FR2780517A1 - Dispositif de visualisation stereoscopique laser - Google Patents

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Abstract

Dispositif de visualisation stéréoscopique laser.La présente invention concerne un dispositif de visualisation stéréoscopique, à partir d'une transmission de signaux vidéos restitués sous forme d'images par deux télédiffuseurs lasers (1G) et (1D) pouvant être complétés par deux dioptres de collimation (2G) et (2D). Un télédiffuseur lasers (1G) ou (1D) est caractérisé en ce qu'il diffuse à partir de chacun des pixels (7) de son moniteur (8) des faisceaux lumineux lasers (5b), (5v) et (5r) de rayons parallèles et en ce qu'un système lenticulaire de collimation (2G) et (2D) associé aux oculaires de l'observateur focalise les faisceaux lumineux lasers (5b), (5v) et (5r) sur sa rétine.Ce système de visusalisation stéréoscopique est particulièrement destiné aux déplacements spatio-temporelles d'un utilisateur par la simulation d'images virtuelles.

Description

La présente invention concerne un dispositif de visualisation de
stéréogrammes, à partir d'une transmission de signaux vidéos restitués sous forme d'images en relief par
deux télédiffuseurs lasers.
La reconstruction du relief à partir d'images planes, peut être réalisée en utilisant la technique de l'anaglyphe ou de la stéréophotographie connue depuis le début du siècle. La vision en relief repose sur la vision binoculaire dite stéréoscopique ou à trois dimensions. La profondeur10 stéréoscopique, est donnée par la différence de perspective oculaire ou par le calcul neuronal des légères différences de position des points qui se correspondent sur la rétine. Ces différences sont dẻs à la distance entre les deux yeux, dont les points de vue diffèrent ainsi légèrement (phénomène de15 parallaxe). La convergence binoculaire est réglée par le positionnement de l'oeil dirigé en fonction de l'oeil directeur, en superposant l'image de sa fovéa sur celle de l'autre oeil. A cet effet le dédoublement de l'image disparaît précicément sur la fovéa de chaque oeil, qui se coordonne20 ensemble sur le même point objet. Le dédoublement des points objet s'inscrit de manière plus significative à mesure qu'on s'éloigne du centre de la fovéa. Dans les conditions normales, la vision stéréoscopique joue un rôle important en ce qui concerne la perception des formes aléatoires ou des25 objets telles que les feuilles d'un arbre. De même, la présence d'objets ou d'éléments linéaires n'est pas indispensable au phénomène de fusion stéréoscopique et de profondeur. En utilisant des images stéréoscopiques constituées de points disposés au hasard, à l'intérieur d'un30 stéréogramme, les points d'une région de l'image qui sont décalés latéralement semblent dans cette région, en avant ou en arrière du reste de l'image. toutefois, même si la convergence binoculaire s'établit assez facilement par une superposition d'images, il est important de relever35 l'induction de certains paradoxes de perception d'une image en relief, lorsqu'elle est issue d'un stéréogramme. Par exemple, il est intéressant de constater que certaines perceptions de la profondeur monoculaire, par l'accommodation du cristallin, peuvent effacer la profondeur stéréoscopique lorsqu'elle leur est opposée. Lorsqu'une scène en perspective est observée à travers un système stéréoscopique dans lequel les images sont inversées devant les yeux, la profondeur reste perçue normalement, l'illusion de la perspective étant plus forte que la vision stéréoscopique. La vision stéréoscopique étant une réalité de la vision binoculaire, associée à l'accommodation du cristallin de chaque oculaire, la visualisation d'un stéréogramme, ne nous dispose pas toujours à l'adaptation de tout notre système de vision. Ceci est d à la constatation qu'un stéréogramme ne tient pas compte de toutes les lois de l'optique géométrique, à la
manière dont notre système de vision les appréhende et les articule pour concevoir une image en relief.
Certains dispositifs devenus classiques pour visualiser un stéréogramme fixe ou animé, en rapport avec l'invention, retransmettent les images d'une scène sur deux petits écrans2) de visualisation, nommé aussi arbitrairement moniteurs, par l'intermédiaire d'une ou deux caméra(s), dont le cadrage est respectif à deux points de vue différents. La visualisation s'effectue en rapprochant chaque moniteur miniature devant chaque oculaire et respectivement du point de vue s'y25 afférent. Les moniteurs étants trop près des yeux pour percevoir nettement les images, un système optique lenticulaire de collimation global, permet de corriger fortement l'accommodation du cristallin de chaque oculaire, ce qui forme pour la profondeur monoculaire une image finale3) à l'infini. Par collimation global on entendra la focalisation de l'ensemble des faisceaux ou rayons lumineux issus des points pixels de l'image passants par exemple à travers une dioptre convexe. La configuration d'un stéréogramme, sur les deux
moniteurs, en rapport avec ces dispositifs classiques est définie par l'image bidimentionnelle de chaque petit écran.
Du point de vue de la vision binoculaire, ce sont seulement les coordonnées bidimentionnelles du même point objet, différentes en abscisse pour chaque moniteur qui définissent la convergence binoculaire. 5 La projection d'une image bidimentionnelle d'un moniteur est résolue par une mosaïque de pixels électroluminescents recouvrant sa surface. Chaque pixel diffuse de la lumière incohérente dans tous les sens, identique à une source lumineuse ponctuelle issue d'un point10 objet de coordonnées spatiales tridimensionnelles. Du point de vue de la vision monoculaire, c'est seulement le degré de divergence du faisceau lumineux, reliant le point objet au point incident de l'oculaire (la cornée), qui définit la courbure du cristallin. En vulgarisant l'idée, nous dirons15 que si l'image bidimentionnelle projetée dans le cerveau peut nous faire naître l'illusion du relief grâce à la perspective, à la grandeur relative des objets et autres, l'accommodation du cristallin par contre, répond suivant la réalité optique de la divergence du faisceau lumineux sans se20 soucier de savoir si c'est un point image ou un point objet. Pour l'accommodation du cristallin, tous les points de diffusion lumineuse sont des points objet. Dans le cadre d'une telle visualisation stéréoscopique, nous noterons ici que tous les points pixels ou points image d'un moniteur,25 représentatifs dans l'espace réel de points objet, se trouvent répartis sensiblement à la même distance de l'oculaire, donc à la même distance du cristallin. Dans le cadre de la vision stéréoscopique, cette répartition bidimensionnelle à égale distance, entre les points pixels et3() l'oculaire entraîne un effort inhabituel de l'accommodation du cristallin de chaque oculaire. L'accommodation du cristallin de chaque oculaire, n'est plus corrélatif de la vision binoculaire répondant normalement par une interrelation aux mêmes commandements du système nerveux35 central. En effet, cette interrelation entre l'accommodation du cristallin de chaque oculaire et la convergence
binoculaire peut être traduite par une courbe d'évolution.
