FR2730900A1 - Appareil servant a faire des ligatures utilisables notamment en viticultures - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un appareil manuel permettant de faire, en trois mouvements: poussée, tirée, levée, une ligature, en utilisant du fil de fer enroulé sur une bobine. Ce dispositif a l'avantage d'exécuter ce travail sans devoir toucher le fil. La distribution de ce dernier autour des parties à ligaturer est faite pendant le mouvement "poussée" et la première partie du mouvement "tirée" rétablissant la position initiale non basculée. Pendant la suite du mouvement "tirée" impliqué à la "poignée" de l'appareil, les deux fils constituant une boucle, tournent ensemble et forment une "torsade" très serrée, pour obtenir une ligature très solide. Le fil provenant de la bobine est sectionné en fin de course "tirée". En troisième mouvement, avec l'orientation de la tête "levée", l'ensemble de l'appareil, en glissant dans la poignée, descend pour retrouver, en retour de "tirée", la disposition de départ pour la ligature suivante. L'invention est plus particulièrement adaptée au palissage de la vigne. Elle est réalisée en tringle et tôle acier nickelé et matière plastique.

Description

Disposition mécanique améliorant la réalisation d'un appareil faisant des ligatures (comme figure 1) avec du fil de fer enroulé sur une bobine.

Cet appareil manuel, utilisable notamment en viticulture pour le palissage de la vigne, fonctionne en impliquant à la poignée de l'appareil trois mouvements : pousser, tirer, lever. I1 a déjà été l'objet d'un brevet d'invention délivré le 30/12/57 sous le numéro 1 157 334. Deux tentatives de fabrication n'ont pu réussir à cause de plusieurs défauts de conception aboutissant en une réalisation compliquée, fragile, peu esthétique, fonctionnant très irrégulièrement.

La présente demande de brevet d'invention contient les principales dispositions antérieures réalisées de façon différente pour obtenir un meilleur fonctionnement et une fabrication possible. Elles sont détaillées en dix dispositions * Dispositions 1 et 2 : mouvements de poussée et première partie du mouvement de tirée. Ce fontionnement est amélioré par l'éloignement de l'axe du pivotement de l'étoile basculante, du point où s'exerce la poussée des parties à ligaturer contre la branche 1 de l'étoile.Cet éloignement permet de faciliter l'utilisation en rendant plus efficace le mouvement de poussée produisant le basculement de l'étoile (fig. 3, 11). I1 rend également possible la réalisation de cette dernière ainsi que la carcasse 2 de la tête tournante (fig. 5) en tôle découpée, percée, pliée, parce que l'intervalle entre les quatres paliers d'articulation 3 a pu être très élargi pour la raison qu'ils sont situés, pendant le basculement beaucoup plus loin du croisement (x) des parties à ligaturer (fig. 3) en pointillé, voir l'emplacement de l'axe d'articulation de l'étoile du brevet initial. De plus, l'élargissement entre paliers fournit une place idéale au ressort "boudin torsion" de rappel (fig. 15, 6).C'est par l'action de retour de ce dernier fière partie du mouvement de tirée) que commence le déroulement du fil bobiné dont le bout s'est accroché au bec 4 de la partie tournante en début du mouvement de tirée. Cet accrochage étant consolidé en fin de retour du basculement de l'étoile par sa branche 1.

* Disposition 3 : continuation du mouvement de tirée. Pendant ce parcours, les parties à ligaturer sortent de la tête tournante (fig. 2) et, étant entourées par le fil, forment ce dernier en X boucle s'allongeant jusqu'à ce qu'elles reçoivent, par derrière, l'appui de la tringle pliée en forme de crochet 5 solidaire du montage central.

