FR2987242A1 - Appareil de coiffure a vapeur - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un appareil de coiffure (1) comprenant un réservoir de liquide (19) en communication de fluide avec une chambre de vaporisation (7) du liquide à vaporiser, ladite chambre de vaporisation (7) étant en communication de fluide avec des moyens de distribution (7") de la vapeur (plusieurs orifices en ligne droite) en direction d'une mèche de cheveux, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens pour récupérer et évacuer du tartre (10).

Description

B.1190FR APPAREIL DE COIFFURE A VAPEUR Domaine technique de l'invention On connaît traditionnellement deux types d'appareils de coiffure permettant le lissage ou bouclage ou gaufrage dont les surfaces venant pincer les cheveux sont planes ou courbes ou ondulées et sont chauffées ou chauffantes. Les appareils du type pinces à lisser ou boucler comportent généralement deux mâchoires pivotantes comprenant chacune une extrémité supportant une surface de traitement, au moins l'une des surfaces de traitement étant chauffée, l'autre étant prévue pour amener les cheveux en contact avec la première, notamment en passant d'une position d'ouverture des mâchoires permettant l'insertion des cheveux à une position de fermeture pour leur mise en contact avec la partie chauffante. L'autre extrémité des mâchoires forme deux demi-poignées faisant office de zone de préhension et permettant de passer de la position d'ouverture à celle de fermeture. Le passage se fait manuellement en pressant les deux demi-poignées articulées de l'appareil l'une vers l'autre pour amener la partie chauffante au contact des cheveux. Le lissage d'une mèche de cheveux s'effectue en déplaçant l'appareil le long de cette mèche, de la racine vers la pointe. Le bouclage d'une mèche de cheveux se fait en enroulant au moins partiellement la mèche autour de la ou des surfaces de traitement et en appliquant de la chaleur pour fixer la boucle principalement en statique. Il est possible, pour améliorer la mise en forme des cheveux, d'utiliser additionnellement de la vapeur projetée sur les cheveux. La présente invention concerne donc un appareil de coiffure qui est destiné à la mise en forme des cheveux, notamment le lissage, le bouclage, le gaufrage des cheveux d'une personne, utilisant additionnellement de la vapeur. Etat de la technique antérieure : La présente invention se rapporte ainsi à un appareil de coiffure comportant une cuve dans laquelle de l'eau est vaporisée et destinée à être appliquée à destination des cheveux. Dans ces appareils où l'eau ou tout autre liquide bout, le tartre dont le carbonate de calcium se dépose dans la chambre de vaporisation sous forme de boue et de fines plaquettes. Lorsque la quantité de boue et de fines plaquettes devient importante, de la mousse se forme sous l'action des bulles de vapeur et elle peut alors se déposer dans la chambre ou être entraînée à l'extérieur de la chambre. Dans le cas d'un appareil de coiffure, le tartre entraîné peut obturer un orifice de sortie de la vapeur ou être projeté sur les cheveux en laissant des traces indésirables. Il est connu du document US3921648 un fer à boucler à vapeur avec dans l'ordre de passage eau-vapeur : un réservoir d'eau, une chambre à chicanes, une chambre de vaporisation principale équipée d'orifices de sortie de vapeur vers les cheveux. Néanmoins les chicanes sont placées à l'entrée de fluide et la chambre de vaporisation est située juste en amont des trous de sortie de vapeur, elle doit donc être chauffée fort pour qu'elle ne génère aucune goutte pulvérisée via ses orifices de sortie sur le cuir chevelu. De plus une forte chauffe entraine des problèmes de caléfaction non souhaités dans l'appareil, ce qui peut avoir pour conséquence de projeter des gouttes d'eau chaude sur le cuir chevelu. W004002263 divulgue un lisseur vapeur à plaques planes comportant un réservoir d'agent cosmétique, des moyens de transport par action capillaire (feutre) vers une chambre de chauffage comprenant une plaque de vaporisation pour passer la vapeur au travers de la plaque chauffée de lissage. C'est le feutre qui empêche de pulvériser des gouttes d'eau brûlante non souhaitées sur le cuir chevelu, mais cette pièce a une durée de vie faible et se bouche rapidement, et ne permet pas d'assurer un débit continu. De plus, lorsque le feutre est sec, aucune vapeur ne peut plus être produite Enfin, FR2921804 et FR2921803 au nom de la demanderesse divulguent des pistolets lisseur vapeur comportant une chambre de vaporisation uniquement équipée de 2 cheminements en labyrinthe symétriques qui se rejoignent dans une chambre de distribution de vapeur commune. Si ce dispositif permet de ne pas pulvériser depuis la chambre des gouttes d'eau brûlante sur le cuir chevelu, il présente en revanche une durée de vie limitée par rapport au tartre déposé après le passage d'un certain volume de liquide. Et plus récemment, la demanderesse a déposé la demande FR10 59117 sur un appareil de coiffure à vapeur ayant une très bonne résistance au calcaire par le 10 biais de moyens de vaporisation présentant deux chambres de vaporisation différentes en série. Cette demande est ici citée à titre de référence. L'usage d'eau déminéralisée peut être envisagé, mais nécessite que l'utilisateur ait une telle eau à portée de main pour remplir le réservoir de l'appareil de 15 coiffure. De plus, ces appareils de coiffure peuvent être utilisés pour vaporiser de l'eau contenant des ajouts cosmétiques ou un autre fluide dont la déminéralisation ferait perdre ses propriétés. Ainsi aucun art antérieur ne parvient à proposer une solution très efficace pour 20 réduire l'effet indésirable du tartre tant en fonctionnement que sur toute la durée de vie de l'appareil de coiffure. Le problème posé ici est de réduire encore plus efficacement les effets indésirables de la formation de tartre permettant principalement d'augmenter la 25 durée de vie de l'appareil de coiffure. Un autre objectif visé ici est de réduire l'encombrement des moyens de vaporisation de l'appareil selon l'invention. 30 Un autre objectif est d'organiser une collecte de tartre efficace dans la chambre de vaporisation quelle que soit la position prise dans l'espace par l'appareil de coiffure à main contenant une chambre de vaporisation.