Suivant les coordonnées o l'accommodation du cristallin en abscisse (exprimée en dioptrie) est fonction de la convergence binoculaire en ordonnée (exprimée en angle5 métrique), pour une distance croissante sur l'axe optique médian, La courbe obtenue, correspond à la bissectrice de l'angle des axes des coordonnées. Toutefois autour de cette position d'équilibre, une certaine souplesse d'évolution est permise en raison de l'amplitude relative des deux variables,10 l'une par rapport à l'autre, pour assurer le maintien d'une fusion stéréoscopique. Des expérimentations effectuées dans le cadre de la recherche en perception visuelle en 1966 par Bela Julesz directeur de recherche en perception visuelle des laboratoires T. Bell et professeur associé de l'Institut de15 technologie de Californie aux Etats Unis, confirme qu'après le découplage de ces deux facteurs, les changements d'accommodation oculaire ne paraissent agir que par leur forte corrélation à l'état de convergence binoculaire. Pour revenir à cette variation linéaire de l'accommodation du cristallin en fonction de la convergence binoculaire on peut la comprendre en tenant compte de l'axe optique médian, représentatif d'un faisceau lumineux de rayons de divergence d'un angle de degré a comme ayant une relation direct avec la vision. Dans le cadre de la vison en relief, on peut considérer trois relations logico- mathématiques entre trois facteurs d'action qui sont; 1): les lois de la propagation rectiligne de la lumière (en lumière incohérente) d'un faisceau lumineux issu d'un point objet, qui au point incident de l'oculaire (la cornée) et du30 front inter oculaires (distance entre les deux oculaires), est caractérisé pour chacune par une divergence d'un angle ad; 2): la convergence binoculaire, d'un angle métrique ac sur l'observation du point objet; 3): la courbure du cristallin de puissance dioptrique D pour son accommodation35 au point objet. Les relations logico-mathématiques sont les suivantes; 1): la convergence binoculaire d'angle métrique ac varie dans les mêmes proportions que le degré ad de l'angle de divergence du faisceau lumineux au point d'incidence du front inter oculaires, suivant la distance D' d'un point objet; 2): la courbure du cristallin de puissance optique D varie dans les mêmes proportions que le degré ad de l'angle de divergence du faisceau lumineux au point d'incidence oculaire, suivant la distance D' d'un point objet; 3): la courbure du cristallin de puissance optique D varie dans les mêmes proportions que la convergence binoculaire d'angle métrique ac, suivant la distance D', d'un
point objet.
A cet effet on peut en déduire que pour chaque point objet situé à une distance D' dans l'espace réel en trois dimensions et source d'une diffusion lumineuse incohérente,15 lui sont associés simultanément dans le cadre d'une observation par la vision stéréoscopique, un degré ad de l'angle de divergence pour le faisceau lumineux incident à l'oculaire et celui incident au front inter oculaires, un degré ac d'angle métrique pour la convergence binoculaire et une puissance optique D pour la courbure du cristallin. En d'autres termes, l'ensemble de ces facteurs interactifs, développé explicitement représente le postulat de base démonstratif, de nature à comprendre et à corriger le paradoxe de la visualisation stéréoscopique.25 Pour suivre notre développement, à chaque nouvelle convergence binoculaire orientée sur un point objet, suite à un changement de regard, via l'oeil directeur par réflexe ou consciemment, le cristallin de chaque oculaire, s'accommode en moins de 500 millièmes de seconde en réponse automatique30 de ses muscles ciliaires. Le couple convergence binoculaire et accommodation monoculaire de forte corrélation dépendent du système nerveux central. Dans les cas classiques de visualisation de stéréogrammes, le système nerveux central accommode souvent très bien la courbure du cristallin par35 l'effort inhabituel d'une recherche de la plus haute fréquence des stimuli rétiniens. Cette effort peut être interprété comme la compensation d'un retour à l'équilibre de la troisième relation logico-mathématiques par rapport à
l'écart apparut de la deuxième relation logico-mathématiques.
Dans le cadre de la vision d'un stéréogramme, quelque soit les coordonnées des points pixels répartis sur l'écran bidimensionnelle de visualisation, le degré ad de l'angle de divergence du faisceau lumineux au point incident de l'oculaire issu d'un point pixel quelconque est identique à10 tous les autres et ceci quelques soient la convergence binoculaire qu'il est susceptible de provoquer. cette configuration ne rend pas compte de la deuxième relation logico- mathématiques qui stipule que chaque point objet représenté à une distance D' différente en comparaison avec d'autres points objet, doit se rapporter à un degré ad de l'angle de divergence du faisceau lumineux différent au point incident de l'oculaire. La première relation logico- mathématiques subissant de même un paradoxe, la convergence binoculaire n'est pas affectée par son écart car elle confond20 toujours la ligne du regard suivant l'axe optique de chaque oculaire, quelque soit le degré de divergence du faisceau incident à l'oculaire (la cornée). Pour la convergence binoculaire, les oculaires ne tiennent compte que des rayons marginaux du faisceau lumineux issu d'un point objet. Il25 s'ensuit donc, que pour la vision stéréoscopique, seule la superposition de deux points objet, en suivant des lignes de forme, son pris en compte par le calcul neuronal du système nerveux. C'est pour cette raison essentielle, que les stéréogrammes sont observables. La courbure du cristallin qui30) suit logiquement cette convergence binoculaire devrait focaliser le faisceau lumineux de degré d'angle cD de divergence identique, de chaque point pixel, devant ou
derrière la rétine oculaire en fonction de l'écart relationnel ainsi obtenu. Mais l'accommodation du cristallin35 ayant une souplesse d'évolution d'amplitude relative, celui-
ci corrige constamment l'écart ainsi imposé via le système nerveux central. Pour résumé tout ce développement, la courbure du cristallin de réaction inconsciente est la réponse programmée du système nerveux en fonction de la 5 convergence binoculaire. Une expérience très simple peut parfaitement démontrer qu'il est pratiquement impossible de faire travailler consciemment le cristallin sans l'appui de la convergence binoculaire. Vouloir accommoder le cristallin d'un oculaire, revient à fixer un point objet par la1( superposition du couple stéréoscopique de la fovéa de chaque oculaire. Toutefois le système nerveux central peut recalculer la mise au point du cristallin par un effort inhabituel si un écart est obtenu par la recherche de la plus haute fréquence de stimuli rétiniens. La convergence15 binoculaire est une conséquence inextricable de l'orientation du regard, suivant un axe optique dans un champs de vision classique. Même un oeil obturé, la convergence binoculaire s'effectue parfaitement de concert oculaire, à la seule différence d'obtenir une image plane. La nature constitutive20 de notre système de vision répondant aux lois de l'optique, a rendu de manière inhérente et mécanique, l'application de
telles fonctions visuelles. Un effort prolongé inhabituel de l'accommodation du cristallin peut altérer sérieusement l'appréciation de la vision en créant des troubles pouvants25 aller d'une difficulté à la vigilance, jusqu'à de maux de tête ou des douleurs oculaires.
