Machine à former des éléments de charnière sur les couvercles et les corps de boîtes métalliques et à les interconnecter à charnière. La présente invention a pour objet une machine à former des éléments clé charnière sur les couvercles et les corps de boîtes mé talliques et à les interconnecter à charnière, cette machine présentant la particularité qu'une crosse montée de façon à ef fectuer un mouvement de va-et-vient dans un guide du bâti de la machine est pourvue d'un porte-matrices auquel sont assujetties des matrices supérieures coopérant avec des matrices inférieures assujetties à un socle mobile qui, monté de façon à pouvoir glis ser dans le bâti de la machine, porte des moyens de guidage pour le porte-matrices,
et que des dispositifs d'entraînement et de mise en place automatiques sont prévus pour amener des ébauches formant les cou vercles et les corps de boîte, d'une façon in termittente, auxdites matrices inférieures et les y appliquer, ces dispositifs d'entraîne ment et clé mise en place étant commandés par deux arbres horizontaux montés l'un sur le côté du bâti de la machine et l'autre à l'arrière dlu socle et dérivant leur mouve ment d'un arbre de commande principal qui, monté dans le bâti, porte une manivelle reliée, par une bielle, à la crosse précitée.
Sur les dessins ci-joints, donnés à titre d'exemple: Fig. 1 est une vue en perspective d'une forme d'exécution de l'objet de l'invention, des moyens destinés à l'entraînement des couvercles et cles corps, à la formation d'élé ments clé charnières sur ceux-ci et à la dé charge des corps et des couvercles reliés à charnière étant omis pour plus de clarté; Fig. 2 est une coupe suivant la. ligne 2--2 de, la fig. 5; Fig. 3 est une coupe similaire à la fig. 2, certaines parties étant enlevées pour en lais ser voir plus clairement d'autres;
Fig. 4 est une coupe suivant la ligne 4-4 de la fig. 2; Fig. 5 est une élévation latérale d'une partie de la machine; Fig. 6, 7, 8 et 9 sont des coupes respec- tivesment suivant les lignes 6-6, 7--7, 8-S et 9-9 de la fi,,g,. 2; Filg. 10 est une élévation d'arrière des or ganes actifs de la machine représentés à la f ig. 4; Fig. 11 représente les moyens pour en traîner les ébauches de couvercle et de corps de boîte à la machine; Fil. 12 et 13 sont des coupes suivant le plan indiqué en C-C, fig. 11; Fig. 14 et 15 sont des coupes suivant le plan indiqué en D-D, fig. 11;
Fig,. 16 et 17 montrent un dispositif qui dirige les ébauches de couvercle et de corps de boite de l'endroit d'alimentation à des jeun de matrices disposées pour former les éléments de charnières; Fig. 18 est une vue en perspective d'un mécanisme pour commander l'arrivée des ébauches de couvercle et de corps de boîte à interconnecter; Fig. 19 est une vue en perspective d'une partie du dispositif qui dirige les ébauches de couvercle et de corps de boîte de, l'endroit d'alimentation aux jeux de matrices formant les éléments de charnières: Fig. 20, 21, 22 et 23 représentent des dé tails à plus grande échelle; Fig. 24 est une vue en perspective de moyens pour former les couvercles sur les corps de boîte et pour décharger les boîtes de la machine;
Fig. 25 et 26 sont des coupes suivant les plans indicquées respectivement en A-A et B-F à la fig. 24; Fing. 27 est une vue en perspective d'une variante de détail; Fing. 28 et 29 sont des vues en perspec- iive d'ébauches de corps de boîte et de cou vercle, respecfivement; Fig. 30 et 31 montrent en coupe des par ties d'un premier jeu de matrices de forma tion clos éléments de charnières avec des parties d'une ébauche de couvercle et d'une ébauche de corps de boîte en place dans ce jou dle matrice; Fig. 32 et 33 sont des vues en perspec- tive des ébauches de corps de boîte et de couvercle telles qu'elles sortent du premier jeu de matrices;
Fig. 34 et 35 montrent des parties d'un second jeu de matrices de formation des éléments de charnière, clos parties des ébauches de couvercle et de corps de boîte, telles qu'elles sont conformées par le pre mier jeu de matrices, étant représentées en position dans ce second jeu de matrices; Fig. 36 et 37 sont des vues en perspec tive représentant, des parties des ébauhes de couvercle et de corps de boîte respective ment, telles qu'elles se présentent après leur passage dans le second jeu de matrices; Fig. 38 et 39 sont des coupes d'un troi sième jeu de matrices avec les ébauhes de couvercle et de corps de boîte en position pour être interconnectées; Fig. 40 est une vue en perspective d'une boîte avec couvercle et corps reliés à char nière conformément à l'invention;
Fig. 41, 42 et 43 sont des vues en perspec tive du premier jeu de matrices, du second jeu de matrices et du troisième jeu de ma trices, respectivement, la matrice supérieure de ces jeux étant tournée (le côté pour bien laisser voir son dessous; Fig,. 44 est lune vue d'arrière de l'un des éléments de la matrice supérieure (lu jeu de matrices de la fig. 42; Fig. 45 montre une variante du disposi tif qui fournit les ébauches de couvercle à la machine; Fig. 46 et 47 en Bont des coupes suivant les lignes 10-i0 et 1i-11 respectivement. de la fig. 45; Fi-. 48 représente aine variante d'une partie de la machine.
20 (fig. 1 à 10) désigne un bâti en fonte dont. la partie inférieure n'est pas représen tée et. dont. la partie supérieure est pourvue de deux paliers 21, clans lesquels tourne un arbre de commande- 22 pourvu, à son ex trémité, arrière, d'une poulie "3 faisant of fice de volant.
La poulie 23 est moiltt'c> folle sur l'arbre 22 dont elle est susceptible d'être rendue solidaire par un embrayage à friction (non représenté), qui peut être réglable pour per mettre de le régler à la résistance juste suffi sante pour vaincre les efforts normaux dûs au travail des parties actives de la machine. (le, façon à ce que, si un enrayage se pro duisait ou si une résistance inclue venait à être exercée par l'une quelconque des par ties, la commande de la machine se trouve suspendue avec la poulie tournant alors sur l'arbre, ce qui évite ainsi toute détérioration des organes de la machine.
A l'extrémité antérieure, l'arbre 22 porte une manivelle 24 disposée de manière à im primer un mouvement de va-et-vient ver tical à une crosse 25. La crosse 25 est re liée à la manivelle 24 au moyen d'une bielle 26 et elle glisse librement dans des glissières verticales 27 prévues dans la tête du bâti. Le dessous de la crosse 25 est pourvu d'un porte-matrices 28 muni de douilles 29 (lui glissent librement sur des colonnes de guidage 30 assujetties à un socle mobile 31.
Sur le dessous du porte-matrices 28 sont montées trois matrices supérieures 32, 33 et 34, disposées pour coopérer, comme re présenté aux fig. 30, 31, 34, 35, 36 et 37, avec un même nombre de matrices inférieures 321, 331 et 341, respectivement, montées sur le socle 31. Le porte-matrices 28 présente une partie descendante 35 (fig. 4 et 6), qui s'étend transversalement à lui et présente trois évidements 36 destinés à recevoir des queues 37 rapportées, d'une façon ajustable, sur les matrices supérieures. Ces dernières sont reliées aux queues 37 au moyen de bou lons et de trous plus larges 38, comme cela est représenté en lignes pointillées à la fig. 4.
