliorer la qualité du traitement de bouclage ou de lissage. Le fait qu’il soit agencé latéralement par rapport à la plaque interne permet que les traitements par la plaque interne et par l’organe de traitement ne soient pas simultanés mais successifs, ce qui est avantageux notamment pour améliorer le lissage.
De préférence, l’organe de traitement additionnel des cheveux s’étend sur la mâchoire opposée à celle portant l’évidement. Il peut s’étendre au moins partiellement dans la partie de la mâchoire en regard de l’évidement latéral.
L’organe de traitement additionnel peut comporter un élément en saillie, notamment un peigne, qui s’étend depuis la mâchoire en direction au moins partiellement de l’autre mâchoire. L’élément en saillie peut se loger au moins partiellement, notamment au moins par son extrémité, dans l’évidement lorsque le dispositif est en configuration rapprochée des mâchoires. Cela permet d’obtenir un dispositif particulièrement compact tout en améliorant le résultat de coiffure et l’ergonomie de l’appareil comme cela sera détaillé par la suite. L’organe de traitement additionnel peut s’étendre parallèlement à un axe longitudinal de la mâchoire correspondante le long de la ou de chaque surface interne de chauffage en configuration rapprochée des mâchoires, en étant disjoint de cette ou ces dernières.
Par «disjoint», on comprend que l’organe de traitement est décalé de la surface de chauffage d’une distance non nulle, lorsque le dispositif est observé selon son axe longitudinal.
L’organe de traitement additionnel peut comporter au moins une sortie de vapeur et/ou un organe d’application de produit cosmétique et/ou un organe exerçant une traction sur les cheveux, notamment un peigne.
Dans le cas où l’organe de traitement additionnel comporte un organe d’application de produit cosmétique, l’organe d’application de produit cosmétique peut comporter un organe poreux imbibé d’une composition cosmétique, notamment alimenté en produit par un réservoir en contact avec l’organe poreux ou à l’aide d’un mécanisme de distribution qui est actionné automatiquement ou manuellement lors de l’utilisation du dispositif. L’organe d’application de produit cosmétique peut être une recharge montée de façon amovible sur le dispositif.
La composition cosmétique peut être une composition de nettoyage, de coloration, de décoloration, de conditionnement ou encore de mise en forme des cheveux. De préférence, l’utilisation du dispositif comporte l’application d’au moins une composition de mise en forme des cheveux. Cette composition de mise en forme des cheveux peut être une composition de bouclage, de mise en plis, de défrisage ou de lissage des cheveux, de préférence de défrisage ou de lissage des cheveux.
La composition cosmétique peut contenir au moins un agent actif choisi parmi les agents réducteurs, notamment les thiols, les agents oxydants, notamment le peroxyde d’hydrogène ou les persels (par exemple, les persulfates), les agents colorants, notamment les pigments, les colorants directs ou les colorants d’oxydation. La composition cosmétique peut également contenir au moins un agent actif choisi parmi les agents de mise en forme non durable, notamment les polymères coiffants de préférence anioniques, amphotères ou non ioniques, les agents conditionneurs, notamment les silicones, les huiles minérales ou végétales, les cires végétales, les tensioactifs cationiques et les polymères cationiques, les agents alcalins et les acides.
De préférence, la composition cosmétique contient au moins un agent choisi parmi les agents oxydants, les agents réducteurs ou les agents alcalins de type hydroxydes.
De préférence, l’organe de traitement additionnel comporte au moins une sortie de vapeur, notamment une rangée longitudinale de sorties de vapeur ou une sortie de vapeur allongée, notamment sous forme de fente, le long de l’axe longitudinal. La ou les sorties de vapeur s’étendent préférentiellement sur la mâchoire ne présentant pas l’évidement. La ou les sorties de vapeur sont, de préférence, en regard d’une surface interne de l’autre mâchoire distincte de la surface interne de chauffage . La surface interne en regard de la ou des sorties de vapeur peut comporter un creux ou une gorge de confinement de la vapeur en regard de la ou des sorties de vapeur. Alternativement ou complémentairement, la ou les sorties de vapeur peuvent s’étendre dans un creux ou une gorge) de la mâchoire la ou les portant.
De préférence, l’organe de traitement additionnel comporte un peigne. Ce dernier s’étend préférentiellement sur et depuis la mâchoire ne présentant pas l’évidement latéral en direction de l’autre mâchoire. De préférence, il s’étend au moins partiellement en regard de l’évidement latéral en configuration rapprochée des mâchoires.
Le peigne peut améliorer la répartition des cheveux sur le dispositif pour le traitement par la surface interne et/ou la surface externe, ce qui améliore notamment la répartition de la chaleur sur les cheveux et l’homogénéité du traitement sur les cheveux.
Le peigne peut être agencé sur la mâchoire correspondante de sorte que l’extrémité distale de ses dents soit espacée d’une distance non nulle de cheveux qui seraient enroulés sous tension autour des deux mâchoires en configuration rapproché des mâchoires.
L’extrémité distale des dents du peigne peut être espacée, en configuration rapprochée des mâchoires, de la mâchoire opposée à celle portant le peigne, d’une distance non nulle.
Le peigne peut être espacé de l’organe de traitement interne d’une distance prise entre le bord de l’organe de traitement interne, notamment de la plaque interne, du côté du peigne et la base des dents du côté de la l’organe de traitement interne, comprise entre 5 mm et 15 mm, préférentiellement entre 8 et 9 mm.
La hauteur des dents du peigne peut être comprise entre 5 et 10 mm, préférentiellement entre 7 et 9 mm.
Le peigne peut être amovible, notamment monté par coulissement dans un logement tel qu’une rainure longitudinale de la mâchoire. Le peigne peut être maintenu dans le logement par coopération de forme entre la base du peigne et la rainure longitudinale, notamment la base du peigne peut présenter un relief coopérant avec un relief complémentaire du logement. Le peigne peut comporter une extension de préhension s’étendant hors de ce logement lorsqu’il est monté sur la mâchoire correspondante, facilitant l’extraction et l’insertion du peigne dans son logement.
De préférence, l’organe de traitement additionnel comporte un peigne tel que décrit précédemment et une ou plusieurs sorties de vapeur telles que décrit précédemment, la ou les sorties de vapeur s’étendant entre le peigne et la ou les surfaces internes de chauffage des cheveux. Une telle implantation permet de bien distinguer le traitement de chaque élément.
