FR2584120A1 - Ossature secondaire de support pour enveloppe mince de facade ou bardage - Google Patents

Abstract

CHAQUE COLONNE C EST CONSTITUEE PAR DES PROFILS 1, 6 D'UNE LONGUEUR EGALE A LA HAUTEUR D'UN ETAGE ET RELIES LES UNS AUX AUTRES PAR UN AMENAGEMENT PERMETTANT LE VERROUILLAGE DE CHAQUE PROFIL 1, 6 PAR RAPPORT AU PRECEDENT AU MOYEN DE PATTES DECOUPEES DANS L'AME DE CHAQUE PROFIL 1, 6 PUIS CES COLONNES SONT FIXEES A LA STRUCTURE PORTEUSE PAR UN DISPOSITIF A PINCE 10 OU BRIDE ET DES PONTETS 16 REGLABLES DANS DEUX DIRECTIONS, LES AILES DES PROFILS 1, 6 ETANT BLOQUEES DANS DES FENTES 20 DES PONTETS, FINALEMENT LES COLONNES C ASSURANT LA TENUE DE L'ENVELOPPE MINCE OU BARDAGE SOIT PAR AGRAFAGE, CLOUAGE OU VISSAGE, OU PAR DES ECARTEURS POUVANT COULISSER VERTICALEMENT ET FIXES PAR DEFORMATION ELASTIQUE SUR LES AILES DES PROFILS 1, 6 CES ECARTEURS PRESENTANT SUR LEUR FACE AVANT UNE DECOUPE EN U PERMETTANT LA MISE EN PLACE DE CROCHETS OU AGRAFES DONT LES EXTREMITES AVANT LIBRES SONT NOYEES DANS LES ZONES DE JONCTION DES ELEMENTS MACONNES CONSTITUANT LE BARDAGE, LA DISTANCE SEPARANT LA STRUCTURE PORTEUSE DU BARDAGE ETANT OCCUPEE EN PARTIE PAR UN ISOLANT THERMIQUE ET PHONIQUE ET EN PARTIE PAR UNE LAME D'AIR VENTILEE.

Description

La présente invention a pour objet une ossature secondaire destinée à supporter une enveloppe mince de façade ou bardage.

On connait déjà les procédés d'enveloppe mince de façade à lame d'air ventilée, dont le développement est favorisé par l'accroissement des exigences d'isolation thermique et par l'emploi de techniques de construction à ossature ou à refends porteurs.

Ces enveloppes minces doivent être appuyées sur une ossature secondaire dont le rôle essentiel est de reporter les efforts du vent sur la structure principale du bâtiment.

En plus, cette ossature doit répondre aux impératifs suivants
- s'adapter aux différents types de structure principale du bâtiment (murs - ossature ou refends porteurs),
- autoriser une pose de l'enveloppe mince ou bardage dans un plan rigoureusement vertical, tout en se fixant sur une structure principale qui présente très souvent des défauts de planéité et d'aplomb,
- s'adapter aux différents types d'enveloppe mince-ou bardage autoportante ou non,
- accepter
soit un isolant thermique extérieur (cas d'une structure principale à murs porteurs) tout en assurant la présence d'une lame d'air ventilée entre l'isolant et le bardage
soit éventuellement la fixation d'une cloison de doublage (cas d'une structure principale à ossature ou refends porteurs)
- admettre des dilatations différentielles entre la structure principale et le bardage, sans apparition d'aucun désordre,
- enfin, permettre une pose simple et rapide, sans outillage particulier.

On connaît déjà des structures d'ossature, mais aucune ne répond de façon entièrement satisfaisante à la totalité des impératifs ci-dessus.

La présente invention remédie à ces inconvénients en créant une ossature de support pour bardage qui peut être montée, d'une façon facile, à l'aide d'organes de fixation, que l'on rend solidaires des murs existants dans des positions bien définies ou, qui peuvent être fixés sur des nez de plancher dans le cas de nouveaux bâtiments, ce dispositif de fixation acceptant un certain jeu pour le montage rapide, aisé et sans outils.