Une rainure 39, en forme de T ren versé, est formée dans les extrémités supé rieures de chacune des queues 37 pour re cevoir les extrémités, conformées en consé quence, de vis de réglage 40 qui descen dent à travers le porte-matrices 28. Les vis de réglage 40 sont munies dé têtes confor mées de façon à leur permettre d'être ac tionnées pour relever ou abaisser les ma- trises supérieures, suivant les besoins, et elles sont pourvues de contre-écrous 41 au moyen desquels on peut les bloquer dans une position de réglage quelconque. Les queues 37 sont un peu plus larges crue la partie descendante 35 et elles sont retenues fermement dans leurs positions correctes.
à l'intérieur des évidements 36, au moyen de plaques 42 et de boulons 43, les boulons 43 étant vissés à demeure clans la partie des cendante 35 et portant des écrous 44 se ser rant contre les plaques de serrage 42.
Les matrices inférieures 321, 331 et 341 sont, assujetties au bloc, à matrices 45 (fig. 4) au moyen de vis 46 qui se vissent dans le des sus du socle mobile 31.
Les ébauches (le couvercle et de corps, 47 et 48 (fig. 28 et 29i, qu'il s'agit d'intercon necter à charnière, sont amenées du coté droit de la machine à travers des couloirs 49 et 50 respectivement (fig. 2, Il, 16 et 17) et sont dirigées aux matrices inférieures par le mouvement intermittent de tiges d'entraînement 51 montées de façon à cou lisser clans des rainures 52 formées trans versalement clans le dessus du socle 31.
Les ébauches de couvercle et de corps de boîte sont fournies aux extrémités supé rieures des couloirs d'alimentation 49 et 50, et des moyens sont prévus pour assurer la descente correcte de ces ébauches de cou vercle et de corps de boîte le long des cou loirs jusqu'à des plates-formes en gradins, 53, fixées aux tiges d'entraînement 51.
Les parties supérieures des couloirs 49 et 50 s'incurvent graduellement de haut en bas, l'une vers l'autre, et leurs parties inférieures sont disposées verticalement et sont assu jetties, d'une façon détachable. à un châssis de serrage 5!1 (fig. 2 et. 4) qui s'enmage clans tin châssis-guide 55, boulonné à, un Prolon gement. latéral 56 du socle mobile: 121. Les extrémités inférieures des couloirs 49 et 50 s'ajustent exactement dans le châssis de serrage 54 et:
celui-ci est. solidement. assujetti dans un évidement. 57", formé dans le dessus du châssis-guide 55. par une vis 58 (fil. 2. 5<B>1</B> et 10). La vis 58 traverse un bossage formé à l'extrémité supérieure d'une console 59 pi- vctant librement sur un axe 60 supporté en- fret des oreilles 61 formées sur le châssis- guide 55. Cette vis est bloquée en position par un écrou à oreilles 62 (fig. 5).
Le châssis-guide 55 est pourvu de joues parallèIes 63 (fig. 2) qui sont disposées le long des côtés de chacune des tiges d'en traînement 51 et assurent le maintien des ébauches de couvercle et de corps de boîte dans leurs positions correctes lorsqu'elle tonmlbent des couloirs d'alimentation sur les plates-formes en gradins 53 et pendant leur transport à. la première matrice inférieure 321. Ces joues pont supportées à l'une de leurs extrémités sur le châssis-guide 55 et en outre par un pont 64 adapté à un pro- longcinent rentrant de ce châssis.
Les mouvements des tiges d'entraînement vers l'extérieur obligent les ébauches de couvercIe et dle corps de boîte à descendre progressivement, le long des gradins 65, 66 et 67 fig. 16 et 17) jusqu'au niveau desdites tige. Les ébauches, de couvercle et de corps de boîte tombent des couloirs d'ali mentation sur je gradin supérieur 65 des plates-formes 53 et le côté interne du châssis- guide 55 est eut aiIlé, en 68, pour donner un passa gFe libre suffisant pour que les ébauches de cou v ercle et de corps de boite puissent passer librement vers les matrices lorsque les fies d'entraînement sont déplacées de dehors en dedans (fig.
16 et 17), le côté ex térieur du châssis-guide 55 étant entaillé pour permettre le libre fonctionnement des tiges d'entraînement. Lorsque ces tiges 51 se céplacent à leur position extérieure (fig. 16), les ébauches de couvercle et de corps de lboîte qui se trouvent à la, partie infé- rieur(e des couloirs 49 et 50 tombent des gradins supérieurs 65 sur les gradins 66. Les ,,levées" 69 des gradins 65 portent di- rectemient contre les bouts externes des ébauches qlui reposent sur les gradins 66 lorsque les tiges d'entraînement 51 commen cent leur coure rentrante et, lorsque ces tiges ont achevé leur course, les ébauches se trouvent en avant des cliquets-ressorts 70.
Les cliquets 70 sont constitués par une lame-ressort et leurs bouts externes sont assujettis aux côtés des joues 63, tandis que leurs extrémités internes passent à travers des fentes 71, pour faire saillie à l'intérieur desdites joues. Les extrémtiés internes des cliquets 70 sont repoussées (le dedans en dehors par les ébauches qui passent entre les joues 63 et, lorsque ces ébauches ont dépassé les cliquets, ces derniers revien nent, de dehors en dedans, derrière les ébauches pour les empêcher de rétrograder à la course de retour des tiges d'entraîne ment.
Lorsque les tiges d'entratnement ont complété leur seconde course vers l'exté rieur, les ébauches qui reposent sur les gra dins 66 glissent par dessus les leviers 69 des- dits gradins et tombent sur les gradins 67 (le sorte que les levées 69 des gradins 66 se trouvent en position d'attaque par rapport aux ébauches et la course suivante des tiges d'entraînement vers l'intérieur oblige les ébauches à se mouvoir en avant d'une se conde haire (le cliquets-ressorts 7i0 assu jettis aux côtés des ijoues 63, comme cela a été décrit ci-dessus.
La course suivante des ti-es d'entraîne ment 51 vers l'extérieur aura cour effet de retirer les gradins 67 de sous les ébauches qui tombent: alors sur des bandes d'ust;re 72 (fig. 8) assujetties au socle mobile 31 en dedans des tiges d'entraînement. Les levées des gradins 67 portent. contre les bouts. ex- ternes des ébauches à la course de rentrée suivante des tiges d'entraînement et. lorscrre ces tiges ont atteint la limite de leur course.
les ébauches sont placées. directement en face de l'arrière et. du devant, respeétive- ment, de la, première matrice inférieure 3 l. Chaque opération successive des tiges d'en traînement 51 place alors une ébauche de couvercle et une ébauche de corps (le boîte en arrière en avant, respectivement, de la matrice inférieure 321.
Le fond des rainures 52, pratiquées d'ans le, socle mobile 31 pour la réception des tiges d'entraînement 51 est pourvu clé ban des d'usure 73 (fig. 8 et 9).
Les parties externes cles tiges d'entraîne ment 51 sont disposées de manière à se mou voir entre cles bandes-guides 74 (fig. 16 et 17) ajustables au moyen de vis 75 portées par le prolongement latéral 56 et par le châssis-guide 55 (fig. 4 et 5j. A leur extré mité externe, les tiges d'entraînement sont pourvues de parties filetées 76 (fig. 2) qui sont reliées par une traverse 77 solidement assujettie auxdites parties filetées par des écrous 78 au moyen desquels on peut régler indépendamment les tiges d'entraînement suivant les besoins.
