Sous-vêtement élastique La présente invention concerne un sous-vête ment élastique, tel qu'une ceinture, une culotte, etc. On connaît déjà de tels sous-vêtements obtenus en plongeant à plusieurs reprises un modèle, ayant la forme désirée, dans une dispersion aqueuse de caoutchouc (latex). Les sous-vêtements ainsi obtenus sont légers, flexibles, élastiques dans le sens trans versal et dans le sens longitudinal.
Ils entourent la partie inférieure du tronc, comme une bande con tinue sans couture, et moulent le torse uniformément, en particulier les hanches et la région de l'estomac, de telle sorte qu'ils donnent à l'utilisatrice une silhouette mince et moulée (voir description plus détaillée d'un tel sous-vêtement dans le brevet suisse M, 269488). Les avantages de ces sous-vêtements ont été largement reconnus par le publie.
Cependant, le public utilisant ces sous-vêtements demande encore d'autres avantages. On a donc effectué de nombreux essais pour améliorer l'utilité et la sou plesse d'utilisation de ces sous-vêtements ; cependant, ces essais n'ont abouti qu'à des modifications mini- mes, à cause des prix trop élevés ou des difficultés de réalisation des perfectionnements plus importants qui ont été suggérés.
Le sous-vêtement élastique suivant l'invention, constitué par le dépôt d'une pellicule de latex, est destiné à entourer la partie inférieure du corps. Il est caractérisé en ce que la pellicule de latex com prend au moins une zone localisée résistant aux déchirures et constituée par une étoffe souple, dont le module d'élasticité est supérieur à celui de la pel licule, une ouverture étant ménagée dans cette zone et agencée pour maintenir une bande amovible d'at tache,
un organe rigide de renforcement étant fixé à cette zone et entourant une partie au moins de l'ou- verture, pour empêcher la déformation de celle-ci quand une tension est appliquée par la bande d'at tache.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, plusieurs formes d'exécution du sous-vêtement fai sant l'objet de l'invention.
La fig. 1 est une vue en plan de la face avant d'une ceinture constituant une première forme d'exé cution du sous-vêtement, cette ceinture n'étant pas portée par une personne, mais appliquée sur une sur face horizontale.
La fig. 2 est une coupe suivant ligne 2-2 de la fig. 1, à une échelle agrandie.
La fig. 3 est une vue de la face arrière de la même ceinture se trouvant dans une position ana logue.
La fig. 4 est une vue agrandie d'une zone de cette ceinture, zone à laquelle est fixée une jarretelle. La fig. 5 est une coupe verticale suivant la ligne 5-5 des fig. 1 et 4.
La fig. 6 est une coupe verticale, analogue à la fig. 5, mais d'une autre forme d'exécution.
La fig. 7 est une vue en plan d'une ceinture constituant une autre forme d'exécution du sous- vêtement disposée comme la ceinture de la fig: 1, les jarretelles de la face arrière de la ceinture ayant été omises pour plus de clarté.
La fig. 8 est une vue agrandie d'une zone de la ceinture de la fig. 7, zone à laquelle est fixée une jarretelle. La fig. 9 est une coupe suivant la ligne 9-9 de la fig. 8.
Les fig. 10, 11 et 12 sont respectivement une vue avant, une vue arrière et une coupe d'une zone ana logue à celle représentée sur la fig. 4, mais se rap- portant à une variante.
Les fig. 13 et 14 sont respectivement une vue latérale et une vue en plan de la cosse représentée sur les<B>hg.</B> 10, 11 et 12.
La fig. 15 est une vue en plan d'une autre forme d'exécution constituée par une ceinture portant un tampon cataménial.
La fig. 16 représente la face arrière de la cein ture de la fig. 15, dans une position analogue.
La fig. 17 est une vue agrandie de la zone de la ceinture de la fig. 15 à laquelle est fixée une bande élastique destinée à maintenir un tampon cataménial.
La fig. 18 est une coupe verticale suivant la ligne 18-18 de la fig. 17.
La ceinture représentée sur les fig. 1, 2 et 3 comprend une zone avant 20 et une zone arrière 21.
Les zones avant et arrière 20 et 21 sont reliées entre elles., sur leurs bords latéraux, par des parois laté rales 22, 23, intégrées dans la ceinture, de manière à former une paroi de ceinture, continue, mince, analogue à une feuille et sans couture, pour serrer et entourer élastiquem.ent la partie inférieure du torse humain et, en particulier, du torse féminin. Comme on le voit sur la fig. 2,
les parois latérales 22, 23 sont brusquement incurvées, en coupe transversale ; de plus, comme on le voit sur les fig. 1 et 3, elles sont légèrement incurvées dans le sens longitudinal ;
cette courbure longitudinale correspond à la forme générale du contour des hanches féminines. La cein- iture représentée sur les fig. 1, 2 et 3 est du type culotte; elle comporte donc, sur son bord inférieur, une bande 24 en forme de U, appelée fourche, qui fait partie intégrante du bord inférieur 25 de la zone arrière 21 et du bord inférieur 26 de la zone avant 20;
ce bord 26 a une forme arrondie, qui permet la liberté de mouvement des parties avant des jambes. La fourche 24 et une partie adjacente de la zone arrière 21 comportent de petites perforations 27 pour la ventilation.
