FR2490052A1 - Appareillage pour la gestion des informations auxiliaires inherentes a une commande centrale d'une pluralite d'usagers peripheriques et pour le diagnostic de cette meme commande centrale, notamment pour centraux telephoniques - Google Patents

Abstract

LE PRESENT APPAREILLAGE EST ASSOCIE A UNE COMMANDE CENTRALE 100 CONSTITUEE PAR DEUX ORDINATEURS IDENTIQUES A, B DONT CHACUN COMPREND UNE UNITE CENTRALE DE MEMOIRE 2, UNE UNITE CENTRALE D'ELABORATION 3 ET UNE UNITE D'ENTREE-SORTIE 4 QUI EST CONNECTEE AUX USAGERS PERIPHERIQUES; L'UNITE CENTRALE D'ELABORATION 3 COMPREND A SON TOUR PLUSIEURS UNITES FONCTIONNELLES CONNECTEES MUTUELLEMENT, PARMI LESQUELLES L'UNITE CENTRALE DE CONTROLE 6, DE SURVEILLANCE 8, DE MISE A JOUR ET DE SYNCHRONISATION 9 ET DE CONSOLE 10. IL COMPREND UN ORDINATEUR DE SUPPORT 15 QUI EST CONNECTE A CHAQUE ORDINATEUR A, B DE LA COMMANDE CENTRALE AU MOYEN D'UNE STRUCTURE ELECTRIQUE DOUBLEE; L'ORDINATEUR DE SUPPORT, DANS DES CONDITIONS DE SYNCHRONISME DE LA COMMANDE CENTRALE, GERE LES INFORMATIONS AUXILIAIRES INTERESSANT CETTE DERNIERE; EN CAS DE MANQUE DE SYNCHRONISME IL GERE LES INFORMATIONS AUXILIAIRES DE L'ORDINATEUR FONCTIONNANT TANDIS QU'IL PROCEDE AU DIAGNOSTIC DE L'ORDINATEUR EN PANNE SE SUBSTITUANT A LA CONSOLE CORRESPONDANTE ET UTILISANT LES INFORMATIONS EVENTUELLES EMERGEANT D'UN PREMIER DIAGNOSTIC EFFECTUE PAR CE DERNIER ORDINATEUR.

Description

1* La présente invention qui considère un appareillage pour la gestion des

informations auxiliaires inhérentes à une commande centrale d'une pluralité d'usagers périphériques et pour le diagnostic de cette même commande centrale se situe dans le cadre de la logique du contr8le des susdits usagers pé- riphériques du type P.C.M. (par exemple: centraux téléphoniques terminaux) au moyen d'un poste central de transit constitué par

un réseau de transit et par ladite commande centrale.

Le but que se propose la présente invention est de V< fournir un appareillage, associé à une commande centrale constituée

par deux ordinateurs identiques qui peuvent travailler en parallè-

Ie d'une manière synchrone ou indépendamment l'un de l'autre, qui ne gère pas seulement les informations auxiliaires intéressant la

commande centrale (débits aux usagers, statistiques, modifica-

t tions du trafic, etc.) mais soit aussi apte à "dialoguer", en cas

de mauvais fonctionnement d'un ordinateur de la commande centra-

le, avec ce dernier ordinateur de façon à intervenir sur ce der-

nier à travers une succession de programmes de diagnostics dis-

tribués suivant des échelles hiérarchiques préétablies dans le but de repérer la cause ultime du mauvais fonctionnement, étant

entendu que le "dialogue" normal de gestion des informations au-

xiliaires avec l'ordinateur fonctionnant correctement demeure inchangé.

Ce que l'on vient de dire est obtenu suivant la pré-

2i sente invention qui concerne un appareillage pour la gestion des informations auxiliaires inhérentes à une commande centrale

d'une pluralité d'usagers de centraux -téléphoniques périphéri-

ques et pour le diagnostic de cette même commande centrale, cette dernière étant constituée par deux ordinateurs identiques dont

chacun comprend une unité de mémoire centrale, une unité cen-

traie d'élaboration et une unité d'entrée-sortie, cette dernière pouvant être connectée, en alternative à l'unité homonyme de l'ordinateur adjacent, auxdits usagers de centraux téléphoniques périphériques, lesdites unités étant connectées mutuellemnt à travers un canal de découplement électrique; ladite unité centrale

