FR2658995A1 - Machine a laver les legumes et/ou les fruits. - Google Patents

Abstract

L'invention est relative à une machine à laver les légumes et/ou les fruits. Elle trouvera notamment son application dans le domaine de la construction de telles machines et son application dans le domaine du nettoyage des produits alimentaires tel que notamment le nettoyage des pommes de terre. La machine (3) comporte un tambour rotatif (6) dans lequel sont introduits les légumes ou fruits à nettoyer ainsi qu'une alimentation (7) en liquide de lavage, notamment en eau. En outre, ledit tambour (6) présente des moyens (10, 11) pour créer un mouvement de translation des légumes et/ou fruits à travers le tambour lors de sa rotation, intégrés dans sa face interne (9) sans protubérance néfaste pour lesdits légumes et/ou fruits à nettoyer.

Description

L'invention est relative à une machine à laver les légumes et/ou les fruits. Elle trouvera notamment son application dans le domaine de la construction de telles machines et son utilisation dans le domaine des produits alimentaires, notamment pour procéder au nettoyage des pommes de terre.

Dans de nombreux cas, après la récolte des légumes ou des fruits, il est nécessaire de les nettoyer pour les débarrasser par exemple des traces de boue ou de terre.

En particulier, après l'arrachage de nombreux légumes ou la cueillette des fruits, il est nécessaire de les nettoyer afin qu'ils présentent un aspect de propreté certain pour leur commercialisation.

Dans le cas des pommes de terre, qui sont maintenant généralement arrachées automatiquement par des machines automatiques, selon l'état du terrain au moment de l'arrachage, les tubercules sont plus ou moins couvertes de terre ou de boue.

Une première méthode consiste à faire tomber la terre en les brassant les unes contre les autres. Une deuxième solution consiste à les soumettre à un liquide de lavage, généralement de l'eau, dans une machine à tambour.

A ce sujet, on connaît des machines à laver les légumes et/ou les fruits, constituées au moins d'un tambour rotatif dans lequel sont introduits les légumes ou les fruits à nettoyer, et d'une alimentation en liquide de lavage, notamment en eau, apte à asperger les fruits ou légumes à nettoyer contenus dans ledit tambour.

Un premier type de machine comporte un tambour rotatif dont l'axe est soit vertical, soit horizontal dans lequel les fruits et légumes sont placés puis déchargés après un brassage d'un certain temps.

Le principal inconvénient de ces machines réside dans la manutention nécessaire pour charger la machine puis décharger la machine lorsque le nettoyage est terminé.

Pour pallier ces inconvénients, un autre type de machine a été mis au point, qui comprend un tambour rotatif cylindrique disposé sensiblement horizontalement et ouvert sur ses deux faces latérales.

La paroi interne d'un tel tambour est constituée par un assemblage de demi ronds métalliques disposés sur toute la périphérie du tambour et dont les axes sont parallèles entre eux et parallèles à l'axe du tambour.

Pour autoriser un déplacement intérieur des fruits ou légumes nettoyés d'une face latérale du tambour vers l'autre, il est prévu en outre un bourrelet hélicoïde, saillant par rapport à la face interne du tambour constituée par lesdits demi ronds, définissant par exemple quatre spires sur toute la longueur du tambour.

Un des principaux inconvénients de tels dispositifs réside dans l'importance des coups et blessures donnés aux fruits et légumes pendant leur traitement dans le tambour, ceci étant préjudiciable pour la bonne conservation de ces derniers.

Les coups et blessures sont engendrés par la constitution même de la paroi interne du tambour par les demi ronds métalliques et également par ledit bourrelet hélicoïde et sa fixation sur la face interne du tambour.

Un autre inconvénient de telles machines à laver réside dans le poids du tambour qui, rappelons le, est réalisé en métal, il est alors nécessaire de mettre en oeuvre un bâti support important ainsi qu'une puissance d'entrainement non négligeable, surtout lorsque la capacité de la machine est grande. A ce sujet, il est courant de réaliser des machines à laver dont le tambour a un diamètre sensiblement voisin du mètre avec une longueur du tambour de trois à quatre mètres.

