FR2640702A1 - Dispositif pour la fixation de poutres en treillis - Google Patents

Abstract

On décrit un dispositif de connexion 600 pour fixer une multitude de poutres en treillis les unes aux autres, les poutres étant du type présentant une section transversale multilatérale. Application aux structures à poutres en treillis, plus particulièrement à la fixation des poutres les unes aux autres.

Description

La présente invention concerne des structures à poutres en treillis en

général et plus particulièrement un dispositif pour relier une multitude de poutres en treillis multilatérales les unes aux autres ou pour leur connecter d'autres dispositifs. Les présents inventeurs ont déjà décrit des poutres en

treillis construites en interconnectant une multitude d'élé-

ments triangulaires de charpente afin de former une structure allongée ayant une section transversale équilatérale. Un exemple de poutres en treillis triangulaires de la technique antérieure et de ses éléments constitutifs et interconnexions est décrit dans les figures la et lc et est illustré, discuté et revendiqué dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4 633 566. Un exemple de poutres en treillis carrées et de ses éléments constitutifs et interconnexions, tel que décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4 803 824, est représenté en figures 2a à 2c. Bien qu'on puisse construire les treillis représentés en figures lb et 2b à n'importe quelle longueur désirée dans des limites pratiques, ils ne se prêtent pas facilement à une interconnexion pour former de grandes structures multidimensionnelles comme on peut le souhaiter dans un environnement non terrestre. Par exemple, alors qu'il est possible de mettre simplement en aboutement l'extrémité d'un treillis et le côté d'un autre et de les réunir en faisant appel à des techniques classiques, une 2 - telle fixation se traduira par un double entretoisement, c'est-à- dire qu'une entretoise d'un treillis sera parallèle et contiguë à une entretoise de l'autre. En outre, dans un environnement non terrestre, les treillis ainsi construits peuvent être difficiles à réunir en utilisant les techniques classiques. On rencontre un problème similaire lorsqu'on souhaite fixer un équipement ou autre dispositif à un tel treillis. Selon un mode de réalisation préféré de la présente invention, un ensemble de connexion entre une poutre en treillis et un autre objet, par exemple une seconde poutre en treillis ou un autre dispositif, pour la jonction rigide des deux comprend un dispositif de fixation unitaire qui est relié à l'un des éléments de charpente dans une poutre en treillis. Le dispositif comporte un élément à feuillure pouvant être fixé à une paire d'entretoises de l'élément de charpente et à un élément de connecteur fixé à l'élément à feuillure. Une entretoise de connecteur est prévue pour assembler deux ou plusieurs poutres en treillis les unes aux autres par l'interconnexion de deux noeuds des treillis respectifs.

La suite de la description se réfère aux figures

annexées qui représentent respectivement: figures la, lb et lc, un élément de charpente de forme

triangulaire pour une poutre en treillis de section transver-

sale triangulaire, une poutre en treillis triangulaire comportant une multitude de tels éléments de charpente, et un noeud éclaté de la poutre en treillis triangulaire; figures 2a, 2b et 2c, un élément de charpente de forme triangulaire pour une poutre en treillis ayant une section transversale carrée, une poutre en treillis carrée comportant une multitude de tels éléments, et un noeud éclaté de la poutre en treillis carrée; figures 3a et 3b, une structure en coupe transversale pour réunir deux éléments; -3- figures 3c et 3d, des vues en coupe transversale de la figure 3b; figures 4a, 4b et 4c, des premier, second et troisième

modes de réalisation, respectivement, d'un élément de connec-

teur selon la présente invention; figure 5, un élément carré à feuillure; figure' 6, un dispositif de fixation formé par la fixation d'un élément de connecteur à un élément carré à feuillure; figure 7, l'interconnexion d'une multitude d'éléments carrés à feuillure et de ferrures de sommet à un élément de connecteur; figure 8, un élément triangulaire à feuillure; figure 9, un dispositif de fixation formé par la

fixation d'un élément de connecteur à un élément triangu-

laire; figure 10, l'interconnexion d'une multitude d'éléments triangulaires à feuillure et de ferrure de sommet à un

élément de connecteur.

Figure 11, un schéma de l'interconnexion de poutres carrées en treillis au moyen du dispositif de connexion selon la présente invention; Figure 12, un schéma d'une terminaison d'une poutre carrée, donné à titre d'exemple; figures 13a et 13b des vues en plan et en élévation, respectivement, de l'interconnexion de l'extrémité d'une poutre en treillis carrée avec le côté d'une autre poutre en treillis carrée; figure 14, un schéma de l'interconnexion de poutres en

treillis triangulaires et carrées, ainsi que de l'intercon-

nexion de deux poutrs en treillis triangulaires au moyen du dispositif de connexion selon la présente invention, et figure 15, dans une vue en plan, une extrémité d'un treillis en T en place pour sa fixation au côté d'un autre treillis en T; - 4 - figure 16, dans une vue en plan, l'état après fixation des deux treillis représentés en figure 15; figure 17, dans une vue en élévation, la partie de la figure 16 et de certains noeuds représentés dans cette figure; figure 18, dans une vue en plan, une extrémité d'un treillis en C en place pour sa fixation et à un treillis en T. Figure 19, dans une vue en plan, l'état après fixation des deux treillis représentés en figure 18; et figure 20, dans une vue en élévation, une partie de la figure 19 et de certains noeuds représentés dans cette figure. En liaison maintenant avec les dessins, la figure la représente un élément connu de charpente pour poutre en treillis triangulaire (charpente-T) 1-4 du type utilisé dans la construction d'un treillis triangulaire 1-6 (treillis-T), représenté en figure lb. Le treillis 1-6 comporte une multitude de noeuds tels que 1-10. La figure lc représente

une vue éclatée d'un noeud typique du treillis-T.

D'une façon similaire, la figure 2a représente un

élément de charpente pour poutre en treillis carré (char-

pente-C) 2-4 du type utilisé dans la construction d'un treillis carré (treillis-C) 2-6 représenté en figure 2b. Le

treillis 2-6 comporte une multitude de noeuds tels que 2-10.

La figure 2c est une vue éclatée d'un noeud typique du treillis-C. Comme représenté en figure la, un treillis T 1-4, est constitué de trois entretoises désignées, respectivement, par A, B et C qui sont interconnectés par des première, seconde et troisième ferrures de sommet, représentées respectivement, par Av, Bv et Cv, disposées à des premier, second et

troisième sommets respectivement de l'élément de charpente.

