CH94259A - Procédé perfectionné pour la réduction de minerais métallifères et appareil pour sa mise à exécution. - Google Patents

Procédé perfectionné pour la réduction de minerais métallifères et appareil pour sa mise à exécution.

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CH94259A
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  Procédé     perfectionné    pour la réduction de     minerais        métallifères.    et appareil  pour sa mise à exécution_    Dans le procédé américain connu. dit       Wetherill,    pour la réduction de minerais  métallifères, la charge de la matière métal  lifère, mélangée avec un agent réducteur  et     étaaée    sur un lit de combustion en igni  tion, est soumise à un soufflage entretenant  ,la combustion et est amenée à une tempé  rature suffisamment élevée pour réduire les  composés de métal et volatiliser le métal  réduit, sans amener la charge à un état       dans    lequel.

   elle serait     imperméable    à l'air       soufflé        -ou    au tirage, la charge tout entière  étant supportée sur une grille ou une sole  perforée établie de     -manière    à la tenir sans  permettre qu'une partie     considérable    tombe  à     travers,    la matière travaillée étant déchar  gée sous forme d'une masse .agglutinée ou       frittée.     



  Le traiter     ent    suivant le     procédé          Wetherill        pratiqué        ordinairement    présente  certains     inconvénients,    qui nuisent à son  plein     rendement.    Parmi ces     inconvénients     il faut citer en premier lieu, la tendance  inévitable à la formation de soufflures, ou    de cratères, en diverses régions de la  charge.

   Le travail, ou     râblage    de la charge  pour briser ces     soufflures;    constitue un  travail     considérable    et, de plus, la formation  de     soufflures    donne lieu à une perte .de  combustible et rend inefficace la     récupéra-          Lion    des produits de valeur:  En outre, les résidus provenant du four  à la fin     -de        l'opération,    contiennent des pour  ventages notables     @de    métal.

   Le métal con  tenu clans ces résidus ne     puut    ordinairement  être récupéra industriellement et     i1    gêne  clans une plus ou moins large mesure la  marché, normale du four et. tend à se ras  sembler- et à- obstruer les carneaux de ce  lui-ci.  



  Un autre défaut de la     conduite    habituelle  (lu .four est que le soufflage ou le tirage  forcés tendent à projeter dans l'espace libre  qui se trouve au-dessus de la charge plus  ou moins de poussière, et que ce soufflage  de poussière est encore aggravé par les     râ-          c:lages.    Cette poussière contamine le :pro  duit volatilisé, détériore sa couleur et le      rend moins vendable.

   Ces     inconvénients    et  bien: d'autres de l'opération du traitement  au four, telle qu'elle a été     pratiquée    d'une       façon!        générale    jusqu'à présent, sont     sur-          montés    à un degré- très remarquable par  des perfectionnements de la pratique, con  sistant à fournir soit le combustible d'allu  mage, soit la     charge    de travail, soit les cieux  à la sole du four sous la forme de briquet  tes.  



  Dans la pratique industrielle, le four  dans lequel on exécute le procédé     susinen-          tionné,    a, jusqu'à présent, été d'une façon  générale constitué sous la forme d'un bloc  contenant .plusieurs unités de grille. Cette       disposition.    a pour but     d'arriver    à une con  tinuité relative d'action dans le traitement de  charges qui, individuellement, sont travail  lées d'une     façon        intermittente.    Ainsi, bien  que le fonctionnement -de     l'ensemble    du  bloc puisse, au point de vue pratique, être  considéré -comme     plurs    ou moins continu,

    l'opération cri ce qui concerne une unité de  grille individuelle quelconque, est.     intermit-          fiente.     



  On a déjà exécuté :le procédé     Wetherill,     en faisant avancer la charge en ignition  d'une manière continue à travers une zone  du four, dans laquelle elle entre en combus  tion convenable. L'une des     difficultés    que  l'on a rencontrées en essayant. de faire avan  cer à travers une zone de combustion une  charge de     matériaux:    finement divisés,  charge supportée sur une grille mobile, est  d'assurer un bon joint sur les côté de la  charge.

   Le mouvement relatif entre les pa  rois .latérales de la zone respectivement de  la chambre -de combustion     etla    grille en mou  vement donne lieu à la formation d'une ré  gion très susceptible de laisser passage au  vent, ou. air à travers la charge, parce que  la charge ne :peut faire contact avec des  parois sans tomber en grande     quantité    dans  l'espace entre les parois et la grille.  



  Dans le procédé perfectionné     suivantla    pré  sente invention, on fait avancer à travers une  chambre, où elle entre en     combustion,    une       charge    do travail contenant de la matière         métallifère    étalée sur une     couche    allumée  de combustible     d'allurriage    sous la forme de       briquettes,    et fait passer     simultanément    un  gaz     comburant    dans la charge et enlève le       produit    volatilisé résultant, une partie au  moins (le ladite charge de travail     était    em  ployée sous forme do briquettes.  



