FR2743990A1 - Chaussure avec raidisseur de torsion - Google Patents

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Abstract

La chaussure de sport comporte, à sa partie formant la base de coque (1), une enveloppe souple à laquelle est associé un élément rigide (5) de renforcement de l'un (13) de ses flancs (13, 13'). Elle se caractérise par le fait qu'un autre élément rigide (5'), distinct du premier (5), est associé à l'autre flanc (13') de la base de coque (1), et par le fait qu'un pont rigide de liaison (20) est apte à réaliser un pontage transversal à l'axe longitudinal (9) de la chaussure entre les éléments rigides (5, 5') par l'intermédiaire de moyens de connexion (10).

Description

CHAUSSURE AVEC RAIDISSEUR DE TORSION
La présente invention concerne une chaussure de sport, comportant une coque obtenue par un procédé de moulage d'un matériau plastique, qui comporte des parties souples à l'endroit des zones d'ajustement au pied du porteur, et des parties rigides à l'endroit des zones de transmission des impulsions et des appuis du porteur.
La plupart des chaussures de sport connues de ce type, telles que les chaussures de ski, comportent des parties constitutives telles que la tige et la base de coque qui sont obtenues par un procédé de moulage en un matériau unique à base de matière plastique. Dans ces chaussures il est prévu de réaliser, d'une part, des parois minces à l'endroit des zones qui sont destinées à laisser le passage du pied au chaussage-déchaussage et à s'ajuster sur ce demier pour assurer sa tenue, ces zones étant constituées le plus souvent par des rabats transversaux se chevauchant, et d'autre part, des parois ou ponts de matière épais à l'endroit des zones qui ne doivent pas, ou peu, se déformer telles que la semelle, les flancs et la zone dorsale de la tige et de la base de coque.En effet, ces zones doivent être relativement rigides pour, d'une part, ne pas céder à certaines contraintes imposées par les fixations de ski, et d'autre part, pour transmettre aux skis, sans déperdition de force et de manière quasi instantanée, les appuis ou réactions d'appui du skieur. Les chaussures connues ainsi réalisées sont caractérisées, entre autres, par leur rigidité globale et le compromis souplesserigidité de leurs différentes zones, le compromis étant obtenu en variant l'épaisseur des parois. Cette solution se révèle relativement satisfaisante pour l'usage du skieur (chaussage-déchaussage, tenue de pied, qualité des appuis, etc...), mais présente cependant certains inconvénients.En effet, les chaussures ainsi conçues sont relativement lourdes du fait des surépaisseurs de matière exigées à l'endroit des zones rigides, et posent des problèmes de réalisation pour leur moulage et pour rendre leur structure homogène ; ces problèmes sont dus principalement aux variations d'épaisseur des parois de la base de coque etlou de la tige et de leur emplacement sur ces zones de la chaussure, car elles induisent localement des retraits du matériau moulé et des tensions qui se répercutent sur l'ensemble desdites zones et tendent à les déformer. Les déformations les plus fréquentes concement le vrillage de la base de coque et/ou de la tige, et nuisent au bon positionnement des éléments de fermeture qui sont situés sur elles, notamment à l'endroit des rabats de fermeture de l'entrée du pied.Pour pallier à ce genre de déformations, on peut citer les solutions décrites dans les documents DE 84 13 016 et JP 3-19761 qui concernent la mise en oeuvre de moyens de guidage et de maintien réciproque des rabats en vis à vis.
Par ailleurs, ces chaussures qui sont réalisées avec un matériau unique moulé présentent l'inconvénient d'être dotées d'une rigidité globale qui, déterminée au moment de leur fabrication, n'est plus modulable en fonction de la pratique sportive envisagée par le sportif à un moment donné tel que le ski de compétition ou le ski de loisir/détente. Or, dans le premier cas de pratique du ski où la vitesse est primordiale, le skieur adopte une attitude offensive et a besoin d'une chaussure très rigide dans son ensemble pour assurer la transmission des impulsions dans un temps le plus bref possible, et sans déperdition de force, même si cette rigidité nuit au confort. En fait, la rigidité permet d'atteindre un maximum de précision gestuelle de la part du skieur et d'efficacité dans ses appuis, notamment dans ses appuis latéraux où il ne dispose pas de degré de liberté articulaire.
Dans le second cas de pratique où la vitesse est modérée, une chaussure moins rigide, c'est-à-dire qui est apte à se déformer relativement sous l'effet des impulsions qu'elle reçoit, est mieux adaptée car en se déformant elle amortit une partie de ces impulsions tout en laissant au skieur suffisamment de temps pour réagir et/ou contrôler son évolution à ski. C'est notamment le cas des appuis latéraux qui sont amortis pour partie à proximité de la semelle et dans un sens transversal lors des prises de carres. Par voie de conséquence, le skieur est moins sollicité et peut adopter une attitude détendue voire décontractée typique du ski dit de 'loisir'.
