FR3057250A1

FR3057250A1 - Emballage comprenant un suremballage et des elements de calages destines chacun a contenir un produit.

Info

Publication number: FR3057250A1
Application number: FR1670583A
Authority: FR
Inventors: Regis Chiffoleau
Original assignee: Cobalpac
Current assignee: Cobalpac
Priority date: 2016-10-07
Filing date: 2016-10-07
Publication date: 2018-04-13

Abstract

L'invention concerne un emballage comprenant un suremballage (1) et au moins deux éléments de calage (2) destinés chacun à contenir un produit (3), les éléments de calage étant destinés à former des volumes de type pavés droits, les éléments de calage étant du type à replier à partir d'une configuration à plat, avec des bords formant un contour en croix, pour former le volume, le suremballage présentant un fond d'une surface égale, au jeu près, à la somme des fonds des éléments de calage formant un étage dans le suremballage, et les bords des éléments de calage, en volume, venant en contact linéaire deux à deux, en restant libres entre eux, l'une au moins des faces latérales longitudinales et/ou l'une au moins des faces latérales transversales formant des faces latérales d'un étage étant destinée à venir prendre appui contre une paroi interne du suremballage.

Description

Titulaire(s) : COBALPAC.

Demande(s) d’extension

Mandataire(s) : CABINET PASCALE LAMBERT ET ASSOCIES.

EMBALLAGE COMPRENANT UN SUREMBALLAGE ET DES ELEMENTS DE CALAGES DESTINES CHACUN A CONTENIR UN PRODUIT.

FR 3 057 250 - A1

Emballage comprenant un suremballage et des éléments de calages destinés chacun à contenir un produit.

Le domaine de l’invention est celui de la conception et de la fabrication d’éléments de conditionnement. Plus précisément, l’invention concerne la conception d’un conditionnement optimisant la quantité de produits emballés par rapport à la taille d’un suremballage.

Lors du transport de produits, il est classique de proposer des contenants de forme parallélépipédique (volumes de type pavé droit), destinés à contenir plusieurs produits. Ces produits peuvent être maintenus en position les uns par rapport aux autres à l’intérieur du contenant par l’intermédiaire d’éléments de calage.

En effet, les produits transportés ont généralement des formes géométriques particulières qui ne sont pas forcément compatibles les unes avec les autres et doivent pouvoir être transportés dans un contenant sans se heurter.

II existe ainsi des éléments de calage de formes et de conceptions très différentes.

On connaît des éléments de calage simples et économiques à produire adaptés à des produits de faible valeur, et des éléments de calage sophistiqués, complexes à produire et présentant un coût important, qui sont adaptés à des produits eux-mêmes chers.

II existe ainsi des éléments de calage réalisés en carton ondulé formant des coins destinés à épouser partiellement la forme des produits à transporter. Ces éléments de calage peuvent être de dimensions variables. Cependant, même s’il est possible de les choisir ajustés, ils peuvent laisser subsister des volumes inoccupés importants à l’intérieur d’un contenant. Ainsi, les éléments de calage formant des coins de dimensions fixes présentent un coût pouvant être non négligeable par rapport à d’autres solutions.

II existe également un autre type d’élément de calage décrit dans le document de brevet publié sous le numéro FR2872138. Cet élément de calage permet d’avoir un volume interne variable destiné à contenir un produit. Plus précisément, ce système de calage permet de disposer d’un élément de calage du type à replier à partir d’une configuration à plat. L’élément de calage peut par la suite être réglé dans une position dans laquelle il calle au mieux un produit inséré à l’intérieur de son volume interne. Suite au pliage de l’élément de calage, un moyen permet de retenir l’élément de calage dans sa position pliée. Ce moyen peut par exemple correspondre à une languette à insérer dans une fente ou encore à un moyen de collage.

L’élément de calage comprend ainsi un produit et forme un volume de type pavé droit, aisé à transporter. Cet élément de calage peut être inséré à l’intérieur d’un suremballage avec d’autres produits eux-mêmes protégés à l’aide d’éléments de calage identiques.