Dans une paire d'oreilles 79 formées sur la traverse 77 (fig. 19) pivote l'une des extrémités d'une bielle 80 dont l'extrémité opposée pi vote sur une cheville 81 portée par le bras supérieur d'un levier oscillant 82 pivotant lui-même sur un axe 83 (fig. 4) qui est sup porté en 84 sur le prolongement latéral 56 du socle mobile 31. Le bras inférieur du levier 82 est fourchu et muni d'un galet 85 qui porte sur une came 86 (fig. 5) coulis sant sur un arbre 87 qui tourne dans des paliers 88 prévus sur le bâti 20. L'extrémité arrière de l'arbre 87 porte une roue héli coïdale 89 qui engrène avec une roue simi laire 90 montée sur l'extrémité inférieure d'un arbre incliné 91 (fig. 1) tournant dans des paliers 92 du bâti 20.
L'extrémité supé rieure de l'arbre incliné 91 est pourvue d'une roue dentée 93 qui engrène avec une roue dentée 94 montée sur l'arbre 22, entre les paliers 21 supportant celui-ci.
Les tiges d'entraînement 51 sont action nées par le levier 82 et la came 86 et cette dernière est construite de telle façon que les tiges d'entraînement marquent un temps de repos lorsqu'elles sont aux extrémités de leur course. Le levier 82 est pourvu d'un ressort 95 qui assure que le galet 85 s'ap puie toujours sur la came 86.
Lorsque l'extrémité supérieure du levier 82 arrive à sa position extérieure, elle bute contre la pointe d'une vis 96 vissée dans le prolongement latéral 56. Cette vis 96 a pour but d'empêcher le levier de se mouvoir de dedans en dehors au delà d'une position correctement déterminée.
Lorsqu'une ébauche de couvercle et une ébauche clé corps de boîte ont été avancées en face clé la première matrice intérieure 321, eues sont jetées par dessus la partie arrière et la partie avant respectivement, de cette matrice par cles tampons-poussoirs 97 (fig. 7) qui sont, portés par des barres 98 montées de façon à pouvoir aller et venir sur le socle mobile 31. Les tampons-pous- soirs s'adaptent plus ou moins à la forme des ébauches de couvercle et de corps de boîte et ils sont pourvus de tiges 99 cou lissant dans cles trous 100 formés dans les barres 98. Les tiges 99 sent pourvues de prolongements filetés de diamètre réduit 101, qui passent à travers les barres 98 et sont munis d'écrous 102.
Des ressorts dlé compression 103 entourent ces prolonge ments réduits<B>101</B> et sont disposés pour maintenir une pression sur les tampons- poussoirs 97. En réglant les écrous 102 sur les prolongements<B>101,</B> on peut. amener les tam- pons-poussoirs à faire plus ou moins saillie en avant de la barre 98 clans des conditions normales. Les ressorts 103 assurent une pres sion élastique des tampons-poussoirs sur le dos des ébauches de couvercle et de corps de boîte lors de la poussée. clé celles-ci sur les ma trices.
La pression élastique exercée par les ressorts 103 maintient, à friction, les ébauches sur les matrices de telle faon que ces ébauches peuvent être forcées légèrement de haut en bas, lorsque les matrices supé rieures descendent. sans qu'il en résulte pour elles de déformation ou de détérioration. Les dos des tampons-poussoirs 97 sont pour vus de goujons clé guidage 104 (fig. 2) s'en gageant dans clés trous formés dans les barres 98 pour empêcher toute rotation ou tout mouvement d'oscillation desdits tam pons.
Les matrices supérieures sont réglées de manière à fonctionner lorsque les ébauches de couvercle et. clé corps de boîte ont été poussées correctement sur les matrices in férieures.
L'une des barres 98, celle travaillant sur le devant de la machine porte trois tampons- poussoirs 97 (fig. 2) qui sont situés directe mcrlt en avant des trois matrices inférieures 321, 331 et 341 et les extrémités de ladite barre sont pourvues de deux goujons-guides 105, s'étendant vers l'avant, qui glissent librement clans de longs bossages 106 for- nmés sur des consoles 107 (fig. 5) prévues. sur le devant du socle mobile 31.
La barre 98 qui travaille à l'arrière de la machine porte cdeux tampons-poussoirs 97 qui sont situés directement derrière les deux premières matrices inférieures 321 et 331 et les extrémités de cette barre 98 sont égale ment pourvues de deux goujons-guides 105, s'étenrdant vers l'arrière, qui glissent libre ment dans de longs bossages 106 formés sur des consoles 1r07 prévues à l'arrière du socle mobile 3i.
La barre de devant 98 est pourvue do deux paires dl'oreilles 109, s'étendant vers l'avant et la barre d'arrière 98 est munie de deux paires d'oreilles 109, s'étendant vers l'arrière; les paires d'oreilles 108 et 109 sont reliées, par des bielles 110, aux extrémités supérieures de leviers 111 et 112 qui sont montés sur le devant et à l'arrière respec- tiv enment, du socle mobile 31.
Le levier 112 (fig. 6 et 7) qui actionne la barre 98 travaillant en arrière des matrices inférieures, pivote sur un axe i13 monté dans des portées 114 assujetties à l'arrière du socle 31. Un galet M est monté près de l'extrémité inférieure du levier 112 et porte confire une carne 116 montée sur un arbre transversal 117 supporté dans des paliers 118 assujettis à l'arrière du socle mobile. Une extrémité de l'arbre 1i7 porte une roue hélicoïdale 119 qui engrène avec une roue correspondante 120 montée sur l'arbre 87 (fig. 5).
La roue hélicoïdale 120 est reliée, par un manchon 121, à la came 86 qui actionne le levier relié aux tiges d'entraînement 51 et ce manchon est pourvu de collerettes 122 qui sont situées sur les cieux côtés d'une portée 123 formée sur le prolongement laté ral 56 du socle mobile. La portée 123 assure le mouvement de translation (le la roue dentée 120 et de la came S6 à l'unisson avec le socle mobile lorsque celui-ci est mù, vers l'intérieur ou vers l'extérieur, sur le bâti principal de manière à maintenir ainsi les engrenages en prise. La roue hélicoïdale 120 et la came 86 sont disposées pour glisser sur une languette 124 qui est prévue sur l'arbre 87 et qui empêche toute rotation in dépendante de cette roue dentée et de cette came.
L'une des extrémités d'une bielle 125 est articulée sur un axe 126 prévu sur le levier 112 en un point situé entre l'axe 113 et le galet 115, tandis que l'extrémité opposée de cette bielle 125 passe à travers un bloc 127, monté à pivot sur le levier 111, pour actionner la barre de devant 98. L'extrémité inférieure du levier 111 pivote clans une paire d'oreilles 128 sur le devant du socle mobile.
L'éxtrémité de la bielle 125 qui passe à travers le lbloc 127 est pourvue d'un ressort à boudin 129 dont une des extrémités porte contre ledit bloc et l'extrémité opposée con tre des contre-écrous 130 vissés sur l'extré mité filetée de ladite bielle. Des écrous 131 portent contre la face interne du bloc 137.
Le ressort 129, concurremment avec les ressorts i03 prévus sur les tiges des tamn- pons-poussoirs 9'7, offre une élasticité suffi sante pour empècher toute rupture des par ties actives au cas où un corps étran-er tomberait entre lesdits tampons, ou clans le cas où les matrices inférieures, au les par ties y reliées, viendraient à s'enrayer pour une cause quelconque.
L'extrémité inférieure du levier 11.2 est pourvue d'un ressort 132 dont l'extrérniti opposée est reliée à une console: i33 assu jettie au devant du socle mobile. Ce ressort, 132 est suffisamment. fort. pour assurer que le galet 115 s'appuie confinuelleiuent contre la came 1i6. Dans le rebord arrière de l'ébauche de couvercle 47 (fig. 29) sont formées des en coches 134 entre lesquelles est prévue une patte 135 destinée à la formation des par ties màles des charnières.