Pour pallier aux différents inconvénients des chaussures de sport dont de ski précitées, c'est-à-dire la difficulté de réalisation pour obtenir le meilleur compromis souplesse-rigidité de la chaussure,
I'augmentation du poids de la chaussure résultant des surépaisseurs de matière aux endroits rigides, les retraits et les risques de déformation des zones qui sont moulées avec de grandes variations d'épaisseur, la raideur globale de la chaussure qui est non modulable lors de l'usage, on ne connaît que des solutions partielles comme celles enseignées dans les documents DE 2 310 719, US 4 026 045,
EP 645 101 et FR 2 714 800, car aucune ne répond à l'ensemble des inconvénients évoqués ci-avant.
Le document FR 2 310 719 décrit une chaussure souple de montagne qui est munie dans sa semelle en caoutchouc d'inserts transversaux auxquels on peut fixer, au choix et par l'extérieur, des raidisseurs allongés qui s'étendent longitudinalement dans ladite semelle. La chaussure sans les raidisseurs présente ainsi les caractères d'une chaussure souple à semelle souple permettant la marche, et avec les raidisseurs ceux d'une chaussure souple à semelle rigide permettant l'escalade. La solution de raidissement enseignée par ce document est localisée à la semelle de la chaussure, et de ce fait la tige conserve sa souplesse propre même si elle est relativement empêchée de déformation à partir de la semelle lorsque les raidisseurs sont mis en oeuvre.Par conséquent, et notamment pour son emploi pour la pratique du ski alpin, la tige souple d'une telle chaussure ne permet pas de transmettre à des skis, sans déperdition de force et de manière quasi instantanée, les appuis ou réactions d'appui du skieur.
Le document US 4 026 045 décrit également une solution de raidissement réglable d'une semelle d'une chaussure et propose la mise en oeuvre d'un ensemble de ferrures que l'on adapte dans la cambrure de la semelle entre le talon et la pointe. Des moyens de fixation de l'ensemble de ferrures permettent, selon le et/ou les côtés de la semelle où ils sont montés, de régler la rigidité de la semelle dans une ou plusieurs directions, soit dans le sens longitudinal et/ou transversal. Selon ce qui est décrit, il est ainsi possible d'adapter une chaussure d'usage courant à des fins particulières tel que le patinage, I'alpinisme, I'escalade et le ski, avec pour ce dernier la mise en oeuvre de parties de fixation appropriées pour coopérer avec des fixations de ski positionnées sous la cambrure de ladite chaussure.
Cette solution permet en fait, comme dans le cas précédent, un réglage du raidissement localisé à la semelle sans intervention sur la souplesse propre de la tige de la chaussure. Or, s'agissant d'adapter une chaussure d'usage courant pour la pratique du ski notamment, la tige n'est pas vraiment, là encore, adaptée. En effet, cette solution de raidissement n'exonère pas de la nécessité de rechercher
le meilleur compromis souplesse-rigidité caractéristique des chaussures de ski avec les problèmes
connus des variations d'épaisseur des parois et de poids résultants de cellesci.
Le document FR 2 714 800, lui, enseigne une chaussure qui comporte, sur sa partie formant la base
de la coque, une enveloppe souple qui peut être formée par injection et à laquelle est associé un
élément rigide, lequel est disposé sur un de ses flancs, notamment du côté intérieur du pied où il affecte
substantiellement la forme, et ce jusqu'au niveau de la semelle de la chaussure. Le renforcement de la
paroi d'un flanc de la base de coque est ainsi assuré. Cette solution permet, d'une part, d'optimiser la souplesse et la rigidité qui sont souhaitées à certains endroits du flanc de la chaussure tout en
réduisant les risques de déformation des parties obtenues de moulage, et d'autre part, de modifier simultanément la raideur initiale d'un flanc de la tige et celle de la semelle.Pour cela, un renfort interne
rigide en forme d'équerre présentant une paroi verticale et une portion horizontale servant d'assise
pour le pied du skieur est immobilisé dans la base de coque de la chaussure par des moyens de liaison
le fixant à la semelle extérieure. Cette disposition permet d'utiliser un matériau souple et d'épaisseur
relativement constante pour la paroi de la base de coque où il s'étend, car la rigidité requise dans les zones comme la semelle et le flanc, qui est obtenue habituellement par des surépaisseurs importantes du matériau constitutif, est alors donnée par le renfort.Encore, comme cela est enseigné, le renfort est prévu amovible et interchangeable en vue de moduler les caractéristiques techniques à conférer à la chaussure à partir d'une même base de coque et d'une même tige selon qu'il s'agisse par exemple de la pratique du ski de compétition ou de loisir et aussi du niveau du skieur. Cet arrangement nécessite toutefois de prévoir plusieurs types de renforts selon les caractéristiques souhaitées pour la chaussure, et de démonter l'intérieur de la chaussure, ce qui n'est pas à la portée du simple utilisateur de la chaussure à moins de disposer desdits différents types de renforts et de l'outillage adéquat.Par ailleurs, le flanc opposé à celui où s'étend le renfort conserve sa souplesse propre, et, du fait qu'il ne comporte par de renfort, est nécessairement réalisé selon les procédés habituels, c'est-à-dire avec une paroi mince à l'endroit des zones d'ajustement et une paroi nettement plus épaisse dans la zone proche de la semelle et du talon. On retrouve donc, sur ce flanc de la chaussure, une zone moulée dont la paroi présente de grandes variations d'épaisseur.
