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REVENDICATIONS
1. Sous-vêtement (i) pour personnes victimes d'incontinence urinaire permanente, caractérisé en ce qu'il comporte sur sa partie antérieure des moyens (2) pour accrocher une poche de rétention d'urine (7).
2. Sous-vêtement selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens (2) sont disposés sur un empiècement (3) fixé à la partie antérieure (4) de l'échancrure (5) aménagée pour le passage d'une jambe.
3. Sous-vêtement selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens (2) sont disposés sur la partie antérieure d'une portion (6) de vêtement destinée à entourer les cuisses.
L'invention a pour objet un sous-vêtement, une culotte ou un caleçon par exemple, pour personnes victimes d'incontinence urinaire permanente.
Pour des raisons d'origines diverses, des personnes se retrouvent un jour victimes d'affections les empêchant, en permanence, de retenir leur urine. Cette incontinence peut être malgré tout maîtrisée à l'aide d'instruments adéquats tels qu'une sonde urinaire, comportant à l'une de ses extrémités une poche de rétention d'urine.
Lorsqu'il s'agît de personnes grabataires, ou lorsqu'il s'agit de personnes valides simplement alitées, on se contente de relier la sonde à une poche de rétention munie d'un tuyau plus ou moins long et de placer cette dernière en contrebas. Si la personne concer
née désire par contre se déplacer, on relie la sonde à une poche de
rétention de petites dimensions que l'on fixe ensuite à l'aide d'atta
ches ou d'élastiques, sur le haut de la cuisse. A intervalles réguliers,
la poche de rétention est vidée de son contenu.
On a constaté que le mode de fixation actuel de telles poches de rétention était le plus souvent une source de gêne, sinon de blessures plus ou moins importantes, chez les personnes amenées à se déplacer dans de telles conditions. Les attaches élastiques, nécessaires à la mise en place de la poche de rétention, entravent à la longue la circu
lation sanguine, provoquant parfois des hématomes, Si ce n'est l'apparition de blessures cutanées plus graves. Certaines peaux fragiles,
en outre, supportant mal le contact des matières constituant l'élasti
que, développent des réactions du type allergique telles que démangeaisons, éruptions, voire blessures ouvertes, réduisant d'autant la mobilité des personnes ainsi atteintes.
L'invention permet de supprimer avantageusement les inconvénients susmentionnés, tout en assurant la mise en place de la poche de rétention d'urine et de la sonde urinaire qui lui est connectée.
L'invention consiste en un sous-vêtement tel que défini à la revendication t.
Des exécutions particulières de l'invention sont décrites à l'aide du dessin annexé. Les figures du dessin ne sont en aucun cas limitatives.
La fig. 1 représente une première exécution particulière de l'invention.
La fig. 2 représente une autre exécution particulière de l'invention.
La fig. 3 représente l'exécution selon la fig. 1, une fois la sonde et la poche de rétention mises en place.
Selon l'invention, le sous-vêtement 1 comporte sur sa partie antérieure des moyens 2 servant à accrocher la poche de rétention d'urine 7. Ces moyens 2 doivent être disposés de façon que la poche 7 soit placée suffisamment bas pour que l'urine s'écoule de la sonde par simple gravité. Dans une exécution particulière de l'invention, une culotte 1, les moyens 2 sont disposés sur un empiècement 3 fixé, par exemple cousu, à la partie antérieure 4 de l'échancrure 5 aménagée pour le passage de la jambe. Cet empiècement sera indifféremment placé sur l'échancrure gauche ou droite. Ses dimensions seront en outre adaptées à la morphologie de la personne en cause et, bien entendu, aux dimensions des poches de rétention 7 existant sur le marché.
La pratique montre qu'en station debout, il n'est pas nécessaire de prévoir d'autres moyens de fixation de l'empiècement 3 sur la jambe, des attaches par exemple. L'empiècement 3 est le plus généralement fait en tissu, de qualité similaire à celle des sous-vêtements usuels, en fibres naturelles (coton par exemple) ou synthétiques (polyester par exemple). On choisira de préférence un tissu au toucher doux, afin d'éviter toute irritation de la peau.
Dans une autre exécution de l'invention, un caleçon 1, les moyens 2 sont disposés sur la partie antérieure de la portion 6 de vêtement entourant une cuisse.
Les moyens 2 servant à accrocher la poche de rétention 7 peuvent consister en une série de boutons ou de pressions par exemple, disposés par paires, comme illustré dans le dessin annexé.