C'est en ce dernier que résident les principales dispositions nouvelles du montage qui sont composées comme suit
A : la tête tournante (fig. 2, 3, 4, 6) porteuse de l'étoile basculante est fixée par rivetage à un bout d'un moyeu particulier 6 (fig. 5) avec rainure circulaire formant avec deux plaques (fig. 21) fraisées en V,un roulement à billes. C'est ce dernier qui constitue le montage central puisqu'il réunit, quand les billes sont logées entre les fraisages des plaques et dans la rainure du moyeu, l'assemblage de toutes les parties principales de la disposition nouvelle.

Une partie est donc la tête tournante déjà citée fixée à un bout du moyeu par rivetage.

B : La seconde est une double rampe 7 helicoidale, réalisée en fil de 3 mm de diamètre soudée à l'autre bout du moyeu. Cette rampe double procurant une rotation de deux tours à la tête de l'appareil pour un déplacement total de la poignée (fig. 13) le long des tringles pliées en U 8 formant le manche (fig. 12).

C :la troisième est la fixation par soudage électrique de la tringle pliée en forme de crochet 5 à l'une des deux plaques fraisées en V déjà citée.

D : la quatrième est la fixation par rivetage d'extrémités des deux tringles pliées en U 8 formant le manche glissière à l'autre des deux plaques fraisées.

E : la cinquième particularité constituant le montage central, est l'assemblage des deux plaques fraisées réunissant les pièces principales constituant l'appareil, par quatre vis avec écrou frein 9 réglant le jeu du roulement à billes par serrage approprié d'une pièce cale caoutchouc logée entre les plaques.

+ Disposition 4 : est une poignée en matière plastique (fig. 13), sur laquelle deux fourchettes (fig. 14) placées face à face, de chaque côté, engendrant le mouvement rotatif de la tête grâce à leurs quatres dents pénétrant à l'intérieur, sont facilement montables depuis l'extérieur. La poignée comporte, en saillie, un petit crochet 10 à deux pentes inégales, sortant du moulage, pour qu'une pièce souple pliée (fig. 17) en corde à piano, fixée à deux des quatre vis de serrage des plaques fraisées, procure une légère retenue du départ du glissement de la poignée.

Le montage des fourchettes possible depuis l'extérieur est indispensable, puisque ce sont les dites fourchettes qui assurent la poussée né cessaire, en fin de course de la poignée, en rencontrant un collet 11 16) solidaire du tringlage (fig. 18, 19, 20) tirant sur la cisaille pour obtenir le sectionnement du fil. Donc, si les deux fourchettes ne pouvaient pas être montées en dernier, on ne pourrait pas mettre la poignée, avec fourchettes montées, en place.

* Disposition 5 : continuation et fin du mouvement de tirée. C'est lorsque les parties à ligaturer reçoivent, "par derrière" l'appui de la tringle pliée en crochet déjà citée, que la poignée commence à glisser le long du manche, produisant la rotation de la tête. Quand cette dernière a atteint le Y2 tour avec déroulement libre du fil, un ressort "boudin traction" (fig. 19),logé au centre du manche, et accroché au bout de la poignée par l'anneau de la pièce (fig. 20), commence à tirer sur le tringlage pour produire le blocage du déroulement du fil, en faisant serrer suffisamment les machoires cisaille 12, (fig. 3, 4, 7, 10).Pendant le un tour et demi de rotation restant, avec déroulement bloqué du fil, le ressort s'étire, jusqu'à ce que les dents des fourchettes (fig. 14) rencontrent, en fin de course, le collet 11 déjà cité, tirant directement sur le tringlage de commande de fermeture de la cisaille. Le ressort, étiré jusque là, a l'avantage de contribuer à un retour plus rapide de la poignée, aidé par la position d'orientation "levée" de la tête de l'appareil. Bien entendu, c'est le blocage de déroulement du fil, qui constitue l'élément nouveau principal contribuant à la solidité de la ligature par serrage de la torsade durant un tour et demi de rotation de la tête.