Un autre inconvénient de ces machines réside dans leur coût de revient qui est notamment élevé du fait de l'usinage et du façonnage des pièces particulières et du temps de montage nécessaire.

Un des buts de la présente invention est de proposer une machine à laver les légumes et/ou les fruits, notamment destinée au nettoyage des pommes de terre, qui permet de pallier les inconvénients des machines existantes précitées et qui particulièrement évite d'abîmer les fruits ou légumes pendant leur nettoyage et de garder intact ces derniers.

Un des buts de la présente invention est de proposer une machine à laver les légumes et/ou les fruits, qui permet un traitement en continu des aliments et qui peut donc être intégrée dans une installation automatisée.

Un autre but de la présente invention est de proposer une machine à laver les fruits et légumes, présentant une structure simple et légère, mais néanmoins autorisant une efficacité remarquable.

Un autre but de la présente invention est de proposer une machine à laver dont la maintenance est facilitée, ce qui est un atout supplémentaire étant donné les usures constatées dans ce type de machine.

D'autres buts et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description qui va suivre qui n'est cependant donnée qu'à titre indicatif et qui n'a pas pour but de la limiter.

Selon la présente invention, la machine à laver les légumes et/ou les fruits, notamment destinée au nettoyage des pommes de terre, comportant au moins un tambour rotatif dans lequel sont introduits les légumes ou fruits à nettoyer, est caractérisée par le fait que ledit tambour présente des moyens pour créer un mouvement de translation des légumes et/ou fruits à travers le tambour lors de sa rotation, intégrés dans sa face interne, sans protubérance néfaste pour lesdits légumes ou fruits à nettoyer.

Selon un mode de réalisation avantageux de la présente invention, le tambour est disposé sensiblement horizontalement et lesdits moyens sont constitués par une multitude de rainures hélicoïdes formées à la face interne du tambour.

La présente invention sera mieux comprise à la lecture de la description suivante, accompagnée des dessins en annexe qui en font partie intégrante.

La figure 1 montre une vue schématique d'une installation complète de nettoyage de légumes.

La figure 2 montre une vue en coupe selon l1axe
II-II de la machine à laver de la figure 1, réalisée selon la présente invention.

La figure 3 montre une vue partielle de face de la machine à laver de la figure 2.

La figure 4 montre une vue du tambour développée montrant particulièrement la disposition du faisceau de tubes disposés sur la face interne du tambour.

La figure 5 montre une vue en coupe selon l'axe V-V de la figure 4, qui précise la position relative des tubes dudit faisceau.

La figure 6 montre une vue de face d'un élément de fixation selon la présente invention permettant la disposition des tubes dans le tambour.

La figure 7 montre une vue de droite de l'élément de la figure 6.

La figure 8 montre une vue de dessus de l'élément de la figure 6.

L'invention concerne une machine à laver les légumes et/ou les fruits, notamment destinée au nettoyage des pommes de terre.

Bien que plus spécialement mise au point pour le lavage des pommes de terre, la présente invention ne serait en aucun cas limitée à ce type de légume mais pourrait s'appliquer à d'autres légumes ou fruits qui nécessitent un nettoyage sans procurer de coups ou blessures auxdits fruits ou légumes.

De nos jours, les rendements de production étant de plus en plus élevés, il devient nécessaire de nettoyer les légumes dans des installations automatisées ou quasi automatisées.

La figure 1 montre, par exemple, une telle installation qui permet le nettoyage des pommes de terre.

Dans un premier poste (1), on effectue un prétrempage des pommes de terre après leur arrachage.

A l'issue de ce prétrempage, les pommes de terre sont évacuées par un convoyeur (2) vers une machine de lavage (3), objet précisément de la présente invention.

A la sortie de cette machine, les pommes de terre lavées sont dirigées vers un poste de séchage (4) puis un poste de visite (5) au niveau duquel un opérateur enlève les pommes de terre non utilisables.

La majeure difficulté dans une telle installation concerne le poste de lavage dans lequel on soumet les pommes de terre à un brassage sous une rampe de pulvérisation d'eau.