Le devant de la matrice inférieure 321 (fig. 30, 31 et 41) est, pourvu de deux saillies 136 et d'un renfoncement 137 et le devant de la matrice supérieure 32 (fig. 30, 31 et 41) présente deux renfoncements 138 et une languette saillante 129. Les renfoncements 138 et la languette saillante i39 constituent des contreparties pour les saillies 136 et le renfoncement 137, respectivement, et lors que la matrice supérieure descend sur la matrice inférieure,
les saillies 36 forment des rehaussements extérieurs cintrés 140 sur l'ébauche de corps de boîte alors due la languette 139 forme un renfoncement 141 dans la matière entre ces rehaussements. Les saillies 136 et le renfoncement 13i sont conformés de faon à réaliser une coupure verticale 142 aux extrémités internes des rehaussements (fig. 32).
La partie arrière de la matrice inférieure 32' est pourvue d'une nervure longitudinale ment disposée 143 de la même longueur que la patte 135 du rebord arrière de l'ébauche de couvercle, ou un peu plus longue que cette patte. Sur la matrice supérieure 32 sont formées deux nervures d'étirage parallèles 144 et 145, avec une rainure intermédiaire 146, qlui constitue la contrepartie de la ner vure 143. La nervure 145 est légèrement plus haute que la nervure 144 et, à mesure que la matrice supérieure descend, cette nervure 145 recourbe le bord de la patte 135 de l'ébauche de couvercle par dessus le bord interne de la nervure 143 avant que la ner vure 144 porte sur la région interne de la dite patte 135.
La courbure et le pinçage du bord de la nervure 145 assurent un étirage et une courbure exacte d e la patte pour la cintrer suivant une forme semi-tubulaire, voir en 147 (fig. 33).
Les blocs à matrices inférieurs sont en taillés à leurs parties inférieures pour faire de la place pour les rebords de devant des ébauches de couvercle et de corps de boîte ainsi que pour les plates-formes horizontale ment disposées 148 (fig. 6 et 7), qui sont ac tionnées pour se soulever légèrement et sou lever les ébauches de couvercle et de corps de boîte des éléments conformateurs prévus sur les matrices inférieures, au moment où les matrices supérieures se relèvent. Les plates-formes 148 sont situées sous les côtés arrière et avant du premier et du second blocs à matrices et elles sont montées de façon à pouvoir être abaissées dans des ca naux 149, formés transversalement clans le dessus du socle mobile.
Les plates-formes 148 sont pourvues de queues filetées 150 qui sont ajustablement assujetties, par des écrous 151, à une traverse 152. Les plates-formes 148 sont normalement de niveau avec les bandes d'usure 72 et supportent les ébauches de couvercle et de corps de boîte pendant que celles-ci sont poussées par les tampons-pous soirs sur les matrices.
La traverse 152 est solidement assujettie, par des écrous 153, à une tige verticale cou lissante 154 qui, à son extrémité supérieure, est guidée dans un coussinet 155 prévu dans le dessus chi socle mobile, tandis que son extrémité inférieure est guidée dans un coussinet. 156 prévu clans la partie infé rieure du socle mobile.
Un ressort<B>157</B> en tourant cette tige, tend à la repousser cons- lamment de bas en haut., son extrémité in- férieure reposant sur le coussinet 156 et son extrémité supérieure portant contre des écrous<B>158</B> vissés sur la tige 154 et permet tant d'augmenter ou clé diminuer la pres sion exercée par le ressort 157.
Un bossage descendant 159 est assujetti à la partie inférieure du porte-matrice 28 et, dans ce bossage, est ajustablement mon tée une fige 160 qui est destinée à porter sur l'extrémité supérieure de la tige 154 juste avant que les matrices supérieures ren contrent. les matrices inférieures. La, tige '60 a pour mission de faire- descendre la tige 154 et les plates-formes 14.9 avant que les matrices commencent à se rencontrer sur le clos des ébauches de couvercle et de corps de boîte.
Lorsque les plates-formes 148 sont abais sées, les devants des ébauches de, couvercle et de corps de boite sont laissés en suspen sion dans les évidements prévus à la, base des blocs à matrices 45. Ceci a pour but de les empêcher d'être déformés lorsque les matrices supérieures descendent.
Le coin antérieur de la troisième matrice inférieure est arrondi (fig. 9) pour permet tre au rebord du corps de boîte de passer aisément sur lui, et de se soulever légère ment pour laisser le devant du rebord du corps de boîte suspendu à l'intérieur de l'évidement prévu à la base du bloc à ma trices correspondant. On peut régler la lon gueur active de la tige 160 en desserrant un contre-écrou 161 et en vissant ou en dévis sant, suivant le cas, la tige dans le bossage 159.
Lorsque les matrices supérieures com mencent à s'élever après avoir conformé le dos de l'ébauche de couvercle et de corps de boîte comme cela a été décrit ci-dessus la tige 1G0 s'élève de la tige 154, en permettant par cela-même aux plates-formes 148 de se re lever à leurs positions normales et à permet tre à l'ébauche ale couvercle et de corps de boîte de se dégager des éléments conforma- teurs prévus sur la matrice inférieure.
Lorsque les ébauches de couvercle et de corps de boîte sont dégagées des éléments conformateurs prévus, sur la matrice infé rieure 321, elles sont mues de dedans en de hors par des bras éjecteurs courbes 162 (fig. 8, et placées en avant des doigts 163 prévus sur les tiges d'entraînement 51.
Les parties externes des bras éjecteurs courbes 162 sont ajustablement assujetties, au moyen de fentes 164 et de vis de pression 1.65, oux barres 98 et leurs branches internes s'incurvent vers le bas pour s'introduire entre les matrices inférieures. Les extrémités in ternes des bras éjecteurs 162 sont pourvues de plaques 166 qui sont disposées pour se mouvoir dans des évidements 167 (fig. 4) formés clans les côtés des blocs à matrices 45. Lorsque les barres 9)S s'éloignent ales ma trices inférieures, les plaques 166 prévues sur les bras éjecteurs 162 portent contre les bords des ébauches de couvercle et Cie corps de boite et éloignent celles-ci desdites ma trices.
Les plaques 166, prévues sur les bras éjec- teurs, concurremment avec les faces avant et arrière des blocs à matrices 45, forment l'un des côtés de deux glissières 16S qui guident les ébauches de couvercle et de corps de boite d'une matrice inférieure à une autre. Les côtés opposés des glissières 168 sont consti tués par des joues 169 qui sont fixées à la partie supérieure du socle mobile. Les joues 169 possèdent à leur partie supérieure une lèvre surplombante et elles sont pourvues d'ouvertures 170 pour permettre le libre mouvement des tampons-poussoirs 97.
Les lèvres surplombantes des joues 169 peuvent être faites amovibles pour permettre aux ébauches de couvercle et de corps de boîte d'être commodément retirées en un point quelconque des glissières.
Lorsqu'une ébauche de couvercle et une ébauche de corps dle boîte 47 et 45 respec tivement, ont été enlevées de la première matrice inférieure 321, elles sont entraînées le long des glissières 168 à la seconde ma trice inférieure 331 par les doigts 163 lors de, la course rentrante suivante des tiges d'entraînement 51. L'ébauche de couvercle et l'ébauche de corps de boîte sont alors poussées sur .la seconde matrice inférieure 331 par les tampons-poussoirs 9'7 qui travail lent en avant et en arrière d'elle.
La partie antérieure de la matrice inférieure<B>331</B> (fig. 34, 35 et 42) pos sède deux saillies formant éléments de cisailles<B>171,</B> qui sont situées au-des sous des parties à rehaussements 140 formés sur le dos de l'ébauche de corps de boite. La matrice supérieure 33 présente des évidements rectangulaires 17? à parois formant contre-éléments de cisailles par rap port aux saillies 171 pour cisailler le rebord de. l'ëbauche de corps de boite légèrement au delà des bouts des rehaussements 140.