Les autres éléments différenciant la disposition mécanique nouvelle du brevet initial, pour obtenir une amélioration du fonctionnement, de la fabrication, et de l'utilisation sont * Disposition 6 : montée sur la branche 13 de l'étoile, la conception particulière de la pièce principale (fig. 7) de la cisaille, ainsi que la pièce guide fil (fig. 8), sur chacune desquelles une Y2 empreinte est creusée et placée face à face pour constituer le palier support de traversée à la simple tringle en corde à piano de diamètre 12/10e de mm (fig. 9), pliée d'équerre trois fois et formée en boucle en bout, pour constituer la pièce réalisant le prépliage du bout du fil, après le cisaillement de ce dernier, en fin de course "tirée" de la poignée.

* Disposition 7 : est l'ensemble des pièces fonctionnant selon une technique totalement différente, pour que les machoires cisailles s'écartent très largement pour laisser le passage au guide fil. Ce dernier, amenant au dessus du bec fixe de la carcasse de la tête tournante, le bout du fil préplié afin qu'il pénètre, pour s'accrocher, dans la fente 4 du bout du bec. Une différence importante de la technique utilisée réside dans la conception de la machoire principale (à fente droite) beaucoup plus courte que dans l'invention initiale. De plus, cette machoire est immobile pendant le sectionnement du fil, et possède un trou 20 d'articulation d'attache à un téton 14 (fig. 5) rivé à la carcasse 2. C'est l'autre machoire (fig. 10) qui est mobile pour le sectionnement du fil.Cette dernière est reliée au tringlage aboutissant à la poignée par une pièce 21 (fig. 4), en forme d'équerre, agissant en "renvoi d'angle", articulée en 27 (fig. 4 et 5).

Un autre élément de la technique utilisée, totalement différent est relatif au comportement, pendant le basculement de l'étoile, de l'axe central d'articulation de la cisaille. Dans la disposition mécanique nouvelle c'est cet axe central qui glisse dans la fente droite, alors que dans le brevet initial, c'est le téton m, rivé sur le levier démultiplicateur p qui glisse dans la fente plus longue et coudée de la machoire mobile.

* Disposition 8 : l'emplacement de la boucle de liaison articulée (avec la tringle fig. 24) du prépliage, placée en ligne du téton 14 rivé à la carcasse 2, ainsi que le téton de liaison du bras de cisaille mobile (fig.

10), placé, lors du basculement de l'étoile, en ligne avec l'axe de pivotement de cette dernière, permet de conserver "attachées" les deux liaisons reliant à la poignée, la cisaille et le prépliage. Ces deux fonctions agissant seulement en fin de course "tirée" de la poignée. Conçues ainsi, le basculement de la tête peut se faire, puisque les deux attaches sont placées articulées en ligne avec deux axes ne changeant pas de position pendant le basculement de l'étoile.

* Disposition 9 : le blocage de basculement de l'étoile se produit dès le commencement de la tirée du ressort "traction" (fig. 19) du tringlage produisant l'arrêt du déroulement libre du fil. Ce blocage est indispensable pour que l'étoile reste bien en place de retour du basculement, pendant la rotation de la tête, alors que le fil tire pour obtenir une torsade serrée.Il est produit par une pièce, en forme de crochet 10 (fig. 2 et 3) fixée articulée à la carcasse de la tête tournante et actionnée par une fente arrondie 15 percée dans une pièce intermédiaire (fig. 23) reliant l'équerre renvoi d'angle à la tirette coudée (fig. 25). Cette dernière transmet et centre la tirée de la poignée en sa fin de course, par l'intermédiaire du tringlage, pour obtenir le sectionnement du fil suivi du prépliage de ce dernier.

Le crochet 10 agit en recevant dans sa partie creuse l'extrémité de la branche 16 de l'étoile ; celle qui porte le moyeu de bobine.

Disposition 10 : concerne la conception de la pièce guide fil (fig. 8) dans laquelle deux X empreintes formées entre la pièce guide fil et une languette repliée en U > permet d'obtenir facilement, par pressage, ce guidage 17 de diamètre 1,5 mm sur 1 cm de long, complete par un trou ordinaire 18 percé dans l'extrémité pliée de la pièce. Cette dernière est fixée à la machoire cisaille à fente par une vis avec écrou traversant les trous 19.