Le document EP 645 101 enseigne une chaussure de sport telle qu'une chaussure de ski obtenue par un procédé de moulage à partir d'un matériau élastique dont la partie formant la base de coque comporte une enveloppe souple à laquelle est associé un élément rigide qui est disposé sur un de ses flancs au moins du côté intérieur du pied où il affecte substantiellement la forme, cet élément rigide assurant le renforcement de la paroi correspondante et de la semelle de la chaussure.
La solution proposée dans ce document consiste à associer à la coque de la chaussure un élément rigide réalisé à partir d'un matériau le mieux adapté aux exigences de rigidité requise à certains endroits de ladite coque. Dans un cas de construction décrit, I'élément rigide est obtenu de préférence en forme de 'V' et est situé du côté intérieur du pied où il affecte substantiellement la forme de la région du talon, des premier et quatrième métatarsiens, et la région malléolaire. Comme cela est exposé, I'élément rigide permet ainsi de transmettre les efforts avec une grande efficacité, de la jambe du porteur à l'accessoire de sport, soit le ski, car il est parallèle aux directrices principales des efforts auxquels il est soumis.Complémentairement, un pont de liaison, ou barre, est monté longitudinalement dans la semelle de la chaussure et relie les extrémités libres du 'V' renversé que l'élément rigide constitue, ce pont de liaison donnant à la semelle et sur le côté où est situé l'élément rigide, une plus grande rigidité torsionnelle. II est également décrit que les parties formant la coque et la tige sont constituées par des éléments qui sont souples et formés par un procédé de moulage par injection ou associés à l'élément rigide, lequel peut être réalisé sous la forme d'un cadre unique s'étendant d'une pièce sur les deux flancs de la base de coque et sur la semelle par un pontage transversal rigide.
Ce document enseigne en fait, soit la solution d'un élément rigide de renforcement latéral que l'on associe temporairement à un flanc de la base de coque, notamment en vue de son adaptation et/ou du degré de raideur souhaité du flanc correspondant, soit la solution d'un élément rigide formant cadre unique, donc sans adaptation possible après intégration dans la coque. Les problèmes de l'obtention d'un compromis optimum souplesse-rigidité des parois de la chaussure, de limitation du poids total de cette dernière et de réduction des risques de déformation après moulage semble donc atteints. Par contre, rien ne permet de moduler/régler la raideur globale de la chaussure lors de l'usage, c'est-à-dire après intégration de l'élément rigide à la paroi de la chaussure.En effet, I'élément rigide en forme de 'V' renversé est simplement prévu reliable sur un côté de la semelle de la chaussure à une barre longitudinale, et de ce fait sa liaison avec celle-ci ne génère que le renforcement du flanc de la chaussure où il est inséré. Dans le cas de construction où l'élément rigide forme un cadre unique, il est également évident, comme rappelé précédemment, qu'on ne peut pas moduler sa raideur une fois qu'il est inséré dans les éléments souples formant la coque et/ou la tige de la chaussure.
La présente invention propose de remédier aux inconvénients évoqués ci-avant, et notamment:
- d'accéder à un compromis optimum de la souplesse-rigidité de la chaussure en disposant de parties souples à l'endroit des zones d'ajustement et des parties rigides à l'endroit des zones de transmission des impulsions et des appuis du porteur,
- de diminuer notablement le poids par rapport aux chaussures obtenues par un procédé de moulage d'un matériau plastique,
- de ne pas créer de surépaisseurs de matières nuisibles à la tenue stable des parties moulées de la chaussure,
- de fournir un moyen permettant de moduler la rigidité globale de la chaussure, et en particulier transversalement à l'axe longitudinal de cette dernière, et cela après intégration de raidisseurs, ou d'éléments de renforcement, distincts sur chacun de ses flancs ce qui rend la structure de la chaussure plus homogène.