La ceinture est fabriquée, comme on l'expliquera plus complètement ci-dessous, avec deux zones ren forcées 28, pliables, résistant aux déchirures, qui sont disposées près du bord inférieur 26 de la zone avant 20, par exemple à 6 mm de ce bord, ou encore mieux s'étendant jusqu'à celui-ci. Deux zones similaires 29 sont disposées de la même manière par rapport au bord inférieur 25 de la zone arrière 21.
Comme on le voit sur les fig. 1 et 3, les zones 28, 29 ont une forme générale semi-circulaire et se trouvent placées respectivement dans les zones avant et arrière de la ceinture, à des emplacements appropriés pour rece- voir des jarretelles; autrement dit, chacune de ces zones se trouve entre l'axe longitudinal 31 et l'une des parois latérales 22, 23.
Dans chacune des zones 28, 29, une ouverture allongée 32, perpendiculaire à l'axe 31, peut recevoir une bande étroite et élasti que 33, qui peut être constituée par un tissu élasti que ou par du caoutchouc, par exemple par du latex déposé.
La bande 33 forme une boucle à travers l'ouverture 32 ; elle est attachée à son extrémité infé rieure sur une attache de jarretelle 34, par un dispo sitif connu. Des rondelles 35 ou des cosses 36 (fig. 6) entourent et renforcent les ouvertures 32 ; elles cons, tituent des organes rigides de renforcement, qui empêchent les ouvertures de se déformer quand une tension est appliquée à la bande 33, par exemple par un bas fixé sur l'attache 34.
Les zones 28 et 29, résistant aux déchirures, peuvent être incorporées avantageusement et écono- miquement dans la ceinture, pendant la fabrication de cellerci ; dans une variante, on les forme en ajou tant une pièce d'étoffe après la fabrication du reste de la ceinture, comme on l'expliquera plus loin avec plus de détails.
Cependant, dans tous les cas, on forme ces zones 28, 29 de manière qu'elles soient incorporées intégralement au reste de la ceinture, par exemple par vulcanisation ; ainsi, ces zones ne se séparent pas de la ceinture après un long usage ou quand une tension est continuellement appliquée aux bandes 33.
Les zones 28, 29 sont aussi constituées avantageusement par une matière suffisamment sou ple pour pouvoir suivre le contour du corps humain, de manière à éviter de produire des protubérances disgracieuses sur la robe ou des zones rigides incon fortables pour l'utilisatrice. Cependant, ces zones 28, 29 sont formées de manière à résister à l'allongement et aux déchirures;
les forces, produites par les mou vements naturels de l'utilisatrice et par la tension nécessaire pour maintenir les bas sans aucun pli, sont transmises à partir des périphéries des ouvertures 32 jusqu'aux limites beaucoup plus étendues des zones 28 et 29, en diminuant ainsi proportionnellement la force appliquée à chaque centimètre carré du latex déposé.
D'autre part, les rondelles 35 ou les cosses 36, qui peuvent être formées par des matières rigi des ou ne s'allongeant pas sensiblement, telles que les métaux, les matières plastiques dures ou demi-dures, renforcent les ouvertures et empêchent celles-ci de se déchirer dans les coins.
Ces rondelles ou cosses sont de préférence petites et suffisamment légères pour ne pas nuire au confort de l'utilisatrice et pour ne pas produire des protubérances sur la robe de celle-ci.
Dans la première forme d'exécution représentée aux fig. 1 à 5, le renforcement des zones 28 et 29 résistant aux déchirures et le renforcement rigide des ouvertures 32, sont préparés sous la forme d'un ensemble, comme on l'expliquera ci-dessous, que l'on fixe sur le modèle d'immersion, par exemple au moyen d'une petite quantité de colle, telle qu'un ciment de caoutchouc, avant de plonger pour la pre- mière fois le modèle dans un bain de latex liquide, pour former une ceinture telle que celle décrite dans le brevet suisse N 269488 précité.
Les zones 28 et 29 deviennent alors automatiquement une partie intégrante de la ceinture, comme on l'expliquera plus loin.
On peut préparer simultanément plusieurs ensem bles, consistant chacun en un renforcement pour une zone 28 et 2.9 et en, un renforcement rigide pour une ouverture 32, en plaçant une étoffe, telle qu'un tricot de nylon, sur un modèle d'immersion, de manière que l'étoffe reste dans une position fixe, par exemple en. tendant légèrement une bande de l'étoffe sur un modèle rectangulaire.