Procédé de traitement
L’invention a également pour objet un procédé de traitement des cheveux à l’aide d’un des dispositifs tels que défini précédemment. Le procédé peut être un lissage ou un bouclage ou une ondulation des cheveux. Le procédé de traitement des cheveux peut comporter l’engagement d’une mèche de cheveux entre les deux mâchoires et/ou contre au moins une partie de la surface externe de chauffage du dispositif et le déplacement du dispositif le long de la mèche de cheveux, préférentiellement depuis leurs racines vers leurs pointes, notamment en maintenant ledit dispositif en configuration rapprochée des mâchoires.
Le procédé peut comporter le déplacement du dispositif le long d’une mèche de cheveux pour réaliser au moins un traitement thermique de la mèche de cheveux par pincement entre les deux mâchoires et appui contre la surface interne par la surface de contre-appui et/ou externe du dispositif.
Le procédé peut également comporter une étape au cours de laquelle le dispositif est animé d’un mouvement de rotation autour de son axe longitudinal de manière en enrouler les cheveux autour d’une ou des surfaces externes de chauffage.
La mèche de cheveux en entrée du dispositif de traitement et en sortie du dispositif de traitement a de préférence réalisée un changement d’orientation autour du dispositif supérieur ou égal à 150°, notamment supérieur ou égal à 200°, encore mieux supérieur ou égal à 250°. L’angle de bouclage peut être d’au moins 270°.
Lors du traitement thermique par la surface externe de chauffage, la mèche de cheveux peut être guidée contre la plaque externe par la portion de guidage du dispositif.
De préférence, l’organe de traitement additionnel comporte au moins une sortie de vapeur et l’étape de traitement avec l’organe de traitement additionnel comportant une étape d’application de vapeur.
Lorsque l’organe de traitement additionnel comporte un peigne et une ou plusieurs sorties de vapeur, l’étape de traitement avec l’organe de traitement additionnel peut comporter une étape de peignage des cheveux et une étape d’application de vapeur, l’étape de peignage étant de préférence réalisée avant l’étape d’application de la vapeur lors du déplacement du dispositif sur la mèche de cheveux.
Le procédé peut comporter l’enroulement de la mèche de cheveux autour des deux mâchoires en configuration rapprochée des mâchoires, notamment lorsque le dispositif comporte une surface externe de chauffage sur chacune des mâchoires.
Les étapes du procédé sont de préférence réalisées de manière successives le long de la mèche de cheveux, notamment de la racine des cheveux vers les pointes, dans l’ordre suivant :
- Optionnellement traitement de peignage et/ou vapeur / traitement thermique interne / guidage des cheveux / traitement thermique externe par enroulement sur une ou deux mâchoires ou
- Optionnellement traitement de peignage et/ou vapeur / traitement thermique interne / appui contre le premier bord de la ou d’une des plaques internes / traitement thermique externe par la surface externe de chauffage d’une des mâchoires / guidage par l’évidement / optionnellement traitement thermique externe par la surface externe de chauffage de l’autre mâchoire.
L’application de vapeur est réalisée, de préférence, avec un débit de vapeur inférieur ou égal à 1g/min.
Le procédé peut comporter la protection thermique de la ou des surfaces externes de chauffage pour empêcher le contact avec la ou les surfaces externes de chauffage, notamment durant le lissage des cheveux. Cette étape se fait notamment par la mise en place du capot tel que décrit précédemment sur la ou chaque surface externe de chauffage du dispositif et/ou le retrait du capot sur la ou chaque surface externe de chauffage du dispositif par pivotement du capot autour d’un axe de pivot perpendiculaire à l’axe longitudinal du dispositif et parallèle au plan médian du dispositif s’étendant entre les mâchoires en configuration rapprochée de ces dernières. Le retrait du capot peut se faire à l’aide de la main tenant le dispositif au niveau de la poignée du dispositif.
Le procédé peut comporter l’application d’une pression sur l’extrémité distale des mâchoires pour maintenir les mâchoires en configuration rapprochée de sorte à exercer une force plus importante sur les cheveux dans ladite configuration des mâchoires. Le procédé peut comporter la mise en place du ou des embouts tels que décrits précédemment sur l’extrémité distale d’une ou des deux mâchoires préalablement à l’application de ladite pression.
L’invention pourra être mieux comprise à la lecture de la description détaillée qui va suivre, d’exemples de mise en œuvre non limitatifs de celle-ci, et à l’examen du dessin annexé, sur lequel
la illustre, en perspective, un exemple de dispositif selon l’invention,
la illustre, en perspective, l’extrémité distale du dispositif de la ,
la illustre, en coupe transversale, un exemple de dispositif selon l’invention,
la est un agrandissement de la au niveau de l’organe de traitement,
la illustre, en perspective et partiellement, l’extrémité distale du dispositif de la ,
la est un agrandissement de la ,
la illustre un agrandissement d’un bord de l’une des plaques internes du dispositif de la ,
la illustre, isolement, les plaques internes et les logements du dispositif de la ,
la illustre, en perspective, un exemple de capot de protection thermique selon l’invention,
la illustre, en perspective, un autre exemple de capot de protection thermique selon l’invention,
la illustre, en perspective, l’extrémité distale d’un dispositif comportant des capots de protection thermique selon l’invention,
la est une vue en coupe longitudinale du dispositif de la ,
la illustre, en perspective, un agrandissement du dispositif de la au niveau d’un épaulement,
la illustre, en perspective, un agrandissement du dispositif de la au niveau d’un autre épaulement, et
la illustre, en vue de côté, le montage d’un capot de protection thermique sur un dispositif selon l’invention.
Description détaillée
Dans la suite de la description, les éléments identiques ou de fonctions identiques portent le même signe de référence. A des fins de concision de la présente description, ils ne sont pas décrits en regard de chacune des figures, seules les différences entre les modes de réalisation étant décrites.
On a représenté aux figures 1 et 2 un exemple de dispositif 2 de traitement des cheveux selon l’invention.
Ce dispositif 2 présente deux mâchoires 3 et 4 mobiles l’une par rapport à l’autre entre une configuration écartée (non représentée) d’introduction entre elles d’une mèche de cheveux et une configuration rapprochée de traitement, illustrée à la .