Les languettes rectangulaires de métal ainsi limitées par les fentes de cisaillement sont repoussées vers l'extérieur, à partir du dos de l'ébauche 48 dans la fermeture des matrices par le dos incliné des saillies 171 de sorte qu'elles prendront la position re levée indiquée en 173 (fig. 36).
Un évidement 174 formé dans la face (le la matrice 331 sert à recevoir la partie ren foncée i41 formée sur le dos de l'ébauche de corps de boîte.
La partie arrière de la matrice inférieure 331 possède deux mortaises 175 (fig. 42) qui sont situées sous le rebord arrière de l'ébauche de couvercle, aux extrémités in ternes des encoches 134. La matrice supé rieure 33 est pourvue de deux emporte- pièces 176 (fig. 34 et 35) disposés en aligne ment vertical avec les mortaises 175 et, lors que la matrice supérieure 33 descend, les emporte-pièces découpent en 177 des parties de l'ébauche de couvercle, comme cela est représenté par les lignes pointillées à la fig. 33.
Le découpage des parties en 177 isole, comme cela est représenté à la fig. 37, ou dégage les parties terminales de la patte semi-tubulaire 147 pour former dles parties mâles de charnière 178 susceptibles de pi voter dans les rehaussements cintrés 140 prévus sur le dos de l'ébauche de corps (le boite 48.
Les morceaux de métal découpés par les emporte-pièces 170 descendent, à travers les mortaises 175, à des couloirs de décharge 179 qui les emmènent de la machine.
Le côté arrière de la matrice supérieure 33 est pourvu d'une sellette d'arrachement. à ressort, 180, conformée de manière à s'ac commoder aux emporte-pièces 176. Un évi dement 181, formé dans cette sellette i80 reçoit la partie centrale de la patte semi-tu- bulaire 147 formée sur le clos de l'ébauche de couvercle.
Lorsque les parties de métal en 177 ont. été enlevées et que les languettes à rehaus- sements cintrés 173 ont été relevées, comme cela est représenté aux fig. 35 et 36, la ma trice supérieure 33 s'élève et le corps de boîte ainsi que le couvercle sont mus, de dedans en dehors, de la matrice inférieure 331 clans la glissière 168 par les bras éjec- l eurs 162.
Le corps (le boîte et le couvercle défini tivement conformés par la seconde matrice seront alors amenés en face du devant et du clos, respcctivement, de la troisième matrice inférieure, 341, par la course rentrante sui vante des tiges d'entraînement 51.
La troisième matrice inférieure 341 est plus étroite que les matrices 321 et 331 et sa, face antérieure est verticale alors que sa face arrière est inclinée de haut en bas. comme cela est représenté à la fig. 9.
Le corps (le boîte est poussé sur le devant de la matrice inférieure 341 par un tampon- poussoir 97 disposé et fonctionnant comme cela a été décrit ci-dessus. A mesure que le couvercle est entraîné en avant, en face de l'arrière de la troisième matrice 341, il est placé dans un porte-couvercle 182 (fig. 9, 22 et 23) qui est monté sur une tige 183 élasti- quenment supportée dans un bossage 184 for mé sur un bras coudé pivotant 1855. La tige 183 est ajustablement montée clans le bos sage 184 de la même faon que les tiges 99 sont montées dans les trous 100 des barres 98.
Le lbras coudé 185 pivote sur une cheville 18g6, qui est supportée clans le socle mobile, et un galet 187 est, prévu à l'endroit dit coude dudit bras de manière à s'appuyer sur une came 188 montée sur l'arbre 117 qui passe transversalement à l'arrière dut socle mo bile :
31. 1_e galet 157 est maintenu cri contact avec la came 1S8 ait moyen d'un ressort 189 dont l'une des extrémités est assujettie au dit bras au-dessous de pivot de celui-ci, alors que soit extrémité opposée est assu jettie à une vis 190 (fig. 9) ajustable sur le (levant du socle mobile 31.
Un prolongement. antérieur 191 est formé sur la partie pivotanle du bras 185 et, sur ce prolongement, est articulée l'extrémité in férieure d'une tige (le poussée verticale 192, qui passe à travers un trou i93 (fig. 3) du troisième bloc à matrices et, s'élève normale- ment au-dessus de l'arrière de la troisième matrice 3l1.
Le couvercle 47 s'adapte nettement entre des rebords 194 prévus sur le dessus et le dessous du porte-couvercle 182 et est retenu clans celui-ci par un bras à ressort 195 dont une traverse 196 porte contre le rebord du couvercle lorsque le porte-couvercle oscille en avant sous l'action de la came 188.
Le bras 195, qui porte la traverse 196, est assujettie à un bloc 197 qui est monté à pivot sur la cheville 186 portant le bras coudé 185. Sur le bloc 197 est formée une oreille 198, à laquelle est attachée l'une des extrémités d'un ressort 199 dont l'extrémité opposée est reliée au socle 31 de la même manière que le ressort 189 agissant sur le bras 185.
Dans le dessus du socle mobile 31 est formée une fente 3i1 dans laquelle le bras 195 est libre d'osciller et l'extrémité arrière de cette fente constitue un arrêt pour re tenir le bras 195 clans sa position normale. Lorsque le bras 195 porte contre l'extrémité arrière de la fente 311, la traverse 196 est à fleur du côté interne de la glissière 168.
La cheville 186, supportant le bras coudé 185 présente un trou longitudinal 200 (fig. 4) et des trous radiaux 201 qui permettent le graissage des portées des bras 185 et 195 au moyen d'un godet graisseur adapté au bout externe de cette cheville.
Une plaque -guide 202 est située de cha que côté de la troisième matrice inférieure 341 et les extrémités de la traverse 196 assu jettie nu bras a ressort 195, sont disposées pour se mouvoir clans des évidements 203 formés dans lesdites plaques-guides. Ces dernières assurent un emplacement latéral correct du corps de boîte et du couvercle et assurent que les parties mâles 178 des charnières seront placées correctement au- dessous des langettes à rehaussement 173 formées sur le clos du corps de boîte lors qu'elles seront entraînées en avant clans le porte-co uvercle 1,N2.
Le corps de boite 48 est, tout à fait en place à fond sur la matrice inférieure 341 avant que le bras 185 ait été avancé à la limite de sa course sous l'action de la came 188 et, lorsque le bras achève sa course ainsi que cela est représenté à la fig. 23, les or ganes de charnière mâles i78 se trouvent directement sous les languettes 173 formées sur le corps de boîte.
Lorsque la matrice supérieure 34 descend alors, elle rabat les languettes 173 sur les parties mâles 178 formées sur le rebord du couvercle. La matrice supérieure 34 est faite en deux pièces (fig. 38, 39 et 43) dont l'une 204 renferme l'autre, 205, susceptible d'y glisser à l'encontre des ressorts d'appui 206. La pièce coulissante 205 s'étend normale ment au-dessous de la pièce 2M et à mesure due la matrice descend, les deux pièces 204 et 205 sont amenées à porter une de chaque côté des rehaussements des languettes rele vées 173 et elles repoussent lesdites languet tes clans leurs positions originales, de ma nière à ce qu'elles renferment alors les par- tics mâles 178.
Les angles inférieures contigus des deux pièces de la matrice supérieure 34 sont écornés en 207 pour permettre à la matrice de venir porter bien à fond sans abîmer les rehaussements cintrés 140, la patte semi-tu- bulaire 147 du rebord du couvercle ni les parties mâles 178. La face de la matrice in férieure 341 présente des évidements 208 conformés de façon à recevoir les bords des parties mâles de la charnière.