En conséquence, un suremballage peut comporter plusieurs éléments de calage mais l’espace disponible à l’intérieur du suremballage n’a pas tendance à être optimisé. En effet, dans le cas où des produits ont des formes différentes, les éléments de calage présentent alors des volumes extérieurs de dimensions différentes. Aussi, lors de l’insertion de ces éléments de calage à l’intérieur du suremballage, il risque d’y avoir des espaces libres inoccupés créés entre les éléments de calage et/ou les parois du suremballage.

Ce type d’élément de calage présente une certaine simplicité de mise en oeuvre.

On constate néanmoins une perte de l’espace disponible à l’intérieur du suremballage entraînant une dégradation du coût relatif de l’emballage.

L’invention a pour objectif de pallier les inconvénients de l’art antérieur.

Plus précisément, l’invention a pour objectif de proposer une solution d’emballage de plusieurs produits dans un suremballage qui est plus économique que ce qui est permis par l’art antérieur.

L’invention a également pour objectif de proposer une telle solution qui soit plus simple à mettre en oeuvre que ce qui est permis par l’art antérieur.

Ces objectifs, ainsi que d’autres qui apparaîtront par la suite, sont atteints grâce à l’invention qui a pour objet un emballage comprenant un suremballage et au moins deux éléments de calage destinés chacun à contenir un produit, les éléments de calage comprenant chacun deux faces latérales longitudinales, un dessus, un dessous, destinés à former ensemble un volume de type pavé droit, et deux faces latérales transversales, les éléments de calage étant du type à replier à partir d’une configuration à plat, avec des bords formant un contour en croix, pour former le volume, caractérisé en ce que le suremballage présente un fond d’une surface égale, au jeu près, à la somme des fonds des éléments de calage formant un étage dans le suremballage, et en ce que les bords des éléments de calage, en volume, viennent en contact linéaire deux à deux, en restant libres entre eux, l’une au moins des faces latérales longitudinales et/ou l’une au moins des faces latérales transversales formant des faces latérales d’un étage étant destinée à venir prendre appui contre une paroi interne du suremballage.

L’emballage selon l’invention permet ainsi de contenir plusieurs produits à l’intérieur d’un suremballage. Plus précisément, chacun de ces produits est inséré à l’intérieur d’un volume formé par un élément de calage, et les éléments de calage se maintiennent en position et en volume (en configuration pliée de calage) à l’intérieur du suremballage en étant euxmêmes calés par les autres éléments de calage et par l’intermédiaire des parois internes du suremballage.

L’insertion des éléments de calage à l’intérieur du suremballage permet de maximiser l’espace disponible à l’intérieur du suremballage. En effet, ces éléments de calage prennent chacun une forme géométrique apte à s’imbriquer avec d’autres éléments de calage également de type volume de type pavé droit. Ainsi, la somme des éléments de calage forme un volume de type pavé droit qui correspond au volume du suremballage.

De plus, selon le principe de l’invention, la mise en forme des éléments de calage à partir de leur configuration à plat peut être principalement réalisée en insérant ces éléments de calage à l’intérieur du suremballage.

En effet, du fait que :

- les bords des éléments de calage forment un contour en croix ;

- les bords des éléments de calage venant simplement en contact linéaire deux à deux, alors il n’y pas nécessité d’assemblage entre elles des faces des éléments de calage, et l’application d’une force sur la face du dessous d’un élément de calage, dans sa configuration à plat, positionné en regard de son emplacement dans le suremballage, et son enfoncement progressif dans son emplacement, permet d’entraîner le pliage progressif des faces latérales.

Une fois que le dessous de l’élément de calage est inséré à l’intérieur du suremballage et que les faces latérales sont dans une position convenable, un produit peut être inséré dans le volume ainsi formé. Par la suite, le dessus peut être replié pour fermer l’élément de calage.

En conséquence, tel qu’évoqué précédemment, le système de pliage permis par l’invention permet, à partir d’éléments de calage présentant une configuration à plat, de produire rapidement et aisément plusieurs volumes, de type pavé droit, qui vont coopérer ensemble et avec les parois internes du suremballage pour assumer une configuration pliée de calage et être maintenus dans cette configuration.

