FR2497772A1 - Dispositif pour proteger un liquide dans un recipient, du contact avec l'air et recipient muni dudit dispositif - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF POUR PROTEGER UN LIQUIDE DANS UN RECIPIENT DU CONTACT AVEC L'AIR, AINSI QU'UN RECIPIENT OU CONTENEUR MUNI DUDIT DISPOSITIF. CE DISPOSITIF DE PROTECTION COMPREND UNE GAINE 1 EN MATIERE FLEXIBLE, ESSENTIELLEMENT IMPERMEABLE A L'AIR ET AUX LIQUIDES ET DESTINEE A SE TROUVER DISPOSEE DANS LE RECIPIENT 9 POUR SERVIR D'ELEMENT DE SEPARATION ENTRE LE LIQUIDE 15 ET L'AIR 14 DANS LEDIT RECIPIENT. AVANTAGEUSEMENT, LA GAINE 1 PEUT ETRE CONSTITUEE EN UNE FEUILLE D'ACIER INOXYDABLE ELASTIQUEMENT FLEXIBLE ET CONVENABLEMENT CANNELEE OU ONDULEE OU ENCORE FORMEE D'UNE OU PLUSIEURS FEUILLES D'UNE MATIERE PLASTIQUE APPROPRIEE, TELLE QUE PAR EXEMPLE DU POLYETHYLENE. LES RECIPIENTS AINSI EQUIPES DUDIT DISPOSITIF TROUVENT NOTAMMENT DES APPLICATIONS DANS LE STOCKAGE DES BOISSONS EN VUE DE LEUR DISTRIBUTION.

Description

La présente invention concerne un dispositif pour protéger un liquide dans un récipient du contact avec l'air et un récipient ou conteneur muni dudit dispositif.

Comme on le sait, de très nombreux liquides, en particulier ceux qui sont comestibles, se détériorent en un temps plus ou moins long et perdent de toute façon au moins une partie des caractéristiques de goût, saveur, odeur et autres, lorsqu'ils sont exposés au contact de l'air atmosphérique. Le vin par exemple, en venant en contact avec l'air, s'acidifie et s'altère rapidement si bien qu'il donne également lieu à la formation de résidus solides qui, en partie, précipitent et, en partie, surnagent sur la surface du liquide. Ceci explique pourquoi il n'est pas possible en pratique de conserver intactes les caractéristiques d'un vin renfermé par exemple.dans un fût, lorsqu'on effectue à partir de celui-ci des prélèvements occasionnels et relativement petits.Dans ces cas, il convient de procéder dès le début au transvasement en bouteilles ou flasques bien bouchées ou de recourir à l'utilisation de gaz inertes ou à des récipients à couvercle mobile muni de garnitures pneumatiques, constituant tous des systèmes complaxes et onéreux, qui donnent fréquemment des résultats insatisfaisants,
Pour résoudre le difficile problème de l'oxyda- tion de très nombreux produits liquides, l'on devrait disposer de moyens en mesure d'empêcher le contact direct air-liquide.

Le but essentiel de l'invention est de réaliser un dispositif de protection contre l'oxydation d'un liquide emmagasiné dans un récipient, ledit dispositif permettant d'assurer la conservation parfaite et dans un milieu non oxydant de liquides périssables (tels que vin, huile et autres) ou de toute façon oxydables pendant la durée entière du stockage ainsi que pendant la période de mise en perce ou de soutirage desdits liquides à partir du récipient.

Un autre objectif de l'invention est que ledit dispositif de protection puisse se preter & l'applica- tion tant aux récipients traditionnels déjà existants qu'aux récipients de conception nouvelle spécifiquement étudiés pour son emploi.

Un autre objectif encore de ltinvention est de procurer un récipient ou conteneur destiné à l'utilisation avec le dispositif de protection contre l'oxydation tel que mentionné ci-dessus, qui permette de résoudre d'une manière optimale le problème du stockage dans un milieu non oxydant, de quantités relativement grandes d'un liquide altérable & l'air.

Un autre objectif de l'invention est que ledit récipient ou conteneur soit d'emploi pratique, relativement simple à produire et utiliser, ainsi que facile à nettoyer.

Les objectifs précités ainsi que d'autres qui apparaîtront mieux dans ce qui suit sont atteints selon l'invention, par un dispositif pour protéger du contact avec l'air un liquide dans un récipient, ledit dispositif comprenant une gaine en matière flexible essentiellement imperméable a l'air, destinée à être mise en place dans le récipient de façon & diviser l'espace intérieur du récipient en deux compartiments adjacents de volume variable, l1un en communication avec l'air extérieur et l'autre remplissable de liquide, de façon qu'un compartiment puisse augmenter d'autant de volume que l'autre en diminue et inversement.