Conformément à l'invention, cette ossature est constituée de colonnes verticales C situées à une certaine distance de la structure du bâtiment sur une ou plusieurs de ses forces, cette ossature reposant sur une semelle prévue dans le sol étant caractérisée en ce que chaque colonne C est constituée par des profils d'une longueur généralement égale à une hauteur d'étage et reliés les uns aux autres par un aménagement de leurs extrémités permettant sans aucun outillage particulier le verrouillage de chaque profil par rapport à celui qui lui est associé au moyen de pattes découpées dans l'âme de ces profils, ces colonnes étant fixées à la structure principale du bâtiment au moyen de dispositifs à pince ou bride et pontets réglables dans deux dimensions, les ailes des profils pouvant coulisser verticalement et se bloquer dans des fentes des pontets, ces colonnes C assurant enfin la tenue de l'enveloppe mince ou bardage, fixée aux profils qui peuvent être du type connu dans le commerce sous la dénomination CLOOFIX soit par agrafage, clouage, vissage ou rivetage, soit par l'intermédiaire d'écarteurs pouvant coulisser verticalement et se bloquer sur les ailes des profils, ces écarteurs présentant sur leur forceavant une découpe permettant la mise en place de crochets ou agrafes dont les extrémités libres peuvent être noyées dans les zones de jonction des éléments maçonnés constituant le bardage, la distance séparant le nez de plancher ou le mur du bardage étant occupée en partie par un isolant thermique et phonique, et en partie par une lame d'air ventilée.

Diverses autres caractéristiques de l'invention ressortent d'ailleurs de la description détaillée qui suit.

Une forme de réalisation de l'objet de l'invention est représentée à titre d'exemple non limitatif, au dessin annexé.

La fig. 1 est une perspective des extrémités complémentaires de deux profils destinés à constituer une colonne.

Les fig. 2 et 3 sont des élévations latérales et de face des deux profils réunis pour former une colonne.

La fig. 4 est une vue en plan, partie en coupe, dlun dispositif de liaison pour bardage en éléments maçonnés positionné sur une colonne.

La fig. 5 est une vue en perspective à plus grande échelle partielle de la fig. 4.

La fig. 6 est une vue en perspective d'un support fixé sur un mur porteur.

La fig. 7 est une vue en plan, partie en coupe, correspondant à la fig. 6.

La fig. 8 est une vue en perspective d'un support fixé sur un nez de plancher pour un bâtiment à ossature ou refends porteurs.

La fig. 9 est un plan correspondant à la fig. 8 montrant la fixation d'un profil sur le support de la fig. 8.

La fig. 10 est une vue en perspective d'un bardage maçonné en cours de réalisation à l'aide de l'ossature secondaire, objet de l'invention (cas d'un bâtiment avec murs porteurs).

La fig. 11 montre un détail de l'ossature secondaire pour bâtiment à ossature ou refends porteurs en cours de montage.

A la fig. 1, on a représenté deux éléments de profils verticaux.

Comme on peut s'en rendre compte, il s'agit de profils connus dans le commerce sous la dénomination CLOOFIX, constitués de deux profilés en C 1, la accolés par leur âme. Le profilé 1 présente un prolongement 2 légèrement renvoy6.Dens son âme 3 est pratiquée une découpe 4 dont la patte 5 est redressée à 90".

De même, le profilé 6a présente un prolongement 6b légèrement renvoyé dont l'âme 7 comporte une découpe 8 dont la patte 9 est renvoyée à 900.

