FR2810658A1 - Dispositif facilitant le cassage des ampoules contenant des produits pharmaceutiques ou autres et protegeant les doigts des blessures et des particules de verre - Google Patents

Abstract

L'invention se rapporte à un dispositif élémentaire destiné à faciliter le cassage manuel des pointes (2) (3) d'ampoules (1) pharmaceutiques et la protection efficace des doigts (13) (14).Une petite gaine (21) en matière plastique semi-rigide, de section uniforme est extrudée, avec un orifice central (22) traversant, divisé pour créer 2 chambres de cassage (28) (29), séparées.La gaine (21) épouse exactement la configuration de chacune des pointes (2) (3) engagées dans l'une, puis l'autre chambre, toujours maintenue entre les doigts (13) (14), en permet le cassage et, après avoir bloqué en elle les embouts (6) (7) et particules de verre et de plastique est mise aux déchets.Les gaines conditionnées en boîtes sont disponibles, non dans les coffrets d'ampoules, mais dans les pharmacies, pas exclusivement.

Description

La présente invention concerne un dispositif élémentaire facilitant le cassage manuel des pointes d'ampoules pharmaceutiques ou d'autres produits, en protégeant efficacement les doigts de blessures éventuelles.

Nous connaissons les difficultés rencontrées par chacun de nous lors du cassage des ampoules en verre dites autocassables contenant des préparations pharmaceutiques, ou pour autres produits, difficultés ressenties plus intensément chez les personnes âgées et/ou légèrement handicapées, à telle enseigne qu'elles recherchent présentement des médications solides.

Pour une opération de cassage de pointes d'ampoules qui fait nécessairement appel aux seuls doigts des utilisateurs, on peut constater - certaine appréhension de ces derniers faite à l'idée d'une blessure occasionnée par la création, au point de rupture des pointes d'ampoules, de surfaces irrégulières et tranchantes y a effectivement des blessures, - découle de cela que les prises de doigts sur l'ampoule sont trop éloignées l'une l'autre l'effort nécessaire à la cassure est important, - bris de verre associés à des parcelles de l'enrobage plastique de la zone cassure adhèrent aux doigts, d'autres sont inévitablement mélangés à la préparation.

Ces ampoules généralement en verre, se présentent à l'utilisateur avec 1 ou pointes, bien en ampoules dites ampoules-bouteilles. Pour la majorité d'entre elles une ligne de moindre résistance est gravée - au laser - dans une zone précise pour positionner le lieu de rupture et favoriser le cassage des pointes. Parfois une ligne trop superficielle - provenant d'une légère sur-épaisseur du verre ou d'un déréglage du laser - interdit totalement rupture la pointe d'où l'impossibilité pour l'utilisateur, de "prendre son médicament".

Pratiquement toutes les ampoules sont conditionnées en coffrets de 10, 20 ou unités. l'intérieur de ceux-ci, outre les ampoules, on remarque quelquefois un outil simple pour leur cassage: - il peut être unitaire et s'utilise pour toutes les ampoules du coffret, ce qui implique de le nettoyer après chaque cassage de pointe : extraire l'embout, les particules de verre de film plastique ; il est aussi pollué par des traces du produit ampoulé, - différemment y a de petits éléments plastiques indépendants (conf. publications FR-A-2 364 649, US-A 423 440, US-A-3 862 654) pré-conformés ou bien d'autres reliés entr'eux, difficilement désolidarisables avant leur utilisation (conf. publication FR-A-2 744 437) initialement conformés aux configurations des pointes d'ampoules, - en d'autres coffrets, ce sont les chevalets qui encliquetant les ampoules, sont utilisés comme pinces de cassage, après leur détachage de la semelle de base, grace à des pointillés de découpage judicieusement implantés (conf. publication FR-A-2 703 336). On remarque que très peu de laboratoires utilisent ces systèmes pour ne pas augmenter prix de vente de leurs produits.