  On peut     mettre    sous forme de briquettes  soit la matière métallifère, soit le combus  tible de la charge do travail, soit un mé  lange des deux.  



  Le four     métallurgique    pour la mise en  pratique du susdit procédé,     comprend    une       chambre    -de combustion, une sole     perforée          mobile,    disposée pour supporter et faire  avancer à travers ladite     chambre    une  charge contenant de la matière en briquettes  qui fait     contact    avec les parois     latérales    de  1_a chambre en question, en     empêchant    par  cela     même    toute     perte    de vent entre la  charge     avançante    et les parois latérales de  la chambre.

   Le four comprend en outre des  dispositifs pour .déposer une couche -de com  bustible d'allumage sur la sole mobile, une  chambre ou l'on maintient une température  assez élevée pour allumer cette couche de  combustible d'allumage sur la sole mobile,  des dispositifs pour étaler une charge (le  travail sur la couche allumée de combustible  d'allumage, des moyens pour enlever le:  produit     volat.ilis#n    de la chambre de combus  tion et des     dispositfs    pour faire passer un  gaz     comburant    à travers les perforations de  la sole et dans la. charge supportée par  elle.  



  Dans la façon de faire qu'il est. préfé  rable     -d'adopter,    la charge de travail, sous la  forme de briquettes faites d'un mélange de  matières métallifères, telles, par exemple.  que de la matière zincifère ou plombifère,  ou plombifère et zincifère, et d'un agent     ré-          clucteur    approprié, est. étalée sur une couche  bien allumée de combustible d'allumage,  également sous la forme de briquettes, et  la charge tout.

   entière, supportée sur une  sole de four perforée, est avancée à travers  une zone, ou chambre -de combustion con-           venable.    Les briquettes de combustible peu  vent, si on le     désire,    contenir un     ,pourcen-          ta.ge    de matière     métallifère-tel        .que    cela ne  les empêche point     de    jouer fleur rôle normal.  



  Ces briquettes sont avantageusement de  grosseur et -de forme telles qu'elles réduisent       sensiblement,    la résistance -offerte au gaz  comburant et offrent néanmoins un lit sen  siblement uniforme pour supporter la  charge de travail     superposée,    de manière à  donner libre accès, -à     travers        celle-ci,    au gaz  comburant et à en assurer     îa    distribution  pratiquement égale.

   A cet effet, les briquet  tes de     combustible    d'allumage, aussi       bien;    que les briquettes constituant la  charge de travail, sont de     préférence     de grosseur sensiblement uniforme et  de forme telle qu'elles roulent ou cul  butent facilement les unes sur les au  tres. On a trouvé que des .briquettes en  forme de     plombs,de    fil à plomb, pointues  ou. arrondies, ou     -d'oeufs,    et     d'autres    formes  similaires, conviennent bien     pour    remplir  ces     conditions.     



  L'un des avantages qu'il y a à employer  un agent réducteur mis en     -briquettes,    sous  l'une quelconque des formes     décrites        ci-          dessus,    est que cela permet d'utiliser des  matières     carbonacées    de qualités     meilleur          marché    et très menues., comme l'anthracite  plus petit que des .grains ou perles, les ré  sidus de     lavage,de    houillères, le poussier de  charbon, la braise de coke etc.  



  Les briquettes de combustible d'allumage  et     les    briquettes de charge de     travail    peu  vent être .préparées suivant un procédé ap  proprié     quelconque    de manière à leur im  primer le degré désirable de résistance à       l'émiettement    -el;

   à, la rupture, de façon à ce  qu'elles puissent être librement soumises à  la     manutîention        brutale    inhérente à leur em  magasinage, à leur transport au fourneau  et à leur chargement dans celui-ci, soit à la  main, soit     autrement.    Dans le cas de .la     ma-          tièref    métallifère mise     erv    briquettes,     i1    est  également -désirable que les briquettes pos  sèdent une résistance telle à l'émiettement  et à la     rupture,        qu'%lles    conservent sensible-    ment leur forme durant tout le traitement  au four,     de    façon à,

   ce qu'elles soient pour la  majeure partie déchargées du four sensible  ment sous leur     forme    physique originelle.  



  Une forme d'exécution du four pour la  mise en pratique du procédé est représentée  schématiquement et 'à titre d'exemple, dans  <B>le</B> dessin annexé, dans lequel:       Fig.    1. en est une élévation en coupe,       Fig:    2, une élévation latérale,       Fig.    3, un plan;  Fi<B>g.</B>     1t,    5 et 6 sont des coupes suivant       r1        r1,    5-5 et 6-6, respectivement,     fig.    i;

         Fig.    7 est une coupe du niveleur refroidi  par eau pour la charge de travail mise en       briquettes,    et       Fig.    8 est un détail de la sole perforée  du     .four.     