Il faut utiliser une étoffe qui devient résistante à l'allongement, c'est- à-dire dont l'élasticité est sensiblement réduite, après son imprégnation par le latex et la cuisson de celui- ci ; une telle étoffe peut être, par exemple, un tissu ou un tricot apprêté. On plonge ensuite le modèle dans un bain de latex, on le retire du bain et on le sèche partiellement. L'étoffe choisie est tissée de pré férence de telle manière que le latex pénètre dans l'étoffe et forme une surface lisse sur les deux côtés de celle-ci.
On place à certains intervalles sur la sur face du latex imprégné un certain nombre de ron delles rigides 35, par exemple des rondelles d'acier ou d'aluminium, de manière que ces rondelles restent dans leurs positions pendant les opérations suivan tes; pour cela, on peut, par exemple, mouiller les rondelles avec un solvant du caoutchouc, comme l'hexane, avant de les placer sur le latex.
Les ron delles 35 ont, de préférence, une faible épaisseur, de l'ordre de quelques dixièmes de millimètre ; elles sont façonnées comme on le voit sur la fig. 4, de manière à comporter des ouvertures allongées. On place par-dessus les rondelles une seconde bande d'étoffe et l'on plonge de nouveau le modèle dans un bain de latex.
On noie, de préférence, de courtes particules indi viduelles d'une fibre, telle que le coton, dans la sur face mouillée de la pellicule de latex, immédiatement après avoir retiré le modèle du bain de latex, par exemple en soufflant les fibres avec de l'air à tra vers un ajutage de pulvérisation. Quand on a ainsi noyé les fibres, on fait sécher partiellement ou tota lement la pellicule de latex déposée, de manière à obtenir une feuille cohérente qu'il est possible de retirer du modèle et de manipuler sans la détériorer.
On découpe alors dans la feuille avec une matrice, ou autrement, chaque rondelle avec l'étoffe envi ronnante sous la forme représentée sur la fig. 4.
Ce procédé fournit un ensemble, dans lequel la rondelle est interposée entre deux pièces d'étoffe, liées ensemble intégralement par le latex déposé ; la résistance de cette liaison augmente quand on fait subir une cuisson au latex. De plus, une face de cet ensemble comporte des fibres noyées, dont des bouts courts s'étendent à l'extérieur et constituent un moyen de fixation excellent pour le latex déposé ulté rieurement.
On emploie avantageusement ces fibres saillantes dans la phase suivante de la formation de la ceinture<B>;</B> on fixe quatre de ces ensembles, en met tant à l'extérieur la face portant les fibres sur un modèle de formation de ceinture par immersion, dans les positions où l'on désire placer les jarretel les ; on effectue ensuite les opérations normales d'immersion,<B>de</B> séchage et de cuisson, qui permet tent de former une ceinture appropriée.
On débouche alors les ouvertures des rondelles, qui sont recou vertes à la fois par l'étoffe et par le latex déposé, de manière que les feuilles d'étoffe, imprégnées par le latex déposé, s'étendent au-delà de la périphérie intérieure de chaque ouverture en formant une marge étroite le long de cette périphérie.
Tout ceci est visi ble sur la fig. 5, où 37 est la première feuille d'étoffe, 38 est la deuxième feuille d'étoffe, et 39 la pellicule de latex déposée dans l'opération de formation de la ceinture ; les dimensions sont légèrement exagérées sur cette figure pour plus de clarté. Les fibres cour tes, qui sont enrobées et, par conséquent, fixées dans le latex déposé sur la feuille 37, et qui sont trop petites pour être représentées sur le dessin, sont également fixées dans -la pellicule 39 ;
elles renfor cent ainsi mécaniquement la liaison entre ces deux couches de latex déposé. Ce renforcement supplé mentaire garantit que les zones 28, 29 sont solide ment fixées sur la ceinture et qu'elles ne seront pas arrachées par la force appliquée à la bande élastique 33, force qui est normalement comprise -entre 1,3 kg et 4 kg. La marge étroite 40 protège aussi la bande élastique 33 contre l'usure que pourrait produire la rondelle rigide et assure en même temps le maintien de celle-ci en place.
Dans la variante à laquelle se rapporte la fig. 6, les zones localisées et renforcées 28, 29 sont formées pendant la fabrication de la ceinture, en préparant d'abord une pièce d'étoffe 37a imprégnée de latex et ayant la forme désirée.<B>;</B> cette pièce 37a peut avoir une forme générale elliptique ou rectangulaire, au lieu de la forme semi-circulaire représentée sur la fig. 4 ;
elle peut s'étendre avantageusement autour de la cosse sur une distance comprise entre 1,3 cm et 5 cm; on fixe ensuite cette pièce d'étoffe 37a dans la position désirée sur le modèle métallique d'immersion, soit avant la première immersion, soit après une immersion intermédiaire quelconque. On peut préparer une telle pièce d'étoffe en plongeant une étoffe du type indiqué ci-dessus, soit sous la forme d'une feuille, soit sous celle d'une coupe ou pièce découpée, une ou plusieurs fois dans du latex de caoutchouc non vulcanisé,
jusqu'à ce que l'étoffe soit complètement recouverte. Si l'étoffe a été immer gée sous la forme d'une feuille, on peut découper dans celle-ci des pièces ayant la forme désirée et comportant l'ouverture prévue. On peut ensuite fixer chaque pièce découpée sur le modèle au moyen d'un ciment, qui permet de retirer facilement du modèle la ceinture tout entière, sans déchirer la pièce.