Les mâchoires 3 et 4 sont portées par des bras respectifs supérieur 5 et inférieur 6, lesquels sont, dans l’exemple considéré, reliés entre eux à une de leurs extrémités par une articulation 8, le dispositif 2 formant ainsi une pince.
Les bras 5 et 6 définissent, entre l’articulation 8 et les mâchoires 3 et 4, des demi-poignées respectives 10 et 11 sur lesquelles l’utilisateur peut appuyer pour rapprocher les mâchoires 3 et 4 et ainsi venir pincer les cheveux s’étendant entre les deux mâchoires.
La largeur des bras 5 et 6 au niveau des demi-poignées 10 et 11 est inférieure à celle au niveau des mâchoires 3 et 4. En variante, les largeurs pourraient être sensiblement identiques, voire la largeur des bras 5 et 6 au niveau des demi-poignées 10 et 11 pourrait être supérieure à celle au niveau des mâchoires 3 et 4.
Les mâchoires 3 et 4 ont chacune une surface extérieure convexe et une surface intérieure sensiblement plane.
Un organe de rappel élastique (non apparent) est de préférence prévu pour rappeler les mâchoires 3 et 4 en configuration écartée, cet organe de rappel élastique étant par exemple un ressort disposé autour d’un axe de l’articulation 8.
L’invention n’est pas limitée à une façon particulière de relier les bras 5 et 6 entre eux et les mâchoires 3 et 4 peuvent être rendues mobiles autrement sans que l’on ne sorte du cadre de la présente invention. Toutefois, la présence d’une articulation est largement préférée pour l’ergonomie qu’elle apporte.
Le dispositif 2 s’étend, par exemple, selon un axe longitudinal X. Le dispositif 2 comporte un cordon 17 conçu pour pouvoir apporter l’énergie nécessaire au fonctionnement du dispositif. Le cordon 17 peut ainsi être un cordon électrique conçu pour connecter le dispositif au réseau électrique. Sans sortir du cadre de l’invention, le cordon pourrait également être un cordon fluidique conçue pour alimenter le dispositif en fluide (de l’eau par exemple).
Le dispositif peut comporter un réservoir d’eau pour la production de vapeur.
Une interface utilisateur, non représentée sur les figures, peut être présente sur le dispositif 2 pour permettre à l’utilisateur de contrôler le fonctionnement du dispositif.
Plaques de chauffage
Le dispositif 2 peut comporter une surface interne de chauffage des cheveux 45 à traiter sur chacune des deux mâchoires 3 et 4 en regard de l’autre des mâchoires, et en regard l’une de l’autre en configuration rapprochée des mâchoires 3 et 4 de sorte à définir entre elles une zone de traitement chauffée en configuration rapprochée des deux mâchoires 3 et 4. Les deux surfaces internes de chauffage 45 sont, par exemple, configurées pour pincer entre elles les cheveux s’étendant entre les deux mâchoires 3 et 4 en configuration rapprochée des deux mâchoires 3 et 4.
Les deux surfaces internes de chauffages 45 sont sensiblement planes, mais il pourrait en être autrement. Elles pourraient être de formes ondulées complémentaires ou de forme courbes complémentaires par exemple.
Les surfaces internes de chauffage sont, dans l’exemple illustré, formées par la surface de contact de plaques internes 16 en un matériau conducteur de la chaleur s’étendant chacune sur une des mâchoires. Chaque plaque interne 16 constitue un organe de traitement interne du dispositif.
En variante non illustrée, une seulement des mâchoires 3 ou 4 peut porter une plaque interne 16 présentant une surface de contact de chauffage en regard d’une surface de contre-appui de l’autre mâchoire 3 ou 4. La surface de contre-appui peut être formée par le corps de la mâchoire ou par un élément rapporté sur la mâchoire.
Dans l’exemple illustré, les plaques internes 16 sont chacune montées dans la cavité 30 d’un support 9 lui-même monté dans un logement 38 de la mâchoire 3 ou 4 correspondante. Les plaques internes 16 sont chacune montées fixes sur le support 9. Au moins un des supports 9 est monté mobile dans son logement comme nous le verrons par la suite. En variante non illustrée, les plaques internes peuvent être directement montées dans le logement et optionnellement être mobiles dans le logement correspondant ou les plaques internes peuvent être montées sur le support en étant mobile dans la cavité, le support étant fixe dans le logement.
Au moins l’un des supports 9 est mobile perpendiculairement à l’axe longitudinal de la mâchoire dans son logement 38, entre une position haute espacée du fond du logement et une position basse rapprochée de celui-ci.
La course du support 9 et son basculement permet avantageusement de positionner la surface interne de chauffage 45 en position fermée du dispositif, de façon telle que les cheveux sont pincés de façon sensiblement uniforme et efficace durant le traitement entre les surfaces internes de chauffage, ce qui améliore le lissage des cheveux par le dispositif.
Le support 9 est en appui sur un moyen de soutien 140 s’étendant dans le logement 38, permettant un mouvement de bascule du support et maintenant, en position ouverte des bras 5 et 6, le support 9 en position haute.
Le moyen de soutien 140 peut comporter un ou plusieurs ressorts 141, notamment un ressort comme illustré, s’étendant entre le fond du logement 38 et le support 9 ou un ressort à lame fixé dans un renfoncement du support 9 ou du fond du logement 38. Le moyen de support peut en variante ou additionnellement comporter un relief en saillie entre le support 9 et le fond du logement 38 permettant le mouvement de bascule et limitant la course du support dans le logement. Par exemple, dans l’exemple illustré, le moyen de support comporte une rotule comprimée par un ressort comme cela est décrit dans la demande de brevet FR3011449.
Le support 9 mobile perpendiculairement à l’axe longitudinal peut comporter un joint 33 périphérique assurant l’étanchéité entre le support 9 et le logement 38 tout en permettant la mobilité du support 9 dans le logement comme cela est décrit précédemment. Un tel joint permet notamment l’étanchéité du logement vis-à-vis de la vapeur émise par une ou plusieurs sorties de vapeur comme cela sera décrit par la suite.