La richesse des informations contenue dans la vision stéréoscopique a toujours poussé l'imagerie à l'utilisation de stéréogrammes. Avec le développement de l'informatique,30 quant à la puissance des ordinateurs, l'imagerie de synthèse a trouvé un renfort notable avec l'utilisation de la vision stéréoscopique. La perception du relief constitue une aide primordiale au repérage spatio-temporel par une appréciation instantanée, mais l'utilisation prolongée et répétitive de35 dispositifs stéréoscopiques classiques par les différents professionnels, tels les chirurgiens, les pilotes d'aéronefs, les scientifiques ou tout simplement, par les utilisateurs de simulateurs de jeux vidéos ou spectateurs de séquences vidéos, est souvent mal appréciée, à cause des troubles physiologiques occasionnées. Il est bien de mentionner qu'un pourcentage non négligeable de la population est incapable d'observer un stéréogramme à causes de ces paradoxes optiques. L'objet de l'invention est la réalisation d'un système de visualisation stéréoscopique permettant de remédier à ces ) inconvénients. Il est constitué en effet, d'un dispositif susceptible de corriger l'écart avec constance, de l'une des trois relations logico-mathématiques de la vision en relief. La relation logico-mathématiques qui est à corriger, concerne dans son contenu, le degré de l'angle de divergence du15 faisceau lumineux au point incident de l'oculaire (la cornée) agissant sur la courbure du cristallin, soit la deuxième relation. La première relation contenant la base essentiel de la reproduction de la vision stéréoscopique, elle n'est pas affectée même si elle subit un écart. La troisième relation20 strictement dépendante du système nerveux est celle qui doit rester la plus stable. L'idée consiste donc à réduire dans la deuxième relation, et jusqu'à néant, le degré de l'angle de divergence du faisceau lumineux au point incident de l'oculaire, de chaque point pixel issu d'un stéréogramme,25 pour de ce fait ne préserver plus que les rayons marginaux strictement parallèles jusqu'aux points incidents des cônes de la rétine de chaque oculaire. Il est à noter que dans ce cas et pour ce qui suivra, qu'un rayon marginal, n'est pas nécessairement lié à l'axe optique, mais plutôt à un axe30 visuel. L'effet qui suit de cette disposition lumineuse est la réduction maximale, du travail de correction qu'effectue le cristallin pour s'accommoder lors de la vision d'un stéréogramme. On peut parfaitement imaginer que le diamètre du faisceau (de rayons marginaux) d'un degré de divergence35 pratiquement nul, issu d'un point pixel très petit se rapporte directement à la surface d'un nombre très réduit de cônes de la rétine, sans nécessité d'une correction de la mise au point au préalable lors de l'accommodation du cristallin. Suite aux critères nécessaires relatifs à l'intensité lumineuse, au parallélisme des rayons lumineux et 5 au diamètre du faisceau des rayons marginaux, seul un
faisceau lumineux laser peut être utilisé à cet effet.
Le dispositif de visualisation stéréoscopique, selon l'invention comporte, deux télédiffuseurs lasers chacun d'eux respectif à un oculaire, deux dioptres de collimation globale10 chacune d'elles respective à un oculaire et une armature porteuse. Chacun des télédiffuseurs lasers comprend dans sa partie postérieure, un ensemble de plusieurs sources de production lumineuse primaire monochrome bleu, vert ou rouge, issues de diodes lasers à semiconducteurs ou autres sources15 lasers quelconques. Afin de constituer une image à partir d'un télédiffuseur lasers, on peut considérer plusieurs conditions et étapes des cheminements lumineux lors de leurs traitements optiques, depuis leur source primaire de production jusqu'à leur collimation oculaire. On distinguera20 la source primaire de la source secondaire en ce que la seconde est issue d'un point pixel et la première est issue d'une source de production lumineuse laser, telle une diode laser. On peut noter qu'une source primaire peut être aussi secondaire. On distinguera six étapes non restrictives,25 distincts et caractéristiques de l'invention. Dans une première étape, les faisceaux lumineux lasers de source primaire, à partir de leur source, doivent être disposés suivant un angle de divergence de degré a calculé au préalable, afin de pouvoir coupler les faisceaux lumineux lasers de source primaire d'un diamètre égal à la diagonal d'un moniteur qu'ils traverseront plus loin, avec une dioptre de redressement optique. Pour obtenir ce résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source primaire peut être diffracté par un miroir convexe ou une dioptre concave à35 partir de sa source. Dans une deuxième étape, les faisceaux lumineux lasers de source primaire, d'une disposition orientée à la base dans le télédiffuseur lasers, doivent être confondus tous ensemble suivant leur cheminement, de sorte que le rayon marginal de chacun des faisceaux lumineux lasers de source primaire chemine dans une direction perpendiculaire 5 au plan sphérique d'une dioptre de redressement optique. Pour obtenir ce résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source primaire peut être réfléchit ou réfracté par un ou plusieurs miroir(s) à réflexion unidirectionnelle de forme plane ou concave pouvant être associé(s) à un prisme et10 chacun d'eux étant respectif à un ou plusieurs faisceau(x) lumineux laser(s) de source primaire. Par réflexion unidirectionnelle, on entend la possibilité que les miroirs à réflexion unidirectionnelle, ont de laisser passer les faisceaux lumineux lasers de source primaire dans un sens15 uniquement, ce qui permet de les disposer à travers le cheminement d'un faisceau lumineux non concerné, sans le réfléchir. Dans une troisième étape, les faisceaux lumineux lasers de source primaire, doivent cheminer dans une disposition parallèle de leurs rayons de sorte que chacun des20 faisceaux lumineux lasers de source primaire, puisse traverser l'écran d'un moniteur dans une direction perpendiculaire de leurs rayons. Pour obtenir ce résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source primaire est couplé avec une dioptre convexe ou bi-convexe de diamètre25 égale à la diagonale du moniteur et chacune d'elles respective au couplage de un à plusieurs faisceaux lumineux
