FR3042958A1 - Appareil de coiffure de type lisseur avec peigne optimise - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un appareil de coiffure (1) comprenant un premier (2) et un second (3) bras configurés pour former une pince, une première (7) et une seconde (8) surfaces de traitement configurées en vis-à-vis respectivement sur lesdits bras pour presser une mèche de cheveux lors du pincement, et un premier peigne (11) configuré sur le premier bras en amont de la première surface de traitement pour répartir convenablement la mèche entre les deux surfaces de traitement et pour créer une tension sur la mèche avant son passage entre lesdites surfaces de traitement, au moins l'une des deux surfaces de traitement comprenant des moyens de chauffe, caractérisé en ce que le premier peigne comprend des dents (13) écartées entre elles d'un pas (p) constant compris entre 0,50 mm et 8,00 mm, lesdites dents ayant une forme pyramidale à base rectangulaire.

Description

APPAREIL DE COIFFURE DE TYPE LISSEUR AVEC PEIGNE OPTIMISE Domaine technique

La présente invention se rapporte au domaine des appareils de coiffure de type lisseur qui permettent le traitement de mèches de cheveux en pinçant celles-ci entre deux surfaces de traitement dont au moins l’une desdites surfaces est chauffante.

Etat de la technique

Les appareils de coiffure de type lisseur comprennent traditionnellement deux bras configurés pour former une pince, chaque bras comprenant sur sa face interne une surface de traitement. Les surfaces de traitement sur les deux bras sont disposées en vis-à-vis et permettent de presser une mèche de cheveux lors du pincement des bras. Durant l’utilisation, le lisseur est déplacé le long de la mèche de cheveux, de la racine vers la pointe. L’une des deux surfaces de traitement, voire les deux, est munie de moyens de chauffage de sorte à chauffer la mèche de cheveux durant son pincement entre les deux surfaces de traitement, ce qui améliore la qualité du lissage de la mèche de cheveux.

Il est également connu des appareils de coiffure de type lisseur qui comprennent, en complément des caractéristiques précitées, un peigne agencé longitudinalement qui permet d’aérer la mèche de cheveux en la répartissant sur toute la longueur des surfaces de traitement, ce qui permet de chauffer et pincer convenablement tous les cheveux durant leur passage entre les deux surfaces de traitement, pour un meilleur lissage de cheveux. A titre d’exemple, un tel peigne est décrit dans la demande internationale WO 2010 081968 A1. Résumé de l’invention L’invention a pour objet de mettre en oeuvre un appareil de coiffure de type lisseur qui permet d’optimiser le résultat du lissage des cheveux. A cet effet, l’appareil de coiffure selon l’invention comprend un premier et un second bras configurés pour former une pince, une première et une seconde surfaces de traitement configurées en vis-à-vis respectivement sur lesdits bras pour presser une mèche de cheveux entre lesdites surfaces de traitement lors du pincement obtenu en rapprochant les deux bras l’un contre l’autre. Au moins l’une des deux surfaces de traitement comprend des moyens de chauffe, de préférence les deux surfaces de traitement, pour chauffer la mèche de cheveux et obtenir un meilleur lissage. En outre, l’appareil de coiffure comprend également un premier peigne configuré sur le premier bras en amont de la première surface de traitement pour répartir convenablement la mèche entre les deux surfaces de traitement et pour créer une tension sur la mèche avant son passage entre lesdites surfaces de traitement. De manière remarquable, ce premier peigne comprend des dents écartées entre elles d’un pas constant compris entre 0,50 mm et 8,00 mm. Par ailleurs, lesdites dents ont une forme pyramidale à base rectangulaire. Le plus grand côté de la base rectangulaire, qui définit la plus grande face de la dent, est disposé transversalement sur le peigne. La demanderesse a en effet constaté après avoir réalisé de nombreuses recherches et études que le choix d’un peigne avec des dents présentant un forme pyramidale à base rectangulaire et d’un pas constant compris entre 0,50 mm et 8,00 mm permet d’augmenter visuellement de manière très significative la qualité du lissage de la mèche de cheveux par rapport aux appareils de coiffure de type lisseur avec peigne de l'art antérieur.