Une charpente C, comme représenté en figure 2a est constituée de trois entretoises, désignées A, B et C, interconnectées - par des première, seconde et troisième ferrures de sommet, désignées respectivement par Cv, Av et Bv, qui sont disposées aux premier, second et troisième sommets respectivement de l'élément de charpente. La désignation de chaque ferrure de chaque type d'élément de charpente correspond à celle de l'entretoise placée de façon opposée. Par exemple, la ferrure du sommet Cv est opposée à l'entretoise C des figures la et 2a. Les figures lb et 2b représentent, respectivement, des treillis en T et C constitués de charpentes en T et C. Chaque bord longitudinal d'un treillis en T est constitué d'une suite d'entretoises A, par exemple, 2A, 5A, 8A, comme représenté en figure lb ou alternativement d'entretoises B, non représentées. Par contraste, dans un treillis carré, comme représenté en figure 2b, le bord longitudinal n'est constitué que d'entretoises C. Dans les deux figures la et 2a, les entretoises A et B ont la même longueur et l'entretoise C est plus longue que les entretoises A et B. Une relation entre les entretoises ayant la préférence est: C = 2/13. A ou B. On comprendra que le treillis T, 1-6, représenté en figure lb peut avoir toute longueur désirée en fonction du nombre des charpentes T utilisées. Le treillis spécifique représenté dans le dessin est construit en interconnectant neuf charpentes 1-4, figure la, désignées par les chiffres romains I à IX, à une multitude de noeuds. Chaque entretoise de chaque charpente T est désignée par un chiffre arabe correspondant au chiffre romain de l'élément de charpente particulier, suivi d'une lettre indiquant qu'il s'agit d'une entretoise A, B ou C. Trois entretoises d'extrémité 20, 22 et 24 sont utilisées pour "fermer" le treillis aux côtés opposés de sorte que chaque charpente T complète est fixée à trois sommets. La figure lc représente un noeud éclaté d'un treillis T, tel que le noeud 1-10 de la figure lb. Une patte 11 de la ferrure A comporte une ouverture 26, représentée en tirets, ferrre vcopreneovrue2,rpseteetit, - 6 - que traverse une cheville allongée 28, fixée à la ferrure Cv, pour être accouplée à un alésage 30, représenté en tirets, de la ferrure Bv, tous ces éléments étant alignés suivant un axe commun 32. La cheville 28 peut être maintenue dans l'alésage 30 par une vis de blocage ou un moyen similaire, non représenté. En connectant successivement des charpentes individuelles 1-4 les unes aux autres aux noeuds tels qu'à celui décrit en figure lc et en connectant également les entretoises d'extrémité 20, 22 et 24, on construit le treillis T qui est représenté en figure lb. La longueur du treillis S, 2-6, représenté en figure

2b est de même déterminée par le nombre des charpentes C (2-

4, figure 1) utilisées, dix charpentes étant employées dans l'exemple illustré. Chaque entretoise du treillis -C est

désignée par une lettre, en fonction de l'entretoise concer-

née, à savoir A, B ou C. Le treillis-C comporte en outre une multitude d'entretoises de support 62 pour fournir un entretoisement interne pour le treillis. De plus, chaque extrémité du treillis-C est "fermée" à la façon générale d'un

treillis T, par fixation d'une paire d'entretoises d'extré-

mité, 88, 90 et 92, 94 respectivement. Ainsi, l'entretoise 88

est fixée à ses extrémités opposées aux noeuds 85 et 87.

L'entretoise 90 est fixée à ses extrémités opposées aux noeuds 87 et 89. D'une façon similaire, les entretoises 92 et

94 sont fixées aux noeuds 91, 93 et 91, 95 respectivement.

On décrit, dans une vue éclatée en figure 2c,un noeud de treillis-C, tel que le noeud 2-10 de la figure 2b. D'une façon similaire au noeud du treillis T de la figure lc, une cheville allongée 36 fixée à la ferrure Bv traverse une ouverture 38, représentée en tirets, d'une patte 40 de la ferrure C et se monte dans un alésage 42 ménagé dans la V ferrure Av, tous ces éléments étant alignés sur un axe commun 44. Cette union peut être fixée en employant une vis de blocage, non représentée, insérée dans un trou 46 fileté dans la ferrure Av. La surface 48 de la ferrure Cv a une forme - 7 - curviligne pour ouvrir le passage à la surface incurvée 50 de la ferrure Av. Bien que non représentée en figure 2, la ferrure Cv a également une forme permettant le passage de la

surface incurvée 52 de la ferrure Bv curviligne.

La figure 3a, à laquelle on se reportera maintenant, représente en détail un mode de réalisation, donné à titre d'exemple, de la façon avec laquelle une entretoise telle que C en figure 2a peut être reliée à la ferrure Av et/ou à la ferrure Bv, par exemple. La liaison peut être effectuée même si les sommets Av et Bv sont placés rigidement l'un par rapport à l'autre par les entretoises A et B et la ferrure de

sommet Cv.

En figure 3a, on souhaite fixer un premier élément 300, indiqué par la parenthèse 302, à un second élément 304, indiqué par la parenthèse 306. On a représenté l'élément 300 tant en section transversale qu'en crevé et on l'a illustré à titre d'exemple pour une entretoise telle que C en figure 2a, par exemple. L'élément 304 est également représenté en section transversale et en crevé et comme illustrant à titre

d'exemple une ferrure de sommet telle que Av en figure 2a.

L'élément 300 comprend un alésage axial 308 pour arbre qui peut être aligné avec un alésage 310, sensiblement de même diamètre, ménagé dans l'élément de réception 304. Une cheville de connexion 312, généralement de forme cylindrique, qui présente une première ouverture 314, une extrémité libre 318 et une extrémité distale 320, s'engage par coulissement dans l'alésage 308 et est représentée avec son extrémité

libre 318 à ras de l'extrémité 300a de l'élément 300.

Un ressort de compression 322 est placé entre l'extré-

mité fermée 324 de l'alésage 308 et l'extrémité 320 de la cheville et sollicite l'extrémité 318 de la cheville 312 dans

l'alésage 310 de l'élément 304. Cependant, pendant l'assem-

blage, la cheville 312 est maintenue dans la position représentée dans la figure 3a par une cheville passant par l'ouverture 316 et par deux ouvertures s'étendant suivant le - 8 - même axe qui sont pratiquées dans l'élément 300, comme on le voit en figure 3c. La figure 3c est une section transversale

prise le long de la ligne 3c-3c de la figure 3a.

En figure 3c, on a représenté l'élément 300 comme comportant une ouverture 330 constituée de parties 330a et 330b qui sont en alignement l'une avec l'autre et avec une ouverture 316 ménagée dans la cheville 312 lorsque la cheville est dans la position relative par rapport à l'élément 300 illustrée en figure 3a. Une cheville 332 placée dans les ouvertures 316 et 330 maintient la cheville 312 en

place comme cela est représenté en figure 3a.

De nouveau en liaison avec la figure 3a, lorsqu'on souhaite fixer l'élément 300 à l'élément 304, on met en alignement l'alésage 308 de l'élément 300 avec l'alésage 310

de l'élément 304 et on tire sur la cheville 332 (figure 3c}.

Là dessus, l'énergie emmagasinée dans le ressort 332 entraîne la cheville 312 dans l'alésage 310 jusqu'à ce que l'extrémité 318 de la cheville 312 heurte l'extrémité 340 de l'élément 304 camreceld est illustré en figure2b. La ferrure 312 est chanfreinée à l'extrémité 318 afin de corriger tout léger

manque d'alignement de la cheville et de l'alésage 310.

L'élément 304 présente une ouverture 342 ménagée à un endroit tel que, lorsque l'extrémité 318 de la cheville 312 touche l'extrémité 340 de l'alésage 310 de l'élément 304, elle se

trouve en alignement avec l'ouverture 316 de la cheville 312.

D'une façon similaire, l'ouverture 314 est placée par rapport à l'ouverture 316 de façon que, lorsque la cheville 312 a la position représentée en figure 3b, l'ouverture 314 soit en alignement avec les ouvertures 330 (figure 3c) ménagées dans l'élément 300 alors que l'ouverture 316 est en alignement avec l'ouverture 342. Se reporter à la figure 3a et à la figure 3d qui est une coupe transversale prise le long de la ligne 3d-3d de la figure 3b. Avec la cheville 312 placée comme cela est représenté en figure 3b, au moment o la cheville 332 est mise en place dans l'ouverture 330 de - 9 - l'élément 300 et dans l'ouverture 314 de la cheville 312 et lorsqu'une cheville 346 est placée dans l'ouverture 342 de l'élément 304 et l'ouverture 316 de la cheville 312,

l'élément 300 est fixé à l'élément 304.