L'invention pourra de toute façon être bien comprise à l'aide de la description des dessins qui suit, donnée surtout à titre d'indication. Les 26 figures tracées sur deux planches de dessins, montrent les différents organes de la disposition mécanique nouvelle. Les groupes de pièces fonctionnant ensemble dans diverses figures sont * fig. 3 : l'ensemble tête tournante, crochet d'appui en fin du mouvement de poussée.

* fig. 2 : le même ensemble en fin du premier temps du mouvement de tirée, lorsque les parties à ligaturer, entourées par le fil formé en Y boucle, reçoivent l'appui de la tringle crochet 5.

* fig. 4 : l'ensemble tête tournante vue face opposée à celle de la fig.2 + fig. 5 : montre le montage central composé de la carcasse 2, des plaques fraisées, du moyeu, des billes, de la rampe double 7, des tringles pliées en U 8 pour former le manche, rivées à l'une des plaques, la tringle crochet 5 soudée à l'autre plaque fraisée.

fig. 6 : montre la tête tournante, vue de profil, où apparaît le moyeu de bobine 22, le ressort de la fig. 15, les articulations 3 de l'étoile, la tirette de liaison (fig. 24) reliant la boucle de la pièce du prépliage du fil avec la tirette coudée de la fig. 25.

* fig. 7, 8, 9 : montrent l'ensemble machoire cisaille à fente, guide fil, et pièce prépliage. Le tout étant prévu pour être réunis par une vis avec écrou traversant les trous 19.

* fig. 10 : montre la machoire mobile avec son trou 23 par lequel se fixe l'axe pivot glissière également visible (fig. 4) et son trou 25 pour emplacement d'un téton s'engageant dans la fente de l'équerre 21 (fig.4) * fig. 11 : montre l'emplacement du ressort de rappel (fig. 15) de l'étoile entre les paliers d'articulation de cette dernière.

* fig. 16, 18, 19, 20 : montrent les quatres pièces rentrant les unes dans les autres (20 dans 19, 19 dans 18, 18 dans 16), pour constituer l'ensemble tringlage pour obtenir, pendant la course tirée de la poignée : le blocage du déroulement du fil, le cisaillement de ce dernier suivi du prépliage, pli situé à un cm environ du bout du fil.

* fig. 23 : montre la fente arrondie 15 d'entrainement du bout plié à 900 du crochet 10 de blocage du basculement de l'étoile, ce crochet est visible (fig. 2 et 3).

* fig. 17 : montre la pièce souple procurant un certain freinage du départ de la poignée (fig. 13) par effet de la pente 10 sortant en saillie du moulage.

* fig. 26 : représente la bobine pouvant varier entre 30 à 48 mm de diamètre pour utiliser du fil de 3 ou 4/10e de mm. Son trou central, s'engage facilement, et la bobine ne peut sortir grace à la tête crochet souple du moyeu 22.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Dispositif mécanique pour faire des ligatures avec du fil de fer enroulé sur une bobine, utilisable d'une seule main, laissant l'autre libre pour faciliter particulièrement le palissage de la vigne, fonctionnant en appliquant à la poignée du dispositif trois mouvements de type poussée, tirée, levée caractérisé en ce qu'il comporte un manche fig. 12, en forme de U (8) le long duquel une poignée fig. 13, munie de 2 fourchettes fig. 14, coopère avec une rampe double hélicoïdale (7) fig. 5, solidaire d'une tête tournante (2) fig. 5 apte à être entraînée en rotation par déplacement de la poignée et en ce que cette tête tournante (2) étant pourvue d'une pièce fig. 11 à 3 branches en forme d'étoile (1-13-16) pivotant en "aller-retour" autour d'un axe 3, cette pièce fig. 11 comportant des moyens de : distribution, blocage du déroulement du fil et sectionnement de ce dernier.