Dans une réalisation préférentielle de l’appareil de coiffure selon l’invention, le pas entre les dents est de 2,10 mm, ce qui permet d’optimiser le résultat du lissage.

Dans une réalisation préférentielle de l’appareil de coiffure selon l’invention, la forme pyramidale à base rectangulaire comprend une grande base ayant une largeur comprise entre 0,80 mm et 1,20 mm, de préférence 1,00 mm, et une longueur comprise entre 1,90 mm et 2,70 mm, de préférence 2,30 mm. En outre, la forme pyramidale à base rectangulaire comprend une petite base ayant une largeur comprise entre 0,20 mm et 0,40 mm, de préférence 0,30 mm, et une longueur comprise entre 0,40 mm et 0,80 mm, de préférence 0,60 mm. Par ailleurs, la hauteur séparant la grande base et la petite base est comprise entre 2,00 mm et 16,00 mm, de préférence 10,40 mm. Ces choix dimensionnels de la forme pyramidale à base rectangulaire des dents permettent également d’optimiser le résultat du lissage de la mèche de cheveux.

Selon l’appareil de coiffure objet de l’invention, celui-ci comprend des moyens d’appui configurés sur le second bras en amont de la seconde surface de traitement et du premier peigne pour contraindre la mèche de cheveux à pénétrer entre les dents jusque dans le fond dudit premier peigne. Le positionnement des cheveux de la mèche dans le fond du peigne permet aux dents de presser de manière plus importante sur lesdits cheveux et, ainsi, de les mettre convenablement sous tension avant leur passage entre les deux surfaces de traitement.

Dans une réalisation, ces moyens d’appui sont constitués d’un capot incurvé disposé sur le second bras en correspondance avec le premier peigne sur le premier bras, ledit premier peigne se logeant dans ledit capot lors du pincement.

Dans une première variante, le capot incurvé comprend un bord longitudinal qui prend appui sur la mèche de cheveux. De préférence, la position de ce bord longitudinal correspond sensiblement au fond du peigne en position de pincement.

Dans une seconde variante, le capot incurvé comprend une partie longitudinale configurée pour former un second peigne disposé en sens inverse du premier peigne, en aval dudit premier peigne.

Dans une autre réalisation, ces moyens d’appui comprennent un élément longitudinal de contact dans une matière configurée pour exercer une résistance au frottement sur la mèche de cheveux, par exemple une matière siliconée. Dans le cas d’un capot incurvé, on peut envisager de réaliser le bord longitudinal dans une matière siliconée voire dans d’autres matières.

Dans une variante d’appareil de coiffure selon l’invention, celui-ci comprend également des moyens de vaporisation configurés pour réaliser un traitement par vapeur en complément d’un traitement par chauffe lors du passage de la mèche de cheveux entre les deux surfaces de traitement, voire avant ou après son passage entre lesdites surfaces de traitement.

Brève description des figures

Les caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront à la lecture de la description suivante d’un mode de réalisation de l’appareil de coiffure, laquelle s’appuie sur des figures, parmi lesquelles : - la figure 1 illustre une vue tridimensionnelle de l’appareil de coiffure ; - les figures 2 et 3 illustrent deux vues tridimensionnelles des deux bras constituant l’appareil de coiffure de la figure 1 ; - la figure 4 illustre une vue tridimensionnelle du peigne mis en œuvre sur l’appareil de coiffure ; - la figure 5 illustre une vue agrandie de dessus d’une des dents du peigne ; - la figure 6 illustre une vue de côté agrandie de trois dents du peigne ; - la figure 7 illustre une variante de mise en œuvre d’un capot sur l’un des bras de l’appareil de coiffure de la figure 1.

Description détaillée

Dans la suite de la description, les mêmes références sont utilisées pour décrire les caractéristiques similaires selon les différentes variantes de réalisation.

Dans la suite de la description, le terme « lisseur » sera utilisé pour désigner l’appareil de coiffure 1 selon l’invention.