Lorsque la matrice supérieure 34 se re lève, le porte-couvercle 182 commence à se mouvoir de dedans en dehors et l'extrémité libre du couvercle est tenue à friction entre ledit porte-couvercle et la traverse 196 chi bras 195.
Le corps de boîte est enlevé de la matrice inférieure 341, simultanément avec le mouvement du porte-couvercle 182 vers l'extérieur, par l'action du bras éjecteur courbe- 162 monté à l'extrémité -aiielie de la barre 98 qui porte les tampons-poussoirs pour les corps de boîte 4S.
, Lorsque le porte-couvercle i@2 est pres que revenu à sa position normale et que le couvercle en est dégaé, la ti,e-t?oussoir 19? est repoussée de bas en haut et porte contre l'intérieur du couvercle pour le soulever de la matrice inférieure.
Pour empêcher le re bord du couvercle de rencontrer la tige-pous soir 192 avant que celle-ci soit revenue à sa position normale et lorsque le couvercle et le corps de boite reliés à charnière sont dé placés en s'éloignant du dos de la matrice inférieure 341, la plaque-guide extérieure 202 est pourvue cd'une console inclinée 209 placée sur le chemin du couvercle et dis posée pour le soulever au-dessus de la tige- poussoir 192, comme cela est représenté à la fig. 22 par les lignes pointillées supé rieures.
Pour rattraper l'usure sur les parties et pour assurer la mise en place du porte-cou vercle 182, exactement en alignement avec la glissière 368 qui guide les couvercles, une cheville d'arrêt ajustable 210 (fig. 2 et 10) est vissée clans une console 211 assujettie à l'arrière du socle et une oreille 212 est for mée sur le bossage 184 pour porter contre la cheville d'arrêt ajustable lorsque le bras 185 est ramené à sa position normale (fig. 2 et 10).
Le couvercle et le corps de boîte reliés à charnière sont emmenés de la matrice infé rieur 34e1 au moyen du doigt extérieur 163 de la tige d'entraînement 51 qui entraîne les corps de boîte et, lorsqu'ils ont quitté cette matrice, le couvercle s'étend à peu près horizontalement du dos du corps de boîte, comme représenté en fig. 24.
La glissière 168 pour les corps de boîte est disposée en alignement avec une coulotte de décharge 213 dans laquelle le couvercle et le corps de boite reliés à charnière sont poussés par le couvercle et le corps de boîte reliés à charnière, qui succèdent. Le côté an térieur de la partie d'entrée de la coulotte 213 est vertical et le côté arrière est relevé à une position horizontale pour permettre au couvercle qui se trouve sur le corps de boîte de glisser librement sous lui. Ce côté arrière de 'la partie d'entrée de la coulotte 213 s'incurve en s'inclinant graduellement de haut en bas jusqu'à la verticale et, comme le couvercle glisse le long de ce côté incliné cle haut en bas, il est fermé nettement sur le corps de boîte (fig. 24 et 25).
La boîte ainsi fermée passe le long de la coulotte 213 debout sur la face opposée à la charnière jusqu'à ce qu'elle atteigne une chambre de basculement 214 où leur extré mité antérieure rencontre une butée 215 qui les fait basculer de façon à les faire reposer sur le côté du couvercle, la boîte étantmain- tenue debout par un rebord-guide 216 dans la chambre de basculement 214 jusqu'à ce qu'elle se trouve complètement dans celle- ci. Le côté arrière de la coulotte 213 se rejoint à la chambre de basculement 214 par une partie inclinée de dedans en, dehors, en 217 (fig. 24).
La coulotte de décharge 213 est horizon tale à plat dans sa partie faisant suite à la chambre de basculement 214 et la boîte fer mée est dirigée clans la partie horizontale de la coulotte par la boite fermée qui suit.
Une ouverture 218 (fig. 24) est pratiquée dans le fond de la partie horizontale, à plat de la coulotte, près de la chambre de bas- culement, cette ouverture se prolongeant par des entailles 219 qui passent longitudinale ment vers la chambre de basculement. Si la troisième matrice ne produisait pas l'in terconnexion entre un couverclo et-un corps de boîte, le corps de boîte déchargé est di rigé dans la -coulotte de décharge 213 et, lorsqu'il atteint l'ouverture 218, .son bord antérieur tombe à travers:
celle-ci et ses re bords latéraux tombent clans les entailles 219 en sorte que le corps, dans son ensemble, passe à travers l'ouverture 218 sous l'effet de la poussée du corps de boîte suivant qui arrive. _ Si on le préfère, la coulotte de déchargé 213 peut être établie, à titre- de variante, sans la chambre de basculement ni la partie hÔri- zontale à plat et dans ce cas l'oüverturé 218 et les entailles 219 sont pratiquées, dans la paroi arrière<B>de</B> la coulotte (fig. 27),
lé corps de bote exempt de'couvercle étant repoussé vers l'ouverture 218 par un 'ressort plat 220 qui est assujetti au- côté antérieur de la, cou- lotte et pénètre dans celle-ci à travers une fente 221 formée dans la devant de la gou- lotte.
Ceux des couvercles -qui, par suite d'un défaut de fonctionnement, ne sont pas re liés avec des corps de boîte, sont ramenés à leur glissière 168 par le porte-couvercle 182 et sont poussés en avant à partir du côté gauche de la machine par le couvercle sui vant qui arrive.
Les tiges d'entrainement 51 sont com mandées de façon à se mouvoir de dedans en dehors lorsque les couvercles et les corps- de boîte ont été poussés sur, les matrices 321, 331 et 341 par les tampons- poussoirs 97 portés par les barres à mouvement alterna tif 98, ce qui permet ainsi aux doigts 163 de passer librement en avant des corps de boite et en arrière des couvercles. Les tiges d'entraînement 51 commencent leur course de retour aussitôt que lés couvercles et lés corps de boîte ont été ramenés à leurs glis- sièges respectives 168 par le mouvement des barres 98 et des bras éjerteurs courbes 162 vers l'extérieur.
Il est évident que, à chaque course effec tuée de dehors en dedans par les tiges d'en traînement 51, un couvercle et un corps de boîte sont entraînés dans la machine et que, après que le porte-matrices a effectué trois courses descendantes, un couvercle et un corps de boîte reliés à cbarnière sortent da la machine.
Le porte-matrices 28 est assujetti à la crosse 25 au moyen de boulons verticaux 222 qui descendent à travers les fentes cou vertes 223 formées dans le devant de ladite crosse, et se fixent dans la tête da porte- matrices, comme on le voit à la fi,g. 1.
Le socle mobile M'est assuj etti au bâti par des boulons 224 qui passent à travers dés fentes 225 pratiquées dans le dessous de ce socle mobile et dans le bâti. Les extré mités inférieures dé boulons 224 sont pour vues d'écrous 226 auxquels on peut avoir accès au moyen d'évidements 227 formés clans lés côtés du bâti 20. est assujettie sur, le Une crémaillère 228 est assujettie sur le dessous du socle mobile 31 et engrène avec un pignon 229 porté par un arbre 230 monté transversalement clans le bâti 20. Une extré mité de l'arbre 230 s'étend au delà du bâti et est carré pour recevoir une manivelle 231 au moyen de laquelle, on peut faire tourner l'arbre.
Pour libérer les extrémités libres des cou- lottes ou couloirs d'alimentation 49 et 50 de ' façon à permettre de déplacer le socle 31 vers l'extérieur, on desserre la vis 58 (fig. 2) et on relève la console 59 à la limite de la fente 232 y formée (fig. 5), puis on la fait basculer vers l'arrière sur la chevillé- pivot 60.