Le dispositif 2 comporte deux surfaces externes, formées par des plaques externes 13, de chauffage des cheveux à traiter s’étendant chacune sur une des deux mâchoires 3 et 4 vers l’extérieur du dispositif 2 en configuration rapprochée des deux mâchoires 3 et 4, notamment sur la surface extérieure convexe de la mâchoire 3 ou 4, et sont en opposition l’une de l’autre sur le dispositif 2 en configuration rapprochée des mâchoires 3 et 4.
Chaque plaque externe 13 est disposée sur une face de la mâchoire 3 et 4 correspondante opposée à la face recevant la plaque interne 16 portée par la même mâchoire 3 ou 4.
Dans l’exemple illustré, les plaques externes 13 sont en acier inoxydable et les plaques internes 16 sont en un aluminium. Cependant d’autres matériaux bon conducteurs de la chaleur, notamment d’autres métaux, pourraient être utilisés.
Les plaques externes 13 peuvent être des tôles métalliques flexibles ou préformés pour avoir une forme convexe complémentaire de la surface externe de la mâchoire 3 et 4.
Les plaques externes 13 sont fixées sur la mâchoire 3 ou 4 par tout moyen adéquat. Par exemple, les plaques externes 13 présentent des bords longitudinaux 90 recourbés vers l’intérieur et configurés pour se fixer chacun dans une rainure ou un logement latéral 91 correspondant de la mâchoire 3 ou 4 correspondante.
Les plaques externes 13 et les plaques internes 16 sont de préférence allongées le long de l’axe longitudinal Y1 ou Y2 de chacune des mâchoires 3 et 4.
Les plaques externes 13 et les plaques internes 16 sont au moins partiellement superposées les unes avec les autres selon un axe perpendiculaire à l’axe longitudinal X du dispositif 2.
Le dispositif 2 peut présenter, comme illustré, une portion distale, à l’opposé de l’articulation 8, dépourvue de plaque de chauffage. Cette partie distale peut être de forme bombée et de largeur suffisante pour pouvoir être saisie par une main, notamment lors de l’utilisation du dispositif 2.
Les plaques internes 16 peuvent être chauffées à une température supérieure à 50°C, mieux comprise entre 90°C et 230°C.
Les plaques externes 13 peuvent être chauffées à une température supérieure à 50°C, mieux comprise entre 60 et 100°C.
Dans l’exemple illustré, la plaque interne 13 et la plaque externe 16 portées par la même mâchoire 3 ou 4 sont chauffées par conduction thermique par une même source 14 de chaleur s’étendant dans ladite mâchoire et visible sur la . Cependant, il peut en être autrement, et le dispositif 2 pourrait notamment comporter plusieurs sources de chaleur, respectivement pour les plaques internes et les plaques externes.
Dans l’exemple illustré sur la , chaque plaque interne 16 présente un premier bord 31 latéral et un deuxième bord latéral 36 opposé au premier bord 31, les bords 31 et 36 s’étendant parallèlement à l’axe longitudinal Y1 ou Y2 de la mâchoire correspondante. Les plaques internes peuvent être décentrées sur la mâchoire correspondante de sorte que le premier bord 31 est plus proche du bord latéral adjacent 100 de la mâchoire correspondante que le deuxième bord 36 ne l’est du bord latéral adjacent 101 de la mâchoire correspondante.
Les plaques internes 16 peuvent déborder du logement 38 latéralement à la mâchoire des deux côtés et présenter une extension latérale définissant le premier bord latéral 31 plus longue en section transversale du dispositif que l’extension latérale définissant le deuxième bord 36.
Comme illustré sur la pour la mâchoire 3, le premier bord 31 peut être configuré de sorte que, lorsque le ressort 141 n’est pas comprimé, un angle β formé entre un plan médian Z du dispositif 2 s’étendant entre les mâchoires 3 et 4 en configuration rapprochée des mâchoires 3 et 4 et des cheveux sous tension s’appuyant sur le premier bord 31 des plaque interne 16 et sur une surface extérieure adjacente de la mâchoire 3 ou 4 portant la plaque interne, illustré par le plan C, soit inférieur ou égal à 120° et strictement supérieur à 90°, par exemple égal à 105°.
Les plaques internes 16 peuvent faire saillie latéralement au repos du logement 38 du côté du premier bord 31 seulement d’une largeur Ls de 1 mm.
Comme illustré sur la , chaque plaque interne 16 peut être espacée, au repos, d’un plan P s’appuyant latéralement sur la surface extérieure adjacente des deux mâchoires 3 et 4 d’une distance Dp inférieure ou égale à 6 mm, mieux inférieure ou égale à 5,5 mm.
Le premier bord 31 de la plaque interne 16 de la mâchoire 3, peut présenter une arête 40 configurée pour venir en contact de cheveux sous tension mécanique lors du traitement. Ces cheveux sont matérialisés par le plan C s’appuyant sur le premier bord 31 de la plaque interne 16 et sur une surface extérieure adjacente de la mâchoire 3. L’arête 40 peut être arrondie avec un rayon de courbure égal à 1,5 mm.
Le support 9 peut faire saillie, au repos, de la mâchoire 3 ou 4 en direction de l’autre mâchoire 3 ou 4 d’une hauteur Hl d’au moins 2 mm, par exemple de 4 mm.
Cette distance permet d’éviter le contact entre la surface de la plaque débordant du support 9 de la plaque et la surface de la mâchoire bordant le logement 38 en regard de ladite surface de la plaque lors du mouvement du support 9 dans le logement 38 via le ressort 141.
Comme illustré sur l’agrandissement de la , le premier bord 31 comportant l’arête 40 peut présenter une deuxième partie 122 plane et orientée à l’opposé de la mâchoire 4. Cette partie 122 est parallèle à la surface 45 de la plaque interne 16.
La deuxième partie 122 s’étend, par exemple, de l’arête 40 jusqu’à une nervure 125 de la plaque interne 16, cette nervure 125 s’engageant dans le joint 33 33 du support 9 de la mâchoire 3.
Chaque plaque interne 16 comporte une pluralité de ces nervures 125, comme illustré sur la . Par exemple, une nervure 125 est formée par un recourbement de la plaque interne 16 au niveau de son deuxième bord 36.
L’épaisseur Eb du premier bord 31 portant l’arête 40 est plus faible que l’épaisseur Ep de la plaque interne 16, en dehors des différentes nervures 125.
