CH643052A5 - Dispositif anti-retard de mise a feu d'un canon. - Google Patents

Dispositif anti-retard de mise a feu d'un canon. Download PDF

Info

Publication number
CH643052A5
CH643052A5 CH417680A CH417680A CH643052A5 CH 643052 A5 CH643052 A5 CH 643052A5 CH 417680 A CH417680 A CH 417680A CH 417680 A CH417680 A CH 417680A CH 643052 A5 CH643052 A5 CH 643052A5
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
trigger
firing
stop
closure
barrel
Prior art date
Application number
CH417680A
Other languages
English (en)
Inventor
Luis Arturo Bohorguez
Michael Morency Cleary
Charles Clark Ash
Don Everett Van Osten
Robert Bruce Pounds
John Harvey Sallach
Original Assignee
Hughes Helicopters Inc
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Hughes Helicopters Inc filed Critical Hughes Helicopters Inc
Publication of CH643052A5 publication Critical patent/CH643052A5/fr

Links

Classifications

    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F41WEAPONS
    • F41AFUNCTIONAL FEATURES OR DETAILS COMMON TO BOTH SMALLARMS AND ORDNANCE, e.g. CANNONS; MOUNTINGS FOR SMALLARMS OR ORDNANCE
    • F41A17/00Safety arrangements, e.g. safeties
    • F41A17/18Hang-fire prevention
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F41WEAPONS
    • F41AFUNCTIONAL FEATURES OR DETAILS COMMON TO BOTH SMALLARMS AND ORDNANCE, e.g. CANNONS; MOUNTINGS FOR SMALLARMS OR ORDNANCE
    • F41A7/00Auxiliary mechanisms for bringing the breech-block or bolt or the barrel to the starting position before automatic firing; Drives for externally-powered guns; Remote-controlled gun chargers
    • F41A7/08Drives for externally-powered guns, i.e. drives for moving the breech-block or bolt by an external force during automatic firing

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Portable Nailing Machines And Staplers (AREA)
  • Toys (AREA)
  • Gas Burners (AREA)