d'élaboration comprenant à son tour une unité centrale de contrô-

le, une unité de génération des temps de base, une unité de sur-

veillance et de récolte d'alarmes, une unité de mise à jour et de

synchronisation et une unité de console, lesdites unités de géné-

ration des temps de base, de surveillance, de mise à jour et de 1D console étant connectées à l'unité centrale de contrôle à travers deux canaux, respectivement destinés au transit des informations en sortie et en entrée de la et dans la même unité centrale de cointr-ôle; ledit appareillage est caractérisé par le fait qu'il comprend au moins un ordinateur connecté, à travers au moins deux G-" canaux bidirectionnels, à l'une et/ou à l'autre de deux sections 3estinées au contr8le des messages provenant et dirigés de et vers ledit ordinateur ainsi qL'à l'adressage et au prélèvement des mêmes messages, sur commande du même ordinateur, vers et de canaux bidirectionnels appropriés connectant les mêmes sections respectivement à l'une et/ou à l'autre unité d'entrée- sortie associées auxdits ordinateurs, ainsi que des moyens de connexion

de l'ordinateur aux unités de console associées auxdits ordina-

teurs de la commande centrale.

De ce qui précède il découle que l'ordinateur du pré-

sent appareillage (ou ordinateur de support) se substitue à

l'unité de console de l'ordinateur en panne de la commande cen-

trale ce qui permet d'asservir ce dernier ordinateur à l'ordi-

nateur de support avec tous les avantages évidents dérivant de la commande à distance et de l'utilisation en séquence de programmes spécialisés organisés hierarchiquement dans les registres de

l'ordinateur de support.

Les caractéristiques de la présente invention seront mises en évidence par la suite avec référence aux planches de dessins ci-jointes dans lesquelles: - la figure 1 illustre un diagramme à blocs possible du présent appareillage et de la commande centrale associée, - la figure 2 illustre un autre diagramme à blocs

possible du présent appareillage et de la commande centrale as-

sociée. Avec référence auxdites figures, on a indiqué par 100 t:nre commande centrale constituée par deux ordinateurs A, B identiques entre eux; chaque ordinateur est constitué par une

unité centrale de mémoire 1, par une unité centrale d'élabora-

tion 2 et enfin par une unité 3 d'entrée-sortie: lesdites unités sont connectées mutuellement à travers un canal 4 de découplement électrique. L'unité centrale d'élaboration 2 comprend à son tour mne unité centrale de contrôle 6, une unité 7 de génération des

temps de base, une unité 8 de surveillance et de récolte d'alar-

rues, une unité 9 de mise à jour et de synchronisation et enfin une

mi nité de console 10; les unités 7,8,9,10 sont connectées à l'uni-

té centrale de contrôle 6 à travers deux canaux 11,12 respecti-

vement intéressés par les informations en sortie et en entrée de la et dans la même unité de contrôle 6; l'unité de console , à travers un canal approprié 14, peut intervenir directement

sur le "coeur" de l'ordinateur, c'est-à-dire sur l'unité centra-

le de contrôle 6; on peut remarquer enfin sur la figure 1, que

les unités 7,8,9 d'un ordinateur sont connectées aux unités homo-

nymes de l'ordinateur adjacent à travers des canaux d'intercon-

nexion indiqués génériquement par 13.

Toujours avec référence auxdites figures, on a indiqué

par 15 un autre ordinateur (indiqué habituellement par les tech-

niciens de la branche comme ordinateur de support) auquel est associée une unité de dialogue 15a (télescripteur, écran, ou

moyens analogues); l'ordinateur 15, à-travers un canal bidirec-

?y tionnel 19, peut être connecté à une section de contrôle 16 dont .

il sera question par la suite: d'une manière analogue le même or-

dinateur 15, à travers un autre canal bidirectionnel 119, peut être connecté à une autre section de contrôle 116 analogue à la

section précédente 16.

