FR2605826A1 - Equipement de raccordement pour terminaux d'abonne relie a un commutateur numerique rnis - Google Patents

Equipement de raccordement pour terminaux d'abonne relie a un commutateur numerique rnis Download PDF

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Abstract

CET EQUIPEMENT VISE PRINCIPALEMENT A ASSURER LUI-MEME L'ETABLISSEMENT ET LA GESTION DE COMMUNICATIONS TELEPHONIQUES QUI TRANSITENT A TRAVERS LUI, SANS RECOURIR A UNE UNITE CENTRALE DE COMMANDE COMMUNE A DES EQUIPEMENTS DE RACCORDEMENT CLASSIQUES INCLUS DANS LES COMMUTATEURS CONNUS. EN PARTICULIER, LA FONCTION D'ENREGISTREUR 6 DANS LES COMMUTATEURS CONNUS EST REALISEE PAR L'EQUIPEMENT, ET LA FONCTION DE TRADUCTEUR EST SUPPRIMEE. EN EFFET, L'ADRESSE BADT D'UN EQUIPEMENT DESTINATAIRE EST LE NUMERO D'APPEL COMPOSE DANS LE TERMINAL D'ABONNE RATTACHE A L'EQUIPEMENT ET SERT A ACHEMINER DES MESSAGES BMDT BSVT DANS LE RESEAU COMMUTE. RECIPROQUEMENT, LE NUMERO D'APPEL DE L'EQUIPEMENT EST TRANSMIS, EN TANT QUE DONNEES BMDT, AU DEBUT D'UNE COMMUNICATION DE DEPART, ET EST ENREGISTRE BMDR DANS UN CIRCUIT D'APPEL 8 DE L'EQUIPEMENT DESTINATAIRE POUR ETRE RETRANSMIS AVEC LES MESSAGES ETABLIS PAR L'EQUIPEMENT DESTINATAIRE. L'EQUIPEMENT EST ADAPTABLE A TOUTE INSTALLATION TELEPHONIQUE ET TELEMATIQUE, QUEL QUE SOIT SON DEBIT DE FONCTIONNEMENT.

Description

Equipement de raccordement pour terminaux d'abonné
relie un commutateur numérique RNIS
La présente invention concerne un equipement de raccordement dans un autocommutateur téléphonique numérique raccordant un terminal d'abonné à des premier et second supports de transmission.
En particulier, cet équipement s'associe et complète un "système de triage asynchrone de messages numériques auto-routables" décrit dans la demande de brevet français
No.86-08939 déposee le 20 Juin 1986, non encore publiée et au nom de l'actuel demandeur.
Le premier support convoie des premiers messages multiplexes à division du temps dont certains sont élaborés et transmis par l'equipement en fonction de signalisations et d'informations, donnees ou parole, delivrees par la ligne telephonique desservant le terminal d'abonne. Le second support convoie des seconds messages multiplexes à division du temps dont certains sont destines à l'equipement et traites par celui-ci en vue de retransmettre dans la ligne des signalisations et informations. Les premiers et seconds messages elabores et traites sont ainsi Échangés à travers les supports de transmission entre l'equipement et un autre équipement de raccordement au cours d'une communication telephonique entre ceux-ci.Les messages sont achemines dans un autocommutateur et, plus généralement, dans un reseau numérique commuté à intégration de service (RNIS).
Actuellement, des equipements de raccordement dans les autocommutateurs connus ne sont pas autonomes du point de vue des messages ou signaux qu'ils ont à échanger d'une part avec les installations télephoniques d'abonne telles que terminaux, reseaux locaux ou analogues, à travers les lignes telephoniques, d'autre part avec d'autres equipements de raccordement locaux ou éloignés à travers le réseau commuté.En effet, les équipements de raccordement sont gérés par une unité centrale de commande de l'autocommutateur assurant notamment le traitement de la signalisation pour établir et rompre les communications, les attributions et marquages d'intervalles de temps ou voies temporelles relatifs aux équipements dans les supports de transmission ou multiplex numeriques entre les equipements et des channes de commutation d'arrivée et de depart, l'enregistrement des numeros d'appel et leur traduction, et la taxation des communications.Ainsi l'unité de commande centralise toutes les informations relatives à des communications ecoulees par les equipements de raccordement et decide elle-même des tâches à accomplir par chaque equipement de raccordement, tâches qui ne sont limitees qu'à des transmissions et receptions, codages et decodages, recuperations de rythme, et tests de signaux principalement. En particulier, l'unité de commande comprend des organes tels qu'un enregistreur, un traducteur et une mémoire des états de fonctionnement des équipements de raccordement, qui sont très volumineux, complexes et coûteux et dont les tâches doivent être réparties parcimonieusement en temps réel entre les équipements de raccordement.
En outre, l'unité de commande est d'autant plus complexe que le nombre d'équipements de raccordement est grand et que les procedures RNIS sont multiples, et d'autant plus coûteuse que les débits des informations transitant à travers les équipements sont élevés et éligibles. Lorsque des équipements fonctionnent avec des débits différents, l'unité de commande doit alors distinguer clairement ces équipements, et bien souvent, leur attribuer des voies d'acheminement spécialisées dans l'autocommutateur.
La présente invention vise à fournir un équipement de raccordement autonome qui assure lui-même l'établissement et la gestion des communications téléphoniques qui transitent à travers lui, indépendamment de toute unité centrale de commande d'autocommutateur.
Des équipements de raccordement selon l'invention contribuent ainsi 2 constituer un nouveau type d'autocommutateur qui échappe à la relative lenteur de fonctionnement de logiciels et à la complexité de marquage de voies temporelles ou filaires dans les unités centrales de commande des autocommutateurs connus, et dans lequel la logique et le pouvoir de décision ne sont plus centralisés mais répartis dans les équipements de raccordement. Les équipements de raccordement selon l'invention n'échangent pas d'information avec une unité centrale.Il en résulte que des commutateurs comportant des équipements selon l'invention n'échangent entre eux aucune information pour l'acheminement et la gestion des communications, la fonction sémaphore étant incluse dans des messages élémentaires ; ces particularités font que le temps s 'écoulant entre la fin de la numérotation et la transmission de tonalité d'appel du demandé et définissant la durée d'établissement de connexion est inférieur à une milliseconde par commutateur traversé. Ces conditions autorisent ainsi l'utilisation d'un nombre pratiquement illimité de centres dé transit pour l'acheminement des communications et permet donc de développer, au titre de la sécurité, des réseaux hyper-maillés. Ce nouveau type d'autocommutateur offre d'autres performances et avantages qui sont présentés dans la demande de brevet No.86-08939 déjà citée.
A cette fin, un équipement de raccordement dans un autocommutateur téléphonique numérique raccordant une ligne téléphonique d'abonne à des premier et second supports de transmission convoyant des premiers et seconds messages multiplexés à division du temps, l'équipement recevant de la ligne des signaux notamment de données pour les convertir en des premiers messages transmis périodiquement à raison d'un premier message par intervalle de temps alloué à l'équipement dans une trame du premier support, et l'équipement détectant des seconds messages qui lui sont destinés dans le second support pour notamment les convertir en des signaux transmis dans la ligne, les premiers et seconds messages étant susceptibles d'etre reçus et transmis par d'autres équipements de raccordement asynchrones dudit équipement, est caractérisé en ce qu'il comprend des moyens pour détecter et enregistrer une adresse d'équipement destinataire délivrée par la ligne afin de la transmettre avec des premiers messages pendant toute une communication de départ, des moyens pour transmettre une adresse dudit équipement avec des premiers messages pendant une séquence d'appel d'une communication de départ, des moyens pour detecter l'adresse dudit équipement dans des seconds messages convoyés par le second support, et des moyens pour enregistrer une adresse d'équipement destinataire dans des seconds messages contenant l'adresse dudit équipement et pour transmettre l'adresse d'équipement destinataire enregistrée avec des premiers messages pendant toute une communication d'arrivée.
Cette dernière caractéristique principale de l'invention montre que les fonctions d'enregistreur dans les autocommutateurs connus sont assurées par l'équipement lui-même, et que les fonctions de traducteur sont supprimées. En effet, l'adresse d'équipement destinataire est le numéro d'appel composé dans l'installation téléphonique d'abonné et sert directement à acheminer les premiers messages dans le réseau commuté ; corollairement, l'adresse dudit équipement est le numéro d'appel de l'équipement et sert a acheminer les seconds messages dans le réseau commuté et à détecter ceux-ci par l'équipement. Les moyens pour enregistrer l'adresse dudit équipement et les moyens pour enregistrer l'adresse de l'équipement destinataire sont destinés à enregistrer pendant tout le temps d'une communication le numéro d'appel d'un abonné demandeur et n'ont aucun autre rôle.
Selon d'autres aspects de l'invention, l'établissement et la gestion des communications transitant à travers l'équipement sont obtenus d'une part, par le traitement de signaux de signalisations transmis par la ligne téléphonique, d'autre part par des mots de service identifiant des séquences de communication et inclus dans les premiers et seconds messages échangés avec l'équipement destinataire. Ainsi, les signalisations sont détectées, gérées et élaborées directement par les deux équipements en communication, sans recourir à des unités centrales de commande d'autocommutateur et sans faire intervenir un réseau sémaphore, et sont telles qu'elles se superposent de manière permanente à la communication dont elles identifient les séquences.Cette mesure ainsi que celle consistant à associer à chaque message un mot d'adresse d'équipement équipement destinataire contribue, selon une réalisation préférée, è ce que le débit instantané d'une liaison à 64 kbit/s soit de 136 kbit/s. Cependant, compte tenu du fait que tous les moyens concourrant au routage et à l'acheminement, ne sont pas assignés, la disponibilité de ces moyens pendant les temps de silence les plus infimes, une milliseconde et plus, fait que le débit pratique pour une liaison à plein débit télématique en alternat est de 136/2 = 68 kbit/s tandis que pour une liaison téléphonique cette valeur moyenne de débit est d'un ordre encore plus bas dû au rythme et à la ponctuation de la parole.
Par ailleurs, il est à noter que la structure et le fonctionnement d'un équipement de raccordement selon l'invention ne sont pas pratiquement modifiées lorsque la ligne d'abonné transmet des signaux à un débit de base, par exemple de 64 kbit/s, ou des signaux à un débit multiple entier du débit de base, typiquement égal a 2qu64 kbit/s, où q est un entier compris entre 0 et 12 inclus. Cette caractéristique permet à des terminaux fonctionnant à l'une de ces 13 vitesses d'utiliser, quel que soit leur débit, le même équipement de raccordement d'abonné, sachant que celui-ci, après avoir identifié le terminal et sa vitesse, peut s'accorder automatiquement à cette vitesse par commande logique de modification de son horloge. Les autres équipements de la channe de sélection ét de transmission ne sont pas impliqués par cette modification.Par ailleurs la structure et les principes utilisés permettent d'envisager très facilement une taxation fonction des quantités d'information réellement échangées indépendemment de toute durée, point très appréciable pour les réseaux RNIS.
D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaitront plus clairement à la lecture de la description suivante de plusieurs réalisations préférées de l'invention en référence aux dessins annexés correspondants dans lesquels
- la Fig.l est un bloc-diagramme d'un autocommutateur incluant des équipements de raccordement d'abonné selon l'invention
- la Fig.2 montre une trame d'intervalles temporels assignés à des messages transmis par des équipements de raccordement compris dans un étage de l'autocommutateur
- la Fig.3 est un bloc-diagramme d'un circuit d'adressage d'équipement relatif à un étage ;;
- la Fig.4 est un bloc-diagramme d'une base de temps incluse dans un équipement de raccordement montré à la Fig.6
- la Fig.5 montre des diagrammes temporels de signaux d'horloge établis par la base de temps
- la Fig.6 est un bloc-diagramme d'un équipement de raccordement de ligne d'abonné selon l'invention
- la Fig.7 montre en détail un circuit de detection et d'enregistrement de numérotation inclus dans l'équipement de la
Fig.6
- la Fig.8 est un bloc-diagramme d'un circuit de comparaison de préfixe et détermination de format commun aux équipements de raccordement inclus dans un étage ;
- la Fig.9 montre en détail un circuit de transmission de donnée et service inclus dans l'équipement de la Fig.6 ;
- la Fig.lO montre en détail un circuit de traitement des appels inclus dans l'équipement de la Fig.6 ;;
- la Fig.ll montre en détail un circuit de réception de donnée et service inclus dans l'équipement de la Fig.6
- la Fig. 12 montre en détail une mémoire à trois registres de mot de donnée reçu et un circuit de contrôle de lecture-écriture associé à la mémoire, inclus dans le circuit de réception de la
Fig.11
- la Fig. 13 montre des diagrammes temporels de signaux et d'opération etablis par le circuit de contrôle de la Fig. 12 ; et
- la Fig. 14 montre en détail un comparateur programmable inclus dans des circuits de l'équipement de raccordement de la
Fig.6.
Dans la Fig.l est montré schématiquement un autocommutateur téléphonique comprenant des équipements de raccordement d'abonné EQ selon l'invention. Chaque équipement de raccordement constitue un équipement de terminaison de données pour raccorder une ligne téléphonique d'abonné LA desservant une installation d'abonné téléphonique, ou plus généralement télématique, à un système de routage de communication SROU constituant des channes de départ et d'arrivée de l'autocommutateur. L'autocommutateur a une architecture et un fonctionnement analogue à un "système de triage asynchrone de messages numériques auto-routables" décrit dans la demande de brevet français No.86-08939 précitée.
Afin de fixer les idées, les fonctions principales des équipements de raccordement et leurs liaisons avec le système de routage sont d'abord présentées en référence à des valeurs numériques. Quant au fonctionnement du système de routage, celui-ci n'entre pas dans le cadre de la présente invention, et on se reportera à la demande de brevet précitée pour plus de détails à ce sujet.
Comme montré à la Fig.l, l'autocommutateur comprend A étages autonomes d'équipements de raccordement d'abonné ET1 à ETA.
Tous les étages ont une structure de base identique, et on se référera dans la suite à l'étage ET détaillé dans la Fig.l, où a
a est un entier compris entre 1 et A. L'étage ET comprend B = 4096
a équipements de raccordement d'abonné EQ1 à EQB raccordant respectivement des lignes téléphoniques d'abonné bidirectionnelles a deux fils LA1 à LAB à des bus respectifs de transmission de message BT et de réception de message BR reliés au système de
a a routage SROU.
Chaque équipement EQb, où b est un entier compris entre 1 et
B, est destiné en premier lieu, lorsque la ligne LAb convoie un signal analogique, à convertir un signal analogique provenant de l'installation d'abonné respective en un signal numérique MIC classique ayant un débit d = 64 kbit/s et composé d'octets d'échantillon toutes les T/8 = 125 ps ; réciproquement, dans ce cas, un signal numérique MIC reçu, provenant du système de routage
SROU, est à convertir par l'équipement EQb en un signal analogique à transmettre dans la ligne LAb. Lorsque la ligne d'abonné Las est numérique initialement, elle transmet bidirectionnellement des signaux numériques MIC tels que définis ci-dessus.
En second lieu, l'équipement EQb a pour fonction essentielle de former des premiers messages numériques MET à transmettre dans le bus BT vers d'autres équipements de raccordement dits
a destinataires, et d'analyser des seconds messages numériques MER à recevoir par le bus BRa, transmis par d'autres équipements et destinés à l'équipement EQb. Un autre équipement peut être un équipement inclus dans l'un des étages ET1 à ET A de l'autocommutateur, ou un équipement inclus dans un autocommutateur éloigné et raccordé à travers le système de routage.Dans la suite, la lettre T est attribuée à des mots, messages et bus relatifs à des transmissions a partir de l'équipement EQb à travers le bus BT, et la lettre R est attribuée a des mots, messages et bus relatifs à des réceptions dans l'équipement EQb à travers le bus
BR
a
Chaque message numérique MET, MER comprend KM = 136 éléments binaires ou bits transmis en parallèle et répartis de la manière suivante dans trois sous-bus du bus BT, BR
- 16x4 = 64 bits forment un numéro d'appel, dit adresse de destinataire ADT, ADR, et- correspondent au codage de 16 chiffres en code décimal codé binaire (DCB) ;;
- 8x8 = 64 bits constituent un mot d'information MDT, MDR dans lequel sont incluses, après une séquence d'appel, des données proprement dites provenant de l'installation raccordée à l'équipement EQb, respectivement à l'équipement destinataire
- 8 bits constituent un mot de service SVT, SVR destiné à identifier une séquence en cours parmi des séquences prédéterminées d'une communication entre l'équipement EQb et l'équipement destinataire.
Par exemple pour une communication téléphonique classique, un mot de service signale une séquence d'appel, de retour d'appel, de destinataire occupé ou libre, de transmission de données, de rupture de communication, etc..., selon que l'équipement EQb est rattache G une installation d'abonné demandeur, ou à une installation d'abonné demandé. D'autres séquences ont trait à des services récents offerts aux abonnés, tels que renvoi temporaire d'appel, transfert d'un appel d'abonné absent vers un autre abonné, appel d'un poste privé dans une installation automatique d'abonné du type autocommutateur privé (P.A.B.X.), etc... Que l'équipement d'abonné EQb soit demandeur ou demandé, le mot d'adresse ADT, ADR dans chaque message transmis est composé de l'adresse du destinataire identifiant, selon le sens de transmission, l'équipement demandé ou l'équipement demandeur.Comme on le verra dans la suite, un mot d'adresse ADT, ADR est selon l'invention, un numéro d'appel d'abonné destinataire ayant au plus 16 chiffres qui est, soit composé directement au clavier ou cadran de numérotation de l'installation de l'abonné demandeur et lu dans un enregistreur de l'équipement demandeur, soit lu dans une mémoire vive de l'équipement de l'abonné demandé. Le mot d'adresse à transmettre n'est pas traduit dans l'équipement de raccordement et sert directement à sélectionner des routes dans le système de routage
SROU pour acheminer des messages d'une communication vers l'autre équipement. Le mot d'information MDT est constitué, lors d'une séquence d'appel par l'équipement demandeur EQb, d'un numéro d'appel AEQb ayant 16 chiffres au plus, identifiant l'équipement demandeur.Ce numéro codé en code décimal codé binaire est prélevé d'une mémoire morte de l'équipement EQb, lors de la séquence d'appel, afin que l'équipement destinataire demandé enregistre le numéro d'appel du demandeur dans la mémoire vive et l'utilise dans l'adressage des messages transmis en retour vers l'équipement demandeur EQb. Après établissement d'une communication, chaque mot
MDT, comme chaque mot HDR, est composé de K = 8 octets correspondant notamment à 8 échantillons de parole en code MIC.