Les poches de rétention du commerce sont généralement de forme rectangulaire et présentent à leurs quatre coins des ouvertures destinées au passage des élastiques de maintien; ces ouvertures peuvent ainsi faire office de boutonnières. A défaut de telles ouvertures, le maintien de la poche de rétention peut être effectué à l'aide de pressions venant alors pincer chacun des coins de ladite poche.
D'autres moyens d'accrochage 2 peuvent être également envisagés, telle une bande autocollante fixée à même le tissu, ou encore une bande à crochets venant coopérer avec une bande à boucles fixée sur la poche de rétention, pour former une fixation de type VELCRO .
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CLAIMS
1. Underwear (i) for people victims of permanent urinary incontinence, characterized in that it comprises on its front part means (2) for hanging a urine retention pocket (7).
2. Undergarment according to claim 1, characterized in that the means (2) are arranged on a yoke (3) fixed to the front part (4) of the notch (5) arranged for the passage of a leg .
3. Undergarment according to claim 1, characterized in that the means (2) are arranged on the front part of a portion (6) of clothing intended to surround the thighs.
The subject of the invention is an undergarment, a panty or underpants, for example, for people victims of permanent urinary incontinence.
For reasons of various origins, people find themselves one day victims of affections preventing them, permanently, from retaining their urine. This incontinence can still be controlled with the aid of suitable instruments such as a urinary catheter, comprising at one of its ends a pocket for retaining urine.
In the case of bedridden people, or in the case of able-bodied people who are simply bedridden, we are content to connect the probe to a retention pocket fitted with a more or less long pipe and to place the latter in below. If the person concer
born wants to move by cons, we connect the probe to a pocket of
retention of small dimensions which are then fixed using
ches or elastic, on the upper thigh. At regular intervals,
the retention bag is emptied of its contents.
It has been found that the current method of fixing such retention pockets is most often a source of discomfort, if not more or less serious injuries, in people who have to move under such conditions. The elastic fasteners, necessary for the installation of the retention pocket, hinder in the long run the circu
blood lation, sometimes causing hematomas, If not the appearance of more serious skin injuries. Some fragile skin,
in addition, poorly supporting the contact of the materials constituting the elastic
that, develop allergic type reactions such as itching, rashes, or even open wounds, thereby reducing the mobility of people thus affected.
The invention advantageously eliminates the aforementioned drawbacks, while ensuring the establishment of the urine retention bag and the urinary catheter connected to it.
The invention consists of an undergarment as defined in claim t.
Specific embodiments of the invention are described with the aid of the accompanying drawing. The drawing figures are in no way limiting.
Fig. 1 shows a first particular embodiment of the invention.
Fig. 2 shows another particular embodiment of the invention.
Fig. 3 shows the execution according to FIG. 1, once the probe and the retention bag are in place.
According to the invention, the undergarment 1 has on its front part means 2 serving to hang the urine retention bag 7. These means 2 must be arranged so that the bag 7 is placed low enough so that the urine flows from the probe by simple gravity. In a particular embodiment of the invention, pants 1, means 2 are arranged on a yoke 3 fixed, for example sewn, to the front part 4 of the notch 5 arranged for the passage of the leg. This yoke will be indifferently placed on the left or right notch. Its dimensions will also be adapted to the morphology of the person concerned and, of course, to the dimensions of the retention pockets 7 existing on the market.
Practice shows that when standing, it is not necessary to provide other means of fixing the yoke 3 on the leg, for example fasteners. The yoke 3 is most generally made of fabric, of quality similar to that of the usual underwear, in natural fibers (cotton for example) or synthetic (polyester for example). It is preferable to choose a fabric with a soft touch, to avoid any irritation of the skin.
In another embodiment of the invention, underpants 1, the means 2 are arranged on the front part of the portion 6 of clothing surrounding a thigh.
The means 2 used to hang the retention pocket 7 may consist of a series of buttons or presses for example, arranged in pairs, as illustrated in the accompanying drawing.
Commercial retention bags are generally rectangular in shape and have openings at their four corners for the passage of retaining elastic; these openings can thus be used as buttonholes. In the absence of such openings, the retention pocket can be maintained using pressures which then pinch each of the corners of said pocket.
Other attachment means 2 can also be envisaged, such as an adhesive strip fixed to the same fabric, or even a hook strip coming to cooperate with a loop strip fixed on the retention pocket, to form a VELCRO type fixing. .