Quand la pièce est perforée, le modèle d'immersion peut comprendre un bossage sur lequel s'ajuste l'ouver- ture, de manière à préparer facilement l'ouverture après l'immersion. En procédant ainsi, la pièce de vient une partie intégrante du reste de la ceinture pendant l'opération ultérieure de cuisson.
Après l'im mersion, on débouche l'orifice en déchirant ou en découpant le caoutchouc, qui a pu se déposer dans l'orifice pendant l'immersion. On fixe alors la cosse 36 sur les bords de l'orifice par des procédés connus. L'utilisation- d'une pièce d'étoffe rapportée produit, comme on l'a expliqué ci-dessus, une zone renfor cée, dont le module d'élasticité est sensiblement plus élevé, par exemple jusqu'à trois fois plus grand; que celui du caoutchouc entourant cette zone.
Les fig. 7, 8 et 9 représentent une autre forme d'exécution, dans laquelle chaque attache de jarre telle 34 est supportée en plusieurs points de la cein ture.
Sur la fig. 7, les zones renforcées, les bandes élastiques et les attaches de jarretelles de la partie arrière n'ont pas été représentées, pour éviter de compliquer le dessin, mais il est bien entendu que toutes ces parties sont analogues à celles repr6sen- tées sur la partie avant de la ceinture. Ainsi, les zones résistant aux déchirures et désignées par 41 et 42 sont fabriquées,
comme on l'a expliqué plus haut, de telle manière qu'elles se trouvent tout près du bord inférieur 43 de la partie avant 44 de la cein ture et, d'autre part, entre l'axe central 31 et les parois latérales de la ceinture. Une bande élastique 45 passe à travers l'ouverture 46 de chaque zone 41, 42; elle est fixée sur elle-même, au moyen d'un organe d'attache 47, de manière à former une bou cle fermée d'épaisseur double.
Les ouvertures allongées 46 sont légèrement inclinées par rapport au bord inférieur 43 de la sein: ture, de manière que la largeur de chaque bande 45 soit parallèle au grand axe de l'ouverture correspon- dante. La boucle formée par chaque bande 45 passe à travers un maillon rectangulaire fermé ou un autre dispositif d'accouplement 48, sur lequel est fixée l'attache de jarretelle 34.
Une demi-cosse 49 est disposée dans chaque ouverture 46, à l'intérieur de la zone 41 ou 42 ; cette demi-cosse est métallique et entoure l'étoffe immédiatement adjacente à la base de l'ouverture 46. La demi-cosse 49, dont les extrémités 51 sont arrondies, est ouverte à sa partie supérieure ; on peut l'introduire dans l'ouverture 46, avec un côté de sa partie inférieure ouvert (autrement dit, ce côté est perpendiculaire au plan de l'ouverture, comme l'indi que la partie 52 en trait pointillé de la fig. 9).
On appuie ensuite sur ce côté ouvert pour serrer l'étoffe de la zone 41 ou 42, près de la base de l'ouverture.
Les fig. 10, 11 et 12 se rapportent à une variante présentant une cosse constituée par une matière thermoplastique ou thermodurcissable, ou encore par une matière polymérique. Comme on le voit sur les fig. 13 et 14, cette cosse comprend une bague ovale et allongée 55 et un manchon ovale et allongé, qui est perpendiculaire à cette bague; ce manchon ovale est entaillé près de ses extrémités de manière à for- mer des parois latérales 56 et des parois d'extrémi tés 57.
On place la cosse dans l'ouverture, de ma nière que le manchon traverse celle-ci, comme le montrent les lignes pointillées 56 de la fia. 12 ; on appuie ensuite sur la cosse avec un outil de façon nage chaud, de manière à rabattre les faces latérales et les faces d'extrémité du manchon et à les appli quer contre l'étoffe entourant l'ouverture (fig. 11) ; ces faces. latérales et ces faces d'extrémité sont apla ties comme on le voit sur le dessin.
On peut façon ner les cosses en matière plastique au moyen d'outils chauds, de manière à obtenir une fermeture périphé rique, partielle ou totale, des orifices 46 ; on peut également mouler les cosses sur l'étoffe entourant ces orifices.
De nombreuses résines ou polymères, thermodurcissables ou thermoplastiques, ayant une rigidité suffisante pour empêcher la déformation des ouvertures 46, par exemple le nylon, le polystyrène, les différents aminoplastes, les résines phénoliques et les substances analogues, peuvent convenir pour constituer les cosses.
I1 est bien entendu que les pro priétés physiques et la quantité utilisée de la matière plastique doivent être telles que la cosse terminée 3 maintienne sensiblement non déformée l'ouverture 46 de la zone résistant aux déchirures, quand une tension est appliquée à la bande élastique.