Description

La présente invention concerne un dispositif antiretard de mise à feu d'un canon et, plus particulièrement, un dispositif de protection contre les retards de mise à feu totalement autonome pour des canons ayant une cadence de tir relativement élevée.
Dans de nombreux systèmes de canons, la séquence de fonctionnement est la suivante: refoulement, verrouillage, tir, déverrouillage et extraction et alimentation. Dans les canons motorisés, tels que les canons actionnés par un moteur extérieur, le cycle continue même si la cartouche n'a pas été tirée. Alors que cela permet d'éliminer le risque d'un arrêt du canon par suite d'un raté, une situation éventuellement dangereuse se trouve créée.
Quelquefois une cartouche n'est pas tirée correctement, bien que se trouvant dans les limites nominales de réalisation, par suite d'un défaut inconnu de la munition. Normalement, une cartouche part dans un laps de temps prescrit après percussion de l'amorce, ce laps de temps se mesurant généralement en millisecondes. Après percussions de l'amorce, si la cartouche ne part pas dans le laps de temps prescrit, ou bien elle part tardivement, c'est-à-dire qu'il y a retard de la mise à feu, ou bien elle ne part pas du tout, c'est-à-dire que le coup est raté. Les cartouches ratées, qui ne sont pas potentiellement dangereuses, peuvent être extraites et écartées en toute sécurité et cela d'une façon relativement facile.
Un retard de mise à feu, au contraire, constitue une situation bien plus risquée pour les servants de la pièce, en particulier si la cartouche se trouve encore dans la limite de temps qui est supérieure à la valeur que l'expérience ou des données ont indiqué comme étant l'intervalle de temps maximum dans lequel la cartouche doit normalement partir.
Dans le cas d'armes à cadence de tir relativement élevée, alimentées selon une séquence se répétant, un retard dans la mise à feu peut être très dangereux étant donné que la séquence verrouillage-tir-déverrouillage est assez courte, et peut être inféqrieure à la durée maximum du retard de mise à feu. Le résultat est que la cartouche peut être extraite alors qu'il est encore possible qu'elle fasse feu, avec comme conséquence des dégâts pour le personnel ou l'arme, ou pour les deux.
Un retard de mise à feu doit être distingué du cas où la chaleur du tube ou de la culasse fait détonner la cartouche sans que l'amorce n'ait été percutée, qui implique des durées sensiblement supérieures à celles rencontrées dans un retard de mise à feu. On évite généralement ce cas en contrôlant l'arrêt normal du canon de façon que la fermeture de culasse se trouve à l'état d'ouverture.
La présente invention vise à obtenir une protection contre les retards de mise à feu en retardant l'extraction jusqu'à ce que la cartouche située dans la chambre ait été tirée.
Ceci est particulièrement nécessaire dans un canon à moteur extérieur utilisant un mécanisme d'entraînement par chaîne utilisé pour animer d'un mouvement de va-et-vient la fermeture de culasse pendant les cycles de refoulement, verrouillage, tir, déverrouillage, extraction et alimentation, dans lequel la période d'arrêt bref pour la séquence de verrouillage, tir et déverrouillage est plus courte que l'intervalle de temps maximum du retard de mise à feu, de sorte qu'un retard de mise à feu éventuellement dangereux peut se produire.
La présente invention a donc pour but de fournir un dispositif mécanique autonome qui répond à l'absence de recul du canon, c'est-à-dire au fait que la cartouche ne part pas, de façon à maintenir la fermeture de culasse dans la position verrouillée, la cartouche ratée étant éjectée comme s'il s'agissait d'une douille usée. Dans le cas où «le retard de mise à feu» détonerait pendant l'intervalle de temps maximum, le fonctionnement du canon continuerait comme s'il n'y avait pas retard de mise à feu.
En bref, le dispositif antiretard de mise à feu selon la présente invention détecte le recul du canon indiquant que la cartouche a été tirée, de façon à déclencher un système de verrouillage, ce qui permet la poursuite du fonctionnement du canon. S'il n'y a pas recul, le système de verrouillage, après enclenchement, reste enclenché, la fermeture de culasse reste verrouillée, et la cartouche est éjectée comme cartouche ratée.
Le système de verrouillage est alors déclenché entre les séquences de déverrouillge et de verrouillage pour la cartouche suivante.
Ainsi, le dispositif selon la présente invention permet un verrouillage de protection contre le retard de mise à feu relativement simple et fiable.
Les avantages principaux du dispositif selon la présente invention sont qu'il est mécanique et constitue une partie du canon.
En outre, le système de verrouillage mécanique présente l'avantage que son fonctionnement peut être contrôlé par un cyclage d'essai du canon. Si le fonctionnement est correct, le canon s'arrête pendant le cyclage d'essai avant le déverrouillage de la culasse, ce qui est une indication que le système de verrouillage fonctionne normalement. Si, pendant le cyclage d'essai, le canon continue de fonctionner, il y a alors un défaut dans le système de verrouillage.
La présente invention sera bien comprise lors de la lecture de la description suivante faite en liaison avec les dessins suivants dans lesquels:
la fig. 1 est une vue en perspective d'un canon incorporant le dispositif de la présente invention;
la fig. 2 est une vue en perspective de parties d'un canon incorporant le dispositif de la présente invention;
la fig. 3 est une vue schématique du mécanisme d'alimentation d'un canon incorporant le dispositif de la présente invention;
la fig. 4 est une vue en perspective, semblable à la fig. 2, représentant avec davantage de détails un canon incorporant le dispositif de la présente invention;
les fig. 5 à 7 sont des vues schématiques, à des fins d'explication, qui représentent le fonctionnement du système de verrouillage mécanique du dispositif de la présente invention;
la fig. 8 est une vue en plan, en partie en coupe, des composants du système de verrouillage mécanique du dispositif de la présente invention;
la fig. 9 est une vue en bout, en partie en élévation et en partie en coupe, du système de verrouillage mécanique;
la fig. 10 est une vue de côté, en partie en coupe et en partie en élévation, du système de verrouillage mécanique, et
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
55
60
65
643 052
4
la fig. 11 est une vue développée d'un embrayage utilisé dans un canon incorporant le dispositif de la présente invention.
En liaison avec la fig. 1, un type particulier de canon 10 est représenté, mais l'on comprendra que le canon puisse être d'un autre type que le type décrit.
Comme cela est représenté, le canon 10 comprend trois sous-ensembles principaux, un tube 12, un ensemble d'alimentation 13 à boîte de vitesse d'un poids de 32 kg, et un ensemble récepteur 15 d'un poids de 42 kg. Le canon représenté est un canon de 25 mm ayant un poids de 104 kg et une longueur hors tout de 2743 mm. Le canon est à un coup et la cadence de tir de 100,200 ou 475 coups par minute en fonction du mode et de la puissance du moteur d'entraînement.
Le tube 12 qui a une longueur de 2032 mm et pèse 40 kg est verrouillé dans la culasse (fig. 4) qui constitue une partie de l'extrémité avant de l'ensemble récepteur 15. Monté sur l'extrémité avant de l'ensemble récepteur se trouve un ensemble à ressort de recul et amortisseur 16 qui se déplace vers l'arrière avec le tube 12 sur une longueur maximum d'environ 18 mm pendant le recul.