Un autre objectif de l'invention est d'assurer qu'aucune goutte de liquide brulant non vaporisé ne soit projetée sur les cheveux ou le cuir chevelu de l'utilisateur. Un autre but de l'invention est un appareil de traitement des cheveux à la 5 vapeur pouvant être utilisé efficacement dans une pluralité de procédés de mise en forme de la chevelure, ayant une excellente résistance au calcaire, ayant un fonctionnement sécurisé. Un autre but de l'invention est un appareil de traitement des cheveux à la 10 vapeur qui permette de produire un volume d'eau vaporisée important pendant toute la durée de vie. Un autre but de l'invention est un appareil de traitement des cheveux à la vapeur qui soit fiable en fonctionnement, qui soit apte à éviter les phénomènes 15 de condensation, tout en pouvant être réalisé de manière simple et économique. Un autre but de l'invention est un appareil de traitement des cheveux à la vapeur selon un débit continu , important et qui soit apte à fournir la vapeur de 20 manière homogène à la chevelure, tout en ayant une structure simplifiée, compacte et pouvant être industrialisé pour un faible coût. Un autre but de l'invention est un appareil de traitement des cheveux qui permette un traitement rapide et efficace de la chevelure, tout en étant d'une 25 utilisation aisée et pratique dans l'espace car l'appareil est manipulé par l'utilisateur dans tous les sens. Exposé de l'invention: 30 Ces buts sont atteints avec un appareil de coiffure comprenant un réservoir de liquide en communication de fluide avec une chambre de vaporisation, ladite chambre de vaporisation étant en communication de fluide avec des moyens de distribution de la vapeur en direction d'une mèche de cheveux, et comportant des moyens pour récupérer et évacuer du tartre. Le tartre (carbonate de divers éléments dont le calcium, le magnésium... ), formé dans l'appareil est formé et déposé à tout endroit parcouru par la vapeur depuis la chambre de vaporisation jusqu'aux moyens de distribution de la vapeur. Le tartre formé et déposé sera au moins en partie récupéré et une partie de ce tartre récupéré pourra être évacuée hors de l'appareil. Les moyens pour récupérer et évacuer le tartre permettent efficacement d'améliorer la résistance au calcaire sur la durée d'utilisation de l'appareil. On entend par chambre de vaporisation une chambre chauffée par tout moyen de chauffage possible, par exemple une résistance électrique dite à Coefficient de Température Positif (CTP) ou une céramique.

On entend par moyens de distribution de la vapeur tout moyen permettant la sortie de vapeur depuis la chambre de vaporisation vers la mèche de cheveux, par exemple une série de plusieurs orifices en ligne droite.

On entend par moyens pour récupérer et évacuer le tartre a minima des moyens permettant d'extraire au moins partiellement le tartre formé hors de l'appareil. Ces moyens d'évacuation peuvent être capables d'accumuler du tartre produit dans l'appareil et permettent de l'évacuer, on peut alors gagner en rapidité de traitement et d'évacuation.

Selon l'invention, les moyens pour récupérer et évacuer du tartre peuvent être au moins partiellement amovibles de l'appareil. Ceci permet hors fonctionnement de déplacer au moins une pièce de l'appareil ou de pouvoir rendre accessible une pièce intérieure à l'appareil pour y récupérer et évacuer le tartre. Selon l'invention, les moyens pour récupérer et évacuer du tartre peuvent être au moins partiellement amovibles de la chambre de vaporisation par une ouverture disposée dans ladite chambre. Ainsi les moyens pour récupérer et évacuer le tartre sont agencés dans la chambre et sont accessibles par leur amovibilité au moins partielle. Le tartre est évacué efficacement car il est prélevé à sa source principale où passe le plus gros volume de vapeur.