Selon une autre caractéristique de l'invention, on propose un récipient ou conteneur pour le stockage d'un liquide, comprenant des moyens pour supporter å étanchéité une gaine flexible pouvant être mise en place à l'intérieur dudit récipient, de façon que l'espace intérieur de ce dernier se trouve divisé en deux compartiments de volume variable de manière à se trouver en compensation réciproque, l'un en communication avec l'air atmosphérique et l'autre remplissable de liquide.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront de la description détaillée suivante de quelques unes de ses formes de réalisation préférées, données à titre indicatif, mais nullement limitatif, en référence aux dessins annexés, dans lesquels
La Figure 1 représente une vue en perspective d'une gaine ou membrane en feuille d'acier inoxydable convenablement cannelée ou ondulée, propre à servir de dispositif de protection selon l'invention
Les Figures 2 à 4 montrent des formes spécifiques de mises en oeuvre préférées de cannelures ou ondulations ou plissements concentriques que l'on peut conférer à la gaine de la Figure 1
Les Figures 5 et 6 montrent des vues en coupe verticale et axiale d'un récipient ou conteneur selon l'invention, dans lequel est incorporée une gaine en acier inoxydable représentée dans deux positions de travail
Les Figures 7 à 9 représentent des vues en coupe verticale et axiale d'un récipient dans lequel est incorporée une gaine multiple constituée de feuilles en matière plastique flexible, et représentée dans différentes positions de fonctionnement dans le récipient
Les Figures 10 et Il illustrent deux réalisations différentes d'un détail du récipient des Figures 7 à 9;;
La Figure 12 montre le récipient des Figures 5 et 6 muni d'une gaine en matière plastique
La Figure 13 représente une vue en coupe verticale et axiale d'un fût dans lequel est incorporée une gaine multiple de protection contre l'oxydation, constituée en matière plastique
La Figure 14 représente une vue en coupe verticale d'une citerne pourvue d'un fond et d'une gaine antioxydation tous d & x en acier inoxydable
La Figure 15 montre un dispositif pour le blocage amovible entre deux parties adjacentes d'un récipient ou d'un fût ou citerne selon les Figures précédentes de 5 à 9 et de 12 à 14
La Figure 16 représente une vue en coupe verticale et axiale d'un fût traditionnel auquel est appliqué un dispositif de protection selon l'invention
La Figure 17 représente une vue frontale en élévation d'un récipient à ouverture de dégazage munie d'un dispositif de commande et de sécurité
La Fleure 18 représente une vue en coupe verticale axiale d'un récipient tel que celui de la Figure 17, mais comprenant une multiplicité de paires d'éléments modulaires intermédiaires
La Figure 19 représente une vue en coupe longitudi nale axiale d'un élément modulaire du récipient de la
Figure 18
La Figure 20 représente une vue schématique et en coupe verticale d'un dispositif de commande et de sécurité pouvant être monté de façon amovible sur une ouverture de dégazage d'un récipient selon l'invention
La Figure 21 représente une vue schématique en perspective d'un câble d'alimentation muni d'un relais à transformateur et d'un dispositif de connexion à éléments mâle et femelle; et
La Figure 22 représente une vue en coupe d'un détail d'un système de blocage amovible entre les moitiés inférieure et supérieure d'un répicient.

En se référant aux Figures précitées de 1 à 6, on peut voir que l'on a indiqué par 1 une gaine ou membrane de contour circulaire, présentant une multiplicité de cannelures ou ondulations concentriques 2 lesquelles permettent à la membrane 1 de pouvoir s'étendre facilement dans les deux sens en direction perpendiculaire au plan d'installation ou de positionnement en place de ladite membrane. Les cannelures 2 peuvent présenter une section ayant des configurations diverses.Elles peuvent, par exemple, présenter une allure sinusoidale, comme représenté dans la Figure 2, ou à anses ou crêtes 3 alternativement dirigées dans un sens et dans le sens opposé, comme dans la Figure 3, avec interposition de segments transversaux plats 4 entre une anse et l'autre dans un but de renforcement et de réalisation pratique du formage de la feuille d'acier inoxydable & partir de laquelle est obtenue la membrane ondulée.

Un autre exemple de configuration avantageuse des ondulations 2 est celui représenté dans la Figure 4, ot la membrane présente une section transversale en *dent de scie* 5 à fond aplati 6 entre une dent et l'autre, qui a les mêmes fonctions que celles des segments 4 de la Figure 3. La gaine 1 présente une épaisseur très réduite, par exemple de l'ordre de 1/10e de mm ou inférieure, de façon à obtenir une membrane qui offre une résistance négligeable à l'extension dans les deux sens. Ladite extension a de toute façon toujours lieu dans les limites d'6lasticité de l'acier dont la gaine est constituée, de façon à être en mesure de reprendre sa configuration ondulatoire de départ après chaque déformation.