Pour soustraire l'utilisateur - le patient - à tous les désagréments inhérents au cassage des pointes d'ampoules à mains nues, un dispositif élémentaire lui proposé, concrétisé par une petite en matière plastique semi-rigide - ou tout autre matériau pouvant convenir - dimensionnée l'échelle des pointes d'ampoules et des doigts. Elle est basée sur le "principe du levier", ce fait qu'en la manoeuvrant, elle décuple l'effort déployé par le patient pour rompre les pointes d'ampoules.

La petite gaine - simplifions en la dénommant gaine - étui qui recouvre, protège quelque chose - constitue également un écran de protection des doigts envers les blessures et particules de verre.

La gaine est utilisée dans le sens longitudinal de l'ampoule, recouvre quasiment toute la longueur d'une pointe, c'est-à-dire depuis sensiblement le diamètre moyen pris au col de l'ampoule, jusqu'au-delà de son extrémité. Transversalement, elle enveloppe également la pointe au travers de son orifice globalement oblong et traversant, scindé en au moins 2 chambres de cassage des pointes, toujours sans fond. La dite gaine se conforme en épousant continûment les différentes sections successives de la pointe d'ampoule. Entr'autre - la "déformabilité" de la gaine fait que le point d'appui du "principe du levier" s'applique toujours sur la ligne de moindre résistance au cassage, ce qui a pour avantage de limiter les éclats et particules de verre, - le recouvrement quasiment total de la pointe d'ampoule par la gaine permet de capter toutes les particules tant en amont qu'en aval de la ligne de moindre résistance - approximativement 7 mm. en amont de la ligne, 5 mm. minimum en aval de la pointe.

Lorsque la ligne de moindre résistance est trop faiblement prononcée ou même lorsque cette dernière est inexistante, la pointe d'ampoule est tout de même rompue, avec un moment de flexion un peu plus important. Cela est possible d'une part grâce au large recouvrement de la pointe d'ampoule, et d'autre part avec 1"'effet levier" appliqué.

L'originalité de la gaine se remarque par le qu'elle est instantanément disponible, prête à l'emploi pour rompre, à elle seule, successivement et sans lâcher prise des doigts, les 2 pointes d'une ampoule pharmaceutique, puis jetée aux déchets.

Conditionnée avec d'autres identiques indépendantes, hors des coffrets d'ampoules, elles sont disponibles dans les pharmacies, exclusivement.

Une gaine est prélevée de son conditionnement pour effectuer le cassage des 2 pointes d'une ampoule. Elle est saisie, entre le pouce l'index, par les 2 surfaces planes et parallèles ; le corps de l'ampoule est maintenu les mêmes doigts de l'autre main. Les 2 mains, déjà proches avancent l'une de l'autre, pointe de l'ampoule orientée sensiblement dans l'axe de l'une des 2 chambres de cassage l'orifice matérialisé de la gaine. L'ensemble est positionné correctement lorsque la vient au contact du col de l'ampoule, approximativement à son diamètre moyen. faible moment de flexion suffit à casser la pointe.

Eloigner ensuite de quelques millimètres gaine du col de l'ampoule. La gaine par sa propriété d'auto-serrage bloque l'embout et ensevelit les particules qui ne peuvent cheminer dans la deuxième chambre de cassage du fait l'existence d'une double cloison médiane longitudinale.

Les doigts maintiennent toujours l'ensemble gaine + bris de verre. Après retournement de l'ampoule de 180 avec les mêmes pouce index, la 2e pointe est engagée dans la deuxième chambre de cassage de la gaine, cette dernière présentant toujours la même extrémité à l'ampoule : le cassage peut s'opérer, les bris de verre se bloquent dans cette chambre, puis l'ensemble est mis aux déchets avec le corps de l'ampoule. Le cassage a été exécuté avec la sécurité maximale. D'autres avantages et caractéristiques ressortiront plus clairement de la description qui va suivre mode de mise en oeuvre de l'invention donné à titre d'exemple non limitatif et représenté dessin annexé sur lequel - la figure 1 une vue en perspective représentant l'approche de l'ampoule et de la gaine ampoule transparente, - la figure 2 représente en vue perspective la position de la gaine sur la pointe d'ampoule avant cassage - la en coupe longitudinale, l'ampoule transparente.