Selon l'invention, les moyens pour récupérer et évacuer du tartre peuvent comprendre un récipient collecteur de tartre. On entend par récipient un élément pour recueillir ou récupérer le tartre et le contenir. La fonction du collecteur est d'accumuler et de retenir le tartre dans ces moyens. Cette pièce peut être au moins partiellement creuse pour contenir une quantité augmentée de tartre. Ce récipient verra la vapeur produite en fonctionnement de l'appareil de coiffure. Ce récipient collecteur de tartre peut être nettoyable ou jetable ou interchangeable.

Selon un mode particulier du récipient collecteur de l'invention, il peut être agencé au moins partiellement à l'intérieur de la chambre de vaporisation et au moins une partie de la paroi externe dudit récipient collecteur de tartre est en contact avec au moins une partie de la paroi interne de la chambre de vaporisation. Ceci permet de fournir un bon compromis entre la compacité et l'efficacité du système vaporisation-évacuation de tartre. Aussi, le récipient subit la chauffe de la chambre de vaporisation et voit passer au moins une partie de la vapeur produite, et ce sans nécessiter de source de chauffe additionnelle. Lorsque le récipient est amovible, une ouverture est prévue à l'extrémité de l'appareil pour le déplacement du récipient.

Selon un mode particulier alternatif ou additionnel du récipient collecteur de l'invention, le réservoir de liquide peut être en communication de fluide avec le récipient collecteur par au moins une canalisation de fluide traversant la paroi de la chambre de vaporisation. L'extrémité de la canalisation traversant la paroi peut être agencée à fleur de la paroi du récipient collecteur ou bien peut s'avancer à l'intérieur du récipient collecteur pour y amener directement le fluide depuis le réservoir de fluide et sans qu'il n'entre en contact auparavant avec les parois de la chambre de vaporisation. Ainsi le récipient collecteur est le premier endroit de l'appareil où le fluide est vaporisé et a une grande capacité de production de tartre. Le récipient collecteur représente une « sous-chambre » de vaporisation recevant le tartre et pouvant être amovible de la chambre de vaporisation ne recevant pas le tartre, le tartre crée et recueilli dans cette sous chambre de vaporisation pouvant en être évacué. Selon un mode particulier alternatif ou additionnel du récipient collecteur de l'invention, la chambre de vaporisation peut présenter substantiellement la forme d'un premier cylindre et le récipient collecteur de tartre peut présenter la forme au moins partiellement d'un demi-cylindre et le récipient collecteur de tartre peut être intérieur et concentrique au premier cylindre. Par « substantiellement », on entend que l'essentiel de la chambre de vaporisation prend la forme d'un cylindre. Par « au moins partiellement » on entend que le récipient collecteur prend une forme courbe comprise entre un demi cylindre et un cylindre entier, celui-ci étant toujours concentrique et intérieur au premier cylindre de la chambre de vaporisation. Dans un premier mode, le récipient collecteur peut être par exemple un demi-cylindre du type tuile arquée sur environ 180°, et peut être recouvert d'une plaque plane passant par l'axe longitudinal du cylindre pour produire un espace collecteur de tartre presque fermé. Dans un deuxième mode, le récipient collecteur peut être un cylindre presque complet sur environ 270°. Il s'agit préférentiellement de cylindres de révolution. Cette concentricité permet à l'ensemble de présenter une bonne compacité et de réduire au mieux le volume de l'appareil. Cette concentricité permet aussi au 25 récipient collecteur d'occuper un grand volume donc une grande surface de contact avec la vapeur et permet de récupérer plus de tartre. Cette concentricité permet de donner une forme courbe au récipient collecteur dont le tarte déposé -en absence de forme anguleuse- pourra être facilement nettoyé ou raclé. 30 Cette concentricité peut permettre au récipient collecteur si nécessaire de facilement coulisser au moins partiellement hors de l'appareil pour y récupérer le tartre.

Cette concentricité lorsqu'elle est réalisée avec des pièces en contact permet un meilleur échange de chaleur de la chambre de vaporisation vers le collecteur. Toute forme emboitable du collecteur dans la chambre est envisageable par l'homme du métier : par exemple un premier parallélépipède rectangle capable de coulisser dans et en contact au moins partiellement avec un deuxième plus grand parallélépipède rectangle. L'avantage de cette forme parallélépipédique est qu'une résistance CTP peut être plaquée contre les parois.