Dans les Figures 1 à 4, les membranes 1 doivent être considérées comme soutenues par un plan d'appui,en pratique constitué par la ligne de niveau du liquide, étant donné qu'elles ne se déforment également que sous le seul effet de leur propre poids et qu'elles ne sont pas en mesure de demeurer dans un plan sans un support adéquat. Elles présentent en outre une bride périphérique 7 pour le blocage à l'intérieur d'un récipient approprié, comme on l'expliquera ci-dessous.

Avantageusement, an moins dans les cas ou la membrane 1 est employée dans de grands récipients ou fûts, on peut prévoir un orifice 8 pourvu d'un obturateur 8a, par l'exemple a vis, fixé dans la zone centrale de la membrane I et ayant pour fonction de permettre le dégazage ou le passage pour l'introduction d'un fluide sous pression (durant la phase de vidage), comme on l'expliquera ci-après .

Les Figures 5 et 6 représentent un récipient ou conteneur 9 formé de deux moitiés 10 et 10a reliées ensemble en correspondance de leurs bridages de jonction 11. La moitié inférieure 10 du récipient est formée ou au moins revêtue intérieurement, d'acier inoxydable, tandis que la moitié supérieure 10a peut être constituée en un autre rat-eriau, par exemple un materiau moins coûteux que l'acier inoxydable, tel que de la vitrorésine, parmi beaucoup d'autres, ta moitié supérieure 10a peut être en outre intérieurement revêtue d'une couche ou coussin 12 de matériau élastiquement flexibile et souple, tel que, par exemple, de la matière plastique expansée, pour empêcher des déformations permanentes d'une membrane 1, bloquée de façon étanche entre les deux bridages 11 en correspondance de son bord extérieur 7* La membrane 1 est, par exemple du type à cannelures sinusoidales, comme celle décrite en référence à la Figure 2. La Figure 5 montre la disposition de la membrane 1 dans le récipient 9 lorsque celui-ci a été complètement rempli du liquide 13, tandis que la Figure 6 illustre la configuration de ladite membrane lorsque le niveau du liquide 13 est descendu peu au-dessous de la moitié du volume intérieur du conteneur.

La membrane 1 divise l'espace intérieur du récipient 9 en deux compartiments 14 et 15 qui, étant donné la structure déformable de la membrane 1, sont de volume variable. Le compartiment supérieur 14 est en communication avec l'air atmosphérique ou bien peut être mis en communication (durant la phase de vidage) avec une source de fluide sous pression pour le vidage forcé ou le vidage du compartiment 15, par l'intermédiaire d'une ouverture centrale 16 à travers laquelle peut saillir, une fois que le récipient est plein de liquide, l'orifice 8 de la membrane 1 (Figure 5).

Le compartiment inférieur 15 est destiné au contraire, à contenir le liquide 13 que l'on verse à l'intérieur & travers un passage 17 correspondant, de préférence muni d'une soupape ou d'un robinet de retenue. Les compartiments adjacents 14 et 15 se trouvent par suite en compensation réciproque, dans ce sens que l'un augmente d'autant de volume que l'autre en diminue, et inversement.

Le chargement du liquide 13 dans le compartiment 15 a lieu par pompage par le bas à travers le passage 17. Comme on le comprendra facilement, le liquide 13 du compartiment 15 est uniquement en contact avec les parois intérieurement en acier inoxydable, à savoir celles formées par la moitié inférieure 10 du récipient et par la membrane 1. Cette dernière a pour but de maintenir le liquide isolé du contact avec l'air atmos phérique. Cette isolation persiste également durant le soutirage du liquide, du fait que la membrane 1 suit, en restant à son contact, le niveau du liquide dans le compartiment 15. Une fois tout le compartiment 15 rempli de liquide 13, l'orifice 8 prévu sur la membrane 1 vient alors saillir à l'extérieur à travers l'ouverture 16.Son obturateur 8a peut à ce moment etre temporairement ôté pour laisser dégazer ou désaérer le liquide se trouvant au-dessous de la membrane et éliminer ainsi d'éventuelles bulles ou poches d'air qui pourraient s'hêtre formées entre le liquide 13 et la membrane 1.

Les Figures 7 à 9 et 12 illustrent d'autres récipients 18 et 19 formés de deux moitiés identiques assemblées en correspondance de bridages respectifs 20.

Les récipients 18 et 19 sont munis d'une gaine multiple 21 formée d'une piuralité de feuilles (par exemple au nombre de trois) en une matière plastique appropriée, telle que du polyéthylène. La gaine 21 divise l'espace intérieur des récipients 18 et 9 en deux compartiments, l'un supérieur 22 et l'autre inférieur 23.Le compartiment 22 est en communication directe avec l'atmosphère ou bien peut être mis en communication (durant la phase de vidage) avec une source de fluide sous pression pour le vidage forcé ou le vidage du compartiment 23, à travers un orifice 24, de préférence muni d'un obturateur 25 propre à laisser passer l'air. Le compartiment 23 peut être complètement ou partiellement rempli de liquide 25 par pompage & travers un passage latéral 26 ou un passage inférieur prévu sur le fond. Comme on peut l'observer, grâce i la présence de la gaine 21, le liquide 25 se trouve protégé de contact avec l'air extérieur même lorsque le récipient ne se trouve que partiellement rempli.