Lorsque par un mouvement latéral on commande comme le montrent les fig. 2 et3 le profil supérieur 1, la sur le profil inférieur 6, 6a le prolongement 2 s'emboîte sur la partie supérieure de l'élément 6, le prolongement 6b s'emboîte sur la partie inférieure de l'élément la et les pattes 5 et 9 pénètrent dans les découpes 8 et 4. Il suffit ensuite d'exercer un mouvement vertical pour verrouiller les profils l'un sur l'autre. On obtient ainsi une colonne C de deux éléments permettant, de ce fait, d'atteindre le niveau supérieur du premier étage d'un bâtiment puisque chaque profil 1 ou 6 a une hauteur égale à un étage.

Bien entendu, les colonnes ainsi constituées sont placées à leur base sur une semelle rigide, par exemple, un soubassement en béton armé ou même il peut être prévu des dispositifs de verrouillage solidaires de la semelle en béton armé afin d'assurer une grande rigidité des colonnes qui sont bien évidemment disposées verticalement et à une distance constante les unes des autres le long des façades à revêtir par bardage à une certaine distance de ces façades.

La distance séparant les façades des colonnes est déterminée à l'avance pour permettre de ménager l'espace nécessaire à une lame d'air ventilée et en général à un isolant thermique entre le mur de façade (mur porteur ou nez de plancher) et la face interne du bardage.

Comme on peut le voir aux fig. 6 et 7, lorsque les colonnes C sont en place, elles sont reliées aux murs porteurs par des pinces 10 qui sont composées, à chaque face, d'une pièce 11 en L-présentant sur sa partie verticale arrière, une boutonnière 12 destinée à laisser le passage à un organe de fixation de la pince 10 sur le mur M (voir fig. 7).

La boutonnière 12 permet donc de régler exactement la position de la pince 10 à l'endroit voulu puisque l'on peut faire coulisser cette pince par rapport à l'organe de fixation.

La pièce 11 en L se prolonge horizontalement par deux pattes 13, 14 en U dont la surface supérieure comporte une denture 15.

Chaque pince recoit, sur ses pattes 13, 14 un pontet 16 à section en U dont les ailes verticales 17 sont percées de trous 18 destinés au passage d'une clavette 19 que l'on met en place lorsque, dans une fente 20 découpée dans la face avant du pontet 16 en créant ainsi des pattes redressées 21, 22 on introduit les ailes 1c, ld, 6c, 6d des profilés 1 et 6 formant les colonnes C.

On obtient ainsi par coincement des ailes îc, ld, 6c, 6d ... des colonnes C dans les fentes 20, un maintien sûr de ces colonnes de distance en distance dans le sens vertical et dans le sens horizontal puisque les pinces 10 sont réparties suivant une disposition en quadrillage vertical et horizontal sur le mur M.

Bien entendu, les déformations triangulaires ou stries 23 prévues sur la surface supérieure du pontet 16 coopérent avec les dentures 15 des pattes 13, 14 des pièces en L.

Avant la mise en place de la clavette, il est possible de placer exactement le pontet 16 pour assurer la verticallité des colonnes.

Celles-ci reçoivent, sur le côté opposé aux pinces 10 et comme le montrent les fig. 4 et 5, des écarteurs 25 ayant en section une forme de parallélogramme. Ces écarteurs 25 viennent s'appuyer sur le devant des ailes le, 1f des profils
De plus, les écarteurs 25 sont guidés à leur partie arrière 25a, 25b par des talons 34 et sont accrochés sur les ailes le, 1f, 6e, 6f des profils par des pattes 26 en L ménageant des découpes 28 enserrant fermement les ailes extérieures des profils. La mise en place d'un écarteur 25 sur le profil se fait à un endroit quelconque, en le présentant obliquement de façon à engager les pattes 26 derrière les ailes le, if du profil et en le tournant dans le sens des aiguilles d'une montre en appuyant légèrement.

L'encliquetage est automatique et l'on peut ensuite faire coulisser l'écarteur 25 jusqu'à l'endroit désiré.