En d’autres termes, le suremballage et l’ensemble des éléments de calage destinés à insérés dans le suremballage exercent entre eux des contraintes et se callent les uns aux autres pour maintenir chaque élément de calage dans une configuration pliée de calage d’un produit. De cette manière, la quantité de matière utilisée pour réaliser le suremballage et les éléments de calage, vis-à-vis de la taille et du nombre de produit à transporter, est diminuée par rapport à l’art antérieur. L’emballage selon l’invention présente ainsi une conception économique.

De plus, cette conception entraîne une simplicité d’utilisation avantageuse, le pliage des éléments de calage pouvant se réaliser directement dans le suremballage une fois les premiers éléments de calage insérés à l’intérieur du suremballage.

Pour résumer, en fonction du type de suremballage prévu, un nombre déterminé d’éléments de calage de formes également déterminées peut être utilisé par la personne réalisant le conditionnement.

Selon une première solution préférentielle, le suremballage présente une hauteur égale, au jeu près, à la hauteur des éléments de calage.

Une telle solution permet d’avoir un seul étage d’éléments de calage, optimisant le calage des produits.

Selon une deuxième solution préférentielle, le suremballage présente une hauteur égale, au jeu près, à la hauteur cumulée des éléments de calage en empilage.

Selon cette deuxième solution, la somme totale des hauteurs des étages formée par des éléments de calage empilés atteint la même hauteur que le suremballage. En conséquence, la hauteur du suremballage est optimisé au nombre d’éléments de calage empilés à l’intérieur.

Avantageusement, au moins le dessus des éléments de calage présente une échancrure.

Ces échancrures favorisent l’extraction de chaque élément de calage à partir de l’intérieur du suremballage, ce qui est d’autant plus avantageux du fait que les éléments de calage peuvent être tous en contact avec soit d’autres éléments de calage, soit avec des parois du suremballage.

Selon une caractéristique préférée, les éléments de calage sont réalisés en carton.

De tels éléments de calage réalisés en carton sont particulièrement économiques et écologiques à produire.

Selon une autre caractéristique préférée, le suremballage est réalisé en carton.

De la même manière que pour les éléments de calage en carton, l’utilisation d’un suremballage en carton est particulièrement économique et écologique.

Selon un mode de réalisation préférentiel, les éléments de calage sont dimensionnés pour recevoir, de façon ajustée, une bouteille de vin d’une contenance standardisée.

Selon ce mode de réalisation, les éléments de calage forment des contenants optimisés pour une bouteille de vin. Ces éléments de calage présentent ainsi une forme identique entre eux. De cette manière, les suremballages sont eux aussi standardisés pour recevoir des lots prédéterminés de N éléments de calage. Par exemple, on peut avoir des suremballages prévus pour contenir trois bouteilles insérées chacune dans un élément de calage, six bouteilles, douze bouteilles, ...

D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante de modes de réalisation préférentiels de l’invention, donnés à titre d’exemples illustratifs et non limitatifs, et des dessins annexés parmi lesquels :

- la figure 1 est une représentation schématique d’un mode de réalisation d’un emballage selon l’invention, avec des éléments de calage de volumes divers et un suremballage correspondant ;

- la figure 2 est une représentation schématique d’un deuxième mode de réalisation de l’invention, avec des éléments de calage de volumes identiques (suremballage non représenté) ;

- la figure 3 est une représentation schématique d’un élément de calage selon une configuration à plat ;

- la figure 4 est une représentation schématique de la mise en place d’un élément de calage à l’intérieur d’un suremballage.

Tel qu’illustré par la figure 1, un emballage selon l’invention comprend :

- un suremballage 1 ;

- des éléments de calage 2.

En référence à la figure 2, chaque élément de calage est destiné à contenir un produit 3.

En référence aux figures 1 et 2, les éléments de calage 2 comprennent chacun deux faces latérales longitudinales, un dessus, un dessous qui sont destinés à former ensemble un volume de type pavé droit, et des faces latérales transversales. Ces éléments de calage sont du type à replier à partir d’une configuration à plat, avec des bords formant un contour en croix pour former le volume.

