FR3049521A1 - Dispositif d'eclairage et/ou de signalisation pour vehicule comprenant un faisceau de fils - Google Patents

Abstract

Le dispositif d'éclairage et/ou de signalisation pour véhicule comprend : - un corps principal (3), et - un faisceau de fils (4). Le faisceau de fils est fixé au corps principal par l'intermédiaire d'au moins un aimant (10a ; 10b ; 10c ; 10d).

Description

Dispositif d’éciairage et/ou de signaiisation pour véhicuie comprenant un faisceau de fiis L’invention concerne les dispositifs d’éclairage et/ou de signalisation pour véhicule.

On connaît des dispositifs d’éclairage ou de signalisation comprenant un corps principal, un ensemble de fils reliés aux différentes sources de lumière présentes dans le corps principal et formant un faisceau, ainsi qu’un connecteur relié à une extrémité du faisceau de fils.

Le faisceau de fils peut être fixé au boîtier par l’intermédiaire de différents moyens.

Il existe tout d’abord des moyens de fixation par clipsage, dans lesquels les fils sont maintenus les uns aux autres par l’intermédiaire de colliers de serrage comprenant une tête conique destinée à être clipsée dans des orifices présents à l’intérieur du corps principal (ou boîtier) du dispositif. Néanmoins, cette fixation comporte plusieurs inconvénients.

Tout d’abord, le faisceau de fils peut avoir une liberté de mouvement trop importante du fait d’une mauvaise fixation. En effet, il est fréquent qu’un collier ne soit pas inséré dans l’orifice qui lui est destiné, ce qui peut conduire à la création de boucles. Cela a pour conséquence un possible endommagement du faisceau de fils qui n’est alors que partiellement fixé au boîtier. En effet, il peut être pincé entre deux pièces ou encore entrer en contact avec un corps chaud. Cela peut conduire à un dysfonctionnement du dispositif. En dehors de toute altération, le faisceau peut également être visible depuis l’extérieur du dispositif, ce qui constitue une cause importante de retour du produit.

De plus, les colliers sont initialement montés dans le boîtier. Il faut, pour fixer le faisceau, déclipser les colliers de serrage du boîtier puis les clipser à nouveau dès qu’ils sont liés au faisceau. Il s’agit d’un démontage en force qui conduit généralement à une déformation instantanée de la tête conique du collier. Les têtes coniques, une fois remontées, peuvent se détacher à cause d’une mauvaise fixation due à cette déformation, et le faisceau se retrouve alors partiellement voire totalement détaché. Si les colliers maintiennent tout de même le faisceau, il est possible qu’ils présentent un jeu par rapport aux orifices avec lesquels ils sont associés. On peut aussi constater un phénomène de fluage, c’est-à-dire une déformation dans le temps qui intervient après la déformation instantanée. Les clips finissent alors par se désolidariser des orifices.

On connait aussi une fixation par l’intermédiaire d’un exosquelette. Il s’agit d’une pièce, généralement en matière plastique, moulée de manière à permettre le positionnement des faisceaux dans le boîtier. La fixation est alors réalisée par des languettes prépositionnées. La pièce portant le faisceau est ensuite fixée au projecteur.

Un inconvénient de cette fixation est le coût qu’elle représente. En effet, la conception de la pièce est un investissement important. De plus, la main d’œuvre nécessaire est non négligeable car il faut fixer le faisceau à l’exosquelette puis fixer ce dernier au projecteur.

Un but de l’invention est de supprimer ou tout au moins de limiter notablement tout ou partie des inconvénients précités.

Dans ce but, l’invention a pour objet un dispositif d’éclairage et/ou de signalisation pour véhicule comprenant : - un corps principal, et - un faisceau de fils fixé au corps principal par l’intermédiaire d’au moins un aimant.