Selon l'invention, la chaussure de sport est du type constitué d'une coque obtenue par un procédé de moulage d'un matériau plastique et comporte des parties souples à l'endroit des zones d'ajustement et/ou du passage du pied du porteur, et des parties rigides à l'endroit des zones de transmission des impulsions et des appuis du bas de jambe et/ou du pied du porteur. Plus particulièrement, la chaussure comporte sur sa partie formant la base de la coque une enveloppe souple qui peut être formée par injection, et à laquelle est associé un élément rigide, lequel est disposé sur un de ses flancs, notamment du côté intérieur du pied, où il affecte substantiellement la forme, et ce jusqu'au niveau de la semelle de la chaussure. Cet élément rigide assure ainsi le renforcement de la paroi correspondante du flanc de la base de coque.
Cette chaussure de sport se caractérise tout d'abord par le fait qu'un autre élément rigide, distinct de celui situé du côté intérieur du pied, est disposé et associé à l'autre flanc de la base de la coque de la chaussure.
Par cette caractéristique, chaque flanc de la chaussure peut être obtenu par un procédé de moulage à partir d'un matériau plastique souple et conçu avec une épaisseur de paroi relativement constante car la rigidité requise dans les zones de transmission des impulsions et des appuis du porteur est alors donnée par le renfort.
Par ailleurs, chaque renfort étant réalisé séparément du flanc correspondant de la base de la coque et adapté pour ne s'étendre que dans les zones où une grande rigidité est requise, il constitue en fait une ossature relativement grêle ne nécessitant qu'une petite quantité de matériau constitutif. Par conséquence, chaque renfort peut être obtenu à partir de matériaux composites de haute technicité et très légers, sans grever notablement les coûts, et permet de limiter le poids total de la chaussure car il évite les surépaisseurs de matière habituellement réalisées à l'endroit où il est placé, et ce sur les deux flancs de la chaussure.
Selon une autre caractéristique, un pont de liaison rigide, transversal à l'axe longitudinal de la chaussure, est intégrable à la semelle de cette dernière par l'intermédiaire de moyens de connexions réglables aptes à le relier, plus ou moins fermement et de chaque côté, à ladite semelle et aux éléments rigides de renforcement des flancs de la coque. Les éléments rigides peuvent ainsi être assemblés de flanc à flanc, de manière réglable, ce qui a pour effet de moduler la rigidité globale de la chaussure, et en particulier transversalement à l'axe longitudinal de cette dernière tout en préservant le compromis souplesse-rigidité de chaque flanc de la chaussure.
Selon un mode de réalisation, le pont de liaison rigide est prévu amovible voire interchangeable avec au moins un autre pont de liaison présentant une rigidité différente, ou avec deux pièces distinctes disposées cote à cote dans le sens transversal à l'axe longitudinal de la chaussure, chaque pièce coopérant avec les moyens de connexion situés en correspondance. Ces arrangements permettent également, en coopération avec les moyens de connexion, de modifier la résistance transversale et/ou en torsion de la base de la coque, et donc de moduler la rigidité globale de la chaussure.
L'invention sera mieux comprise et d'autres caractéristiques de celle-ci seront mises en évidence dans la description qui suit en référence aux dessins schématiques annexés, illustrant, à titre d'exemple, comment l'invention peut être réalisée et dans lesquels:
- le figure 1 est une vue éclatée et en perspective d'une chaussure de ski montrant, schématiquement, les moyens de connexion mis en oeuvre au niveau de la semelle pour relier les éléments rigides de renforcement des flancs de la chaussure, soit avec un pont rigide de liaison transversale constituant un pontage entre lesdits flancs, soit avec deux pièces distinctes préservant l'indépendance des éléments de renforcement d'un flanc par rapport à l'autre, au niveau de la semelle,
- la figure 2 est une vue en coupe transversale selon la ligne ll-ll de la chaussure de la figure 1 montrant le pont de liaison relié aux éléments rigides à l'aide des moyens de connexion,
- la figure 3 est une vue en coupe longitudinale partielle selon la ligne 111-111 de la chaussure de la figure 1 représentant l'intégration et la fixation du pont de liaison dans la semelle,
- la figure 4 est une vue en coupe transversale selon la ligne ll-ll de la chaussure de la figure 1 illustrant le mode de liaison des éléments de renforcement à des pièces distinctes en remplacement du pont de liaison transversale, ces pièces préservant l'indépendance des éléments de renforcement d'un flanc par rapport à l'autre,
- les figures 5 et 6 illustrent d'autres modes de liaison des éléments de renforcement avec un pont de liaison transversale,
- les figures 7 à 10 représentent, schématiquement, différents modes de réalisation d'éléments de renforcement latéral et la situation possible de leurs liaisons transversales par rapport à l'axe longitudinal de la chaussure et, en figures 9 et 10 le montage du pont de liaison dans la zone du talon.
