CH430561A - Appareil de coupe et de fixation d'une nappe tendue tirée d'un magasin, et procédé de mise en action de cet appareil - Google Patents

Description

  
 



  Appareil de coupe et de fixation d'une nappe tendue tirée d'un   magasin,   
 et procédé de mise en action de cet appareil
 La présente invention comprend un appareil de coupe et de fixation d'une nappe tendue tirée d'un magasin et un procédé de mise en action de cet appareil. Elle concerne des machines pour manipuler une nappe de papier, de matière plastique ou de textile, par exemple, et bien que l'appareil puisse être utilisé pour des nappes étroites, il est spécialement utile pour les nappes larges. On connaît divers dispositifs pour couper une telle nappe et on désire fréquemment, après la coupe, fixer une des deux nouvelles extrémités de la nappe sur un support. Une telle fixation est effectuée ordinairement à la main après achèvement de la coupe.



   Le but de l'invention est de fournir un appareil simple et efficace permettant d'effectuer la coupe et la fixation en une seule opération.



   L'appareil faisant l'objet de la présente invention est caractérisé en ce qu'il comprend un chariot capable d'un mouvement transversal d'un bord latéral à l'autre de la nappe, le chariot portant un dispositif de coupe actif pendant ce mouvement et agencé de façon à couper la nappe, et un dispositif de fixation agencé de façon à presser l'une des nouvelles parties extrêmes séparées de la nappe contre une surface située au-dessous de la nappe pour fixer ladite partie à cette surface.



   Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'appareil objet de l'invention et des variantes, et illustre également à titre d'exemple des modes de mise en action de cette forme d'exécution:
 Les fig. 1 et 2 sont des vues latérales partiellement en coupe, d'une machine avec laquelle ladite forme d'exécution est utilisée, ces figures montrant diverses parties dans deux positions différentes.



   Les fig. 3 et 4 sont respectivement une vue en plan et une élévation frontale, partiellement en coupe, de cette forme d'exécution.



   Les fig. 5, 6 et 7 sont respectivement une élévation latérale, une élévation de bout et une vue en plan d'une première variante.



   La fig. 8 est une vue d'un dispositif utilisé dans la variante des fig. 5, 6 et 7.



   Les fig. 9 à 12 montrent d'autres variantes, et
 les fig. 13 à 15 illustrent trois applications de ladite forme d'exécution.



   La machine à laquelle est destinée une forme d'exécution de l'appareil objet de l'invention comprend une rampe inclinée vers le bas de laquelle des rouleaux à emballer roulent dans une position de calibrage, une tête mobile occupant normalement une position avancée et comportant une paroi frontale adjacente à l'extrémité inférieure de la rampe qui arrête chaque rouleau dans la position de calibrage, un appareil de coupe et de fixation étant logé dans ladite tête, un dispositif de calibrage pour mesurer le diamètre du rouleau, une bobine d'alimentation à partir de laquelle une nappe d'une matière d'emballage, du papier par exemple, est tirée sur la tête mobile, un dispositif de serrage disposé au-dessous de l'extrémité inférieure de la rampe inclinée et agencé de façon à serrer l'extrémité libre de la nappe de matière d'emballage,

   une boîte verticale comportant des parois réglables selon le diamètre du rouleau et dans laquelle l'emballage du rouleau est effectué, un dispositif d'arrêt pour déterminer la position du rouleau, selon son diamètre, dans une position d'emballage dans la boîte au-dessous de la position avancée de la tête mobile, un mécanisme de transfert réglé par le dispositif de calibrage selon le diamètre du rouleau pour mettre le dispositif d'arrêt correctement en place, afin qu'il arrête le rouleau dans la position d'emballage, et pour déplacer ensuite ce dispositif d'arrêt dans une position où il détermine une seconde position du rouleau dans laquelle, par exemple, les extrémités du rouleau peuvent être enveloppées.  



   Un rouleau A à emballer, dont le   diamètre    est compris dans un domaine déterminé (les dimensions minimum et maximum étant indiquées par les rouleaux en pointillé   At    et A2), est amené dans la machine vers le bas de la rampe inclinée formée de deux parties B et   Bl,    la partie inférieure B étant mobile et la partie supérieure   Bt    fixe. Le rouleau A est arrêté dans une position de calibrage par engagement avec la face frontale d'une tête mobile D, cet engagement actionnant un dispositif de déclenchement non représenté qui met en action le dispositif de calibrage.



   Ce dernier comprend un plateau de détection C parallèle à la rampe inclinée B,   Bt    et mobile sous l'action d'un cylindre pneumatique   C1    dans une direction perpendiculaire à la rampe de manière à engager la surface du rouleau A et à mesurer le diamètre de ce dernier. Le dispositif de calibrage actionne un dispositif de commande pneumatique C2 qui commande la mise en place de diverses parties de la machine selon le diamètre du rouleau. Ce dispositif de commande peut être d'un type quelconque capable d'effectuer une commande pneumatique selon l'étendue du mouvement d'un élément de commande.