Etant donné ce remous, il est donc nécessaire d'éviter tous les coups ou blessures qui seraient préjudiciables pour la conservation des pommes de terre.

Comme le montre particulièrement la figure 2, la machine à laver (3) de la présente invention comporte au moins un tambour rotatif (6) ainsi qu'une alimentation (7) en liquide de lavage, qui notamment est généralement de l'eau pure.

Le tambour (6) est, selon la présente invention, disposé sensiblement avec son axe (8) horizontal comme le montre particulièrement la figure 3. Ainsi, le tambour se présente sous la forme d'un cylindre dont les deux faces latérales sont verticales, une des faces étant destinée à recevoir les pommes de terre après le prétrempage, l'autre des faces étant destinée à évacuer les pommes de terre lavées vers le poste de séchage.

Selon la présente invention, le tambour (6) présente des moyens pour créer un mouvement en translation des légumes et/ou fruits à travers le tambour lors de sa rotation, intégrés dans sa face interne (9) sans protubérance néfaste pour lesdits légumes et/ou fruits à nettoyer.

Autrement dit, selon la présente invention, on forme un remous à l'intérieur du tambour pour augmenter l'efficacité du lavage mais néanmoins les fruits ou légumes "glissent" à la partie inférieure du tambour, d'un de ses côtés vers l'autre sans etre choqués ni blessés par des parties saillantes du tambour.

Dans un mode de réalisation avantageux de la présente invention, lesdits moyens sont constitués par une multitude de rainures hélicoldales (10) formées sur la face interne (9) du tambour (6).

Plus précisément, ladite face interne (9) du tambour (6) est constituée par un faisceau de tubes (11), espacés régulièrement, disposés en hélice par rapport à l'axe (8) du tambour.

Ainsi, tous les tubes sont parallèles entre eux, et ont une forme dans l'espace hélicoidale, définissant des interstices dans lesdites rainures hélicoldales (10) comme le montrent particulièrement les figures 3, 4, 5.

Dans un mode de réalisation avantageux, les tubes (11) sont cylindriques et en matière plastique, telle qu'en PVC par exemple. Une telle disposition est intéressante car, à partir d'un tube rectiligne, on pourra le déformer sans usinage ou cintrage particulier pour lui impliquer une courbure d'un rayon faible.

En particulier, dans la présente invention, on a obtenu de bons résultats lorsque l'hélice des rainures (10) forme un demi tour sur la longueur du tambour (6).

Une telle disposition est particulièrement illustrée à la figure 4 qui montre la vue développée du cylindre formé par le tambour (6). Autrement dit, les tubes (11) sont tous parallèles entre eux et disposés en oblique avec un décalage des deux extrémités du tube de C/2, C étant la circonférence du cylindre du tambour (6).

Pour une longueur L du tambour relativement importante, de l'ordre par exemple de trois à quatre mètres, des tubes PVC admettront une telle déformation sans cintrage préalable.

En ce qui concerne la structure dudit tambour (6), comme le montrent particulièrement les figures 2 et 3, il est avantageusement constitué d'une cage, du type "cage d'écureuil" formée par un ensemble de cerceaux intérieurs (12) et de cerceaux extérieurs (13) réunis entre eux par des traverses longitudinales (14).

I1 s'agit là d'une construction mécanosoudée traditionnelle. Les traverses seront par exemple constituées par des tubes carrés métalliques, alors que les cerceaux seront constitués par des fers plats cintrés au diamètre correspondant pour le tambour.

Ces cerceaux (12, 13) ont, d'une part, une fonction ossature pour le tonneau mais d'autre part, ont également une fonction de fixation du faisceau de tubes (11) et une fonction d'entraînement en rotation du tambour (6).

Pour ce qui est de la mise en mouvement du tambour, comme le montrent particulièrement les figures 2 et 3, la cage du tambour est supportée et entraînée par un ensemble de courroies (15), assujetties à un organe moteur (16) et agissant sur au moins deux cerceaux extérieurs (13).

Plus précisément, par exemple, l'organe moteur (16) entraîne un axe de transmission (17) monté en rotation sur le bâti (18) de la machine et portant par exemple deux ensembles de poulies (19).