Le canon 10 comprend un système d'alimentation double constitué d'une roue dentée supérieure 17 et d'une roue dentée inférieure 18 séparées, l'une des roues fonctionnant pour présenter une cartouche à un rotor de transfert (non représenté) entraîné par intermittence et à la culasse située à l'intérieur de l'ensemble récepteur 15. La sélection de la roue d'alimentation supérieure ou de la roue inférieure s'effectue au moyen d'un système d'embrayage 20.
Le canon est actionné par un moteur extérieur 21 à courant continu de 24 volts d'une puissance de 1,5 CV ayant une vitesse nominale de 7700 tr/min qui est monté sur la partie inférieure du récepteur 15. Par l'intermédiaire d'une série d'engrenages, comme cela sera décrit ci-après, le moteur fournit la puissance et assure la distribution des fonctions pour le tir du canon.
Le cœur du canon est constitué par un mécanisme d'entraînement par chaîne 25, représenté schématiquement en fig. 2, qui comprend une chaîne 26 à rouleaux sur deux rangées d'un pas de 15,8 mm qui se déplace sur quatre pignons, un pignon entraîné 27 et trois pignons fous 28, suivant un chemin 29. Un coulisseau d'entraînement de la fermeture de culasse 30, fixé à un maillon maître 31 de la chaîne 26 et agissant dans une fente transversale 33 de la partie inférieure d'un support de la fermeture de culasse 35, transforme le mouvement de rotation de la chaîne en mouvement de va-et-vient sur le chemin d'une fermeture de culasse 37, le chemin comprenant un trajet en surface 38 qui coopère avec une glissière 39 du côté inférieur du support. La fente 33 du coulisseau 30 s'étend transversalement au support 35. De plus, porté par le support 35 se trouve un doigt d'éjection avant 40.
Relié à l'arbre d'entraînement tournant 41 du moteur 21 se trouve un pignon 43 qui entraîne un ensemble d'engrenages à embrayage 45. Cet ensemble, dont les détails seront décrits, comprend un engrenage conique supérieur 47 entraîné par le pignon 43, l'engrenage conique entraînant un engrenage inférieur 48 par l'intermédiaire d'un embrayage 50. Coopérant avec l'ensemble d'engrenages 45 se trouve un ensemble 52 à engrenage à vis sans fin et à entraînement par chaîne comprenant un engrenage inférieur 53 entraîné par l'engrenage 48 et un engrenage intermédiaire 54 cannelé de façon à être entraîné avec l'engrenage 53. L'engrenage intermédiaire 54 entraîne un engrenage 55 d'un ensemble d'entraînement par chaîne qui est cannelé à l'engrenage 27, de façon à entraîner la chaîne 26. Tous les engrenages et les arbres sont montés sur des roulements comme cela est bien connu.
Faisant partie de l'ensemble 52 à engrenage à vis sans fin et entraînement par chaîne se trouve un arbre d'entraînement 57 ayant une vis sans fin 58 à son extrémité et fonctionnant par l'intermédiaire d'un train d'engrenages 59 pour entraîner les roues d'alimentation 17 et 18 et un ensemble à rotor d'alimentation 60 (représenté en partie). La vis sans fin 58 entraîne un arbre de transfert 61 par l'intermédiaire d'un engrenage de transfert 62, l'arbre comportant un engrenage d'entraînement 64 pour un ensemble d'indexation 65 entraîné par un arbre 66. Egalement fixé à l'arbre 61, comme cela est représenté, se trouve un petit engrenage 68 qui entraîne l'une ou l'autre des roues 17, 18, mais pas les deux, par l'intermédiaire d'un ensemble à engrenages et embrayage 70, l'arbre 71 entraînant la roue supérieure 17 et l'arbre 72 la roue inférieure 18.
L'ensemble à engrenages et embrayage 70 comprend une paire d'engrenages 73 et 74 continuellement en prise qui sont entraînés par l'engrenage 68, les engrenages en prise entraînant l'une ou l'autre des roues supérieure et inférieure par l'intermédiaire d'un embrayage à double action ayant la forme d'un embrayage à rochet à dent unique qui assure la distribution avec la roue entraînée. Le système de commande 20 du dispositif d'alimentation se trouve ainsi décrit. Ainsi, pendant le fonctionnement normal du canon, l'un ou l'autre des arbres 71 ou 72 est mis en rotation de façon à entraîner continuellement, et à une vitesse commandée par le moteur et les engrenages, l'une ou l'autre des roues supérieure ou inférieure d'alimentation, c'est-à-dire que, dès que le mode supérieur ou inférieur est sélectionné, le canon continue son fonctionnement dans ce mode jusqu'à ce qu'une commutation soit exécutée.
L'ensemble d'indexation 65 est un système d'entraînement intermittent, où l'arbre 66 est continuellement entraîné. L'arbre 66 coopère avec l'arbre 75 relié au rotor d'alimentation 60 par l'intermédiaire de la commande intermittente pour faire tourner le rotor 60 pendant un tiers de tour pour chaque tir du canon.
Une extrémité de l'arbre 66 comprend une came 76 dite Ferger-son entraînée à vitesse constante, cette came coopérant avec la came 77 de l'arbre 75 pour effectuer une rotation intermittente du rotor 60. Les cames 76 et 77 sont synchronisées pour un arrêt bref de 276° de la came 77 et par un index de 84° pour l'alimentation.
En liaison maintenant avec les fig. 2 à 4, le fonctionnement d'ensemble du canon sera décrit. Dans le mode à arrêt normal, le support et la fermeture de culasse se trouvent dans la position arrière avec le maillon maître situé légèrement en avant de l'axe du pignon d'entraînement 27, la douille usée étant maintenue sur la face avant de la fermeture de culasse. Lorsque le moteur 21 est actionné, plusieurs événements se produisent: l'ensemble à roue d'alimentation sélectionné est entraîné ainsi que la chaîne 26. Il se produit un léger déplacement vers l'arrière du support pendant le passage du maillon maître autour du pignon d'entraînement, amenant ainsi le support et la fermeture de culasse à la position la plus en arrière. Alors que le maillon maître 31 se déplace latéralement, le support et la fermeture de culasse sont stationnaires et la coulisse 30 se déplace latéralement à travers la fente transversale 33.
Pendant le bref arrêt arrière de la fermeture de culasse, le rotor d'alimentation 60 commence l'indexation, au début lentement, puis atteint une vitesse maximum, puis ralentit progressivement jusqu'à l'arrêt dans un tiers de tour, dans un mode d'accélération sinusoïdal. Pendant l'indexation du rotor d'alimentation, le plat du rotor déplace la douille usée à l'avant du doigt d'éjection avant 40 (voir fig. 4) et met une nouvelle cartouche sur la face de la fermeture de culasse. En même temps, les roues d'alimentation, qui se déplacent à une vitesse constante, ont présenté une nouvelle cartouche à la cavité vide disponible du rotor.
Approximativement à cet endroit, le maillon maître 31 commence à se déplacer autour du premier pignon fou 28 et le support et la fermeture de culasse commencent à accélérer lentement vers la culasse au début de la séquence de refoulement. La transition dans le déplacement du maillon maître entre le déplacement latéral et le déplacement axial représente un début progressif, lent et régulier du mouvement avant de la fermeture de culasse, avec une augmentation de la vitesse de course lorsque le maillon maître se rapproche du mouvement axial, cette dernière représentant la vitesse maximum vers l'avant du support et de la fermeture de culasse, le coulisseau 30 se trouvant dans la position la plus à droite de la fente 33. Alors que le support et la fermeture de culasse se déplacent vers l'avant, la cartouche située sur la face de la fermeture de culasse est refoulée et la
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
55
60
65
5
643 052