lasers de source primaire de même diamètre aux points incidents de sa surface. Dans le cas de la deuxième étape, si les miroir(s) à réflexion unidirectionnelle sont de forme30 concave et si les faisceaux lumineux lasers de source primaire sont assez divergents avant de réfléchir sur ceux-
ci, il n'est pas utile de coupler les faisceaux lumineux lasers primaires avec une dioptre biconvexe. Dans une quatrième étape, chacun des faisceaux lumineux lasers de35 source primaire respectif à une chrominance, doit être modulé de son intensité lumineuse à partir de chacun de ses points Il situés sur son plan directionnel afin de constituer des pixels. Pour obtenir ce résultat, l'ensemble des faisceaux lumineux lasers de source primaire respectif à trois chrominances est couplé avec un moniteur à cellules à 5 cristaux liquides LCD à matrice active en substituant les faisceaux lumineux lasers de source primaire à l'ensemble des diodes LED luminescentes. Chacun des faisceaux lumineux lasers de source primaire étant respectif à une chrominance, chaque pixel du moniteur étant constitué de une à plusieurs10 cellules à cristaux liquides, chacune d'elles est associée à un filre chromatique respectif à la chrominance d'un faisceau lumineux laser de source primaire qui la traverse. A cet effet, chacune des cellules à cristaux liquides LCD module l'intensité d'une portion du faisceau lumineux laser de15 source primaire monochromatique bleu, vert ou rouge suivant le signal vidéo via la commutation d'un transistor à semiconducteurs. Chaque point pixel du plan directionnel d'un faisceau lumineux laser de source primaire représentant les dimensions d'une cellule à cristaux liquides, le diamètre du20) plan directionnel du faisceau lumineux laser de source primaire doit être égal à la diagonale de l'écran de visualisation du moniteur. La modulation de l'intensité lumineuse propre à chacun des points pixels du plan directionnel du faisceau lumineux laser de source primaire,25 s'effectue à travers chaque cellule à cristaux liquides respectivement à son filtre coloré bleu, vert ou rouge. Dans une cinquième étape, Lors du passage des faisceaux lumineux lasers de source primaire, à travers les cellules à cristaux liquides LCD, ceux-ci subissants une diffraction, les30 faisceaux lumineux lasers de source secondaire ainsi produits, doivent être rendus de nouveau parallèles. Pour obtenir ce résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire est couplé avec une dioptre biconvexe conçue à la dimension du faisceau lumineux laser de source3s secondaire. Dans une sixième étape, si le cheminement des faisceaux lumineux lasers de source secondaire n'est pas parallèle à l'axe optique de l'oculaire de l'observateur, après la cinquième étape, chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire doit être réorienté pour une collimation oculaire de l'observateur. Pour obtenir ce 5 résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire est réfléchit par un jeu de prismes ou de miroirs de forme plane ou concave de tel sorte que le faisceau lumineux laser de source secondaire central soit confondu avec l'axe optique de l'oculaire de l'observateur. En sortie10 du télédiffuseur lasers, les faisceaux lumineux lasers de rayons parallèles en ce qui concerne le cheminement final
doivent être collimatés vers l'oculaire de l'observateur, de telle sorte que le foyer se situe aux environs du centre du cristallin oculaire. Dans ce cas, le télédiffuseur lasers,15 est complété par une dioptre de collimation globale convexe ou biconvexe, de puissance dioptrique calculée au préalable.
Toutefois un miroir de forme parabolique comme mentionné dans la sixième étape, peut se substituer à une dioptre de collimation globale, si celui-ci est suffisamment rapproché20 de l'oculaire, Pour l'effet qui suit de logique, une lentille de collimation globale associée respectivement à un des télédiffuseurs lasers chacun d'eux respectifs à chaque oculaire de l'observateur, réfracte chacun des faisceaux25 lumineux lasers de source secondaire vers les cellules de la rétine de l'observateur. Cette réfraction optique d'un angle ax différente pour chaque faisceau lumineux laser et symétrique d'un oculaire à l'autre, est représentative dans le champs visuel d'un observateur, d'une ligne de direction30 optique d'un point objet ou d'un éventuel axe visuel d'un point objet, à condition de placer l'image respectivement à son oculaire. Un seul faisceau lumineux laser pour chaque oculaire peut être représentatif d'un axe optique. Suivant un autre mode de réalisation respectivement à
un télédiffuseur lasers, celui-ci utilise un moniteur constitué d'une mosaïque de pixels à diodes Lasers à semi-
conducteurs, qui se traduira par ce que cela implique par la réalisation d'une mise en forme plate du télédiffuseur lasers. Chaque diode Laser à semi-conducteurs en quelques sorte, vient se substituer spatialement parlant, à une 5 cellule à cristaux liquides. De ce fait, trois fonctions peuvent être générées en leur sein; la production d'un faisceau lumineux laser, la modulation de son intensité et la définition de sa chrominance. La modulation de l'intensité lumineuse se substitut aux cellules à cristaux liquides, la10 chrominance définie de chaque diode laser à semi-conducteurs se substitut au filtre associé à chaque cellule à cristaux liquides et la source lumineuse primaire de l'ensemble des diodes lasers se substitut à la source primaire de l'ensemble des faisceaux lumineux lasers. Dans ces conditions, on peut15 considérer que les quatre premières étapes peuvent être annulées par la substitution de l'ensemble des diodes lasers à semiconducteurs à l'ensemble des cellules à cristaux liquides représentants les unes et les autres, la mosaïque de pixels. En résumé, dans le deuxième mode de réalisation le20 télédiffuseur laser ne comporte pas de dioptre concave ou de miroirs convexes, ni de miroirs à réflexion unidirectionnel, ni de dioptre bi-convexe de redressement optique, ni de moniteur d'écran à cellules à cristaux liquide LCD. Dans cette variante de réalisation et jusqu'à la quatrième étape25 incluse, le télédiffuseur laser comporte un moniteur dont ses pixels sont constitués de trois diodes lasers nommées aussi lasers à semiconducteurs ou diodes lasers à hétérojonction et diffusant pour chacune d'entre elles, à partir de leur zone émmettante un faisceau lumineux de rayons parallèles de source chromatique respective à une couleur bleu, vert ou rouge. La qualité du matériau choisi dans la constitution des