Comme on le voit dans la Figure 7, une fois que le compartiment 23 est complètement rempli, la gaine 21 prend une configuration dtextension complète au-dessus du liquide 25 tandis qu'à mesure que le niveau du liquide descend dans le compartiment 23, elle suit la surface dudit liquide jusqu' se trouver amenée, à travers une succession de positions intermédiaires, telles que celle représentée dans la Figure 8, dans la position génériquement indiquée dans la Figure 9, qui correspond à celle du vidage complet du conteneur ou récipient 18. Le récipient 19 est également représanté dans la condition de vidage complet, dans la
Figure 12.

Les Figures 7 à 9 montrent que les bords bridés 20 des deux moitiés formant le récipient 18 sont maintenues ensemble par un anneau d'a d'agrafage adage à griffes rabattues 27, de préférence avec interposition de deux rondelles métalliques plates 28 de raidis sage et éventuellement de garnitures d'étanchéité (non représentées) autour du bord de la gaine ou sac 21.

On peut toutefois adopter divers autres moyens d'assemblage, par exemple ceux représentés dans les
Figures 10 et 11. La Figure 10 montre une jonction effectuée par boulonnage des extrémités bridées 22.

Chaque boulon 29 serre ensemble deux bagues de raidissage 28 ( de préférence attachées, par exemple collées, à la bride 20 correspondante du récipient), les brides 20 des deux moitiés du récipient, deux garnitures d'étanchéité 30 et le bord 31 de la gaine ou sac 21.

La Figure 11 montre une variante selon laquelle un assemblage est effectué en prévoyant pour la moitié inférieure du récipient en métal, un bridage 20 plus large que celui de l'autre moitié du récipient, de façon que l'on puisse former une jonction par agrafage en repliant simplement le bridage plus large sur celui qui est plus étroit.

La Figure 12 illustre suivant une variante, des moyens d'assemblage amovibles qui seront décrits en détails en référence aux Figures 13 à 15.

La Figure 13 montre un fût pourvu d'un fond plat 35 qui présente un diamètre supérieur au diamètre extérieur du corps 36 dudit fuAt.Inférieurement,le corps 36 du fût présente un bridage 37 qui appuie, par interposition du bord libre dtune gaine ou sac 38 tel que celui représenté dans les Figures 7 à 9, sur le fond 35.

Sur et autour de la bride 37, est fixé, par exemple collé, un anneau aplati de raidissage 39, par exemple en métal. L'anneau 39 et le bord libre du fond 35 sont serrés ensemble par un moyen de fermeture 40 schématiquement représenté dans la Figure 15. Le moyen 40 est constitué d'une pluralité de composants métalliques 41 profilés en V, qui présentent le 1ong de leur arête extérieure, un anneau 42 à laide duquel ils sont enfilés sur un tronçon de câble en acier 43.

Entre un élément 41 et le suivant,est prévu une pièce d'écartement 44 en un materiau convenable quelconque.

Les éléments 41 sont bloqués conjointement avec les pièces d'écartement 44, sur le câble 43 par exemple par une opération de plastitication, de façon que les éléments 41 se trouvent parfaiteent orientés, tous dans le même sens, sur le cable 43.L'ensemble form du câble, des éléments 41 et des pièces d'écartement 44 constitue un dispositif en forme de bande ou ruban qui peut être éventuellement découpé à la longueur désirée, appliqué à cheval sur L'anneau 39 et le bord libre du fend 35 du fût 3 et tendu et bloque en position, par un moyen convenable quelconque, tel que par exemple une borne ou un serre-câble (non représenté) & vis, à levier et similaires.