Comme montré à la Fig.1, chaque groupement d'équipements de raccordement d'abonné formant un étage ET est autonome,
a c 'est--dire multiplexe à division du temps des messages transmis par les équipements EQ1 à EQ8 dans une voie multiplex de transmission formée par le bus BT , indépendamment et d'une manière
a totalement asynchrone des multiplexages de messages dans les autres etages d'équipements. Le bus BT a RM = 64 + 64 + 8 = 136 fils
a conducteurs.Dans le bus BTa, 64 premiers fils forment un premier sous-bus BADT pour transmettre en parallèle les bits de chacun des mots d'adresse ADT, 64 seconds fils forment un second sous-bus BMDT pour transmettre en parallèle les bits de chacun des mots de données MDT, et 8 troisièmes fils forment un troisième sous-bus
BSVT pour transmettre en parallèle les bits de chacun des mots de service SVT. Ainsi, pour un débit de données de d = 64 kbit/s, le bus BT a un débit Do = (d/(8xK))B = 4096 kbit/s, qui après
a sérialisation des messages à transmettre dans un modem, si necessaire, correspond à un débit D' = Do.KN F 4,096 x 136 = O 557,056 Mbit/s. Chaque message transmis par un équipement, tel que l'équipement EQb de l'étage ETa, occupe un intervalle de temps ITb de canal ayant une largeur t0 = (0,125/B)K = 244,1 ns et un rang prédéterminé b dans une période de trame T = 0,125 x K = 1 ms, comme montré à la Fig.2.Le rang b définit une adresse de l'équipement EQb interne à l'étage ET
a
Dans l'étage ET est- ainsi prévu un circuit d'adressage
a d'équipement 1 pour adresser par des mots 1 à B ayant log2 B = 12 bits les équipements EQ1 à EQB, en fonction d'une horloge autonome à la fréquence de f0 = 4,096 MHz, en vue de multiplexer B = 4096 messages transmis par les équipements EQ1 à EQB dans le bus BT a
L'étage ET comprend également un circuit de comparaison de préfixe
a et détermination de format de numéro d'appel 2 qui est commun aux équipements EQ1 à EQB et qui sera décrit plus loin en référence à la Fig.8.

De même, le bus de réception BR convoie des trames ayant une
a durée T = 1 ms et composée de 4096 intervalles temporels ayant une durée de t0 = 244,1 ns et assignés sélectivement par le système de routage SROU, en fonction des mots d'adresse AnR, à des messages destinés aux équipements EQ1 à EQB. Le bus BR comprend un premier
a sous bus BADE pour transmettre en parallèle 64 bits de chacun des mots d'adresse ADR égal à l'un des mots AEQ1 à AEQB, un second sous-bus BMDR pour transmettre en parallèle les 64 bits de chacun des mots de données HDR, et un troisième sous-bus BSVR pour transmettre en parallèle les bits de chacun des mots de service
SVR.
Comme montres la Fig.3, le circuit d'adressage d'équipement 1 comprend essentiellement une horloge 10 établissant un signal d'horloge è la fréquence de fO = 4,096 MHz, correspondant à la période de t0 = 244,1 ns, un compteur modulo B = 4096, 11, recevant le signal d'horloge fO, et deux mémoires RAM 12 et 13 reliées à un bus de sortie à 12 fils du compteur 11 pour produire les adresses en code en binaire 1 à B pendant chaque période de trame T = 1 ms, dans un bus d'adresse d'équipement à 12 fils ADEQ interne à l'étage
ET .Les circuits logiques inclus dans chaque équipement EQ1 à EQB
a sont activés en réponse à l'intervalle de temps respectif IT1 à IT3 et sont conçus pour utiliser au mieux la durée t0 = 244 ns, afin que la somme des temps de fonctionnement de ces circuits majorée d'une marge de sécurité n'excède pas cette durée. En pratique est prevu une marge de sscurité-de 34,1 ns, soit environ 15%, et un temps disponible net de 210 ns.
Les circuits logiques peuvent être alors réalisés sous forme de circuits logiques multicouches comprenant typiquement 14 couches, avec des composants à temps de fonctionnement de 15 ns, ou 42 couches avec des composants à 5 ns, en pratique à 3 ns.
Afin de disposer au maximum de l'intervalle de temps théorique de 244,1 ns, le compteur d'adresse 11 est aménagé de manière à marquer sur le bus d'adresse ADEQ, dans tous les cas, une information stabilisée pendant un temps aussi voisin que possible de 244,1 ns. Le compteur 11 est un compteur à décalage composé ici de 12 bascules et est de préférence, un compteur d'adresse à
Marquage Stabilisé et Optimisé en Durée (MSOD). Le compteur d'adresse a décalage 11 reçoit par une entrée d'horloge 11H la fréquence f0 de 4,096 MHz. Celle-ci est divisée par deux dans un diviseur de fréquence 14 pour fournir un signal à fréquence f0/2 = 2,048 MHz qui est applique à une bascule monostable 15 à constante de temps égal a t0.
La bascule 15 calibre le signal à fréquence fo/2 en des impulsions calibrées ayant une largeur de t0 = 244,1 ns et un facteur de forme égal à 1. Les impulsions calibrées sont appliquées directement à des entrées de commande en lecture et écriture 12L et 13E des mémoires 12 et 13 et, à travers un inverseur 16, à des entrées de commande en écriture et lecture 12E et 13L des mémoires 12 et 13, respectivement. Les mémoires 12 et 13 reçoivent en parallèle les 12- bits de mot d'adresse du compteur 11, et ont 12 sorties chacune raccordees au bus d'adresse ADEQ.
Pendant une période t0 = 244,1 ns, dans l'une des mémoires 12 et 13 est lue une adresse d'équipement tandis que dans l'autre memoire est écrite l'adresse d'équipement suivante, selon l'ordre naturel 1 à B. Pendant la période t0 suivante, les lecture et écriture précédentes sont inversées. Ainsi, au temps de fonctionnement près, très faible, de la lecture, l'information présente sur le bus d'adresse ADEQ est stable pendant un temps très voisin de 244,1 ns.
Les B = 4096 adresses 1 à B des équipements EQ1 à EQB sont transmises à des bases de temps incluses respectivement dans les équipements afin que l'adresse respective de chaque équipement serve de référence de temps pour établir I signaux d'horloge H1 à nécessaires au fonctionnement de l'équipement. Ainsi, tous les signaux d'horloge établis dans les équipements EQ1 à EQB sont respectivement identiques, mais sont déphasés entre eux de t0 a Bt L'une, 3, de ces bases de temps, incluse dans l'équipement
EQb, est montrée à la Fig.4.
La base de temps 3 comprend essentiellement une mémoire morte
PROM 30 contenant l'adresse binaire b à 12 bits de l'équipement
EQb, une mémoire morte PROM 31 contenant une adresse AEQ'b correspondant au code décimal codé binaire de l'adresse b et, ayant 4x4 = 16 bits et constituant une première partie de l'adresse AEQb,
I circuits additionneurs-déphaseurs numériques 32 à 32ils et I circuits de comparaison numérique 331 à 33, pour produire les I signaux d'horloge H1 = HI.
Les mémoires 30 et 31 sont fixées dans un bâti ou rack de l'étage d'équipement ET dans lequel sont logées des cartes de
a circuit imprimé supportant les circuits des équipements EQ1 à EQB.
Douze sorties parallèles de la mémoire 30 sont reliées à un bus d'entrée à 12 fils 34 commun aux circuits 321 à 32I à travers une première réglette de connexion à éléments conducteurs mâles et femelles 35. Seize sorties parallèles de la seconde mémoire 31 sont reliées, à travers une seconde réglette de connexion 36, à un bus d'entrée à 16 fils desservant une mémoire RAM d'adresse d'équipement 71 incluse dans un circuit de transmission de données et service 7 et desservant un comparateur d'adresse d'équipement 80 inclus dans un circuit de traitement des appels 8, comme on le verra dans la suite. Dès que la carte imprimée de l'équipement EQb est enfichée dans le bâti, les adresses b et AEQ'b sont transférées vers les circuits 321 à 32I et la mémoire RAM 71 et le comparateur 80 de l'équipement. Ces conditions confèrent avantageusement une interchangeabilité et une standardisation des cartes d'équipement.
Lors du transfert de l'adresse b de la mémoire 80 à travers le bus 34, les circuits additionneurs-déphaseurs 321 à 321 additionnent respectivement l'adresse b à des mots binaires représentant des déphasages 91 à fI de premières impulsions des signaux d'horloge H1 à HI par rapport à l'intervalle de temps ITb contenant l'adresse b dans une trame T du bus ADEQ.
A titre d'exemple, sont montrés des fronts montants d'impulsions de cinq signaux d'horloge H1 à H5 dans la Fig. 5. Le signal H3 est en phase avec l'intervalle de temps contenant l'adresse b I dans le bus ADEQ, c'est-à-dire #3 = 0, a une période de
T = 1 ms et des impulsions de largeur égale à t0 = 244 ns, et est utilisé pour transmettre des premiers messages par l'équipement
EQb.Les signaux H1, H2, H4 et H5 ont respectivement des déphasages de #r = 0, #r = 1000/16 = 62,5 ps, #r = -t r = -244 ns et r f r to par rapport au signal H3, des périodes égales à T/8 = 125 ps, mr des largeurs d'impulsion égales à 60 jjs, 60 ps, 244 ns et 60 s.
Les mots binaires représentant les déphasages 1 à #I sont égaux respectivement aux nombres d'intervalles de temps entre l'apparition de l'adresse b dans une trame du bus ADEQ et l'établissement des premières impulsions des signaux H1 à HI succédant à l'adresse b, en prenant soin que les additions dans les circuits 321 à 32I soient congruentes à B = 4096 ; ainsi les nombres O, 0, 4096/16 = 256, (4096/8)-1 = 511, et (4096/16)+1 = 257 sont additionnés à l'adresse b pour obtenir les déphasages des signaux H3, H1, H2, H4 et H5 respectivement.De cette manière sont obtenus dans chaque équipement de raccordement EQ1 à EQB des signaux d'horloge ayant respectivement les mêmes déphasages par rapport aux intervalles de temps de référence 1T1 à ITB contenant les adresses 1 B dans le bus ADEQ.Une telle disposition permet, outre l'avantage de réaliser en un même standard tous les équipements et de procéder ainsi à une interchangeabilité des équipements, également d'initialiser une horloge "mère" 10 commune à tous les équipements dans l'étage ET et servant à fixer le
a déphasage des signaux d'horloge entre équipements en vue d'effectuer des opérations analogues dans les équipements et les multiplexage et démultiplexage des messages dans les bus BT et
a
BR
a
Les circuits de comparaison 331 à 33I visent à déterminer les périodes t1 à tI des signaux d'horloge H1 à HI. Des sorties 33S1 à 33SI des circuits 331 à 33I sont reliées à des bascules monostables ayant des constantes de temps respectivement égales aux largeurs des impulsions des signaux H1 à HI.Douze premières entrées 33A1 à 33AI des circuits 331 à 33I sont reliées au circuit d'adressage d'équipement 1 (Fig.3) à travers le bus ADEQ, et douze secondes entrées 33B1 à 33BI, des circuits 331 à 33I sont reliées à des sorties parallèles des circuits 321 à 32I. Les circuits de comparaison sont des comparateurs programmables permettant des comparaisons bit à bit de deux mots binaires pour des bits de ces mots ayant des rangs prédéterminés. Les rangs prédéterminés des bits à comparer sont signalés par des états "0" dans des fils respectifs de troisièmes bus d'entrée ayant au plus 12 fils 33N1 à 33NI des circuits 331 à 33,, reliés par exemple à des mémoires mortes câblées.De tels comparateurs programmables sont décrits à la fin de la présente description, en référence à la Fig. 14.
Sachant que les signaux d'horloge H1 à H1 ont des périodes égales à des sous-multiples entiers de la période de trame T, il en résulte qu'une comparaison effectuée dans un comparateur est effectuée sur un nombre de bits de poids faible prédéterminé en fonction du rapport entre la période de trame T et la période du signal d'horloge respectif. Ainsi, pour le circuit 333 produisant le signal H3, la comparaison des adresses 1 à B dans le bus ADEQ et de l'adresse b est effectuée sur les 12 bits. Pour les circuits 331 332' 334 et 335 produisant les signaux H1, H2, H4 et H5, les comparaisons sont effectuées sur les 12 - log2(1000/125) = 9 bits de poids faible des mots à 12 bits à comparer.Plus généralement, pour un signal d'horloge de période t T/29, avec O < q < 12, les
q = = comparaisons des adresses dans le bus ADEQ et du mot de déphasage b + B/29 mod(B) sont effectuées sur les 12 - log 2q = 12 - q bits de
2 poids faible.
Selon d'autres réalisations da l'invention, un équipement de raccordement dans un étage ET est raccordé à une ligne d'abonné
a desservant un terminal ayant un débit plus élevé que le débit de base de 64 kbit/s. De tels débits élevés sont égaux s 2q x 64 kbit/s, avec des valeurs entières de q variant entre 0 et Q = 12, soit des débits compris entre le débit faible de base de 64 kbit/s 12 et le débit élevé de 2 x 64 = 262 144 kbit/s. Dans ce cas, le circuit d'adressage 1 (Fig.3) fonctionne avec une horloge de fréquence 4,096 x 2q = 16777,216 MHz pour délivrer des adresses ayant Q+12 = 24 bits dans un bus ADEQ.En entrée de la base de temps d'un équipement fonctionnant au débit de 2qu64 kbit/s, un circuit neutralise les q-l bits de poids fort dans les adresses du bus ADEQ de manière à transmettre l'adresse b de l'équipement ayant ici, Q+12+(q-1) bits, aux entrées 33B1 è 33BI des comparateurs. Ces signaux d'horloge sont alors analogues à ceux montrés à la Fig.5, mais la période T est réduite à T/2q . Ainsi, l'équipement de raccordement a une structure inchangée quel que soit le débit de la ligne d'abonné à laquelle il est raccordé, et les opérations qu'il effectue demeurent inchangées mais sont réalisées à des vitesses plus rapides fonction du débit de la ligne.
Comme montré à la Fig.6, un équipement de raccordement de ligne d'abonné, tel que l'équipement EQb, comprend, outre, la base de temps 3, une unité de commande 4, un circuit de couplage bidirectionnel 5 raccordant la ligne d'abonné LAb à l'équipement, un circuit de détection et d'enregistrement de numérotation 6 relié au circuit de couplage et au sous-bus BADT pour transmettre un numéro d'appel d'abonné demandé dit mot d'adresse de destinataire
ADT, un circuit de transmission de données et service 7 relié au circuit de couplage et aux sous-bus BMDT et BSVT pour transmettre des mots MDT et SVT de premiers messages, un circuit de traitement des appels 8 reliés aux bus BT et BR pour principalement recevoir
a a des seconds messages d'appel d'autres équipements et transmettre des premiers messages en réponse aux messages d'appel et détecter l'adresse d'équipement AEQb dans le sous-bus BADR, et un circuit de réception 9 relié aux sous-bus BMDR et BSVR et au circuit de couplage pour traiter des seconds messages transmis par- un autre équipement en communication avec l'équipement EQb, et ayant des données 3 transmettre dans la ligne d'abonné
De préférence, comme montré à la Fig.6, l'unité de commande 4 comprend un séquenceur 40 indépendant de toutes horloges, offrant un temps de déclenchement par séquence très court, de l'ordre de 40 ns, et ayant une programmation câblée. Un tel séquenceur est décrit dans la demande de brevet français No.85-14531 déposée le ler
Octobre 1985, non encore publiée, et au nom de l'actuel demandeur.
Ce séquenceur ne fait pas appel à un microprocesseur et permet de répéter des séquences ou groupements de séquences ou de sauter ceux-ci, afin de contrôler les différents ordonnancements possibles de communications d'arrivée et de départ.
Le séquenceur 40 constitue le "coeur" de l'équipement et délivre des ordres sous la forme de signaux logiques aux circuits internes à l'équipement EQb par des bornes de sortie 41, et des ordres sous forme de mot de service à 8 bits SVT à l'équipement demandeur ou demandé en communication avec l'équipement EQb par un bus de sortie à 8 fils 42 relié au circuit de transmission 7.Ces derniers ordres sont transmis respectivement en réponse à des ordres reçus par des bornes d'entrée 43 du séquenceur et délivrés par les circuits internes à l'équipement EQb et parl'équipement en communication ; les ordres établis par les circuits internes à l'équipement sont des signaux logiques appliqués directement à des bornes d'entrée 43, tandis que les ordres établis par l'équipement en communication sont sous la forme de mot de service à 8 bits SVR détectes dans le sous-bus BSVR par le circuit de réception 9 et décodes par un décodeur 44 relié à des entrées 43 correspondant aux divers mots SVR.
Selon une réalisation préférée, le séquenceur 40 contrôle 28 = 128 ordres d'entrée ou de sortie, ce nombre d'ordre étant nettement suffisant pour déclencher les différentes séquences d'une communication de départ et d'une communication d'arrivée. Dans la suite, on considère qu'un ordre reçu en réponse à un état "1" à une borne d'entrée respective 43 déclenche une séquence correspondante par mise à l'état "1" de la borne de sortie associée 41 et/ou par lecture d'une mémoire morte à 8 bits incluse dans le séquenceur 40 et contenant un mot de service associé SVT à transmettre dans le bus 42.En particulier, le séquenceur 40 reçoit par une première borne d'entrée 431 un état "1" délivré par un circuit de signalisation de ligne 93 inclus dans le circuit de réception 9 pour initialiser une communication de départ suite à une fermeture de boucle de ligne, ou decrochage dans l'installation d'abonné desservant l'équipement EQb, et par une dernière borne d'entrée 43F reliée a travers un inverseur 45 à la borne 431 un état "O" délivré par le circuit de signalisation suite à une ouverture de ligne ou raccrochage dans une ligne d'abonné. Les divers signaux d'ordre reçus par les entrées 43 et délivrés par les sorties 41 sont énumérés au cours de la description ci-après des différents circuits de l'équipement.