Une autre forme d'exécution est représentée sur les fig. 15, 16, 17 et 18. La ceinture représentée sur ces figures est munie de bandes élastiques 60, 61, sur lesquelles est fixé un tampon cataménial 62. par un dispositif d'attache connu (non représenté). Les bandes 60, 61 sont fixées respectivement sur la par tie avant et sur la partie arrière de la ceinture ; ces deux parties de la ceinture sont désignées par 63 et 64.
Les bandes 60, 61, qui comportent à leurs extré mités supérieures des boucles fermées 65, comme on le voit sur la fig. 18, sont attachées à la ceinture au moyen de cosses 66, qui entourent des ouvertu res ou fentes 67, placées au centre de zones 68 résis tant aux déchirures.
Ces zones 68, qui sont fabri quées comme décrit précédemment, se trouvent sur les axes centraux 31 des parties 63, 64, respective ment avant et arrière, à une distance, comprise à peu près entre 7,5 cm et 12,5 cm, au-dessus des bords inférieurs 69, 71 et, par conséquent, dans la région du pubis et du sacrum de l'utilisatrice.
Comme on le voit sur les fig. 17 et 18, la cosse 66 consiste en une bague ovale 72 s'étendant sur toute la périphérie de l'ouverture 67 de la zone 68 ; cette bague 72 est sertie sur l'étoffe entourant l'ou verture.
Une barre horizontale 73 se trouve au centre de l'ouverture de la bague 72 ; l'une de ces extré mités se raccorde à la bague 72, tandis que son autre extrémité se trouve à une distance de la bague suf fisante pour permettre de faire glisser en dehors de la barre la. boucle 65 de la bande élastique 60.
La barre 73 comporte une extrémité élargie 74, qui empêche la boucle 65 de glisser accidentellement en dehors de la barre pendant l'utilisation. On peut uti liser des cosses de ce type à la place des cosses 36 et 49 des ceintures représentées respectivement sur les fig. 1 et 7.
On peut prévoir d'autres formes d'exécution constituées par des ceintures munies à la fois de jar retelles et d'un système d'attache de tampon cata ménial.
D'autres formes d'exécution du sous-vêtement pourraient être constituées par des culottes, des porte-jarretelles, des corsets, et seraient fabriquées comme décrit ci-dessus. Une ceinture, combinant la forme d'exécution des fig. 1 à 5 et celle des fig. 15 à 18, présente une très grande souplesse d'utilisation et peut convenir à toutes les occasions ; de plus, elle est considérablement moins chère que l'ensemble des ceintures à destination unique qu'elle remplace.
Les opérations de découpage et de garnissage des bords sont plus simples et moins chères pour les ceintures décrites que pour celles comportant des jarretelles qui en font partie intégrante. En outre, quand une jarretelle se casse ou perd son élasticité, il est simple et peu coûteux de la remplacer, contrairement aux ceintures en drap, qui comportent des bandes élasti ques intégrées et que l'on doit mettre au rebut quand ces bandes élastiques., ou la zone sur laquelle elles sont cousues, sont usées.
Les personnes à jambes longues et celles à jambes courtes peuvent utiliser facilement le même type de ceinture, en modifiant simplement la longueur des bandes élastiques déta chables.
Elastic Underwear The present invention relates to an elastic undergarment, such as a belt, panties, etc. Such underwear is already known, obtained by repeatedly dipping a model, having the desired shape, in an aqueous dispersion of rubber (latex). The underwear thus obtained is light, flexible, elastic in the transverse direction and in the longitudinal direction.
They surround the lower part of the trunk, like a continuous seamless band, and mold the torso evenly, especially the hips and the stomach area, so that they give the wearer a slim and molded figure. (see more detailed description of such an undergarment in Swiss patent M, 269488). The benefits of these underwear have been widely recognized by the public.
However, the public using these underwear still demands other benefits. Numerous attempts have therefore been made to improve the usefulness and flexibility of use of these underwear; however, these tests resulted in only minimal modifications, due to excessively high prices or difficulties in making the larger improvements which have been suggested.
The elastic undergarment according to the invention, consisting of depositing a film of latex, is intended to surround the lower part of the body. It is characterized in that the film of latex com takes at least one localized area resistant to tearing and consisting of a flexible fabric, the modulus of elasticity of which is greater than that of the skin, an opening being made in this area and arranged to maintain a removable tape at stain,
a rigid reinforcing member being fixed to this zone and surrounding at least part of the opening, to prevent the deformation of the latter when tension is applied by the fastening tape.
The appended drawing represents, by way of example, several embodiments of the undergarment forming the subject of the invention.
Fig. 1 is a plan view of the front face of a belt constituting a first embodiment of the undergarment, this belt not being worn by a person, but applied on a horizontal surface.
Fig. 2 is a section taken along line 2-2 of FIG. 1, on an enlarged scale.
Fig. 3 is a view of the rear face of the same belt being in a similar position.