De cette façons il est possible de comprimer et de bloquer le corps 36 du fût cotte le fond 35 de ce dernier et, en ltoccurrencei le corps 36 peut être séparé du fond 35, par exemple, pour effectuer des opérations de nettoyage ou pour remplacer la gaine ou sac 38. Cette dernière a des dimensions telles qu'elle puisse s'étendre ou se déployer jusqu'à recouvrir toute la surface intérieure du corps 36 du fût qui se trouve ainsi divisé en un compartiment supérieur 45, en communication avec l'air atmosphérique, et en un compartiment inférieur 46, destiné à contenir un liquide 47. Le liquide 47 peut etre chargé ou versé dans le compartiment 46 par pompage à travers un robinet ou vanne centrale inférieure 48. La Figure 13 montre le sac 38 en une position de vidage partiel du fût.Pour éviter que dans des conditions de vidage complet et qu'à l'occa- sion du pompage de liquide 47 nouveau dans le compartiment 46, à travers la soupape 48, il ne se crée une ou plusieurs bulles d'air qui pourraient rester emprisonnées entre la surface du liquide et le sac 38, on prévoit d'introduire, par exemple à travers l'orifice supérieur 49 du fût, une certaine quantité (qui dépend des dimensions du fût) d'eau (de préférence traitée pour empêcher qu'elle ne donne lieu à des phénomènes de putréfaction) qui restera alors disposée par-dessus le sac 38.Ladite eau a dans ce cas pour fonction d'assurer, par effet de gravité, le vidage complet du fût à la fin du soutirage du liquide 47, de garantir une étanchéité absolue contre l'air entre la surface du liquide et le compartiment 45 dans le fût, et de servir également, au moment du remplissage complet du fût, d'avertisseur de niveau, du fait que, lorsque sous l'effet du pompage du liquide dans le compartiment 46, la membrane s'est élevée dans le compartiment 45 jusqu'à donner naissance à la sortie de l'eau flottant par-dessus ladite membrane, cela revient à dire que le niveau de remplissage du fût. a été atteint.Egalement, s'il se produit une sortie de petites quantités d'eau à travers l'orifice 49, en phase de la fin du remplissage, cela ne donne lieu à aucun inconvénient, étant donné que ladite eau se disperse alors facilement sur la calotte du fût sans produire de phénomènes de salissage ni de gaspillage ou déversements de liquides coûteux ou putrescibles.

La Figure 14 représente une citerne 50 en forme de coupole ou calotte, qui présente un fond 51 constitué en acier inoxydable et un corps supérieur 52 formé en matière plastique, par exemple en vitrorésine, revêtue intérieurement d'une couche su coussin de matière moelleuse, telle que par exemple de la matière plastique expansée 53. Le corps en matière plastique 52 se termine inférieurement par une extrémité bridée 54 renforcée par un anneau aplati 56 fixé à celle-ci. Entre le fond 51 et le bridage 54 demeure emprisonné et serré par un dispositif 40, le bord libre d'une gaine ondulée 55 en acier inoxydable, tout à fait similaire aux gaines décrites en référence aux Figures I à 4. Le fonctionne- ment de la citerne 50 est tout à fait analogue à celui décrit en référence au récipient 9 représenté dans les
Figures 5 et 6.

Le moyen de blocage amovible 40 représenté dans la Figure 15 est également applicable pour maintenir assemblées les deux moitiés qui forment le récipient 19 de la Figure 12. A cet égard, il convient de remarquer que le récipient 19 de la Figure 12 se pA prête plusieurs usages, du fait qu'une fois le moyen de retenue 40 ouaté et la gaine ou sac intérieur 21 récupéré, on peut décomposer ledit conteneur en deux cuves ou bacs qui peuvent être utilisés de façon indépendante, par exemple pour des opérations de transsasement, telles que celles que l'on effectue dans le travail du moat de raisin. Consécutivement, les deux moitiés peuvent être rapidement et facilement réunies ensemble, avec interposition préalable du sac 21 pour recomposer un récipient ou conteneur 19 apte à conserver à l'inte- rieur de celui-ci, un liquide dans des conditions non oxydantes.

En outre, lorsque le récipient 19 est de petites dimensions et est destiné à êre utilisé avec une membrane métallique 1, telle que celles représentées dans les Figures 4 à 4, l'orrQfice 8 peut etre omis sur la membrane, et ceci du fait qu'il est possible, par le simple remplissage du récipient en position renversée, de faire échapper d'éventuelles bulles d'air par le même orifice que celui de l'entrée du liquide.

La Figure 16 représente un fût classique 60 dans lequel a été introduite, à travers le trou d'homme supérieur 61, une gaine ou sac multiple 62 formé de feuilla; plastiques flexibles. L'intérieur du sac 62 est en communication, par l'intermédiaire d'une goulotte d'ancrage et d'étanchéité 63 introduite et bloquée en guise d'obturateur dans le trou d'homme 61, avec l'atmos- phère extérieure à travers un orifice 64 passant au travers d'un couvercle 65. Dans le sac 62 sont en outre prévus des moyens de lestage constitués par exemple par des "boudins" 66 formés par exemple par du sable contenu dans des sachets en matière plastique obtenus à partir d'un tube flexible dans lesquels sont ménagés un certain nombre d'étranglements, par exemple par le moyen de ligatures.Les boudins 66 maintiennent le sac 62 de façon qu'il vienne toucher le fond du fût 60.

Le liquide 67 pompé dans le fût 60 à travers un orifice inférieur 68 se trouve maintenu hors de contact avec l'air par le sac 62 et peut être conservé pendant un temps prolongé dans un milieu non oxydant même dans des conditions d'un remplissage seulement partiel. Avec la solution représentée dans la Figure 16, il est possible d'appliquer le dispositif de protection de l'invention également à des conteneurs et des fûts déjà existants sur le marché.