La canalisation d'amenée de fluide depuis le réservoir peut passer au travers du récipient collecteur par une ouverture traversante générée dans le récipient. L'ouverture traversante peut être longitudinale si le récipient est amovible et que la canalisation d'amenée débouche directement dans le récipient. L'angle d'ouverture est supérieur au diamètre de la canalisation d'amenée d'eau pour générer un passage de sortie de la vapeur hors du collecteur dans le cas où une seule ouverture traversante est pratiquée. Selon l'invention, l'ensemble formé par la chambre de vaporisation et le récipient collecteur de tartre peut présenter des moyens promoteurs de turbulence entre la sortie de la canalisation d'amenée de fluide et les orifices de distribution de vapeur. Ces moyens promoteurs de turbulence du fluide et de la vapeur représentent des chicanes pour le flux et améliorent la vaporisation. Selon un mode de réalisation de ces moyens promoteurs de turbulence, le récipient collecteur de tartre peut présenter une ouverture traversante longitudinale et l'épaisseur du récipient collecteur est affinée entre ladite ouverture et les orifices de distribution de vapeur pour former au moins une chicane promotrice de turbulence. La paroi du récipient affinée permet de former un chemin « accidenté » pour la vapeur vers les orifices de sortie tout en maintenant au moins la concentricité et la proximité du récipient collecteur avec la chambre de vaporisation. Ceci permet également de vaporiser les éventuelles gouttes d'eau non vaporisées encore, assurant une vaporisation de tout le fluide grâce à la surface d'échange optimisée en valeur (surface agrandie), et évitant que toute goutte de fluide brulant ne soit projetée sur le cuir chevelu. On entend par chicane tout obstacle ou barrière placée dans la chambre créant des déplacements accidentés de la vapeur, déplacements en zigzag par exemple, réduisant la vitesse de passage dans la chambre, augmentant le contact de l'ensemble vapeur-fluide avec les surfaces des différentes parois chaudes de l'ensemble formé par la chambre de vaporisation et le récipient collecteur. Selon l'invention, les moyens pour récupérer et évacuer le tartre peuvent comprendre un bouchon solidaire en rotation du récipient collecteur et agencé à une extrémité longitudinale de l'appareil. Ceci permet à l'utilisateur de retirer le récipient au moins partiellement amovible de l'appareil facilement avec une prise de main améliorée. Le récipient collecteur sera coulissé en translation seulement, le long de l'axe du récipient ou bien il sera coulissé en translation le long de l'axe du récipient et rotation autour dudit axe. Selon l'invention, le récipient collecteur de tartre peut comprendre une lame racleuse en son extrémité longitudinale pour racler le tartre déposé sur la partie de paroi interne de la chambre de vaporisation. Ce raclage est bien entendu effectué quand le récipient collecteur est extrait au moins partiellement de ladite chambre. La lame racle le tartre et le fait tomber dans la partie collectrice du récipient pour pouvoir l'extraire après récupération. Selon l'invention, les moyens pour récupérer et évacuer le tartre peuvent comprendre une tige hélicoïdale amovible pour évacuer le tartre, la tige étant agencée au moins partiellement à l'intérieur de la chambre de vaporisation. Cette tige permet de racler la paroi recouverte de tartre et évacuer le tartre. Selon un premier mode d'usage de la tige, la tige hélicoïdale peut être en contact direct avec la paroi interne de la chambre de vaporisation pour évacuer le tartre déposé sur la paroi de la chambre de vaporisation. Selon un deuxième mode d'usage de la tige, la tige hélicoïdale peut être agencée à l'intérieur du récipient collecteur de tartre en contact direct avec la paroi interne du récipient collecteur pour évacuer le tartre déposé sur la paroi du récipient collecteur. Selon l'invention, les moyens pour récupérer et évacuer le tartre peuvent comprendre un moyen de rétention du calcaire. Le moyen de rétention est logé dans le récipient collecteur de tartre au fond. Le moyen accumule ou absorbe le tartre. Il est par exemple une barrette de matériau absorbeur de tartre qui peut contenir de la laine de roche et/ou du papier dit papier Ahlstrom et/ ou tout autre matériau capable d'absorber le tartre. Le papier Ahlstrom (du nom de la société de fabrication) est défini par la matière fibres d'alumine. Ces moyens d'absorption du calcaire peuvent être nettoyables ou jetables ou interchangeables. Selon l'invention, la chambre de vaporisation peut être d'une seule pièce et peut comprendre un logement recevant un élément chauffant dédié à la chambre de vaporisation. Ceci permet une vaporisation contrôlable de façon indépendante à toute autre chauffe dans l'appareil de coiffure. Il existe un contact linéaire mais pas forcément intime entre l'élément chauffant et la chambre de vaporisation. L'élément chauffant peut être placé juste en face de la canalisation débouchant dans la chambre de vaporisation pour rendre plus chaude la surface qui reçoit directement le fluide et ainsi améliorer l'efficacité de vaporisation. Selon l'invention, l'appareil de coiffure pour mettre en forme les cheveux peut comprendre au moins une surface de traitement destinée à venir en contact avec les cheveux. Les cheveux sont ainsi mis en forme par contact avec une surface chaude et réception de vapeur simultanée et/ou successive. L'appareil peut être un lisseur ou un boucleur... Plus précisément dans ce mode de réalisation, l'appareil de coiffure peut comprendre une première et une deuxième mâchoire disposées en regard l'une de l'autre, ladite première surface de traitement étant portée par la première mâchoire et une deuxième surface de traitement étant portée par la deuxième mâchoire, les surfaces étant destinées à pincer une mèche de cheveux. Les deux surfaces de traitement des cheveux sont sensiblement complémentaires et de forme plane ou courbée ou gaufrée. Il s'agit alors d'un lisseur, d'un boucleur, respectivement d'un gaufreur.