Comme montré également en détail à la Fig.6, le circuit de couplage 5 comprend un double transformateur différentiel pour diriger des signaux transmis par l'installation d'abonné à travers la ligne Lq vers une voie de transmission VT reliée à deux bornes d'entree du circuit de transmission 7, et pour diriger des signaux transmis par deux bornes de sortie du circuit de réception 9 dans une voie de réception VR vers l'installation d'abonné à travers la ligne d'abonné
Le transformateur différentiel comprend des premier et second enroulements primaires 511-512 et 521-522 reliant les fils L1 et L2 de la ligne LA a des bornes d'un équilibreur de ligne 53, respectivement.Un premier enroulement secondaire 541-542 est couplé à l'enroulement 511-512 et est relié aux deux bornes d'entrée précitées du circuit 7 à travers deux potentiomètres 551 et 552 dans la voie de transmission VT. Des points milieux des enroulements primaires 511-512 et 521-522 sont découplés par un condensateur 56 et sont respectivement reliés aux deux bornes de sortie precitées du circuit 9 à travers la voie de réception VR. Le transformateur comprend également un simple enroulement secondaire 57 couplé au demi-enroulement primaire 521 en vue de prélever des fréquences de numérotation transmis par l'installation d'abonné dans un détecteur de fréquences de numérotation 601 inclus dans le circuit 6.
Conformément aux recommandations du CCITT (Comité Consultatif
International Télégraphique et Téléphonique), un numéro d'appel téléphonique possède au plus 11 chiffres, nombre maximum nécessaire pour obtenir une communication internationale. Cependant, l'invention prevoit un numéro d'appel contenant 5 chiffres supplémentaires, sélectionnés après 11 chiffres de-numéro d'appel au maximum, afin de fusionner le numéro d'appel téléphonique public d'un commutateur privé, par exemple du type P.A.B.X., et le numéro d'un poste supplémentaire desservi par le commutateur privé. Le numéro de poste n'altère en rien la numérotation nationale. De cette manière est généralise et banalisé une sélection directe de communication d'arrivée dans un commutateur privé appelé.
Selon une autre application concernant des équipements de raccordement destinés à desservir tous les types de terminaux actuels et futurs, l'identification du type de terminal et par suite de réseaux locaux et de procédures protocolaires d'échanges entre ces réseaux et les équipements est effectué sur la base d'un préfixe inclus dans le numéro à Il + 3 = 14 chiffres. Cette application peut être combinée avec la numérotation de postes prives, par exemple en réduisant le numéro d'appel de poste à deux chiffres.
Comme il est connu, les chiffres du numéro d'appel sont codés en code multifréquence. Chaque chiffre correspond à une combinaison respective de l'une de trois premières fréquences F1, F2 et F3 avec l'une de quatre secondes fréquences F4, F5, F6 et F7, ces fréquences appartenant à la bande des fréquences téléphoniques, typiquement entre 300 Hz et 4 kHz.
Comme montré à la Fig.7, le circuit de détection et d'enregistrement de numérotation comprend un circuit de détection et codage 60 pour détecter, valider et décoder des fréquences de numérotation transmis par la ligne LAb, deux circuits d'enregistrement de numéros d'appel de communication et d'instruction de service, 61Co et 61SE, et un circuit de lecture et de validation de préfixe 62.
Dans le détecteur 601 du circuit de détection et codage sont prévus un amplificateur à contre-réaction offrant une impédance d'entrée élevée, raccordé au demi-enroulement 57 du transformateur différentiel. Sept filtres passe-bande sont reliés à une sortie de l'amplificateur pour détecter les fréquences de numérotation F1 à
F7. L'impédance d'entrée élevée de l'amplificateur n'influe pas sur l'équilibrage du transformateur et restitue à amplitude constante les signaux à fréquence de numérotation aux entrées des filtres passe-bande. Une détection de l'une des fréquences F1 à F7 est traduite par un "1" à l'une des sept bornes de sortie 60F1 à 60F7 du détecteur 401 constituant une borne de sortie du filtre passe-bande respectif.

Dans le circuit 60, les bornes 60F1 à 60F correspondant aux
1 3 premières fréquences F1 à F3 sont reliées respectivement à trois entrées d'une première porte OU 6031 et à trois premières entres d'un codeur binaire 604. De même, les bornes 60F4 à 60F7 correspondant aux secondes fréquences F4 à F7 sont reliées respectivement à quatre entrées d'une seconde porte OU 6032 et quatre secondes entrées du codeur 604. Une porte ET 605 a deux entrées reliées aux sorties des portes OU 6031 et 6032. Une sortie 6C6 de la porte 605 est à l'état "1" lorsque l'une des combinaisons prédéterminées de deux fréquences est détectée.Le codeur 604 délivre dans un bus à quatre fils 607 un mot à 4 bits parallèles caractérisant une combinaison de première et seconde fréquences parmi douze possibles, et résultant d'un codage décimal binaire (DCB) du chiffre ou caractère associé.
L'invention prévoit également de distinguer non seulement des combinaisons de deux fréquences ou bifréquences, mais également des durées de bifréquences afin d'augmenter les possibilités de codage de signaux à multifréquence. Par exemple, une bifréquence caractérisant un chiffre de numéro d'appel à 16 chiffres au plus est transmise par l'installation d'abonné pendant une durée prédéterminée AtCo Une bifréquence caractérisée par une durée AtSE différente de QtCo permet, une fois la ligne connectée à l'un de serveurs automates de services spéciaux tels que réveil automatique, organisation de conférence, demande d'extrait de compte de taxation téléphonique ou autre, d'adresser à ce serveur avec le seul usage du clavier téléphonique, des données nécessaires pour définir le service demandé tel que, par exemple, des date et heure de réveil, des numéros de postes devant participer à une conférence ainsi que des date et durée de celle-ci, un code confidentiel, des identité et période concernées par une demande d'extrait de compte, etc.
Cette meme procédure inter-active s'applique également lorsque l'opération demandée est du ressort de l'équipement de raccordement d'abonné et n'exige pas de connexion préalable à un serveur automate spécifique ; une telle opération consiste, par exemple, en un renvoi provisoire d'une ligne, un regroupement de lignes de PBX, un filtrage de communication d'arrivée, une inscription en "liste rouge" du numéro de l'installation d'abonné par adjonction d'un code confidentiel, une interdiction d'accès à certaines zones de numérotation ou de serveurs (service restreint) etc...Toutes ces opérations et d'autres qui, jusqu a présent, étaient réalisées par des agents d'exploitation peuvent l'etre ainsi par l'abonné lui-meme, dans le cadre de nouvelles catégories de services nouveaux de type "Self Gestion" ou "Té1é-contrôle",
Comme montré à la Fig.7, chacun des circuits d'enregistrement 61C0 et 61SE comprend deux détecteurs d'impulsion 611C0 et 611SE détectant des impulsions en fonction des durées Atco CO et SE respectivement. De tels détecteurs sont décrits dans la demande de brevet français No.85-15418 déposée 17 Octobre 1985, non encore publiée, et au nom de l'actuel demandeur.Les détecteurs 61C0 et 61SE sont reliés à la sortie 606 de la porte ET 605 et ont des sorties 612C0 et 612SE respectivement reliées d'une part, directement à des entrées de commande de circuits 613C0 et 613sue ayant quatre portes ET reliées au bus de sortie 607 du codeur 604, d'autre part, à des entrées d'horloge HCO et HSE de deux enregistreurs 614CO et 614SE à travers des inverseurs 615C0 et 615SE, respectivement. Un état "1" à la sortie 612C0 ou 612SE d'un détecteur d'impulsion valide ainsi l'enregistrement du mot à 4 bits caractérisant une bifréquence représentant un chiffre d'appel de communication ou d'instruction de service.L'enregistreur 614CO est constitué par quatre registres à décalage en parallèle, ayant des entrées reliées respectivement aux sorties des quatre portes dans le circuit ET 613coq et comprenant chacun 16 étages à bascules 61B1 à 61B16 afin d'enregistrer au maximum 16 chiffres d'un numéro d'appel de communication, au rythme des états "1" ou impulsions d'horloge délivrées par la sortie 612cl. L'enregistreur 614SE est constitué par quatre registres à décalage en parallèle ayant des entrées reliées respectivement aux sorties des quatres portes dans le circuit ET 613SE et comprenant chacun 8 étages à bascules afin d'enregistrer au maximum 8 chiffres d'un numéro d'instruction de service.Les enregistreurs 614C0 et 614SE sont remis à zéro par des bornes RZC0 et RZSE respectivement en réponse à une rupture de communication téléphonique, tel que raccrochage du demandeur, et à la fin de la transmission d'une instruction de service, sous le contrôle de la sortie de l'inverseur 45 dans l'unité de commande 4.
Les interconnexions de l'enregistreur d'instruction de service 614SE avec des serveurs automates, n'appartiennent pas au cadre de l'invention. On ne considère dans la suite de la description que le traitement d'un numéro d'appel de communication normale dit "adresse de destinataire" d'un autre équipement, en vue de l'établissement d'une communication de départ.
Les 16 x 4 = 64 sorties des bascules de l'enregistreur 614cl sont reliées respectivement aux 64 fils du sous-bus d'adresse BADT travers 64 portes ET dans un circuit de sortie 616 qui sont commandes par une sortie d'une porte ET à deux entrées 617.Les portes dans le circuit 616 sont du type à trois états ("Tri-state") et sont ouvertes par un état "1" à la sortie de la porte 617 ; en l'absence de commande, la sortie d'une porte "tri-state" présente une impédance infinie quel que soit l'état "1" ou "0" de la bascule de l'enregistreur 614C0 qui marque son entrée. les entrées de la porte 617 reçoivent respectivement un signal de fin de numérotation délivré par une sortie 41fn de l'unité 4 et un signal d'horloge H'3 à la période de trame T = 1 ms délivré par le circuit de transmission de donnée et service 7 afin de transmettre l'adresse de destinataire ADT à travers le sous-bus BADT en fin de séquence de numérotation et dans chaque message à transmettre MET au cours d'une communication de départ après la séquence de numérotation.
Le circuit de lecture et de validation de préfixe 62 de l'équipement EQb et le circuit de comparaison de préfixe et détermination de format 2 commun aux équipements EQ1 à EQB sont montrés en détail dans les Figs.7 et 8 respectivement.
Le circuit de lecture et validation de préfixe 62 comprend un compteur de chiffres 620 ayant seize sorties de bascules Q1 à Q16.
Les sorties Q1 à Q6 sont reliées respectivement - des premières entrées de portes ET à deux entrées 6211 à 6216. Le compteur 620 lit les six premiers chiffres composés d'un numéro d'appel, dit adresse de destinataire, dans l'enregistreur 614C0 en vue de les mémoriser dans une mémoire RAM 622 ayant 6 x 4 = 24 cellules d'un bit. Il est rappelé qu'en pratique, les six premiers chiffres du préfixe d'un numéro d'appel déterminent, outre une partie de l'acheminement des signaux d'une communication, tels que message selon l'invention, à travers le système de routage SROU (Fig.l), egalement le format du numéro d'appel c'est-à-dire le nombre de chiffres composant le numéro d'appel. Comme on le verra ci-après, le circuit 2 interconnecté au circuit 62 valide le préfixe, c'est-à-dire vérifie si le préfixe numéroté correspond à l'un des préfixes selon le plan de numérotation en vigueur et si le numéro d'appel composé a un nombre de chiffres, dit format, correspondant au préfixe validé. De telles verifications sont indispensables pour déterminer d'une manière certaine la fin de la séquence de numérotation et autoriser le passage à la séquence suivante en vue de l'établissement d'une communication de départ.
Dans le circuit 62 sont également prévus six circuits 6231 à 6236 ayant chacun quatre portes ET à deux entrées. Chacun des circuits ET 6231 à 6236 est commandé par une sortie de la porte respective 6211 à 6216, et possède quatre entrées reliées respectivement aux étages de même rang 61B1 à 61B6 dans les quatre registres dans l'enregistreur 614cl.
Le compteur 620 est remis à zero en fin de communication à une entrée RZ62, par la sortie de l'inverseur 45 de l'unité de commande 4, et est rythmé par les impulsions de détection de chiffre appliquées par l'inverseur 615C0 à une entrée d'horloge H62. En réponse aux impulsions à l'entrée H62, un bit "1" est transféré successivement dans les étages du compteur 620, afin que les sorties Q1 à Q16 basculent successivement de l'état "0" à l'état "1". Par exemple la détection des quatre premiers chiffres implique que les sorties Q1 à Q4 sont à l'état "1" et les sorties Q5 à Q16 sont à l'état "0". Lorsque la septième sortie Q7 passe à l'état "1", celle-ci bloque les portes 6211 à 6216 à travers un inverseur 624.A ce stade, les six premiers mots à 4 bits enregistres dans les six premiers étages 61B 1 à 61B6 de l'enregistreur 614CO sont écrits dans la mémoire RAM 622, et le préfixe dans la mémoire 622 ne peut plus être modifié par l'enregistrement des autres chiffres du numéro d'appel dans l'enregistreur 614C0 provoquant des decalages successifs des six premiers chiffres, le cas échéant, jusqu'au six derniers étages 61Bll à 61B16.
La mémoire tampon 622 est commandée en lecture par le signal d'horloge H3 à la fréquence de trame T. En réponse à l'adresse b de l'équipement EQb transmise dans le bus d'adressage ADEQ provenant du circuit d'adressage d'équipement 1 et donc à une impulsion H3 délivrée toutes les T = 1 ms par la base de temps 3, les six mots binaires de chiffre de préfixe dans la mémoire 622 sont appliqués à des premières entrées 20A1 à 20pop de comparateurs programmables de préfixe 201 à 20p inclus dans le circuit 2, à travers un bus à 6 x 4 = 24 fils BPR, comme montré à la Fig.8.
Chaque çomparateur 201 à 20p, du genre de celui décrit en fin de description, est programme et adressé par une unité d'exploitation et de programmation UEX incluse dans l'autocommutateur, afin d'appliquer à des secondes entrées 20B1 à 20Bp un mot de préfixe en code DCB, et à des troisièmes entrées 20N1 à 20Np des états indiquant les rangs des chiffres du préfixe comparer. Ces conditions contribuent à réaliser un plan de numérotation "ouvert" en validant un préfixe non seulement en fonction des valeurs des chiffres du préfixe mais également en fonction du rang de ces chiffres dans un nombre à six chiffres. En outre, chaque chiffre étant représenté par un mot à 4 bits, il apparat qu'un chiffre permet d'envisager 15 préfixes à 1 chiffre.
De telles possibilités facilitent des modifications rapides des plans de numérotation, suite à des développements des réseaux téléphoniques.
Tant qu'un préfixe n'est pas reconnu par l'un des comparateurs 201 à 20p pendant l'intervalle de temps ITb de t0 = 244 ns attribué à l'équipement FQb dans une trame de T = 1 ms, des sorties 20S1 à 20Sp des comparateurs sont à "0". Ceci se produit notamment lorsque le préfixe est en cours de numérotation et donc de mémorisation dans la mémoire RAM 622. Par contre, dès que le préfixe mémorisé est reconnu par l'un des comparateurs 201 à 20p, la sortie 20S1 à 20Sp de celui-ci passe à l'état "1" pour commander la lecture d'une mémoire de format associée.Comme montre à la Fig.8, le circuit 2 comprend 15 mémoires mortes 222 à 2216, du type PROM, ayant enregistré 15 mots de format f2 à fl6 en code DCB d'un numéro d'appel ayant 2 à 16 chiffres. Les sorties 20S1 à 20Sp des comparateurs 201 à 20p sont reliées respectivement à des entrées de commande en lecture des mémoires 222 à 2216 de manière à faire correspondre à un préfixe validé un nombre de chiffres ou format du numéro d'appel attendu. Les connexions entre les sorties 20S1 à 20Sp d'une part, et les entrées des mémoires PROM 222 à 2216 d'autre part, sont réalisables pratiquement à l'aide d'un circuit imprimé enfichable et modulaire qui permet à la fois la mise en service de nouveaux préfixes et des modifications du plan de numérotation.
Les sorties des mémoires 222 à 2216 desservent par un bus à quatre fils BFO, tous les équipements de raccordement dans ltetage ET . Elles sont reliées à une mémoire RAM à quatre bit 626 incluse
a dans le circuit 62 de l'équipement EQb, et commandées en lecture par le signal d'horloge H3. Le mot de format à 4 bits lu dans la mémoire 626 est decodé dans un décodeur de format 627 ayant 15 sorties 62f2 à 62fil6. L'une des sorties 62f2 à 62f16 est à l'état "1" lorsque le format f2 à f16 a été lu dans la mémoire respective 222 à 2216 pendant l'intervalle de temps ITb de 244 ns assigné à l'équipement EQb.Les sorties 62f 2 à 62f16 sont reliées respectivement à des secondes entrées de portes à deux entrées ET 6282 à 62816. Des premières entrées des portes 6282 à 62816 sont reliées respectivement aux sorties Q2 à Q16 du compteur de chiffres 620. Dès que le nombre de chiffres reçus par l'enregistreur 614C0 et comptés par le compteur 620 atteint la valeur mémorisée dans la mémoire 626 et indique par l'état "1" à l'une des sorties 62f2 à 62fil6, la porte correspondante 6282 à 62816 est ouverte. Dans ce cas, une sortie d'une porte OU 629 ayant des entrées reliées aux sorties des portes 6282 à 62816 est à l'état "1" ce qui marque la fin de la séquence de numérotation à une entrée 43fn du séquenceur 40.Ainsi, les portes 6282 à 62816 valident un numéro d'appel grâce à une comparaison du nombre de chiffres composés, transmis à travers la ligne LN , et du nombre de chiffre1 ou format, correspondant au préfixe valide de ce numéro.