Fig. 4 is an enlarged view of an area of this belt, area to which a suspender is attached. Fig. 5 is a vertical section taken along line 5-5 of FIGS. 1 and 4.
Fig. 6 is a vertical section, similar to FIG. 5, but of another embodiment.
Fig. 7 is a plan view of a belt constituting another embodiment of the undergarment arranged like the belt of fig: 1, the garters of the rear face of the belt having been omitted for clarity.
Fig. 8 is an enlarged view of an area of the belt of FIG. 7, area to which a suspender is attached. Fig. 9 is a section taken along line 9-9 of FIG. 8.
Figs. 10, 11 and 12 are respectively a front view, a rear view and a section of an area similar to that shown in FIG. 4, but relating to a variant.
Figs. 13 and 14 are a side view and a plan view, respectively, of the terminal shown in <B> hg. </B> 10, 11 and 12.
Fig. 15 is a plan view of another embodiment consisting of a belt carrying a catamenial pad.
Fig. 16 shows the rear face of the belt of FIG. 15, in a similar position.
Fig. 17 is an enlarged view of the belt area of FIG. 15 to which is attached an elastic band intended to hold a catamenial tampon.
Fig. 18 is a vertical section taken along line 18-18 of FIG. 17.
The belt shown in Figs. 1, 2 and 3 comprises a front zone 20 and a rear zone 21.
The front and rear areas 20 and 21 are interconnected at their side edges by side walls 22, 23, integrated into the waistband, so as to form a continuous, thin, sheet-like waistband wall. and seamless, to tighten and elastically surround the lower part of the human torso and, in particular, the female torso. As seen in fig. 2,
the side walls 22, 23 are sharply curved, in cross section; moreover, as seen in figs. 1 and 3, they are slightly curved in the longitudinal direction;
this longitudinal curvature corresponds to the general shape of the contour of the female hips. The belt shown in FIGS. 1, 2 and 3 are of the panty type; it therefore comprises, on its lower edge, a U-shaped strip 24, called a fork, which forms an integral part of the lower edge 25 of the rear zone 21 and of the lower edge 26 of the front zone 20;
this edge 26 has a rounded shape, which allows freedom of movement of the front parts of the legs. The fork 24 and an adjacent part of the rear area 21 have small perforations 27 for ventilation.
The belt is fabricated, as will be explained more fully below, with two reinforced, pliable, tear-resistant zones 28 which are disposed near the lower edge 26 of the front zone 20, for example 6 mm from this. edge, or even better extending to it. Two similar zones 29 are arranged in the same way with respect to the lower edge 25 of the rear zone 21.
As seen in Figs. 1 and 3, the zones 28, 29 have a general semi-circular shape and are placed respectively in the front and rear zones of the belt, at suitable locations for receiving suspenders; in other words, each of these zones is located between the longitudinal axis 31 and one of the side walls 22, 23.
In each of the zones 28, 29, an elongated opening 32, perpendicular to the axis 31, can receive a narrow and elastic band 33, which can be constituted by an elastic fabric or by rubber, for example by deposited latex. .
The band 33 forms a loop through the opening 32; it is attached at its lower end to a suspender clip 34, by a known device. Washers 35 or thimbles 36 (FIG. 6) surround and reinforce the openings 32; they constitute rigid reinforcing members, which prevent the openings from deforming when tension is applied to the strip 33, for example by a stocking fixed to the clip 34.
The tear-resistant zones 28 and 29 can advantageously and economically be incorporated into the belt during the manufacture of this fabric; in a variant, they are formed by adding a piece of fabric after the manufacture of the rest of the belt, as will be explained later in more detail.
However, in all cases, these zones 28, 29 are formed so that they are fully incorporated into the rest of the belt, for example by vulcanization; thus, these areas do not separate from the belt after long use or when tension is continuously applied to the bands 33.
The zones 28, 29 are also advantageously made of a material flexible enough to be able to follow the contour of the human body, so as to avoid producing unsightly protuberances on the dress or rigid zones which are uncomfortable for the user. However, these zones 28, 29 are formed so as to resist elongation and tearing;
the forces, produced by the natural movements of the wearer and by the tension necessary to hold the stockings without any folds, are transmitted from the peripheries of the openings 32 to the much wider limits of the zones 28 and 29, decreasing thus proportionally the force applied to each square centimeter of the deposited latex.
On the other hand, the washers 35 or the thimbles 36, which may be formed by rigid or not substantially elongating materials, such as metals, hard or semi-hard plastics, reinforce the openings and prevent those. here to tear in the corners.
These washers or thimbles are preferably small and light enough not to harm the comfort of the user and not to produce protuberances on the dress of the latter.
In the first embodiment shown in FIGS. 1 to 5, the reinforcement of the tear-resistant zones 28 and 29 and the rigid reinforcement of the openings 32, are prepared as a set, as will be explained below, which is fixed on the model d dipping, for example by means of a small amount of glue, such as rubber cement, before dipping the model for the first time in a bath of liquid latex, to form a belt such as that described in the aforementioned Swiss patent N 269488.