  Le four représenté possède une sole mo  bile 10, établie sous la forme d'un trans  porteur continu. Cette sole est établie de la       même    façon que celles employées clans les       chargeurs    mécaniques pour foyers. Elle     est;     constituée pas     plusieurs    sections de grille  assujetties par leurs extrémités à des chaînes       i1.    Chaque section de grille est composée  d'un cadre rigide possédant une nervure  en queue d'aronde, sur laquelle sont enfi  lées ou clavetées les pièces relativement  étroites 12. Les pièces ou éléments 12 tout en  étant mécaniquement en contact les uns  avec les     autres    permettent au gaz carbu  rant de .passer entre eux.

   Les espaces exis  tant entre des sections de grille adjacentes  et entre des éléments adjacents 12 de cha  que section de grille, offrent des perfora  tions ou petits passages uniformément dis  tribués sur toute la surface de la sole.  



  Les deux chaînes 11 coopèrent avec des  roues de     chaînes    13 et     11t    par lesquelles elles  sont actionnées et. qui sont assujetties à des  arbres, 15 'et 16, respectivement, situés aux  extrémités opposées du four. Les arbres 15  et 16 sont reliés par l'intermédiaire d'en  grenages à vis sans fin, réducteurs de vi  tesse 17 et 18, de roues d'angle 19 et 20  et     d'engrenages    réducteurs à vis sans fin 21  et 22, respectivement., à un arbre commun      23. Cet arbre peut être mis en mouvement  par une poulie 24     disposée    pour être reliée  à une source de force motrice qui peut. être,  par exemple, constituée par un moteur élec  trique.

   Avec cette disposition, les arbres 15  et 16 situés aux extrémités opposées du four  sont commandés à la même vitesse et la sole       10        àdu    four est par cela même, commandée  par .les roues de chaîne     coopérantes,    situées  à chaque bout de ce four. '  L'enveloppe du four est construite en  maçonnerie réfractaire, sensiblement de la  manière usuelle, avec un revêtement de bri  ques rouges à l'extérieur. La maçonnerie et  en particulier les voûtes et les sommiers,  sont tenus en position par des supports ver  ,ticaux 25 et -des liens ou tirants transver  saux 26. Les supports 25 sont. articulés par  leurs     .extrémités    inférieures à des plaques  d'ancrage 27, noyées clans     chi    béton.

   Des res  sorts à boudin     relativement    forts     2s    sont.       associés    avec les liens ou tirants     26    pour       forcer    l'un vers l'autre les deux supports  coopérants situés sur des côtés opposés du  four de manière à tenir ainsi .les supports  fermement .appuyés contre les plaques de  sommier 29.  



  Les plaques de sommier 29 sont en  forme de L. comme on le voit aux     fig.    4 et  6, et elles sont     disposées    .pour supporter les  sommiers 30. Les voûtes du fourneau sont  supportées par les sommiers 30 de la ma  nière habituelle, comme ce sera plus parti  culièrement décrit. ci-après. Les supports 25  ne sont en contact qu'avec les plaques de  sommier 29 et sont ainsi     séparés    par un léger       espace    de la paroi latérale de .la maçonnerie.

    Grâce à cette disposition, les tirants 26 et  les ressorts coopérants 2,8 servent. à ap  puyer fermement     chaque    paire de supports  coopérants contre les plaques 29, et. de la  sorte, tout retrait dans la maçonnerie de la  voûte du four à mesure que le fourneau  sèche, est rattrapé et le danger due la voûte  tombe est pratiquement éliminé. Le mon  tage     fc.    pivot des supports 23 à leurs extré  mités inférieures-, permet le     mouvement.    né  cessaire de ces supports autour dudit pivot    pour     compenser    le retrait ou l'allongement       clo        ila    voûte du four.  



       L'intérieur    do l'enveloppe du four est       divisc-t    en une série de chambres par des  cloisons suspendues. Ainsi une     chambre     d'allumage ou de     combustion    31 est. prévue       fc,        l'extrémité    de     clrargenient    du four par les  cloisons suspendues 32 et 33. Une chambre  de chauffage du minerai 34 est prévue entre  les cloisons suspendues 35 et 36.

   Les cloi  sons 33 et 35 sont convenablement espacées  pour se prêter à la     réception    des dispositifs       chargeurs    pour la charge de travail mise en       briquettes,    comme ce sera     décrit    plus loin.       La    chambre 79 d'émission de fumée, ou<B>de</B>  fabrication d'oxyde, du     fourneau,    est située  entre les cloisons     suspendues    36 et<B>37.</B>  



  Trois     clierninées    de départ,<B>38,</B> 39 et 40.  sont prévues pour emmener de la zone d'é  mission de fumée le produit volatilisé     ob-          tenu        .dedans    comme résultat de l'opération.