Suite au marquage de l'entrée 43fn, une sortie 41fn du séquenceur 40 met à "1" une entrée d'une porte OU à deux entrées 616 incluse dans le circuit d'enregistrement 61CC. La porte 616 a une autre entrée reliée à la sortie 612Co du détecteur d'impulsion 611cl, et une sortie reliée à l'entrée de l'inverseur 615Cc, comme montré à la Fig.7. L'état "1" à la borne 41fn bloque alors la porte 616 et empêche toute modification accidentelle du numéro d'appel, dit d'adresse de destinataire ADT, enregistré dans l'enregistreur 614CO, après la séquence de numérotation. L'enregistreur 614CO fonctionne ensuite comme une mémoire morte afin d'être lue à chaque transmission de message dans le bus BT sous la commande du signal
a H'3. En effet, la sortie 41fn à l'état "1" ouvre la porte de lecture 617 de l'enregistreur 614C0 pour appliquer des impulsions du signal d'horloge H'3 dès la fin de la séquence de numérotation.
Comme on le verra dans la suite, le signal H'3 est délivré en dépendance d'un circuit de détection de silence 74 (Fig. 9) et est inhibé non seulement pendant la séquence de numérotation maie egalement pendant des périodes de silence au cours d'une communication établie afin de ne point transmettre de messages MET.
Ainsi, après validation de l'adresse de destinataire ADT mémorisée dans l'enregistreur 614C0, la porte OU 616 est bloquée, ce qui évite toute altération de l'adresse de destinataire enregistrée, due à une fausse manoeuvre de l'abonné.
Seule une transmission de l'adresse ADT permet une transmission effective d'un message MET même si, par ailleurs, les mots MDT et SVT dans le message sont nuls. En l'absence du mot d'adresse ADT, même si les mots MDT et SVT contiennent des informations significatives, celles-ci sont perdues dès leur enregistrement dans l'équipement EQb et ainsi ne chargent pas inutilement des mémoires de cet équipement.
La situation de demande d'appel est identifiée par une boucle en ligne et des mots SVT et SVR nuls qui permettent une distinction entre des prises de ligne par le "décroché demandeur" et par le "dEcroché demandé". Cette situation marque une première séquence du séquenceur 40 ce qui commande à la fois l'envoi de la tonalité "invitation à numéroter" et le déclenchement d'un temporisateur d'une durée de l'ordre de 90 secondes par exemple. La détection de la première impulsion de numérotation traduite par une impulsion recueillie à la sortie de la porte OU 616 fait passer le séquenceur 40 à une seconde séquence. Celle-ci arrête la transmission de la tonalité "invitation à numéroter" et relaie au niveau du déblocage de l'horloge du temporisateur l'action commencée par la première séquence.L'état "1" détecté en 41fn (fin de numérotation) dans un délai inférieur à 9Q secondes commande le passage à une troisième séquence qui remet à zéro le temporisateur. Par contre si le temporisateur compte les 90 secondes, soit pendant la première séquence correspondant à un faux appel, soit pendant la seconde séquence correspondant à une fausse numérotation ou à un incident de numérotation, la tonalité "invitation à numéroter" de la première séquence ou le silence de la seconde séquence est remplacé par une tonalité "incident de numérotation".Dans le premier cas l'usager peut numéroter sans raccrocher, et le cycle des séquences se poursuit et se normalise dès la troisième séquence malgré la superposition de la tonalité "incident de numérotation" qui doit être sans effet, compte tenu de sa fréquence, sur la bonne réception de la numérotation à bifréquences. Par contre, facultativement pour ce premier cas, et obligatoirement pour le second cas correspondant à une numérotation entreprise mais inachevée ou non conforme, l'usager doit raccrocher le combiné de son poste afin d'initialiser ltenregistreur 614C0 et pouvoir reprendre correctement la phase de numérotation.
En référence à la Fig.9, le circuit de transmission de donnée et service 7 comprend essentiellement huit registres tampons 701 à 708 pour mémoriser 8 octets consécutifs de données proprement dites, deux mémoires RAM 71 et 72 mémorisant le numéro d'appel ou d'adresse AEQb de l'équipement EQb, un circuit logique de lecture de message 73, un circuit de détection de silence 74, et un circuit de stabilisation et transmission de mot de service 75.
En outre, lorsque la ligne téléphonique LA convoie un signal puremer.t analogique ou un signal numérique module par une fréquence porteuse, le circuit 7 comprend en entrée, un convertisseur analogique-numerique 76 ayant deux entrées reliées à la voie de transmission VT du circuit de couplage 5. Le convertisseur 76 convertit le signal transmis par l'installation d'abonné dans la ligne téléphonique L4 en un signal numérique MIC classique composé d'octets résultant d'un échantillonnage à la période de 125 ps détermine par le signal d'horloge H1 établi dans la base de temps 3.De préférence, le convertisseur 76 est du type de ceux décrits dans la demande de brevet français No.86-00305 déposée le 10
Janvier 1986, non encore publiée, et au nom de l'actuel demandeur.
Le convertisseur 76 comprend un circuit de quantification acyclique à vitesse de fonctionnement élevée selon cette dernière demande de brevet permettant une quantification continue et instantanée du signal analogique relativement à 256 échelons ou niveaux de quantification. Le convertisseur 76 comprend, en sortie, une mémoire morte d'octets MIC adressés en lecture par des sorties du circuits de quantification, à la cadence des impulsions du signal Hî Selon une autre variante, comme indiqué en référence à la
Fig.6, dans la demande de brevet No.86-00305, le circuit de quantification peut être commun à plusieurs équipements de raccordement, et être précédé de circuits de commutation respectivement reliés aux voies de transmission des équipements et adresses par les signaux d'horloge respectifs H3 > pour autant que la période de la trame, d'un tel multiplexage temporel, soit compatible avec la période d'échantillonnage résultant des vitesses de transmission élevées susceptibles d'être appliquées à tout ou partie des équipements ainsi associés à un même quantificateur. Là encore, toute augmentation de débit de transmission, par rapport au débit de base de 64 kbit/s considéré ici, ne modifie pas les caractéristiques fonctionnelles et structurelles de l'équipement.
Pour un débit en ligne de 2ex64 kbit/s, la période d'échantillonnage est de 125.2 (q l) ps.
Quel que soit le type analogique ou numérique de signal transmis par la ligne téléphonique, les bits de chaque octet d'échantillon sont appliqués en parallèle par un convertisseur serie-parallèle, ou un circuit équivalent à celui-ci, inclus dans le bloc 76 de la Fig.9, à travers un bus à 8 fils 761, à des entres des registres tampons 701 à 708 et à huit premières entrées 740A d'un comparateur programmable 740 inclus dans le circuit 74.
Les registres 701 à 708 ont chacun huit étages et enregistrent respectivement les huit bits parallèles d'un octet en réponse à chaque impulsion d'écriture fournie par le signal d'horloge H2 et appliquée à des entrées de commande d'écriture 70E des registres.
Ainsi pendant une période de trame T = 1 ms, huit octets consécutifs sont écrits et accumulés dans les registres 701 à 708.
8 x 8 = 64 sorties des etages des registres 701 à 70 & sont reliés respectivement aux fils du sous-bus de transmission de données BEST pour transmettre un mot de données composé de 8 octets parallèles dans l'intervalle de temps ITb de t0 = 244 ns assigné à l'équipement EQb, en réponse au signal d'horloge respectif H'3 après établissement d'une communication. Le signal d'horloge H'3 a les mêmes caractéristiques, période et largeur d'une impulsion, que le signal d'horloge H3, est produit par le circuit de lecture de message 73, comme on le verra dans la suite, et est appliqué à des entrées de commande en lecture 70L des registres 701 à 708 par une sortie de porte ET 733 incluse dans le circuit de lecture 73.
Le circuit de détection de silence 74 comprend, outre le comparateur programmable d'octet de donnée 740 déjà cité, une porte
ET 741 ayant une entrée reliée à une sortie 740S du comparateur 740 et une autre entrée reliée à une sortie 41dr du séquenceur 40 à travers un inverseur 742. La sortie 41dr est à l'état "1" lors d'un appel ou d'un raccrochage de ltéquipement demandeur EQb. Un compteur à trois bascules 743 dans le circuit 74 comptent au plus huit états "1" à la sortie de la porte 741 pendant une période de trame T = 1 ms et est remise à zéro par une entrée 743RZ à la fin de chaque période de trame. Le comparateur 740 détecte les octets de donnée dans le bus 761 correspondant à des niveaux de quantification compris dans une plage prédéterminée de silence.Le compteur 743 compte de tels octets pendant une trame, c'est-à-dire entre deux intervalles ITb, afin de produire par une sortie 743S un signal à l'état "1" et inhiber la transmission de huit octets successifs d'une trame correspondant à des niveaux de quantification inclus dans la plage de silence.
Afin de mieux comprendre le fonctionnement du circuit de détection de silence 7, on se réfère à des octets de quantification
MIC ayant des bits b8, b7, b6 > bg, b4, b32 b2, b1 ayant les 8 significations suivantes pour une quantification à 2 = 256 niveaux ou échelons de quantification répartis symétriquement par rapport à une amplitude moyenne de O volt d'un signal analogique V ayant une tension crête V
max
- le bit b8 est un bit de signe, tel que b8 = "1" pour V > 0 et b8 = " " si V < 0,
- les bits b7, b6 et b5 correspondent à l'un de huit segments de quantification pour O < V < V > et
max
- les bits b4, b3, b2 et b1 correspondent à l'un de seize échelons de quantification dans le segment identifie par les bits b72 b6 et b5.
Huit secondes entrées 740B et huit troisièmes entrées 740N du comparateur 740 sont reliées à l'unité de programmation et d'exploitation UEX déjà citée. Les entrées 740B reçoivent des bits
B définissant la plage de silence auxquels sont comparés des bits de meme rang dans les octets de donnée, respectivement. Les entrées 740N reçoivent des bits N à l'état "0" pour indiquer le rang des bits dans les octets de données qui sont à comparer.Selon un premier exemple, une plage de silence ayant deux échelons de part et d'autre du 0 volt, soit la plage de silence la plus petite, est définie par N8 B7 B6 ss5 B4 B3 B2 B1, où B7 à B1 sont des bits de deux premiers échelons de quantification à comparer ; selon un second exemple, une plage de silence ayant deux paires d'échelons de part et d'autre du 0 volt est définie par N8 B7 B6 B3 B4 B3 B2
N1, ou B7 à B 2 sont des bits communs aux quatre échelons à comparer ; selon un troisième exemple, une plage de silence ayant deux segments de part et d'autre du 0 volt est définie par N B7 B
B5 N4 N3 N2 N1, où B7, B6 et B5 sont des bits communs aux deux échelons à comparer ; selon un quatrième exemple, une plage de silence ayant deux paires de segments de part et d'autre du 0 volt est définie par N8 B7 B6 N5 N4 N3 N2 N1, où B7 et B6 sont des bits communs aux quatre échelons à comparer.
Chaque octet correspondant à l'une des configurations d'octet déterminant la plage de silence fixée entrain une identité dans le comparateur 740 et met s "1" la sortie 740S. La sortie 740S commande le compteur 743, qui, lorsqu'il a compté huit -impulsions correspondant à 8 octets de la plage de silence au cours d'une trame T correspondant à la formation d'un message à transmettre, porte à "1" la sortie 743S. Le compteur 743 est remis à zéro par la borne 743RZ à chaque période de trame T déterminée par le signal
H3.En outre, la porte 741 et l'inverseur 742 inhibent l'action du circuit de détection de silence, en réponse à un ordre associé à des séquences de demandeur, telles que séquence d'appel et raccrochage par exemple, ou encore dans le cas de liaisons vidéo ou télématiques pour lesquelles la plage de "silence" correspond à des données significatives et non plus à des silences. La délimitation de la plage de silence est fixée par l'unité d'exploitation UEX et par un adressage de l'étage ET et de l'équipement EQb par cette
a unité. Les plages de silence peuvent être identiques pour tous les équipements ou adaptées à chacun d'eux en fonction de critères techniques.
Ainsi le circuit de détection de silence a deux roles. Le circuit 74 permet de "récupérer" tout silence égal ou supérieur à une milliseconde et allège, dans le cas de communications téléphoniques, la charge des voies de transmission multiplexés dans les bus et routes du système de routage SROU de plus de 50 %.
Accessoirement, le circuit 74 atténue des bruits de fond parasites d'origines diverses dans les périodes de silence, tels que bruits d'ambiance ou de rue dans une communication téléphonique, ou diaphonie du réseau de distribution. Le circuit 74 équivaut à produire une élévation du seuil de sensibilité du microphone de l'usager dans les périodes de silence.
Le circuit de lecture 73 comprend une porte NON-OU 731, trois portes ET à deux entrées 732, 733 et 734 et un inverseur 735. Le circuit 73 commande une lecture simultanée de trois mots mémorisés
ADT, MDT et SVT pour composer un message MET à transmettre pendant l'intervalle de temps ITb de durée t0 = 244,1 ns assigné à l'équipement EQb dans une trame T, en réponse à une impulsion du signal d'horloge H3, lorsqu'une telle lecture est autorisée par l'unité de commande 4 et le circuit de détection de silence 74.La porte NON-OU 731 a une entrée reliée à la sortie 743S du compteur 743 et plusieurs entrées reliées à des sorties 41 du séquenceur 40 pour empêcher toute transmission de message par exemple pendant la transmission de signaux de signalisation vers l'installation d'abonné à travers la ligne L4, tels que signal d'invitation à numéroter, signal d'appel, et signal de retour d'appel. En outre, au moins une entrée de la porte 731 est reliée à l'unité d'exploitation UEX pour bloquer toute transmission de message par exemple lors de test de maintenance de l'équipement EQb, ou pour commander une suspension de la ligne soit à l'initiative de l'exploitant soit à l'initiative de l'usager dans le cadre du service "self gestion". Lorsqu'une transmission de message est autorisée, la sortie de la porte 731 applique un "1" à une entrée de la porte ET 732 ayant une autre entrée recevant le signal d'horloge H3, afin qu'une sortie de la porte 732 délivre le signal d'horloge H'3 commandant une lecture de message.
Comme déjà dit, le signal H'3 délivré par la sortie de la porte 732 ouvre les portes de lecture 617 (Fig. 7) de l'enregistreur 614C0 suite à une autorisation de lecture correspondant à un état "1" à la sortie 41fn du séquenceur 40, pour lire et transmettre le mot d'adresse de l'équipement destinataire demandé ADT. La sortie de la porte 732 est également reliée à des entrées de commande de deux-portes ET à deux entrées 751A et 751B incluses dans le circuit 75 en vue de transmettre un mot de service SVT dans le but BSVT.
Enfin la sortie de la porte 732 est reliée à des premières entrées des portes ET 733 et 734 ayant des sorties respectivement reliées aux entrées de commande en lecture 70L des registres tampons 701 à 708 et à des entrées de commande en lecture 71L et 72L des mémoires
RAM 71 et 72. Des autres entrées des portes 733 et 734 reçoivent à travers l'inverseur 735 et directement un signal d'ordre par une borne de sortie 4lapidé du séquenceur 40 afin de transmettre dans le bus BMDT, des adresses d'équipement et d'étage lus dans les mémoires 71 et 72 pendant une séquence d'appel d'une communication de départ, ou de transmettre dans le bus BMDT, 8 octets de données lus dans les registres 701 à 708 pendant une séquence de conversation d'une communication de départ ou d'arrivée.A cet effet, la mémoire 71 memorise le mot d'adresse AEQ'b de l'équipement EQb ayant 4 x 4 = 16 bits en code DCB délivré par la mémoire PROM 31, comme déjà indiqué en référence à la Fig.4. La mémoire 72 mémorise le mot d'adresse de l'étage ET ayant
a typiquement 48 bits, programmé par l'unité d'exploitation UEX.
Ainsi 16 + 48 = 64 sorties des mémoires 71 et 72 sont reliées au sous-bus BMDT. Dans la suite, les adresses de l'équipement EQb et de l'étage ET sont désignées par "adresse d'équipement" AEQb.
a
I1 est à noter que l'adresse d'équipement AEQ'b sert à identifier l'équipement EQb de l'étage ET par l'équipement éloigne
a lors de l'établissement d'une communication et correspond aux quatre derniers chiffres du numéro d'appel de l'équipement EQb, tandis que l'adresse d'étage correspond au L1-4 = 7 chiffres restants au plus du numéro d'appel et sert uniquement au routage de messages transmis par l'équipement éloigné à travers le système
SROU, afin que ces messages arrivent par le bus BR . Par ailleurs,
a en pratique, chaque étage ET1 à ET comprend 96 équipements, hors numérotation, utilisés pour des fonctions spéciales relatives à des lignes spécialisées de départ, à de la maintenance automatique, à des circuits d'essais, etc...L'adresse d'équipement AEQb dans les memoires 31 et 71 est ainsi comprise entre 0000 et 3999 pour le premier étage ; 4000 et 7999 pour le second ; 8000 et 11999 pour le troisième ; 12000 et 15999 pour le quatrième ; 16.000 et 19.999 pour le cinquième ; puis reprise du cycle de numérotation d'adresse dans les seconde et troisième dizaines de mille et ainsi de suite.
Cette disposition permet d'avoir un plan de numérotation ne présentant aucun "trou". Les mémoires PROM 31 côté bâti sont marquées en conséquence.
Le circuit de stabilisation et transmission de mot de service 75 comprend, outre les deux portes ET 751A et 751B, un comparateur 752 ayant deux bus d'entrées 752A et 752B reliées directement et à travers un circuit à huit lignes de retard 753 au bus de sortie 42 du séquenceur 40. Des sorties des portes 751A et 751B sont reliées à des entrées de commande de circuits à huit portes ET 754A et 754B ayant des autres entrées reliées aux bus d'entrée 752A et 752B du comparateur et des sorties reliées au sous-bus BSVT à travers un circuit à 8 portes OU 755. Une sortie 752S du comparateur 752 est reliée à une entrée de commande d'une porte ET 756 ayant une autre entre recevant le signal d'horloge H4.Une sortie de la porte 756 est reliée, à travers une bascule monostable 757, et respectivement à travers un inverseur 758 et directement à des entrées de commande des portes ET 751A et 751B.