La face avant des écarteurs 25 est découpée par une ouverture 29 en U de façon à rabattre deux petites pattes 30, 31 destinées à supporter des crochets ou épingles 32 en U dont les branches terminales 32a, 32b sont pliées à angle droit soit horizontalement soit verticalement. Ces crochets ou épingles 32 sont retenus par la patte 33 restée verticale. Leur forme peut d'ailleurs être différente pour s'adapter à tous les types de bardage rencontrés.

Dans le cas d'un bâtiment à ossature ou refends porteurs il est prévu sur les nez de planchers des décaissés 40 dans lesquels peuvent être aisément fixées des brides 41 à section en U dont les ailes avant verticales 41a, 41b comportent des dentures 42 destinées à coopérer avec des pièces ou pontets 43 à section en U et présentant dans le fond horizontal 43a des stries longitudinales destinées à coopérer avec les dentures 42.

La bride 41 est fixée par l'intermédiaire d'un organe de maintien passant à travers le trou 45 et fixée sur la face du décaissé 40. De plus et comme dans le cas précédent, la pièce 43 présente à sa partie avant une zone redressée 43a qui est découpée en son centre d'une fente 36 délimitant ainsi deux ailes 47, 48 qui viennent enserrer les ailes verticales des profils comme le montrent les fig. 8 et 9. Pour obtenir comme dans le cas précédent, une verticalité parfaite des colonnes, il suffit de régler la position des pièces 43 par rapport à la bride 41, ce qui permet tous les réglages dans deux directions de la bride pour assurer une parfaite position de chaque colonne C.

Comme dans le cas précédent, ces profils supportent sur leurs autres côtés tournés vers le bardage des écarteurs 25 sur lesquels viennent se placer des crochets 32.

Comme on peut le voir à la fig. 10, lorsque les colonnes C sont en place, il est possible de placer contre le mur M un isolant phonique et thermique Ip, par exemple de la laine de verre, de la laine de roche ou un produit expansé synthétique puis de monter le bardage P1 à l'aide d'éléments divers par exemple des briques ou autres 50.

Les crochets ou épingles 32 sont noyés dans les zones de jonction des briques 50 et servent donc à les tenir verticalement en assurant également une bonne tenue au vent du bardage.

Comme cela est visible, en particulier à la fig. 5, les faces inférieures 25b et supérieure 25a des écarteurs 25 est inclinée de façon à permettre l'évacuation de l'eau vers l'extérieur (la présence de cette eau pouvant résulter de condensations ou d'infiltrations au travers du bardage) la récupération de cette eau étant assurée de manière classique par des rigoles ou bavettes disposées généralement au niveau de chaque plancher.

Le montage de l'ossature secondaire de support de bardage se fait donc sans outils, est très facile et permet une pose rapide peu onéreuse et de très bonne qualité du bardage.

Cet ensemble absorbe efficacement les dilatations différentielles entre le bardage et la structure du bâtiment.

On peut également utiliser dans certains cas des profilés de sections diverses permettant de renforcer, par une augmentation des cotes, la solidité de l'ossature secondaire sans pour cela augmenter considérablement le prix de revient.

Claims (6)