    Les cheminées     3S,    39 et 40 peuvent être re  liées à des     dispositifs    collecteurs de fumée  distincts, ou bien elles peuvent communi  quer avec un     carneau    et un dispositif col  lecteur.<B>(Je</B> fumée     communs.    La     chambre          d'allumage    31     possède    une     cheminée    de dé  part     47.    el; la. chambre de chauffage de mi  nerai     3Hï,    une cheminée de départ 42.

   Les  gaz passant par les     cheminées    de départ 41  et 42 peuvent abandonnés à     l'atmosphère,     ou être soumis à un traitement. convenable  quelconque.  



       A.        l'extrémité    de décharge du four, une       chambre    43 est prévue entre la cloison     sus-          pernduo    37 et la cloison<B>37.</B> . Sur l'un des  côtés de la     chambre    13 se trouve une porte  de surveillance 44,     tandis    que, sur l'autre  côte; il. existe une porte à coulisse 45.

   Ces       portes    sont pourvues de moyens permettant  d'avoir     facïlement        accès    aux roues de chaîne  arrière     14.    Des portes de surveillance 46  sont. prévues à des intervalles appropriés sur       chaque    côté du four et. débouchent     directe-          nient-    dans les chambres ou zones de com  bustion de celui-ci.  



       lies    cloisons     suspendues    32, 33, 35, 36 et  3<B>"7</B> sont; tenues en position sensiblement de      la même manière. Chacune d'elles est cons  tituée par plusieurs briques ,réfractaires rec  tangulaires. Des tiges 47 sont noyées dans       ceo    briques     réfractaires    rectangulaires, s'é  lèvent à travers la voûte et le ciel du four  et sont assujetties en place en étant boulon  nées aux poutrelles transversales 48.

   Les  espaces en forme de secteurs existant     entre     la surface     -supérieure    de ces briques réfrac  taires rectangulaires, et le dessous courbe  de la voûte du four sont remplis de     maçon-          nerie        réfractaire    de façon à former la cloi  son voulue entre les diverses chambres du       fourneau.-          La    cloison ou     ile    ciel 49 du fourneau est       établi    en maçonnerie réfractaire de la ma  nière usuelle et est supporté en     position    par  les sommiers 30, de la manière bien connue.

    Un remplissage de scories, 50, peut     être     placé sur le dessus de .la voûte 49. Le     locig     de chaque     muer    latéral du four, juste     au-          dessus    de la surface de travail de la grille  mobile 10, il est fait usage de briques en       carborundum    51, pour     empêcher    une fusion       entro    la charge et les .parois latérales du  four.  



  Une trémie 52 est     disposée    à l'extrémité  antérieure, ou de chargement     Uu    fourneau,  pour fournir le combustible d'allumage iris  en briquettes à la grille mobile. Un niveleur  de charge 53 est     .associù    avec .la trémie et  est susceptible d'être relevé ou abaissé au  moyen     d'un    volant 54 et d'un mécanisme  coopérant. Par ce soulèvement ou cet abais  sement de la barrière 53, on peut régler à       volonté        Pépais.seur    de la charge fournie à la  grille mobile     l0.     



  Une trémie 55 est disposée pour se dé  charger dans l'espace     compris    entre la cloi  son     suspendue    33 et la cloison 35. Une bar  rière, ou niveleur refroidi par eau 56 est       c        Élisposé    derrière la trémie 55 pour niveler  la charge fournie à la grille mobile par .la  trémie. La barrière 56, comme on le     verra    en  se reportant à la     fig.    7 des dessins, com  prend un caisson creux pourvu de chicanes  transversales 57 pour obliger l'agent     refroi-          clisseiir    circulant à travers à parcourir un    chemin en zigzag.

   Cet agent refroidisseur,  de l'eau     par        -exemple,    .peut être fourni à  l'intérieur du caisson creux par un tuyau  d'amenée 58 et être emmené par un tuyau  de départ 59. La barrière 56 est suspendue  au sommet du four par des tiges verticales  60 et on .peut la     régler    verticalement par  rapport à la grille mobile, au moyen des  écrous 61.  



  Comme cela a été expliqué déjà, la com  mande pour la grille     mobile,    est établie de  telle sorte que cette grille est commandée  des     ,deux    bouts par l'intermédiaire de l'ar  bre moteur principal. Le brin en retour de       7.a    grille est supporté sur des barres     fit    assu  jetties aux     ,plaques    latérales 63 du four  neau. Le plancher -de travail -du four est sup  porté sur une     fondation    64, élevée de façon  à faciliter la décharge     -de    la matière épuisée  de l'extrémité du     four,    le long d'un plan  incliné 65 dans des wagonnets ou autres ré  cipients.  