Brève description des dessins : L'invention sera mieux comprise à l'étude des modes de réalisation pris à titre nullement limitatif et illustrés ici : La figure 1 illustre une vue en coupe d'un premier mode de réalisation de l'appareil selon l'invention, Les figures 2 et 3 illustrent une vue en perspective et en coupe d'un deuxième mode de réalisation de l'appareil selon l'invention, La figure 4 illustre une partie de l'appareil contenant l'invention, Les figures 5, 5' et 5" illustrent des vues en perspective des moyens ou d'une partie des moyens pour récupérer et évacuer du tartre selon l'invention; La figure 6 illustre une vue en coupe des moyens pour récupérer et évacuer du tartre selon l'invention; Les figures 7 et 7' illustrent un premier mode de réalisation d'une tige d'évacuation selon l'invention; Les figures 8 et 8' illustrent un deuxième mode de réalisation d'une tige d'évacuation selon l'invention. Exposé détaillé de l'invention commun à tous les modes: Comme illustré en figure 1, l'appareil peut être un lisseur avec un réservoir de fluide 19 rigide ou souple contenant par exemple de l'eau ou un agent cosmétique fluide. Le réservoir peut être rempli par une ouverture 22. Le cosmétique peut être déposé en même temps ou avant/après la chauffe des cheveux. Pour cela des moyens d'occlusion en fluide 14 comprennent au moins une valve, un clapet ou une soupape et peuvent être commandés à la fermeture et/ou à l'ouverture de l'appareil (ici détectées par des moyens magnétiques 14 et 14') pour laisser passer un agent fluide cosmétique via des moyens de distribution du fluide.

Quand l'appareil est un lisseur ou un boucleur, il peut prendre deux formes de réalisation comme il est décrit ici. La première forme de réalisation est illustrée en figures 2 et 3 : elle comprend deux parties principales : la première partie étant un appareil portable ou pièce à main 100 comprenant les deux mâchoires 2,3 montées sur charnière 20, une unité de contrôle 13, la première mâchoire 2 comprenant les moyens de vaporisation 7 et les moyens de récupération et d'évacuation du tartre 10, les moyens de réglage de débit de fluide 6 et un réservoir 19 d'où est pompé le liquide nécessaire pour la formation de la vapeur, au moins un cordon de communication de fluide 21 étant prévu entre la base 1000 et l'appareil portable 100. Les figures 2 et 3 dont les références numériques correspondent illustrent un appareil de coiffure 1 à vapeur pour mettre en forme les cheveux comprenant une première et une deuxième mâchoire 2, 3 disposées en regard l'une de l'autre, une première surface de traitement 4 portée par la première mâchoire 2 et une deuxième surface de traitement 5 portée par la deuxième mâchoire 3, les surfaces 4 et 5 étant destinées à pincer une mèche de cheveux, le réservoir 19, une chambre de vaporisation 7 du liquide en communication de fluide avec le réservoir 19, des moyens de distribution 7" de la vapeur en communication avec la chambre de vaporisation 7 comportant plusieurs orifices de distribution de la vapeur en direction d'une mèche de cheveux. La première mâchoire 2 et la deuxième mâchoire 3 sont reliées par une articulation de type charnière 20. L'angle maximum a d'ouverture des deux mâchoires est compris entre 5° et 60°, voire entre 10° et 20°, et préférentiellement environ égal à 15°.

La deuxième forme de réalisation est illustrée en figure 1 : l'appareil est fait d'une pièce principale avec la première mâchoire 2 comprenant alors l'unité de contrôle 13, un réservoir de fluide 19, des moyens de réglage 6 de débit de fluide, des moyens de vaporisation 7 et les moyens de récupération et d'évacuation du tartre 10.

Ainsi le réservoir de liquide peut être embarqué dans le lisseur qui constitue l'appareil ou peut alternativement être agencé à distance du lisseur dans une base dite déportée comme illustrée en figures 2 et 3. Lorsqu'il est à distance, il peut être compris dans une carafe séparée de l'appareil lisseur-boucleur et en communication de liquide avec les moyens de vaporisation de l'appareil. La base 1000 comprend le réservoir principal de fluide 19, une unité portable 100 comprenant la chambre de vaporisation du fluide 7, des moyens de distribution de la vapeur 7" à destination des cheveux, un cordon 21 comportant au moins une canalisation destinée au passage de fluide et agencée entre le réservoir principal de fluide 19 et les moyens de vaporisation 7, l'unité portable 100 comprend uniquement ou au moins une première surface de traitement 4 destinée à venir en contact avec les cheveux et les moyens de vaporisation du fluide 7 sont exclusivement prévus dans l'unité portable 100. La base est dite « déportée » de l'unité portable, et posable sur un plan de travail. La base comporte un socle 1001 pour recevoir l'appareil portable ou pièce à main 100 lorsqu'il n'est pas en usage, et comporte un couvercle 2030, le couvercle peut être totalement amovible pour remplacer les moyens de déminéralisation (cartouche résine) quand nécessaire. Elle comporte des moyens de déminéralisation 2000 qui permettent de réduire la teneur en calcaire du fluide introduit dans la base. Ces moyens de déminéralisation 2000 sont agencés entre un réservoir intermédiaire qui reçoit le fluide « brut » et entre le réservoir principal 19 qui contient le fluide « épuré » à destination de l'unité portable 100.