La figure 1 montre une chaussure de sport telle qu'une chaussure de ski présentant une base de coque 1 munie d'une semelle 2, et une tige 3 montée de préférence pivotante sur la base de coque 1 à l'aide de pivots de liaison 4 situés dans la zone correspondant aux malléoles du porteur. Des éléments rigides 5, 5', visibles notamment sur la figure 2, sont associés et fixés aux flancs 13, 13', de la base de coque 1, et présentent une structure allégée par des évidements 6 à l'endroit des zones non affectées par la transmission des impulsions et des appuis du porteur de la chaussure. Ces éléments rigides 5, 5', constituent en fait une ossature relativement grêle puisqu'ils ne couvrent que les zones où une grande rigidité est requise.A titre d'exemple, dans le cas présent illustré, chaque élément 5, 5', constitue une ossature en forme de 'U" dont les branches 7, 7', sont rapprochées au niveau du pivot de liaison 4 de la tige 3, et dont la base 8 s'étend au niveau de la semelle 2 entre le talon 11 et le bout 12 de celleçi. Des pattes de fixation 17, 17', prolongeant les branches 7, 7', et repliées du côté de la semelle 2 sont destinées à permettre l'accrochage de chaque élément 5, 5', avec cette dernière.Dans cette réalisation de l'ossature des renforts 5, 5', les branches 7', qui sont orientées en oblique vers le bout 12 de la semelle 2, comportent des trous 44, 44', pour le montage des pivots de liaison 4 et sont alors concernées plus particulièrement pour les sollicitations intervenant dans le sens de la flexion de la cheville du porteur; les branches 7, elles, sont orientées sensiblement à l'aplomb des pivots 4 en direction du talon 1 1 et sont plus concernées pour les sollicitations intervenant verticalement et latéralement, ainsi que vers l'arrière entre la tige 3 et la base de coque 1 dans le sens de l'extension de la cheville du porteur, c'est-à-dire en 'appui arrière". La base 8 du renfort 5, 5', elle, réalise un pontage entre les branches 7, 7', dans le sens longitudinal de la chaussure et au niveau de la semelle 2 dont elle accentue la raideur longitudinale, et est concernée par conséquent pour les sollicitations tendant à la faire fléchir.
Ainsi conçue, la chaussure peut être obtenue par un procédé de moulage, à partir d'un matériau plastique souple constituant la majeure partie de la base de coque 1 et de la tige 3, avec une épaisseur de paroi relativement constante car la rigidité requise dans les zones de transmission des impulsions et des appuis du porteur est donnée par les renforts 5, 5'. C'est ce qui apparaît notamment sur les figures 2 et 4 où la paroi des flancs 13, 13', de la base de coque 1 est illustrée avec une certaine épaisseur qui est constante en vis à vis des renforts 5, 5', et qui s'amincit progressivement jusqu'à l'endroit de la zone d'ouverture-fermeture où elle forme les rabats transversaux 24.La variation d'épaisseur de la paroi des flancs 13, 13', entre la semelle 2 et les rabats 24 est ainsi considérablement diminuée par rapport aux chaussures de ski classiques obtenues en un matériau plastique unique car il n'y a pas de surépaisseurs au niveau de la semelle.
Une caractéristique de la chaussure réside dans le fait qu'au moins les pattes 17 des branches 7 des éléments de renforcement 5, 5', sont reliables entre elles par l'intermédiaire d'un pont de liaison rigide 20, transversal à l'axe longitudinal 9 de la chaussure, et de moyens de connexion 10 tel que des vis assurant l'assemblage desdites pattes 17, munies de trous 41 cylindriques ou oblongs, avec la semelle 2 et ledit pont 20. Les trous 41 sont de préférence de diamètre plus grand que le diamètre des moyens de connexion ou de forme oblongue, de manière à permettre un ajustement parfait des éléments de renforcement 5, 5', contre les flancs 13, 13'. Préférentiellement, le pont rigide 20, représenté hors de la chaussure à la figure 1, est insérable dans la semelle 2 par l'intérieur de la chaussure et constitue une partie de la surface d'assise du pied du porteur.
A cet effet, tel que représenté à la figure 3, la semelle 2 est réalisée avec un logement 22 et une gorge d'emboîtement 23, du côté de son bout 12, dans lesquels se positionne le pont de liaison 20 ensuite immobilisé à l'aide des moyens de connexion 10. Le logement 22 est prévu, dans ce cas de construction, plus grand que le pont de liaison 20, dans le sens de sa longueur, de sorte que ce demier puisse être engagé à plat dans ledit logement 22 puis déplacé en translation dans la gorge d'emboîtement 23.