       Au-dessus    du brin en retour, ou :partie  inférieure de .la grille mobile 10, et hors du  contact     @de    cette grille, est disposé un .plan  cher 66 qui sert de fond aux compartiments  à air     situés    au-dessous de la surface supé  rieure ou de travail, de la grille mobile.       Cnatre    boites à air 67 s'étendent transver  salement au four, à des intervalles appro  priés, entre l'avant et l'arrière - de celui-ci  servent à admettre le courant nécessaire de  gaz comburant sous la grille perforée. 10.  L'espace compris entre des boîtes à air ad  jacentes 67 .est     -divisé    en :deux compartiments  au moyen des cloisons verticales 68.

   On re  marquera que grâce à cette disposition, huit  chambres ou compartiments à air sont pré  vus sous la grille perforée mobile 10. Des  plaques     d'usure,    67' et 68', sont de préfé  rence montées sur les dessus des boites à  air 67 et odes cloisons 68,     respectivement,,     pour servir de plaques de portée pour les  parties de la grille mobile .qui sont en con  tact avec elles.

   Le .premier compartiment à  air situé à l'extrémité avant ou de charge  ment du fourneau, est fermé à l'extérieur  par une paroi en tôle 69,. et une , paroi en      tôle, similaire, 70 ferme     1e        dernier        conï-          pa.4iment    à air situé à     l'extrémité        arrière,     ou de décharge du four.  



  Chacune des boîtes à air 67 s'étend à  l'extérieur du four sur l'un clos côtés,  comme on le voit aux fis. 2, 3 et 4 des des  sins: Chaque boîte à air est reliée,     exté-          rieurement    .au four, par un tuyau vertical  71 avec la conduite principale d'air 72. Cha  cun des tuyaux 71 est     pourvu    d'un registre  73 pour régler la quantité d'air fournie â  sa boîte à air. Les deux parois transversales  de chaque boîte à air 67 sont pourvues d'ou  vertures 74. Un registre 75 se     terminant    par  une poignée 76 à l'extérieur de la boîte à  air, est prévu pour chaque série d'ouver  tures 'ii.

   En     manoeuvrant    les poignées 76  vers l'intérieur ou vers l'extérieur, on peut  régler la section des     ouvertures        '74    et assu  rer de cette façon, le réglage de l'air soufflé.  On remarquera que, bien que chaque boîte  à air serve à fournir le gaz comburant. à  deux     com.partimentg    à air, on peut régler  la quantité de gaz fournie à chaque com  partiment en     manoeuvrant    le registre 75  voulu.  



  Une     bàche    ou cuve à eau     ô'i    est do pré  férence disposée clans chacun des compar  timents à air et un tuyau 73 peut être relié  avec ces     cuves    pour y amener de l'eau.  



  Pour mettre le procédé suivant l'inven  tion en pratique au moyen du fourneau re  présenté sur les dessins ci-joints, les bri  quettes     d´        combustible    sont amenées à l'ex  trémité     antérieure    de la grille à travers la  trémie 52 et l'épaisseur du combustible  d'allumage est. réglée au moyen de la bar  rière<B>53</B> que, comme cela a été expliqué pré  cédemment, on peut relever ou abaisser à  une hauteur quelconque voulue. A partir de  ce point, les briquettes de combustible se  déplacent dans la chambre d'allumage du  combustible 31 et elles y sont allumées par  la température élevée maintenue clans cette  chambre. Les gaz sont emmenés de cette  chambre par     la,    cheminée     41.     



  A l'arrière de la chambre de combustion  du combustible, juste en arrière de la cloi-    son suspendue 33, la charge de travail mise  en briquettes est amenée sur les briquettes  de combustible lui ignition à travers la tré  mie 55. L'épaisseur de la charge de     travail     mise en     briquettes    est réglée par la barrière  0  56 que l'on peut fixer à toute hauteur vou  lue.

   Comme cela a été     expliqué        précéciein-          ment,        tette    charge do travail mise en bri  quettes, ainsi étalée sur les     briquettes    de  combustible en ignition, est avancée clans  ce que l'on peut appeler la     chairibre    de  chauffage (lu minerai, 34, clans laquelle la  charge est amenée à la température (le ré  duction. La cheminée 112 permet, si on le  désire, à l'effluent de cette chambre d'être  récupéré séparément de     celui        produit    clans  la     chambre        principale    de fabrication  d'oxyde 79.  



  La     char--(,    mise en     briquettes    passe alors       sous    la cloison suspendue 36 à la chambre  principale d'émission de fumée 79,     dans    la  quelle la réduction active de la charge s'ef  fectue. Le     vent    est réglé dans cette chambre  <B>(le</B> façon à ce qu'une réduction     complète    se  produise     penclanl,    le temps que la charge  met pour arriver à     l'extrémité    arrière de  la chambre.

   Des     chambres    d'échappement.,  les trois cheminées 38, 39 et 40     conduisent     l'effluent au système de carneaux et aux dis  positifs     collecteurs    de fumée,     cle    la     matière     bien connue. Chacune clos cheminées     42,    38,  39 et 40 est pourvue d'un registre 42', 38',  39' et 40', respectivement, pour     régler    le  passage de l'effluent     .de    façon à aider à con  trôler la température en tous les points de  la chambre 79.