douille usée est éjectée par un orifice d'éjection avant 82. Pendant ce déplacement du support et de la fermeture de culasse par la chaîne 26 et le maillon maître au mouvement continu, les roues d'alimentation se déplacent continuellement, mais le rotor d'alimentation 60 est stationnaire. On comprendra que l'éjection de la douille usée se fait par le côté ou d'une tout autre façon.
Alors que le maillon maître se rapproche de la fin de sa course axiale vers l'avant, et commence à tourner autour du pignon fou avant droit 28 (vu dans la fig. 4), le support et la fermeture de culasse ralentissent progressivement et le coulisseau 30 se déplace de la droite vers la gauche suivant un mouvement latéral dans la fente 33. Au cours de cette phase, le support et la fermeture de culasse sont arrêtés et la fermeture de culasse est verrouillée dans la culasse et la cartouche tirée. Les roues d'alimentation sont encore entraînées, comme l'est la chaîne, mais le rotor 60 est stationnaire. Alors que le maillon maître passe d'un mouvement latéral à un mouvement axial vers l'arrière, autour du pignon fou avant gauche, la fermeture de culasse est déverrouillée et le support et la fermeture de culasse accélèrent progressivement vers l'arrière, atteignant une vitesse arrière maximum lorsque le maillon maître commence son mouvement axial vers l'arrière. La douille usée est acheminée vers l'arrière sur la face de la fermeture de culasse et, alors que le maillon maître se rapproche du pignon d'entraînement 27, la séquence se répète d'elle-même.
Comme cela apparaîtra dans la description faite jusqu'ici, le mouvement de la chaîne assure un déplacement alternativement axial et latéral du coulisseau et un mouvement de va-et-vient du support et de la fermeture de culasse. Les mouvements dans le sens axial provoquent le mouvement vers l'avant et vers l'arrière de la fermeture de culasse, alors que le mouvement latéral du coulisseau assure un déplacement libre dans la fente du support. Le déplacement libre fournit un temps d'arrêt bref approprié pour le tir et l'alimentation aux extrémités avant et arrière du cycle. En outre, pendant le temps d'arrêt relativement long du tir, la fermeture de culasse reste verrouillée, ce qui permet à la pression dans le tube de revenir à la pression ambiante et d'assurer un débit de gaz nul dans le récepteur et lors du déverrouillage de la fermeture de culasse. De plus, le système de pignons et chaîne agit pour accélérer régulièrement la fermeture de culasse, la déplacer à une vitesse constante, puis la ralentir régulièrement.
En liaison maintenant avec les fig. 3 et 4, le canon permet une commande à 100% des cartouches. Les roues d'alimentation sont en liaison avec la fermeture de culasse à mouvement alternatif par l'intermédiaire du rotor d'alimentation 60 entraîné de façon intermittente. Comme cela est représenté en fig. 3, où la roue d'alimentation inférieure 18 est engagée, la roue entraînée par le moteur du canon de la manière décrite amène la munition 85 dans le canon à une vitesse constante par l'intermédiaire d'une paire de lamelles 86 (l'une d'elle est représentée). Les roues d'alimentation sont des unités compactes à quatre dents qui assurent un engagement certain de la bande de munitions. Alors que les cartouches sont extraites, les maillons 87 tombent et la cartouche est guidée hors de la roue d'alimentation et placée dans la cavité du rotor d'alimentation 60, ce dernier comportant trois cavités à 120°, comme cela est représenté. Le rotor d'alimentation est stationnaire pendant les phases de refoulement, de tir et d'extraction de la cartouche précédente, le mouvement du rotor étant effectué de la façon décrite précédemment par l'intermédiaire du mécanisme à indexation intermittente. Le mouvement du rotor est un mouvement à accélération contrôlée, à vitesse constante et à décélération contrôlée. Simultanément, le rotor d'alimentation fait sortir la douille tirée de la fermeture de culasse et présente la nouvelle cartouche provenant de la roue d'alimentation à la face de la fermeture de culasse.
Le rotor d'alimentation est un moyen permettant de faire passer la cartouche de la roue d'alimentation à la face de la fermeture de culasse. Le rotor 60 comprend trois cavités, de forme particulière, comme cela est représenté en fig. 4. Chaque cavité à un diamètre de base qui correspond au diamètre de la douille, des reliefs y étant découpés pour permettre le dégagement des pattes de verrouillage de la fermeture de culasse. Comme tous les organes agissant sur une cartouche se déplacent régulièrement, il n'y a pas de chocs.
Grâce à la description précédente, on comprendra que la présence d'un système de verrouillage de sécurité unique permet d'éliminer les risques associés aux retards de mise à feu. Comme cela sera décrit, la séquence normale d'arrêt du canon se produit dans la position d'ouverture de la fermeture de culasse grâce à l'action d'une gâchette et du maillon maître. Le système de sécurité contre les retards de mise à feu fonctionne sur le principe que le canon doit effectuer un recul pour permettre la poursuite des tirs; sinon un maillon de sécurité de la chaîne est arrêté par la gâchette, alors que la fermeture de culasse reste verrouillée. Pour reprendre le tir, le canonnier libère la détente et le fonctionnement du canon reprend. Dans le canon décrit, le temps écoulé pendant la séquence «arrêt-départ» est d'environ 500 ms. Les données disponibles à ce jour indiquent que le retard maximum de mise à feu pour toutes les munitions connues de 25 mm est de l'ordre de 150 ms. Comme le bref arrêt de tir (chute du percuteur-déverrouillage de la fermeture de culasse) du canon décrit est de 51 ms pour une cadence de tir de 200 coups par minute, la durée ajoutée de 500 ms fournit une durée sûre de verrouillage de la fermeture de culasse comprise entre 550 et plus de 600 ms pour assurer la sécurité du canon contre le retard de mise à feu.
Dans le cas de cadences de tir plus élevées, par exemple de 500 coups par minute, le temps d'arrêt est réduit à 19 ms. Néanmoins, le retard de mise à feu est généralement inférieur à 15 ms, le chiffre de 150 ms représentant l'un des «pires cas». Ainsi, même s'il y a un retard de mise à feu par cause de défaillance de la cartouche, pour libérer le canon dans l'intervalle de temps de 3-6 ms d'un tir normal de munition, le temps d'arrêt pour tir est suffisamment long pour la plupart des retards de mise à feu; cependant, pour des retards de mise à feu plus longs, le système fonctionne bien.
Le système de protection contre les retards de mise à feu est représenté schématiquement dans les fig. 5 à 7. Comme indiqué dans la fig. 5, le canon se trouve dans la position normale d'arrêt avec la fermeture de culasse ouverte. Un solénoïde 100 de gâchette est désexcité (c'est-à-dire dans la position d'extension) et une gâchette 105 est sollicitée par un ressort 107 contre le maillon maître 31 qui se trouve juste à l'avant de l'axe du pignon d'entraînement. La fig. 5 représente également les points sur le trajet du maillon maître qui sont situés approximativement aux endroits où se produisent le verrouillage (A) de la fermeture de culasse, le tir (B), le recul (C) et le déverrouillage (D). A l'avant du maillon 31 par rapport au sens de déplacement de la chaîne se trouve un maillon de sécurité 110. Un organe d'enclenchement par recul 115 se trouve dans la position déclenchée et une tige-poussoir de recul 116 se trouve dans la position statique sans recul.