La première surface 4 et la deuxième surface 5 de traitement des cheveux sont des surfaces complémentaires plates d'un appareil à lisser ou courbes (non illustrées) d'un appareil à boucler ou ondulées (non illustrées) d'un appareil à gaufrer. Un appareil à boucler est par exemple décrit dans le brevet EP0619087 ou encore EP2152114 cités à titre d'exemple. Un appareil à boucler concerne un appareil de traitement et/ou de mise en forme des cheveux, de préférence à usage manuel, comportant agencé à partir d'un corps principal, un moyen de préhension, un corps d'enroulement pour les mèches de cheveux, monté de préférence libre à rotation sur le corps principal autour de son axe longitudinal et au moins une pince mobile pour le serrage de la mèche de cheveux sur le corps. Un appareil à gaufrer est un appareil muni de deux mâchoires en regard l'une de l'autre et avec chacune une surface de traitement non plane, décrit par exemple dans le brevet W02008129172.

Comme illustré en figures 4 et 5, le réservoir de fluide, contenu indifféremment dans l'appareil à main 100 ou dans une base déportée 1000, est relié aux moyens de vaporisation et d'évacuation du tartre par la canalisation 15 longeant la chambre de vaporisation et se connectant par un coude 16 directement sur le récipient collecteur de tartre en traversant la paroi de la chambre de vaporisation 7 par un orifice dédié traversant la paroi de la chambre 7. La connexion en fluide est faite environ à la moitié longitudinale du récipient collecteur pour une répartition la plus homogène possible du fluide dans le récipient collecteur 11.

Comme illustré en figure 5 et 5', les moyens pour récupérer et évacuer du tartre 10 comprennent l'ensemble formé par le récipient collecteur 11 et le bouchon 12, ensemble solidaire et amovible -ou partiellement amovible- de la chambre de vaporisation 7. A cet effet une ouverture 12' est aménagée dans le boitier de l'appareil, ici à l'extrémité de la mâchoire du lisseur pour extraire facilement l'ensemble. Pour que l'ensemble amovible soit totalement extractible de l'appareil, le récipient collecteur de tartre comporte une fente longitudinale 11" dont la hauteur est supérieure au diamètre de la canalisation 15 d'arrivée de fluide dans le collecteur 11. La fente longitudinale 11" est ici prolongée à l'extrémité du récipient collecteur pour permettre de retirer entièrement le moyen collecteur et évacuateur de tartre. Ainsi la barrette d'absorbeur de tartre 17 est plus facilement interchangée. A cet effet, il peut être prévu que l'appareil de coiffure soit livré en kit avec plusieurs barrettes d'absorbeur 17 à dimension adéquate enveloppées dans un sachet unique jetable. Ainsi également le collecteur, lorsqu'il est entièrement retiré de l'appareil de coiffure, est plus facilement nettoyable. Il peut être prévu que l'appareil de coiffure soit livré en kit avec un tube type tube à essai bouchonné capable de contenir une solution de nettoyage de tartre (à base de vinaigre par exemple...) et de recevoir le collecteur 11 pour nettoyer facilement le collecteur de son tartre.

La figure 5" illustre le récipient collecteur 11 seul. La figure 6 illustre une coupe du récipient 11 assemblé alors avec la chambre de vaporisation 7, il est alors entièrement agencé dans la chambre de vaporisation 7. La figure 5" présente le collecteur 11 ayant une forme de cylindre rainuré longitudinalement pour laisser passer la canalisation 15 d'arrivée de fluide. Au moins un des deux bords longitudinaux de la rainure présente une épaisseur amincie 11' à l'extérieur du cylindre. Ainsi, comme illustré par les flèches en figure 6, la vapeur formée au sein du collecteur passe par le passage laissé entre la canalisation 15 et le bord à épaisseur amincie 11', puis emprunte le passage laissé entre le bord à épaisseur amincie 11' et la paroi interne de la chambre 7 en regard : ce passage en labyrinthe est un promoteur de turbulence pour le fluide et permet de vaporiser d'éventuelles dernières gouttes d'eau chaude. Ensuite la vapeur atteint les moyens de distribution 7" (ligne droite d'orifices) en sortant de l'intérieur de la chambre 7. Au moment de l'extraction du récipient 11 hors de l'appareil, la lame racleuse 11"' à l'extrémité du récipient racle la surface de la chambre de vaporisation 7 soumise à la vapeur et couverte de tartre.