La figure 4a représente en perspective un mode de réalisation préféré d'un élément de connecteur curviligne , ayant pour référence 400a (afin de le distinguer d'un élément similaire 400b qu'on décrira ci-après) selon la présente invention. Comme représenté, l'élément de connecteur 400a a la forme d'un disque ayant une surface latérale périphérique, continue 430 s'étendant entre des surfaces supérieure et inférieure parallèles 420, 422. La cote d'épaisseur de l'élément 400a s'entend entre les surfaces 420 et 422. Cependant, la présente invention n'est pas limitée à une telle configuration. Ainsi, l'élément de connecteur 400 pourrait être, par exemple, de forme polygonale, généralement de la forme d'un hexagone régulier (comme représenté en 400b de la figure 4b qui comporte six côtés ayant chacun pour référence 430), pour le treillis T et d'un octogone pour le treillis C. Si on choisit une configuration polygonale plutôt qu'une configuration circulaire, le nombre des côtés dépendra du nombre des connexions à faire et des angles désirés entre

les connexions, comme on le décrira ultérieurement.

Les deux versions représentées de l'élément de connec-

teur 400 (400a en figure 4a et 400B en figure 4b) présentent un trou traversant central 440, illustré en majeure partie en tirets, destiné à recevoir une cheville allongée, telle que la cheville 28 de la figure lc ou la cheville 36 de la figure 2c. Comme représenté en figure 4a, chaque trou d'une multitude de trous 450 s'étend radialement dans la direction du centre du trou traversant 440. En figure 4a, on n'a

représenté que trois trous pour rendre la figure plus claire.

Dans un mode de réalisation pratique comme on l'expliquera ci-après, un nombre typique de trous serait de 6 ou de 8, les trous étant espacés radialement de la même distance. En

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outre, pour des raisons qu'on décrira ultérieurement, chaque

trou 450 peut être avantageusement fileté.

La figure 5 illustre en perspective ce qu'on appelera un élément 500 de feuillure carré ou un élément de feuillure en S, pour emploi dans un treillis en S selon la présente invention. L'élément 500 a de préférence des surfaces supérieure et inférieure sensiblement parallèles 510 et 512, respectivement, et une multitude de surfaces planes de c8té

514, 516, 518 et 520 s'étendant entre les surfaces précéden-

tes. Une surface incurvée 522 s'étend de la surface 514 à la surfaces 516 entre les surfaces supérieure et inférieure 510 et 512. La surface curviligne de côté 524, pour accouplement,

de l'élément à feuillure 500 comportant une portion supé-

rieure 524a et une portion inférieure 524b est concave de - manière à épouser la forme d'un élément, tel que la surface incurvée 50 ou 52 des ferrures de sommet Av ou By, respectivement, de la figure 2c. Une fente 526 présentant des surfaces 528, 530 et 532 est découpée dans la surface 524 pour accepter l'élément de connecteur 400 lorsque l'élément à feuillure 500 doit y être fixé. La fente s'étend entre les surfaces supérieure et inférieure 510 et 512 de l'élément à feuillure 500, sa largeur entre les surfaces 528 et 530 étant choisie de manière à accepter l'élément de connecteur 400 dans la cote d'épaisseur de ce dernier. La surface arrière 526 de la fente a de préférence une configuration permettant un ajustement fin avec l'élément de connecteur. Dans le mode de réalisation de l'invention représenté en figure 5, une ouverture circulaire droite 540 ayant un axe 540a s'étend dans les surfaces 522 et 532. L'ouverture 540 accepte une attache telle qu'un boulon fileté 542, pour fixer la feuillure 500 au connecteur 400 (figures 4a ou 4b). Dans le cas de l'utilisation d'un boulon fileté dans l'ouverture 540, des trous 450 seront filetés dans le connecteur 400. On remarquera que la présente invention n'est pas limitée au

moyen de fixation par boulon fileté qui est représenté.

moyen de fixation par boulon fileté qui est représenté.

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Par exemple, on pourrait également fixer l'élément à feuillure 500 à l'élément de connecteur 400 par soudage, ou par fixation rigide des deux composants ensemble de manière à

former un dispositif de fixation unitaire.

Les surfaces de côté 514 et 516, qui sont généralement dirigées dans un sens opposé à la surface de côté 524, peuvent être chacune fixée à des entretoises individuelles (telles que 2-4 en figure 2a) grâce aux trous de connexion 534 et 536, respectivement, ménagés dans ces surfaces qui

correspondent à l'alésage 310 de l'élément 304, figure 3a.

Chaque trou de connexion peut être fileté de manière à

recevoir l'extrémité filetée d'une entretoise fixée à l'télé-

ment à feuillure 500. On remarquera que la présente invention n'est pas limitée à l'utilisation d'un trou fileté comme moyen de fixation. Ainsi, on peut utiliser n'importe quel moyen approprié à cet effet, par exemple le dispositif décrit en figures 3a à 3b dans lesquelles l'élément 304 correspond à la feuillure 500 avec le trou 310 correspondant au trou 534 ou au trou 536. On remarquera qu'avec le dispositif des figures 3a-3d, des trous traversants sont nécessaires qui s'étendent entre les surfaces 510 et 512 passant par les trous 534 et 536 qui sont équivalents au trou 342 de l'élément 304 de la figure 3. De tels trous ne sont pas représentés en figure 5 ni ailleurs o les feuillures 500

sont illustrées, pour simplifier les dessins.

La surface de côté 522 a, figure 5, une configuration en forme d'arc. Cela a l'avantage de réduire la masse de l'élément à feuillure 500, aspect important, en particulier pour les emplois non terrestres. Cependant, là encore, l'invention n'est pas limitée à une telle configuration et on

peut choisir d'autres formes pour la surface de côté 522.

D'une façon similaire, les surfaces de côté 518 et 520, qui

sont planes dans le dessin, peuvent avoir d'autres configura-

tions. L'élément à feuillure 500 présente en outre quatre

surfaces d'appui pratiquement planes 550, 552, 554 et 556.

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Les surfaces 550 et 554 sont dans le même plan et les

surfaces 552 et 556 se trouvent dans le même plan.

Les surfaces 550 et 554 sont perpendiculaires aux surfaces 552 et 556. Les plans passant par les surfaces 550 et 552, respectivement (non représentés), se coupent suivant une ligne 560 qui est également la cheville radial des surfaces 524 (a et b) en forme d'arc. Selon la présente invention, ces surfaces sont configurées pour épouser la forme des surfaces d'appui d'éléments à feuillure contiguës 500 fixés au même élément de connecteur 400. Par exemple, comme repréenté en figure 7, qu'on discutera ultérieurement en détail, les surfaces d'appui 550 et 554 de l'élément à feuillure 500a butent contre les surfaces d'appui 552 et 556,

respectivement, de l'élément à feuillure 500b. Ainsi, l'élé-

ment à feuillure 500 est généralement symétrique par rapport à un plan (non représenté) passant par la cheville de

l'ouverture 540 et perpendiculaire aux surfaces 512 et 514.

Lorsque l'élément à feuillure 500 et l'élément de connecteur 400 sont fixés l'un à l'autre, ils forment un dispositif de fixation en S, 600, comme cela est représenté

en figure 6. On remarquera d'après la description précécente,

que le dispositif de fixation 600 exécute une fonction qui est d'une certaine façon semblable à celle de la ferrure de sommet Av de la figure la, ou de la ferrure de sommet Cv de la figure 2a. Ainsi, on peut placer le dispositif 600 au sommet d'un élément de charpente au lieu de la ferrure qui y est placée selon les enseignements de la présente demande associés aux figures 2 (a, b, ou c). Dans cette position, l'élément de connecteur 400 fonctionne d'une façon semblable aux pattes 11 et 40 des figures 1c et 2c, respectivement, c'est-à-dire pour former un noeud, alors que l'élément à feuillure 500 fonctionne pour assurer la fixation aux entretoises de l'élément de charpente correct. Cela est semblable à la structure représentée en figure 7, dans laquelle l'entretoise A de la charpente et l'entretoise B

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sont représentées dans un contour à traits mixtes fixé à l'élément à feuillure 500a. Cependant, contrairement aux ferrures à patte mentionnées ci-dessus, le dispositif 600 de fixation S, et plus spécialement son élément de connecteur 400, permettent d'y attacher d'autres objets ou dispositifs, par exemple, une multitude d'éléments à feuillure 500, comme représenté par le groupe de trois éléments 500a, 500b et 500c

en figure 7.