Comme illustré sur la , chaque plaque interne 16 comporte une cavité 130 configurée pour recevoir l’élément chauffant 14. Cette cavité 130 est formée par deux parois 131 parallèles s’étendant orthogonalement à la surface 45 et une paroi 132 reliant les deux parois 131.
Par exemple, comme illustré sur la , chaque paroi 131 comporte des reliefs 135 participant au maintien des plaques internes 16 sur du support 9.
Comme illustré sur la , le premier bord 31 de la plaque interne 16 de la mâchoire 4 n’est pas en contact avec le support 9, contrairement au deuxième bord 36.
Les premiers bords 31 et les deuxièmes bords 36 sont, par exemple, décalés transversalement, l’un de l’autre d’une distance Db non nulle.
Le premier bord 31 de la plaque interne 16 de la mâchoire 4 peut être courbé sans présenter d’arête saillante.
Les deuxièmes bords 36 des plaques internes 16 de la mâchoire 3 et 4 ne s’étendent pas latéralement des logements 30 et sont courbés pour ne pas avoir d’arrête saillante.
La position et la forme des premiers bords 31 et notamment de l’arrête 40 permettent, lors du bouclage, une amélioration du résultat car elle augmente l’angle de pliage des cheveux et produit, au passage de l’arrête 40, un effet équivalent à celui obtenu par le passage d’une arête saillante avec un angle particulier sur un bolduc.
De plus, les plaques internes 16 dépassant de leur support 9, le premier bord 31 est rapproché de la surface externe adjacente 32, ce qui permet de se rapprocher des racines des cheveux à traiter par rapport aux appareils de l’art antérieur.
Le rayon de courbure par rapport à l’axe longitudinal Y1 de la plaque externe 13 de la mâchoire 3 peut être inférieur à celui de la plaque externe 13 de la mâchoire 4 par rapport à l’axe longitudinal Y2.
Portion externe de guidage
Dans les exemples illustrés, chaque mâchoire 3 et 4 comporte une portion externe de guidage des cheveux délimitée longitudinalement, de chacun de ses deux côtés, par une surface d’arrêt 18 formée par un épaulement . La portion externe de guidage des cheveux est définie, par exemple, par les plaques externes 13.
Les épaulements 18 peuvent présenter une hauteur He variable , par exemple variant entre 0,5 mm sur la surface externe de la mâchoire s’étendant latéralement à la plaque interne 16 et 2 mm sur la surface externe de la mâchoire opposé de la plaque interne 16.
Chaque épaulement 18 peut être formé par des nervures délimitant la portion externe de guidage des cheveux. La nervure est, de préférence, plus épaisse en opposition des plaques internes 13 que sur les côtés des plaques internes 13.
Chaque portion externe de guidage est en retrait par rapport au niveau de base de la mâchoire 3 ou 4 défini comme le niveau de la mâchoire 3 ou 4 en dehors des épaulement 18. Ainsi, chaque portion de guidage a une largeur apparente l1et l2, illustrée sur la , inférieure et en retrait du reste de la mâchoire 3 ou 4.
Les plaques internes 13 peuvent s’étendre sur toute la longueur de la portion externe de guidage.
L’une des mâchoires peut présenter un évidement latéral 170 formant une zone de guidage des cheveux au niveau de la portion de guidage correspondante. L’évidement 170 est délimité latéralement par les surfaces d’arrêt en partie proximale et distale de la mâchoire délimitant la portion de guidage. Ces surfaces d’arrêt forment au niveau de l’épaulement des surfaces de guidage 20 de hauteur plus grande permettant de maintenir les cheveux dans l’évidement 170. L’évidement 170 s’étend latéralement à la mâchoire et est en regard d’une partie de l’autre mâchoire 3 ou 4. De la sorte, une partie de la surface interne 13 de l’autre mâchoire 3 ou 4 donne sur l’évidement 170, ce qui permet d’avoir au moins une partie d’un organe de traitement additionnel s’étendant de l’autre mâchoire dans l’évidement 170, notamment un peigne comme nous le verrons par la suite, et offre de nouvelles possibilités de traitement. De préférence, l’évidement 170 est de profondeur uniforme le long de l’axe longitudinal du dispositif X de sorte que la surface extérieure de la mâchoire et de forme sensiblement cylindrique le long de l’évidement 170, c’est-à-dire de section transversale identique le long de l’évidement 170.
Du fait de la présence de l’évidement 170, la largeur l1de la mâchoire portant l’évidement au niveau dudit évidement 170 est plus petite que la largeur l2de l’autre mâchoire en regard dudit évidement 170. La largeur l1est comprise entre 30 mm et 50 mm et est par exemple égale à 38 mm. La largeur l2est comprise entre 40 mm et 60 mm et est par exemple égale à 47 mm.
En variante non illustré, la zone de guidage des cheveux peut être autre qu’un évidement, notamment une zone de la mâchoire délimitée latéralement par une ou deux surfaces de guidage en partie proximale et/ou distale de la mâchoire.
Organe de traitement additionnel
Dans les exemples illustrés, le dispositif 2 comporte un organe de traitement additionnel 12 des cheveux s’étendant de la mâchoire 4, vers l’autre mâchoire 3 en configuration rapprochée des deux mâchoires 3 et 4, et agencé sur ladite mâchoire 4 latéralement par rapport à la plaque interne 16.
L’organe 12 s’étend longitudinalement et parallèlement à l’axe longitudinal Y2 le long du deuxième bord 36, opposé au premier bord 31, de la plaque interne 16 de la mâchoire 4 en étant disjoint de cette plaque interne 16, lorsque le dispositif 2 est observé selon son axe longitudinal X.
L’organe 12 peut comporter une sortie de vapeur 21 et un peigne 22, comme illustré sur la .
Le peigne 22 peut être disposé, de manière amovible, dans un logement tel qu’une rainure 35 longitudinale, visible sur la . L’utilisateur peut ainsi changer ou retirer, au besoin, le peigne 22.
La rainure 35 peut avoir une section transversale rectangulaire et déboucher à l’extrémité distale de la mâchoire 4.
Le peigne 22 peut comporter, dans la partie distale du dispositif 2, un élément 46 permettant de saisir le peigne 22 lors de son introduction dans la rainure 35 ou extraction de celle-ci.