La fig. 6 représente le début du fonctionnement du canon. Le solénoïde 100 est excité (c'est-à-dire dans la position rétractée) et la gâchette 105 n'est plus actionnée, ce qui permet à la chaîne de se déplacer. L'organe d'enclenchement 115 est sur le point d'entrer en jeu par suite du déplacement vers la droite d'un pied 118 de l'organe d'enclenchement. Après un déplacement suffisant de ce pied, l'organe d'enclenchement 120 est mis en place par un ressort. Alors que l'organe d'enclenchement se trouve enclenché (voir en fig. 7), le solénoïde 100 est vaincu et la gâchette positionnée de façon à accrocher le maillon de sécurité.
Si la cartouche part correctement, le tube et la culasse 121 reculent, entraînant l'organe d'enclenchement 120 par l'intermédiaire de la tige-poussoir 116, ce qui a pour effet de déclencher le pied 118 de sorte que la gâchette se trouve ramenée en arrière par le solénoïde qui est encore excité comme cela a été décrit en liaison avec la fig. 6. Cependant, après le tir, le maillon maître se trouve approximativement à la positon 124, et le maillon de sécurité approximativement à la position 125. Si, cependant, il y a un retard de mise à feu, il ne se produit aucun recul, la tige-poussoir ne se déplace pas pour déclencher le pied et la gâchette est en contact avec le maillon de sécurité
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
55
60
65
643 052
6
110 avant que ne soit atteinte la position de déverrouillage représentée en fig. 7, pour qu'il y ait arrêt du mouvement de la chaîne avant le déverrouillage de la fermeture de culasse.
Comme le mécanisme d'enclenchement fonctionne malgré l'action du solénoïde, la désexcitation de celui-ci permet au ressort de la gâchette de maintenir le maillon de sécurité, ce qui permet le déclenchement de l'organe d'enclenchement avec les parties représentées en fig. 5, sauf que la gâchette est en contact avec le maillon de sécurité 110 au lieu de l'être avec le maillon maître. Lorsque le solénoïde est excité de quelque 500 ms après le retard de la mise à feu, les parties se trouvent dans la position indiquée en fig. 6, sauf que le maillon de sécurité 110 a dépassé la gâchette et que le maillon maître commence son déplacement axial vers l'arrière pour entraîner la fermeture de culasse vers l'arrière. Si une séquence d'arrêt se produit maintenant, la gâchette vient en contact avec le maillon maître parce que le solénoïde est désexcité.
En l'absence de retard de mise à feu, l'organe d'enclenchement est réarmé par une came portée par le support de la fermeture de culasse, ce qui déclenche un doigt du mécanisme d'enclenchement.
En liaison maintenant avec les fig. 8 à 10, les détails du mécanisme mécanique de verrouillage sont représentés et se trouvent dans la position inférieure, près de la paroi arrière du logement 130 du récepteur. A l'extrémité du récepteur côté tube se trouve un ensemble 131 à tige d'actionnement comprenant une tige 132 assise de façon à se déplacer dans une gorge 133 pratiquée dans la base du logement du récepteur. Coopérant avec la tige 132 se trouve un culbuteur 135 (fig. 10) qui est sollicité vers le haut par un ressort 136 de façon qu'un doigt 137 du culbuteur soit maintenu en contact avec la culasse.
Une tige 138 de support du bras du culbuteur traverse le culbuteur 135 et est supportée à une extrémité de la paroi du récepteur et à l'autre extrémité à l'intérieur de la paroi du récepteur, comme cela est indiqué. La tige de support a une épaisseur réduite à l'endroit où elle traverse le culbuteur et forme un pivot 140 autour duquel tourne le culbuteur. Le bras 142 du culbuteur comporte deux branches de façon à venir en contact avec un plat 144 situé à l'extrémité de la tige 132.
Pendant le recul, la culasse se déplace vers l'arrière avec le tube, ce qui provoque la rotation du culbuteur autour du pivot 140 et le déplacement de la tige 132 vers le tube à partir de sa position normale représentée en fig. 10. Une extrémité 145 de la tige 132 passe au-dessous d'un guide arrière en forme de corne 147 et comprend un pied incliné 148 qui se déplace également vers le tube.
Montée dans une fente 149 (fig. 9) à l'avant de la face arrière du guide 147 qui est en regard de la paroi arrière du récepteur se trouve une partie 150 en prolongement d'une tige-poussoir qui est montée par pivotement en 152 sur une tige-poussoir 154. La partie en prolongement 150 comprend un doigt 155 qui s'étend au-dessus de la paroi du récepteur pour être en contact avec une came de réarmement 156 portée par le support de la fermeture de culasse (voir fig. 2 et 4). Comme indiqué, la came 156 comprend une surface ouverte à l'arrière et inclinée vers le bas dans la direction de l'avant, c'est-à-dire dans la direction du tube. La partie 150 de la tige-poussoir comprend également un pied en prolongement 160 qui est incliné de façon à être complémentaire au talon 148 de la tige d'actionnement (fig. 10). Un ressort 162 est reçu à l'intérieur de la paroi arrière du guide 147, ainsi que dans une ouverture 163 tendant à solliciter le pied vers la droite de la fig. 9.
Montée également par pivotement en 164 sur la paroi arrière du récepteur se trouve une biellette de déclenchement 165, dont une extrémité est fixée par une fente oblongue et à un plongeur 166 de solénoïde, et qui pivote sur la tige-poussoir 154 en un pivot 168 d'extension tige-poussoir-tige-poussoir également dans un trou oblong. L'extrémité 169 est reliée à un ensemble 170 pivotant (fig. 8) qui comprend une gâchette 171 montée dans un culbuteur de gâchette 172, ce dernier pouvant pivoter autour d'un pivot 173, la gâchette 171 étant montée élastiquement, contre les chocs, par une pluralité
de ressorts Belleville 174. Le culbuteur 172 est monté sur la tige 164 par un axe 176.
Coopérant également avec la partie en prolongement 150 se trouve une manivelle 180 (fig. 9), qui pivote à une extrémité 181 dans le guide arrière 147 et à l'autre extrémité 182 sur la partie en prolongement de la tige-poussoir. Comme cela est représenté, le guide 147 qui guide la chaîne sur ses pignons comprend des doigts 183, 184 permettant de faire pivoter la gâchette 171 pour qu'elle vienne en contact soit avec le maillon de sécurité, soit avec le maillon maître. Un ressort (non représenté), correspondant au ressort 107, est placé dans la paroi latérale gauche du récepteur et ce ressort sollicite l'ensemble 170 de façon que la gâchette 171 soit en contact avec le maillon maître.
Le mécanisme d'enclenchement comprend fondamentalement la tige-poussoir 132 et le culbuteur 135 et la manivelle 180 et la partie en prolongement 150 et la came 156 de réarmement. A titre de commentaire général pour la compréhension du système d'enclenchement, chaque fois que le doigt 155 se trouve dans la position haute, le mécanisme d'enclenchement se trouve dans la position déclenchée. En conséquence, pour faire comprendre le fonctionnement du système de protection contre les retards de mise à feu, divers modes de fonctionnement du canon seront décrits ci-après.
Si l'on suppose un arrêt normal, c'est-à-dire qu'une cartouche vient juste d'être tirée et que le canon se trouve dans l'état normal de cessation de tir, le solénoïde 100 (voir fig. 5 et fig. 8 à 10) est désexcité et se trouve dans la position étendue. Le ressort 107 sollicite la gâchette 171 pour l'amener en contact avec le maillon maître 31 étant donné que la tige-poussoir 154 est sollicitée vers la droite de la fig. 9, et l'ensemble à gâchette 170 pivote autour de 173 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 8). La fermeture de culasse et le support ne se trouvent pas tout à fait dans la position totalement rétractée et la came 156 n'a pas encore enfoncé le doigt 155. La tige d'actionnement 133 se trouve à l'arrière, de sorte que le talon 148 est à l'arrière du pied 160 (voir fig. 10).