Sur la figure 1, on remarque une ampoule 1 constituée de 2 pointes 2 et 3 - une dans certaines ampoules - qui comprend les cols 4 de l'ampoule 1, les lignes de moindre résistance à la rupture 5, les embouts sécables 6 et 7, maintenue entre les doigts 11 et 12 d'une main tandis que la gaine 21 est saisie par les doigts 13 et 14 de l'autre main.

La 21 est exécutée en une matière plastique de préférence transparente - alimentaire médicale et quelquefois aseptisée - ou en toute autre matière semi-rigide appropriée. Conçues dans un ensemble de lignes longitudinales et parallèles, sans fond, les gaines peuvent de ce fait être produits en lignes continues par simple extrusion du matériau traversant une filière, cisaillées ensuite à leurs longueurs définitives. Ce processus de fabrication - a contrario de l'injection - offre l'avantage de prix de revient résolument faibles.

La gaine 21 est construite autour d'un orifice matérialisé, section oblongue 22 sans fond : la plus petite dimension de la section correspond approximativement au diamètre des extrémités des pointes 6 et 7 de l'ampoule 1, terminées arrondies la plus grande dimension à celle d'un doigt moyen 13. La souplesse relative du matériau permet à l'orifice 22 de la gaine 21 de s'ouvrir et d'absorber presque totalement les pointes 2, 3 l'ampoule 1.

Deux volumes de matières sont disposés parallèlement de part et d'autre de la grande dimension de l'orifice 22 : ils constituent 2 surfaces extérieures 23 des prises de doigts 13 et 14, rainées 24 favorisant simultanément la préhension ainsi qu'une relative souplesse circulaire de la gaine 21. Ces surfaces 23 de préhension sont, comparées à celles d'autres dispositifs de 2 à 6 fois plus grandes, réduisant d'autant les pressions spécifiques sur les doigts des patients, et les petites douleurs. Les 2 surfaces 23 de préhension sont reliées par 2 membranes 25 éventuellement de moindre épaisseur, déformables, créant l'unité de la gaine 21.

2 surfaces intérieures - surfaces planes de l'orifice oblong 22 - comportent chacune de part d'autre du plan vertical médian, une nervure solidaire 26, souple de par leur moindre épaisseur, de hauteur correspondant à la largeur de l'orifice 22.

Ces 2 nervures 26, chacune faisant partie intégrante de son propre volume 23, sont très proches l'une de l'autre : elles divisent l'orifice 22 pour former séparément 2 chambres de cassage et 29 pour les pointes 2 et 3 de l'ampoule 1.

variante, les 2 surfaces intérieures de l'orifice 22 comportent ici, ensemble, dans le plan vertical médian, une seule nervure solidaire 26 souple de par sa moindre épaisseur, de hauteur correspondant à la largeur de l'orifice de base 22 et ayant la forme d'un 1 majuscule, d'une seule barre d'un X majuscules ou d'une autre forme<B>;</B> les mini-sillons 27 décrits ci-après sont conservés.

Toutes les parois intérieures planes et courbes des 2 chambres de cassage 28 et 29 sont "tapissées" longitudinalement d'un ensemble de mini-sillons 27 qui, associés à l'auto-serrage naturel de la gaine 21, confèrent à cette dernière une très bonne rétention des embouts 7 et ensevelissent particules de verre et de film plastique.

la figure 2, les mains se sont rapprochées l'une de l'autre (suivant flèches P' fig. 1). gaine est représentée dans son positionnement final avant le cassage de la première pointe L'ampoule 1 avec sa pointe 2 a été avancée à l'intérieur de la première chambre de cassage jusqu'à ce que le col 4 de l'ampoule se trouve en contact - sensiblement son diamètre moyen - avec la face avant de la gaine 21.

face arrière de la gaine 21 dépasse de plusieurs millimètres l'extrémité de la pointe 2 qui cassée devient l'embout 6.