Le peigne 22 peut s’étendre, par exemple, sur toute la longueur de la portion de guidage. En variante, il pourrait s’étendre sur une partie seulement de la portion de guidage.
Le traitement par la vapeur peut être assuré grâce à un organe de vaporisation constitué par un élément chauffant une chambre d’évaporation 19 alimentée en eau par un réservoir situé dans un bras du dispositif, ou en variante par un réservoir déporté. Le dispositif peut comporter une pompe à entraînement électrique, de préférence péristaltique, prélevant l’eau à envoyer au dispositif 2 dans un réservoir d’eau. La pompe est par exemple telle que divulguée dans la publication FR 2 967 018. La chambre d’évaporation peut être réalisée conformément à l’enseignement de la demande EP 2449909A1 ou autrement.
La chambre d’évaporation 19 peut être disposée sur l’un des bras, à savoir le bras inférieur 6 dans l’exemple considéré, et la sortie de la vapeur 21 est prévue sur le même bras 6.
La sortie de la vapeur 21 peut se présenter sous la forme d’une rampe, de forme allongée dans une direction parallèle à l’axe longitudinal Y2.
La rampe peut comporter plusieurs orifices de projection de vapeur, par exemple entre 4 et 10 orifices, préférentiellement 7, lesquels sont de préférence équirépartis le long de la rampe et chacun d’axe orienté sensiblement perpendiculairement au plan médian de traitement.
L’organe de vaporisation est alimenté électriquement et un capteur de température est avantageusement disposé dans la chambre d’évaporation 19. Le dispositif est conçu pour maintenir la température de la chambre d’évaporation à une valeur comprise entre 110°C et 130°C.
La vapeur produite qui sort par les sorties 21 est partiellement confinée entre la sortie de vapeur 21, les plaques de chauffage internes 16 et l’autre mâchoire 3, notamment grâce à la présence d’une gorge de confinement 500 visible sur la . Ce confinement partiel améliore l’application de la vapeur sur les cheveux.
Le peigne 22 peut être disposé en regard de l’évidement 170 de l’autre bras 5, illustré sur la , de sorte que l’extrémité de ses dents se logent dans l’évidement 170.
Le peigne 22 peut être agencé sur la mâchoire 4 de sorte que l’extrémité distale 23 des dents du peigne soit espacée d’une distance non nulle de cheveux qui seraient enroulés autour des deux mâchoires 3 et 4.
A cet effet, le peigne 22 est configuré pour que, pour toute section transversale du dispositif en configuration rapprochée des mâchoires, par exemple celle de la , la tangente T, pouvant par exemple représenter fictivement les cheveux, aux deux mâchoires 3 et 4, s’étendant du côté du dispositif portant le peigne 22, soit distante du peigne 22.
La plus petite distance Dd entre l’extrémité distale 23 des dents du peigne 22 et la tangente T, peut être supérieure ou égale à 0,5 mm, mieux à 1 mm, par exemple égale à 3 mm.
Lorsque que l’utilisateur enroule les cheveux autour des mâchoires 3 et 4, notamment lors du bouclage, les cheveux sous tension suivent, entre les deux mâchoires 3 et 4, la tangente T. Ainsi, les cheveux enroulés ne passent pas dans le peigne 22, ce qui facilite l’opération de coiffure.
L’extrémité distale 23 des dents du peigne 22 est, par exemple, décalée latéralement, en configuration rapprochée des mâchoires 3 et 4, de la mâchoire 4 opposée, en l’occurrence de la mâchoire au niveau de l’évidement 170 d’une distance Dde supérieure ou égale à 0,5 mm, préférentiellement supérieure à 1 mm. Cela garanti que les dents du peigne 22 ne puissent pas venir interférer avec la mâchoire 4 au niveau de l’évidement 170.
La hauteur des dents Hde du peigne 22 peut être comprise entre 5 mm et 15 mm, de préférence entre 7 et 10 mm, par exemple de l’ordre de 8mm.
Les dents du peigne 22 peuvent être de section transversale rectangulaire.
Dans l’exemple illustré, la combinaison de la portion externe de guidage, de l’arête 40 et de la chaleur des plaques externes 13 produit un bouclage de haute qualité des cheveux.
De plus, le dispositif 2 peut également fonctionner en tant que lisseur, sans perte de qualité de lissage par rapport à un dispositif classique dédié uniquement au lissage des cheveux.
Capot de protection thermique
Comme illustré sur les figures 3 et 9 à 15, le dispositif 2 comporte un capot 70 de protection thermique, par exemple deux, en polyamide et résistant à une température d’au moins 60°C.
Chaque capot 70 est monté de manière amovible par clipsage sur l’une des mâchoires 3 et 4 de manière à recouvrir totalement la plaque externe 13 correspondante.
Le capot 70 peut être symétrique par rapport à un plan médian longitudinal.
Chaque capot 70 peut comporter un évidement, encore appelé encoche, 71 configuré pour former une zone 72 de déformation préférentielle du capot 70 lors de son assemblage sur le dispositif 2. Par évidement ou encoche, on entend une zone où la matière est moindre par rapport au reste du capot, de sorte à former une zone de faiblesse mécanique. Cela permet de créer une zone de déformation élastique, localisée et contrôlée.
Chaque capot 70 peut présenter, une forme incurvée et complémentaire de celle de la plaque externe 13 correspondante. La zone de déformation préférentielle prend alors ici son plein intérêt car on sait qu’un capot bombé est intrinsèquement plus rigide qu’un capot plat.
Chaque capot 70 a par exemple une épaisseur d’environ 1 mm sur les bords longitudinaux et de 1,5 mm au centre.
Chaque capot 70 s’étend selon un axe longitudinal W, ledit évidement 71 étant de forme allongée transversalement à l’axe longitudinal du capot, par exemple formant un angle droit avec l’axe longitudinal W.
Comme illustré sur les figures 9 à 11, l‘évidement 71 est traversant et symétrique par rapport à un plan transversal à l’axe longitudinal W du capot 70. L’évidement 71 s’étend sur au moins 70% de la largeur développée du capot 70. Une telle proportion d’évidement présente un très bon compromis entre faciliter l’assemblage / désassemblage du capot ainsi que la durabilité et la fiabilité du capot. En effet, il ne faut pas que capot puisse rompre par fatigue, suite à de trop importantes déformations élastiques.