Lorsque le canon est actionné, le moteur 21 et le solénoïde 100 sont mis en route (ce qui a pour effet de ramener en arrière le plongeur du solénoïde), et la biellette 165 tourne vers la position «gâchette rétractée» malgré l'action du ressort 107. Dès que la gâchette s'est détachée du maillon maître, la chaîne commence à se déplacer, rétractant la fermeture de culasse et le support, et la came de réarmement 156 déclenche le doigt 155, l'amenant vers le bas de la fig. 9. La manivelle 180 agit en déclencheur, maintenant la partie en prolongement de la tige-poussoir vers le bas contre un épaulement 190 du guide 147, pourvu que le solénoïde soit actionné. Le déplacement vers le bas du doigt 155 domine l'action du solénoïde de façon à placer la gâchette dans la position non rétractée (le maillon maître ayant été dépassé) et la manivelle 180 fonctionne de façon à maintenir le système de verrouillage dans la position enclenchée. Comme la tige 132 se trouve vers l'arrière, le doigt 155 peut être enfoncé car le pied 160 est dégagé de la semelle 148.
Le fonctionnement normal du canon se poursuit, la gâchette tournant jusqu'à la position d'engagement, mais n'est pas encore en contact soit avec le maillon de sécurité, soit avec le maillon maître, étant donné que ni l'un ni l'autre ne l'ont atteinte.
Alors que le maillon maître atteint la position de verrouillage de la fermeture de culasse (fig. 5), la cartouche se trouve dans la chambre et la fermeture de culasse est verrouillée. Ainsi, la cartouche est tirée convenablement, le tube et la culasse reculent, déclenchant le culbuteur 137, sollicitant la tige d'actionnement vers le tube et provoquant le déclenchement par le talon 148 du pied 160, ce qui fait tourner la partie en prolongement de la tige-poussoir vers le haut autour du pivot 152 et déclenche la manivelle 180. Comme le solénoïde est actionné, il déplace la gâchette vers la position rétractée et le maillon de sécurité dépasse la gâchette. Le fonctionnement normal du canon se poursuit alors, c'est-à-dire que la fermeture de culasse est déverrouillée venant vers l'arrière et la came de la fermeture de culasse déclenche le doigt 155 pour la séquence suivante.
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
55
60
65
Dans le cas d'un retard de mise à feu, l'un des deux événements suivants peut se produire. Dans le premier cas, la fermeture de culasse reste verrouillée dans la culasse et, si la cartouche part après le point de tir (fig. 5) mais avant ou au moment où le maillon de sécurité atteint la gâchette dans la position «gâchette non rétractée», le fonctionnement normal du canon se poursuit, grâce au mécanisme de détection de recul, comme cela a été décrit. Si, cependant, la cartouche ne part pas, la gâchette vient en contact avec le maillon de sécurité et le fonctionnement du canon cesse. Pour reprendre la séquence, l'opérateur du canon relâche le mécanisme de commande qui coupe le système d'alimentation du canon. Après coupure, le ressort 107 maintient la gâchette engagée, mais la désexcitation momentanée du solénoïde permet à la manivelle 180 d'être déclenchée sous l'effet du ressort 166 qui fait pivoter vers le haut et vers la position déclenchée la partie en prolongement de la tige-poussoir. Lorsque le mécanisme de commande de tir est de nouveau engagé, le solénoïde domine l'action du ressort de gâchette, déclenchant la gâchette et le fonctionnement du canon continue, normalement, la cartouche ratée étant éjectée. Alors que la fermeture de culasse vient vers l'arrière, la came réarme le doigt 155, comme cela a été décrit.
Dans une séquence normale d'arrêt, le solénoïde est désexcité, et le ressort de gâchette est sollicité par le ressort 107 dans la position «gâchette non rétractée» de façon qu'elle vienne en contact avec le maillon maître. Dans un cycle d'essai, le canon fonctionne comme s'il y avait un retard de mise à feu, c'est-à-dire que la gâchette est en contact avec le maillon de sécurité et que la séquence arrêt-départ doit être suivie. L'avantage est que le verrouillage pour retard de mise à feu peut être contrôlé par un cycle d'essai. Si le canon continue son cycle, il y a un mauvais fonctionnement du système de verrouillage de protection contre les retards de mise à feu, lequel doit être corrigé.
Comme cela a été noté pendant un arrêt normal ou un arrêt pour retard de mise à feu, la chaîne s'arrête brutalement de façon à stopper toutes les fonctions du canon. Comme le canon est entraîné par un moteur extérieur 21, un ensemble compact 45 à engrenages d'embrayage est prévu entre le moteur et le canon et peut être débrayé tout en permettant au moteur de poursuivre sa rotation jusqu'à ce que le frein intérieur du moteur fonctionne pour stopper sa rotation.
En liaison avec la fig. 11, l'ensemble à engrenages d'embrayage compact et unique est représenté, et comprend un embrayage 200 ayant la forme d'un embrayage conique cannelé sur l'arbre d'entraî643 052
nement 202. L'arbre 202 comprend trois fentes 204 qui sont disposées suivant des angles de 120° sur sa périphérie. Trois roulements à rouleaux 205 sont reçus dans les fentes 204. Coopérant avec l'arbre d'entraînement 202 se trouve un arbre entraîné 210 comprenant un engrenage 211, l'arbre 210 étant creux de façon à recevoir l'arbre 202. L'arbre 210 comporte également des fentes 212 qui sont disposées sur sa périphérie suivant des angles de 120° et peuvent être alignées avec les fentes 204. Ainsi, après mise en place, les roulements 205 sont assis dans les fentes 204 et 212 de façon à relier les arbres 202 et 210.
Entourant l'arbre 210 se trouve un ressort usiné 215, ce ressort ayant la forme d'un cylindre sur lequel est formée une hélice 216. Le diamètre intérieur du ressort 215 est tel que le ressort coiffe l'arbre 210 de façon à solliciter radialement les roulements à rouleaux vers l'intérieur des fentes 212 et 204 pour bloquer les arbres et les faire tourner ensemble. Dans le cas où l'arbre 210 cesse de tourner par suite de l'arrêt d'un composant entraîné par l'engrenage 212, l'arbre intérieur 202 entraîné par le moteur continue de tourner, ce qui entraîne les roulements vers l'extérieur à travers les fentes 212 contre le ressort 215, qui se détend, et provoque le désembrayage des arbres 202 et 210 pour permettre à l'arbre intérieur de tourner par rapport à l'arbre extérieur 210. Dans ce mode, les roulements 205 sont portés par les fentes 212, et entrent et sortent brutalement des évidements 204 sous l'effet du ressort 215 tant que l'arbre 202 tourne par rapport à l'arbre 210. Lorsque l'arbre 210 peut de nouveau tourner librement, le ressort sollicite radialement les roulements vers l'intérieur en les asseyant dans les fentes 204 et 212 de façon à entraîner les arbres ensemble.
Dans la description précédente, l'ensemble d'embrayage à engrenages permet le débrayage chaque fois que le maillon maître ou le maillon de sécurité est en contact avec la gâchette, étant donné que l'engrenage 211 entraîne le pignon 27 du système d'entraînement par chaîne. Comme représenté, les roulements 220 et 221 supportent les arbres 202 et 210.
L'embrayage représenté en fig. 11 qui vient d'être décrit ne l'a été qu'à des fins d'illustration, étant entendu que d'autres agencements d'embrayage peuvent être utilisés.
L'appréciation de certaines des valeurs de mesures indiquées ci-dessus doit tenir compte du fait qu'elles proviennent de la conversion d'unités anglo-saxonnes en unités métriques.
7
5
10
15
20
25
30
35
40
R
6 feuilles dessins