La section de contrôle 16 peut être connectée aux uni- tés 3 d'entréesortie des ordinateurs A,B respectivement à travers des canaux bidirectionnels 16A, 16B; d'une manière analogue la section de- contrôle 116 peut être connectée auxdites unités 3

d'entrée-sortie des ordinateurs A, B à travers des canaux bidi-

rectionnels respectivement 116 ' 116B En outre la section de contrôle 16 peut être connectée

aux unités de console 10 des ordinateurs A, B, à travers des ca-

naux bidirectionnels indiqués respectivement par 20 ' 20B- d'une manière analogue la section de contrôle 116 peut être connectée aux unités de console 10 des ordinateurs A, B à travers des canaux bidirectionnels indiqués respectivement par 120A, 120B De ce qui précède il devient évident que l'ordinateur de--sapport 15 est connecté aux ordinateurs A, B au moyen d'une structure électrique doublée (deux canaux 19, 119, deux sections

de contrôle 16, 116, etc.); cela comporte, évidemment, le main-

tien-de ladite connexion même en cas de mauvais fonctionnement

de l'un des canaux de chaque couple ou d'une des deuxdites sec-

tions de contrble..

De même, les unités 3 d'entrée-sortie aboutissent aux usagers périphériques respectifs 5 à travers un couple de canaux bidirectionnels 5a, 5b; comme usager périphérique particulier on a indiqué une unité de contrôle 115 d'un télescriptêur (ou écran)

215: l'unité 115, pour les raisons indiquées ci-dessus, est con-

nectée aux unités 3 d'entrée-sortie à travers un couple de ca-

naux bidirectionnels 115A, 115B.

Comme cela est connu, les ordinateurs A, B sont capa-

bles de fonctionner soit indépendamment l'un de l'autre, soit en parallèle; la modalité de fonctionnement normal prévue est celle

en parallèle, un synchronisme au niveau d'instruction étant ga-

ranti dans ledit cas; autrement dit les deux ordinateurs A, B xécutent la même instruction dans le même intervalle de temps et dans le cas o l'évolution temporelle des deux procédures

était différente, le début de l'exécution d'une nouvelle instruc-

tion serait synchrone étant donné que l'ordinateur le plus rapide attend l'ordinateur le plus lent: les unités affectées à cette

fonction sont les deux unités jumelles de mise à jour et de syn-

chronisation indiquées par 9.

-Dans des conditions de synchronisme les unités 3 d'en-

trée-sortie des deux ordinateurs sont actives, même si, par rap-

i port aux usagers périphériques 5, uniquement un des deux ordina-

teurs est "mattre", c'est-à-dire conduit les opérations d'échange

des messages.

En condition de synchronisme l'ordinateur de support

gère ce qu'on appelle les "informations auxiliaires", c'est-à-

l' dire les informations relatives aux débits, à la gestion des usa-

gers périphériques, aux modifications du trafic téléphonique, à des statistiques, etc.; pour cette gestion l'ordinateur 15 utilise le canal 19 (ou en alternative le canal 119) et la section de contrôle 16 (ou en alternative la section de contr8le 116) qui, à travers les canaux bidirectionnels 16., 16B "dialogue" avec les unités d'entrée-sortie 3 des deux ordinateurs A, B, tandis que les canaux bidirectionnels 20A, 20B sont désactivés; évidemment ces considérations seraient valables dans le cas o l'on utiliserait

la section de contrôle 116.

Comme on l'a déjà rappelé la modalité de fonctionnement normal des deux ordinateurs A, B est celle en parallèle, mais

les deux ordinateurs A, B peuvent aussi fonctionner l'un indé-

pendamment de l'autre et un seul de ces derniers (le "mattre") gère les usagers périphériques 5, tandis que l'autre exécute habituellement des programmes de diagnostics conséquents à son

mauvais fonctionnement précédent: autrement dit les deux ordina-

teurs A,B sont isolés l'un de l'autre (c'est-à-dire sortent du synchronisme) lorsque dans l'un de ces derniers sont révélées des

anomalies logico-électrico-fonctionnelles.

37)5 A l'unité de surveillance et de récolte d'alarmes 8 de chaque ordinateur confluent les terminaisons électriques d'une pluralité de contrôleurs (contrôleurs du logiciel qui révèlent

l'inobservance des limites d'élaboration du temps maximum d'éla-

boration, et contrôleurs du matériel de l'ordinateur).

Lesdits contrôleurs sont réunis en groupes préétablis et leur activation est mémorisée dans des registres d'état dont

est pourvue la commande centrale.

A chaque registre est associé un niveau d'interruption différent-et ces niveaux sont organisés dans une seule échelle hiérarchique; une alarme intérieure met par conséquent en train la procédure du logiciel associée au niveau d'interruption qui est

associé à son tour au registre d'état dans lequel l'alarme inté-

rieure est mémorisée.