La nature séparable du dispositif de fixation 600 dans un élément de connecteur et un élément à feuillure a l'avantage supplémentaire de réduire l'espace de stockage à bord d'un engin spatial chaque fois que le diamètre de

l'élément de connecteur est supérieur au diamètre de l'entre-

toise. Comme on peut le voir facilement en figure 7, l'élément de connecteur 400 a un diamètre supérieur à celui

d'une entretoise de la charpente, telle que 2-4 en figure 2b.

Ainsi, lorsque les éléments individuels de la charpente sont empilés les uns sur les autres dans un véhicule de lancement, le diamètre plus élevé des éléments de connecteur 400 sur les éléments de charpente aura pour conséquence que les empilages prendront plus de place que cela ne serait par ailleurs nécessaire. En ne fixant que l'élément à feuillure 500 aux entretoises telles que A ou B des éléments de charpente, et en retardant la fixation de l'élément de connexion 400 à l'élément à feuillure 500 jusqu'à ce que les éléments de charpente soient prêts à être assemblés pour former une poutre en treillis, les éléments individuels de la charpente peuvent être empilés facilement et de façon ordonnée les uns sur les autres dans un véhicule de lancement spatial. Dans le cas o l'espace d'arrimage à bord d'un engin spatial ne

soulève aucun problème, ou dans le cas o les éléments eux-

mêmes de la charpente seront construits dans l'espace, l'élément de connecteur 400 et l'élément à feuillure 500

peuvent être en une pièce selon la présente invention.

La caractéristique séparable du dispositif de fixation

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600 présente l'avantage supplémentaire de réduire les coûts d'usinage par rapport à la configuration en une pièce lorsque le diamètre de l'élément de connecteur est supérieur à

l'épaisseur de la feuillure.

L'élément de connecteur 400 est dimensionné de manière à accepter la fixation d'une multitude d'éléments à feuillure sur sa périphérie. Le dispositif décrit en figure 7 comprend trois éléments à feuillure-C, 500a, 500b et 500c fixés à un

élément cylindrique de connecteur 400 sur sa périphérie.

Comme représenté en figures 6 et 7, les fentes 526 (figure 5) de chaque élément à feuillure se montent sur l'élément de connecteur 400. Les deux éléments sont fixés l'un à l'autre soit par un boulon fileté 542, tel que celui représenté en figure 5, soit au moyen d'autres techniques. Comme on l'a discuté ci-dessus en liaison avec la figure 6, la surface périphérique de côté 430 de l'élément de connecteur 400 est en contact avec la surface arrière 532 de la fente de la feuillure 500, cette dernière surface étant de préférence configurée pour épouser la forme de la surface de côté 430 du connecteur. Les surfaces supérieure et inférieure 420 et 422 de l'élément de connecteur sont contiguës aux surfaces

supérieure et inférieure 528 et 530 de la fente, respective-

ment, l'épaisseur de l'élément de connecteur ayant été-

choisie pour obtenir un montage fin dans la fente 526.

Comme on l'a expliqué précédemment, les surfaces de côté 514 et 516 de la feuillure comprennent des trous de connexion 534 et 536, respectivement, qui permettente la

fixation d'une paire d'entretoises à l'élément à feuillure.

Ainsi, un nombre d'entretoises pouvant atteindre 6 peut être

fixé aux trois éléments à feuillure représentés en figure 7.

Jusqu'à quatre entretoises supplémentaires peuvent être réunies directement à l'élément de connecteur 400, le cas échéant, en utilisantles trous de connexion 450 ménagés entre des éléments à feuillure contigus. Pour simplifier l'illustration, on a représenté deux entretoises 702 et 704

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en traits mixtes fixées à l'élément de connecteur 400. Deux entretoises supplémentaires pourraient être fixées à deux trous supplémentaires 450 pratiqués entre les feuillures 500a

et 500b et entre les feuillures 500b et 500c, respectivement.

Des ferrures de sommet 50 et 52 sont prêtes à être poussées

ensemble de façon que la cheville 36 s'étende par l'intermé-

diaire du trou 440 dans le trou 42. La forme de la ferrure B V provoque son accouplement avec les surfaces 552 et 524b de la feuillure 500a, la surface 524b de la feuillure 500b et les surfaces 542b et 550 de la feuillure 500c. Des remarques

semblables s'appliquent à la ferrure Av.

En bref, un ou plusieurs noeuds d'une poutre en treillis peuvent être chacun incorporés dans un dispositif de fixation au lieu de l'une des ferrures de sommet faisant normalement partie du noeud. Chaque dispositif de fixation de

ce type peut comporter des éléments à feuillure suppléen-

taires qui, à leur tour, peuvent être reliés chacun à une ou deux entretoises ou à d'autres objets. En outre, les entretoises ou les objets peuvent être reliés directement à l'élément de connecteur. En conséquence, de multiples objets peuvent être connectés à la poutre en treillis, et de tels objets peuvent avoir la forme de poutres en treillis

supplémentaires ou d'autres dispositifs, comme on le repré-

sentera et le décrira ci-après.

La figure 8 représente un élément 800 à feuillure triangulaire (élément à feuillure T), désigné ainsi parce qu'il trouve un emploi avec un treillis T. L'élément à feuillure 800 a une configuration semblable à celle de l'élément 500 à feuillure C qu'on a décrit en figure 5 et les parties correspondantes sont désignées par les mêmes numéros de référence, la différence étant qu'on se trouve dans la série des 800. L'élément 800 à feuillure T comporte une fente excentrée 826, configurée de manière à accepter la cote d'épaisseur de l'élément de connecteur 400. En particulier, la feuillure 800 n'est pas symétrique par rapport à un plan

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(non représenté) passant par l'axe 840a et perpendiculaire aux surfaces planes parallèles 812 et 814. Ainsi, par exemple, angle a < angle A. En outre, un plan (non représenté) passant par les surfaces 852 et 856 coupe un plan (non représenté) passant par les surfaces 850 et 854 à un

angle de 60 , dont le sommet se trouve sur la ligne 860.

Ainsi, les cotes de certaines des surfaces de côté et des

surfaces d'appui sont différentes des surfaces correspondan-

tes de l'élément à feuillure C de façon que davantage d'éléments à feuillure T puissent être groupés autour de

l'élément de connecteur 400.

La figure 9 représente un dispositif de fixation 900 comprenant un élément à feuillure T, 800, assujetti à un élément de connecteur 400 et constitue la contrepartie du dispositif de fixation 600 représenté en figure 6. Comme le dispositif équivalent représenté en figure 6, le présent dispositif de fixation peut être placé à un sommet d'un élément de charpente à la place de la ferrure de sommet Av, figure lc, s'y trouvant normalement. Tous les avantages précédents qu'on a discutés en liaison avec le dispositif de fixation 600 et la structure d'assujettissement de l'élément à feuillure 500 à l'élément de connecteur 400 de la figure 6

s'appliquent ici.