Tel qu’illustré par la figure 3, ces éléments de calage 2 sont formés à partir d’un patron simple qui constitue les parois des éléments de calage (les parois formant et constituant l’élément de calage). Tel que cela va être détaillé plus en détails par la suite, ces éléments de calage présentent au moins une échancrure 200.

En référence à la figure 1, le suremballage a également une forme du type pavé droit. Le suremballage présente un fond d’une surface qui est égale, au jeu près, à la somme des fonds des éléments de calage formant un étage dans le suremballage.

En l’occurrence, tel qu’illustré par cette figure 1, l’emballage comprend une pluralité d’éléments de calage, classés par format et dénommés A, B, D, et E. Les éléments de calage identiques, présentant un volume en tout point semblable, sont identifiés avec la même lettre.

L’étage le plus bas formé par les éléments de calage est formé par le fond de l’élément de calage D, les fonds des deux éléments de calage C, et le fond d’un élément de calage E. La somme du fond de ces éléments de calage est, selon l’invention, identique à la surface du fond du suremballage 1.

Toujours selon l’invention, les bords des éléments de calage 2, en volume du type pavé droit (donc en position pliée de calage), viennent en contact linéaire deux à deux en restant libres entre eux. L’une au moins des faces latérales longitudinales et/ou l’une au moins des faces transversales des éléments de calage forme une face latérale d’un étage d’élément de calage qui est destinée à venir prendre appui contre une paroi interne du suremballage.

En effet, tel que l’on peut toujours l’observer sur la figure 1, l’étage supérieur (formé par les deux éléments de calage A, l’élément de calage B, une partie de l’élément de calage D et un des éléments de calage E) présente des faces latérales formées par les faces latérales transversales et/ou longitudinales de l’élément de calage E supérieur, d’un des éléments de calage A, de l’élément de calage B, et de l’élément de calage D.

En référence à la figure 1, la somme des éléments de calage (A, B, C, D et E) forme un volume de type pavé droit quand ces éléments sont imbriqués les uns dans les autres, et ils sont destinés à être imbriqués à l’intérieur du suremballage qui présente également une forme de type pavé droit complémentaire.

Plus précisément, selon le mode de réalisation illustré par la figure 1, on peut noter que :

- deux éléments de calage A, de forme identique, présentent ensemble le même volume que l’élément de calage B ;

- les éléments de calage A et B présentent ensemble le même volume que les deux éléments de calage c ;

- l’élément de calage D présente une face supérieure présentant une largeur égale aux largeurs cumulées d’un élément de calage A et d’un élément de calage B, et présente une hauteur égale à la hauteur cumulée d’un élément de calage B avec la hauteur d’un élément de calage C ;

- les deux éléments de calage E complètent le pavé droit formé par les éléments de calage A, B, C et D pour former le pavé droit complémentaire de la forme prise par le suremballage 1.

Selon le mode de réalisation illustré par la figure 1, le suremballage 1 présente une hauteur égale, au jeu près, à la hauteur cumulée des éléments de calage 2 en empilage.

Selon un autre mode de réalisation non représenté, le suremballage peut présenter une hauteur égale au jeu près à la hauteur des éléments de calage.

En référence aux figures 1 à 3, les échancrures 200 présentées par les éléments de calage 2 permettent l’extraction de chaque élément de calage une fois ces derniers insérés à l’intérieur du suremballage.

Selon le présent mode de réalisation, les éléments de calage et le suremballage sont réalisés en carton.

Selon le mode de réalisation illustré par la figure 2, les éléments de calage 2 sont dimensionnés de manière identique pour recevoir de façon ajustée un produit 3 qui correspond à une bouteille de vin 30 d’une contenance standardisée.

Toujours selon la figure 2, ces éléments de calage de type « F » sont aisément empilables et emboîtables les uns dans les autres pour former un pavé droit.