Comme illustré en figure 1 et 3, l'unité portable 100 comprend des moyens de chauffage 8 respectivement 9 pour chauffer la première surface de traitement 4 respectivement la deuxième surface de traitement 5. Il peut s'agit d'un élément chauffant 8,9 qui peut être une thermistance CTP ou une céramique qui est plaquée contre la surface de traitement 4,5 ou agencée à l'intérieur des éléments comprenant la surface de traitement 4, 5. Comme illustré en figure 6, les moyens de vaporisation du fluide 7 comportent une chambre de vaporisation et des moyens de chauffage 18 de la chambre de vaporisation 7. La chambre est réalisée en aluminium, peut comporter une barrette longitudinale d'orifices pour la distribution de vapeur 7". La chambre peut être plaquée en contact direct ou indirect contre l'élément de chauffage 18. Le capteur de température CTN 18' peut être préférentiellement agencé au niveau de l'arrivée de fluide. Les moyens de chauffage 18 de la chambre de vaporisation peuvent être au moins un élément chauffant qui peut être une thermistance CTP ou un élément chauffant céramique qui est plaqué au moins linéairement contre une des parois. L'élément chauffant peut être dédié ou séparé des moyens de chauffage de la surface de traitement de l'appareil de coiffure. Les moyens de distribution de la vapeur 7" présentent une série d'orifices de sortie de vapeur agencés latéralement à la première surface de traitement 4, préférentiellement un peu en retrait de la surface de traitement 4. Alternativement ou additionnellement les moyens de distribution de la vapeur 7" présentent une série d'orifices agencés sur la surface de traitement. Selon l'invention, le ou les éléments chauffants peuvent être destinés à être régulés par une thermistance 18'. Cette thermistance fonctionne comme sonde de température. Elle peut être une CTN (résistance à Coefficient de Température Négatif). La thermistance est branchée pour agir comme une sécurité car elle peut bloquer les moyens de distribution d'eau (pompe) selon la température. D'autres conditions peuvent s'y ajouter comme par exemple la détection de l'ouverture du lisseur qui arrête la pompe. Il est pris comme limite basse de température environ 95°C et comme limite haute de température 130°C, ou bien une gamme plus petite de 105 à120°C, voire une valeur égale à 110°C. Comme illustré en figures 7 et 7', un premier mode de réalisation représente une tige d'évacuation 120 insérée directement dans la chambre de vaporisation démunie de collecteur. Cette tige a la forme d'un tire bouchon et raclera la paroi de la chambre de vaporisation 7 cylindrique. Les moyens pour récupérer et évacuer le tartre 10 sont alors formés par l'ensemble tige 120 et bouchon 12. Alternativement, et comme illustré en figures 8 et 8', un deuxième mode de réalisation représente une tige d'évacuation insérée à l'intérieur du collecteur déjà prévu dans la chambre de vaporisation. Les moyens pour récupérer et évacuer le tartre 10 sont alors formés par l'ensemble collecteur 11, tige 120 et bouchon 12. Cette tige a la forme d'un tire bouchon et raclera la paroi du collecteur partiellement cylindrique.

Description en fonctionnement : En fonctionnement, lorsque l'appareil lisseur est allumé, l'élément chauffant se met à chauffer la chambre de vaporisation, et un autre élément se met à chauffer les surfaces destinées à venir en contact avec les cheveux. Lorsque le capteur 18' de température atteint une température seuil (150°C par exemple) ou lorsque l'appareil détecte la fermeture des mâchoires, il libère l'eau par l'actionnement de la pompe 6 actionnée par le moteur 6'. L'eau arrive par le tuyau d'amenée 15 et tombe directement dans le récipient collecteur de tartre muni de la laine de roche 17 absorbante de tartre. L'eau devrait tomber sur la surface la plus chaude car en contact direct avec l'élément chauffant 18. L'eau est transformée en vapeur et la vapeur produite passe du récipient collecteur dans la chambre de vaporisation via les bords à épaisseur amincie 11' qui jouent le rôle de chicanes, et arrive dans la rampe de trous 7" d'évacuation de la vapeur. Tout au long de la durée de vie de l'appareil, du tartre va se former, selon la dureté de l'eau utilisée. Ce tartre restera prisonnier principalement dans le récipient collecteur de tartre 11. Et hors fonctionnement l'utilisateur pourra par les moyens d'évacuation du tartre 10 le retirer du collecteur amovible et pourra remplacer le matériau laine de roche 17 ayant absorbé le tartre. Bien entendu, l'invention n'est nullement limitée au mode de réalisation décrit et illustré qui n'a été donné qu'à titre d'exemple. Des modifications restent possibles, notamment du point de vue de la constitution des divers éléments ou par substitution d'équivalents techniques, sans sortir pour autant du domaine de protection de l'invention.20

Claims (18)