La figure 10 est une vue isométrique éclatée d'un ensemble dans lequel plusieurs éléments 800 à feuillure T, à savoir 5, et deux ferrures de sommet sont fixés à l'élément de connecteur 400. Comme représenté en figure 10, la position de la fente 826 est en alternance avec les éléments respectifs à feuillure 800a à 800e fixés sur la périphérie de l'élément de connecteur. Cette alternance d'orientation sur la périphérie de l'élément de connecteur 400 est déterminée par la géométrie d'un treillis T. Le dispositif de fixation décrit et représenté en figures 4 à 10 peut être utilisé pour fixer des poutres en treillis des types représentés en figure lb et 2b les unes

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aux autres afin de former une grande structure multidimen-

sions. On décrira maintenant un mode opératoire pour fixer un treillis C à un autre treillis C. La figure 11 décrit, sous forme de schéma mécanique, une structure donnée à titre d'exemple qui est constituée d'une paire de treillis horizontaux C, 1102 et 1104, fixés à une paire de treillis verticaux C, 1106 et 1108, chaque type

étant représenté en détail en figure 2b. Les mots "horizon-

tal" et "vertical" ne concernent que des illustrations et n'ont aucune autre signification. Comme les connexions entre chaque paire de treillis réunis sont sensiblement identiques, elles ne seront décrites ci-dessous qu'en liaison avec les connexions d'un treillis d'extrémité 1102 à un treillis de côté 1106. Les termes "extrémité" et "côté" désignent

simplement la partie du treillis qui est connectée à l'autre.

Les lettres A, B et C, utilisées dans la figure 11, représentent les entretoises A, B et C (voir figure 2a) constituant un élément de charpente. Les lettres A, B et C, qui se trouvent à l'intérieur d'un triangle particulier sont les lettres des entretoises pour cet élément triangulaire de charpente. Dans le treillis d'extrémité 1102, trois éléments de charpente sont visibles, à savoir 1110, 1112 et 1114. La figure 12, à laquelle on se reportera maintenant, représente aussi sous forme d'un schéma mécanique le treillis 1102 qui a subi une légère rotation afin de représenter des éléments supplémentaires de charpente par rapport à ceux indiqués en figure 11. Là encore, les lettres A, B et C à l'intérieur d'un triangle représentent les entretoises de l'élément de charpente associé. Ainsi, en figure 12, les éléments de charpente 1110, . 1112 et 1114 sont représentés en commun avec ce qui est indiqué en figure 11, alors que, en plus, les éléments de charpente 1216, 1218 et 1220 sont représentés, soit un total de six éléments de charpente. En outre, on suppose que le treillis C, 1102, a la terminaison représentée

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en figure 12, excluant les entretoises représentées en tirets, qui illustre l'une des nombreuses terminaisons possibles d'un treillis C. Une ferrure de sommet Cv est placée à chacun des noeuds g, k, j et h. On remarquera que, alors que seules six charpentes C (représentées en hachures) sont illustrées en figure 2 pour simplifier, le treillis C représenté peut avoir, dans certaines limites pratiques,

n'importe quelle longueur désirée.

Supposons que la jonction des treillis 1102 et 1106

constitue une partie d'un mode opératoire pour la construc-

tion d'une structure dans l'espace extraterrestre; on ima-

gine, dans le cas présent, que ces treillis, une fois construits, ont été amenés en position pour être fixés l'un à l'autre. Pour faciliter la compréhension de la connexion du treillis d'extrémité 1102 au treillis de c6té 1106, on remarquera que la figure 13a est une vue en plan d'une partie de la figure 11 à l'intersection des treillis 1102 et 1106, alors que la figure 13b est une vue en élévation de la figure

11 le long de l'entretoise 1154 dans la direction du noeud e.

Comme représenté en figure 12, l'extrémité, côté droit, du treillis 1102 se termine dans une paire de charpentes C complètes, 1114 et 1220, dans une paire d'entretoises d'extrémité 1222 et 1224 et dans une entretoise de support 1226. L'entretoise d'extrémité 1224 relie les

noeuds h et g, comme représenté en figures 11 et 12.

L'entretoise d'extrémité 1222 relie les noeuds k et j, comme représenté en figure 12. L'entretoise de support 1226 relie les noeuds g et j. Aucune des entretoises 1222 et 1226, treillis 1220, et le noeud j, qui sont tous présents en

figure 12, ne sont visibles en figure 11.

Pour effectuer la fixation des treillis 1102 et 1106, fixation qui est également représentée en figures 13a et 13b, un élément de connecteur 400 est disponible à chacun des noeuds d, e, f. et 1, situés sur le treillis 1106, qui sont

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tous représentés en figure 12 et qui sont tous indiqués, à l'exception du noeud 1, dans les figures 11 et 13a. A chaque noeud, l'élément de connecteur est fixé à un élément à feuillure pour former un dispositif de fixation (figure 6) et y est placé lors de la construction du treillis 1106 au lieu de la ferrure appropriée de sommet Cv (figure 2b). En variante, tous les noeuds pourraient être fabriqués avec des dispositifs de fixation. Ainsi mis en place, l'élément de connecteur du dispositif de fixation forme un point de fixation entre treillis, ou entre un treillis et un autre dispositif. Comme on l'a décrit précédemment en liaison avec la figure 7, un tel autre dispositif fixé à l'élément de connecteur peut constituer un ou plusieurs éléments à feuillure. Les éléments spécifiques à feuillure ont en figures 13a et 13b des références correspondant à celles de la figure 7. Deux éléments à feuillure C, 500a et 500b du type représenté en figure 5, sont fixés à chacun des éléments de connecteur se trouvant aux noeuds d et e en figure 11 en plus de l'élément à feuillure 500c qui fait partie du dispositif de fixation. Comme représenté en figure 5, chaque élément à feuillure présente deux surfaces, 514 et 516,

auxquelles peut être fixée une extrémité d'une entretoise.

Les quatre éléments à feuillure nouvellement fixés fournis-

sent ainsi huit surfaces possibles de fixation d'entretoises, dont quatre sont utilisées pour relier les treillis 1102 et 1106 l'un à l'autre. Les surfaces de fixation non utilisées restent disponibles pour la réalisation de connexions avec

d'autres treillis ou objets.

Pour compléter la connexion entre le treillis d'extré-

mité 1102 et le treillis de côté 1106, l'entretoise 1141 est montée entre la ferrure de sommet B au noeud h et le v connecteur 400 au noeud d (figure 13a); l'entretoise 1147 est connectée entre la ferrure B au noeud k et le connecteur v35 400 au noeud e (figure 13a; l'entretoise 1131 est montée 400 au noeud e (figure 13a; l'entretoise 1131 est montée

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entre la ferrure Cv au noeud g et une extrémité de la feuillure 500b au noed d (figure 13a) (on remarquera qu'il n'y a aucune autre entretoise fixée à cet élément à feuillure); l'entretoise 1133 est connectée entre la ferrure B et le noeud g et une extrémité de l'élément à feuillure v 500b au noeud e (figure 13a). Il n'y a aucune liaison avec

l'autre extrémité de l'élément à feuillure 500b au noeud e.

En outre, pour compléter la liaison du treillis d'extrémité 1102 au treillis de côté 1106, l'entretoise 1237 est connectée entre la ferrure C au noeud j et l'élément à v feuillure 500a au noeud e (figure 13b) (il n'y a aucune autre liaison à l'autre extrémité de l'élément à feuillure 500a au noeud e); l'entretoise 1260 (figure 12) est montée entre la ferrure B au noeud j (figure 13b) et une extrémité de la v feuillure 500a au noeud d (non visible dans les figures, mais située directement à l'arrière de la ferrure 500a au noeud e en figure 13a); l'entretoise 1143 (figures 13a et 13b) est connectée entre la ferrure B au noeud j et le connecteur 400 v au noeud f, et, enfin, l'entretoise 1245 est montée entre la ferrure B au noeud g et l'élément de connecteur 400 au noeud v J. De cette manière, les deux treillis 1102 et 1106 sont

solidement fixés l'un à l'autre.