   La boîte verticale comprend deux parois verticales
E3, E4 également espacées sur les côtés opposés d'un plan de référence vertical E, de sorte que la boîte est disposée au-dessous de la position avancée de la tête mobile D. Ces parois   E3,    E4 sont, normalement, espacées l'une de l'autre d'une distance égale au diamètre du rouleau Al de plus petite dimension dans le domaine envisagé et sont déplacées comme on le verra plus loin par le dispositif de commande pneumatique afin d'être séparées d'une distance égale au diamètre du rouleau A particulier à emballer.



   La partie inférieure B de la rampe inclinée est mobile dans une direction parallèle à la rampe inclinée et porte la paroi verticale intérieure   E3    qui se déplace avec elle, l'arrangement étant tel que la composante horizontale de ce mouvement dans ladite direction inclinée soit égale et opposée au mouvement dans une direction horizontale de la paroi verticale extérieure E4, de façon que les deux parois restent toujours également espacées horizontalement du plan de   référence    vertical E dans toutes les positions de réglage.



   Ces mouvements de mise en place en fonction du diamètre du rouleau sont effectués par l'intermédiaire d'une barre de commande F qui s'étend en travers du fond de la machine dans une direction parallèle à l'axe du rouleau A et au plan de référence E et qui peut se déplacer horizontalement à angle droit de ce plan sous l'action d'un cylindre pneumatique F2 commandé par le dispositif de commande pneumatique C2, le mouvement étant guidé par des roulements à billes F4. La barre de commande F est connectée par un mécanisme articulé   Ft    à la partie inférieure B de la rampe inclinée et à la paroi verticale intérieure   E3    de façon que ces organes se déplacent le long de rails de guidage fixes B2 dans leur position active.

   En même temps, la paroi verticale extérieure E4 est déplacée en direction horizontale par le cylindre pneumatique F2 et un mécanisme articulé F3, le mouvement étant guidé par des roulements à billes E5.



   La barre de commande F commande aussi le mécanisme de transfert en accord avec le diamètre du rouleau. La barre F porte deux cames semblables F5 qui constituent ensemble des moyens de butée qui seront décrits plus loin. La barre F porte aussi un bloc F6 sur lequel pivote une   extrérnité    d'un cylindre pneumatique de libération F7 dont la tige de piston   F8    pivote sur l'extrémité inférieure d'un bras   G1    d'un levier coudé
G,   G'    tournant sur un pivot G2. L'autre bras G de levier est un bras de transfert qui porte à son extrémité libre un arbre horizontal sur lequel sont montés des galets G5 constituant un dispositif d'arrêt pour mettre en place le rouleau A dans la boîte verticale.



   La barre de commande F occupe, normalement une position espacée horizontalement d'un plan de référence     zéro F9 d'une distance égale à la moitié du diamètre    du plus petit rouleau   A1    dans le domaine considéré. et elle est déplacée par le cylindre pneumatique F2 dans une position espacée du plan zéro   F2    d'une distance égale à la moitié du diamètre du rouleau A à envelopper.

   A ce stade, le cylindre de libération   F7    est soumis à une pression d'air, de sorte qu'il n'y a pas de mouvement relatif entre le cylindre   F7    et sa tige de piston   F0    et que le mouvement de la barre de commande est ainsi transmis directement au bras   Gl    dont la longueur est égale à la moitié de celle du bras   de trans-    fert G.

   Comme le dispositif d'arrêt G5 est disposé normalement à une distance égale au diamètre du plus petit rouleau   At    au-dessous d'une ligne de référence horizontale Et dans le plan de référence E, il est clair que le mouvement de la barre de commande F oblige le dispositif d'arrêt   G5    à se déplacer vers le bas dans une position qui est à une distance égale au diamètre du rouleau   A    au-dessous de la ligne de référence   E1.   



  Le bras de transfert G est d'une longueur considérable. de sorte que la trajectoire arquée du dispositif d'arrêt
G5 ne s'écarte que d'une manière négligeable du plan de référence E.



   La fig. 1 montre les diverses parties dans leur position de repos normale dans laquelle la tête mobile D occupe sa position avancée sur la boîte verticale E3.   un un rouleau A étant juste arrêté dans la position de    calibrage par la paroi frontale de la tête, en position pour être calibré par le dispositif C,   Ct.    A ce stade. l'extrémité libre d'une nappe H de matière d'emballage est serrée par un dispositif de serrage B3.

     B4    qui est monté au-dessous de la partie inférieure B de la   rarnpe    inclinée et actionné par un cylindre pneumatique B5, la nappe   H    passant du dispositif de serrage sur la face frontale de la tête mobile D et sur des galets de   guidage fixes H', H2, E H4 et sur un galet de compen-    sation mobile   lI5    disposé entre les galets H2 et H4, jusqu'à une bobine d'alimentation H5. Le but du rouleau de compensation   H3    est de rattraper le mou dans la nappe   H    quand la tête mobile D est ramenée depuis sa position avancée.