semiconducteurs est respective de la couleur recherchée. A titre d'exemple, les diodes lasers à émission chromatique rouge, peuvent être constituées, à partir de composé GaAsP ou35 à partir de composé dit quaternaire InGaAlP réparti en plusieurs couches successives, relativement aux jonctions p-
n. Pour produire les longueurs d'onde du rouge visible aux environs de 650 nm ce sont les rapports de mélange qui déterminent la longueur d'onde exacte. Les diodes lasers de chaque pixel sont reliées par chacune de leurs jonctions p-n 5 aux bornes d'une tension électrique + et -. Chaque diode laser emmet de la lumière proportionnellement à l'intensité du courant électrique de passage, entre les deux jonctions p- n issu du signal vidéo matriciel commuté et amplifié par un transistor à semiconducteurs. L'avantage d'une diode laser à10 semiconducteurs, réside dans la possibilité de moduler et de manière instantanée, l'intensité lumineuse diffusée à partir de sa zone emmettante en fonction de l'intensité d'un courant de passage aux bornes des jonctions p-n. La fonction d'émmettre une intensité lumineuse en mode pulsé lui procure15 debonnes conditions de marches tout en respectant la rémanence rétinienne oculaire de l'observateur. De plus, la fonction de moduler cette intensité lumineuse de manière intantannée, la susbstitue à la fonction des cellules à cristaux liquides, utilisées communément pour les écrans20) plats LCD à matrices actives. La dimension d'une diode laser au plan de sa zone émmettante doit avoir une surface de l'ordre du dix millième de millimètre carré, ceci afin de constituer des pixels relativement petits pour une résolution correct de l'image d'un moniteur d'environ 2,5 centimètre de25 diagonale. La précision du parallélisme des rayons des faisceaux lumineux lasers de source secondaire doit se rapporter à un angle a du faisceau lumineux laser bien inférieur au millième de degré. Suivant une technique de réalisation de la mosaïque de pixels d'un moniteur, les30 diodes lasers sont conçues de telle sorte que leurs différentes couches superposées qui constituent les jonctions p-n, soient parallèles au plan de l'écran de chaque moniteur. La source lumineuse de chaque diode laser n'étant pas perpendiculaire au plan de son moniteur respectif mais35 parallèle, les faisceaux lumineux lasers de source secondaire doivent être réorienter de 90 degrés. Dans ce cas, chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire est réfléchit à 90 degrés par un miroir de forme plane ou concave respectif
celui-ci à un ou plusieurs faisceau(x) lumineux laser(s).
Toutefois si ce genre de réalisation est nécessaire pour des diodes lasers à semiconducteurs de fabrication classique, la technique actuelle propose des diodes lasers dont leur zone emmettante est perpendiculaire aux couches superposées des jonctions p-n. Leur fabrication pouvant s'effectuer par grand nombre sur une même plaquette de couche superposées de semiconducteur, l'idée de constituer un moniteur à diodes lasers directement sur une plaquette, n'est pas exclut. Pour revenir à la suite, le passage des faisceaux lumineux lasers de source primaire, en sortie de la zone emmettante des diodes lasers à semi- conducteurs étant caractérisé par une diffraction lumineuse, la cinquième étape est maintenue, en ce que les faisceaux lumineux lasers de source secondaire ainsi produits, doivent être rendus de nouveau parallèles. Pour obtenir ce résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire est couplé avec une dioptre bi-2() convexe conçue à la dimension du faisceau lumineux laser de source secondaire. En ce qui concerne la sixième étape, si le
cheminement des faisceaux lumineux lasers de source secondaire n'est pas parallèle à l'axe optique de l'oculaire de l'observateur, après la cinquième étape, chacun des25 faisceaux lumineux lasers de source secondaire doit être réorienté vers une collimation oculaire de l'observateur.
Pour obtenir ce résultat, chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire est réfléchit par un jeu de prismes ou de miroirs de forme plane ou concave de tel sorte30 que le rayon marginal de chacun des faisceaux lumineux lasers secondaire chemine dans une direction parallèle à l'axe
optique de l'oculaire de l'observateur. De même que pour le mode précédent, un miroir de forme parabolique comme mentionné dans la sixième étape, peut se substituer à une35 dioptre de collimation globale, si celui-ci est suffisamment rapproché de l'oculaire.
Suivant une variante de ce mode de réalisation, un télédiffuseur laser de forme plate comporte un moniteur de
forme parabolique dont l'intérêt est de substituer sa courbure à la dioptre de collimation globale normalement5 associée au télédiffuseur lasers, à condition que celui-ci soit plat et suffisamment rapproché de l'oculaire.
Deux modes particuliers de réalisation d'un système de visualisation stéréoscopique ainsi qu'une variante de
réalisation d'un de ces modes, apparaîtront dans la10 description qui suit, donnée à titre d'exemple non limitatif
à l'aide des figures annexées qui représentent: Fig. 1, un dessin d'une vue en coupe, d'un premier mode de réalisation d'un dispositif de visualisation stéréoscopique, conforme à la présente invention.15 Fig. 2, un dessin d'une vue en coupe, d'un deuxième mode de réalisation d'un dispositif de visualisation stéréoscopique conforme à la présente invention et associé à l'exemple d'un point de vue stéréoscopique. Fig. 3, un dessin d'une vue en coupe, d'une variante du
deuxième mode de réalisation d'un dispositif de visualisation stéréoscopique conforme à la présente invention.
En ce qui concerne chacun des éléments du système de visualisation stéréoscopique respectivement à chacun des côtés et pour une meilleure clarté, chacun des éléments25 numérotés pourra être associé avec un G pour le côté gauche et un D pour le côté droit. De même que pour chacun des numéros dont ils seront référés, pour tout le développement descriptif qui suivra, chaque couleur sera représentée par la lettre " b " pour le bleu, par la lettre " v " pour le vert30 et par la lettre " r " pour le rouge. Aussi, un ensemble d'éléments identiques sera représenté par la lettre " x " lorsqu'il ne sera pas utile de spécifier une précision concernant l'un d'entre eux. Suivant la Fig. 1, Le système de visualisation est
constitué de deux télédiffuseurs lasers (1G) et (1D) de forme allongée et deux dioptres de collimation. (2G) et (2D).