Ainsi disposé, on obtient à son endroit, tel qu'illustré aux figures 2 et 3, d'une part, une structure transversale de type 'stratifié', la semelle 2 étant prise en sandwich entre les pattes de fixation 17 et le pont de liaison 20, et d'autre part, un pontage des éléments de renforcement 5, 5', de flanc 13 à flanc 13'. Les vis 10 étant réglables, on peut varier plus ou moins la fermeté de l'assemblage ainsi réalisé, et, par voie de conséquence, la rigidité transversale de la semelle et donc la rigidité globale de la chaussure dans ce sens notamment, tout en préservant le compromis souplesse-rigidité de chaque flanc 13, 13', obtenu grâce à la structure allégée des éléments de renforcement 5, 5'.Il est évident que l'emboîtement du pont de liaison 20 dans la gorge 23 à distance des moyens de connexion 10 procure également une plus grande rigidité longitudinale du bout 12 de la semelle 2.
Un montage comparable à celui des pattes de fixation 17 est envisageable pour les pattes de fixation 17' dans la zone du talon 11 de la semelle 2, mais peut aussi consister simplement en un assemblage des pattes 17' entre elles et avec la semelle 2 sans pont rigide de liaison. A titre d'exemple, dans le mode de construction illustré à la figure 1, les pattes 17' sont prolongées en direction de la semelle 2 de manière à se recouvrir mutuellement. Elles sont pourvues de lumières oblongues 16 orientées transversalement à l'axe longitudinal 9 de la chaussure et placées en correspondance d'un trou de fixation 15, réalisé dans la semelle 2, destiné à recevoir un moyen de connexion 10, tel qu'une vis.Ce montage permet, d'une part, une adaptation des éléments de renforcement 5, 5', au plus près des flancs 13, 13', sur lesquels ils s'appliquent, et d'autre part, un renforcement de la rigidité transversale de la semelle 2 à l'endroit des pattes d'attache 17'.
Selon un mode de réalisation, le pont de liaison 20 est prévu amovible et interchangeable avec au moins un autre pont de liaison de rigidité différente. Egalement, il est prévu remplaçable par deux pièces distinctes 21 disposées cote à cote dans le sens transversal à l'axe longitudinal 9 de la chaussure, chaque pièce 21 coopérant avec la vis 10 située en correspondance qui constitue le moyen de connexion. Afin de ne pas modifier l'assise du pied du porteur à l'endroit où était situé le pont de liaison 20, les pièces distinctes 21 sont prévues pour couvrir à elles deux quasiment la même surface que ce premier. Avantageusement, elles peuvent aussi coopérer avec la gorge d'emboîtement 23.
Par cette disposition, comme illustré à la figure 4, le pontage plus ou moins rigide entre les éléments de renforcement 5, 5', obtenu précédemment à l'aide du pont de liaison 20 est rompu. De ce fait, la rigidité transversale de la chaussure est grandement diminuée et la rigidité globale de cette dernière s'en trouve modifiée. Ces arrangements relatifs à l'interchangeabilité du pont de liaison 20 ou à son remplacement par deux pièces distinctes 21 et/ou au réglage de la fermeté de l'assemblage réalisé à l'aide de moyens de connexion 10 permettent de moduler la rigidité globale de la chaussure après intégration des éléments de renforcement 5, 5', sur les flancs 13, 13', de la chaussure.Certains aménagements destinés à faciliter l'accès et la mise en oeuvre des moyens de connexion, tel que les vis 10, et/ou à protéger ceux-ci sont avantageusement prévus et consistent par exemple:
- en la réalisation d'une échancrure 30 dans une talonnette 31 de la semelle 2 en correspondance du trou de fixation 15 pour accéder à la vis 10, de sorte que sa tête 10' constituant l'organe de manoeuvre se trouve logée dans l'échancrure et par conséquence protégée (cf. figure 1),
- en la disposition des pattes de fixation 17 en arrière et en retrait d'embouts de marche 32 rapportés sur le bout 12 de la semelle 2, de sorte que les têtes de vis 10' ou organes de manoeuvre se trouvent éloignées de la surface de marche de ladite semelle 2 (cf. figure 1).
D'autres solutions sont également envisageables comme par exemple la disposition des organes de manoeuvre 10' des moyens de connexion 10 du côté de l'intérieur de la base de coque 1. Dans ce cas, évidemment les moyens de connexion 10 sont manoeuvrabies après avoir extrait de la chaussure la semelle de confort etlou le chausson inteme, non représentés.