Claims (17)

643 052
1. Dispositif antiretard de mise à feu d'un canon comprenant au moins un mécanisme d'alimentation, un tube, une fermeture de culasse et un moyen pour effectuer un déplacement relatif entre la fermeture de culasse et le tube, le canon ayant un cycle de tir comprenant le refoulement, le verrouillage de la fermeture de culasse, l'extraction, l'éjection et l'alimentation et présentant un mouvement de recul lors du tir d'une cartouche, caractérisé en ce qu'il comprend:
— un mécanisme d'entraînement par chaîne (25) se déplaçant normalement continuellement pendant le tir du canon pour effectuer un déplacement de la fermeture de culasse (37) par rapport au tube
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moyen d'arrêt est associé à un mécanisme qui tend à le solliciter pendant le fonctionnement du canon vers la position de désengagement permettant le déplacement du mécanisme d'entraînement (25), et en ce que les moyens répondant au moyen de détection du recul sont agencés de manière à maintenir d'abord le moyen d'arrêt dans la position d'engagement et lui permettre ensuite de se déplacer vers la position de désengagement lorsque le moyen de détection détecte le recul.
2
REVENDICATIONS
3
643 052
caractérisée en ce que le blocage du moyen d'arrêt de sécurité (110) permet d'arrêter le déplacement du mécanisme d'entraînement par chaîne (25) et du mécanisme d'alimentation et le désengagement de l'embrayage (45) de façon que le moteur (21) puisse continuer de tourner.
3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moyen d'arrêt comprend un moyen d'enclenchement fonctionnant pour maintenir le moyen d'arrêt dans la position d'engagement pendant le refoulement et le verrouillage de la fermeture de culasse et pour maintenir le moyen d'arrêt dans la position d'engagement en l'absence de tir d'une cartouche afin d'éviter le déverrouillage de la fermeture de culasse (37), ce moyen d'enclenchement étant agencé de manière à permettre au moyen d'arrêt de se déplacer vers la position de désengagement en réponse à la détection du recul par le moyen de détection.
4. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moyen d'arrêt est agencé de manière à exécuter un cycle depuis la position d'engagement jusqu'à la position de désengagement lors du tir d'une cartouche, et rester dans la position d'engagement pour maintenir le verrouillage de la fermeture de culasse, en l'absence de recul.
5
5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moyen d'arrêt comprend une gâchette (105,171) et un mécanisme d'enclenchement, la gâchette (105, 171) pouvant se déplacer entre une position non rétractée pour arrêter le déplacement du mécanisme d'entraînement (25) et une position rétractée permettant le déplacement du mécanisme d'entraînement (25), et le mécanisme d'enclenchement ayant une position enclenchée et une position déclenchée et pouvant fonctionner pour maintenir la gâchette (105, 171) dans la position non rétractée en l'absence de recul et pour permettre son déplacement dans la position rétractée lors du recul.
6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que le moyen de détection du recul est agencé pour faire passer le mécanisme d'enclenchement de la position enclenchée à la position déclenchée lors du recul.
7. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que le mécanisme d'enclenchement comprend une tige-poussoir (154) fonctionnant dans une première position pour solliciter la gâchette (171) dans la position rétractée contre l'action d'un moyen de sollicitation (107), et dans une seconde position pour permettre au moyen de sollicitation (107) de solliciter la gâchette (171) dans la position non rétractée;
— une partie de prolongement (150) de la tige-poussoir sollicitée par ressort et fonctionnant dans une première position pour déplacer la tige-poussoir (154) dans sa première position et dans une seconde position pour déplacer la tige-poussoir (154) dans sa seconde position;
— une came de réarmement (156) répondant au déplacement de la fermeture de culasse (37) pour soliciter la tige-poussoir dans sa première position;
— une manivelle (180) coopérant avec la partie de prolongement (150) de la tige-poussoir pour maintenir la tige-poussoir (154) dans sa première position, et
— un moyen répondant à la détection du recul du tube pour déclencher la manivelle (180) et permettre à la partie de prolongement (150) de la tige-poussoir de se déplacer vers ladite seconde position, permettant ainsi à la tige-poussoir (154) de se déplacer vers sa seconde position, et à la gâchette (171) de se déplacer vers sa position non rétractée sous l'effet du moyen de sollicitation.
8. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend un moyen d'entraînement (31) mobile selon un trajet prédéterminé, un moyen d'arrêt de sécurité (110) mobile selon le même trajet prédéterminé que le moyen d'entraînement (31) et disposé par rapport à celui-ci de façon que, alors que le moyen d'entraînement (31) se rapproche d'une zone de déverrouillage de la fermeture de culasse (37), le moyen d'arrêt de sécurité (110) se rapproche du moyen d'arrêt; un moyen sollicitant normalement le moyen d'arrêt pour permettre le passage du moyen d'entraînement; un moyen pour enclencher le moyen d'arrêt de façon qu'il vienne en contact avec le moyen d'arrêt de sécurité (110) pour le bloquer avant le déverrouillage de la fermeture de culasse (37) dans le cas où une cartouche ne serait pas tirée au cours d'un intervalle de temps prédéterminé; un moyen de déclenchement pouvant fonctionner en réponse au tir d'une cartouche pendant l'intervalle de temps prédéterminé pour déclencher le moyen d'arrêt et permettre le passage du moyen d'arrêt de sécurité (110) et le déverrouillage de la fermeture de culasse (37) pendant le déplacement du moyen d'entraînement (31); et un moyen de réarmement (156) pour réenclencher le moyen d'arrêt après le déverrouillage et avant le verrouillage de la fermeture de culasse (37).
9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce qu'il comprend en outre un moyen de détection de recul pouvant fonctionner de façon à exciter le moyen de déclenchement.
10
10. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le moyen d'arrêt est une gâchette (171) pouvant se déplacer entre une position non rétractée et une position rétractée, le moyen d'entraînement (31) et le moyen d'arrêt de sécurité (110) étant portés par le mécanisme d'entraînement par chaîne (25), de façon qu'une fois par cycle de tir du canon, le moyen d'entraînement (31) et le moyen d'arrêt de sécurité (110) dépassent la gâchette (171).
11. Dispositif selon la revendication 10, caractérisé en ce qu'il comprend en outre un moyen (100) sollicitant normalement la gâchette (171) vers la position rétractée, le moyen d'enclenchement du moyen d'arrêt fonctionnant en opposition au moyen de sollicitation, et le moyen de déclenchement fonctionnant pour permettre au moyen de sollicitation de solliciter la gâchette (171) vers la position rétractée.
12. Dispositif selon la revendication 10, caractérisé en ce que le moyen d'enclenchement du moyen d'arrêt comprend une manivelle maintenant la gâchette dans la position non rétractée, et en ce que le moyen de déclenchement est agencé de façon à déclencher, lors du recul, la manivelle (180) pour déplacer la gâchette (171) vers la position rétractée.
(12);
— un moyen pour détecter le recul, indiquant qu'une cartouche est partie;
•— un moyen d'arrêt pouvant se déplacer d'une position de désengagement à une autre position d'engagement pour arrêter le déplacement du mécanisme d'entraînement (25) et le mouvement de la fermeture de culasse (37), et
— des moyens répondant au moyen de détection du recul pour commander le déplacement du moyen d'arrêt entre la position d'engagement et la position de désengagement.
13. Utilisation du dispositif selon la revendication 9 dans un canon comprenant un moteur (21), un moyen d'alimentation comprenant un mécanisme d'alimentation entraînant en continu et un rotor d'alimentation (60) entraîné par intermittence, de façon à présenter séquentiellement une cartouche à la fermeture de culasse (37), des engrenages entraînés par le moteur (21) pour entraîner le moyen d'alimentation et le mécanisme d'entraînement par chaîne (25), et un mécanisme d'embrayage (45) entre le moteur (21) et les engrenages,
14. Utilisation selon la revendication 13, caractérisée en ce que, lors d'un retard de mise à feu, la séquence de fonctionnement du canon redémarre après l'intervalle de temps prédéterminé par libération du moyen de sollicitation de façon que le moyen d'enclenchement soit déclenché.
15. Utilisation selon la revendication 13, caractérisée en ce que le moyen de sollicitation est un solénoïde (100) actionné électriquement et permettant de reprendre la séquence de fonctionnement du canon après un retard de mise à feu, par la désexcitation du solénoïde (100).
15
20
25
30
35
40
45
50
55
60
65
16. Utilisation selon la revendication 15 dans un canon actionné électriquement et entraîné par un moteur, caractérisée en ce que la séquence de fonctionnement du canon après un retard de mise à feu redémarre par coupure momentanée de l'alimentation électrique du canon dans le but de désexciter momentanément le solénoïde (100).
17. Utilisation selon la revendication 13, caractérisée en ce que la durée de la course du moyen d'entraînement (31) entre la zone de tir et le déverrouillage de la fermeture de culasse (37) est supérieure à l'intervalle de temps prédéterminé pendant lequel la cartouche est normalement tirée.
CH417680A 1979-06-08 1980-05-29 Dispositif anti-retard de mise a feu d'un canon. CH643052A5 (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US06/046,664 US4301709A (en) 1979-06-08 1979-06-08 Mechanical anti-hangfire system