2. Dispositif, selon la revendication 1, caractérisé en ce que la tête tournante (2) fig. 5 est fixée par rivetage à un moyeu particulier (6) comportant une rainure circulaire formant avec 2 plaques fig. 21 fraisées en forme de V, un roulement à billes permettant une rotation de la tête tournante par effet de la rampe double hélicoïdale (7) fixée soudée à l'autre extrémité du moyeu (6).

3. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que à l'une des 2 plaques fraisées sont fixées par rivetage, les 2 extrémités de la tringle pliée en U (8) pour former le manche fig. 12 et à l'autre plaque fraisée est soudé le bout plié du crochet (5) fig. 2 et 4. Ainsi, le positionnement face à face des 2 plaques serrant entre elles une pièce en caoutchouc par l'effet des 4 vis, peut régler le jeu des billes prisonnières dans la rainure du moyeu 6 et des fraisages entre plaques et apporter la rigidité indispensable des pièces "chassis" :: manche et crochet, tout en assurant une rotation libre maintenue en ligne des pièces tournantes

4. Dispositif, selon les revendications précédentes, caractérisé en ce que la poignée fig. f3 réalisée en matière plastique glisse très bien sur les tringles formant le manche fig. 12. Cette poignée comporte, sortant du moulage côté fourchettes, en saillie, en forme de "crochet" (10) fig. 13 une face en pente pouvant glisser sans gripper pour que la pièce souple fig. 17 s'appuyant contre, produise une légère retenue du départ du glissement de la poignée. Cette dernière permet de fixer les 2 fourchettes fig. 14 depuis l'extérieur ainsi que l'attache, au bout du manche, du ressort traction intérieur fig. 19 produisant le blocage du fil et le retour facilité de la poignée.Le sectionnement a lieu, en fin de course du mouvement de "tirée" quand les 4 dents des 2 fourchettes fig. 14 rencontrent le collet (11) fig. 16 tirant sur le tringlage droit 1819-20 et la angle coudée de décentrage fig. 25 débouchant dans l'un des trous de la pièce de liaison fig. 23 avec la pièce équerre (21) fig.4. Cette tirée, par effet de renvoi d'angle, fait serrer la mâchoire mobile (12) fig. 10. --

5.Dispositif, selon les revendications 1 et 4, caractérisé en ce que, la solidité de la ligature, dépendant essentiellement du serrage de la torsade, nécessite que le fil se déroule librement pendant le premier 1/2 tour de rotation de la tête, pendant lequel la 1/2 boucle est formée autour des parties à ligaturer et qu'ensuite le fil soit bloqué pour que, pendant le 1 tour 1/2 de rotation restant, la torsade soit formée serrée. Cest, quant le ressort fig. 19 commence à tirer sur l'ensemble du tringlage déjà cité que la mâchoire mobile cisaille (12) fig. 10 serre modérément le fil, bloquant ainsi le déroulement.

6. Dispositif, selon les revendications précédentes, caractérisé en ce que la pièce fig. 11 en forme d'étoile, pivotant sur son axe (3) comporte 3 branches:

- en 16, celle qui porte le moyeu de bobine (22) fig. 6 à son extrémité effilée pour pouvoir être accrochée par l'encoignure de la pièce (10) fig. 2 afin d'obtenir le blocage du basculement de l'étoile.

- en 13, celle portant l'axe (23) servant d'articulation rotative pour le bras dc cisaille mobile fig. 10 et la pièce fig. 7 portant la contre lame glissante (12) de cisaille.