La figure 14 représente, sous forme schématique, un exemple d'une structure plus complexe, par rapport à celle illustrée en figure 11, qui peut être obtenue en utilisant la présente invention. La figure 14 décrit une fixation, face d'extrémité contre face de côté, entre un treillis C, 1401 (figure 2b), et un treillis T, 1403 (figure lb). On a également représenté une connexion entre la face d'extrémité d'un treillis en T 1405 et la face de côté d'un treillis en T, 1403. La figure 14 représente en outre la façon avec laquelle une multitude de treillis peut être interconnectée à un seul noeud. Ainsi, au noeud t, les treillis 1401, 1403 et

1405 sont tous interconnectés. Ces fixations sont pratique-

ment identiques à la fixation des deux treillis C représentés

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en figure 11, mais elles peuvent être différentes quant à l'utilisation d'éléments à feuillure T à la place des éléments à feuillure C et des dispositifs de fixation T à la place de dispositifs de fixation C. On décrira maintenant le mode opératoire pour fixer un treillis T à un autre treillis T. Dans le mode opératoire pour fixer le treillis d'extrémité T, 1405, au treillis de côté T, 1403 (comme avec la figure 11), "extrémité" et "côté" concernent simplement la partie du treillis à laquelle la fixation est souhaitée. On suppose dans le cas présent que, dès sa construction, le treillis 1405 est amené en position pour fixation au treillis 1403, comme représenté en figure 15. En figure 15, le treillis 1503 a subi une rotation quelque peu relative par rapport à la position indiquée en figure 14 de sorte que les noeuds r, s et t (figure 14) des interfaces de fixation ont

la position indiquée en figure 15.

L'extrémité terminale du treillis 1405 qui doit être connectée au treillis 1403 comprend deux charpentes complètes en T, 1510 et 1514, et une entretoise 1518 d'extrémité-C. La charpente 1510 comprend des entretoises 1511 (A), 1512 (B), 1513 (C) dans lesquelles les lettres entre parenthèses identifient le type d'entretoise dans les charpentes. La connexion entre les entretoises 1511 et 1513 à une ferrure B v

n'est pas illustrée. La charpente 1514 comprend des entre-

toises 1515(A), 1516 (B), et 1517 (C). L'interconnexion des

entretoises 1516 et 1515 est cachée au noeud n par l'entre-

toise 1513 et la ferrure Av. Des jeux complets de ferrures sont présents à chacun des noeuds m, n et p comme suit: le noeud m contient une ferrure Av ou, plus particulièrement, son remplacement sous forme du dispositif de fixation tel qu'il est illustré en figure 9, à partir de la charpente 4414, la ferrure B à partir de l'entretoise d'extrémité 1518 v et la ferrure Cv à partir de la charpente 1519; le noeud n contient la ferrure Av ou, plus particulièrement, son

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remplacement sous forme du dispositif de fixation tel qu'illustré en figure 9, à partir de la charpente 1510, la ferrure Cv (largement cachée) à partir de la charpente 1514; v et la ferrure Bv qui est fixée pour blocage sur la ferrure Cv au noeud n; le noeud p contient la ferrure Av (largement cachée) ou, plus particulièrement, son remplacement sous forme du dispositif de fixation tel qu'illustré en figure 9, à partir de l'entretoise d'extrémité 1518, la ferrure Bv qui a été ajoutée pour bloquer la jonction, et la ferrure Cv à partir de la charpente 1510. Il y a au total six endroits pour relier les entretoises à ces ferrures, l'un sur la ferrure B du noeud m, deux sur la ferrure B du noeud n, v v deux sur la ferrure Bv et un sur la ferrure Av (cachée par le noeud Cv) du noeud p.

La fixation du treillis 1405 au treillis 1403 s'effec-

tue de la façon suivante, en liaison avec les figures 15, 16 et 17. La figure 16 est identique à la figure 15, à l'exception des entretoises mentionnées ci-dessus qui sont déjà mises en place. La figure 17 est une vue en élévation de la figure 16, avec la vue parallèle à l'axe long du treilis 1403 et en regard de la droite. Ainsi, le treillis 1403 et représenté directement en bout, avec sa section transversale reliée par des noeuds r, s, y. Le treillis fixé 1405 s'étend vers la droite. Un total de quatre ferrures à feuillure 800 sont fixées aux éléments de connecteur en T, 400, situés aux noeud r,- s et t du treillis 1403, plus particulièrement une,

800b, aux points s et t et deux, 800d et 800e, au point r.

Les lettres b, d et e concernent celles de la figure 10. Les quatre ferrures 800 fournissent des endroits de fixation pour un total de huit entretoises, dont six sont utilisées pour

connecter les deux treillis 1403 et 1405.

On comprendra le mieux l'assemblage des treillis 1403 et 1405 en se reportant à la figure 16. Les ferrures 800b aux noeuds s et t sont situées dans le plan passant par les noeuds n, p, s, t, la ferrure 800b au noeud s assurant la

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fixation des entretoises entre les noeuds s et n, à savoir l'entretoise 1620 (figure 16), et les noeuds s et p, (entretoise 1622); et la ferrure 800b au noeud t fournissant la fixation d'une entretoise entre les noeuds t et p, à savoir l'entretoise 1624 de la figure 16. Cette dernière ferrure dispose par conséquent d'un endroit de connexion 1626 qui peut être utilisé pour la fixation d'une entretoise supplémentaire. Parmi les deux ferrures 800 au noeud r, l'une d'entre elles, 800e, se trouve dans un plan r, n, p et l'autre, 800d, dans un plan r, m, z. La ferrure 800e fournit la fixation des entretoses 1628 et 1630. La ferrure 800b assure la fixation de l'entretoise 1632 et par conséquent comporte un endroit ouvert (caché par la ferrure 800e) qui est disponible pour la connexion d'une autre entretoise. Les six entretoises 1620, 1622, 1624, 1628, 1630 et 1632 sont fixées entre les deux treillis 1403 et 1405. Les connexions spécifiques sont les suivantes: entretoise 1620 entre la ferrure 800b au noeud s et la ferrure B au noeud n; v entretoise 1622 entre la ferrure 900b au noeud s et la ferrure Bv au noeud p; entretoise 1624 entre la ferrure 800b au noeud t et la ferrure Bv au noeud p; entretoise 1632 entre la ferrure 800d au noeud r et la ferrure B au noeud m v entretoises 1628 et 1630 entre la ferrure 800e au noeud r et la ferrure Bv au noeud n et la ferrure Cv (partiellement

cachée par les ferrures Bv et Av) au noeud p, respectivement.

Cela complète la description de la fixation des deux treillis

1403 et 1405.

On procédera maintenant à la description d'un mode

opératoire pour la fixation d'un treillis C à un treillis T. Le mode opératoire pour la fixation d'un treillis C, tel que le treillis 1401, à un treillis T tel le treillis

1403 tel que décrit en figure 14 sera maintenant discuté.

Pour une meilleure compréhension, le processus de fixation du treillis 1401 a la configuration assemblée des treillis 1403 et 1405 représentés en figures 16 et 17 de manière à former

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l'assemblage des treillis 1403, 1405 et 1401, représentés en

figure 14, est maintenant pris en considération.

Avant le commencement de l'opération d'assemblage, le treillis C, 1401, est mis en place pour fixation, comme cela est représenté en figure 18. La vue représentée ici est la

même que celle qui est utilisée en figures 15 et'16, c'est-à-

dire lorsqu'on regarde directement vers le bas sur le plan n, s, t, p de la figure 14. On se reportera au treillis C, 1407, de la figure 14 qui est identique au treillis 1401 à l'exception de sa position par rapport au treillis 1403, ce qui permet par conséquent d'obtenir une vue plus détaillée de la connexion des treillis 1407 et 1403 que celle représentée avec les treillis 1401 et 1403. Avant la réalisation de la fixation, l'extrémité supérieure du treillis C se termine dans les deux charpentes Jke et klu (figure 14), les deux

entretoises d'extrémité jh et hl, et l'entretoise de con-

nexion hk. Ces éléments sont respectivement représentés en figure 18 sous la forme de la charpente 1810, constituée des entretoises 1811, 1812 et 1813, de la charpente 1814 constituée des entretoises 1815 et 1816 et 1817 (les deux dernières entretoises sont cachées par l'entretoise 1815), des entretoises d'extrémité 1818 (cachée par l'entretoise

1811) et 1820, et de l'entretoise de connexion 1821.