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH643052A5 true CH643052A5 (fr) 1984-05-15

Family

ID=21944702

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH417680A CH643052A5 (fr) 1979-06-08 1980-05-29 Dispositif anti-retard de mise a feu d'un canon.

Country Status (13)

Country Link
US (1) US4301709A (fr)
JP (1) JPS55165498A (fr)
KR (1) KR840002208B1 (fr)
BE (1) BE883675A (fr)
CH (1) CH643052A5 (fr)
DE (1) DE3021200A1 (fr)
ES (1) ES492139A0 (fr)
FR (1) FR2458785A1 (fr)
GB (1) GB2052023B (fr)
IL (1) IL60093A (fr)
IT (1) IT1144047B (fr)
NL (1) NL190791C (fr)
SE (1) SE451405B (fr)

Families Citing this family (29)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE3116541A1 (de) * 1981-04-25 1982-11-11 Rheinmetall GmbH, 4000 Düsseldorf Einrichtung zum raschen stillsetzen einer fremdangetriebenen maschinenkanone
US4563936A (en) * 1982-05-28 1986-01-14 Hughes Helicopters, Inc. Weapon with next round select feed system
US4550641A (en) * 1982-12-08 1985-11-05 Werkzeugmaschinenfabrik Oerlikon-Buhrle Ag Safety apparatus in externally powered firing weapon
DE3307882A1 (de) * 1983-03-05 1984-09-06 Rheinmetall GmbH, 4000 Düsseldorf Schnellstoppeinrichtung fuer eine maschinenwaffe mit fremdantrieb
US4481859A (en) * 1983-03-09 1984-11-13 General Electric Company Gatling gun control system
US4686886A (en) * 1985-03-06 1987-08-18 Fmc Corporation Device for test firing of guns without ammunition
DE3627362C1 (de) * 1986-08-16 1992-04-09 Rheinmetall Gmbh Schnell-Stopp-Einrichtung fuer eine Maschinenwaffe mit Fremdantrieb
FR2664687B1 (fr) * 1990-07-12 1992-09-25 Giat Ind Sa Dispositif de securite pour arme automatique.
FR2721389B1 (fr) * 1994-06-17 1996-08-14 Giat Ind Sa Dispositif de mise de feu pour artillerie par percussion d'une étoupille, et pièce d'artillerie comportant un tel dispositif.
US7066072B2 (en) 2004-07-16 2006-06-27 Boyer Jr Charles T Determining cook-off time of weapon
US7743543B2 (en) 2005-10-06 2010-06-29 Theodore Karagias Trigger mechanism and a firearm containing the same
DE102006022622A1 (de) 2006-05-12 2007-11-15 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Funktionssteuerung insbesondere für das lineare Zuführen einer Munition in ein Waffenrohr
DE102007048470A1 (de) * 2007-10-09 2009-04-23 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Schnellstopp für einen Antrieb einer Waffe mit vorzugsweise linearer Munitionszuführung
DE102007048468A1 (de) * 2007-10-09 2009-04-16 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Antrieb für eine Waffe mit vorzugsweise linearer Munitionsführung
DE102008060217A1 (de) 2008-12-04 2010-06-10 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Verschlussantrieb für eine Waffe
DE102008060214A1 (de) 2008-12-04 2010-06-10 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Verschlussantrieb für eine Waffe mit linearer Verschluss- bzw. Munitionszuführung
DE102008060216A1 (de) * 2008-12-04 2010-06-10 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Antrieb und Schnellstopp für eine Waffe mit vorzugsweise linearer Verschluss- bzw. Munitionszuführung
DE102008060215A1 (de) * 2008-12-04 2010-06-10 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Antrieb und Schnellstop für eine Waffe mit vorzugsweise linearer Verschluss- bzw. Munitionszuführung
DE102009007115B3 (de) 2009-02-02 2010-02-11 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Schnellstop für eine Maschinenkanone
DE102009056735A1 (de) 2009-12-04 2011-06-09 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Verschlussantrieb für eine Waffe
EP2507577B1 (fr) 2009-12-04 2013-09-25 Rheinmetall Waffe Munition GmbH Entraînement sélectif de culasse et/ou de munition
DE102010027636A1 (de) 2010-07-19 2012-01-19 Rheinmetall Waffe Munition Gmbh Selektiv zuschaltbarer Verschluss- und/oder Munitionsantrieb
US9377255B2 (en) 2014-02-03 2016-06-28 Theodore Karagias Multi-caliber firearms, bolt mechanisms, bolt lugs, and methods of using the same
KR101595909B1 (ko) * 2014-06-20 2016-02-19 에스앤티중공업 주식회사 박격포 시스템 및 그것의 불발탄 발생시 운용 방법
DE102016004678B4 (de) * 2016-04-19 2019-05-09 KTS Patentmanagement und Vorentwicklung GmbH Halbautomatische oder vollautomatische Feuerwaffe
US10852085B2 (en) * 2017-02-02 2020-12-01 Michael Morency Cleary Delinker mechanism for chain-driven machine gun
CN109539872A (zh) * 2018-10-24 2019-03-29 重庆长安工业(集团)有限责任公司 可调节式余弹报警器
US10845141B2 (en) * 2018-11-21 2020-11-24 Brendon Zinsner Multi-barrel split-breach rapid fire gun
US11067347B2 (en) 2018-11-30 2021-07-20 Theodore Karagias Firearm bolt assembly with a pivoting handle

Family Cites Families (4)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US1216928A (en) * 1910-10-24 1917-02-20 Horatio S Bennett Furnace.
US1216938A (en) * 1916-01-31 1917-02-20 Holmes A Frank Machine-gun.
US3949642A (en) * 1971-01-07 1976-04-13 Pulsepower Systems, Inc. Modular liquid propellant gun
FR2372409A1 (fr) * 1976-11-26 1978-06-23 France Etat Perfectionnements aux armes automatiques a moteur externe

Also Published As

Publication number Publication date
NL8003244A (nl) 1980-12-10
FR2458785A1 (fr) 1981-01-02
ES8101265A1 (es) 1980-12-16
DE3021200C2 (fr) 1989-03-09
SE451405B (sv) 1987-10-05
KR830003077A (ko) 1983-05-31
IT1144047B (it) 1986-10-29
JPS6333638B2 (fr) 1988-07-06
GB2052023A (en) 1981-01-21
GB2052023B (en) 1982-12-15
FR2458785B1 (fr) 1985-04-12
IL60093A (en) 1982-07-30
NL190791C (nl) 1994-08-16
DE3021200A1 (de) 1980-12-11
SE8004018L (sv) 1980-12-09
KR840002208B1 (ko) 1984-11-28
ES492139A0 (es) 1980-12-16
JPS55165498A (en) 1980-12-23
NL190791B (nl) 1994-03-16
US4301709A (en) 1981-11-24
IT8048885A0 (it) 1980-06-04
BE883675A (nl) 1980-10-01

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH643052A5 (fr) Dispositif anti-retard de mise a feu d'un canon.
BE1018373A3 (fr) Arme a feu.
FR2465183A1 (fr)
EP0362064B1 (fr) Arme automatique à barillet, à grande cadence de tir
CH639732A5 (fr) Mecanisme d'embrayage.
CH616741A5 (fr)
EP0571285B1 (fr) Arme automatique à chambre basculante pour le tir de munitions cylindriques télescopées
EP2627963B1 (fr) Pistolet semi-automatique a canon coulissant
EP0200584A2 (fr) Arme automatique à moteur externe
EP0519821B1 (fr) Dispositif de commande et de sécurité pour une arme automatique à énergie externe
CA1326393C (fr) Arme automatique de moyen calibre a grande cadence de tir
EP0786068B1 (fr) Arme a feu automatique multitubes de petit ou moyen calibre du type gatling, notamment destinee au tir de munitions telescopees
WO1996018863A1 (fr) Systeme d'arret de tir et de securite long feu pour une arme a feu automatique multitubes de petit ou moyen calibre
CH384414A (fr) Arme automatique à recul du tube, notamment mitrailleuse lourde
EP0153242B1 (fr) Dispositif pour le chargement automatique de munitions dans un canon
BE788251Q (fr) Mitrailleuse
FR2671395A1 (fr) Arme legere automatique.
EP0991910A1 (fr) Bouchon allumeur retard pour engin pyrotechnique
WO1991012479A1 (fr) Arme a chambre ouverte
BE414650A (fr)
BE861133A (fr) Ensemble de bloc de culasse et mecanisme actif pour le chargement automatique d'une arme a feu
BE463650A (fr)
BE347835A (fr)
FR2707746A1 (fr) Arme automatique à chargeur parallèle à l'axe du canon.

Legal Events

Date Code Title Description
PFA Name/firm changed

Owner name: MCDONNELL DOUGLAS HELICOPTER COMPANY

PL Patent ceased