Ensuite, on prévoit des courroies (15) suspendues à cesdites poulies (19) qui vont prendre place à la périphérie du tambour (6) et le supporter et l'entraîner. I1 s'agit là d'une construction simple et tout à fait efficace.

Pour éviter les basculements du tambour dans le sens latéral ou dans le sens longitudinal, on adaptera des tendeurs (20) solidaires du bâti (18) et prenant appui soit sur les courroies, soit sur le tambour, pour éviter tout basculement non souhaité. Une telle construction est à la portée de l'Homme du métier.

Les cerceaux intérieurs (12) sont, quant à eux, avantageusement utilisés pour la fixation du faisceau de tubes (11) formant la face interne du tambour (6).

Plus précisément, lesdits tubes (11) sont fixés au niveau de chaque cerceau intérieur (12) par l'intermédiaire d'un élément de fixation (21), comme le montre particulièrement la figure 5, apte d'une part à etre rendu solidaire dudit cerceau (12), et d'autre part, par coopération avec un élément (21) voisin, à emprisonner un tube (11), en lui imposant un rayon de courbure pour constituer ladite hélice, et à définir un entraxe E de tubes (11) pour constituer lesdites rainures hélicodales (10).

Ainsi, ces éléments (21) étant disposés au niveau des cerceaux (12), entre ceux-ci on définit un interstice e entre les deux tubes (11) contigus, qui permettra l'évacuation de l'eau de lavage et des boues éventuelles.

Les figures 6 à 8 montrent un mode de réalisation d'un élément de fixation (21) qui présente essentiellement une base (22) et une tête (23) à sa partie supérieure.

La base (22) comporte un évidement en forme de rainure (24) apte à s'encliqueter sur la largeur du cerceau (12) intérieur comme le montrent particulièrement les figures 5 et 6.

La tête (23) comporte deux gorges (25, 26) adossées symétriquement par rapport à l'axe longitudinal (27) de la tête de l'élément (21), et ouvertes dont la courbure correspond au diamètre extérieuret desdits tubes (11), comme le montre particulièrement la figure 5.

Sur chaque cerceau (12) intérieur, on vient donc encliqueter autant d'éléments de fixation (21) qu'il y a de tubes (11) de façon à immobiliser ledit faisceau de tubes et constituer ainsi ladite face interne (9) du tambour (6).

Les gorges sont telles que, lorsque deux tubes adjacents sont prisonniers d'éléments de fixation (21) voisins, le tube ne puisse plus échapper du logement ainsi formé comme le montre la figure 5.

Par ailleurs, l'axe longitudinal (27) de la tête (23) dudit élément (21), et l'axe (28) de ladite rainure (24) définissent un angle d , comme le montre particulièrement la figure 8, correspondant à l'hélice que l'on veut imposer auxdits tubes correspondants.

Ainsi, grâce à ces éléments de fixation de structure bien particulière, on réalise simultanément la fixation du faisceau de tubes formant la face interne du tambour, leur positionnement relatif entre eux pour définir les rainures (10) hélicoïdes ainsi que les interstices nécessaires afin de rendre perméable à l'eau de lavage et aux boues la périphérie du tambour.

Grâce à cette disposition, on constitue des moyens pour créer un mouvement de translation des légumes et/ou des fruits à travers le tambour lors de sa rotation, moyens qui ne présentent aucune protubérance ni partie saillante qui risquerait d'abîmer les aliments lors de leur lavage.

En outre, au niveau des deux faces latérales du tambour, on protège les extrémités dudit faisceau de tubes (11) de part et d'autre du tambour pour éviter encore les parties saillantes. On procède en disposant par exemple une jupe de protection des extrémités des tubes réalisée notamment en toile caoutchoutée.