   Une fois les diverses parties de la machine mises en place selon le diamètre du rouleau   A.    un dispositif de déclenchement non représenté est actionné pour produire le fonctionnement d'un second cylindre pneumatique   Dt    qui retire la tête mobile D horizontalement à distance de sa position avancée normale. Le rouleau A est ainsi libéré et peut se déplacer en avant dans la position d'emballage, mais en même temps le rouleau A tire la nappe   H    en travers de sa trajectoire. de sorte que le rouleau emporte la nappe avec lui.

   Ce nouveau mouvement du rouleau A est arrêté par le dispositif d'arrêt G5 dans la position d'emballage. et à ce stade la nappe H passe vers le bas depuis le dispositif de serrage B3, B4 le long de la paroi verticale intérieure   Es,    entoure étroitement la moitié inférieure de la périphérie du rouleau A et, de là, remonte le long de la  paroi verticale extérieure E4 et sur la face frontale de la tête mobile D en position retirée, jusque vers la bobine d'alimentation. La tête D porte une saillie   D2    qui heurte un dispositif de déclenchement E6 porté par la paroi verticale extérieure E4.

   Ce dispositif de déclenchement produit l'arrêt du mouvement de retrait de la tête D, quand la face frontale de la tête est disposée approximativement au-dessus de la paroi verticale extérieure, et aussitôt produit le mouvement de retour de la tête D vers sa position avancée.



   Le dispositif de déclenchement Efi oblige aussi le cylindre pneumatique B5 à libérer le dispositif de serrage B3,   B4    et actionne un autre cylindre pneumatique   BO    pour produire le mouvement longitudinal de deux doigts de pliage   B7,    connectés de préférence   l'un    à l'autre par une barre de pliage, de manière que ces doigts et la barre de pliage engagent l'extrémité libérée de la nappe et la plie étroitement autour d'une partie de la moitié supérieure de la surface du rouleau A. La   lête    D a été déplacée entre-temps vers sa position avancée et a enroulé la nappe H autour du reste de la surface périphérique du rouleau, de sorte que finalement la nappe recouvre son bord libre et est serrée fortement contre la surface du rouleau.

   Quand la tête D atteint sa position avancée, un dispositif de déclenchement non représenté produit le retrait des doigts de pliage F7 et applique une pince D3 montée à la partie supérieure de la tête pour maintenir la nappe contre un mouvement de retour produit par le galet de compensation   H2    quand la nappe est ensuite coupée par le dispositif de coupe, la nappe se trouvant ainsi maintenue à l'état tendu pour favoriser la coupe.



   Les diverses parties de la machine ayant atteint les positions représentées en fig. 2 sont prêtes pour l'action des dispositifs de coupe et de fixation, de façon que la nappe H soit coupée et qu'un ruban adhésif soit appliqué sur les extrémités chevauchantes de la nappe, fixant ainsi fortement l'emballage autour de la surface périphérique du rouleau.



   Après achèvement de la coupe et de la fixation, un nouveau dispositif de déclenchement assure l'échappement de l'air comprimé dans le cylindre de libération F7, ce qui libère le dispositif d'arrêt   G5    tout en laissant les autres parties de la machine dans les positions correspondant au diamètre du rouleau, de sorte que le rouleau enveloppé à sa périphérie tombe dans la boîte   E3,    E4 jusqu'à ce qu'il soit arrêté par engagement du dispositif d'arrêt   G5    avec les moyens de butée   constitués par les deux : cames F5.

   La forme et la posi-    tion de ces cames sont telles que le dispositif d'arrêt G5, quand il est engagé avec elles (comme représenté en lignes pointillées à   la fig.    2), maintient le rouleau de façon que son axe soit centré avec précision sur une ligne de référence fixe E2 dans le plan de référence E, prêt pour une nouvelle opération qui peut être l'emballage des extrémités du rouleau, par exemple de la manière décrite dans les brevets   NO    391566 et 406954.



  A la fin de cette opération, un volet pivotant E7 constituant la partie inférieure de la paroi verticale intérieure E3 est libéré pour permettre au rouleau de tomber sur une glissière de décharge   E5    et d'être déchargé de la machine. Ce mouvement final du rouleau actionne un autre dispositif de déclenchement non représenté qui met en fonction le dispositif de commande pneumatique C2 pour ramener les diverses parties de la machine qui ont été réglées selon le diamètre du rouleau dans leur position normale en vue de l'emballage du prochain rouleau, l'opération finale étant le serrage de la nouvelle extrémité libre de la nappe H par le dispositif de serrage B3, B4 au-dessous de la rampe inclinée B, B1 et la libération de la pince   D3    à la partie supérieure de la tête D.