Tel qu’illustré en figure 1, le lisseur 1 comprend deux bras 2, 3 - également appelés mâchoires - articulés entre eux au moyen d’une liaison pivot 4, ce qui permet de constituer une pince pouvant être disposée soit en position ouverte où les deux bras sont éloignés l’un de l’autre, soit en position fermée où les deux bras sont rapprochés l’un contre l’autre. Les parties proximales 2a, 3a des deux bras 2, 3 peuvent concomitamment être empoignées avec une main, ce qui permet la fermeture de la pince et la manipulation du lisseur 1. Les deux bras 2, 3 comprennent chacun sur leur face interne 5, 6 et au niveau de leur partie distale 2b, 3b, une surface de traitement 7, 8. Les deux surfaces de traitement 7, 8 sont disposées en vis-à-vis et permettent de presser une mèche de cheveux disposée entre lesdites surfaces de traitement 7, 8, lors de la fermeture de la pince.

De préférence, les deux surfaces de traitement 7, 8 sont chauffantes, mais il est possible de prévoir des variantes de mise en œuvre avec une seule des deux surfaces de traitement 7, 8 qui soit chauffante. Les surfaces de traitement 7, 8 se présentent sous la forme de plaques chauffantes 9, 10 et intègrent des moyens de chauffe (non illustrés) desdites plaques chauffantes 9, 10 comprenant notamment un dispositif de chauffe (non illustré) constitué d’une thermistance à coefficient de température positif, dit CTP, et un dispositif de mesure de la température (non illustré) constitué d’une thermistance à coefficient de température négatif, dit CTN.

Les caractéristiques qui précèdent sont bien connues de l’homme du métier du domaine des lisseurs, et ne sont donc pas décrites plus en détail. On pourra toutefois envisager des variantes innovantes sur ces caractéristiques précitées du lisseur, sans sortir du cadre de la présente invention.

Tel qu’illustré sur les figures 1 et 3, le lisseur 1 comprend un peigne 11 qui s’étend longitudinalement de manière attenante au bord longitudinal amont 9a de la plaque chauffante 9 de la première surface de traitement 7. Le peigne 11 comprend un corps 12 longitudinal et des dents 13, par exemple entre quarante et cinquante dents 13, comme illustré en figure 4. Ce peigne 11 est préférentiellement assemblé de manière amovible sur la face interne 5 du bras 2. Pour cela, la face interne 5 du bras 2 comprend une rainure 14 qui s’étend longitudinalement de manière attenante au bord longitudinal amont 9a de la plaque chauffante 9, cette rainure 14 étant de forme complémentaire à celle du corps 12 du peigne 11, ce qui permet un montage en glissière du corps 12 à l’intérieur de ladite rainure 14, avec les dents 13 du peigne 11 dirigées vers le second bras 3. Cela permet avantageusement de pouvoir remplacer le peigne 11, par exemple par un autre présentant des dimensions de dents 13 différentes.

Tel qu’illustré en regard des figures 4 à 6, les dents 13 du peigne 11 sont espacées entre elles d’un pas p régulier et elles présentent une forme pyramidale à base rectangulaire. La grande face 15 de la dent 13 est disposée dans le sens transversal sur le peigne 11 et la petite face 16 de la dent 13 est disposée dans le sens longitudinal du peigne 11. Chaque dent 13 présente une grande base rectangulaire 17 proximale vis-à-vis du corps 12, et une petite base rectangulaire 18 distale vis-à-vis dudit corps 12 et constituant la pointe de la dent 13. La hauteur h de la dent 13 est définie par la distance séparant la petite base rectangulaire 18 de la grande base rectangulaire 17. La grande base rectangulaire 17 présente une longueur L1 et une largeur 11 et, de même, la petite base rectangulaire 18 présente une longueur L2 et une largeur I2.