Le circuit 75 est destine à "stabiliser" un mot de service SVT délivré par l'unité de commande 4 en vue de son transfert dans le sous-bus ESVT, afin de remédier à un asynchronisme entre une transmission de message MET déclenchée par le signal d'horloge H'3 et une lecture du mot SVT correspondant dans le séquence 40. En effet, compte tenu du caractère aléatoire de tout changement de séquence, l'instant auquel un message MET doit être transmis, peut colncider avec l'instant où le mot SVT est en cours de modification, et par suite, le mot SVT lu à cet instant peut être incohérent.
L'entrée 752B du comparateur 752 reçoit un mot SVT du bus 42 après un retard supérieur à 2t0 = 488,2 ns, soit typiquement un retard de 500 ns, imposé par le circuit 753. Un tel retard permet de contrôler la stabilite d'un mot SVT dans le bus 42 notamment à l'instant d'apparition d'une impulsion d'horloge H'3 déterminant l'intervalle de temps ITb. Comme montré à la Fig.5, le signal d'horloge H4 a une "dernière" impulsion en avance de t0 = 244,1 ns par rapport à celle du signal d'horloge H3 dans chaque trame.Si à l'instant de la dernière impulsion du signal H4 le mot SVT est stable pendant au moins 500 ns, la sortie 752S est à "1", et la porte 756 déclenche la bascule monostable 757 qui produit un créneau de 500 ns pour ouvrir la porte ET 751B ; l'impulsion du signal H'3 traverse alors la porte 751B 244,1 ns plus tard, pour transmettre le mot SVT à travers le circuit ET 754 B ouvert.Par contre, si le mot SVT est en cours de modification à l'instant de la dernière impulsion du signal H4, la porte 756 demeure fermée suite à un état "0" à la sortie 752S du comparateur 752 ; 244,1 ns plus tard, l'impulsion du signal H'3 ouvre la porte 751A, la sortie de la bascule monostable 757 étant à l'état "0", et le mot modifié
SVT est lu à travers le circuit ET 754A à un instant qui est nettement supérieur à l'instant de modification du mot de service appliqué au bus d'entrée 752A, compte tenu du retard de 244,1 ns de
H'3 par rapport à H4. Ainsi, le transfert d'un mot SVT du bus 42 vers le bus BSVT est effectué après le changement de ce mot.
Lors d'une séquence d'appel "apdé" déclenchée par un decrochage dans l'installation raccordée à l'équipement EQb, la porte 733 est fermée et la porte ET 734 est ouverte, de sorte que les mémoires 71 et 72 transmettent l'adresse d'équipement AEQb dans le sous-bus BMDT. Pendant cette séquence d'appel les registres 701 à 708 ne sont pas lus en raison du blocage du signal d'horloge H'3 par la porte 733 ; le contenu de ces registres n'est pas significatif et correspond aux bruits numérisés de la ligne d'abonné. L'adresse AEQb sert à l'équipement destinataire à adresser en retour l'équipement EQb, après enregistrement de l'adresse AEQb et transmission de l'adresse AEQb dans le sous-bus
BADT relié à l'équipement destinataire, comme on le verra dans la suite.
Comme montré à la Fig.10, le circuit de traitement des appels 8 comprend un comparateur d'adresse à 16 bits 80, un circuit de commande en écriture de mémoire 81, un circuit de réception d'appel 82, un circuit de réponse d'abonné libre 83, un circuit de réponse d'abonné occupe 84, et un circuit de réponse d'abonné transféré 85.
Le circuit 8 est utilisé pour signaler à un équipement d'abonné demandeur éloigne l'état de l'équipement demandé EQb, libre, occupé, ou à numéro d'appel à transférer.
Le comparateur 80 sert à reconnaitre parmi les seconds messages multiplexes dans le bus BR , ceux qui sont destinés à
a l'équipement EQb, détectant l'adresse AEQb dans le sous-bus
BADR. Comme déjà dit, les messages dans le bus BR sont acheminés
a par le système de routage en fonction de l'adresse de l'étage ET , et par suite, le comparateur 80 ne détecte que les 4 derniers chiffres du numéro d'appel de l'équipement EQb correspondant à l'adresse AEQ'b. A cet effet, le comparateur 80 a des premières entrées 80A reliées à 16 premiers fils du sous-bus BADR, et des secondes entrées 80B recevant l'adresse AEQ'b délivrée par la mémoire PROM 31 (Fig.4).Ainsi lors d'un appel de l'équipement EQb par un autre équipement, une sortie 80S du circuit 80 applique un "1" à des premières entrées de trois portes ET à deux entrées 811, 812 et 813 et d'une porte ET à trois entrées 814 dans le circuit 81.
Des autres entrées des portes 811 et 812 sont reliées respectivement à des sorties de portes ET à deux entrées 820 et 824 incluses dans le circuit de réception d'appel 82. Des premières entres des portes 820 et 824 sont reliées à une sortie d'une porte
OU 82T directement et à travers un inverseur 822. Une entrée de la porte 821 est reliée à la borne d'entrée 431 du sequenceur 40 qui, comme déjà dit, est à l1état "0" lorsque la ligne d'abonné LAb est ouverte et donc l'installation d'abonné est libre. Des autres entrées des portes 820 et 824 sont reliées à une sortie 823S d'un comparateur de test de communication d'arrivée 823 ayant des entrées 823B reliées à une mémoire morte contenant un mot de service identifiant un appel et des entrées 823A reliées au sous-bus BSVR.Lors d'un appel, l'équipement demandeur transmet dans le sous-bus BSVR desservant l'équipement EQb, ici demandé, le mot de séquence d'appel. Si l'équipement EQb est libre, la sortie de a porte ET 824 est à l'état "1" ce qui ouvre la porte 811. Dans ces conditions, un "1" en sortie de la porte 811 marque l'entrée 43apar du séquenceur 40 correspondant à un appel de communication d'arrivée d'une part, pour inhiber toute action du détecteur de silence 74 en fermant la porte ET 741 via la borne 41dr, et d'autre part, pour déclencher la transmission d'une tonalité d'appel vers l'installation d'abonné à partir du circuit de signalisation 93 dans le circuit de réception 9.
Par ailleurs3 la sortie de la porte 811 est reliée à une entrée de commande en écriture 831E d'une mémoire RAM à 64 bits 831 dans le circuit 83 pour écrire l'adresse d'équipement demandeur reçu par le sous-bus BMDR dans la mémoire 831. Une entrée de commande en lecture 831L de la mémoire 831 est reliée à une sortie d'une porte ET 833 ayant une entre reliée à une borne de sortie d'appel de communication d'arrivée 4lapar du séquenceur 40 > et une autre entrée recevant le signal d'horloge H'3. Le mot d'adresse de l'équipement demandeur est ainsi retransmis par la mémoire 831 de l'équipement demandé dans le sous-bus BADT en direction de l'équipement demandeur.Cette retransmission est effectuée pendant toute la communication au cours de laquelle la borne 4îapar est à l'état "]", et la mémoire 831 est lue comme une mémoire morte.. Par ailleurs, pendant la séquence d'appel de la communication d'arrivée, une mémoire ROM 832 dans le circuit 83 est lue pour transmettre dans le sous-bus BSVT un mot de service de "demandé libre" sous la commande d'une porte ET 834. La porte 834 a une entrée recevant le signal d'horloge E'3, une entrée reliée à une sortie 41ar du séquenceur 40 qui est à l'état "1" pendant la séquence d'appel de communication d'arrivée, et une sortie reliée à une entrée de commande en lecture 832L de la mémoire 832.Dans l'équipement demandeur, la réception du mot de service "demande libre" declenche une tonalité de retour d'appel, transmis par le sequenceur de l'équipement demandeur tandis qu'une tonalité d'appel est transmise à partir du circuit de signalisation inclus dans l'équipement demande EQb suite à l'état "1" à la borne 43apar. La séquence "retour d'appel" s'achève ensuite à la réception par l'équipement demandeur d'un mot de service "réponse de demandé" transmis par l'équipement demande EQb suite au décrochage de l'abonné demandé.
Si un message parvient à l'équipement demandé EQb alors qu'une communication est en cours, l'entrée 431 du séquenceur dans l'équipement demandé est à "1". Les portes ET 820 et 812 sont débloquées, et la sortie de la porte 812 applique un "1" à une seconde entrée de la porte ET 814 qui est alors ouverte. La porte
ET 814 applique un "1" à une entrée de commande en écriture 840E d'une mémoire RAM 840 incluse dans le circuit de réponse d'abonne occupé 83. Dans la mémoire 840 est mémorisée l'adresse de l'équipement demandeur reçue par le sous-bus à 64 fils BMDR. Dans le circuit 84, la mémoire 840 est associée à une memoire- ROM à 8 bits 841 contenant un mot de service "demandé occupé".La mémoire 840 permet de mémoriser pendant une durée aleatoire et jusqu'à la transmission en retour du message "demande occupé", l'adresse de l'équipement demandeur et de retransmettre celle-ci dans l'intervalle de temps ITb, rendu disponible par un "milli-silence" de la conversation en cours, et assigné à l'équipement demandé occupé EQb par le signal H3.
Le renvoi d'un appel vers un autre équipement, en fonction de l'occupation de la ligne d'abonné dans le cas d'un groupement de lignes par commutateur PBX, et systématiquement dans le cas d'un renvoi temporaire ou transfert relèvent de la même procédure suivante.
L'occupation de la ligne d'abonné est marquée par un "1" à l'entrée 431 du séquenceur 40 dans l'équipement demande EQb et donc à une entrée de la porte OU 821, ce qui implique une écriture de l'adresse de l'équipement demandeur dans la mémoire 840 via les portes 820, 812 et 814.Par ailleurs, dans le circuit 85, une bascule bistable 850 ayant des entres S et R reliées à l'unité d'exploStation UEX, ou eventuellement à une borne spéciale de commande de l'abonné CAB rattachée à un circuit dépendant du mot de service lu dans l'enregistreur 614SE (Fig.7), a une sortie Q à l'état "1" lorsque l'abonné est un abonné ordinaire, et à l'état "0" lorsque l'installation d'abonné fait l'objet d'un renvoi temporaire RT vers une autre installation d'abonné ou est desservie par un commutateur privé PBX identifié par au moins deux numéros d'appel de lignes groupées. Dans le circuit 85, la sortie Q de la bascule 850 est reliée directement et à travers un inverseur 851 à des premières entrées de portes ET 852 et 853 ayant d'autres entres reliées à une sortie d'une porte ET 854. La porte 854 a une entrée reliée à la sortie 743S du compteur d'octet 743 dans le circuit de détection de silence (Fig. 9) et une autre entrée recevant le signal d'horloge 113. La porte 854 ouvre aussi les portes 852 et 853 en dehors de toute période de transmission de message de donnée.
Ainsi pour un transfert de numéro d'appel, la sortie de la porte 853 applique un "1" à une entrée de lecture 855L d'une mémoire RAM 855 ayant enregistré un numéro d'appel d'abonné à 64 bits à substituer au numéro d'appel de l'équipement EQb suite à un adressage en écriture 855E par l'unité UEX ou de la commande d'abonné CAB, et à une entrée de lecture 856L d'une mémoire morte ROM à 8 bits 856 contenant un mot de service dit de transfert.
L'équipement demandé EQb retransmet alors le numéro d'appel de transfert et le mot de service de transfert lus dans les mémoires 855 et 856 via les sous-bus BMDT et BSVT, et l'équipement demandeur procède alors a une séquence d'appel d'abonné ordinaire identifie par le nouveau numéro d'appel après détection du mot de service de transfert. Le renvoi temporaire RT dans l'équipement demandé est également marque par un "1" à une seconde entrée de la porte OU 821, ce qui permet également de retransmettre l'adresse de l'équipement demandeur dans le sous-bus BADT par lecture de la mémoire 840. Par contre la mémoire de mot de service associée 841 n'est pas lue.En effet, la sortie de la porte 852 est reliée à une entrée de commande en lecture 841L de la mémoire 841 et à une entrée d'une porte OU 842, cette dernière ayant une autre entrée reliée à la sortie de la porte ET 853 et une sortie reliée à une entrée de commande en lecture 840L de la mémoire 840.
Lorsque l'équipement demandé est un équipement d'abonné ordinaire, un "1" à la sortie de la porte ET 852 ordonne la lecture des mémoires 840 et 841 qui délivrent respectivement l'adresse de l'équipement demandeur et le mot de service "demande occupé" dans les sous-bus BADT et BSVT. Aucune information n'est transcrite dans les registres tampons 70l à 708 (Fig.9) qui, comme déjà dit, restent vides et dont le transmission d'information necessitera un "forcement" du circuit de détection de silence 74.
Lorsqu'un équipement de raccordement doit transmettre un message, cette transmission est effectuée à un instant précis déterminé par l'intervalle de temps respectif qui lui est assigné dans la trame de 4096 voies. Afin de transmettre un message de "retour d'appel" par le circuit de traitement des appels 8 vers l'équipement demandeur, l'invention prévoit d'utiliser les périodes de silence de l'équipement demandé qui est en communication, pour retransmettre des messages de retour d'appel. Ces périodes de silence qui sont au minimum d'une milliseconde apparaissent d'une manière aléatoire, mais en pratique, ces périodes de silence apparaissent statistiquement après un délai maximum de quelques dixièmes de secondes d'une conversation.Un tel délai ne pose pas ainsi de problème pour transmettre message de retour d'appel par un équipement occupe par une conversation.
Par contre, dans le cas de liaisons full-duplex télématiques à débit élevé et constant, ce délai risque d'être élevé voire infini.
Pour ce cas, l'une des trois solutions suivantes peut être retenue
1) emploi d'une temporisation à l'issue de laquelle, en cas d'absence de réception de message "retour d'appel", l'équipement demandeur passe en séquence "demandé occupe" pour déclencher la transmission d'une tonalité ou d'une information numérique correspondante vers l'installation d'abonné demandeur ;
2) insertion dans des mécanismes de terminaux commutés utilisant des voies de transmission de manière ininterrompue, de silences artificiels de durée sensiblement supérieure à une milliseconde pendant une transmission de données ;
3) constitution d'un étage sémaphore spécial disposant d'un bus de transmission et d'un compteur d'adresse propre ; cet étage peut être commun au 64 étages d'abonné ou plus de l'autocommutateur ce qui fixe à 64 millisecondes la période d'échantillonnage en transmission d'un message "retour d'appel", soit une durée moyenne de 32 millisecondes du délai d'attente de ce message.
La solution illustrée à la Fig.lO utilise les périodes de silence pour transmettre, lorsqu'ils doivent lettre, les messages "retour d'appel". Pour cela, l'horloge H3 qui commande la transmission des messages MET dans l'équipement demandé, est contrôlée par la porte ET 854 dont l'ouverture dépend de l'état de la sortie 743S du compteur d'octets de silence 743. La sortie de la porte 854 est reliée à des entrées des portes ET 852 et 853 qui comme déjà dit, sont commutées par la sortie Q de la bascule 850 qui mémorise la catEgorie d'abonné, Q = 1 pour un abonné ordinaire et Q = O pour un abonné PBX ou RT ; la bascule 850 est positionnée par l'exploitant ou l'abonné.La porte 853 (abonné PBX ou RT) oriente tordre de lecture déterminé par le signal H3 vers les mémoires 840, 855 et 856. La porte 852 (abonné ordinaire) oriente l'ordre de lecture du signal H3 vers la mémoire 840, et aucune marque du sous-bus de transmission de données BMDT n'est opérée.
Dans les deux cas, abonné ordinaire ou abonné PBX ou RT, un front descendant de l'ordre de lecture remet à O et efface les 64 bits dans la mémoire 840 par une bascule 843 interconnectée entre la sortie de la porte OU 842 et une entrée 840RZ de la mémoire 840.
Cet état "O" dans la mémoire 840 est maintenu jusqu'à nouvelle réception d'un message d'appel transmis dans le bus BR soit par le
a même équipement demandeur pendant toute la durée de la séquence d'appel, soit par un autre équipement dans le cas où plusieurs messages d'appel sont pratiquement simultanés, c'est-à-dire se présentent pendant une trame d'une milliseconde ; seul le dernier message d'appel précédant l'impulsion H3 est traité puisqu'il a éte écrit en dernier lieu dans la mémoire 840 suite aux dernières identiques relevées par les comparateurs 80 et 823. Ce n'est qu'après traitement et non réapparition du message précité mémorisé pendant les trames suivantes, que le message d'appel qui le précède est traité à son tour et ainsi de suite.
Ainsi, l'autocommutateur traite rigoureusement des appels simultanés, même en très grand nombre, dans la seule limite des possibilités d'admission de traffic de l'étage d'abonné en réception, soit 4096 messages par milliseconde pour l'ensemble d'un étage d'abonné ET
a
En outre, il est à noter qu'un ordre de lecture H3 appliqué à la mémoire 841, ou aux mémoires 855 et 856 (numéro mémorisé du poste vers lequel doit s'effectuer un transfert PBX ou RT), alors que la mémoire 840 est à zéro, provoque bien le marquage des sous-bus BMDT et BSVT, mais l'absence d'adresse de destinataire n'implique, comme on le verra par la suite, aucun traitement des données transcrites de sorte que celles-ci sont perdues et n'affectent en rien la charge des équipements de commutation et de transmission.