La fixation par aimant est plus simple à mettre en place que la fixation par clipsage car l’aimant n’a pas à collaborer avec un moyen aussi petit qu’un orifice dans le boîtier. Il peut potentiellement collaborer avec l’ensemble du boîtier si ce dernier est réalisé dans un matériau ferromagnétique, c’est-à-dire apte à réagir à un champ magnétique. Ainsi, on obtient une fixation plus sûre que dans le cas d’une fixation par clipsage. De plus, cette fixation est particulièrement simple à réaliser sur la chaîne de montage car la fixation est réalisée dès la mise en contact des pièces concernées. En outre, il ne s’agit pas d’une fixation nécessitant une quelconque déformation préalable à l’utilisation comme cela est le cas avec un moyen de fixation par clipsage. On s’affranchit alors des risques de déformation instantanée et de fluage conséquents à cette déformation. Pour finir, l’utilisation d’aimants se révèle être bon marché. Leur prix d’achat n’est pas élevé et la main d’œuvre nécessaire à la fixation n’est pas très importante. On obtient un moyen de fixation dont le coût de conception et de mise en place est notablement inférieur à ceux de l’art antérieur.

On peut prévoir que le dispositif comprend un ou plusieurs connecteurs du faisceau et dans lequel le faisceau est fixé au corps par l’intermédiaire de l’aimant indépendamment du ou des connecteurs.

Cet agencement facilite la manipulation du ou des connecteurs.

Un autre inconvénient de l’art antérieur réside dans la disposition des organes permettant la fixation du faisceau. En effet, dans une fixation par clipsage, les colliers sont situés à une position dictée par les orifices présents dans le boîtier du dispositif. Dans le cas de l’exosquelette, des languettes sont prépositionnées le long du réceptacle destiné à accueillir le faisceau. Cela peut conduire à la création de tensions dans des portions de faisceau si la longueur de ces dernières est quasiment équivalente à la distance entre deux points de fixation. Au contraire, une longueur de faisceau trop importante vis-à-vis de cette même distance pourra conduire à la création d’une boucle. De la même manière, un faisceau trop long par rapport au réceptacle dans le cas d’un exosquelette conduira à la formation d’une boucle terminale. De tels montages ne sont pas souhaités car ils peuvent conduire à l’endommagement du faisceau.

Pour y remédier, on peut prévoir que le dispositif comprend un organe de maintien du faisceau apte à être fixé à plusieurs positions différentes sur le corps au moyen de l’aimant.

Ainsi, on peut fixer le ou les organes de maintien où on le souhaite au corps dans des zones prévues à cet effet. Il est alors possible de moduler la distance entre deux points de fixation ainsi que la longueur de faisceau entre ces deux points. On évite alors les problématiques de tension et/ou de boucle en répartissent le faisceau à la surface du corps de manière plus homogène.

Dans un premier mode de réalisation, on peut prévoir que le dispositif comprend au moins une languette coopérant avec le corps pour fixer le faisceau de fils.

La languette correspond à l’organe de maintien du faisceau de fils.

On peut prévoir que le dispositif est agencé pour laisser au moins un degré de liberté au faisceau par rapport au corps.

Ainsi, on permet au faisceau de fils de se déplacer selon une ou plusieurs directions. Cela confère au faisceau une liberté de mouvement non négligeable tout en le maintenant fixé au boîtier. Le cas échéant, si des tensions sont générées dans le faisceau lors de sa mise en place, elles se résorbent sous l’effet du déplacement spontané du faisceau permis par ce degré de liberté.

Avantageusement, le faisceau est apte à se déplacer par rapport au corps dans une direction longitudinale du corps.

On peut également prévoir que le faisceau est apte à se déplacer par rapport au corps dans une direction perpendiculaire à une direction longitudinale du corps.

Dans un second mode de réalisation, on peut prévoir que le corps présente au moins une cavité, telle qu’un canal, apte à accueillir le faisceau de fils.

On peut également prévoir que le dispositif comprend au moins une plaque métallique rigidement fixée au corps et coopérant magnétiquement avec l’aimant ou à l’un au moins des aimants.

La fixation de la plaque au corps peut par exemple être réalisée par collage, vissage, ou par tout autre moyen analogue communément utilisé. Il ne s’agit pas d’une liaison magnétique. Ainsi, il est possible de fixer le faisceau au corps principal à des endroits que l’on a déterminé comme pertinents en y fixant la plaque métallique.