La Figure 17 représente un récipient similaire aux récipients des Figures 5, 6 et 12, soit un récipient formé de deux moitiés identiques: l'une supérieure 71 et l'autre inférieure 72. Les deux moitiés sont légèrement évasées et se terminent par un bord libre bridé le long duquel elles sont maintenues ensemble de façon amovible à l'aide d'une bande de blocage 73 formée de deux profilés semi-circulaires 74 en V, maintenus conjointe ment tendus et bloqués par deux serre-câbles 75, par exemple deux serrecaAble à vis et excentrique, qui sont disposéesen positions diamétralement opposées sur le récipient 70.La moitié inférieure, et éventuellement aussi la moitié supérieure, est de préférence munie de pieds 76 et présente un trou latéral 77 rasant son fond et dans lequel est montée une goulotte 78 incorporant un robinet pouvant être commandé par un levier 79 et destiné à la connexion, par l'intermédiaire d'un tuyau, avec un groupe motopompe (non représenté). La moitié supérieure 71 présente dans sa paroi de couverture, un trou central dans lequel est vissé ou autrement monté de façon amovible, un dispositif de dégazage et de sécurité génériquement indiqué par 80 et qui sera ultérieurement décrit ciaprès en référence à la Figure 20.

Lorsqu'on emploie la moitié supérieure 71 en tant que bac, le dispositif 80 peut être oté et remplacé par un obturateur ( non représenté).

Les Figures 18 et 19 montrent un récipient 81 similaire à celui de la Figure 17, mais avec interposition entre l'élément de fond 82 et celui de sommet 83, d'une ou plusieurs paires de composants modulaires 84 cylindriques et bridés en correspondance de leurs deux extrémités, comme on l'a indiqué par 85 et 86. Avec un certain nombre convenable de modules 84, il est possible d'obtenir des récipients 81 de capacité et hauteur remarquables. Les modules 84 sont maintenus de façon amovible et solidement arrimé de façon étanche à des modules ou aux éléments de fond 82 et de sommet 83 au moyen de bandes ou rubans de blocage 73.En correspondance du milieu, entre les brides adjacentes 85 et 86 de deux modules 84, demeure fixé de façon amovible un bord libre d'un sac 87 out à rait similaire au sac 21 des Figures 7 à 9 et 12.

Comme on peut l'observer, un récipient 81, à l'état démonté, offre entre autres, l'avantage que ses composants 82, 83, et 84 peuvent être introduits ou fait passer à travers des ouvertures ou portes d'accès étroites dans un local (par exemple une cave) dans lequel le récipient composable 81 est destiné à être installé.

Dans la Figure 20, on a représenté un dispositif de sécurité 80 qui comprend essentiellement un corps cylindrique creux 88 vissable sur l'extérieur de l'embase 89 d'un trou de fixation prévu dans les parois de la moitié supérieure 71 ou de l'élément de sommet 83, un élément en forme de cloche 90 supporté, à écartement par des éléments trayons (non représentés), sur le corps 88 de façon à permettre le libre passage de l'air à partir de l'intérieur du récipient vers l'extérieur, et inversement, et une tige 91 montée coulissante dans et le long du corps 88 et la cloche 90, et ayant son extrémité supérieure saillante hors de ladite cloche 90 et son extrémité inférieure placée à l'intérieur du récipient 70, 81.Pour assurer une meilleure stabilité à la tige 91 à l'intérieur du récipient, on visse dans l'embase 89, une goulotte de support 92, dans laquelle est montée une bague de guidage 93* Sur son extrémité inférieure, à l'intérieur du récipient 70, 81, la tige 91 supporte une butée palpeuse 94 à arêtes arrondies, destinée à être heurtée et soulevée par le sac 97 dans la dernière phase de montée de ce dernier au moment de la fin du remplissage du récipient 70, 81. Le soulèvement de la butée 94 a pour effet que l'extrémité supé- rieure profilée de la tige 91 actionne deux microinterrupteurs en parallèle 95 et 96 électriquement connectés au circuit d'alimentation du moteur de la pompe de chargement du récipient, si bien que le moteur s'arrête et fait par suite cesser l'action de pompage, le remplissage étant terminé.Les microinterrupteurs 95 et 96 sont renfermés dans un bottier 97 installé sur la cloche 90 portant une prise normale 98 pour l'alimentation en courant électrique. La prise 98 est destinée à être accouplée à une fiche 99 (Figure 21), qui est reliée à un dispositif 100 de connexion électrique à éléments mâle et femelle à travers un relais à transformateur 101. Le dispositif de connexion 100 et le groupe 101 sont destinés à alimenter le dispositif 80 en basse tension et à commander en même temps l'alimentation du moteur et de la pompe de chargement du récipient 70 ou 81, le moteur étant débranché automatiquement lorsque l'un des mierointerrupteurs 95, 96 se trouve actionné.Un aspect avantageux de l'utilisation du dispositif 100 et du groupe 101 réside dans leur simplicité et caractère pratique d'emploi, du fait que l'utilisateur n'est tenu de procéder qu'à l'accouplement simple entre fiche et prise pour pouvoir être prêt à disposer du dispositif 80. Bvantageusement, le dispositif 80 comprend un avertisseur acoustique et/ ou lumineux (non représenté), actionné par exemple par les microinterrupteurs 95, 96.