L'armature porteuse dans ce cas est confondue avec le profil de chacun des télédiffuseurs lasers (1G) et (ID) suivant une ergonomie de modelage de leurs parois extérieures, pour un casque porteur de tout le système de visualisation 5 stéréoscopique. Les deux télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) constituent par leurs parois extérieures les branches (19G) et (19D), chacune d'elles reposant sur un côté de la tête de l'observateur. Chacun des télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) est accolé avec l'autre au milieu du front inter-oculaire de10 l'observateur pour devenir une patte de soutien (21). Outre de la fonction de servir de casque porteur, les télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) représentent aussi intégralement deux enceintes de production, de cheminement et de traitement optique. Chacun des télédiffuseurs lasers (1G)15 et (1D) comprend dans sa partie postérieure, un ensemble de trois diodes lasers (4b), (4v) et (4r) à semiconducteur de source de production lumineuse primaire monochrome bleu, vert, ou rouge. En ce qui concerne pour ce qui va suivre chacun des deux télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) dans la20 première étape, les faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire sont diffractés suivant un plus grand angle a en couplant les faisceaux lumineux lasers (3b) et (3v) de source primaire sur deux dioptres concaves (11b) et (11v) et en faisant réfléchir le faisceau lumineux laser (3r) de source primaire avec un miroir convexe (10r). Suivant la deuxième étape, les faisceaux lumineux lasers (3v) et (3r) de source primaire sont réffléchis suivant un angle adapté par deux miroirs à réflexion unidirectionnelle (12v) et (12r) de forme plane et eux même traversés par le faisceau lumineux30 laser (3b) étant disposé celui-ci perpendiculaire à la dioptre de redressement (13). Suivant la troisième étape, afin d'obtenir un parallélisme de leurs rayons, et afin de faire traverser chacun de ces rayons de manière perpendiculaire aux moniteurs (8G) et (8D), chacun des35 faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire est couplé avec une dioptre bi-convexe (13) de diamètre égale à la diagonale d'un moniteur et d'elle même respective au couplage des trois faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire. Les diffractions provoquées par le miroir convexe (0lr) et par les dioptres concaves (11b) et (11v), doivent être calculées respectivement pour chacun des faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire afin d'obtenir pour chacun d'eux aux points incidents de la dioptre biconvexe (13) un diamètre D' à leur plan perpendiculaire directionnel, d'une longueur égale à la diagonale de l'écran du moniteur (8). Suivant la quatrième étape, chacun des faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire respectif à une chrominance, est modulé de son intensité lumineuse à partir de chacun des points de son plan perpendiculaire directionnel, sachant que la dimension et les coordonnées d'un de ces points représentent celle d'une cellule à cristaux liquides. Pour ce faire, chacun des faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire respectif à une chrominance est couplé avec un20) moniteur (8) à cellules à cristaux liquides LCD à matrice active en substituant les faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire à l'ensemble des diodes LED luminescentes. Le moniteur (8) est d'une constitution classique. Chacun des pixels (7.x) est constitué de trois25 cellules à cristaux liquides associées chacune à un filtre bleu, vert ou rouge. Pour plus de clarté concernant l'exemple d'une visulisation binoculaire qui sera associé à la Fig. 2, la mosaïque de pixels (7.x) est représentée par une ligne de 9 pixels seulement par moniteur, numérotés (7G.1) (7G.2) (7G.3) (7G.4) (7G.5) (7G.6) (7G.7) (7G.8) (7G.9) pour le moniteur (8G) et (7D.1) (7D.2) (7D.3) (7D.4) (7D.5) (7D.6) (7D.7) (7D.8) (7D.9) pour le moniteur (8D). Chacune des cellules est commutée à un transistor qui gère en fonction du signal vidéo, la modulation de l'intensité lumineuse, lors du35 passage à travers le filtre coloré du faisceau lumineux laser de source primaire respectif à la couleur du filtre. De ce fait on a substitué trois faisceaux lumineux lasers, bleu, vert et rouge de source primaire et de rayons strictement parallèles à l'ensemble des diodes LED luminescentes qui constitues traditionnellement l'écran à cristaux liquide LCD à matrice active. Suivant une cinquième étape, les cellules à cristaux liquides LCD pouvant provoquer une diffraction lors du passage des faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire, les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire ainsi produits, doivent être rendus parallèles de nouveau. Pour ce faire, chacun des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire est couplé avec une dioptre bi-convexe (14x) concue à la dimension du faisceau lumineux laser (5b.x), (5v.x) et (5r. x) de source secondaire. Dans les Fig 1, 2 et 3, une seule dioptre bi- convexe est représentée pour chaque pixel (7x) pour une meilleure clarté des dessins. Suivant une
technique de fabrication, les dioptres bi-convexes (14x) sont réalisées ensemble sur un même support à carastéristiques adaptés en ce qui concerne la réfringence, le pouvoir20 diotrique et la subtilité du matériau. L'idée consiste à faconner directement la forme d'une mosaïque de dioptre bi-
convexe (14x) ou convexe, par un moulage du support. Suivant la sixième étape, l'orientation du télédiffuseur lasers (1) ne disposant pas son moniteur face à l'axe optique de25 l'oculaire de l'observateur, chacun des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire, est réfléchit par un jeu de miroirs (15) et (16) de forme plane ou parabolique d'un réglage adapté, de telle sorte que les faisceaux lumineux lasers de source secondaire (5b), (5v) et30 (5r) centraux soient confondu à l'axe optique de l'oculaire de l'observateur. Les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire et de rayons parallèles en ce qui concerne le cheminement final sont collimatés vers l'oculaire de telle sorte que le foyer se situe aux environs35 du centre du cristallin oculaire. Dans ce cas, le télédiffuseur lasers (1) est complété par une dioptre de collimation globale (2) convexe ou biconvexe, de puissance dioptrique calculée au préalable. La dioptre de collimation globale (2) concernée par sa propre monture (18) de filetage à pas de vis extérieur est couplée avec le télédiffuseur S lasers (1) par sa monture (9) de filetage à pas de vis intérieur et est amovible d'un mouvement de translation, d'avant à arrière, par un système de vis à écrou. La dioptre de collimation globale (2) est d'une courbure calculée afin que le foyer de collimation se situe dans le centre du cristallin oculaire de l'observateur. Sa fonction est de réfracter chaque faisceau laser de source secondaire de rayons parallèles produits par le télédiffuseur lasers (1) vers l'oculaire. La dioptre de collimation globale (2) peut être associée, à d'autres systèmes lenticulaires de traitements optiques différents, en vue de corriger ou d'améliorer la vision de l'image ainsi observée. Après la sixième étape, il s'ensuit que chacun des faisceaux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire converge en fonction de ses coordonnées bi-dimensionnelles de l'écran du moniteur respectif à (8G) et (8D) suivant un angle de réfraction différent au point incident de la dioptre de collimation globale (2G) et (2D). Chaque dioptre de collimation globale (2G) et (2D) est associée à chaque oculaire de l'observateur et focalise les faisceaux lasers de25 source secondaires (5b.x), (5v.x) et (5r.x) sur les cellules de la rétine. En suivant l'exemple associée de la Fig 2, cette collimation globale ou cette focalisation optique d'un angle x de réfraction différente pour chacun des faisceaux lumineux lasers de source secondaire (5b.x), (5v.x) et (5r.x) et symétrique d'un oculaire à l'autre, devient représentative dans le champs visuel de l'observateur, d'un point objet de visualisation binoculaire, à condition de placer l'image respective à son oculaire. En se reportant à la fig. 2, le dispositif de visualisation stéréoscopique comporte de même que la Fig. 1, deux télédiffuseurs lasers (1G) et (1D), deux dioptres de
collimation globale (2G) et (2D) et une armature de support.