Selon certaines adaptations, tel qu'illustré à la figure 5, le pont de liaison 20 peut être connecté aux pattes de fixation 17 des éléments de renforcement 5, 5', à l'aide d'un moyen de connexion 40 assurant simplement la liaison transversale desdits éléments 5, 5', avec ledit pont 20 sans prendre en sandwich la semelle 2. Ce moyen de connexion 40 peut être constitué, par exemple, par une vis sans tête qui se visse dans le pont de liaison 20 et qui s'engage librement dans le trou de passage 41 de la patte de fixation 17 correspondante. Dans ce cas de montage seul l'élément de renforcement 5' se trouve alors relié fermement et en tout sens au pont de liaison 20 à l'aide du moyen de connexion 10 constitué par la vis à tête 10'. On obtient de la sorte une rigidité transversale dissymétrique de la base de coque 1 facilement modifiable en remettant une vis 10 à tête 10' en lieu et place de la vis sans tête 40.
Selon une autre adaptation, représentée à la figure 6, la liaison des éléments de renforcement 5, 5', avec le pont de liaison 20 peut être prévue par exemple du côté du flanc 13' à l'aide de moyens de connexion 50, tels que des rivets, assurant un assemblage permanent et non réglable en fermeté, et du côté de l'autre flanc 13 avec des moyens de connexion 10 réglables amovibles et/ou interchangeables.
II est évident que d'autres moyens de connexion que ceux qui viennent d'être cités pour exemple peuvent être utilisés et peuvent notamment consister en des montages à 'clavette', à 1baïonnette1, à goupille",...etc.
Par ailleurs, les éléments de renforcement 5, 5', de la chaussure décrite en référence à la figure 1 peuvent revêtir diverses formes et être différents d'un flanc 13 à l'autre 13'. A titre d'exemple, selon la forme illustrée à la figure 7, les éléments de renforcement 35, 35', comportent des pattes 36, 36', qui se prolongent jusqu'à la zone dorsale de la base de coque 1, représentée en trait fin, où elles s'imbriquent bout à bout entre elles à la manière d'une liaison tenon-chape coulissante en translation dans le sens de l'imbrication. De la sorte, les éléments de renforcement 35, 35', peuvent être adaptés au plus près des flancs de la chaussure sur lesquels ils s'appliquent autant au niveau de la semelle 2 qu'au niveau de la tige 3 et des pivots de liaison 4 situés à l'endroit des trous 44, 44', représentés.
En figure 8, les éléments de renforcements 45, 45', se différencient de ceux 5, 5', et 35, 35', surtout par le fait que ce sont des branches 46, 46', sensiblement verticales situées dans la zone correspondant du talon 1 1 qui s'étendent jusqu'au niveau des pivots de liaison 4 de la tige 3 situés à l'endroit des trous 44, 44', représentés.
La figure 9 illustre un autre exemple de réalisation d'éléments de renforcement 55, 55', dans lequel les éléments 55, 55', sont reliés par un pont rigide de liaison 19 dans la zone correspondant au talon 11 de et dans la zone du bout 12 de la chaussure par deux pattes cintrées 47, 47', formant un tunnel correspondant à la zone où passent l'extrémité du pied du porteur de la chaussure. Dans cette construction, chaque élément de renforcement 55, 55', a la forme d'un V renversé dont le sommet comporte des trous 44, 44', sensiblement au niveau des pivots de liaison de la tige, et dont la branche 48, 48', dirigée vers l'avant 12 se prolonge par une première partie droite horizontale 49, 49', et par une deuxième partie verticale formant une patte cintrée 47, 47'.La figure 10 montre des éléments de renforts 65, 65', d'un type similaire à ceux 5, 5', de la figure 1, mais, dans cette variante de réalisation, qui sont reliés entre eux par un pont rigide de liaison 20 dans la zone correspondant au talon 11 de la chaussure. Les pattes de fixation 17 sont alors situées à l'arrière tandis que celles 17' sont situées à l'avant 12. Comme précédemment, le pont rigide de liaison 20 peut être interchangeable et/ou remplaçable par deux pièces distinctes 21 disposées cote à cote dans le sens transversal à l'axe longitudinal 9 de la chaussure.
Il va de soi, tel qu'illustré à la figure 8, que le pont de liaison rigide 20 peut revêtir diverses formes et comporter plus de deux trous de fixation, par exemple quatre, pour son assemblage avec la semelle 2 et les pattes de fixation 17 et/ou 17' des éléments de renforcement 45, 45'.
Par ailleurs, son remplacement par deux pièces distinctes 21 en vue de modifier la raideur transversale et globale de la chaussure n'est qu'une possibilité parmi d'autres. En effet, comme dans l'exemple de la figure 7, rien n'empêche de le remplacer par deux pièces distinctes 21 de petite dimension juste à l'endroit de la liaison avec les moyens de connexion 10 et de combler l'espace laissé libre par une pièce 51 de remplissage destinée à reconstituer une partie de la surface d'assise du pied du porteur sur la semelle 2.