Les récipients et conteneurs de l'invention trou vent des applications en particulier dans un établissement de distribution ou débit de boissons (telles que vin, bière et autres) près d'un centre de vente, tel que par exemple un café ou bar Dans de nombreux cas, en effet, il est possible d'installer, par exemple dans une cave ou local se trouvant à un niveau inférieur à celui du comptoir de débit, un récipient selon l'invention, par exemple un récipient 70 ou 81 (Figures 17 et 18) rempli de liquide à d } telS et servant par abrite de réservoir de prélèvement. Avantageusement, ledit réservoir de prélèvement est muni d'une goulotte de sortie à soupape de retenue fie préférence à membrane) et d'une vanne d'interception. Ainsi équipé, le réservoir est destiné à alimenter, par l'intermédiaire d'une pompe de débit et de conduites de liaison appropriées, constituées en un matériau convenable, tel que par exemple un caoutchouc oenologique, de l'acier Aisi 316 ou 304, du verre Pyrex et autres, un réservoir de service placé par exemple au-dessus du niveau d'un robinet distributeur relié à ce dernier et installé sur le comptoir de débit.Le réservoir de service est également un récipient selon l'invention, c'est- & dire qu'il contient une gaine de protection contre l'oxydation et est muni de deux avertisseurs de niveau, par exemple à fonctionnement électrique, l'un desquels étant destiné à signaler l'atteinte d'un niveau maximal de liquide dans le réservoir de service, et l'autre l'atteinte d'un niveau minimal. Ce dernier sert à mettre en fonctionnement la pompe de débit pour transférer le liquide du réservoir de prélèvement à celui de service, tandis que l'avertisseur de niveau maximal est destiné à débrancher la pompe.La pompe entre par suite en action pour déplacer des quantités prédéterminées de liquide (par exemple 100-200 litres), ce qui se traduit par des consommations réduites d'électricité et par une usure réduite par rapport aux équipements actuellement en service. En même temps, le liquide transféré n'est pas maintenu constamment sous pression, ni se trouve exposé à l'air, si bien qu'il se trouve complètement protégé contre l' ydation tant dans le réservoir de prélèvement que dans celui de service.

La Figure 22 montre une vue en coupe d'un détail d'un système de blocage amovible entre les moitiés inférieure et supérieure d'un récipient comme celui illustré dans les Figures 5 et 6, 7 à 9, 12, 17 et 18.

Ce système prévoit la présence d'une paire d'éléments annulaires métalliques de renforcement 104 et 105 fixés, par exemple collés, sur la surface extérieure d'une bride respective 106 et 107 des deux moitiés du récipient ou conteneur0 La surface intérieure de la bride 106 et 107 est intéressée par uxie ou plusieurs rainures ou sillons 108 et 109 destinés à assurer une meilleure prise avec une couche 110 et 111 respective de résine de silicone non toxique, apte à conserver un degré élevé de souplesse qui contribue en outre, à assurer une bonne étanchéité avec le sac ou gaine de séparation 112 et les brides 106, 107.

Pour bloquer de manière étanche les brides 106 et 107 l'on peut recourir à une pluralité de serre-cables à levier, dont l'un est génériquement indiqué par 1,3 dans la Figure 22, soudés à une des brides et destinés à s'ancrer dans une boutonnière ou crochet fiké à l'autre bride.

L'invention ainsi conçue est susceptible d'être mise en oeuvre suivant de nombreuses variantes et modifications sans pour autant s'écarter du cadre et de l'esprit de celle-ci.

Ainsi, par exemple, les conteneurs et récipients et les fûts peuvent avoir des formes également très différentes de la forme cylindrique et avoir les dimensions les plus idoines à l'application à laquelle ils sont destinés0
Etl outre en se référant à la forme de réalisation selon la Figure 13, l'assemblage entre le corps 36 et le fond 35 peut être également effectué par 1'apport normal d'un bord en vitrorésîne, avec un éventuel renforcement extérieur.

Claims (18)

R E V E N D I C A T I O N S.

1 - Dispositif pour protéger du contact avec l'air, un liquide se trouvant dans un récipient ou conteneur, ledit dispositif étant caractérisé par le fait qu'il comprend une gaine (1, 21, 38, 55, 62, 87, 112) en matière flexible ssenbiellement imperméable à l'air, destinée à être mise en place dans le récipient (9, 18, 19, 36, 50, 60, 70, 81) de façon à diviser l'espace intérieur du récipient en deux compartiments (14,15 ; 22,23 ; 45,46) adjacents de volume variable, l'un en communication avec l'air extérieur et l'autre remplissable de liquide, de façon qu'un compartiment puisse augmenter d'autant de volume que l'autre en diminue et inversement.