Le socle mobile 31 est disposé de, ma nière à se mouvoir dans des guides 233 for mes sur le bâti 20 et pour mouvoir ce socle 31 en avant ou en arrière, on desserre les boulons 224 avec les écrous 226 ,et on ma- n#uvre la manivelle 231 dans la direction voulue. Lorsqu'on agit sur la manivelle 2h1 les fentes 223 pratiquées dans la crosse 25 et les fentes 225 ménagées dans le socle mo bile, permettent un libre mouvement de ce dernier en avant jusqu'à un point qui per met d'avoir librement accès aux organes ac tifs montés sur ledit socle, pour les régler ou les remplacer.
Le socle mobile 31 peut être ramené dans sa position de fonctionne ment correctè en man#uvrant la manivelle 231 dans la direction opposée et on peut en suite le bloquer en position en serrant les boulons 222 avec les écrous 226, la vis 58 après avoir remis en place la console 59: pèr- . mettant la fixation en place des couloirs 49 et 50.
Lé porte matrices peut être supporté dans une \position haute, au-dessus du socle 31, par un moyen approprié- quelconque, lors <B>que'</B> ce -socle .est mis en fizoüvernent en avant. .
" Si on .le préfère., le socle mobile 31 peut *e rentré et sorti,. sur le bâti de la ma chine, au moyen d'une vis 234 (fig. 10) tra vallant dans un -écrou 235 monté sur le socle. Dans ce cas, 1_a vis 234 est montée dans des portées, non représentées, assujetties au bâti et elle est actionnée de la même ma nière qu'une vis d'étau ordinaire.
L'engrenage reliant l'arbre 87 à l'arbre 117 sur le côté droit de la machine (fig. 4) est protégé par une garde 236 qui est assu jettie d'une façon détachable au prolonge ment latéral 56 du socle mobile.
Les extrémités inférieures des couloirs d'alimentation 49 et 50 sont pourvues de moyens pour intercepter la décharge des ébauches de couvercle et de corps de boîte qui les traversent, quand cela est nécessaire. Dans ce but, le levier oscillant 82 est pourvu d'une extrémité supérieure large 237 (fig. 18) dont les extrémités portent des oreilles 238 et 239. L'oreille 238 prévue à la corne interne de la partie 237, est disposée de façon à se déplacer, au cours de l'oscillation du levier 82 dans un plan vertical situé en ar rière du plan vertical dans lequel, au cours de l'oscillation dudit levier, se déplace l'o reille 239 prévue sur la corne extérieure de ladite partie 237, ainsi que cela est indiqué par les lignes ponctuées courbes ac et b, respectivement, à la fig. 18.
Les oreilles 238 et 239 du levier 82 sont disposées pour venir en contact avce un bloc 240 formé à l'extrémité inférieure d'un le vier oscillant 241 monté sur un axe 242 qui est supporté dans les côtés du châssis de ser rage 54. Le levier 241 se prolonge au-dessus de l'axe 242 et est pourvu d'un poids 243. Le levier 241 est pourvu d'un bras 244 re posant sur les extrémités libres<B>de</B> doigts 245 disposés sur les extrémités internes d'axes 246 montés dans des portées 247 formées sur le châssis de serrage 54.
Les bouts ex ternes des axes 246 portent des bras 248 qui sont reliés par un ressort 249 et les parties centrales desdits axes sont pourvues de bras à crochet 250 s'étendant de bas en haut, qui sont disposés au milieu des cou loirs 49 et 50 et sont normalement dégagés de l'ébauche de couvercle et de l'ébauche de corps de boîte qui se trouvent dans les ex trémités inférieures de ces derniers.
L'oreille 239 prévue sur la corné exté rieure de la large, extrémité 237 du levier 82 est susceptible de venir en contact. avec la face externe du bloc 240<B>du</B> levier 241 lorsque les tiges d'entraînement 59, ont pres que achevé leur course vers l'intérieur pour obliger alors l'extrémité supérieure du le vier 247. à osciller de dedans en dehors, comme ce sera décrit plus ;
loin. Lorsque l'extrémité supérieure du levier 241 oscille ainsi de dedans en dehors, le bras 244 porte de haut en bas sur les doigts 245, ce qui oblige ainsi les ares 246 à faire une frac tion de tour et écarte les bras 25.0 de l'é bauche de couvercle et de l'ébauche de corps de boite situées dans les extrémités infé rieures des couloirs d'alimentation. Lorsque les bras 250 sont ainsi écartés des ébauches de couvercle et de corps de boîte, ces ébauches sont libres de tomber sur les gra dins 65 au moment où les tiges d'entraîne ment 51 ont atteint la limite de leur course vers l'intérieur. Le levier 241 et les parties coopérant avec lui sont représentés dans leurs positions normales dans la fig. 18 par des traits pleins.
Lorsque le levier 241 est dans sa position normale, le poids. 243 1 em porte sur la tension du ressort 249 et l'ex trémité inférieure dudit levier oscille de de hors en dedans, un peu au de-là du point atteint par l'oreille 239 formée 'sur la corne extérieure de l'extrémité large du levier 82, lorsque celui-ci est à l'extrémité interne .de sa course (voir lignes pointillées; fig. 18).
Lorsqu'on désire intercepter l'alimenta tion des ébauches de couvercle et de corps <B>de</B> boîte afin de régler le mécanisme sans faire passer ces ébauches à travers la machine; on pousse l'axe 242 en arrière de façon à placer ainsi le bloc 240, prévu sur l'extré mité inférieure du levier 241, sur le chemin de l'oreille 238. Lorsque l'axe 242 est dans sa position normale, comme cela est repré= sente à la fig. 18, ce bloc 240 se trouve sur le chemin :de l'oreille 239 du levier 82 et l'axe 242 est retenu dans sa position avant. et dans sa position arrière au moyen d'un bonhomme 251 et de gorges annulaires 252 formé dans ledit axe.
Lorsque, l'axe 242 étant ainsi poussé en arrière, l'extrémité supérieure du levier 82 se meut vers l'exté rieur, l'oreille 238 rencontre alors la face interne du bloc 240 et fait osciller de dehors en dedans l'extrémité chargée du-levier 241. Le ressort 249 oblige les axes 246 à faire une fraction de tour dans leurs portées, en ame nant par cela-même, de dedans en dehors, les bras 250 en position pour qu'ils viennent en prise avec les ébauches contenues dans les couloirs pour les supporter Lorsque l'ex trémité inférieure du levier 243 oscille ainsi vers l'extérieur, le bloc 240 est améné légè rement au delà du point atteint par l'oreille 238 lorsqu'elle se trouve à l'extrémité externe de sa course.
L'extrémité antérieure de l'axe 242 est pourvue d'un bouton 253 permettant de le man#uvrer commodément et des ar rêts ajustables 254 (fig. 10) sont prévus pour limiter la course d'oscillation du levier 241.
Il est évident que les ébauches de cou vercle et de corps de boîte qui doivent être reliées à charnière par l'action des matrices doivent descendre dans les couloirs d'alimén- tation dans une position telle que leurs côtés ouverts se trouvent en face l'un de l'autre et que le côté des ébauches de cou vercle sur lequel est formée la patte 335 destinée à constituer les parties mâles de la charnières, se trouve en haut.