La demanderesse a constaté que ce choix de dents 13 ayant une forme pyramidale à base rectangulaire, disposées comme illustré sur les figures 4 et 6, avec un pas p régulier choisi entre 0,50 mm et 8,00 mm permet remarquablement d’améliorer la pénétration de la mèche de cheveux entre les dents 13 en répartissant de manière homogène les cheveux de ladite mèche sur la longueur du peigne 11, et permet de créer une tension homogène sur tous les cheveux de ladite mèche avant leur passage entre les surface de traitement 7, 8. La tension homogène sur les cheveux et leur répartition homogène contribuent à chauffer convenablement au cœur tous les cheveux de la mèche et à assurer une pression homogène sur tous lesdits cheveux lors de leur passage entre les deux surfaces de traitement 7, 8. La demanderesse a relevé que ces choix permettent d’augmenter visuellement la qualité du lissage des cheveux en comparaison des lisseurs antérieurs.

Les résultats du lissage des cheveux sont optimisés en choisissant un pas p de 2,10 mm entre les dents 13. Ces résultats du lissage sont encore optimisés en choisissant pour les dimensions des dents 13 : - une grande base rectangulaire 17 de largeur 11 comprise entre 0,80 mm et 1,20 mm, de préférence égale à 1,00 mm, et de longueur L1 comprise entre 1,90 mm et 2,70 mm, de préférence égale à 2,30 mm, - une petite base rectangulaire 18 de largeur I2 comprise entre 0,20 mm et 0,40 mm, de préférence égale à 0,30 mm, et une longueur L2 comprise entre 0,40 mm et 0,80 mm, de préférence égale à 0,60mm, et - une hauteur h comprise entre 2,00 mm et 16,00 mm, de préférence égale à 10,40 mm.

Tel qu’illustré sur les figures 1 et 2, le lisseur 1 comprend des moyens d’appui constitués par un capot 19 qui est agencé sur le second bras 3 en amont de la seconde surface de traitement 8. Ce capot 19 présente une forme incurvée avec une partie longitudinale 24 qui descend et vient se positionner en amont des dents 13 du peigne 11, à côté desdites dents 13 qui se trouvent logées dans la cavité 20 formée par le capot 19 incurvé, en position fermée de la pince. Dans cette position fermée de la pince, illustrée en figure 1, le bord longitudinal 21 du capot 19 se trouve dans une position qui correspond sensiblement à celle du fond 22 du peigne 11 apparaissant plus en détail sur les figures 4 et 6. Cela permet d’appuyer sur les cheveux de la mèche et de les forcer à glisser vers le fond 22 du peigne 11, entre les dents 13, de sorte à optimiser la tension exercée sur lesdits cheveux durant leur passage au travers du peigne 11, avant d’être pressés entre les deux surfaces de traitement 7, 8.

Il est possible d’envisager des variantes de moyens d’appui en remplacement du capot 19, par exemple en prévoyant sur le second bras 3 un élément filaire ou une barre (non illustré) qui aurait un agencement similaire à la position du bord longitudinal 21 du capot 19.

Des variantes de capot 19 sont également envisageables. Tel qu’illustré en figure 7, il est possible de prévoir sur le capot 19, au niveau de son bord longitudinal 21, un bourrelet 23 (ou une lame) réalisé dans une matière disposant d’un coefficient de frottement qui permet d’assurer une légère tension supplémentaire sur les cheveux sur lesquels ledit bourrelet 23 appuie lors de la fermeture de la pince. Ce bourrelet 23 est de préférence en silicone. Cette matière siliconée pourrait également être envisagée pour l’élément filaire ou la barre précitée.

Dans une autre variante, on peut envisager la mise en œuvre d’un second peigne (non illustré) agencé sur la partie longitudinale 24 du capot 19, illustrée notamment en figures 2 et 7, en opposition au premier peigne 11 sur le premier bras 2. Ce second peigne permettrait d’assurer une pré-tension sur les cheveux et une pré-séparation des cheveux avant leur passage au travers du premier peigne 11. Les dents de ce second peigne pourraient être identiques ou similaires aux dents 13 du premier peigne 11, voire d’une conception différente. On pourrait également prévoir ce second peigne dans une matière siliconée pour augmenter le coefficient de frottement sur les cheveux.

On peut également envisager que les dents 13 du premier peigne 11 soient réalisées dans une matière dont le coefficient de frottement permet d’assurer une légère tension supplémentaire sur les cheveux durant leur passage entre lesdites dents 13. Ces dents 13 peuvent par exemple être en silicone.