- en 1, celle recevant la poussée très efficace des parties à ligaturer due à l'intervalle très allongé (par rapport au brevet initial) entre l'axe de pivotement (3) et le point x fig. 3 contre lequel les parties à ligaturer appuient pour provoquer le basculement. Cette branche (1) reçoit pour le mouvement de retour, l'action du ressort de rappel fig. 15 monté autour de l'axe (3) avec l'extrémité coudée engagée dans le trou de la branche (1) fig. 3

7. Dispositif, selon les revendications 1-4-6, caractérisé en ce que les mâchoires (12) fig. 7 et 10 constituant la cisaille, devant s'écarter largement pour que le guide fil puisse amener le bout préplié dans la fente (4) fig. 5 et fig. 2 et 3 du bec fixe de la tête tournante sont constituées et fonctionnent comme suit : la plus grande, creusée d'une fente droite, à son extrémité percée (20) traversée par le téton (14) rivé à la tête tournante (2) fig. 5. Cette articulation est nécessaire pour le basculement de l'étoile au cours duquel l'axe (23) glisse dans la fente de la grande pièce fig. 7. Le trou (25) de la pièce bras cisaille mobile fig. 10 porte un téton rivé engagé dans la fente de l'équerre renvoi d'angle (21) fig. 4 pour recevoir l'effet de "tirée" "poussée" provenant du tringlage déjà cité.

8. Dispositif, selon la revendication 7, caractérisé en ce que la grande pièce à fente fig. 7, constituant la partie principale de la cisaille, montée sur la branche (13) de l'étoile, supporte la pièce guide fil fig. 8 maintenuc serrée par une vis avec écrou traversant dans les trous (19) fig.

7 et 8. Entre ces 2 pièces, comportant chacune une 1/2 empreinte ronde obtenue par pressage, pour former, étant placées face à face, un palier d'articulation et de traversée à une simple tringle en corde à piano, pliée d'équerre trois fois et terminée en anneau (fig. 9), pour constituer la pièce réalisant le prépliage du fil (après sectionnement) par tirée du ressort fig. 19 transmis par la tirette de liaison (24) fig. 24 et fig. 6. Cette dernière est accrochée d'un bout à l'anneau de la pièce fig. 9 et de l'autre bout à la partie la plus courte de la tringle coudée fig. 25 de décentrage.

9. Dispositif, selon les revendications 1-7 et 8, caractérisé en ce que le trou d'attache de liaison (25) du bras mobile de cisaille fig. 10 et l'anneau d'articulation de la pièce préplieuse fig.9, assurant la jonction de ces dites fonctions de l'étoile, portée par la tête toumante (2) fig. 5 avec l'action linéaire de "tirée" "poussée" de la poignée, alors que le le basculement de l'étoile doit pouvoir se faire, sont rendues possibles grâce à la position de l'emplacement d'attache de chacun d'eux : pour la cisaille, en face de l'axe (3) de pivotement de l'étoile et pour le prépliage du bout du fil, en face du téton (14) fig. 5 et 4. Placées ainsi, ces articulations restent attachées pendant le basculement de l'étoile.

10. Dispositif, selon les revendications 6 et 7 caractérisée en ce que dans le présent dispositif, c'est l'axe central (23) de cisaille qui glisse, pendant le basculement de l'étoile, dans la fente droite de la grande pièce mâchoire cisaille fig.7.

11. Dispositif, selon les revendications précédantes, caractérisé en ce que, en même temps que le blocage du fil intervient, le basculement de l'étoile est rendu impossible par l'effet d'une pièce en forme de crochet (10) fig.2 et 3 fixée articulée à la tête tournante et actionnée grâce à l'orientation de la fente arrondie (15) fig. 23 creusée dans cette pièce assurant la liaison du tringlage déjà cité. Cette pièce, bouge du bout crochet parce que son autre bout, plié d'équerre, est engagé dans la fente arrondie (15).

12. Dispositif, selon les revendications 1 et 6, caractérisé en ce qu'il utilise une bobine d'un diamètre compris entre 30 et 48 rnrn avec un trou central de diamètre approprié pour apporter le meilleur dosage de freinage du déroulement du fil afin que ce dernier ne déborde pas, si le déroulement est trop libre, par dessus les flasques de la bobine et soit quand même suffisamment libre pour éviter le décrochage prématuré du fil pris dans la fente (4) du bec de la branche (1) de la tête tournante avant que la ligature soit terminée.