Encore, le pont de liaison rigide 20 peut être prévu pour s'adapter et se connecter aux éléments de renforcement par l'extérieur de la semelle 2 de la chaussure et s'étendre sur une grande ou une petite surface relativement à la semelle de la chaussure ; il peut aussi se présenter sous différentes formes, symétriques ou dissymétriques, sans pour cela sortir du cadre de l'invention.
Enfin, les éléments de renforcement 5-5', 35-35', 4595', 55-55', 65-65', des flancs de la chaussure pourront être associés à ceux-ci par tout moyen connu tel que par surmoulage, collage, rivetage, points d'ancrage, etc..., et être rapportés et fixés sur l'intérieur et/ou l'extérieur de la base de coque de la chaussure en étant par exemple insérés au moins partiellement dans l'épaisseur des parois sur lesquelles ils s'étendent.

Claims (11)

REVENDICATIONS
1- Chaussure de sport, obtenue par un procédé de moulage à partir d'un matériau plastique, dont la partie formant la base de la coque (1) et surmontée d'une tige (3) comporte une enveloppe souple à laquelle est associé un élément rigide (5, 35, 45, 55, 65) qui est disposé sur un (13) de ses flancs (13, 13'), notamment du côté intérieur du pied où il affecte substantiellement la forme jusqu'au niveau de la semelle (2) de la chaussure, cet élément rigide (5, 35, 45, 55, 65) assurant le renforcement de la paroi correspondante du flanc (13) de la base de la coque (1) de la chaussure, caractérisée par le fait qu'un autre élément rigide (5', 35', 45', 55', 65'), distinct de celui situé du côté intérieur du pied, est disposé et associé à l'autre flanc (13') de la base de coque (1).
2- Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que les éléments rigides (5-5', 35-35', 45-45', 55-55', 65-65') comportent des pattes de fixation (17) et (17') repliées du côté de la semelle (2) destinées à permettre l'accrochage de chaque élément (5-5', 35-35', 45-45', 55-55', 65-65') avec ladite semelle (2).
3- Chaussure selon la revendication 2, caractérisée en ce qu'au moins un pont de liaison rigide (19, 20), transversal à l'axe longitudinal (9) de la chaussure, est intégrable à la semelle (2) de cette dernière par l'intermédiaire de moyens de connexion (10, 40, 50) aptes à le relier plus ou moins fermement, de chaque côté de la chaussure, à ladite semelle (2) et aux éléments rigides (5-5', 35-35', 45-45', 55-55', 65-65') de renforcement des flancs (13, 13') de la base de la coque (1), par l'intermédiaire des pattes de fixation (17, 17') réalisant ainsi un assemblage réglable ayant pour effet de moduler la rigidité globale de la chaussure.
4- Chaussure selon la revendication 3, caractérisée en ce que le pont de liaison (19, 20) est amovible et interchangeable avec au moins un autre pont de liaison présentant une rigidité différente.
5- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 3 ou 4, caractérisée en ce que les moyens de connexion (10, 40) sont réglables et amovibles.
6- Chaussure selon les revendications 3 ou 4, caractérisée en ce que le pont de liaison (20) est remplaçable par deux pièces distinctes (21) disposées cote à cote dans le sens transversal à l'axe longitudinal (9) de la chaussure, chaque pièce (21) coopérant avec les moyens de connexion (10) situés en conespondance.
7- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisée en ce que le pont de liaison (19, 20) est rapporté à l'intérieur de la chaussure sur la zone correspondant à l'assise du pied du porteur.
8- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 3, 4 ou 7, caractérisée en ce que les moyens de connexion (50) du pont de liaison (20) situés d'un côté de la chaussure sont fixés et assemblés à demeure, tandis que les moyens de connexion (10) situés du côté opposé sont amovibles et réglables afin de varier la fermeté de l'assemblage entre le pont de liaison (20), la semelle (2) et l'élément rigide (5) de renforcement du flanc (13) correspondant de la chaussure.
9- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 3 à 8, caractérisée en ce que les éléments rigides de renforcement (5-5', 35-35', 45-45', 55-55', 65-65') sont rapportés et fixés sur l'extérieur de la base de la coque (1) de la chaussure.
10- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 3 à 8, caractérisée en ce que les éléments rigides de renforcement (5-5', 35-35', 45-45', 55-55', 65-65') sont rapportés et fixés sur l'intérieur de la base de la coque (1) de la chaussure.
11- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 3 à 10, caractérisée en ce que les moyens de connexion (10, 40) ont un organe de manoeuvre (10') accessible de l'extérieur de la chaussure.
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