   Une porte ou barrière traî  nante 80 est montée sous la cloison     suspen-          due    37 pour empêcher le passage, sous     celle-          ci    et     clans    la chambre 79, de courants     d'aïr.     



  De la     chambre    d'émission de     fumée    79,  les briquettes travaillées passent sous la  cloison suspendue 30i     .clans    la chambre ar  rière 43. Cette     chambre    est, également     pour-          vue    d'une cheminée 82 pour équilibrer le  tirage entre les chambres arrière et la cham  bre d'émission de fumée. A mesure que les  sections de grille passent par dessus les  roues .(le chaîne arrière 14, la charge tra-           vaillée    consistant en un léger mâchefer de  charbon et en briquettes travaillées, est dé  chargée sur le couloir 65 et passe de là  clans les trémies réceptrices non représen  tées.

   Une porte ou     barrière    pendante 81  est articulée à la     voûte"    37' et sert à main  tenir     normalement    fermée l'ouverture de  décharge des résidus de la chambre 43.  Lorsqu'une certaine quantité de résidu     s\est     amassée congre cette porte, 81, celle-ci  s'ouvre pour .permettre la décharge des ré  sidus sur le couloir 55.  



  La grille mobile du four se meut à une  vitesse très lente, quelques mètres à peine  à l'heure. La vitesse de la sole sera déter  minée par les     -dimensions    de: la chambre d'é  mission de fumée, le genre et la quantité  de matière métallifère     chargée    et d'autres  considérations bien connues des gens du  métier.

   Pour produire de l'oxyde de zinc  suivant l'invention, les     inventeurs    ont  trouvé qu'une     température    d'environ     ü00       à,     1\'50"        C    convient pour la chambre ou  zone d'émission de fumée ou de fabrication  d'oxydes,     lorsqu'on    fait usage des minerais  de zinc connus comme     "I'ranklin        furnace"     et, à cette température, la charge de travail  mise en briquettes, peut     ordinairement    être  travaillée     d'une    façon satisfaisante, ou<B>dé-</B>  barrassée du zinc qu'elle contient,

   en une  période de temps variant de deux heures et       demie    à trois heures et demie, lorsqu'on  travaille avec un     fourneau    dont la chambre  de     fabrication        d'oxydes        7"9    .a environ 5 mè  tres 40 de longueur, et avec une vitesse de  grille d'environ deux mètres dix à l'heure.  



  Dans la mise cri pratique industrielle     lia-          hituell.o    du procédé     Wetherill,    la matière       carbonacée    totale contenue clans la charge  (out entière, y compris le combustible d'al  lumage et le mélange de charge .de travail,  est plusieurs fois supérieure à la     quantité     théorique     nécessaire    pour réduire les     coin-          posés        -des    métaux     volatilisables    contenus  dans la charge.

   La pratique habituellement  suivie en général, jusqu'à présent, a con  sisté à placer la plus grande proportion de       la    matière     carbonacée    totale de la charge    clans le mélange constituant' la charge de  travail. Par exemple,     lorsqu'on    opère pour  la production d'oxyde     de    zinc avec les     mi-          iier.ais    de zinc dits     "Franklin        furnace",    bien       connus,    on a     coutume    de placer d'environ  15 à 25      0    de :

  la     matière        earbonacée    totale       de   <B>la</B> charge tout entière clans le combus  tible     U'allumage,    tandis que les 85 à     i5         0          restant,de    la matière     carbonacée    totale sont  mélangés avec le minerai pour former la  charge     @de    travail.

   D'une façon générale, la  couche de combustible     d'allumage    a une  épaisseur d'environ     vingt-ciiid        millimètres,     tandis que le mélange constituant la charge  de travail est étalé sur     Ia        ,combustible        d'al-          l.uiriage    allumé, en une couche d'environ       cent-vingt-sept    millimètres à     cent-soixante-          dixhuit        millimètres    d'épaisseur.  



       Uno        amélioration    très marquée     clans    le  rendement du procédé     Wetherill    peut être  assurée en     pla.cant    la plus forte     proportion          du    combustible total de la charge, sous la  forma de briquettes, dans le combustible  d'allumage, plutôt que .clans la charge de  travail, comme cela a été la coutume jus  qu'ici.

   Lorsqu'une proportion très considé  rable de la matière     carbonécée,    ou autre  matière combustible de la charge tout en  tière, est. ainsi retirée     de    la charge de     Lra-          vail    et placée -dans le combustible d'allu  mage sous la forme de briquettes, la charge       résiduelle    consiste en une cendre frittée re  lativement mince, résultant de la combus  tion des briquettes de combustible .d'allu  mage, et en la matière métallifère travaillée.