1. REVENDICATIONS1) Appareil de coiffure (1) comprenant un réservoir de liquide (19) en communication de fluide avec une chambre de vaporisation (7), ladite chambre de vaporisation (7) étant en communication de fluide avec des moyens de distribution (7") de la vapeur en direction d'une mèche de cheveux, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens pour récupérer et évacuer du tartre (10).
2. 2) Appareil de coiffure selon la revendication précédente caractérisé en ce que les moyens pour récupérer et évacuer du tartre (10) sont au moins partiellement amovibles de l'appareil.
3. 3) Appareil de coiffure selon la revendication précédente caractérisé en ce que les moyens pour récupérer et évacuer du tartre (10) sont au moins partiellement amovibles de la chambre de vaporisation (7) par une ouverture (12') disposée dans ladite chambre.
4. 4) Appareil de coiffure selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que les moyens pour récupérer et évacuer du tartre (10) comprennent un récipient collecteur de tartre (11).
5. 5) Appareil de coiffure selon la revendication précédente caractérisé en ce que le récipient collecteur de tartre (11) est agencé au moins partiellement à l'intérieur de la chambre de vaporisation (7) et en ce qu'au moins une partie de la paroi externe dudit récipient collecteur (11) de tartre est en contact avec au moins une partie de la paroi interne de la chambre de vaporisation (7).
6. 6) Appareil de coiffure selon l'une des deux revendications précédentes caractérisé en ce que le réservoir de liquide (19) est en communicationde fluide avec le récipient collecteur (11) par au moins une canalisation de fluide (15) traversant la paroi de la chambre de vaporisation (7).
7. 7) Appareil de coiffure selon une des revendications 4 à la précédente caractérisé en ce que la chambre de vaporisation (7) présente substantiellement la forme d'un premier cylindre, en ce que le récipient collecteur de tartre (11) présente la forme au moins partiellement d'un demi-cylindre et en ce que le récipient collecteur de tartre (11) est intérieur et concentrique au premier cylindre.
8. 8) Appareil de coiffure selon l'une des revendications 4 à la précédente caractérisé en ce que l'ensemble formé par la chambre de vaporisation (7) et le récipient collecteur (11) de tartre présente des moyens promoteurs de turbulence (11') entre la sortie de la canalisation d'amenée de fluide (15) et les orifices de distribution (7") de vapeur.
9. 9) Appareil de coiffure selon l'une des revendications 7 et 8 caractérisé en ce que le récipient collecteur de tartre (11) présente une ouverture traversante longitudinale (11") et l'épaisseur du récipient collecteur (11) est affinée entre ladite ouverture (11") et les orifices de distribution (7") de vapeur pour former au moins une chicane promotrice de turbulence.
10. 10) Appareil de coiffure selon l'une des revendications 4 à la précédente caractérisé en ce que les moyens pour récupérer et évacuer le tartre (10) comprennent un bouchon (12) solidaire en rotation du récipient collecteur (11) et agencé à une extrémité longitudinale de l'appareil (1).
11. 11) Appareil de coiffure selon l'une des revendications 4 à la précédente caractérisé en ce que le récipient collecteur de tartre (11) comprend une lame racleuse (11"' ) en son extrémité longitudinale pour racler le tartre déposé sur la partie de paroi interne de la chambre de vaporisation (7).
12. 12) Appareil de coiffure selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que les moyens pour récupérer et évacuer le tartre (10) comprennent une tige hélicoïdale (120) amovible pour évacuer le tartre, la tige étant agencée au moins partiellement à l'intérieur de la chambre de vaporisation (7).
13. 13)Appareil de coiffure selon la revendication précédente caractérisé en ce que la tige hélicoïdale (120) est en contact direct avec la paroi interne de la chambre de vaporisation (7) pour évacuer le tartre déposé sur la paroi de la chambre de vaporisation (7).
14. 14)Appareil de coiffure selon l'une des revendications 4 et 5 en combinaison avec la revendication 12 caractérisé en ce que la tige hélicoïdale (120) est agencée à l'intérieur du récipient collecteur et en contact direct avec la paroi interne du récipient collecteur (11) pour évacuer le tartre déposé sur la paroi du récipient collecteur (7).
15. 15)Appareil de coiffure selon l'une des revendications 1 à 12 caractérisé en ce que les moyens pour récupérer et évacuer le tartre (10) comprennent un moyen de rétention du calcaire (17).
16. 16)Appareil de coiffure selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que la chambre de vaporisation est d'une seule pièce et comprend un logement recevant un élément chauffant (18) dédié à la chambre de vaporisation (7).
17. 17) Appareil de coiffure pour mettre en forme les cheveux selon une des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comprend au moins une surface (4) de traitement destinée à venir en contact avec les cheveux.
18. 18) Appareil de coiffure selon la revendication précédente caractérisé en ce qu'il comprend une première et une deuxième mâchoire (2, 3) disposées en regard l'une de l'autre, ladite première surface de traitement (4) portée par la première mâchoire (2) et une deuxièmesurface de traitement (5) portée par la deuxième mâchoire (3), les surfaces (4,5) étant destinées à pincer une mèche de cheveux.