Les télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) étants de forme plate, une armature bien distinct de ceux-ci supporte tout le système de visualisation stéréoscopique. L'armature de 5 support est constituée de deux branches (19G) et (19D), chacune d'elles reposant sur une oreille et fixée chacune d'elles, de chaque côté à des montures (9G) et (9D) des télédiffuseurs lasers (1G) et (lD). Les montures (9G) et (9D) des télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) sont accolées et10 reposent sur le nez par une patte de soutien (21). Chacune des branches (19G) et (19D) peut se replier sur les montures (9G) et (9D) des télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) par des charnières de fixations (20G) et (20D). Les dioptres de collimation globale (2G) et (2D) concernées par leur propre15 monture (18G) et (18D) de filetage à pas de vis extérieur sont couplées respectivement avec les télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) par leur monture (9G) et (9D) de filetage à pas de vis intérieur pour pouvoir être amovibles d'un mouvement de translation, d'avant à arrière, relativement à chacun des20 télédiffuseurs lasers (1G) et (ID) par un système de vis à écrou. Les dioptres de collimation globale (2G) et (2D) ont les mêmes caractéristiques que ceux explicitées dans la Fig. 1. Les télédiffuseurs lasers (lG) et (lD) sont inamovibles des montures (9G) et (9D) d'un mouvement de translation d'avant à arrière. Par contre les télédiffuseurs lasers (1G) et (1D) peuvent être amovibles d'un mouvement de translation latérale par une vis de réglage, afin de positionner chacun des télédiffuseurs lasers (1G) et (lD) précisément face à son oculaire respectif OG et OD. En ce qui concerne pour ce qui30) va suivre chacun des deux télédiffuseurs lasers (1G) et (lD), le moniteur (8) est composé sur son écran matriciel de diffusion lumineuse, d'une mosaïque de pixels (7.x) et (7.x) à diodes lasers à semiconducteurs (6b.x), (6v.x) et (6r.x). Chacun des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire émit par chaque diode laser à semiconducteurs(6b.x), (6v.x) et (6r.x) est perpendiculaire au plan du moniteur (8) Ceci nécessite, une disposition particulière des diodes lasers à semiconducteurs (6b.x), (6v.x) et (6r.x) sur l'écran de leur moniteur (8) lors de leur réalisation. Les quatre premières étapes étants annulées par la disposition de l'ensemble des diodes lasers à semiconducteurs (6b.x), (6v.x) et (6r.x) sur leur moniteur (8), dans la cinquième étape, le passage des faisceaux lumineux lasers de source primaire, en sortie de la zone emmettante des diodes lasers à semiconducteurs (6b.x), (6v.x)10 et (6r.x) étant caractérisé par une diffraction lumineuse, les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x), de source secondaire ainsi produits par chacune des diodes lasers, sont rendus à nouveau parallèles. Chacun des faisceaux lumineux (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source15 secondaire est couplé avec une dioptre bi-convexe (14r.x) (14v.x) et (14b.x) concue à la dimension du faisceau lumineux laser (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire. En ce qui concerne la sixième étape, dans cette condition, les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire centrales, sont disposés dans une direction parallèle à l'axe optique puisque leur télédiffuseur lasers (1) est directement rapproché de l'oculaire. Chacun des pixels (7x), du moniteur (8) emmet des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x), suivant une direction25 perpendiculaire au plan de chaque du moniteur (8). Les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x), de source secondaire diffusés parallèles les uns par rapport aux autres sont réfractés par une dioptre de collimation globale (2) vers le centre du cristallin oculaire. Suite à cette mise en30 collimation des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x), de source secondaire le balayage binoculaire horizontal de l'observateur dans son champs de vision, positionne toujours gràce à l'effet de collimation et quelque soit sa ligne de regard, les oculaires OD et OG sur le cheminement optique des faisceaux lumineux lasers de source secondaire (5b.x), (5v.x) et (5r.x), issus de deux pixels (7G.x) et (7D.x). Tous les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x), sont représentatifs d'un éventuel axe visuel. Tous les faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x), forment chacun, une ligne de direction joignant d'une part un point pixel (7x) quelconque représentatif d'un point objet PO au point conjugué sur la rétine R'o. A titre d'exemple figuratif, un point de vue stéréoscopique est donnée en considérant un point objet PO de visualisation binocualire; représenté par les coordonnées de10 parallaxe de deux pixels (7G.8) de OG et (7D.2) de OD, chacun d'eux diffusant trois faisceaux lumineux lasers (5b.8), (5v.8) et (5r.8) pour OG et (5b.2), (5v.2) et (5r.2) pour OD, tous passants par l'axe visuel respectif de oculaire OG ou OD suivant leur convergence, par collimation ou réfraction.15 Suivant une variante de réalisation de la Fig. 2 le moniteur (8) selon la Fig. 3 peut être réalisé, suivant une forme d'incurvation parabolique. Dans ce cas de réalisation, une dioptre de collimation globale (2) pour chacun le télédiffuseur (1) est inutile puisque la courbure du moniteur20 (8) tient de collimateur. Chacune des diodes lasers (6b.x) (6v.x) (6r.x) de chacun des pixels (7.x) et respectivement au moniteur parabolique (8) sont disposées de leur zone émettante lumineuse perpendiculairement au plan curviligne du moniteur parabolique (8). En d'autres termes, la zone émettante des diodes lasers est orientée vers le foyer du moniteur parabolique. Le moniteur parabolique (8) est calculé au préalable de sa courbure de tel sorte que le foyer de collimation se situe au centre du cristallin oculaire de l'observateur. L'avantage de ce mode de réalisation réside30 dans la légèreté de tout le système de visualisation stéréoscopique de même que d'une ergonomie et d'une esthétique reconnues. Les télédiffuseurs lasers (1G) et (1D) peuvent être amovibles de leur propre monture (9G) et (9D) en les faisant glisser d'un mouvement de translation d'avant à35 arrière, par un couplage des deux télédiffuseurs lasers (1G) et (ID) avec une vis de réglage (22) dont son écrou se confond dans le corps de la patte de soutien (21). De même que les télédiffuseurs lasers (1G) et (1D) peuvent être amovibles d'un