De plus, les messages sont reçus par le bus de réception BR
a d'une manière totalement aratoire par rapport à l'ordre de lecture découlant du signal d'horloge H3. Afin d'éviter toute simultanéité des opérations d'écriture et de lecture, ayant en pratique une probabilité de 1/4096, l'ordre de lecture applique à la mémoire 840 par la porte 854, via les portes 852 et 842, bloque la commande d'écriture appliquez par la porte 814, grâce à un inverseur 857 interconnecté entre la sortie de la porte 854 et une troisième entrée de la porte 814. Les composants 857 et 814 ayant un temps de fonctionnement à l'évidence plus court que celui des composants 852 et 842 donnant l'ordre de lecture, le blocage de l'écriture précède bien l'ordre de lecture dans la mémoire 840.L'ordre de lecture applique donc certainement à une mémoire en phase stable ; par contre, le blocage de l'écriture pouvant lui-même survenir en cours d'écriture, l'adresse de destinataire est altérée et donne lieu alors à l'émission d'un message erroné. Ce message erroné parvient tort à un équipement destinataire quelconque. Cela n'a aucune suite dans la mesure où cet équipement destinataire n'est pas lui-mêrne en séquence d'appel.Dans les trames suivantes, les messages d'appel, reçus par l'équipement demandenormal, en raison de la très faible probabilité de répétitions successives et consecutives des coIncidences écriture-lecture, sont reçus et exploités normalement. Il n'en résulte aucun autre inconvénient que le retard infligé à cette séquence, retard d'une ou de quelques trames, c 'est-à-dire d'une ou quelques millisecondes.Sans l'inverseur de blocage d'écriture 857, la coincidence concerne un intervalle de temps de 244 ns dans une trame d'une milliseconde, soit la probabilité mentionnée de 1/4096 ; avec l'inverseur de blocage, la coincidence porte sur le seul temps de déclenchement des composants de blocage et de lecture, soit environ 15 ns.La probabilité de coIncidence est donc ramenee à (1/4096) x (15/244) = 1/66628 soit 16 fois moins, d'où son intérêt. I1 n'est donc pas nécessaire pour le traitement des messages d'appel de prévoir un circuit de contrôle de lecture-écriture alternée 91 dont le rôle et le fonctionnement sera décrit par la suite, et qui offre une solution rigoureuse au problème de la coincidence lecture-écriture lorsque ces deux fonctions sont indépendantes et s'appliquent à une même mémoire ou registre.
En revenant à nouveau à un appel normal pour lequel l'équipement EQb est un équipement demande libre, traduite par un "1" aux sorties de la porte ET 824 et 811, on notera, comme expliqué ci-après, que la mémoire 831 retransmet l'adresse de l'équipement destinataire, ici demandeur, dans le sous-bus BADT avec les messages pendant toute la communication d'arrivée, d'une manière équivalente à la retransmission de numéro d'appel destinataire par l'enregistreur 614ci (Fig. 7) pendant une communication de départ.
Une communication d'arrivée dans l'équipement demandé débute ainsi par application d'un "1" à l'entrée 43apar du séquenceur 40 reliée à la sortie de la porte ET 811. Ceci initialise une séquence d'appel et déclenche la transmission d'une tonalité d'appel dans la ligne LA à travers le circuit de signalisation déjà cité 93 inclus dans le circuit 9, comme on le verra dans la suite. Le décrochage de l'abonne demande, équivalent à la fin de la séquence de numérotation pour une communication de départ, et provoquant une inversion de tension d'alimentation dans la ligne, n'ouvre cependant pas la porte 6J7 (Fig.7) de l'enregistreur du numéro d'appel 614cl, puisque la borne 41fn demeure à l'état "O".La porte 617.demeure fermée pendant toute la communication d'arrivée dans l'équipement demande. Bien que normalement tous les étages du registre 614C0 sont à "O" depuis la fin de la dernière communication, toutes manipulations intempestives du clavier dans l'installation de l'abonné demande qui donnent lieu à enregistrement de mots à 4 bits dans l'enregistreur 614cl sont sans effet puisque la porte de lecture 617 est fermée.
Ainsi, pendant la transmission de la tonalité appel du demande, des sorties 41apar et 41ar du séquenceur sont à "1" pour lire les mémoires 83J et 832 via les portes ET 833 et 834 et transmettre l'adresse de l'équipement du demandeur et le mot de service "demande libre" dans les sous-bus BADT et BSVT en réponse à chaque impulsion du signal d'horloge H'3. Au décrochage du demandé, la borne 41ar passe à "n" pour bloquer la porte ET 834, tandis que la borne 41apar reste à l'état 1 pendant toute la communication d'arrivée afin que l'adresse de l'équipement demandeur soit retransmise avec chaque message à transmettre vers l'équipement demandeur.Ainsi, dès établissement d'une communication d'arrivée ou de départ, l'échange et la composition des messages s'effectue d'une manière analogue dans les équipements demande et demandeur, à l'exception de la lecture de l'adresse de l'équipement destinataire qui s'effectue soit à partir de la mémoire 831, soit à partir de l'enregistreur 614CO. Dans tous les cas, après la séquence d'appel, l'équipement est à l'état occupé lors de la réception des messages de données, et les portes ET 820, 824, 811 et 812 ont des sorties à "O". Les sorties des portes 8)1 et 812 étant reliées à une seconde entrée de la porte 813 à travers une porte NON-OU 815 dans le circuit 8], la porte 813 est à "1" en réponse à chaque message de données détecté par le comparateur 80.
Le raccrochage du demande ou du demandeur à tout instant provoque dans l'équipement rattaché à l'abonné ayant raccroché une remise à zéro du séquenceur, suite à l'application d'un "Q" à l'entrée 431 de ce séquenceur, et la transmission d'un mot de service "00000000" vers l'autre équipement pour remettre à zéro le séquenceur dans cet équipement. Dans l'un et l'autre équipement, les inverseurs 45 dans les unités de commande 4 remettent à zero tous les-re & stres des équipements, et des bornes de sortie 41 des séquenceurs commandent, via les circuits de signalisation 93 et les voies 'R, la transmission de signaux de fin de communication vers les installations d'abonné.
En référence maintenant à la Fig.11, le circuit de réception de donnée et service 9 comprend essentiellement une mémoire tampon 90 ayant trois registres parallèles à 64 bits 90os 9 1 et 902 pour mémoriser des mots de données reçus par le sous-bus BMDR, un circuit de contrôle de lecture-écriture 91 contrôlant les registres 900 à 9 2 une mémoire vive RAM à 8 bits 92 pour mémoriser des mots de service reçus par le sous-bus BSVR, le circuit de signalisation 93, déjà cité, pour transmettre des signaux de signalisation et les signaux de données dans la ligne téléphonique LAbw et des moyens de codage de données, indiqués par le repère général 94, interconnectés entre la mémoire 90 et le circuit de signalisation 93 et sélectionnés en fonction de critères de transmission précisés ci-après.
Le circuit de signalisation de ligne d'abonné 93 comporte deux bornes de sortie 931 et 932 reliées aux bornes du condensateur de découplage 56 dans le circuit de couplage 5 (Fig. 6) à travers la voie de réception VR. Le circuit 93 comprend un circuit d'inversion de tension d'alimentation de ligne à -48 volts d'une part, pour appliquer une tension de batterie directe à la ligne LN lorsque l'installation téléphonique d'abonné est au repos et ne communique pas avec une autre installation d'abonné éloigné, ou lorsque l'installation d'abonné échange des signalisations, telles que tonalités et signaux de numérotation, pendant l'établissement d'une communication, et d'autre part, pour appliquer une tension inverse de la tension de batterie pendant une communication établie, par exemple pendant une séquence de conversation ou d'échange de données proprement dites. En particulier, le circuit de signalisation 93 interagit avec le séquenceur 40 (Fig. 6) par l'intermédiaire d'une borne de sortie d'état de ligne 93S reliée à l'entrée 4-1 du séquenceur, et de bornes d'entrées de commande d'injection de signaux 93C reliées respectivement à des bornes de sortie 41 du séquenceur.La borne de sortie 93S du circuit 93 signale par un "O" l'état ouvert de boucle de ligne correspondant à un raccrochage de l'abonne et par un "1" l'état fermé de la boucle de ligne correspondant à un décrochage de l'abonné en vue d'initialiser le séquenceur pour l'établissement d'une communication de départ, en commandant la transmission d'une tonalité d'invitation à numéroter à travers le circuit 93, via deux bornes reliées 41 et 93C.D'autres paires de borne 41-93C commandent des inversions de batterie pour l'établissement ou la rupture d'une communication d'arrivée, en réponse à des mots de service d'appels ou de raccrochage d'abonné demandeur éloigné, et des injections de signaux de signalisation tels que tonalité d'appel à 50 ou 25 Ez, tonalite de retour d'appel, et impulsions de taxation. Ces divers signaux de signalisation sont appliqués à des bornes d'entrée 93E de l'équipement 93 reliées à des générateurs de signalisation classiques. Outre ces signaux de signalisation, l'équipement 93 permet également d'injecter dans la ligne, des signaux de donnees par des bornes d'entrée 93E sous la commande de signaux appliqués à des bornes respectives 93C-par des sorties 41 du séquenceur.Ces signaux de données peuvent être analogiques, numériques avec fréquence porteuse, ou purement numériques comme précisé ci-après. Un circuit ou équipement de signalisation remplissant les fonctions ci-dessus est de préférence du type de celui décrit dans la demande de brevet No.85-11392 déposée le 25
Juillet 1985, non encore publiée, et au nom de l'actuel demandeur.
Comme montré à la Fig.11, un bus de sortie à 8 fils commun aux trois registres 900 à 902 dessert des premières entrées de deux circuits à 8 portes ET 941 et 942 ayant des entrées de commande raccordées directement et à travers un inverseur 943 à l'unité d'exploitation UEX ou à une commande logique dépendant d'un circuit d'identification du terminal afin de sélectionner, selon la validation illustrée, deux modes de transmission.
Lorsque le circuit ET 941 est sélectionné, les octets de données sont sérialises dans un convertisseur parallèle-série 944 à 64 kbit/s relié à une borne d'entrée 93E du circuit de signalisation. Cette dernière borne est associée soit à une paire de bornes 41-93C pour commander l'injection de données purement numériques dans la ligne LAb, soit à une autre paire de bornes 41-93C pour commander l'injection de données numériques modulant une fréquence porteuse prédéterminée dans la ligne LN
Lorsque le circuit ET 942 est sélectionné, les octets de données sont appliquées à un transcodeur 8 bits - 2x16 bits, 945, qui convertit chaque octet en un premier mot à 16 bits ayant seulement un bit à l'état "1" dont le rang indique une première valeur d'échantillon parmi 16 premiers niveaux d'une loi de quantification, et en un second mot à 16 bits ayant seulement un bit à l'état "1" dont le rang indique une seconde valeur d'échantillon parmi 16 seconds niveaux de quantification au voisinage de ladite première valeur d'échantillon, la loi de 8 quantification ayant ainsi 28 = 256 seconds niveaux de quantification.Les premier et second mots sont appliqués en parallèle à deux "échantillonneurs" inclus dans un modulateur d'impulsions modulées en durée 946 afin que chaque octet soit converti en une impulsion ayant une largeur prédéterminée et modulant une fréquence porteuse prédéterminée, la largeur d'impulsion étant déterminee en fonction des premier et second niveaux de quantification respectif. Un tel modulateur d'impulsions -module en durée est décrit dans la demande de brevet No.86-00357 déposée le 13 Janvier 1986, non encore publiée, et au nom de l'actuel demandeur.Comme déjà dit à propos des détecteurs d'impulsions 611SE et 611C0 (Fig. 7), des modulations d'impulsions en durée permettent d'accroître le nombre de signaux à transmettre dans une ligne, tels que signaux de données, de signalisation ou de service, sans élargir la bande passante de la ligne. La modulation dans le modulateur 946 dépend du signal d'horloge H5 à la période d'échantillonnage de 125 pss et les impulsions modulées en largeur sont appliquées à l'une des bornes d'entrée 93E du circuit de signalisation 93 assurée à une paire de borne de commande 41-93C.
Selon d'autres variantes, lorsque les données sont à transmettre sous forme analogique, le transcodeur 945 et le modulateur 946 sont remplacés par un convertisseur numérique-analogique classique.
Tous les mots de service SVR reçus dans le sous-bus BSVR, autre que les mots de service d'appel qui sont traités à part, par le circuit 82 (Flg.lO), en raison du fait de leur apparition possible à tout instant, sont écrits dans la mémoire tampon 92. Les écritures dans la mémoire 90 et dans la mémoire 92 sont effectuées sous la commande de la porte ET 820 (Fig.lO) via notamment la porte
ET 813 ayant une sortie reliée à des entrées de commande en écriture 90E et 92E des mémoires 90 et 92. Les mots de service mémorises sont lus en parallèle dans la mémoire 92 par le décodeur 44 inclus dans l'unité de commande 4 (Fig. 6). Le décodeur 44 comprend par exemple des comparateurs associés à des mémoires mortes de mot de service et ayant des sorties reliées à des entres respectives 43 du séquenceur 40, ou bien une matrice croisant les 16 combinaisons des 4 premiers bits de l'octet SVR avec les 16 combinaisons des 4 derniers bits et ayant ainsi les 256 sorties utilisables vers le séquenceur.
Avant de décrire en détail le circuit de contrôle de lecture-écriture 91 en référence à la Fig.12, il est rappelé certaines caractéristiques du système de routage SROU (Fig.l) selon la demande de brevet français No.86-08939 qui impliquent la constitution d une memoire de données reçues 90 par trois registres parallèles 900, 901 et 902 et correRativement l'adressage particulier en écriture-lecture de cette mémoire.
Le système de routage est composé d'une pluralité de circuits de routage reliés entre eux par des routes qui sont du même type que les bus de transmission et de réception BTl à BT A et BR1 à BR.
Chaque route est composée de 4096 voies multiplexées à division de temps occupant chacune un intervalle de temps de t0 = 244 relié ns pendant une trame T = 1 ms. Chaque circuit de routage est relié en entrée à une route à partir de laquelle le circuit de routage prélève des messages pour les retransmettre en sortie dans une route ou plusieurs routes en fonction des adresses de destinataire incluses dans les messages. Les circuits de routage, comme les étages ET1 à ETA, sont indépendants les uns des autres, c'est-à-dire complètement asynchrones, et comprennent chacun un circuit d'adressage de voies à la période de trame analogue au circuit i (Fig.3).En outre, dans chaque route de sortie d'un circuit de routage sont attribuées initialement un nombre prédéterminé de voies utiles inférieur à 4096, par exemple égal à 64, dans lesquelles voies sont insérés des messages prélevés dans la route d'entree.
Cependant, des messages d'une même communication ne sont pas obligatoirement transférés dans la même voie d'une route de sortie; en effet, les voies dans une route de sortie sont adressées cycliquement à la période de trame dans le circuit de routage, en commençant par l'adresse de rang ordinal O jusqu'au rang ordinal 409f, et un message est transféré dans la première voie libre de la route ayant le rang ordinal le plus bas après détection du message par le circuit de routage. I1 apparat ainsi que des messages transmis par un même équipement de raccordement à des instants t et t + T et relatif à une même communication transitent dans des voies différentes d'une route donnée et sont reçus par un équipement de raccordement destinataire à des instants dont la différence est T + AT, où #T désigne un glissement de phase variable fonction des rangs des voies empruntées par les messages au travers des différents registres de tri et de transfert pour atteindre l'équipement destinataire. Le glissement temporel en "accordéon" est en fait fonction de l'intensité du trafic dans les routes empruntées aux instants où les messages sont transmis dans ces routes respectivement. L'étude de ce phénomène de glissement aléatoire permet de démontrer mathématiquement qu'une inversion d'ordre chronologique de deux messages consécutifs ne peut se produire, dans les pires hypothèses de glissements successifs d'amplitude maximum, égal à 64 voies pour la réalisation décrite ici, et de même signe, qu'au delà de la traversée de 32 registres dans ce cas, soit pratiquement une douzaine de centres de transit.
Cependant, la probabilité de rencontrer dans une fenêtre de trame d'une milliseconde ces conditions maximales et de même signe se cumulant dans la traversée de ces 32 registres est pratiquement nulle ; il en résulte que
a) deux messages transmis successivement à t et t + T n'ont jamais leur ordre à la réception inversé, c'est-à-dire à la réception dans un équipement destinataire, le premier message transmis à t n'est pas reçu après le second message transmis à t +
T.
On démontre par ailleurs que
b) à la réception, au plus deux messages transmis successivement à t et t+T sont reçus pendant une période de trame
T ; il en résulte les deux corrollaires suivants
bl) si deux messages provenant d'un même équipement sont détectés pendant une période T dans un équipement destinataire, un ou aucun message provenant dudit même équipement peut seulement être reçu pendant la période de trame suivante
b2) à la réception, deux périodes T pendant chacune desquelles sont reçus deux messages successifs transmis par un même équipement, sont nécessairement espacées par une période T pendant laquelle aucun message de cet équipement n'est reçu.
Le circuit de contrôle en écriture-lecture 91 a ainsi pour rôle de réguler le flux des messages dans le bus BR destine à
a l'équipement EQb afin de les écrire dans la mémoire tampon 90 au rythme variable de leur réception et de lire dans cette mémoire les octets de données à la période constante d'échantillonnage de 125 ps correspondant au débit de base de 64 kbit/s d'une installation d'abonné.
Comme montré à la Fig.12, la mémoire tampon 90 est composée de trois registres à décalage identiques 90of 901 et 9C2 constitués chacun par huit registres à décalage d'octet à entrées parallèles reliées au sous-bus BMDR et à sorties séries reliées aux circuits
ET 941 et 942 (Fig.ll). Chacun des registres est propre à mémoriser un mot de données MDR ayant 64 bits, c'est-à-dire ayant 8 octets en parallèle inclus dans un message reçu MER, et.de retransmettre les octets mémorisés à la cadence de 125 ps sous la commande du signal d'horloge en écriture H2 appliqué à une entrée 90L. Un ordre d'écriture est applique à une entrée 90E de la mémoire 90, ainsi qu'à une entrée 91E du circuit 91, par la sortie de la porte 813 (Fig.1O) qui est à l'état "1", comme déjà dit, lorsque l'équipement n'est plus en phase d'appel mais est occupé par le communication d'arrivée ou de départ en cours, et lorsque le comparateur 80 détecte l'adresse de l'équipement EQ6 dans le sous-bus BADR (Fig. 10). Les ordres d'écriture et de lecture sont également appliqués à des décodeurs d'adresse d'écriture et de lecture 90AE et 90AL pour adresser respectivement et indépendamment des uns des autres les registres 900 à 902 Deux bus d'adresse 91AE et 91AL à deux fils sortant du circuit 91 délivrent aux décodeurs 90AE et 90AL des adresses à deux bits "00", "01" et "10" pour adresser respectivement les registres 900, 901 et 902.
Le circuit de contrôle de lecture-écriture 91 comprend un compteur d'adresse de lecture 910, deux transcodeurs d'adresse 911 et 912, un circuit logique d'adressage en écriture 913, et un circuit de correction de coincidence d'ordres d'écriture et de lecture 914.