   Les fig. 3 et 4 représentent l'appareil de coupe et de fixation qui est logé dans la tête D et participe aux mouvements de retrait et de retour de celle-ci. Les parties principales de l'appareil. comprenant un couteau et des rouleaux pour presser un ruban adhésif sur la surface enveloppée du rouleau A, sont montées sur un chariot mobile J qui est déplacé le long de guide   Jt    portés par la tête D depuis une zone située au-delà d'un bord latéral de la nappe H jusqu'à une zone située au-delà de l'autre bord latéral de la nappe. Le mouvement transversal du chariot J est effectué par un cylindre pneumatique K à double action dont la tige de piston   Kt    se projette depuis les deux extrémités du cylindre, et au moyen de deux câbles K2 passant sur des poulies et connectés respectivement aux extrémités du chariot J.



  Pour permettre au piston d'avoir une course faible dans le cylindre K relativement au long mouvement du chariot. les poulies sont agencées de façon à multiplier l'entraînement par un rapport de transmission approprié, par exemple de 4:1. Dans ce but, chaque câble K2 est fixé à une console   K3    sur la tête mobile D et passe tour à tour sur quatre poulies, dont deux, K4, sont montées sur la console   K3    et les deux autres, K5, sur la tige de piston   KX,    et finalement sur une autre poulie   K6    portée par la tête D.



   Le ruban adhésif L est tiré d'une bobine   Ll    montée sur une console s'étendant depuis une extrémité de la partie supérieure de la tête D et passe sur des galets de guidage L2 sur la tête D, et de là dans un dispositif humidificateur   L3    porté par le chariot J. Le chariot J est placé normalement à l'extrémité de la tête mobile D adjacente à la bobine   Lt    et, quand l'appareil de coupe et de fixation est actionné, le chariot effectue d'abord un mouvement transversal à vide vers l'autre extrémité de la tête, puis s'inverse et effectue un mouvement transversal actif qui le ramène dans sa position de repos. Ainsi, le mouvement actif se fait toujours dans le même sens en travers de la largeur de la nappe H, le couteau étant monté en avant des rouleaux qui appliquent le ruban pendant ce mouvement actif.



  Le mouvement transversal à vide est utilisé pour tirer le ruban adhésif L de la bobine   Lt    et le couteau et les rouleaux sont soulevés à distance de la nappe pendant ce mouvement.



   Dans ce but, le couteau constitué par une lame inclinée M et les rouleaux   Ml    sont montés sur un bâti M2 porté par un bras   M3    d'un levier M3, M4 pivotant sur le chariot J. Le bâti M2 porte aussi la mâchoire mobile   M5    d'une pince dont la mâchoire fixe
J2 est montée sur le chariot J. Le levier M3, M4 est commandé par un ressort à détente   J3    monté sur le chariot J. de manière que pendant le mouvement à vide du chariot, les deux mâchoires M5,   J2    de la pince soient maintenues serrées, serrant ainsi le ruban adhésif L, le bâti M2 étant en position soulevée.

   A la fin du mouvement à vide du chariot, le bras M4 du levier heurte une butée D4 sur la tête mobile D et pivote autour de son pivot de façon que le ressort à détente   J3    engage une butée J4 sur le chariot et maintienne le bâti M2 dans sa position abaissée pendant le mouvement transversal à vide subséquent, la pince M5, J2 étant libérée. L'engagement du bras M4 avec la  butée D4 actionne aussi un dispositif de déclenchement commandant le cylindre pneumatique K, afin d'arrêter le chariot J et de commencer immédiatement le mouvement de retour actif. Les fig. 3 et 4 montrent les diverses parties dans cette position au commencement du mouvement actif.

   L'abaissement du bâti   MO    amène un élément de réaction M6 juste au-dessous du niveau de la nappe, de sorte que la lame M coopérant avec cet élément engage le bord de la nappe et coupe celle-ci au cours du mouvement transversal actif. L'élément de réaction M6 comporte une saillie arrière M7 constituant une lame de déviation destinée à dévier l'une des extrémités séparées de la nappe, à savoir celle connectée à la partie de la nappe provenant de la bobine, vers le haut à distance de la trajectoire des galets M1 qui suivent la lame M. Le ruban adhésif L passe sur la mâchoire inférieure mobile   M5    de la pince et est dévié vers le bas par deux galets   M0    à l'extrémité arrière de cette mâchoire afin de passer au-dessous des rouleaux de fixation principaux M1 qui sont sollicités vers le bas par des ressorts.

   Ainsi, les rouleaux de fixation M1, qui sont légèrement inclinés   l'un    par rapport à l'autre afin d'engager de façon satisfaisante la surface courbe du rouleau empaqueté, pressent le ruban adhésif L fermement sur les extrémités en chevauchement de la nappe autour du rouleau A, cette fixation se faisant progressivement sur toute la largeur de la nappe immédiatement après la coupe de celle-ci. A la fin du mouvement transversal actif, le bras M4 du levier heurte une autre butée D5 sur la tête mobile D, de sorte que le levier soulève le bâti M2 pour appliquer à nouveau la pince sur le ruban adhésif L.