Dans un troisième mode de réalisation, on peut prévoir que le faisceau de fils est fixé au corps par l’intermédiaire d’un collier de serrage associé à l’aimant.

Le collier de serrage peut, par exemple, être fabriqué dans un matériau ferromagnétique pour être lié magnétiquement à l’aimant.

On peut prévoir que le collier de serrage porte l’aimant. L’aimant peut par exemple être rigidement fixé à une partie conique du collier de serrage dans le but de lier magnétiquement le collier au corps principal.

On peut prévoir qu’il s’agit d’un dispositif d’éclairage d’habitacle.

Par exemple, le plafonnier, le bac formant vide-poche ou la boîte à gants peuvent disposer de plusieurs lampes. On retrouve par conséquent un nombre important de fils formant le faisceau.

On peut prévoir aussi qu’il s’agit d’un dispositif permettant l’éclairage et/ou la signalisation à l’extérieur du véhicule. A l’instar des dispositifs d’éclairage d’habitacle, les dispositifs situés à l’extérieur d’un véhicule comportent de nombreuses sources de lumière et fils associés. Par exemple, un feu de signalisation arrière incorpore un faisceau pouvant comprendre jusqu’à douze fils.

On prévoit que l’aimant dispose d’une force inférieure ou égale à 900 gf (8,83 N).

De tels aimants représentent un investissement faible à l’achat. De plus, ils assurent une bonne tenue en vibration et n’ont aucun effet sur la compatibilité électromagnétique (communément appelée OEM).

Ainsi, on utilise un moyen de fixation moins cher que dans l’art antérieur, présentant une bonne tenue dans une utilisation normale du véhicule et ne présentant aucun inconvénient en termes de perturbations électromagnétiques.

Nous allons maintenant présenter des modes de réalisation de l’invention à l’appui des figures annexées, qui sont fournies à titre d'exemples et ne présentent aucun caractère limitatif, dans lesquelles : - La figure 1 est une vue de face d’une portion du corps principal d’un dispositif selon un mode de réalisation de l’invention, comprenant un faisceau de fils ainsi qu’un moyen de fixation par aimant ; - Les figures 2 et 3 sont des vues en coupe longitudinale respectivement de la portion représentée sur la figure 1 et d’un deuxième mode de réalisation ; - La figure 4 est une vue en coupe transversale à l’axe longitudinal du faisceau de fils entouré d’un collier de serrage dans un troisième mode de réalisation ; et - La figure 5 est une vue de côté du faisceau du troisième mode de réalisation.

On se réfère maintenant à la figure 1 qui représente une portion 2 d’un dispositif d’éclairage et/ou de signalisation selon un premier mode de réalisation de l’invention.

Ce dispositif comprend un corps principal 3 tel qu’un boitier dans lequel un ensemble de sources de lumières, non représentées sur le dessin, sont montées, par exemple par vissage ou encore fixation de type baïonnette. Ces sources peuvent par exemple être des lampes, des diodes ou encore des sources de rayonnement laser. Le corps principal comprend au moins une portion translucide ou transparente 8 correspondant à la partie du dispositif visible depuis l’extérieur du véhicule s’il s’agit d’un dispositif destiné à permettre l’éclairage et/ou la signalisation à l’extérieur du véhicule, ou depuis l’intérieur de l’habitacle s’il s’agit d’un dispositif d’habitacle. Cette portion permet le passage de la lumière émise par les sources et peut présenter plusieurs zones de différentes couleurs. Le dispositif comprend un ou plusieurs réflecteurs non-illustrés.

Chaque source de lumière est reliée à un fils électrique, l’ensemble des fils du dispositif formant alors un faisceau de fils 4 disposé à la surface du corps. Le faisceau est disposé de manière à être en contact avec le corps principal sur la plus grande partie de sa longueur.

Une plaque métallique 6 est rigidement fixée au corps principal. Il s’agit ici d’une fixation par vissage, qui pourrait aussi, par exemple, être réalisée par collage. Le faisceau est disposé dans une direction longitudinale de la plaque métallique. Il peut aussi être disposé de toute autre manière en fonction de la forme de la plaque métallique ainsi que de la longueur du faisceau. On peut également envisager l’hypothèse de plusieurs plaques métalliques fixées au corps.