Les entretoises d'extrémité comportent leurs ferrures usuelles d'extrémité, l'entretoise 1818, visible en figure , ayant une ferrure Bv au noeud h et une ferrure C au V noeud j et l'entretoise 1820 (figure 18) ayant une ferrure C v au noeud h et une ferrure B au noeud 1. De plus, les v ferrures Bv sont présentes aux noeuds j et k. Par conséquent, aux quatre sommets terminaux, à savoir h, j, k et 1 du treillis 1401, il y a un jeu complet de trois ferrures de sommet. Plus spécialement, au noeud h (figure 20) se trouvent la ferrure A provenant de la charpente 1822 (voir également v figure 14), une ferrure Cv ou, plus particulièrement, la combinaison d'une feuillure 500 et d'un élément de connecteur

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400 comme illustré en figure 6 provenant de l'entretoise d'extrémité 1820, et une ferrure Bv provenant de l'entretoise d'extrémité 1818; au noeud j, (figure 18) se trouvent une ferrure A provenant de la charpente 1810, une ferrure C ou v v plus particulièrement, la combinaison d'une feuillure 500 et d'un élément de connecteur 400 comme illustré en figure 6 en provenance de l'entretoise d'extrémié 1818 (figure 20), et une ferrure Bv ajoutée pour bloquer la ferrure Av au noeud j; au noeud k se trouvent une ferrure A provenant de la V charpente 1814, une ferrure Cvou plus particulièrement, la combinaison d'une feuillure 500 et de l'élément de connecteur 400 tel qu'illustré en figure 6 en provenance de la charpente 1810, et une ferrure ajoutée Bv pour bloquer la ferrure Av au noeud k; et au point 1, une ferrure A provenant de la v charpente 1, d, g (figure 14), une ferrure Cv ou plus particulièrement, la combinaison d'une feuillure 500 et d'un élément de connecteur 400 tel que représenté en figure-6 en provenance de la charpente 1814, et une ferrure Bv provenant

de l'entretoise d'extrémité 1820.

La fixation du treillis 1401 au treillis 1403 s'effec-

tue de la manière suivante en liaison avec les figures 18, 19 et 20. La figure 20 est une vue en élévation de la figure 19, avec la direction de la vue semblable à celle décrite précédemment pour la figure 17, c'est-àdire parallèle à l'axe long du treillis 1403 et en regard de la droite comme cela est illustré en figure 19. Ainsi, le treillis 1403 est représenté directement en bout, avec sa section transversale réunie par les noeuds y, t et z. Le treillis fixé 1401 s'étend vers la droite. On suppose tout d'abord qu'à chacun des noeuds t, f, g et z, un dispositif de fixation tel que celui illustré en figure 9 est présent au lieu de la ferrure classique Av de la figure lc. De fait, on peut utiliser de

tels dispositifs de fixation à tout endroit du treillis 1403.

Un total de six ferrures 800 à feuillure en T est fixé à des connecteurs T, 400, placés aux points nodaux t, f, g et z,

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plus spécialement une ferrure, 800b, aux noeuds t et f et deux ferrures aux noeuds z et g. Aux noeuds t et f, les ferrures 800b sont dans le plan tfkj et aux noeuds z et g, les ferrures 800d sont dans le plan zglh et les ferrures 800e sont dans le plan zgjk. Les six ferrures 800 - fournissent un total de 12 endroits pour la fixation des entretoises, dont neuf sont utilisés pour relier le treillis 1401 au treillis 1403. Les endroits de fixation non utilisés ou ouverts son_ l'endroit 1850 sur la ferrure 800, noeud t, et 1852 et 1854 sur les ferrures 800d et 800e, respectivement, au noeud z. On remarquera que, pour l'exemple spécifique représenté en figures 14, 18 et 19, dans lequel le treillis T, 1405, et le treillis C, 1401, partagent un noeud commun, t, dans leur fixation au treillis T, 1403, la ferrure à feuillure T au noeud t fournit des endroits de fixation pour les entretoises 1624 de la figure 16 ainsi que pour les entretoises 1826 de

la figure 19.

En liaison avec les figures 19 et 20, les neuf entretoises 1826, 1828, 1830, 1832, 1834, 1836, 1838, 1840 et 1842 sont fixées entre les deux treillis. On peut voir toutes ces entretoises en figures 19 et 20 à l'exception de l'entretoise 1832 (cachée au-dessous de l'entretoise 1830 en

figure 19), de l'entretoise 1838 (cachée derrière l'entre-

toise 1834 en figure 20) et de l'entretoise 1840 (cachée au-

dessous de l'entretoise 1836 en figure 19). Cependant, les trois dernières entretoises sont visibles en figure 14, l'entretoise 1832 s'étendant entre les noeuds g et 1, l'entretoise 1838 entre les noeuds g et k,.et l'entretoise 1840 entre les noeuds g et h. Les connexions spécifiques sont les suivantes: entretoise 1826 avec la ferrure 800b (emplacement 1626) au noeud t et ferrure B au noeud j; entretoise 1828 avec la v ferrure 800b (emplacement 1860) au noeud f et avec la ferrure B au noeud k; entretoise 1830 avec la ferrure 800d v35 (emplacement caché au-dessous de 1856 de la ferrure 800e) au <emplacement caché au-dessous de 1856 de la ferrure 800e) au

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* noeud z avec la ferrure Bv au noeud h; entretoise 1832 avec

la ferrure 800d (emplacement caché au-dessous de l'emplace-

ment 1866) au noeud g; entretoise 1834 avec la ferrure 800e (emplacement 1856) au noeud z avec la ferrure Cv au noeud j; entretoise 1836 avec la ferrure 800b (emplacement 1858) au noeud f avec la ferrure B au noeud j; entretoise 1838 avec v la ferrure 800e (emplacement 1866) au noeud g avec la ferrure Bv au noeud k; entretoise 1840 avec la ferrure 800d (emplacement 1862) au noeud g avec la ferrure Bv au noeud h; et entretoise 1842 avec la ferrure 800e (emplacement 1864) au point g avec la partie du connecteur 400 de la ferrure de

fixation 600 au point j. Cela complète la description de la

fixation des deux treillis pour les réunir.

D'autres modes de connexion des treillis, tels que la fixation de l'extrémité d'un treillis T au côté d'un treillis

C s'appliquent d'une manière semblable, la principale dif-

férence étant que des ferrures à feuillure du type C sont fixées au treillis C. En général, lorsqu'on fait des connections avec un treillis C, on utilise des éléments à feuillure C. Lorsqu'on fait des connexions avec un treillis T, on emploie des éléments à feuillure T. Avec un noeud de connexion entre un treillis C et un treillis T, on peut utiliser l'un ou l'autre

type d'élément à feuillure.

Alors que le dispositif venant d'être décrit est destiné à être utilisé pour fixer les uns aux autres une multitude de treillis construits au préalable, la présente

invention peut être utilisée pour "faire croître" un treil-

lis. Ainsi, lorsque le présente dispositif de fixation est connecté aux noeuds d'un treillis complet, on peut construire ou "faire croître" vers l'extérieur un nouveau treillis à

partir des noeuds de fixation du premier.