   On actionne ainsi un dispositif de déclenchement qui actionne le cylindre pneumatique   K    pour mettre le chariot J au repos, et un autre cylindre pneumatique D6 sur la tête mobile D qui commande une guillotine D7 afin de couper le ruban adhésif L juste en arrière des rouleaux de fixa   tion N Ml. Ce dispositif de déclenchement est utilisé aussi    pour actionner le cylindre de libération F7 du mécanisme de transfert, de sorte que le rouleau A, dont l'emballage périphérique est fixé autour de lui, est déplacé dans sa seconde position active où ses extrémités peuvent être enveloppées.



   Les fig. 5 à 7 montrent une variante de l'appareil de coupe et de fixation décrit. Cette construction diffère de la précédente principalement en ce   qu'en.    position   normale    de repos le chariot se trouve à l'extrémité de la tête mobile éloignée de la bobine d'alimentation du ruban adhésif, de sorte que l'appareil effectue son mouvement transversal actif dès qu'il est actionné à la fin de l'enveloppement périphérique du rouleau, le mouvement transversal à vide se produisant après la fin du mouvement actif alors que le rouleau tombe dans sa seconde position active.



   Le chariot J se déplace sur des galets J5 montés sur des voies de guidage D8 suspendues depuis la partie supérieure de la tête mobile D et il est entraîné par les câbles   KO    à partir du cylindre pneumatique K, comme dans la forme d'exécution décrite plus haut. Un bâti N est suspendu par des biellettes J6 au chariot J et sa position inférieure est déterminée par une butée réglable J7. Le bâti N occupe cette position inférieure pendant le mouvement transversal à vide, car dans cette construction sa trajectoire n'interfère pas avec le rouleau pendant ce mouvement. Le bâti N est déplacé dans sa position soulevée avant le mouvement transversal actif au moyen d'une pièce   N1    se projetant en avant du bâti et qui se déplace sur la surface enveloppée du rouleau pendant le mouvement de retour de la tête mobile D dans sa position avancée.



   Le ruban adhésif est tiré de la bobine   L1    pendant le mouvement transversal à vide, comme précédemment, mais dans ce cas un dispositif humidificateur N2 est porté par le bâti N de façon que le ruban soit humidifié immédiatement avant d'être pressé sur la matière d'emballage disposée autour du rouleau. La pince pour serrer le ruban adhésif L est portée complètement par le bâti N, une mâchoire   N8    étant fixée à la partie supérieure du bâti et une autre mâchoire N4 étant portée par un bras N5 d'un levier N5, N6 pivotant sur le bâti.



  L'autre bras N6 de ce levier porte un galet mobile N7.



  Dans la position de repos normale, ce galet N7 est maintenu en position soulevée, la pince N3, N4 étant fermée, à la fois par un ressort N8 et par le poids d'un autre galet N9 agissant par l'intermédiaire d'un levier N10. Peu après le commencement du mouvement transversal actif, ce galet N9 heurte le bord de la nappe de matière d'emballage et est soulevé, ce qui libère le galet N7 dont le poids dépasse la force du ressort N8, de sorte que la pince N3, N4 est ouverte.

   Le ruban adhésif L (non représenté sur ces figures pour simplifier le dessin) passe de la bobine L1 sur des rouleaux de guidage vers la pince
N3, N4 et de là autour d'un rouleau de guidage N11 monté sur le bâti N, autour du galet mobile N7 et au-dessous du galet   N9    qui le presse sur la partie supérieure de la matière d'emballage, et ensuite au-delà d'une paire de rouleaux inclinés N12 qui complètent   l'appli-    cation du ruban sur la matière d'emballage disposée sur le rouleau A. Le mouvement vers le bas du galet N7 presse le ruban contre le dispositif humidificateur N2.



  On a trouvé avantageux d'utiliser des moyens, tels que des pointes D9 ou une cuvette d'aspiration, portés par la tête mobile D pour maintenir l'extrémité libre du ruban adhésif pendant le mouvement transversal actif.



   Dans la variante des fig. 5 à 7, on utilise un couteau rotatif N14 à la place de la lame M de la construction précédente. L'arbre   N13    du couteau rotatif N14 est porté par l'organe N1 et entraîné par un engrenage réducteur   J8    à chaîne et roues à chaîne à partir d'un pignon   J2    monté sur le chariot J, ce pignon s'engageant avec une crémaillère D10 portée par la tête D, de manière que le couteau N14 soit entraîné par le mouvement transversal actif du chariot J lui-même.

   Une butée   N15    pour le couteau N14 s'engage sous la nappe de matière d'emballage et porte aussi une lame de déviation   N16    pour dévier le bord extérieur de la nappe à distances des galets N9,   Ntg    qui pressent le ruban adhésif sur les bords en chevaux chement de la nappe sur le rouleau A.