Le compteur d'adresse de lecture 910 est un compteur modulo 3 ayant deux étages rythmes par le signal d'horloge H3 à la période de trame T et délivrant successivement les adresses de lecture de registre "00", "01" et "10" au circuit d'adressage 90AL et à des entrées des transcodeurs 911 et 912 à travers le bus 91AL.Le premier transcodeur 911 code l'adresse entrante "00", "01", "10" appliquée par le bus 91AL en une adresse suivante immédiatement "01", "10", "00" qui est appliquée à deux premières portes ET "tri-state" 913(j1. Dans le circuit 913, les portes 91301 sont ouvertes par une porte NON-ET à deux entrées 91311 pour transmettre l'adresse d'écriture sortante du transcodeur 911, décalée par rapport à l'adresse de lecture, dans le bus 91AE et écrire un mot de donnée MDR dans le registre 9 1' 9 2' 90O ayant une adresse succèdant à celle du registre 900 à 903 contenant un mot de donnée reçu normalement pendant la trame précédente.Le second transcodeur 912 code l'adresse entrante "00", "01", "10" appliquée par le bus 91AL en une adresse d'écriture suivante décalée de deux rangs, soit "10", "00", "01", qui est appliquée à deux secondes portes ET "tri-state" 91302 dans le circuit 913. Les portes 91302 sont ouvertes par une porte ET à deux entrées 91312 pour transmettre l'adresse sortante du transcodeur 912, décalée de deux rangs par rapport à l'adresse de lecture, dans le bus 91AE et écrire un mot de donnée MDR dans -le registre 902 > 90O 9 1 ayant une adresse décalée de deux rangs par rapport à celle du registre 900 à 903 contenant un mot de donnée reçu précédemment éventuellement pendant la même période de trame.
Le circuit logique d'adressage 913 comprend également un compteur moduo 3, 9132, deux portes ET à deux entrées 9133 et 9134, deux portes OU à deux entrées 9135 et 9136, un multiplieur d'impulsion par 2, 9137, une ligne de retard 9138 imposant un retard 1 typiquement de 30 ps, et une bascule monostable 9139 déclenchable sur front descendant et ayant une constante de temps e2, typiquement de 5 ps. Le compteur 9132 délivre cycliquement des adresses yx telles que "00", "01" et "10" par deux sorties reliées respectivement aux entrées de la porte OU 9135 et de la porte
NON-ET 91311 et reliées directement et à travers un inverseur 913I aux entrées de la porte ET 91312, en réponse à des impulsions d'horloge appliquées par une sortie de la porte ET 9133. La porte
ET 9134 a une entrée recevant le signal d'horloge H3 à travers une bascule monostable 9140 déclenchable sur front montant et ayant une constante de temps 82 > et une autre entrée reliée à la sortie de la porte OU 9135. La porte ET 9133 a une entrée reliée à un inverseur 9i41 inclus dans le circuit 914, et une autre entrée reliée à la sortie de la porte OU 9136 à travers la ligne de retard 9138.La porte OU 9136 a une entrée-reliée à la sortie de la porte ET 9134 à travers le multiplieur 9137, et une autre entrée reliée à la sortie d'ordre d'écriture de la porte 813 (Fig. 10) à travers la bascule monostable 9139.
Pour décrire le fonctionnement du circuit d'adressage 913, il est suppose que les impulsions de trame H3 et les ordres d'écriture de message délivrés par la porte 813 ne coincident pas ; une coincidence ayant une probabilité de, t0/T = 1/4096 faisant intervenir le circuit 914, et les composants 9138 et 9139 sera décrite dans la suite.En conséquence, on admet que pour une anticoincidence entre une impulsion H3 et un ordre d'écriture, l'inverseur 9141 dans le circuit 914 a une sortie à l'état "1" qui permet d'ouvrir la porte ET 9133 pour appliquer à l'entrée d'horloge du compteur 9132 des impulsions d'écriture délivrées par la bascule 9139 via la porte OU 9136, et des impulsions d'horloge H3, délivrées par la porte 9134, via le multiplieur 9.137, la sortie de la porte 9134 étant à "1" lorsque le compte yx du compteur 9132 est différent de "00".
A la mise sous tension, les sorties x et y du compteur 9132 sont à "O" ce qui bloque la porte ET 91322 et,débloque la porte
NON-ET 01311, cette dernière ouvrant les deux portes 91301 pour transmettre une adresse d'écriture de l'un des registres 900 à 902 > du transcodeur 911 au circuit d'adressage en écriture 90tE. Le premier mot de donnée MDR reçu à cet instant est écrit dans le registre 90,, ou 902 > ou 900, dont l'adresse succède à celle du registre en cours de lecture 900, ou 9 1 ou 902 > sous la commande du signal de lecture H2.On rappelle, en référence à la Fig.5, que les impulsions H2 ont une période T/8 = 125 ps et une largeur de 60 ps, inférieur à 125/2 ps, et assurent pendant chaque période de trame T déterminée par le signal H3 la lecture de 8 octets au débit d'origine de 64 kbit/s, et que la première impulsion H2 en début d'une période de trame T est déphasée de -n, ctest-à-dire de 125/2 = 62,5 ps, par rapport à l'impulsion H3 au début de la période T.
Si aucun autre mot MDR n'est reçu jusqu'à la première prochaine impulsion I13, cette impulsion H incrémente le compteur de lecture 910 d'une unité, et par suite, le circuit 90AL lit le registre où le premier mot reçu MDR a été écrit. L'ordre d'écriture du premier mot reçu MDR incremente le compteur 9132, via les portes 9136 et 9133, et par suite les sorties y et x du compteur 9132 sont à "O" et "1" ce qui débloque la porte OU 9135 pour incrémenter le compteur de deux unités grâce au multiplieur 9137, via les portes 9136 et 9133, en réponse à la première impulsion H3.Suite à cette première impulsion H3, le compte yx est à "00" ce qui ouvre à nouveau les portes 91311 et 91301 pour que le transcodeur 911 délivre une adresse de second registre suivant immédiatement celle du registre dans lequel le premier mot MDR est en cours de lecture.
Un second mot MDR reçu normalement pendant la période de trame succèdant à la première impulsion H3 est alors écrit dans le second registre. Cette procédure d'écriture-lecture normale est résumée en référence à deux mots MDR1 et MDR2 reçus pendant les deux premières périodes de trame montrées à la Fig. 13.
Par contre, si le second mot de données MDR est reçu avant que la première impulsion H3 soit produite et le premier mot MDR soit lu, le compte yx du compteur 9132 passe de "00" à "01" en réponse à l'ordre d'écriture du premier message, ce qui ouvre les portes 91312 et 91302 afin que le transcodeur 912 délivre une adresse de lecture décalée de deux unités par rapport à celle du registre où est écrit le premier message, adresse de lecture adressant le registre où est écrit le second message. Après l'écriture du second message, l'ordre d'écriture de ce second message incremente d'une unité le compteur 9132 dont le compte yx passe de "01" à "10" ce qui ferme les portes -de sélection de transcodeur 91311 et 91312.
Ceci signifie que dans le cas où le compte yx est égal à "10", aucune adresse d'écriture n'est marquée dans le circuit 90AE, ce qui correspond, comme déjà dit, au fait que l'on ne peut recevoir plus de deux messages dans une même trame et que, dans ce cas, la trame suivante ne comportera au plus qu'un seul message. Lorsque la première impulsion E3 est appliquée à la porte ouverte 9134, le compteur 9132 est incrémenté de deux unités et son compte passe de "10" à "01". Le compteur 910 délivre l'adresse de lecture du registre contenant le premier mot de données reçu, comme pour le cas normal, et puisque yx = "01", le transcodeur 912 peut délivrer l'adresse du troisième registre où ne se trouve ni le premier mot en cours de lecture, ni le second mot en attente de lecture. Si aucun troisième mot de données n'est reçu pendant la seconde trame, le compte xy passe à "00" en réponse à une seconde impulsion H3, et le cycle normal de lecture-écriture continue, en commençant par la lecture du second message reçu.
Les procédures d'écriture-lecture de deux mots de données reçus pendant une même période de trame et de deux mots de données reçus séparés par une période de trame ne comprenant pas de mots de données sont illustrées dans la Fig.13, en référence à deux mots
MDR3 et MDR4 et à deux mots MDR5 et MDR6.
I1 est à noter que si le compte yx du compteur 9132 est égal à "00" lorsqu'une impulsion H3 est appliquée à la porte 9134, cette dernière est bloquée grâce 2 la fermeture de la porte OU 9135, et le compte du compteur 9132 demeure inchangé jusqu'à l'écriture d'un prochain mot de données MDR.
En résumé, les trois comptes "00", "01", "10" du compteur 9132 indiquent respectivement qu'aucun mot de donnée n'est en instance de lecture, qu'un mot de donnée est en instance de lecture, et que deux mots de donnée sont en instance de lecture. Ainsi, le circuit logique d'adressage 913 régule les intervalles de temps séparant des mots de données, et plus généralement des messages reçus qui se succèdent, et le compteur 9132 indique par son compte yx le bilan des messages reçus écrits et lus.
Les ordres d'écriture délivrés par la porte 813 et les ordres de permutation circulaire des adresses de lecture H3 sont totalement indépendants. Leur colncidence conduit à fausser l'incrémentation du compteur 9132 et donc à sauter la lecture d'un mot de donnée MDR ou à enregistrer et lire deux fois le même mot
MDR à la suite de quoi, l'état du compteur peut redevenir normal.
La probabilité de cette coincidence est, en pratique, de 1/20000, les impulsions en cause ayant une durée de l'ordre de 50 ns à intervalle moyen d'une milliseconde. Cette probabilité est ici très élevée puisque la coincidence peut apparaître pratiquement à intervalle moyen de 20 secondes, et se traduire par un "bruit" en phonie et par une perte ou répétition d'un ensemble de 8 octets en télématique. Cela a donc rendu nécessaire la mise en oeuvre du circuit de correction de coincidence 914.
Comme montré à la Fig.12, le circuit 914 comprend également deux portes ET à deux entrées 9142 et 9143, une bascule monostable 9144 déclenchable sur front montant pour produire des impulsions calibrées ayant une durée 28riz typiquement égale à 60 ps, un circuit 9145 à trois bascules monostables en cascade pour produire une suite de trois impulsions, et une diode 9146. Les entrées de la porte ET 9142 sont reliées respectivement aux sorties des bascules monostables 9140 et 9139. La bascule 9144 a une entrée reliée à la sortie de la porte 9142, et une sortie reliée aux entrées du circuit 9145 et de l'inverseur 9141 du circuit 914, et à une entrée de la porte 9143.La porte 9143 a une autre entrée reliée à la sortie de la bascule 9145, et une sortie reliée à l'entrée d'horloge du compteur 9132 et à la sortie de la porte 9133, via la diode 9146.
On notera que le circuit 914, tout comme le circuit logique d'adressage 913, dispose pour son action d'un temps très supérieur à l'intervalle de temps t0 = 244 ns pendant lequel un message est présent dans le bus de réception ER > puisque l'intervalle moyen
a séparant deux ordres d'écriture est de l'ordre d'une milliseconde, et que l'action d'adressage en lecture par le circuit 90AL dispose du temps compris entre deux impulsions successives H3 et H2, soit 62,5 ps.
Une coïncidence entre une impulsion H3 et une impulsion d'écriture est détectée par la porte ET 9142 pour autant que cette coincidence corresponde à un chevauchement de ces deux impulsions pendant un temps supérieur au temps de fonctionnement de la porte 9142. Au niveau de la porte ET 9142, cette détection de coincidence précède celle qui est opérée par la porte OU 9136 dans le circuit logique d'adressage et qui est retardée par la ligne de retard 9138.La détection d'une colncidence par la porte ET 9142 déclenche la bascule monostable 9144 qui délivre une impulsion calibrée de durée 201. L'impulsion calibrée bloque la porte ET 9133, via l'inverseur 914], pendant un temps qui excède de 81 l'instant où une impulsion E3, multipliée en deux impulsions, et une impulsion d'écriture mêlées et transmises par la porte OU 9136 et la ligne de retard 9138 sont appliquées à la porte ET 9133.
Par tailleurs, l'impulsion calibrée délivrée par la bascule 9144 déclenche le circuit à trois bascules monostables 9145 qui délivre un train de trois impulsions, ayant une durée inférieure à 8î > qui correspond aux trois impulsions qui auraient incrémenté le compteur 9132 s'il n'y avait pas eu de coincidence. Le train de trois impulsions traverse la porte 9143 débloquée pendant la durée 281 et incrémentent donc le compteur 9132.L'impulsion d'ordre d'écriture en sortie de la porte 813 déclenche par son front descendant la bascule 9139 qui délivre une impulsion calibrée de largeur 82 = 5 uns De même, l'impulsion d'horloge H3 déclenche par son front montant la bascule 9140 qui délivre une impulsion calibrée de largeur 82 = 5 us. Ces impulsions calibrées sont réservées au seul circuit d'adressage 913. Dans ces conditions la valeur maximale de 81 de la durée des trois impulsions délivrées par le circuit à bascules 9145 est de 30 us Cette valeur 81 = 30 us est compatible avec le délai disponible de 62,5 us entre deux impulsions 113 et H2, signalé plus haut, et est telle que 281 = 60 us < 62,5 us.
Il est en effet nécessaire de faire choix de la plus grande valeur possible de manière que sur des liaisons à débit élevé la rÉduction, opérée comme on l'a vu, par le jeu des horloges H1 à HI (Fig.4) dont les périodes sont alors divisées par 2q, ne conduise pas à des valeurs trop faibles en regard des temps de fonctionnement des bascules. On vérifie en particulier qu'au plus haut débit de 64 kbit/s x 210, ces impulsions passent de 5 us à 5.2 10 ps = 4,8 ns compatibles avec des bascules fonctionnant à 3 ns.
Les débits de 64 x 211 kbit/s et 64 x 2 kbit/s ne relèvent pas d'un circuit logique d'adressage à trois adresses mais respectivement à deux et une adresse, et dont le résultat est obtenu pour ces deux cas par la neutralisation de fait du circuit logique d'adressage et du transcodeur 912. En effet, dans ces deux cas conformément à la démonstration faite, il n'est plus possible de réceptionner deux mots MDR à la fois dans un intervalle de lecture puisque deux messages consécutifs ne sont espacés que d'un seul intervalle pour le premier cas et d'aucun pour le second cas.
Or la réception de deux messages MER dans le même intervalle doit être suivie à un moment ou à autre d'un intervalle ne comportant aucun message ce qui dans les deux cas ne peut pas se produire.
Ceci s'explique autrement par le fait que l'amplitude du glissement est alors limitée à un intervalle de temps t0 pour le premier cas et zéro intervalle pour le second cas. Il y a donc synchronisation de fait. Comme déjà dit, tous les circuits et registres recevant des signaux d'horloge s'adaptent aux débits supérieurs à 2q x 64 kbit/s par les signaux d'horloge correspondant fournis par la base de temps 3.
Comme annoncé dans la description, on décrit maintenant, en référence à la Fig.14, un comparateur programmable CP utilisable de préférence dans les circuits d'un équipement de raccordement d'abonné et dans des circuits de routage du système de routage
SROU. Le comparateur CP est destiné à comparer un mot entrant ayant
E bits transmis en parallèle par un premier bus d'entrée CPA à E bits, avec un mot de référence ayant au plus E bits transmis en parallèle par un second bus d'entrée CPB à E fils. Plus précisemment, une comparaison de deux mots s'effectue par des comparaisons simultanées entre des bits de rangs prédéterminés dans le mot entrant et le mot de référence.Les rangs 1 à E des bits à comparer et des bits non à comparer ou "neutralisés" sont signalés respectivement par des états "O" et "1" sur des fils correspondants d'un troisième bus d'entrée CPN ayant E fils.
Le comparateur CP comprend E cellules identiques CEL1 à CELE qui comparent chacune deux bits de même rang dans les mots entrant et de référence et une porte ET de sortie CPE ayant E entres reliées respectivement à des sorties de portes OU à trois entrées
CPCU1 à CPOUE incluses dans les cellules CEL1 à CELE.

Une cellule, telle que la cellule CEL , où l'entier e est
e compris entre 1 et E, comprend une porte ET, CPET , et une porte
NON-OU, CPNO , ayant chacune deux entrées reliées aux fils respectifs des bus CFA et CPB transmettant le bit de rang e dans le mot entrant à comparer et le bit de rang e dans le mot de référence. Des sorties des portes CPET et CPNO sont reliées à
e e deux premières entrées de la porte CPOU . Une troisième entrée de
e la porte CPOU est reliée au fil respectif du bus CPN signalant par
e l'état "O" que les bits du rang e sont à comparer, et par l'état "1" que les bits du rang e ne sont pas à comparer. Selon une autre variante, les portes CPET et CPN0 sont remplacées par une porte
e e
NON-OU-Exclusif.
Si le fil respectif dans le bus CPN est à l'état "O", la porte
CPOU n'est ouverte que lorsque deux bits de rang e sont
e identiques. Les portes CPET et CPNO détectent respectivement
e e l'identité des deux bits à l'état "1" et à l'état "O", identité qui est traduite par "1" à l'une des deux premières entrées de la porte
CPOU et donc à la sortie de celle-ci. Dans le cas contraire, où
e les deux bits sont différents, la sortie de la porte CPOU est à
e l'état "O".
Si le fil respectif du bus CPN est à l'état "1", la sortie de la porte CPOU est à l'état "1" quels que soient les états des bits
e de rang e.
La sortie CPS de la porte CPE indique ainsi à l'état "1" que tous les bits comparés dans le mot entrant et le mot de référence sont respectivement identiques, et par l'état "O" qu 'au moins l'un des bits du mot entrant comparés est différent de celui dans le mot de référence ayant le même rang, puisque les bits non à comparer imposent un état "1" à la sortie de la porte respective CPOU1 à CLOUE
En particulier, lorsque le mot entrant est un mot binaire à E = 64 bits obtenu par codage binaire décimal de CH = 16 chiffres ou caractères d'un numéro entrant, en CH mots binaires à 4 bits, comme par exemple pour le numéro d'appel mémorisé sous la forme du mot d'adresse de destinataire ADT dans l'enregistreur 614CO (Fig. 7), le bus CPN ne comprend alors que CH fils reliés respectivement à CH ensembles de E/CH = 4 cellules. Chaque ensemble de cellules est propre à comparer deux mots de caractère ayant le même rang dans le numéro entrant et un numéro de référence.