Tel que l’on peut le comprendre, ces éléments de calage 2 forment ainsi des conditionnements uniques pour chaque bouteille. En l’occurrence ces éléments de calage 2 forment un ensemble de douze éléments de calage. Ces douze éléments de calage correspondent ainsi à un suremballage précis destiné à contenir une telle quantité d’éléments de calage de formes prédéterminées.

En pratique, une personne devant envoyer des bouteilles de vin peut disposer de plusieurs types de suremballage de contenance prédéterminée d’éléments de calage.

Ces suremballages peuvent par exemple être destinés à comporter douze bouteilles, ou des multiples prédéterminés.

Selon un principe de l’invention et tel qu’illustré par la figure 4, les éléments de calage sont insérés dans le suremballage depuis une configuration à plat, et leur insertion permet d’entraîner leur pliage pour qu’ils forment le volume dans lequel un produit doit être inséré.

En référence à la figure 4, l’emballage est conçu avec un suremballage 1 et trois élément de calage 2 identiques, destinés à remplir le suremballage.

Selon cet exemple, deux éléments de calage ont déjà été insérés à l’intérieur du suremballage et il reste un espace vide entre ces deux éléments de calage. Le troisième élément de calage est destiné à être mis en place à l’intérieur de cet espace vide.

Grâce au principe de l’invention, il suffit de positionner ce troisième élément de calage 2, dans sa configuration à plat, au-dessus du suremballage 1, en alignant son fond (aussi nommé « dessous », représenté hachuré sur la figure 4) par rapport à l’espace vide, puis d’appuyer sur ledit fond.

Tel qu’illustré par la figure 4, l’enfoncement du fond de l’élément de calage 2 à l’intérieur de l’espace vide provoque la mise en volume de cet élément de calage. La mise en volume est permise par la coopération des bords formant un contour en croix, des arêtes et des parois de l’élément de calage, avec les arêtes et les parois des deux autres éléments de calage, ainsi qu’avec les parois du suremballage.

Suite à l’enfoncement total du fond de l’élément de calage, les quatre parois latérales et le fond (le dessous) forment un volume de type pavé droit. Le dessus de l’élément de calage reste dans une position ouverte et l’utilisateur peut insérer un produit à l’intérieur de l’élément de calage.

Par la suite, l’utilisateur peut rabattre le dessus de l’élément de calage sur le produit, puis refermer les rabats du suremballage (les rabats étant non représentés par souci de clarté lors de la mise en place du troisième élément de calage), et enfin assurer la fermeture du suremballage par exemple à l’aide de bandes adhésives.

Claims

REVENDICATIONS

Emballage comprenant un suremballage (1) et au moins deux éléments de calage (2) destinés chacun à contenir un produit (3), les éléments de calage comprenant chacun deux faces latérales longitudinales, un dessus, un dessous, destinés à former ensemble un volume de type pavé droit, et deux faces latérales transversales, les éléments de calage étant du type à replier à partir d’une configuration à plat, avec des bords formant un contour en croix, pour former le volume, caractérisé en ce que le suremballage présente un fond d’une surface égale, au jeu près, à la somme des fonds des éléments de calage formant un étage dans le suremballage, et en ce que les bords des éléments de calage, en volume, viennent en contact linéaire deux à deux, en restant libres entre eux, l’une au moins des faces latérales longitudinales et/ou l’une au moins des faces latérales transversales formant des faces latérales d’un étage étant destinée à venir prendre appui contre une paroi interne du suremballage.

Emballage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le suremballage (1) présente une hauteur égale, au jeu près, à la hauteur des éléments de calage (2).

Emballage selon la revendication 1, caractérisé en ce que le suremballage (1) présente une hauteur égale, au jeu près, à la hauteur cumulée des éléments de calage (2) en empilage.

Emballage selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu’au moins le dessus des éléments de calage (2) présente une échancrure (200).
5. Emballage selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les éléments de calage (2) sont réalisés en carton.

5
6. Emballage selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le suremballage (1) est réalisé en carton.
7. Emballage selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les éléments de calage (2) sont dimensionnés
10 pour recevoir, de façon ajustée, une bouteille de vin (30) d’une contenance standardisée.