En cas de plusieurs alarmes intérieures contemporaines, non réunies dans le même registre, un mécanisme de priorité du matériel donne la priorité à l'interruption du niveau hiérarchique le plus-élevé; les autres éventuelles interruptions de priorité

moins élevée demeurent mémorisées et pourront activer les procé-

- dures de logiciel qui sont associées à ces dernières à la fin de la procédure relative à l'interruption de priorité plus élevée, à moins que cette procédure décide d'annuler la continuation, ayant obtenu des informations suffisantes pour la localisation du

bloc fonctionnel en panne.

Les procédures du logiciel relatives au diagnostic du premier niveau résident toutes dans l'unité de mémoire centrale de chaque ordinateur et s'achèvent en prenant les dispositions

pour l'acquisition de la part de l'ordinateur de support de tou-

tes les informations relatives au bloc fonctionnel en panne et -

des autres informations utiles soit pour lediagnostic ultérieur- -

du deuxième niveau, dont il sera question par la suite, soit pour

leur mémorisation éventuelle.

Si l'on suppose à titre d'exemple que l'ordinateur A

soit celui qui- fonctionne mal, lesdites informations arrivent-

à l'ordinateur de support 15 à travers le canal 16A, la section de contrôle 16, le canal 19 ou, comme alternative, à travers le

canal 116A, section de contrôle 116, canal 119.

Lesdits contrôleurs couvrent environ 80 + 9eo des pannes possibles intéressant l'ordinateur; en présence d'une panne non révélée par lesdits contrôleurs, se déclenche l'alarme dite de désadaptation conséquente à une comparaison erronée révélée par les deux sections 9 de mise à jour et de synchronisation: dans ce cas les deux ordinateurs A, B sont isolés réciproquement et, dans tous les deux, à lieu une requête d'interruption (de grade hiérarchique supérieur aux autres requêtes d'interruption) avec interruption de l'élaboration dans le but d'amorcer un programme I approprié spécialisé de diagnostic. Dans le cas o ce programme

spécialisé réussirait à localiser l'ordinateur en panne, ce der-

nier serait isolé tandis que l'autre fonctionnerait comme "maI-

tre"; dans le cas o la panne ne serait révélée dans aucun des deux ordinateurs A, B ces derniers rentreraient en synchronisme

ce qui comporterait (dans la presque totalité des cas) l'activa-

lion successive de l'un desdits contrôleurs avec les conséquences

dont il a été question ci-dessus.

--à Tout le diagnostic du premier niveau peut être effectué

automatiquement uniquement dans le cas o le mauvais fonctionne-

X.. truent n'est pas catastrophique, c'est-à-dire dans le cas o il n. 'est pas tellement grave que l'ordinateur intéressé par la panne soit complètement inutilisable: dans cette dernière situation,

[.idemment il n'arrive aucune information à l'ordinateur de sup-

port 15 sur la nature et sur la localisation de la panne dont il

a été question ci-dessus.

En définitive, pour résumer ce qui précède, l'ordina-

teur de support a à sa disposition des informations sur la nature de la panne (dans le cas o aurait eu lieu le diagnostic du

premier niveau) ou bien il n'a pas d'informations ou ces derniè-

res sont incohérentes: dans ce dernier cas il doit mettre en

train une procédure générale de diagnostic.

A ce point l'ordinateur de support 15, si l'an suppose

encore que l'ordinateur A est en panne, utilise encore initia-

lement les canaux 16A (ou comme alternative le canal 116A) pour vérifier l'existence dans l'ordinateur A de la survivance des 249u052 parties fondamentales de l'ordinateur (procédure "hardcore") sans lesquelles l'amorçage d'autres programmes de logiciel relatifs

au diagnostic du deuxième niveau ne serait pas pensable.