Dans une autre variante de lisseur 1, celui-ci comprend en complément des moyens de vaporisation qui peuvent être agencés de différentes manières sur l’un et/ou l’autre des deux bras 2,3 de sorte à projeter de la vapeur sur la mèche de cheveux avant, pendant voire après son passage entre les deux surfaces de traitement 7, 8. De tels moyens de vaporisation sur les lisseurs sont connus de l’homme du métier et ne sont donc pas décrits plus en détail, ce qui n’exclut cependant pas la mise en œuvre de moyens de vaporisation innovants tout en restant dans le cadre de la présente invention.

La description qui précède n’a aucun caractère limitatif, de nombreuses variantes de lisseurs étant envisageables sans sortir du cadre de l’invention.

Claims (11)

1. REVENDICATIONS

   1. Appareil de coiffure (1) comprenant un premier (2) et un second (3) bras configurés pour former une pince, une première (7) et une seconde (8) surfaces de traitement configurées en vis-à-vis respectivement sur lesdits bras pour presser une mèche de cheveux lors du pincement, et un premier peigne (11) configuré sur le premier bras en amont de la première surface de traitement pour répartir convenablement la mèche entre les deux surfaces de traitement et pour créer une tension sur la mèche avant son passage entre lesdites surfaces de traitement, au moins l’une des deux surfaces de traitement comprenant des moyens de chauffe, caractérisé en ce que le premier peigne comprend des dents (13) écartées entre elles d’un pas (p) constant compris entre 0,50 mm et 8,00 mm, lesdites dents ayant une forme pyramidale à base rectangulaire.
2. 2. Appareil (1) selon la revendication 1, dans lequel le pas (p) est de 2,10 mm.
3. 3. Appareil (1) selon l’une des revendications 1 ou 2, dans lequel la forme pyramidale à base rectangulaire comprend une grande base (17) ayant une largeur (11) comprise entre 0,80 mm et 1,20 mm et une longueur (L1) comprise entre 1,90 mm et 2,70 mm, une petite base (18) ayant une largeur (I2) comprise entre 0,20 mm et 0,40 mm et une longueur (L2) comprise entre 0,40 mm et 0,80 mm, et une hauteur (h) séparant la grande base et la petite base comprise entre 2,00 mm et 16,00 mm.
4. 4. Appareil (1) selon la revendication 3, dans lequel la grande base (17) a une largeur (11) de 1,00 mm et une longueur (L1) de 2,30 mm, la petite base (18) a une largeur (I2) de 0,30 mm et une longueur (L2) de 0,60 mm, la hauteur (h) étant de 10,40 mm.
5. 5. Appareil (1) selon l’une des revendications 1 à 4, lequel comprend des moyens d’appui (21, 23) configurés sur le second bras (3) en amont de la seconde surface de traitement (8) et du premier peigne (11) pour contraindre la mèche de cheveux à pénétrer entre les dents (13) jusque dans le fond (22) dudit premier peigne.
6. 6. Appareil (1) selon la revendication 5, dans lequel les moyens d’appui sont constitués d’un capot (19) incurvé dans lequel se loge le premier peigne (11) lors du pincement.
7. 7. Appareil selon la revendication 6, dans lequel le capot (19) incurvé comprend un bord longitudinal (21) dont la position correspond sensiblement au fond (22) du peigne (11) en position de pincement.
8. 8. Appareil (1) selon la revendication 6, dans lequel le capot (19) incurvé comprend une partie longitudinale (24) configurée pour former un second peigne disposé en sens inverse du premier peigne (11 ).
9. 9. Appareil (1) selon l’une des revendications 5 à 7, dans lequel les moyens d’appui comprennent un élément longitudinal (23) de contact dans une matière configurée pour exercer une résistance au frottement sur la mèche de cheveux.
10. 10. Appareil (1) selon l’une des revendications 1 à 9, dans lequel les deux surfaces de traitement (7, 8) comprennent des moyens de chauffe.
11. 11. Appareil (1) selon l’une des revendications 1 à 10, lequel comprend des moyens de vaporisation.