The zones 28 and 29 then automatically become an integral part of the belt, as will be explained below.
Several sets, each consisting of a reinforcement for an area 28 and 2.9 and a rigid reinforcement for an opening 32, can be simultaneously prepared by placing a fabric, such as a nylon knit, on an immersion pattern, so that the fabric remains in a fixed position, for example in. slightly stretching a strip of the fabric on a rectangular pattern.
It is necessary to use a fabric which becomes resistant to elongation, that is to say whose elasticity is appreciably reduced, after its impregnation with the latex and the curing of the latter; such a fabric can be, for example, a finished fabric or knit. The model is then immersed in a latex bath, removed from the bath and partially dried. The selected fabric is preferably woven such that the latex penetrates into the fabric and forms a smooth surface on both sides thereof.
A number of rigid washers 35, for example steel or aluminum washers, are placed at certain intervals on the surface of the impregnated latex, so that these washers remain in their positions during the following operations; for this, it is possible, for example, to wet the washers with a rubber solvent, such as hexane, before placing them on the latex.
The ron delles 35 preferably have a small thickness, of the order of a few tenths of a millimeter; they are shaped as seen in fig. 4, so as to include elongated openings. A second strip of fabric is placed over the washers and the model is plunged again into a latex bath.
Preferably, short individual particles of a fiber, such as cotton, are drowned in the wetted face of the latex film immediately after removing the model from the latex bath, for example by blowing the fibers with it. air through a spray nozzle. When the fibers have thus been embedded, the deposited film of latex is partially or totally dried, so as to obtain a coherent sheet which can be removed from the model and handled without damaging it.
Each washer is then cut from the sheet with a die, or otherwise, with the surrounding fabric in the form shown in FIG. 4.
This process provides an assembly, in which the washer is interposed between two pieces of fabric, fully bonded together by the deposited latex; the strength of this bond increases when the latex is baked. In addition, one face of this assembly comprises embedded fibers, the short ends of which extend to the outside and constitute an excellent means of attachment for the latex deposited subsequently.
These projecting fibers are advantageously used in the next phase of the formation of the belt <B>; </B> four of these sets are fixed, putting both the face bearing the fibers on the outside of a belt forming model. by immersion, in the positions where it is desired to place the garter; then the normal immersion, <B> drying </B> and cooking operations are carried out, which makes it possible to form an appropriate belt.
The openings of the washers are then opened, which are covered with both the fabric and the deposited latex, so that the sheets of fabric, impregnated with the deposited latex, extend beyond the inner periphery. of each opening forming a narrow margin along this periphery.
All this can be seen in fig. 5, where 37 is the first sheet of fabric, 38 is the second sheet of fabric, and 39 is the latex film deposited in the belt forming operation; the dimensions are slightly exaggerated in this figure for clarity. The short fibers, which are coated and therefore fixed in the latex deposited on the sheet 37, and which are too small to be shown in the drawing, are also fixed in the film 39;
they thus mechanically reinforce the bond between these two layers of deposited latex. This additional reinforcement ensures that the zones 28, 29 are securely attached to the belt and that they will not be torn off by the force applied to the elastic band 33, which force is normally between 1.3 kg and 4 kg. . The narrow margin 40 also protects the elastic band 33 against the wear that the rigid washer could produce and at the same time ensures that the latter is held in place.
In the variant to which FIG. 6, the localized and reinforced areas 28, 29 are formed during the manufacture of the belt, by first preparing a piece of fabric 37a impregnated with latex and having the desired shape. <B>; </B> this piece 37a may have a general elliptical or rectangular shape, instead of the semi-circular shape shown in FIG. 4;
it can advantageously extend around the terminal over a distance of between 1.3 cm and 5 cm; this piece of fabric 37a is then fixed in the desired position on the metallic immersion model, either before the first immersion, or after any intermediate immersion. Such a piece of fabric can be prepared by dipping a fabric of the type indicated above, either in the form of a sheet or in that of a cup or cut-out piece, one or more times in non-rubber latex. vulcanized,
until the fabric is completely covered. If the fabric has been immersed in the form of a sheet, pieces of the desired shape and having the opening provided can be cut therefrom. Each cut-out piece can then be fixed to the model with cement, which allows the entire belt to be easily removed from the model without tearing the piece.
When the part is perforated, the immersion model may include a boss on which the opening fits, so as to easily prepare the opening after the immersion. By doing so, the piece becomes an integral part of the rest of the belt during the subsequent cooking operation.
After immersion, the orifice is unclogged by tearing or cutting off any rubber which may have settled in the orifice during immersion. The terminal 36 is then fixed to the edges of the orifice by known methods. The use- of an insert piece of fabric produces, as explained above, a reinforced zone, the modulus of elasticity of which is appreciably higher, for example up to three times greater; than that of the rubber surrounding this area.