membranes 25 et le rainage 24 des surfaces 23 permettent à l'ensemble de la 21 de se conformer, de s'ajuster en épousant la configuration de quasiment toute la pointe de l'ampoule le long des diamètres successifs et progressifs de celle-ci: le moment de flexion (suivant flèches F, F, fig. 2) nécessaire au cassage est appliqué, par l'intermédiaire surfaces pour sectionner la pointe 2 ; l'embout 6 est bloqué dans la chambre de cassage tandis toutes les particules sont ensevelies dans les mini-sillons 27. Les nervures 26, leur souplesse "collent" au haut du col 4 de l'ampoule 1 et glissent relativement l'une rapport à l'autre, en-deçà du col 4 pour établir un barrage continu vers la deuxième chambre de cassage 29.

L'ampoule 1 est dégagée de quelques millimètres en arrière, - ou bien la gaine puis procéder à son retournement de 180 entre les doigts 11 et 12, les doigts 13 et maintiennent toujours la gaine 21, et ceci jusqu'à l'obtention du produit dans le récipient.

pointe 2 - la première cassée - est présentée au-dessus d'un récipient - un verre. Imposer l'ampoule 1 une inclinaison très approximative de 45 , ce qui permettra l'écoulement de la solution médicamenteuse dans le verre, sans lâcher la prise de la gaine deuxième pointe, la pointe 3 à casser se situe au point haut de l'ensemble, préférence en dehors de l'aplomb avec le verre.

ne pas faire vaciller le positionnement de la pointe 2 - la première cassée doit inévitablement rester au-dessus de la surface de réception du verre, il faut engager préférentiellement la chambre de cassage 29 de la gaine 21 sur la pointe 3 de l'ampoule casser, non inversement. Appliquer alors le moment de flexion (suivant flèches F, fig. 2) va sectionner la pointe 3.

en résulte que l'embout 7 est bloqué dans la chambre de cassage 29 tandis que particules sont ensevelies dans les mini-sillons 27. La solution pharmaceutique peut alors s'écouler dans le verre, et la gaine avec son contenu est mise aux déchets, le corps l'ampoule également.

En résumé et en ne considérant que les séquences manuelles nécessaires à l'opération de cassage des 2 pointes d'une ampoule - non classées dans l'ordre d'exécution séquences - on peut dire - l'ampoule 1 n'est prise qu'une seule fois "en main" pour casser la première pointe déterminant la désolidarisation du premier embout 6, - retournement de l'ampoule 1 de 180 , exécuté par la même main pour casser la deuxième pointe 3 déterminant la désolidarisation du deuxième embout 7, - la gaine 21 est prise de l'autre main qu'une seule et unique fois, est maintenue pour casser et bloquer embouts 6 et 7 et les particules ; elle est ensuite mise aux déchets ainsi que le corps de l'ampoule 1 .

sa configuration et son dimensionnement la gaine 21 est un standard qui convient pour le cassage d'ampoules de volumes divers, allant de 2 millilitres à 15 millilitres, et au- delà.

C'est petites boîtes que les gaines 21, identiques et indépendantes les unes des autres sont ' à la disposition des patients dans les pharmacies, mais pas exclusivement. La protection quasiment totale offerte par les gaines 21 les destine particulièrement à être utilisées les hôpitaux et cliniques pour pallier aux risques éventuels de propagation des maladies transmissibles (MT).

Elles sont conditionnées en petites boîtes contenant plusieurs dizaines d'unités, sur lesquelles boîtes sont imprimés icônes et textes pour en expliciter le mode d'emploi.

D'autre il est souhaitable que les laboratoires, après avoir vérifié les avantages et l'efficacité ces "outils élémentaires" et la sécurité apportée à leurs clients dans l'utilisation rationnelle leurs produits, mentionnent leurs noms sur les conditionnements pour labeliser le produit. laboratoires peuvent, même épisodiquement, intégrer ces "outils élémentaires" dans leurs coffrets d'ampoules.