A titre d'exemple non limitatif, on a obtenu de bons résultats avec la réalisation suivante - diamètre de tambour voisin d'un mètre, - longueur du tambour = 3,60 mètres - faisceau de tubes constitué de soixante trois tubes PVC diamètre 32 millimètres, - longueur des tubes environ 4 mètres pour 3,60 mètres de tambour - cintrage naturel des tubes en prévoyant un angle i de 660 - interstice e entre deux tubes = 12 millimètres - entraxe E entre tubes = 44 millimètres - hélice de chaque tube = un demi tour sur la longueur du tambour - huit cerceaux intérieurs réalisés à partir de fer plat de 80 millimètres par 8 millimètres - deux cerceaux extérieurs réalisés en fer plat de 130 millimètres par 10 millimètres - motoréducteur à variation de vitesse de O à 30 tours par minute au tambour.

Naturellement, d'autres mises en oeuvre de la présente invention, à la portée de l'Homme de l'Art, auraient pu être envisagées sans pour autant sortir du cadre de la présente demande.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1. Machine à laver les légumes et/ou les fruits, notamment destinée au nettoyage de pommes de terre, comportant au moins un tambour rotatif (6) dans lequel sont introduits les légumes ou fruits à nettoyer, c a r a c t é r i s é e par le fait que le tambour (6) présente des moyens pour créer un mouvement de translation des légumes et/ou fruits à travers le tambour lors de sa rotation, intégrés dans sa face interne (9) sans protubérance néfaste pour lesdits légumes et/ou fruits à nettoyer.

2. Machine à laver, selon la revendication 1, c a r a c t é r i s é e par le fait que le tambour (6) est disposé

t sensiblement horizontalement et que lesdits moyens sont constitués par une multitude de rainures (10) hélicoldales formées dans la face interne (9) du tambour (6).

3. Machine à laver, selon la revendication 1, c a r a c t é r i s é e par le fait que ladite face interne (9) du tambour est constituée par un faisceau de tubes (11), cylindriques, espacés régulièrement, disposés en hélice par rapport à l'axe (8) du tambour, définissant ainsi lesdites rainures (10) hélicoldes.

4. Machine à laver, selon la revendication 2, c a r a c t é r i s é e par le fait que l'hélice des rainures forme un demi tour sur la longueur du tambour.

5. Machine à laver, selon la revendication 3, c a r a c t é r i s é e par le fait que ledit tambour est constitué d'une cage formée par un ensemble de cerceaux intérieurs (12) et de cerceaux extérieurs (13), réunis entre eux par des traverses longitudinales (14), lesdits tubes (11) étant fixés sur lesdits cerceaux intérieurs (12).

6. Machine à laver, selon la revendication 5, c a r a c t é r i s é e par le fait que ledit tambour (6) est supporté et entraîné par un ensemble de courroies (15), assujetties à un organe moteur (16) et agissant au moins sur deux cerceaux extérieurs (13).

7. Machine à laver, selon la revendication 5, c a r a c t é r i s é e par le fait que lesdits tubes sont réalisés en matière plastique et fixés au niveau de chaque cerceau intérieur (12) par un élément de fixation (21), apte d'une part à être rendu solidaire dudit cerceau (12), et d'autre part, par coopération avec un élément (21) voisin, à emprisonner un tube (11) en lui imposant un rayon de courbure pour constituer ladite hélice, et à définir un entraxe E de tubes (11) pour constituer lesdites rainures hélicoldales (10).

8. Machine à laver, selon la revendication 7, c a r a c t é r i s é e par le fait que ledit élément de fixation (21) présente une base (22) comportant un évidement en forme de rainure (24), apte à s' encliqueter sur le cerceau intérieur (12), ainsi qu'une partie supérieure (23) comportant deux gorges (25, 26) adossées symétriquement et ouvertes, dont la courbure g correspond au diamètre extérieur et desdits tubes (11).

9. Machine à laver, selon la revendication 8, c a r a c t é r i s é e par le fait que l'axe longitudinal (27) de la partie supérieure (23) dudit élément (21), et l'axe (28) de ladite rainure (24) définissent un angle correspondant à l'hélice que l'on veut imposer audit tube correspondant.

10. Machine à laver, selon la revendication 3, c a r a c t é r i s é e par le fait que l'extrémité dudit faisceau de tubes (11) sont protégées de part et d'autre du tambour (6) pour éviter les parties saillantes.