    La matière métallifère a été mise en bri  quettes et étalée sur les briquettes de -com  bustible .d'allumage en ignition, les     briquet-          te#i    de minerais travaillées sont déchargées  sensiblement sous leurs formes physiques  originelles, de telle sorte que les briquettes  travaillées peuvent être facilement séparées  do la     cendre    frittée clos briquettes de com  bustible d'allumage.

   De plus, étant donné  que les briquettes de la charge de travail  ne contiennent qu'une quantité relativement  faible de la matière     carbonacée    totale de la  charge,     la;    quantité résultante -de cendre           dans    les briquettes     métallifères    travaillées,  ou briquettes de minerai, est relativement  faible et ces briquettes travaillées peuvent,  par ce fait même, être très avantageusement  employées pour des opérations de fusion  subséquentes, afin -d'en récupérer     d'autres     produits métalliques     de    valeur comme ce  sera décrit plus complètement ci-après.

   En  conséquence, et en vue des avantages inhé  rents à cette façon de faire, la pratique qu'il  est préférable d'adopter pour la mise en  pratique du     procédé,    consiste à placer la  majeure .partie de .la matière     combustible     totale de la charge tout entière clans les  briquettes de combustible d'allumage et on  obtient     -d'excellents    résultats en     placant    d'en  viron     '75    à environ 85 % de la matière car  bonacée ou combustible totale de la charge  tout entière, .dans les briquettes de com  bustible d'allumage.  



  Il n'est pas ,besoin     ,de    se servir de rin  gards ni de râbles et la .charge n'a pas non  plus besoin d'être     dérangée    d'une manière       quelconque    pour la mise en pratique du  procédé. La seule main-d'oeuvre nécessaire  consiste à fournir les briquettes au four  neau et à charroyer le mâchefer et les bri  quettes travaillées,     -déchargées    dans les tré  mies ou     wagonnets    prévus à cet. effet. Il n'y  ne, pas non plus de     production    de     souf-          flures,    ni de     col:latge    de la charge aux parois  latérales et pas de perte de vent à l'endroit  des parois latérales.

   Les briquettes avancent  uniformément et l'allumage, aussi bien des  briquettes de     combustible    que des briquettes  constituant la charge de     travail,    est très uni  forme. Le mâchefer, consistant en une  couche relativement mince de cendre de  charbon et de briquettes brûlées ou cuites,  se     décharge    facilement et aucune     main-          d'oeuvre    n'est nécessaire pour le décharger.  



  Lorsque la matière métallifère de la  charge de travail est fournie à la sole du  fourneau sous la forme de briquettes, les  briquettes travaillées conservent, pour la  majeure partie, leur forme originelle, avec  seulement une fusion naissante. Certaines    de ces briquettes de la charge de travail se  trouvent presque     inévitablement    brisées ou  broyées dans la manutention préliminaire  et le traitement au fourneau; mais ces bri  quettes conservent, pour la majeure partie,  leur forme physique originelle.

   Après le       traitement    au four, ces briquettes sont re  marquablement dures et presque semblables  à du coke en ce qui concerne leurs caracté  ristiques physiques et il est facile de les sé  parer de la cendre de charbon frittée des  briquettes de     combustible        d'allumage.     



  Cette possibilité de séparer facilement  les briquettes métallifères, ou de minerai,  travaillées, de la cendre des briquettes de       combustible,    présente un avantage spécial:  lorsque les briquettes métallifères travail  lées doivent être soumises à un traitement  ultérieur pour la récupération de métaux de  valeur non volatilisables par le procédé       Wetherill.    Dans le cas     oii    les briquettes de  la. charge de travail.

   consistent en un mé  lange de matière métallifère et d'agent     carbo-          nacé        réducteur,    les briquettes     travaillées     contiennent, en plus de la     matière,        métal-          lifère    travaillée, la cendre de l'agent     car-          bonacé    réducteur -consumé, aussi bien     que    la  partie non consumée de l'agent.

   La cendre  est composée principalement de silice et     d'a-          1un        iiine    et elle constitue, d'une façon géné  rale, un inconvénient pour tout traitement  subséquent des briquettes métallifères tra  vaillées.

   C'est ainsi, par exemple, que, dans  les cas où les briquettes travaillées sont fon  dues dans un four à     vent    pour la produc  tion     -de    fonte     s.piegel,    une certaine quantité  de fondant est nécessaire pour amener à  l'état de laitier la cendre présente dans les  briquettes métallifères travaillées et, lorsque  cette     quantité        -de    cendre est relativement  grande, il est nécessaire d'employer une  quantité par trop grande de fondant, ce qui  a pour résultat la production d'une quantité  trop grande de scorie, ou laitier. En plaçant  a, peu près quatre-vingt-cinq pour cent de la.

    matière     carbonacée    totale de la charge tout  entière dans les briquettes de combustible  d'allumage, 1e, masse principale, par exem-           ple    environ quatre-vingt-cinq pour cent., de  la. cendre de la matière     carbonacée    totale  de la charge se     trouvedans    le mâchefer     ré-          siillant    de la combustion des briquettes de  combustible -d'allumage et les briquettes mé  tallifères . travaillées ne sont, par consé  quent, souillées que par une     quantité        rela-          livem.ent    faible de cendre.