Cet outil élémentaire est le maillon nécessaire entre un produit finement élaboré par les laboratoires et sa finalité : une utilisation facile et rationnelle qui ne doit comporter aucun risque pour les très nombreux utilisateurs, les Patients.

L'invention est nullement limitée au mode de réalisation décrit en référence au dessin annexé. Elle pourra faire l'objet de certaines variantes et/ou modifications sans pour cela sortir de ses propres limites.

La présente invention est particulièrement destinée à la création industrielle d'un outil élémentaire facilitant le cassage des ampoules contenant des produits pharmaceutiques ou autres et protégeant les doigts des blessures et des particules de verre.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS Dispositif mis en oeuvre pour libérer les produits pharmaceutiques ou autres contenus les ampoules (1) de verre, caractérisé par une gaine (21) semi-rigide, à section constante avec orifice oblong (22) traversant, se conformant pour épouser séparément les volumes des pointes (2) (3) d'une même ampoule (1). Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que la gaine (21) est construite autour d'un orifice de section oblongue (22) matérialisé, la plus petite dimension correspond approximativement au diamètre des extrémités des pointes (2) (3) de l'ampoule (1), terminées arrondies, la plus grande dimension à celle d'un doigt moyen (13), la souplesse relative du matériau permet à l'orifice (22) de la gaine (21) de s'ouvrir et d'absorber presque totalement les pointes (2) (3) de l'ampoule (1), ledit orifice étant divisé en au moins 2 chambres de cassage (28) (29).. 3. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce le matériau constitutif est réparti en 2 volumes disposés parallèlement de part et d'autre la grande dimension de l'orifice (22) ; ils présentent 2 surfaces extérieures (23) de prises doigts (13) (14) rainées (24) pour favoriser la préhension et une relative souplesse circulaire la gaine (21), les dites surfaces extérieures (23) sont reliées par 2 membranes (25) éventuellement de moindre épaisseur, déformables, réalisant l'unité de la gaine (21). Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que 2 surfaces planes intérieures de l'orifice (22) comportent chacune, part et d'autre du plan vertical médian, une nervure solidaire (26) souple de par sa moindre épaisseur, de hauteur correspondant à la largeur de l'orifice de base (22). 5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que les nervures (26) chacune faisant partie intégrante de son propre volume (23) sont très proches l'une de l'autre : elles divisent l'orifice (22) pour former séparément au moins 2 chambres cassage (28) (29) pour pointes (2) (3) de l'ampoule (1). Dispositif selon les revendications 4 et 5, caractérisé en ce que nervures (26), par leur souplesse, "collent" au haut du col (4) de l'ampoule (21) et glissent relativement l'une par rapport à l'autre, en deçà du col (4) pour établir un barrage continu vers la 2e chambre de cassage (29). Dispositif selon les revendications 1, 2 et 3, caractérisé en que, en variante les 2 surfaces planes intérieures de l'orifice (22) comportent ensemble, le plan vertical médian, seule nervure solidaire (26) souple de par sa moindre épaisseur, hauteur correspondant à largeur de l'orifice de base (22) et ayant la forme d'un 1 majuscule, d'une seule barre d'un majuscule ou d'une autre forme ; les mini-sillons (27) sont conservés. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que toutes les parois intérieures planes et courbes des 2 chambres (28) (29) sont "tapissées" longitudinalement d'un ensemble de mini-sillons (27) qui, associés à l'auto-serrage naturel de la gaine (21) confèrent à cette dernière une très bonne rétention des embouts (6) (7) et provoquent l'ensevelissement des particules de verre et de film plastique. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que membranes (25) et le rainage (24) des surfaces (23) permettent à l'ensemble de la gaine 1) de se conformer, de s'ajuster en épousant la configuration de quasiment toute la pointe de l'ampoule le long de ses diamètres successifs et progressifs. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce gaines (21) sont réalisées avec un matériau plastique semi-rigide, favorablement transparent - alimentaire ou médical et quelquefois aseptisé - ou en toute autre matière ' rigide appropriée.