mouvement de translation latérale pour les positionner face aux oculaires.5 Le système de collimation glabal, quelque soit son mode de réalisation, doit être mise en oeuvre de telle sorte que les faisceaux lasers de source secondaire ne se croisent pas parfaitement tous au même point oculaire de l'observateur, ceci pour une question d'élévation de température aux points10 de croisement. Pour un oeil emmétrope, les aberrations optiques provoquées naturellement et accentuées artificiellement devraient suffire à éviter une telle concentration lumineuse. Suivant une variante de réalisation non explicitée par une figure, les pixels (7.x) sont conçus, suivant deux types de couple chromatique différents, chaque type respectif à un télédiffuseur laser (1G) ou (1D), avec des pixels (7G.x)à diodes lasers à semiconducteurs (6b) et (6v) pour l'un, et avec des pixels (7D.x) à diodes lasers à semiconducteurs (6v)2() et (6r) pour l'autre. Ce type de configuration répond à la technique de visualisation stéréoscopique basée sur l'anaglyphe et offre des moyens techniques de réalisation moins encombrants. De plus cette technique est utilisée dans la conception d'images stéréoscopiques informatiques pour une25 économie de mémoire. Ce dispositif de visualisation stéréoscopique peut être rattaché directement à la gestion d'un ordinateur pour l'observation et l'exploitation d'images virtuelles. Suivant une variante de la diffusion lumineuse chromatique concernant la variante de réalisation de pixels30 explicitée juste ci-avant, un inverseur vidéo séquentiel chromatique, ordonne plusieurs fois par seconde, l'invertion des séquences chromatiques sur les circuits matriciels vidéos des écrans de chacun des deux moniteurs (8G) et (8D). Les séquences chromatiques sont la séquence bleu-vert et la35 séquence vert- rouge. Pour un moniteur donné (8G) ou (8D) et rattaché à un oculaire, celui-ci diffuse tantôt en lumière bleu-vert, et tantôt en lumière vert- rouge. Toutefois un programme informatique d'inversement des séquences vidéos sur ordinateur peut se substituer à l'inverseur vidéo sequentiel chromatique si l'appareil de visualisation stéréoscopique est5 rattaché à un ordinateur. Cette variante de réalisation à inversements séquentiels des modes chromatiques, préserve une
bonne receptivité à la réponse lumineuse de tous les types de cellules rétiniennes pour les deux yeux à la fois, afin d'éviter tout effet résiduel conditionnel de perception10 (effet Mc Collough).
Ce système de visusalisation stéréoscopique est particulièrement destiné aux déplacements spatio-temporelles
d'un utilisateur par la simulation d'images virtuelles; à devenir un véritable substitut de moniteurs informatiques ou15 de minitéléviseurs portables.

Claims (3)

Revendications 1) Dispositif de visualisation stéréoscopique comportant respectivement pour chacun des oculaires OG et OD deux télédiffuseurs lasers (1G) et (ID) identiques en touS pointS, et relativement à un télédiffuseur lasers (1G) ou (lD), celui-ci pouvant comporter suivant des conditions du cheminement optique de plusieurs faisceaux lasers de source primaire (3b), (3v) et (3r) de production vers l'oculaire de l'observateur, plusieurs éléments disposés successivement en six étapes caractérisé en ce que le télédiffuseur lasers (1) comprend dans sa partie postérieure, un ensemble de trois diodes lasers à semiconducteurs (4b), (4v) et (4r) de source de production lumineuse primaire monochrome bleu, vert, ou rouge. 2) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que le télédiffuseur lasers (1) est complété par une dioptre de collimation globale (2) convexe ou biconvexe. 3) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que dans la première étape, les faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire sont diffractés suivant un plus grand angle O en couplant les faisceaux lumineux lasers (3b) et (3v) de source primaire sur deux dioptres concaves (llb) et (11v) et en faisant réfléchir le faisceau lumineux laser (3r) de source primaire avec un miroir convexe (10r). 4) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que dans la deuxième étape les faisceaux lumineux lasers (3v) et (3r) de source primaire sont réffléchis suivant un angle adapté par deux miroirs à réflexion unidirectionnelle (12v) et (12r) de forme plane et eux même traversées par le faisceau lumineux laser (3b) étant disposé celui-ci perpendiculaire à la dioptre de redressement (13). 5) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que dans la troisième étape chacun des faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire est couplé avec une dioptre bi-convexe (13) de diamètre égale à la diagonale d'un moniteur et elle même respective au couplage des trois faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire. 6) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que dans la quatrième étape chacun des faisceaux lumineux lasers (3b), (3v) et (3r) de source primaire respectif à une chrominance est couplé avec un moniteur (8) à cellules à cristaux liquides LCD à matrice active en substituant les faisceaux lumineux lasers (3b), (3v)20( et (3r) de source primaire a l'ensemble des diodes LED luminescentes. 7) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que dans la cinquième étape chacun des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire est couplé avec une dioptre bi-convexe (14x) concue à la dimension du faisceau lumineux laser (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire. ) Dispositif de visualisation stéreéoscopique selon la revendication 1 caractérisé en ce que dans la sixème étape chacun des faisceaux lumineux lasers (5b.x), (5v.x) et (5r.x) de source secondaire, est réfléchit par un jeu de miroirs (15) et (16) de forme plane ou parabolique d'un réglage adapté, de telle sorte que les faisceaux lumineux lasers de source secondaire (5b), (5v) et (5r) centraux soit confondu à l'axe optique de l'oculaire de l'observateur. 9) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 6 caractérisé en ce que le moniteur (8) peut être composé sur son écran matriciel de diffusion lumineuse, d'une mosaïque de pixels (7.x) et (7.x) à diodes lasers à semiconducteurs (6b.x), (6v.x) et (6r.x).
1) 10) Dispositif de visualisation stéréoscopique selon la revendication 6 caractérisé en ce que
Suivant une variante de réalisation de la Fig.
2 le moniteur (8) selon la Fig.
3, peut être réalisé, suivant une forme d'incurvation parabolique.
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