   En raison de cette  contamination relativement légère des bri  quettes     métallifères    travaillées par la cen  dre, aussi bien qu'en raison de leurs pro  priétés physiques, ces briquettes     convien-          iierit    particulièrement bien pour un     traite-          nient    subséquent dans clés fourneaux à vent.  Outre qu'elles     conservent    leur forme origi  nelle, ces briquettes sont d'une nature     po-          rense    due au fait des métaux volatilisés.  



  Un contrôle très exact et uniforme de la       tern,pérature    dans tout le four et, par suite,  durant tout le travail est assuré avec le four  représenté. C'est ainsi que l'on peut régler  et contrôler exactement la     température    des  diverses     chambres    ou zones du four en ré  glanL convenablement les registres 73 des  divers     compartiments    à .air et que les tem  pératures de travail voulues sont faciles à       maintenir    dans tout le four.

   Cette unifor  mité des conditions de température est. ac  compagnée par des conditions de travail       pratiquement    uniformes de la nature voulue  dans tout     1o    four et a pour résultat l'obten  tion d'un produit uniforme, de qualité meil  leure, aussi bien     qu'une    augmentation de       rendement.    C'est ainsi que, .par la mise en       pratique    du     proc^dé    dans ce four, on est.

   à       mème    ,d'assurer des récupérations supé  rieures à     quatre-vingt-dix        (90)    pour     cent,des     métaux volatilisables de la charge., comme  l'indique l'analyse de mâchefer. L'opération  est sensiblement.     automatique    et n'exige  qu'éventuellement une surveillance, ce qui  assume par cela même une grande écono  mie clans la     main-d'ceuvre    par rapport à  celle nécessitée pour la conduite des types  actuels de fourneaux à oxydes.

   La combus  tion du combustible d'allumage est sensible  ment complète, clé     telle    sorte que pratique  ment toute la valeur calorifique du com.-         bustible    est     effectivement    utilisée, ce qui  permet par cela     même    une économie clans  la quantité de combustible nécessaire; en  comparaison de celle qui est exigée pour  travailler avec les types     ,clé    fourneaux à  oxydes dont on s'est servi jusqu'ici.

Claims (1)

  1. R,E\'E-'ÇDICATIQ@TS I Procédé pour la réduction clé minerais métallifères, dans lequel on soumet dans un four une charge de ce minerai mé langée avec un agent réducteur et étalée sur une charge de combustible en igni tion, à un courant forcé d'air, de façon à l'amener à une température suffisam ment élevée pour réduire la matière mé tallifère, sans amener la charge à un état dans lequel elle ne laisserait ,plus passer l'air, la charge tout entière étant portée par un support ,perforé,
    procédé car.attér isé par le fait qu'on fait avancer à travers une chambre la charge clé tra vail contenant la matière métallifère étalée sur la couche allumée de combus tible d',allumage mise sous la forme de briquettes, fait. passer simultanément le gaz comburant dans la charge et enlève le produit volatilisé résultant, une partie au moins de la charge de travail étant em ployée sous forme clé briquettes.
    Il Un four métallurgique pour la mise en pratique du procédé suivant la revendi cation 1, comprenant une chambre de ,combustion, une sole perforée mobile, disposée pour supporter et faire avancer à travers .ladite chambre la charge con tenant la matière en briquettes qui fait contact avec les parois latérales de la chambre en question, en empêchant, toute perte de vent entre la charge avan çante et les parois latérales clé la, cham bre, des dispositifs pour déposer une couche de combustible d'allumage sur la sole mobile,
    une chambre où l'on main tient une température assez élevée pour allumer cette couche do combustible d'allumage, des dispositifs pour étaler la charge de travail sur la couche allumée de combustible d'allumage, des moyens pour enlever le produit volatilisé de la chambre de combustion et des dispositifs pour faire passer un gaz comburant à travers les perforations de la sole et. dans la charge supportée par elle. SOUS-REVENDICATIONTS 1 Un procédé suivant la revendication I.
    caractérisé par le fait que la matière mé tallifère est fournie, en totalité ou en par tie, sous la forme de briquettes. 2 Uri procédé suivant la revendication I et la sous-revendication 1, caractérisé par le fait que la charge de travail est fournie sous la forme d'un mélange mis en br _ quettes de matière métallifère et d'agent réducteur.
    3 Un procédé suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que le combus tible d'allumage est. fourni sous la forme d'une couche rela.tivîE#ment épaisse de briquettes dans lesquelles est comprise la majeure partie de la matière combus tible totale de la -charge tout, entière.
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