La plaque métallique est fabriquée dans un matériau ferromagnétique comme par exemple le fer, l’acier, le nickel, le cobalt ou tout autre alliage de matériaux ferromagnétiques, c’est-à-dire, au sens de l’invention, apte à réagir à un champ magnétique engendré par exemple par un aimant ou par un autre système magnétique. Elle n’est pas obligatoire si le corps principal est partiellement ou totalement composé d’un matériau ferromagnétique.

Deux languettes plates rectilignes rectangulaires 8a, 8b sont liées magnétiquement à la plaque métallique 6 par l’intermédiaire d’aimants 10a, 10b, 10c et lOd rigidement fixés aux extrémités respectives des languettes. Les aimants sont des aimants permanents, c’est-à-dire qui conservent leurs propriétés magnétiques en l’absence de toute alimentation en énergie. Un aimant est un organe ferromagnétique particulier. Il est dit « ferromagnétique dur », puisqu’il crée un champ magnétique affectant les autres organes ferromagnétiques, aimants ou non. Elles sont disposées dans une direction perpendiculaire à la direction longitudinale de la plaque métallique, mais peuvent être disposées dans une autre direction. Elles sont agencées de manière à laisser au moins un degré de liberté au faisceau par rapport au corps principal et plus particulièrement à la plaque métallique, déplacements représentés par les flèches 12a, 12b, 14a et 14b. Les flèches 12a et 12b représentent une aptitude du faisceau au déplacement par rapport au corps principal dans une direction longitudinale du corps principal. Les flèches 14a et 14b représentent quant à elles une possibilité de déplacement du faisceau dans une direction perpendiculaire à la direction longitudinale du corps principal. On pourra également prévoir un déplacement en biais, c'est-à-dire avec dans une direction avec un angle compris entre 0 et 90° bornes exclues par rapport à la direction longitudinale du corps principal.

Selon un premier mode de réalisation représenté à la figure 2, l’obtention d’une capacité de déplacement est la conséquence de l’association entre la languette et les aimants. En effet, les aimants 110a et 110b s’étendent en saillie de la languette 108. L’association entre la languette 108 et les aimants forme un pontet quand la languette est fixée au corps principal. Cet agencement particulier permet alors au faisceau de fils de se déplacer dans plusieurs directions. Le pontet forme en effet avec la plaque un logement dont la section, ici de forme rectangulaire, a une superficie supérieure à la superficie de la section du faisceau. Plus précisément, lorsque le faisceau est agencé avec les fils s’étendant dans un seul plan, comme illustré sur les figures 1 et 2, son épaisseur est inférieure à l’épaisseur du logement. Il est va de même avec la largeur du faisceau et celle du logement.

Lors du montage, il est donc possible de choisir l’emplacement et la position du faisceau 4 et de chacune des languettes pour assurer une fixation optimale de ce dernier. Si le corps principal est fabriqué dans un matériau ferromagnétique, on peut alors placer les languettes où on le souhaite à la surface du boîtier.

Lors d’une manipulation du faisceau, par exemple lors de l’établissement d’une connexion entre un connecteur du dispositif et un connecteur du véhicule, le faisceau est apte à se déplacer selon les différentes directions représentées à la figure 1 sans que cela ne porte atteinte à la qualité de sa fixation au corps principal.

Selon un second mode de réalisation représenté à la figure 3, la capacité de mouvement est ici donnée par la forme du corps principal. En effet, le corps principal 203 est réalisé de manière à présenter une cavité allongée à profil trapézoïdal 16 apte à accueillir le faisceau de fils. Si cela est nécessaire, on ajoute dans cette cavité une plaque métallique 206 présentant une cavité de forme identique à la cavité du corps principal. Il n’est donc pas nécessaire de prévoir que les aimants s’étendent en saillie de la surface des languettes. Cette fois, ils sont intégralement logés dans les languettes. Il peut également s’agir d’aimants plats collés aux languettes. Les languettes dont les extrémités sont fixées magnétiquement à la plaque viennent recouvrir partiellement la cavité pour y emprisonner le faisceau.