Successivement (en supposant d'utiliser la section de contrôle 16) est activé le canal 20A (de façon à intervenir di- rectement, en se substituant à celle-ci, sur l'unité de console 10 de l'ordinateur A) tandis que le canal 16 -est utilisé pour la gestion désdites informations auxiliaires vers l'ordinateur maître B. En définitive ce qu'on appelle diagnostic du deuxième niveau de la commande centrale (par exemple de l'ordinateur A)

est effectué avec l'aide de l'ordinateur de support 15 en utili-

sant les sections de contrôle et les canaux bidirectionnels dont il a déjà été question; ce diagnostic est mis en train par le même ordinateur de support après la réception d'un message provenant de l'ordinateur en panne qui l'avertit de la situation qui s'est créée. L'ordinateur de support se charge d'obtenir les

informations relatives au diagnostic du premier niveau et il in-

forme l'opérateur à travers des moyens visuels appropriés, suc-

cessivement est mise en train sur l'ordinateur de support une procédure qui a pour but de vérifier que dans l'ordinateur en

panne (par exemple l'ordinateur A) soumis au diagnostic survi-

vent les fonctions minimales qui permettent de mettre en train les procédures automatiques du deuxième niveau (utilisant dans ce but le canal 16A) (ou, comme alternative, le canal 116); le canal 20A connectant l'ordinateur 15 à l'unité de console 10 de l'ordinateur A est ensuite activé (comme on l'a déjà dit) et en

utilisant ce canal 20A et l'unité de console 10 (laquelle en in-

tervenant;, à travers le canal 14, sur l'unité centrale de contrô-

le correspondante 6, asservit complètement l'ordinateur A à l'or-

dinateur de support 15) sont exécutées, soit d'une manière autono-

me par l'ordinateur de support, soit sous la conduite de l'opé-

rateur, les procédures de diagnostic du deuxième niveau.

Sur la base des informations fournies par le diagnostic

du premier niveau, si elles sont disponibles (autrement on pro-

cède avec un diagnostic général) on charge, successivement, sur 9. l'ordinateur soumis au diagnostic (c'est-à-dire l'ordinateur A) les programmes qui permettent de solliciter le bloc fonctionnel examiné et d'obtenir les symptômes de mauvais fonctionnement; ces

programmes, qui résident sur l'ordinateur de support, sont toute-

fois exécutés sur l'ordinateur de la commande centrale soumise au diagnostic.

Chacun de ces programmes de diagnostic du deuxième ni-

vean se termine soit par la localisation de la panne soit par la requête à l'ordinateur de support de procéder en envoyant un autre programme, en descendant le long d'une chalne de programmes à arbre. L'opération de diagnostic du deuxième niveau se termine normalement par l'indication de la plaque à remplacer; pendant le diagnostic du..deuxième niveau des simples opérations manuelles de

Franchement, ou de débranchement, des connecteurs ou plaques peu-

vent être requises; ces requêtes d'opérations manuelles peuvent être-formulées conditionnées par des signalisations visuelles

bien spécifiées.

Les fonctions remplies par les sections de contrôle 16, 116 deviennent évidentes de ce qui précède; si l'on considère à titre d'exemple la section 16, cette dernière, en conditions de synchronisme des ordinateurs A, B permet la connexion à travers les canaux 16A' 163 de l'ordinateur de support 15 aux unités 3 d'entrée-sortie des deux ordinateurs; pendant le diagnostic du deuxième niveau (eh supposant que l'ordinateur A fonctionne mal) elle permet la connexion, à travers le canal 16B, de l'unité 3 d'entrée-sortie de l'ordinateur B à l'ordinateur de support 15 dans le but de gérer lesdites informations auxiliaires; toujours pendant la procédure de diagnostic elle utilise d'abord le canal 16A dans le but de vérifier la survivance des fonctions vitales dans l'ordinateur A et, successivement, à travers le canal 20AP

elle permet la connexion entre l'unité de console 10 de l'ordi-

nateur A à l'ordinateur de support 15.

Une autre fonction importante remplie par lesdites sec-

tions de contr8le.16, 116 consiste à garantir la possibilité de

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répéter les messages passant à travers ces dernières; en outre en cas d'erreurs le long des canaux qui accèdent aux mêmes sections de contrôle il est possible d'effectuer l'isolement instantané de la section de contrôle intéressée par un canal en panne-ce qui est particulièrement important étant donné que, comme on l'a déjà vu,

à travers les sections de contrôle il est possible d'accéder di-

rectement à l'unité de console des deux ordinateurs A, B. Une solution technique. originale des sections 16, 116 remplissant les fonctions spécifiées ci-dessus a été.défendue avec la demande de brevet déposée en France le 9 Juillet 1981 sous

le N2 81/13480 au nom-de la Demanderesse.