La présente invention n'est pas limitée à la fixation de treillis les uns aux autres et peut trouver un emploi dans la fixation de dispositifs ou autres équipements à une poutre

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en treillis existante. Les trous de connexion 450 de l'élément de connecteur 400 peuvent, par exemple, être employés pour fixer à une poutre en treillis un dispositif pouvant être ancré par un boulon. D'une façon similaire, des éléments supplémentaires à feuillure peuvent être fixés à l'élément de connecteur d'un dispositif de fixation, d'o la fourniture d'autres possibilités de fixation aux trous de connexion 534 et 536 de la feuillure 500, figure 5, ou de trous de connexion 834 et 836 de la feuillure 800, figure 8,

de chaque élément supplémentaire à feuillure ainsi fixé.

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Claims (19)

REVENDICATIONS

1. Dispositif pour fixer rigidement une poutre en treillis (1-6) du type présentant une section transversale à côtés multiples à d'autres poutres similiaires ou à d'autres objets, chacune des poutres en treillis étant constituée d'une multitude d'éléments de charpente triangulaires (1-4), chacun des éléments de charpente comportant de multiples entretoises (A, B, C) interconnectées au moyen de première, seconde et troisième ferrures de sommet (Av, Bv, Cv) disposées à des premier, second et troisième sommets, respectivement, de l'élément de charpente, caractérisé en ce qu'il comprend: un élément à feuillure (500) ayant des surfaces supérieure et inférieure (510, 512) et une multitude de surfaces de côté (514, 516, 518, 522) s'étendant entre elles, une première et une seconde des surfaces de côté étant dirigées dans un sens généralement opposé à celui d'une troisième des surfaces de côté; un élément de connecteur (400) de forme généralement plate comportant des moyens multiples pour la fixation d'objets, et des moyens associés à la troisième surface de côté et à l'un des multiples moyens de connexion pour fixer de manière amovible l'élément à feuillure à l'élément de

connecteur et former un dispositif de fixation.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif de fixation (600) est placé au premier sommet d'au moins un élément de charpente de la poutre en treillis citée en premier à la place de la feuillure de sommet placée normalement à ce premier sommet, en ce qu'il comprend: un moyen pour fixer de manière amovible une paire d'entretoises d'au moins un élément de charpente à chacune des première et seconde surfaces de côté de la feuillure; et en ce que:

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l'élément de connecteur comprend en outre un moyen pour réunir rigidement le dispositif de fixation à des second et troisième éléments de charpente de la poutre en treillis au droit des seconde et troisième ferrures de sommet, respectivement, des derniers éléments de charpente.

3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que le moyen pour réunir rigidement comprend un trcu traversant central (440) ménagé dans l'élément de connecteur qui communique entre les surfaces supérieure et inférieure de connexion, ce trou traversant pouvant recevoir une cheville allongée (28; 26) pouvant être fixée à ses extrémités opposées aux seconde et troisième ferrures des second et

troisième éléments de charpente, respectivement, le disposi-

tif de fixation et les seconde et troisième ferrures formant

un noeud de la poutre en treillis.

4. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément de connecteur a une cote d'épaisseur définie par l'espacement mutuel des surfaces supérieure et inférieure sensiblement parallèles du connecteur, et l'élément de connecteur comporte en outre au moins une surface de côté

(430) s'étendant entre les surfaces supérieure et infé-

rieure; le moyen pour la jonction l'un à l'autre des éléments de connecteur et à feuillure comprenant une fente (526) dans la troisième surface de côté (524) de la feuillure qui s'étend entre les surfaces supérieure et inférieure de la feuillure, la fente ayant une forme permettant d'accepter l'élément de connecteur (400) dans la cote d'épaisseur de ce

dernier et.de fournir un ajustement fin.

5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément de connecteur (400) a la forme d'un disque

ayant une surface périphérique de côté continue (430).

6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que les moyens de connexion multiples sont espacés les uns des autres sur la surface périphérique de côté, le disque

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étant dimensionné pour accepter une multitude d'éléments à

feuillure (500) sensiblement identiques.

7. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément de connecteur a des surfaces supérieure et inférieure (420, 422) pratiquement parallèles, et au moins

trois surfaces de côté planes (430), aux dimensions identi-

ques, qui s'étendent entre les surfaces supérieure et inférieure.

8. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend en outre au moins une entretoise allongée

de connexion se terminant dans une paire de parties d'inter-

connexion se terminant dans une paire de parties d'intercon-

nexion à ses extrémités opposées; et au moins l'un des multiples moyens de connexion de l'élément de connecteur étant formé pour fixation amovible à

l'une des parties d'interconnexion.

9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé au moins en ce que la partie d'interconnexion de l'entretoise comprend: un arbre présentant un alésage axial (308), une cheville de connexion (312) présentant une extrémité libre

(318), la cheville s'engageant par coulissement dans l'alé-

sage, et pouvant être soumise à une rétraction complète à l'intérieur de celui-ci, et un moyen (322) pour sortir sélectivement de l'alésage

l'extrémité libre de la cheville.

10. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce qu'au moins un des multiples moyens de connexion comprend un trou de connexion fileté intérieurement, et l'extrémité libre de la cheville est vissée pour engagement dans le trou de connexion fileté intérieurement afin d'effectuer une fixation fixe entre l'entretoise et

l'élément de connecteur.

11. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que l'alésage de l'arbre est fermé à l'une de ses

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extrémités, et le moyen pour sortir sélectivement l'extrémité libre de la cheville comprend un ressort de compression (322) placé entre l'extrémité opposée de la cheville et l'extrémité fermée de l'alésage.

12. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce qu'il comprend en outre un moyen pour éviter que la

cheville ne tourne à l'intérieur de l'alésage.

13. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé

en ce qu'il comprend en outre au moins un élément supplémen-

taire à feuillure sensiblement identique à l'élément à feuillure mentionné en premier, fixé de manière amovible à l'élément de connecteur, les première et seconde surfaces de côté de cet élément supplémentaire à feuillure comprenant

chacune un moyen pour fixer un objet de manière amovible.

14. Dispositif selon la revendication 13, caractérisé en ce qu'il comprend en outre au moins une entretoise

allongée se terminant par une paire de parties d'intercon-

nexion à ses extrémités opposées, l'une des parties d'interconnexion étant fixée de manière amovible à la première surface de côté de l'élément

supplémentaire à feuillure.

15. Dispositif selon la revendication 14, caractérisé en ce que la surface de côté mentionnée en dernier comporte un trou de connexion, ladite partie d'interconnexion comportant un arbre présentant un alésage axial, une cheville engagée par coulissement dans l'alésage

de l'arbre et pouvant être complètement rétractée à l'tinté-

rieur de celui-ci, la cheville présentant une extrémité libre, et un moyen pour faire sortir sélectivement l'extrémité libre de la cheville de l'alésage de l'arbre pour qu'elle entre dans le trou de connexion à des fins de fixation à

l'élément supplémentaire à feuillure.

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16. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que l'extrémité libre de la cheville et le trou de

connexion sont formés pour être vissés l'un dans l'autre.

17. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que l'extrémité libre de la cheville et l'élément

supplémentaire à feuillure comportent chacun un trou traver-

sant transerval à l'axe de la cheville, les trous traversants étant placés de manière à être alignés l'un avec l'autre, et en ce que le dispositif comprend en outre un goujon pour insertion dans les trous traversants en alignement afin de fixer de manière amovible l'élément supplémentaire à

feuillure et les entretoises les uns aux autres.

18. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que l'alésage de l'arbre est fermé à l'une de ses extrémités, et le moyen pour sortir sélectivement l'extrémité libre de la cheville comprend un ressort de compression placé entre l'extrémité opposée de la cheville et l'extrémité fermée de l'alésage.

19. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce qu'il comprend en outre un moyen pour éviter que la

cheville ne tourne à l'intérieur de l'alésage de l'arbre.