La répartition des états "1" et "O" dans les fils du bus CPN peut être choisie de n'importe quelle manière, par exemple pour ne comparer que des bits ou mots de caractère de rang inférieur ou supérieur, correspondant par exemple à un préfixe ou à un suffixe du mot entrant, indiquant une route d'acheminement de message, ou à un ensemble de bits ou mots de caractères ayant des rangs quelconques dans le mot entrant. Ainsi, non seulement le mot de référence est programmable mais également les états des fils du bus
CPN indiquant les rangs des bits ou ensembles de bits à comparer.
On notera que le comparateur programmable CP est réalisable en circuit intégre et offre une très grande rapidité de fonctionnement, quel que soit le nombre des bits à comparer, le resultat de la comparaison étant obtenu en au plus 15 ns environ.
Le comparateur CP décrit ci-dessus est ainsi utilisable selon l'invention en tant que comparateurs d'adresse 331 à 33I inclus dans la base de temps 3 (Fig.4), comparateurs de préfixe 201 à 20p inclus dans le circuit de comparaison de préfixe et détermination de format 2 (Fig. 8), comparateur d'octet 740 inclus dans le circuit de détection de silence 74 (Fig. 9), comparateur de mot de service 752 inclus dans le circuit de stabilisation et transmission de mot de service 75 (Fig. 9), et comparateur de mot de service d'appel 823 et comparateur d'adresse d'équipement destinataire 80 inclus dans le circuit de traitement des appels (Fig. 10). Les bus d'entrée CPA,
CPB et CPN et la sortie CPS du comparateur CP correspondent aux bus et sorties des comparateurs précités en remplaçant "CP" par les numéros de référence des comparateurs précités respectivement.

Claims (27)

REVENDICATIONS
1 - Equipement de raccordement (EQb) dans un autocommutateur téléphonique numérique raccordant une ligne téléphonique d'abonné (las) à des premier et second support de transmission (BTB, BR ) convoyant des premiers et seconds messages (MET, MER) multiplexés à division du temps, l'équipement recevant de la ligne (LAb) des signaux notamment de données pour les convertir en des premiers messages (MET) transmis périodiquement à raison d'un premier message par intervalle de temps (ITb, 113) alloué à l'équipement dans une trame (T) du premier support (BT ), et l'équipement détectant des seconds messages (MER) qui lui sont destinés dans le second support (BRa) pour notamment les convertir en des signaux transmis dans la ligne (LAb), les premiers et seconds messages (MET, MER) étant susceptibles d'être reçus et transmis par d'autres équipements de raccordement asynchrones dudit équipement (EQb) > caractérisé en ce qu'il comprend
des moyens (6) pour détecter et enregistrer une adresse d'équipement destinataire (ADT) délivrée par la ligne (las) afin de la transmettre avec des premiers messages (MET) pendant toute une communication de départ,
des moyens (71, 72) pour transmettre une adresse dudit équipement (AEQb = MDT) avec des premiers messages (MET) pendant une séquence d'appel d'une communication de départ,
des moyens (80) pour détecter l'adresse dudit équipement (ADR = AEQb) dans des seconds messages (MER) convoyés par le second support (BR), et
des moyens (83, 84, 85) pour enregistrer une adresse d'équipement destinataire (MDR) dans des seconds messages (MER) contenant l'adresse dudit équipement (ADR = AEQb) et pour transmettre l'adresse d'équipement destinataire enregistrée (MDR =
ADT) avec des premiers messages (MET) pendant toute une communication d'arrivée.
2 - Equipement conforme à la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens pour détecter et enregistrer une adresse d'équipement destinataire (6) comprennent des moyens (60) pour coder sous forme d'un mot d'adresse binaire (ADT) des signaux à multifréquence représentatifs de l'adresse d'-équipement destinataire et délivrés par la ligne (las), des moyens (614ci) pour mémoriser le mot d'adresse binaire, et des moyens (617) pour lire et transmettre le mot d'adresse binaire mémorisé (ADT) dans le premier support (BTa) en réponse aux intervalles de temps (ITb) alloués à l'équipement (EQb) dans la trame (T).
3 - Equipement conforme à la revendication 2, caractérisé en ce que les moyens pour détecter et enregistrer une adresse d'équipement destinataire (6) comprennent des moyens (62, 2) pour valider un mot d'adresse binaire mémorisé (MDT) afin d'autoriser les lecture et transmission dudit mot d'adresse binaire lorsque celui-ci est validé.
4 - Equipement conforme à la revendication 3, caractérisé en ce que les moyens pour valider comprennent des moyens (621, 623, 622) pour prélever des bits de rangs prédéterminés dans le mot d'adresse binaire mémorisé (ADT), et des moyens (201 à 20p) pour comparer les bits prélevés à des mots prédéterminés (préfixes) en vue d'autoriser les lecture et transmission dudit mot d'adresse binaire lorsque celui-ci est identique à l'un des mots prédéterminés.
5 - Equipement conforme à la revendication 3 ou 4, caractérisé en ce que les moyens pour valider comprennent des moyens (621, 623, 622) pour prélever une partie (préfixe) du mot d'adresse binaire mémorise (ADT) indiquant implicitement le nombre de bits que doit contenir le mot d'adresse binaire, des mémoires (222 à 2216) mémorisant des nombres prédéterminés de bits (f 2 à f16) que doivent contenir les mots d'adresse d'équipement binaire respectivement, et des moyens (201 à 20p) pour lire l'un desdits nombres prédéterminés en fonction de la partie du mot d'adresse prélevée en vue d'autoriser les lecture et transmission dudit mot adresse binaire lorsque celui-ci a un nombre de bits égal au nombre prédéterminé lu (2 à f16).
6 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que l'adresse d'équipement destinataire (ADT) transmis avec chaque premier message (MET) d'une coninunication de départ correspond au numéro d'appel téléphonique de la ligne d'abonné (las), de préférence après codage binaire décimal de ce numéro d'appel.
7 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérise en ce que l'adresse d'équipement destinataire (ADT) est délivrée dans la ligne d'abonné (LAb) sous la forme de signaux à multifréquence modulant des impulsions ayant une première largeur prédéterminée (ATco) et en ce que les moyens pour détecter et enregistrer (6) comprennent des moyens (611cl) pour valider ladite adresse lorsque des impulsions délivrées par la ligne ont ladite largeur prédéterminée.
8 - Equipement conforme à la revendication 7, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (61SE) pour détecter et enregistrer des mots de service annexe (SE) délivrés par la ligne d'abonné (las) sous la forme de signaux à multifréquence modulant des impulsions ayant une seconde largeur prédéterminée (AtsE) différente de la première largeur (AtCo).
9 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que les moyens pour transmettre l'adresse dudit équipement comprennent une mémoire (71, 72) contenant l'adresse dudit équipement (AEQb) et des moyens (73) pour lire ladite mémoire (71, 72) en réponse à chaque intervalle de temps (ITb, H3) alloué à l'équipement (EQB) dans les trames (T) et pendant une séquence d'appel de communication de départ (4lapdé) débutant par un signal de décrochage délivré par la ligne (L ).
10 - Equipement conforme à la revendication 9, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (70) pour mémoriser des mots de donnée (MDT) délivrés par la ligne (las), le cas échéant à travers un décodeur et/ou convertisseur analogique-numérique (76), et en ce que les moyens pour lire (73) lisent des mots de donnée mémorisés en réponse à chaque intervalle de temps (ITb, E3) après une séquence d'appel de communication de départ ou d'arrivée.
11 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que le premier support (BTa) comprend un sous-support (BMDT) dans lequel sont transmis l'adresse d'équipement destinataire (ADT) et des mots de donnée délivrés par la ligne (las) pendant une séquence d'appel d'une communication de départ et après une séquence d'appel de communication de départ ou d'arrivée, respectivement.
12 - Equipement conforme à la revendication 10 ou 11, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (74) pour inhiber des transmissions de premiers message de données (MET) après établissement d'une communication, lorsque des données délivrées par la ligne (las) appartiennent à une ou plusieurs plages de données prédéterminées (plages de silence).
13 - Equipement conforme à la revendication 12, caractérisé en ce que les plages de données prédéterminées sont des plages de silence correspondant à des niveaux de quantification prédéterminés d'une loi de quantification selon laquelle sont codées numériquement les données.
14 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (40, 75) pour établir des mots de service (BSVT) identifiant des séquences de communication et les introduire dans les premiers messages (MET) transmis par ledit équipement (EQb), et des moyens (92, 44) pour traiter des mots de service (BSVR) dans les seconds messages reçus (MER) contenant l'adresse dudit équipement (EQb).
15 - Equipemeut conforme à la revendication 14, caractérisé en ce que les moyens pour établir et introduire des mots de service comprennent des mémoires de mot de service (40), des moyens (43) pour lire les mémoires de mot de service en réponse à des signaux de séquence de communication délivrées par des moyens (6, 8,- 9) internes à l'équipement (EQb) et à des mots de service reçus (BSVR) respectivement, et des moyens (75) pour transmettre chaque mot de service (SVT) dans un intervalle de temps (ITb) de trame alloué à l'équipement, quel que soit l'instant de lecture du mot de service.
16 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 15, caractérisé en ce que les moyens pour enregistrer et transmettre (83, 84, 85) comprennent des moyens (831) pour enregistrer l'adresse d'équipement destinataire en réponse à un second message d'appel transmis par 11 équipement destinataire lorsque ledit équipement (EQb) est libre de toute communication, une mémoire (832) contenant un mot de service d'equipement libre, et des moyens (833, 834) pour lire et introduire dans des premiers messages (MET) ladite adresse d'équipement destinataire enregistrée et ledit mot de service d'équipement libre mémorisé, en réponse à des intervalles de temps (ITb, 113) alloués audit équipement (EQb) pendant les trames (T) et respectivement pendant toute une communication d'arrivée (4lapar) et pendant la séquence d'appel d'une communication d'arrivée (41ar) lorsque ledit équipement (EQb) est libre de toute communication avant ladite séquence d'appel.
17 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 16, caractérisé en ce que les moyens pour enregistrer et transmettre (83, 84, 85) comprennent des moyens (840) pour enregistrer une adresse d'équipement demandeur en réponse à un second message d'appel transmis par l'équipement demandeur lorsque ledit équipement (EQb) est occupe par une communication en cours, une mémoire (841) contenant un mot de service d'équipement occupé, et des moyens (852, 854) pour lire et introduire dans des premiers messages (MET) ladite adresse d'équipement demandeur enregistrée et ledit mot de service d'équipement occupé mémorisé, en réponse à des intervalles de temps (ITb, H3) alloués audit équipement (EQb) pendant les trames (T) et pendant des intervalles de silence d'amplitude prédéterminée de ladite communication en cours.
18 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 17, caractérisé en ce que les moyens pour enregistrer et transmettre (83, 84, 85) comprennent des moyens (840) pour enregistrer une adresse d'équipement demandeur en réponse à un second message d'appel transmis par l'équipement demandeur lorsque ledit équipement (EQb) est occupé par une communication en cours, une mémoire (855) contenant une adresse d'équipement de transfert lorsque ledit équipement (EQb) est groupé avec l'équipement de transfert ou lorsque ledit équipement (EQb) dessert un abonné absent pour lequel des communications d'arrivée sont à transférer vers l'équipement de transfert, une mémoire (856) contenant un mot de service de transfert d'équipement, et des moyens (853, 854) pour lire et introduire dans des premiers messages (MET) ladite adresse d'équipement demandeur enregistrée, ladite adresse d'équipement de transfert et ledit mot de service de transfert en réponse à des intervalles de temps (ITb, H3) alloués audit équipement (EQb) pendant les trames (T? et pendant des intervalles de silence d'amplitude prédéterminée d'une communication en cours lorsque ledit équipement est groupé, ou à tout instant lorsque ledit abonné est absent.
19 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 18, caractérisé en ce qu'il comprend
des moyens (90, 91) pour mémoriser des mots de données (MDR) dans des seconds messages (MER) destinés a l'équipement après une séquence d'appel d'une communication,
des moyens (92) pour mémoriser des mots de service de séquence de communication (SVR) dans les seconds messages (MER) destinés à 1' équipement,
des moyens (82) pour détecter des mots de service de séquences d'appel de communication d'arrivée dans les seconds messages, et
des moyens (81) reliés aux moyens pour détecter l'adresse dudit équipement (80) et aux moyens pour détecter des mots de service de séquence d'appel (82) pour commander 1' écriture d'un mot d'adresse de destinataire (MDR) dans lesdits moyens pour enregistrer et transmettre (83, 84, 85) en réponse à un mot de service de séquence d'appel et à l'adresse dudit l'équipement (SEQb) dans un second message, et pour commander l'écriture d'un mot de donnée et d'un mot de service, lorsque celui-ci est différent d'un mot de service de séquence d'appel, dans un second message (AEQb) dans lesdits moyens pour mémoriser (90, 91, 92) en réponse à l'adresse dudit équipement dans le second message.
20 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 19, caractérisé en ce que les seconds messages (MER) destinés audit équipement (EQb) ont un flux variable dans le second support de transmission (BRa) et en ce que deux seconds messages successifs destinés audit équipement dans le second support de transmission (3Ra) sont reçus par l'équipement (EQb) pendant deux périodes de trame (T) successives, ou pendant une même période de trame, ou pendant deux périodes de trame espacées d'une période de trame, lesdites périodes de trame déterminant la périodicité des intervalles de temps periodiques (ITb) au cours desquels les premiers messages sont transmis par ledit équipement dans le premier support (BTb).
21 - Equipement conforme aux revendications 19 et 20, caractérisé en ce que les moyens pour mémoriser des mots de données (90, 91) comprennent une mémoire tampon (90) pour mémoriser les mots de donne reçus, des moyens (9OAE, 911, 912, 913, 914) pour écrire les mots de donnée reçus dans la mémoire tampon en réponse à des ordres d'écriture de mots de données et de service (813) fournis en fonction dudit flux variable des seconds messages destinés audit équipement (EQb) par les moyens pour commander ltecriture (81), et des moyens (90AL, 910) pour lire des parties (octets) des mots de donnée écrits, à une période (H2) d'échantillonnage de signaux transmis dans la ligne téléphonique (L)-
22 - Equipement conforme aux revendications 19 et 20, caractérisé en ce que les moyens pour mémoriser des mots de donnée (.90, 91) comprennent trois registres tampons en parallèle (900, 90,, 902) pour mémoriser chacun un mot de donnée, des moyens (910) pour produire trois adresses de lecture des registres cycliquement toutes les trois périodes de trame (T), des moyens (90AL) pour lire des parties (octets) d'un mot de donnée écrit dans un registre adressé en lecture à une période d'échantillonnage (H2) de signaux transmis par la ligne téléphonique (Li), des moyens (911, 912) reliés aux moyens pour produire les adresses de lecture (910) pour produire des premiere et seconde adresses d'écriture de registre correspondant aux deux autres registres tampons qui ne sont pas en cours de lecture pendant chaque période de trame, des moyens (90AE) pour écrire un mot de donnée (MDR) dans l'un des deux registres qui n'est pas en cours de lecture en réponse à un ordre d'écriture de mots de donnée et de service (813), et des moyens (913, 914) interconnectés aux moyens pour produire des adresses d'écriture (911, 912) et aux moyens pour écrire (90AE), pour sélectionner l'adresse d'écriture de l'un desdits deux registres qui n'est pas en cours de lecture et, qui ne contient pas de mots de donnée en réponse à un ordre d'écriture de mots de données et de service.
23 - Equipement conforme à la revendication 22, caractérisé en ce que les moyens pour sélectionner (913, 914) comprennent des moyens (914, 9133, 9138) pour retarder la sélection de l'adresse d'écriture d'un desdits registres lorsqu'un ordre d'écriture (813) coïncide sensiblement avec un instant de début de lecture (R3) d'un autre registre.
24 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 19 et 21 à 23, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (94, 93) pour transmettre dans la ligne téléphonique (las) des mots de données (EDR) lus dans les moyens pour mémoriser des mots de données (90, 91) après une séquence d'appel de communication, les moyens pour transmettre transmettant les mots de données soit à travers un convertisseur parallèle-série et/ou un codeur (944), soit à travers des moyens (945, 946) modulant des impulsions en durée en fonction de parties (octets) des mots de données lus (MDR).
25 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 24, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (93) pour injecter dans la ligne téléphonique (las) ) des signaux de signalisation (93E) en fonction de l'état ouvert ou fermé de la ligne (431) et de signaux de signalisation (41, 93C) transmis par la ligne et sous la forme de mots de service (SVR) inclus dans des seconds messages (MER) destinés audit équipement et indiquant des séquences d'une communication.
26 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 25, caractérisé en ce qu'il est inclus dans un ensemble (ETa) de plusieurs équipements de raccordement synchrones (EQ1 à EQB) reliés auxdits premier et second supports de transmission (BT,
BR ), ledit ensemble (ET ) comprenant des moyens (1) pour adresser
a a à la période de trame (T) lesdits équipements afin d'allouer à chacun d'eux un ou plusieurs intervalles de temps respectifs (IT1 à
ITB) en fonction du débit des signaux transmis dans la ligne téléphonique (LA1 à L) raccordée à l'équipement (EQ1 à EQB), et chacun desdits équipements comprenant une base de temps (3) rythmée en fonction d'une adresse de l'équipement (1 à B) délivrée pendant les intervalles de temps respectifs par les moyens pour adresser les équipements (1) afin de produire des signaux d'horloge (H1 à HI) propres à l'équipement en réponse à l'adresse de l'équipement (1 à B) dans chaque intervalle de temps respectif (IT1 à ITB).
27 - Equipement conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 27, caractérisé en ce que le débit de l'équipement est égal à 2ex64 kbit/s, où q est un entier compris entre 0 et 12 inclus.
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CN114329644A (zh) * 2021-11-17 2022-04-12 芯华章科技股份有限公司 对逻辑***设计进行加密仿真的方法、设备及存储介质

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