   A la fin du mouvement transversal actif, quand le galet pivotant N9 quitte le bord de la nappe, la pince
N3, N4 est à nouveau appliquée pour serrer le ruban adhésif, le dispositif humidificateur   NO    étant inopérant, et la guillotine D7 est actionnée, comme dans la forme d'exécution décrite plus haut, pour couper le ruban en arrière des galets N12, en prévision du mouvement transversal à vide qui se produit immédiatement tandis que le rouleau A tombe dans sa seconde position active.



   Le dispositif humidificateur N2 peut être construit de diverses manières. Dans la construction représentée schématiquement à la fig. 8, il comprend une mèche O d'une matière absorbante disposée dans une fente longitudinale d'un tube   Ol    à l'intérieur duquel un liquide est amené à partir d'un dispositif à niveau constant 02 alimenté par une cuve 03 portée par le bâti N, de sorte  qu'une pression de liquide constante est maintenue afin que le dispositif humidificateur soit alimenté en liquide uniformément quels que soient les changements de niveau dans la cuve 03.

   Alternativement, le tuyau provenant du dispositif 02 peut conduire à l'intérieur d'un rouleau rotatif à paroi épaisse entouré par un manchon d'une matière absorbante, la paroi du rouleau étant percée d'un certain nombre de petits passages radiaux à travers lesquels le liquide passe vers le manchon absorbant quand le rouleau tourne par engagement avec le ruban adhésif.



   L'appareil de coupe et de fixation décrit ci-dessus peut être modifié de différentes façons. Le couteau rotatif N14 peut être monté dans un plan incliné de manière à couper la nappe de matière d'emballage à angle droit (fig. 9) dans une partie de la nappe tendue entre une butée N15 et une pièce N16. Les fig. 9 et 10 montrent aussi que le couteau rotatif N14 peut être entraîné par une petite turbine à air P, et non par le mouvement transversal du chariot, l'air étant envoyé à la turbine à travers un tuyau pl enroulé autour d'un tambour P2 porté par la tête mobile D à proximité du point de départ du mouvement transversal actif du chariot. Le tambour   p2    tourne contre l'action d'un ressort spiral non représenté, de préférence du type à tension constante.

   Le couteau rotatif peut présenter un bord en dents de scie et l'échappement de la turbine à air peut être dirigé à proximité du point de coupe afin d'éviter que le couteau ne soit heurté par de petits fragments de la matière d'emballage. L'air est envoyé dans le tuyau pl par un tuyau d'entrée P3 conduisant à travers un raccord étanche à l'air dans l'intérieur creux du tambour P2 auquel l'extrémité interne de l'enroulement du tuyau   P1    est connectée par un raccord P4.

 

   On a trouvé que dans certaines circonstances des variations de vitesse peuvent parfois se produire avec un entraînement pneumatique du chariot dans ses mouvements transversaux. On peut éviter cet inconvénient par l'emploi d'un entraînement hydraulique ou, comme représenté à la fig. 11, par un entraînement combiné pneumatique et hydraulique. Dans ce cas, un cylindre hydraulique Q est placé à côté du cylindre pneumatique K, sa tige de piston Q1 étant reliée rigidement à la tige de piston K1 du cylindre pneumatique.

   Les deux extr ment du mouvement de coupe et de fixation, le bouton S' est libéré pour pincer le ruban, qui est ainsi fixé pendant qu'il n'est pas utilisé, et pour retirer le ruban du dispositif humidificateur U8, puis la guillotine   S3    est actionnée par le levier à main   S4    pour couper le ruban adhésif en arrière des rouleaux inclinés T4.



     Fol est    clair que la bobine de ruban adhésif pourrait être montée sur le chariot, non seulement quand l'appareil de coupe et de fixation est utilisé comme un outil à main, mais aussi quand il est incorporé à une machine.



   Les circuits pneumatiques grâce auxquels, dans la machine à emballer décrite, le dispositif de commande pneumatique commande les diverses parties de la machine et la succession d'opérations désirée de ces parties, ne sont pas représentés sur le dessin. Ils sont agencés de la manière connue pour assurer les opérations recherchées. Cette commande pourrait être hydraulique, électrique ou mécanique au lieu d'être pneumatique.



   REVENDICATIONS
 I. Appareil de coupe et de fixation d'une nappe teneue tirée d'un magasin, caractérisé en ce qu'il comprend un chariot capable d'un mouvement transversal d'un bord latéral à l'autre de la nappe, le chariot portant un dispositif de coupe actif pendant ce mouvement et agencé de façon à couper la nappe, et un dispositif de fixation agencé de façon à presser l'une des nouvelles parties extrêmes séparées de la nappe contre une surface située au-dessous de la nappe pour fixer ladite partie à cette surface.
  