Figs. 7, 8 and 9 show another embodiment, in which each jar attachment such as 34 is supported at several points of the belt.
In fig. 7, the reinforced areas, elastic bands and suspender fasteners of the rear part have not been shown, to avoid complicating the drawing, but it is understood that all these parts are similar to those shown on the figure. front part of the belt. Thus, the tear-resistant areas designated by 41 and 42 are produced,
as explained above, such that they are located very close to the lower edge 43 of the front part 44 of the belt and, on the other hand, between the central axis 31 and the side walls of the belt. the belt. An elastic band 45 passes through the opening 46 of each zone 41, 42; it is fixed on itself, by means of an attachment member 47, so as to form a closed loop of double thickness.
The elongated openings 46 are slightly inclined relative to the lower edge 43 of the breast, so that the width of each strip 45 is parallel to the major axis of the corresponding opening. The loop formed by each band 45 passes through a closed rectangular link or other coupling device 48, to which the suspender clip 34 is attached.
A half-terminal 49 is placed in each opening 46, inside zone 41 or 42; this half-terminal is metallic and surrounds the fabric immediately adjacent to the base of the opening 46. The half-terminal 49, the ends 51 of which are rounded, is open at its upper part; it can be introduced into the opening 46, with one side of its lower part open (in other words, this side is perpendicular to the plane of the opening, as indicated by the part 52 in dotted lines in fig. 9 ).
This open side is then pressed to clamp the fabric of area 41 or 42, near the base of the opening.
Figs. 10, 11 and 12 relate to a variant having a terminal formed by a thermoplastic or thermosetting material, or alternatively by a polymeric material. As seen in Figs. 13 and 14, this terminal comprises an oval and elongated ring 55 and an oval and elongated sleeve, which is perpendicular to this ring; this oval sleeve is notched near its ends so as to form side walls 56 and end walls 57.
The terminal is placed in the opening, so that the sleeve passes through it, as shown by the dotted lines 56 of the fia. 12; the terminal is then pressed with a tool in a hot swim manner, so as to fold down the side faces and the end faces of the sleeve and to press them against the fabric surrounding the opening (fig. 11); these faces. sides and these end faces are flattened as seen in the drawing.
We can ner the plastic terminals by means of hot tools, so as to obtain a peripheral closure, partial or total, of the orifices 46; the pods can also be molded onto the fabric surrounding these orifices.
Many resins or polymers, thermosetting or thermoplastics, having sufficient rigidity to prevent deformation of the openings 46, for example nylon, polystyrene, various aminoplasts, phenolic resins and the like, may be suitable for constituting the pods.
It is understood that the physical properties and the amount used of the plastic material should be such that the completed terminal 3 keeps the opening 46 of the tear resistant zone substantially undeformed, when tension is applied to the elastic band.
Another embodiment is shown in FIGS. 15, 16, 17 and 18. The belt shown in these figures is provided with elastic bands 60, 61, to which is fixed a catamenial pad 62 by a known fastening device (not shown). The bands 60, 61 are fixed respectively on the front part and on the rear part of the belt; these two parts of the belt are designated by 63 and 64.
The bands 60, 61, which have at their upper ends closed loops 65, as seen in FIG. 18, are attached to the belt by means of thimbles 66, which surround openings or slits 67, placed in the center of zones 68 resistant to tearing.
These zones 68, which are produced as described above, are located on the central axes 31 of the parts 63, 64, respectively front and rear, at a distance of approximately between 7.5 cm and 12.5 cm, above the lower edges 69, 71 and, therefore, in the region of the user's pubis and sacrum.
As seen in Figs. 17 and 18, the terminal 66 consists of an oval ring 72 extending over the entire periphery of the opening 67 of the zone 68; this ring 72 is crimped on the fabric surrounding the opening.
A horizontal bar 73 is located in the center of the opening of the ring 72; one of these ends is connected to the ring 72, while its other end is at a distance from the ring sufficient to allow sliding out of the bar 1a. loop 65 of the elastic band 60.
The bar 73 has an enlarged end 74, which prevents the loop 65 from accidentally slipping off the bar during use. Lugs of this type can be used instead of lugs 36 and 49 of the belts shown respectively in FIGS. 1 and 7.
Other embodiments can be provided consisting of belts provided both with jar retelles and with a cata menial pad attachment system.
Other embodiments of the undergarment could be panties, garter belts, corsets, and would be made as described above. A belt, combining the embodiment of fig. 1 to 5 and that of figs. 15 to 18, is very flexible in use and can be suitable for all occasions; in addition, it is considerably less expensive than the set of single-destination belts it replaces.
The operations of cutting and lining the edges are simpler and less expensive for the belts described than for those comprising garters which are an integral part thereof. Also, when a suspender breaks or loses its elasticity, it is simple and inexpensive to replace it, unlike cloth belts, which have built-in elastic bands and must be discarded when these elastic bands. , or the area to which they are sewn, is worn.
Long-legged and short-legged people can easily use the same type of belt, just by changing the length of the detachable elastic bands.