La forme de réalisation du présent appareillage décri-

te ci-dessus est la plus pratique et la plus avantageuse car elle permet, au moyen de deux seuls canaux bidirectionnels 19, 119 la connexion entre l'ordinateur de support 15 et les deux sections de

contrôle 16, 116; cela permet de placer ledit ordinateur de sup-

port même à une grande distance par rapport à la commande centra-

le sans que cela comporte l'utilisation d'un grand nombre de câbles. Dans le cas o l'ordinateur 15 serait"suffisamment" proche de la commande centrale, au lieu d'utiliser les canaux

' 120A; 20B, 120B, pour accéder aux unités de console 10, res-

pectivement de l'ordinateur A, et de l'ordinateur B, il est pos-

sible d'utiliser uniquement deux canaux 200A' 2003 (indiqués par une ligne hachurée dans la figure 2) pour connecter les unités de console directement à l'ordinateur de support 15; dans cette dernière situation, évidemment, les sections de contrôle 16, 116 sont moins "intelligentes" car elles doivent "gérer" un nombre

de canaux plus limité que dans les cas précédents.

Il est bien entendu que ce qui précède n'a été décrit qu'à titre d'exem1ple non limitatif, ce qui fait qu'on pourrait imaginer d'utiliser des blocs fonctionnels remplissant les mêmes fonctions des blocs fonctionnels correspondants décrits ci-dessus sans que cela constitue une limitation de la solution technique de

de la présente invention telle qu'elle a été décrit ci-dessus.

11.

Claims (3)

- REVENDIOATIONS -

1.- Appareillage pour la gestion des informations auxiliaires inhérentes à une commande centrale d'une pluralité

d'usagers périphériques et pour le diagnostic de cette même com-

mande centrale, cette dernière étant constituée par deux ordina-

teurs identiques (A, B,) dont chacun comprend une unité de mémoire centrale (2), une unité centrale d'élaboration (3), et une unité

('entrée-sortie (4), cette dernière pouvant être connectée, en al-

ernative à l'unité homonyme de l'ordinateur adjacent, aux usagers périphériques, lesdites unités étant connectées mutuellement à

<(' travers un canal de découplement électrique; ladite unité centra-

J1.o d'élaboration comprenant à son tour une unité centrale de con-

br8le (6), une.unité de génération des temps de base (7), une uni-

té de surveillance et de récolte d'alarmes (8), une unité de mise - jour et de synchronisation (9) et une unité de console (10), lr lesdites unités de génération des temps, de surveillance, de mise

à jour et de console étant connectées à l'unité centrale de con-

trôle à travers deux canaux respectivement destinés au transit des informations en sortie et en entrée de la et dans la même unité centrale de contrÈle; ledit appareillage étant caractérisé par

le fait qu'il comprend au moins un ordinateur(15 connecté, à tra-

vers au moins deux canaux bidirectionnels(19, 119,)à l'une et/ou à

l'autre de deux sections(16, 116 destinées au contr8le des messa-

ges provenant et dirigés de et vers ledit ordinateur(15 ainsi

qu'à l'adressage et au prélèvement des mêmes messages, sur com-

mande du même ordinateur(15,) vers et à partir d'ultérieurs canaux bidirectioniiels(16A, 16B; 116A, 116B)connectant les mêmes sections respectivement à l'une et/ou à l'autre munité d'entrée-sortie (3) associées auxdits ordinateurs (A,B), ainsi que des moyens

de connexion de l'ordinateur (15) aux unités de console (10) as-

sociées auxdits ordinateurs (A,B) de la commande centrale.

2.Appareillage suivant la revendication

1, caractérisé par le fait que lesdits moyens de connexion pré-

voient lesdits canaux (19,119), lesdites sections (16,116,) au moins deux couples de canaux bidirectionnels (20A, 20B; 120A, 120B) connectant respectivement les mêmes sections (16, 116) à

l'une et/ou à l'autre unité de console (10) associées aux ordina-

teurs (A,B) de la commande centrale.

3.- Appareillage suivant la revendication 1, carac-

térisé par le fait que lesdits moyens de connexion prévoient au

moins deux canaux bidireetionnels(2 00A, 200B) connectant l'ordi-

nateur (15) à l'unité de console (10) respectivement de l'ordina-

-eur (A) et de l'ordinateur (B).