Claims (1)

1. II. Procédé de mise en action de l'appareil selon la revendication I, dans une machine sur une partie de laquelle les dispositifs de coupe et de fixation sont montés, caractérisé en ce qu'on actionne la machine de manière à tirer une nappe de matière d'un magasin d'alimentation, la nappe étant maintenue sous tension pendant le fonctionnement des dispositifs de coupe et de fixation, et en ce qu'on déplace un chariot portant les dispositifs de coupe et de fixation en travers de la nappe, d'un bord à l'autre de celle-ci, le dispositif de coupe sur le chariot étant actif pour couper la nappe progressivement pendant ce mouvement transversal,

   le dispositif de fixation suivant étroitement le dispositif de coupe en travers de la nappe pendant ce mouvement transversal et agissant progressivement pour presser l'une des extrémités nouvellement séparées de la nappe contre une surface disposée au-dessous de la nappe et pour fixer cette extrémité à cette surface.

   SOUS-REVENDICATIONS 1. Appareil selon la revendication I, caractérisé en ce que la fixation est assurée en engageant par pression un ruban adhésif avec les parties à solidariser.

   2. Appareil selon la sous-revendication 1, caractérisé en ce que le ruban adhésif nécessite une humidification pour adhérer, ledit ruban étant engagé avec un dispositif humidificateur avant la fixation.

   3. Appareil selon la sous-revendication 2, caractérisé en ce que le dispositif humidificateur constitue une partie du dispositif de fixation et se déplace avec ce dernier pendant le mouvement transversal du chariot, une cuve fermée étant montée sur le chariot pour alimenter en liquide le dispositif humidificateur.

   4. Appareil selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que le liquide est amené de la cuve au dispositif humidificateur par l'intermédiaire d'un dispositif à niveau constant, de manière à maintenir une pression de liquide constante dans l'alimentation du dispositif humidificateur quel que soit le changement de niveau dans la cuve.

   5. Appareil selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que le dispositif humidificateur comprend un tube rotatif présentant des trous et entouré par un man- chon d'une matière absorbante contre lequel le ruban adhésif est pressé par un rouleau, le liquide étant amené à l'intérieur du tube et, à travers lesdits trous, au manchon absorbant.

   6. Appareil selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que le dispositif humidificateur comprend un récipient à l'intérieur duquel le liquide est amené, et une- mèche de matière absorbante-disposée en travers d'une fente longitudinale dudit récipient et qui s'engage avec le ruban adhésif.

   7. Appareil selon la sous-revendication 1, caractéXisé en ce que le ruban adhésif est tiré d'une bobine montée sur le chariot et se déplaçant avec ce dernier pendant son mouvement transversal.

   8. Appareil selon la revendication I, caractérisé en ce qu'il constitue un outil à main pouvant être déplace à la main en travers de la nappe pour la coupe et la fixation.

   9. Procédé selon la revendication 11, caractérisé en ce que le chariot, avant son mouvement transversal actif pendant lequel la coupe et la fixation sont effectuées, effectue un mouvement transversal à vide dans le sens opposé, la coupe et la fixation se produisant toujours pendant un mouvement transversal de même sens en travers de la nappe.

   10. Procédé selon la sous-revendication 9, caractérisé en ce qu'on serre un ruban adhésif tiré d'une bobine qui ne participe pas aux mouvements transversaux du chariot par un dispositif de serrage sur le chariot au commencement du mouvement à vide du chariot ou avant, de manière que le ruban soit tiré de la bobine pendant ce mouvement transversal à vide, le ruban adhésif étant obligé par cette bobine ou par un rouleau de guidage, à passer à proximité du point de départ du mouvement transversal à vide du chariot, on libère le ruban adhésif du dispositif de serrage au commencement du mouvement transversal actif suivant et on le presse pendant ce mouvement en engagement avec les parties à sceller ensemble et, à l'extrémité de ce mouvement transversal actif ou après, la partie du ruban adhésif qui effectue la fixation est séparée du reste du ruban sur la bobine.

   11. Procédé selon la sous-revendication 10, dans lequel le ruban adhésif nécessite une humidification pour son adhésion, caractérisé en ce qu'au moins un rouleau est agencé sur le chariot, de façon à engager fermement par pression le ruban avec les parties à solidariser au commencement du mouvement transversal actif, et à libérer les moyens de serrage et à engager le ruban avec un dispositif humidificateur.

   12. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce que les dispositifs de coupe et de fixation sont supportés par un bâti mobile monté sur le corps principal du chariot et en ce qu'on utilise un organe détecteur sur le bâti, organe qui peut glisser sur la nappe pendant le mouvement transversal du chariot afin de placer les dispositifs de coupe et de fixation en position active correcte, 13. Procédé selon la sous-revendication 12, caractérisé en ce que le bâti porte une pièce qui s'engage sous la nappe pendant le mouvement transversal et constitue une butée pour favoriser le fonctionnement du dispositif de coupe.

   14. Procédé selon la sous-revendication 12, caractérisé en ce qu'on dévie la nouvelle extrémité libre de la nappe séparée par le dispositif de coupe, à distance du dispositif de fixation par une lame de déviation portée par le bâti mobile.