Par exemple, comme illustré sur la , l’évidement 71 est droit. En variante, comme illustré sur les figures 9 et 10, l’évidement 71 présente plusieurs ondulations.
Chaque évidement 71 peut s’étendre sur le capot 70 à une distance d’une des extrémités longitudinales du capot 70, notamment l’extrémité distale 73 du capot 70, inférieure ou égale à 25% de la longueur Gc du capot 70. La longueur Gc du capot 70 correspond à la longueur de la surface de traitement externe 13 du dispositif et est à ce titre comprise entre 50 mm et 150 mm, préférentiellement entre 80 et 100 mm, avantageusement de l’ordre de 88 mm. Cet emplacement présente un très bon compromis entre faciliter l’assemblage / désassemblage du capot ainsi que la durabilité et la fiabilité du capot 70. En effet, il ne faut pas que capot puisse rompre par fatigue, suite à de trop importantes déformations élastiques.
Chaque capot 70 peut comporter une saillie 75 de préhension s’étendant de la surface externe du capot 70 à une distance inférieure ou égale à 25% de la longueur Gc du capot 70 de l’extrémité longitudinale 74 opposées à l’extrémité longitudinale 73.
Ainsi, lorsque le capot 70 est monté sur la mâchoire 3 ou 4, la saillie 75 se situe à proximité de l’extrémité longitudinale du capot 70 s’étendant du côté des demi-poignées 10 et 11. Cela permet par exemple de détacher le capot 70 avec un doigt de la main tenant les demi-poignées 10 et 11 en un seul geste, ce qui facilite la manipulation.
Comme illustré sur la , la saillie 75 peut s’étendre orthogonalement du capot 70 avec une épaisseur constante et une surface extérieure bombée.
Comme illustré sur la , la saille 75 peut présenter une forme bombée selon l’axe longitudinal W du capot 70.
Comme illustré sur la , la saillie 75 peut se présenter sous la forme d’une languette, notamment ondulée, s’étendant de la surface extérieure du capot selon un angle non droit.
Chaque capot 70 peut comporter des premiers reliefs 77 en saillie s’étendant à ses deux extrémités longitudinales 73 et 74 agencées pour coopérer avec des deuxièmes reliefs 80 en creux du reste du dispositif 2, particulièrement illustrés sur les figures 13 et 14.
Les premiers reliefs 77 peuvent s’étendre parallèlement à, et préférentiellement selon, l’axe longitudinal W du capot 70.
Chaque premier relief 77 est d’épaisseur plus faible que l’épaisseur de l’extrémité longitudinale 73 ou 74 du capot 70.
Les deuxièmes reliefs 80 peuvent être dans les épaulements 18 en opposition de la plaque interne 13. Ainsi, les premiers reliefs 77 du capot s’étendent dans les épaulements 18.
Comme illustré sur la , le capot 70 est configuré pour être monté sur le dispositif 2 par la coopération du premier relief 77 s’étendant à l’extrémité longitudinale 73 du capot 70, notamment celle opposée à la saillie 75, avec le deuxième relief 80 complémentaire et par pivotement du capot 70 sur le reste du dispositif 2 autour d’un axe A de pivot transversal au plan médian du capot 70.
L’axe A de pivot peut être orthogonal à l’axe longitudinal W du capot 70 et situé au niveau du premier relief 77 du capot 70 de l’extrémité 73 du côté de l’évidement 71.
Lors de cette opération de montage du capot 70, la zone 72 va se déformer élastiquement vers l’intérieur du capot 70 permettant un léger déplacement du premier relief 77 du capot 70 du côté de la saille 75 selon l’axe longitudinal W du capot 70. Cette déformation se produit lorsque l’utilisateur exerce une pression longitudinale depuis la saillie de préhension 75. Grâce à ce mouvement, le premier relief 77 du côté de la saillie de préhension 75, lors du pivotement, n’entre pas en butée contre l’épaulement 18.
Ainsi, le déplacement longitudinal du premier relief 77 du capot 70, temporaire lorsque l’utilisateur applique une pression longitudinale permet de diminuer temporairement la longueur du capot 70 ce qui facilite remarquablement sont insertion (ou enlèvement) dans son logement, avantageusement délimité par les surfaces d’arrêt 18.
Lors du pivotement du capot 70, au moins une partie du bord longitudinal 73 à proximité du premier relief 77 est en appui sur l’épaulement 18.
Une fois le pivotement terminé, lorsque le capot 70 est en contact avec la plaque 13, la pression longitudinale est relâchée par l’utilisateur, ce qui permet à la zone 72 de retrouver sa forme initiale par élasticité. Le premier relief 77 du côté de la saillie de préhension 75 s’engage alors, pendant ce relâchement, dans le deuxième relief 80 de l’épaulement 18 qui était en regard avant le relâchement de la pression.
Les premiers reliefs 77 ainsi positionnés dans les deuxièmes reliefs 80 permettent le maintien du capot 70 sur la mâchoire 3 ou 4. De plus, les bords 73 et 74 sont, au moins partiellement, en contact avec les épaulements 18.
Pour retirer le capot 70, on procède inversement.
Procédés
Pour boucler ou lisser les cheveux à l’aide du dispositif 2, une mèche de cheveux peut être déplacée sur le dispositif 2 entre les plaques internes 16 et/ou en passant sur l’une ou les plaques externes 13, en passant ou non dans l’organe de traitement 12.
Le procédé de traitement des cheveux pour un de bouclage peut comporter le déplacement du dispositif 2 le long d’une mèche de cheveux de la racine vers les pointes pour réaliser les étapes suivantes successives :
a. Un traitement de la mèche de cheveux avec l’organe 12, pour peigner les cheveux dans le peigne 22 et pour appliquer de la vapeur par la sortie 21 et,
b. Un premier traitement thermique de la mèche de cheveux par appui entre les plaques internes 16 du dispositif 2.
c. Un deuxième traitement thermique de la mèche de cheveux par application en tension contre la plaque externe 13 la mâchoire 3.
De préférence, la mèche de cheveux réalise un changement d’orientation autour du dispositif 2 d’au moins 270° durant le traitement.