Pour effectuer l'alimentation correcte des ébauches de couvercle, une fente 255 est pra tiquée longitudinalement dans le dessus du couloir 49 (fig. 11) et s'étend sur à peu près toute la longueur de ce couloir, cette fente ay ont une largeur suffisante pour recevoir la patte 135, prévue sur les dos des ébauches de couvercle, pour permettre à celles-ci de descendre librement le long du couloir sous l'action de la pesanteur. Les ébauches de couvercle 47, pour être amenées correcte ment aux matrices, devront ainsi arriver dans le couloir 49 dans une position telle que leur patte 135, destinée à la formation des parties mâles de la charnière, s'étende de bas en haut pour passer dans la fente 255 et que le côté pourvu de cette patte 135 soit tourné vers l'entrée du couloir.
Un gradin 256 est formé au fond du cou loir 49, près de l'entrée de celui-ci. Lorsque le dos d'une, ébauche de couvercle passe par dessus ce gradin, il retombe sur le fond du couloir dans une position où il est libre de passer sous un pont 257 formé en travers du couloir, en avant du gradin 256. Le pont 257 empêche l'introduction, dans le couloir 49, d'un couvercle présenté à ce couloir de toute autre façon que celle susindiquée.
Une fente longitudinale 258 est formée dans le couloir 49 près de son extrémité d'alimentation, et toute matière pénétrant dans le couloir passe à travers cette fente. Dans les fig. 11 et 12, on a représenté, en lignes pointillées en 259 une ébauche de couvercle passant correctement dans le cou loir et, en 260 on a représenté une ébauche de couvercle commençant à descendre en po sition correcte le long du couloir.
En fig. 33, on a indiqué une ébauche de couvercle en fausse position dans le couloir; sa patte 135 venant heurter le pont 2577. \ Le couloir 50 pour les ébauches de corps de boîte est représenté du côté droit de la fig. @11 et une. partie de ce couloir est sup posée arrachée* pour montrer plus claire ment sa. construction.
.Une ouverture 267. est pratiquée dans le fond du couloir 50 près .. de l'extrémité d'en- trée de celui-ci et est prolongée par des en tailles 262 qui passent longitudinalement vers- l'ouverture d'entrée dudit couloir. La largeur de l'ouverture 261 est moindre que la moitié de la-,largeur d'une ébauche de corps. de boîte 48.
Lorsqu'une ébauche de. corps de, boite est amenée le -fond en dessus, - donc en mau vaise position dans le couloir 50, son bord antérieur tombe à travers l'ouverture 261 et ses bords latéraux tombent dans les entail les 262 en sorte que l'ensemble de l'ébauche de corps de boîte passe à travers- l'ouverture 261 sous l'action de poussée, de l'ébauche sui vante qui arrive, comme cela est indiqué en 263 (fig. <B>Il</B> et 14). La languette 264, for- mée par le morceau de matière existant entre les entailles 262, empêche une ébauche de corps de boite présentée convenablement dans le couloir 50 clé tomber à travers l'ou verture 261.
Une ouverture 265 est pratiquée clans le fond du couloir 50 pour permettre à cles ébauches clé corps de boîte de tomber à tra vers elle, lorsqu'elles sont présentées en bout dans le couloir et une partie du côté de l'ou verture 265 est entaillée en 266 pour per mettre à une ébauche clé tomber dehors si elle vient à tourner et passe obliquement dans le couloir.
Une plaque 267 est fixée sous le couloir 50, près clé l'ouverture 261 pour diriger, à un point quelconque voulu, les ébauches de corps de boîte tombant à travers cette ou verture.
Une variante du couloir d'alimentation 49 pour les ébauches de couvercle est repré sentée en coupe, à la fig. 45 dans laquelle l'extrémité inférieure du couloir est sup posée brisée.
L'entrée du couloir 49 est évasée pour permettre la libre introduction des ébauches de couvercle, et une fente 268 est formée dans le fond du couloir sur une distance convenable.
Le couloir est fait assez large pour per mettre à une ébauche de couvercle d'être introduite dans une position irrégulière et la fente 268 est suffisamment large pour permettre à une ébauche de couvercle de passer à travers elle si elle est présentée en bout dans le couloir. Un évidement 269 est formé sur le côté de la fente 268 pour per mettre à une ébauche de couvercle de sortir du couloir si elle est présentée en bout dans celui-ci et, passe obliquement le long du couloir.
Une fente 270 est pratiquée longitudinale ment dans le devant du couloir, à partir d'un point où il s'incurve de haut en bas jusqu'à un point quelconque convenable, et une fente 271, commençant en un point si tué plus bas, est pratiquée longitudinale ment dans le côté arrière du couloir. Le couloir est légèrement incliné d'ar rière en avant au-dessous (le l'extrémité in- férieurc de la fente 270 et, à partir clé ce point, un couloir d'embranchement 2i2 des cend verticalement.
Le couloir est fait suffisamment pro fond, au-dessus de l'extrémité supérieure de la fente 271, pour permettre à la totalité d'une ébauche de couvercle clé passer libre ment à travers elle et, au-dessous clé l'ex trémité supérieure (le cette fente, le couloir est fait moins profond clé telle sorte que la patte 135 prévue sur le clos du rebord de l'ébauche de couvercle, se trouve obligée à glisser dans l'une ou l'autre des fentes 270, 271 suivant, la façon dont l'ébauche de cou vercle est présentée clans le couloir.
Pour diriger les ébauches de couvercle correctement clans le couloir, elles sont ame nées, clans l'extrémité supérieure de celui-ci, dans une position telle due le côté de leur rebord sur lequel se trouve la patte 135, des tinée à la formation clos parties mafales de la charnière, fasse saillie, clé bas en haut, vers l'arrière.
Les ébauches (le couvercle amenées au couloir clé la façon susdécrite ;lissent librement (le long du couloir et les pattes 135 clés ébauches de couvercle en venant rencontrer une plaque inclinée 2'i3 qui est située au bas de la fente 270, obli gent, alors l'extrémité antérieure clos ébauches clé couvercle à basculer vers l'avant., ei@ ligne avec la partie inclinée du couloir.
1; ébaudie clé couvercle est suspendue momentanément à la plaque inclinée M et tombe ensuite correctement clans le couloir. Le côté arrière du couloir présente une partie coudée vers l'extérieur, 27,i, en un point: situé en face clé la plaque inclinée 273 de, façon à augmenter suffisammentla largeur encepoint pour permettre aux ébauches de couvercle de tomber librement de la plaque inclinée.
Lorsqu'une ébauche de couvercle est présen tée clans le couloir dans une position telle que sa patte 13:ï se trouve au bas, elle tombe droit le long du couloir et pénètre dans le couloir (le branchement 27.\.,. La partie infé- rieure lu couloir est pourvue, sur le devant, d'une fente longitudinale 275 qui reçoit les pattes 135 des ébauches de couvercle et permet à celles-ci de descendre librement à la plate-forme à gradins 53 prévue sur les tiges d'entraînement 51.
La plaque inclinée 273 est assujettie à des oreilles 276 formées sur le devant du couloir, et on peut régler l'inclinaison de cette plaque au moyen de vis 277 et de fentes 278 (fig. 45j.
Fig. 48 représente une variante du dis positif d'application des ébauches de cou vercle pour la troisième matrice 341, variante qui permet de supprimer le bran à ressort 195. L'extrémité libre du bras 185 est, clans ce cas, disposée pour supporter un électro aimant 279 dont le noyau est assujetti à un porte-couvercle 28o, en matière non magné tique. L'électro-aimant 279 a une force juste suffisante pour tenir le couvercle avec le de gré de fermeté voulu pendant les opérations de formation des charnières. L'enroulement 281 de l'électro-aimant est connecté, par des fils 282, à une source de courant électrique 283. On pourrait employer un aimant per manent de disposition ordinaire au lieu clé l'électro-aimant sus-décrit.