2 - Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la gaine (1, 55) est constituée par une lame ou feuille cannelée ou ondulée, en acier ino xydable.

3 - Dispositif selon la revendication 2, caractérisé par le fait que les cannelures (2) présentent des ondulations alternativement de sens opposé en section transversale.

4 - Dispositif selon la revendication 2 ou 3, caractérisépar le fait que la gaine ( 1, 55) présente un orifice (8) de dégazage pouvant être fermé.

5 - Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la gaine (21,38, 62, 87, 112) est constituée par au moins une feuille en matière plastique flexible profilée en mode de sac.

6 - Conteneur ou récipient pour le stockage d'un liquide, caractérisé par le fait qu'il comprend des moyens (27, 29, 40, 75, 113) pour supporter de façon étanche à l'intérieur de celui-ci, une gaine (1, 21,38, 55, 62, 87, 112) flexible selon l'une quelconque des revendications 2 à 5, de façon que l'espace intérieur du récipient se trouve divisé en deux compartiments (14, 15 ; 22,23 ; 45,46) de volume variable de façon à se trouver en compensation réciproque, l'un en communication avec l'air atmosphérique et 1'autre remplissable de liquide (13, 25, 47, 67).

7 - Récipient selon la revendication 6, caractérisé par le fait qu'il est constitué en deux parties sensiblement tronconiques (10,10a ; 71,72) pouvant être assemblées par aboutement mutuel, et par le fait que la gaine (1, 21, 38, 55, 62, 87, 112) est supportée et bloquée périphériquement entre les deux parties, bout à bout l'une contre l'autre.

8 - Récipient selon la revendication 7, caractérisé par le fait qu'au moins l'me des parties assemblables est bridée (20, 37, 54, 85, 86, 106, 107) dans sa région d'aboutement sur l'autre partie.

9 - Récipient selon la revendication 6, caractérisé par le fait que les deux parties assemblables (10,10a) sont bridées en correspondance de leur région d'aboutement respective.

10 - Récipient selon une quelconque des revendications précédentes 7 à 9, caractérisé par le fait qu'il comprend en outre au moins une paire d'éléments modulaires (84) posés entre lesdites deux parties tronconiques (71, 72) , chacun des éléments de ladite paire étant constitué par un corps uvulaire à extrémité (85, 86) bridée et conçu de manière à pouvoir s'assembler par aboutement mutuel cotre et/ou épouser un élément modulaire (84) adjacent à une desdites parties tronconiques (71, 723.

Il - Récipient selon la revendication 10, caractérisé par le fait qu'il comprend en outre une pluralité de dispositifs (73) à demi-anneaux de blocage amoviblespour fixer les extrémités bridées (85, 86) de chaque corps tubulaire à celles d'un élément modulaire (84) ou d'une partie tronconique (71, 729

12 - Récipient selon la revendication 8 ou 9, caractérisé par le fait que les deux parties assemblables sont maintenues ensemble par agrafage.

13 - Récipient selon l'une quelconque des revendications 8 à 10, caractérisé par le fait que les deux parties assemblables sont maintenues ensemble par des moyens de blocage et de serrage amovibles (27, 29, 40, 113).

14 - Récipient selon la revendication 13, caractérisé par le fait que le compartiment (14) en communication avec l'air atmosphérique peut être raccordé à une source de fluide sous pression afin de provoquer le débit forcé de liquide de l'autre compartiment (15).

15-Récipient selon la revendication 11, caractérisé par le fait que les moyens de butée amovibles comprennent un dispositif en forme de bande ou ruban (40) formé d'un tronçon de câble flexible et résistant (43) d'une pluralité d'éléments à gorge (44) pourvue de lames divergentes distribués le long du câble (43) et destinés à se disposer chacun à cheval sur un tronçon de la zone d'aboutement des parties assemblables, et de moyens de serrage (75) disposés en correspondance de l'extrémité du câble et destinés à tendre le câble et à le bloquer en tension contre le récipient (9, 18, 19, 36, 50, 60, 70, 81) afin de comprimer l'une contre l'autre les deux parties assemblables dudit récipient.

16 - Récipient selon la revendication 13, caractérisé par le fait que les éléments à gorge (41) sont disposés et maintenus de façon permanente tournés d'un même côté par plastification du dispositif en forme de bande entier (40).

17 - Récipient selon la revendication 6, caractérisé par le fait que les moyens de support de la gaine sont constitués par un élément en forme d'obturateur (63) tubulaire sur lequel la gaine (62) est montée à étanchéité et à travers lequel l'intérieur de la gaine est mis en communication directe avec l'atmosphère extérieure.

18 - Récipient selon la revendication 17, caractérisé par le fait que la gaine est lestée (66).

19 - Récipient selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'il comprend un dispositif de sécurité (80) comprenant un avertisseur acoustique et/ou lumineux et de commande motrice propre à signaler l'atteinte d'un niveau prédéterminé dans le récipient.