Selon un troisième mode de réalisation représenté aux figures 4 et 5, on peut réaliser la fixation magnétique du faisceau 4 au corps principal par l’intermédiaire d’un ou plusieurs colliers de serrage 18. Ce collier comprend une partie conique 20 s’étendant en saillie d’une partie annulaire du collier. Cette partie conique peut par exemple être fixée à la partie annulaire par collage ou encore être moulée en même temps qu’elle en une seule et même pièce. Un aimant 22 est rigidement fixé à l’extrémité libre de la partie conique. Cet aimant est destiné à se lier magnétiquement avec le corps principal ou avec la plaque magnétique le cas échéant.

Pour fixer le faisceau de fils au corps principal portant le ou les colliers, il suffit alors de lier magnétiquement l’aimant 22 au corps principal ou à la plaque métallique préalablement fixée au corps principal. On prévoir de préférence que le serrage entre le collier et le faisceau est suffisamment faible pour que ce dernier conserve une certaine liberté de mouvement lors d’une manipulation du dispositif.

Bien entendu, on pourra apporter à l’invention de nombreuses modifications sans sortir du cadre de celle-ci.

On peut prévoir que le ou les aimants sont rigidement fixés au boitier et non aux languettes ou aux colliers, ces derniers étant aptes alors à coopérer magnétiquement avec les aimants.

Il est également envisageable d’utiliser deux aimants coopérant directement l’un avec l’autre et dont l’un est rigidement fixé au corps principal et l’autre à la languette ou au collier afin d’assurer la fixation du faisceau au corps.

Claims (14)

1. REVENDICATIONS

   1. Dispositif d’éclairage et/ou de signalisation pour véhicule, caractérisé en ce qu’il comprend : - un corps principal (3), et - un faisceau de fils (4) fixé au corps principal par l’intermédiaire d’au moins un aimant (10a ; 10b ; 10c ; lOd).
2. 2. Dispositif selon la revendication 1, qui comprend un ou plusieurs connecteurs du faisceau (4) et dans lequel le faisceau (4) est fixé au corps par l’intermédiaire de l’aimant indépendamment du ou des connecteurs.
3. 3. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, qui comprend un organe de maintien du faisceau apte à être fixé à plusieurs positions différentes sur le corps (3) au moyen de l’aimant.
4. 4. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, qui comprend au moins une languette (8a ; 8b ; 108) coopérant avec le corps pour fixer le faisceau de fils.
5. 5. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, agencé pour laisser au moins un degré de liberté (12a ; 12b ; 14a ; 14b) au faisceau (4) par rapport au corps (3).
6. 6. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le faisceau est apte à se déplacer par rapport au corps dans une direction (12a ; 12b) longitudinale du corps.
7. 7. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le faisceau est apte à se déplacer par rapport au corps dans une direction (14a ; 14b) perpendiculaire à une direction longitudinale du corps.
8. 8. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le corps (203) présente au moins une cavité (16), telle qu’un canal, apte à accueillir le faisceau de fils (4).
9. 9. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, qui comprend au moins une plaque métallique (6) rigidement fixée au corps (3) et coopérant magnétiquement avec l’aimant (10a ; 10b ; 10c ; lOd) ou avec l’un au moins des aimants.
10. 10. Dispositif selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, dans lequel le faisceau de fils (4) est fixé au corps par l’intermédiaire d’un collier de serrage (18) associé à l’aimant (22).
11. 11. Dispositif selon la revendication 10, dans lequel le collier de serrage (18) porte l’aimant (22).
12. 12. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel il s’agit d’un dispositif d’éclairage d’habitacle.
13. 13. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel il s’agit d’un dispositif permettant l’éclairage et/ou la signalisation à l’extérieur du véhicule.
14. 14. Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel l’aimant (10a ; 10b ; 10c ; lOd) dispose d’une force inférieure ou égale à 900 gf (8,83 N).