REVENDICATIONS

1 - Ossature secondaire de support pour enveloppe mince de façade ou bardage pour bâtiments divers, constituée de colonnes verticales C, situées à une certaine distance de la structure du bâtiment sur une ou plusieurs de ses faces, cetté ossature reposant sur une semelle prévue dans le sol étant caractérisée en ce que chaque colonne C est constituée par des profils (1, 6) d'une longueur généralement égale à une hauteur d'étage et reliés les uns aux autres par un aménagement de leurs extrémités permettant sans aucun outillage particulier le verrouillage de chaque profil par rapport à celui qui lui est associé au moyen de pattes découpées dans l'âme de ces profils, ces colonnes étant fixées à la structure principale du bâtiment au moyen de dispositifs à pince (10) ou bride (41) et pontets (16, 43) réglables dans deux dimensions, les ailes des profils (1, 6) pouvant coulisser verticalement et se bloquer dans des fentes (20, 36) des pontets, ces colonnes C assurant enfin la tenue de l'enveloppe mince ou bardage fixée aux profils (1, 6) qui peuvent être du type connu dans le commerce sous la dénomination CLOOFIX soit par agrafage, clouage, vissage ou rivetage, soit par l'intermédiaire d'écarteurs (25) pouvant coulisser verticalement et se bloquer sur les ailes des profils (1, 6) , ces écarteurs (25) présentant sur leur face avant une découpe (29) permettant la mise en place de crochets ou agrafes (32) dont les extrémités libres peuvent être noyées dans les zones de jonction des éléments maçonnés (50) constituant le bardage, la distance séparant le nez de plancher ou le mur du bardage P1 étant occupée en partie par un isolant thermique et phonique Ip et en partie par une lame d'air ventilée.

2 - Ossature suivant la revendication 1, caractérisée en ce que les découpes (4, 8) prévues aux extrémités des profils (7 , 6) formant les colonnes C, définissent des pattes (5, 9) redressées à angle droit permettant par combinaison d'un mouvement latéral et d'un mouvement vertical le blocage des éléments (1, 6) les uns par rapport aux autres dans la position verticale.

3 - Ossature suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le mode de fixation sur mur porteur est constitué par une pince (10) en L qui présente, sur son côté vertical, une boutonnière (12) pour la fixation, sur le mur M au moyen d'organes de fixation, la boutonnière (12) permettant le réglage transversal de la pince (10) considérée pour la placer dans la position choisie, puis les pattes horizontales (14, 15) de la pince (10) sont munies de dentures (15) coopérant avec des déformations triangulaires ou stries (23) prévues dans la partie centrale d'un pontet (16) dont la face avant redressée présente des pattes (21, 22) délimitant une fente (20) servant à pincer les ailes (tic, id, 6c, 6 ) des profils (1, 6) des colonnes C avant la mise en place d'une clavette (19) dans les ailes verticales (17) du pontet (16) pour fixer l'ensemble en bonne position et assurer la verticalité des colonnes C.

4 - Ossature suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le mode de fixation sur bâtiment à ossature ou refends porteurs est constitué par une bride (41) à section en U fixée sur le nez de plancher dans lequel est prévu un décaissé (40) par un organe de fixation approprié passant à travers un trou (45) percé dans la zone centrale de la bride (41), cette bride (41) comportant des ailes verticales (41a) dentelées pour coopérer avec des déformations triangulaires ou stries (43a) prévues dans la partie centrale d'un pontet (43) permettant le réglage transversal et en profondeur de ce pontet (43) dont les bords avant sont redressés pour maintenir par l'intermédiaire d'une fente (36) et des ailes (47, 48) les ailes arrière des profils (1, 6).

5 - Ossature suivant la revendication 1, caractérisée en ce que les ailes avant (le, 1f, 6e, 6f) des profils (1, 6) supportent des écarteurs (25) à section en parallélogramme dont les ailes inférieures et supérieures présentent des pattes (26) et des talons (34) enserrant les ailes prémentionnées des profils (1, 6) de façon à maintenir chaque écarteur (25) en place après encliquetage sur les profils (1, 6) et réglage de sa position verticale , la face avant de chaque écarteur (25) présentant une découpe (29) en U dont les pattes (30, 31) sont rabattues à l'horizontale la patte (33) restant verticale pour maintenir des crochets ou agrafes (32) dont les ailes terminales (32a,32b) sont noyées dans les zones de jonction des éléments magon- nés constituant le bardage.

6 - Ossature suivant la revendication 1, caractérisée en ce que les ailes supérieure s (25a) et inférieures(25b) des écarteurs (25) sont inclinées de façon à rejeter vers l'extérieur du bâtiment les eaux de condensation ou d'infiltration.