A la fin de l’étape b de traitement thermique des cheveux entre les plaques internes 16, la mèche de cheveux effectue entre le premier bord 31 et la surface externe adjacente 32 de la mâchoire 3 sur laquelle la mèche de cheveux est enroulée un changement d’orientation de 100°.
A la fin de l’étape b de chauffage des cheveux sur les plaques internes 16, les cheveux sont déplacés sur l’arête 40, ce qui permet de produire l’effet bolduc évoqué précédemment.
Une autre application de chaleur sur la plaque externe 13 de la mâchoire 4 pourrait également être réalisée.
Au cours de l’étape c, les cheveux sont correctement contenus dans la portion externe de guidage grâce à l’évidement 170 et les épaulements 18.
Pour ce procédé de bouclage, il est possible d’utiliser les embouts 50 afin d’avoir une meilleure prise en main du dispositif 2, sans risque de brûlure.
Dans le cas d’un procédé de traitement des cheveux pour un lissage, il peut comporter le déplacement du dispositif 2 le long d’une mèche de cheveux de la racine vers les pointes pour réaliser les étapes suivantes successives :
a. Un traitement de la mèche de cheveux avec l’organe 12, pour peigner les cheveux dans le peigne 22 puis pour appliquer de la vapeur par la sortie 21 et,
b. Un premier traitement thermique de la mèche de cheveux par appui entre les plaques internes 16 du dispositif 2.
Dans ce procédé, l’utilisateur n’a pas besoin des plaques externes 13. Il peut donc, avant la mise en œuvre du procédé de lissage, clipser les capots 70 afin de se protéger de la chaleur des plaques externes 13.
L’invention n’est pas limitée aux exemples qui viennent d’être décrits.
Le dispositif peut comporter un organe d’application d’un produit cosmétique amovible ou non, comportant un élément poreux configuré pour venir en contact avec les cheveux entre les mâchoires en configuration rapprochée de ces dernières.

Claims (10)

  1. Dispositif (2) de traitement de la chevelure, notamment de bouclage de la chevelure, comportant :
    • deux mâchoires (3,4) de traitement de la chevelure mobiles l’une relativement à l’autre entre une configuration écartée d’engagement entre lesdites mâchoires (3,4) de cheveux à traiter et une configuration rapprochée de traitement des cheveux,
    • un organe de traitement externe des cheveux présentant au moins une surface externe (13) de chauffage des cheveux s’étendant sur l’une des deux mâchoires (3,4) vers l’extérieur des deux mâchoires (3,4),
    • un capot (70) de protection thermique monté de manière amovible par clipsage sur le dispositif (2) de manière à recouvrir au moins partiellement la surface externe (13) de chauffage, le capot (70) comportant un évidement (71) configuré pour former une zone (72) de déformation préférentielle du capot (70) lors de son assemblage sur le dispositif (2).
  2. Dispositif (2) selon la revendication précédente, comportant deux organes de traitement externes s’étendant chacun sur une des mâchoires (3,4) et présentant chacun au moins une surface externe (13) de chauffage des cheveux s’étendant sur la mâchoire (3,4) respective vers l’extérieur du dispositif (2), de préférence en étant en opposition l’une de l’autre sur le dispositif (2) en configuration rapprochée des mâchoires (3,4), le dispositif (2) comportant deux capots (70) de protection thermique montés de manière amovible sur le dispositif (2) et agencés chacun sur une des deux surfaces externes (13) de chauffage de manière à recouvrir au moins partiellement ladite surface externe (13) de chauffage, chaque capot (70) comportant une évidement (71) configuré pour former une zone (72) de déformation préférentielle du capot (70) lors de son assemblage sur le dispositif (2).
  3. Dispositif (2) selon l’une des revendications 1 et 2, dans lequel le ou chaque capot (70) recouvre totalement la surface externe (13) de chauffage correspondante en étant de forme complémentaire de celle de la surface externe (13) de chauffage correspondante.
  4. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le capot (70) s’étend selon un axe longitudinal, ledit évidement (71) étant allongé selon une direction formant un angle non nul avec l’axe longitudinal (W) du capot (70), notamment un angle droit avec l’axe longitudinal (W) du capot (70).
  5. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le capot (70) comporte une saillie de préhension (75) s’étendant de la surface externe du capot (70) lorsqu’il est monté sur la mâchoire (3,4), la saillie de préhension (75) s’étendant préférentiellement à une distance d’une des extrémités longitudinales (73, 74) du capot (70) inférieure ou égale à 25% de la longueur du capot (70), le capot (70) étant de préférence configuré pour être monté sur la mâchoire (3,4) de sorte que la saillie de préhension (75) soit située à proximité de l’extrémité longitudinale (74) du capot (70) s’étendant du côté proximal de la mâchoire (3,4).
  6. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le capot (70) et la mâchoire (3,4) comportent des reliefs (77, 80) complémentaires de fixation du capot (70) sur la mâchoire (3,4), les reliefs (77) de fixation du capot (70) sur la mâchoire (3,4) s’étendant de préférence de l’extrémité longitudinale (73, 74) du capot (70) correspondante selon une direction parallèle à l’axe longitudinal (W) du capot (70).
  7. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le capot (70) est symétrique par rapport à un plan médian longitudinal.
  8. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, comportant sur la ou chaque mâchoire (3,4) une portion externe de guidage de la chevelure délimitée latéralement en partie proximale et/ou distale de la mâchoire (3,4) par une surface d’arrêt (18), la ou chaque surface externe (13) de chauffage s’étendant notamment, au moins partiellement, mieux totalement dans la portion externe de guidage des cheveux de la mâchoire (3,4) correspondante.
  9. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le capot (70) a une épaisseur, de préférence variable, comprise entre 0,5 mm et 2 mm, de préférence entre 1 mm et 1,5 mm, notamment le capot (70) étant, en section transversale, plus épais au centre qu’au niveau de ses bords longitudinaux.
  10. Dispositif (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, comportant au moins un organe de traitement interne présentant une surface interne (45) de chauffage des cheveux à traiter s’étendant sur l’une des deux mâchoires (3,4) vers l’autre des mâchoires (3,4) en configuration rapprochée des deux mâchoires (3,4) et configurée pour venir au contact des cheveux s’étendant entre les deux mâchoires (3,4) en configuration rapprochée de celles-ci.
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