   15. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise comme dispositif de coupe un couteau rotatif entraîné par le mouvement transversal du chariot par l'intermédiaire d'une roue dentée montée sur le chariot et engagée avec une crémaillère portée par les guides le long desquels le chariot est déplacé.

   16. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce que le chariot se déplace le long de guides sous la commande d'un dispositif à fluide sous pression à double action agissant sur les deux extrémités du chariot par l'intermédiaire de câbles passant sur des poulies agencées de manière à donner un rapport de multiplication tel que la longueur totale du mouvement transversal dans l'un et l'autre sens soit obtenue par un mouvement relativement court du piston dudit dispositif à fluide sous pression.

   17. Procédé selon la revendication II, dans lequel la nappe est destinée à être enroulée sur une forme. caractérisé en ce qu'on oblige la nappe à venir en engagement avec la forme et en ce que le dispositif de coupe est actif pour couper la nappe et pour fixer sur la surface de la forme la nouvelle extrémité libre de la nappe reliée au magasin.

   18. Procédé selon la sous-revendication 17, dans lequel la forme fait partie d'une série de formes montées sur un dispositif transporteur et sur lesquelles la nappe doit être enroulée tour à tour, caractérisé en ce qu'après l'achèvement de l'enroulement de la nappe sur une forme, on actionne le dispositif transporteur afin que la nappe s'engage avec la forme vide suivante en vue de la coupe et de la fixation.

   19. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on enroule la nappe depuis le magasin sur une forme et en ce qu'on achève l'enroulement quand les dispositifs de coupe et de fixation sont actionnés pour couper la nappe et fixer la nouvelle extrémité libre de la partie de la nappe montée sur la forme à la couche exposée de la nappe au-dessous de ladite partie.

   20. Procédé selon la revendication II, dans une machine à envelopper un paquet dans laquelle une nappe d'une matière d'emballage est tirée d'un magasin d'ali mentation et enroulée autour de la surface périphérique du paquet de manière que la partie de la nappe provenant de la source recouvre l'extrémité libre de cette nappe, caractérisé en ce que l'appareil de coupe et de fixation est monté sur une partie de la machine pour couper la nappe dans une position dans laquelle la longueur découpée de la nappe excède légèrement la longueur requise pour envelopper la périphérie du paquet, et pour presser et fixer les extrémités chevauchantes de la partie découpée l'une contre l'autre, et en ce qu'on utilise des moyens sur la machine pour maintenir la nappe sous tension pendant cette opération de coupe et de fixation,

   l'appareil de coupe et de fixation comprenant un chariot capable d'un mouvement transversal d'un bord latéral de la nappe à l'autre et qui porte un dispositif de coupe et un dispositif de fixation, le dispositif de coupe étant actif pendant le mouvement transversal du chariot et le dispositif de fixation agissant pendant ce mouvement transversal pour presser l'une des extrémités chevauchantes de la partie découpée de la nappe contre l'autre et pour fixer ces extrémités chevauchantes l'une à l'autre afin qu'elles soient tenues fermement en place quand la partie découpée embrasse étroitement la périphérie du paquet.

   21. Procédé selon la sous-revendication 20, caractérisé en ce que l'appareil de coupe et de fixation est porté par une tête mobile qui commande l'alimentation de la matière d'emballage en vue de l'emballage du paquet.

   22. Procédé selon la sous-revendication 21, caractérisé en ce que la tête mobile occupe normalement une position avancée dans laquelle elle obstrue la trajectoire du paquet vers une position d'emballage, la nappe de matière d'emballage passant à ce stade d'une bobine d'alimentation sur la tête mobile et vers un dispositif de serrage qui serre l'extrémité libre de la nappe, l'emballage périphérique du paquet étant effectué en retirant d'abord la tête mobile à distance du dispositif de serrage pour tendre la nappe en travers de la trajectoire du paquet, de façon que la nappe soit entraînée avec le paquet dans son mouvement vers la position d'emballage et soit ainsi enroulée autour d'une partie de la périphérie du paquet,

   après quoi l'extrémité libre de la nappe est libérée par le dispositif de serrage et enroulée autour d'une autre partie de la périphérie du paquet, le stade final de l'emballage périphérique étant effectué en ramenant la tête mobile dans sa position avancée, de manière que la partie de la nappe provenant de la bobine recouvre l'extrémité libre de la nappe sur la surface du paquet.

   23. Procédé selon la sous-revendication 22, caractérisé en ce que, quand la tête mobile est dans sa position avancée avant le mouvement du paquet dans la position d'emballage, on assure le mouvement transversal actif des dispositifs de coupe et de fixation en travers de la nappe dans la direction opposée à celle de son mouvement transversal actif suivant, et en ce que, quand la tête mobile a été ramenée à sa position avancée pour compléter l'emballage périphérique du paquet, on assure le mouvement transversal actif des dispositifs de coupe et de fixation pour couper la nappe et fixer l'emballage périphérique du paquet.