CH130276A - Installation pour l'utilisation de données statistiques. - Google Patents

Installation pour l'utilisation de données statistiques.

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CH130276A
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Marcel Jacob
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      Installation    pour     Putilisation    de données statistiques.    La présente     invention    a pour objet une  installation pour l'utilisation de ,données sta  tistiques au moyen de documents perforés  passant sur une surface conductrice; ces do  cuments qui comportent un nombre suffi  sant de combinaisons réalisées par -des per  forations passent sous des balais analyseurs  dont le nombre     correspond    au nombre de base  du code, ces balais fermant au passage de  chaque combinaison un courant qui actionne  les dispositifs enregistreurs de l'installation.  



  Les dessins annexés représentent diffé  rentes formes d'exécution de l'invention,  données à titre d'exemple, et permettant  d'effectuer     automatiquement    le comptage, le  tri, la lecture des     perforations    pratiquées dans  les divers documents utilisés, la totalisation  et l'inscription en langage clair des données  perforées, celles-ci comportant, elles, des  lettres.  



  La forme d'exécution représentée aux       fig.    1 à.<B>3</B> permet le comptage de lignes (sta-         tistique    du mouvement de la population par  exemple).  



  Un cylindre métallique C     (fig.    1) à axe  horizontal est muni, sur ses bords, -de sail  lies 8 équidistantes qui s'engagent dans des  perforations latérales de la feuille portant  l'écriture     cryptographique    de façon à ob  tenir un repérage et un guidage exacts. Sur  une tige     T    parallèle à l'axe du cylindre peu  vent être     .déplacés    des bras B portant cha  cun à leur extrémité un bloc en matière     iso-          sante    muni de quatre balais convenablement  disposés     I'    venant     frotter    sur le cylindre.  Les quatre balais sont placés, soit selon les  quatre sommets d'un carré, d'un losange, etc..

    soit mieux en file     (fig.    3). Chaque bras B  peut être maintenu en place par un verrou v.  Par déplacement longitudinal sur la tige T  il sera donc possible d'amener chaque groupe  de balais sur la colonne qu'il doit explorer.  



  La sélection simple s'opère comme suit:  le courant venant de la source A     (fig.    2)      passe à travers l'interrupteur à lames 1 com  mandé par une came     K        (fig.    7) laquelle fait  un tour complet quand le cylindre C a tourné  d'un interligne i. Le profil de cette came  est tel que l'interrupteur se ferme quand les  balais     F    commencent .à aborder un signe et  reste fermé pendant la durée de passage de  ce signe. On règle à cet effet par les vis     Vi          (fig.    6 et 7) le levier que commande la came  et qui vient appuyer l'interrupteur à lames  1.

   Le courant passe ensuite dans les quatre       électros    des relais R,,     R2,    R3, R,     (fig.    2),  montés en dérivation, arrive aux balais     I',          puis    revient à la source par le cylindre C  et la masse.  



  Quatre commutateurs à main Ci,     C;,        C3,          C4        (fig.    2) du modèle le plus simple per  mettent de connecter un plot quelconque de  chaque relais .à la palette du relais voisin.  Les commutateurs à main Ci . .     C4    sont cons  titués par une languette reliée au fil d'ar  rivée et qui, suivant la position qu'on lui a  donnée, met en communication ce fil d'arri  vée avec l'un ou l'autre des plots dont elle  est munie et auxquels aboutissent les fils de  départ. Les commutateurs     q    constitués par  les palettes des électron des relais sont iden  tiques, mais leur mouvement est commandé  par ces électron.

   Quant aux connexions elles  sont simplement les suivantes: les plots     cen-          traug,    c'est-à-dire en contact avec le pivot  des languettes des commutateurs C et     q    voi  sins, sont reliés ensemble et les autres plots  le sont     respectivement    deux à. deux.  



  Le circuit (traits mixtes) arrive en ci  et repart par la palette du relais     R4.    Il tra  verse ensuite     l'électro    d'un compte-tours en  registreur T à commande électrique. Si, par       exemple,    les commutateurs ci et     c3    touchant  les plots supérieurs pi et     p3    des relais Ri et       h3    et si     c-    et     c4    touchent les plots inférieur-     -          P2    et     P4    des relais     R@    et     R4,    on voit que, pour  que le circuit du compte-tours se ferme,

   il  faut que les relais R, et     R3    attirent leurs  armatures     q1    et     q3    et soient les seuls à les       attirer.    Ceci ne se produira évidemment que  si la combinaison qui s'est présentée sous les       -balais        ,F    était la     combinaison    perforée     1-$.       Autrement dit, ce n'est que pour cette com  binaison que le circuit se fermera et que le  compte-tours marquera une unité.  



  Pour obtenir simultanément plusieurs sé  lections simples on pourra faire fonctionner  à la fois plusieurs groupes de quatre relais.  Si les circuits figurés en traits mixtes sont  mis en série avec un seul compte-tour la sé  lection se fera suivant un groupe de plu  sieurs signes. Par exemple, avec les deux  groupes de quatre relais fonctionnant chacun  avec un balai, la sélection, ail compte-tours  commun, se fera suivant un groupe de  14 X 14 = 196 combinaisons.  



  Si les circuits sont en dérivation, chacun  ayant son compte-tours, plusieurs sélections  se feront simultanément.  



  On voit que les montages précédents né  cessitent toujours quatorze passages de la  feuille pour obtenir les comptages suivant  chacun des quatorze signes possibles d'une  colonne.  



  Ces quatorze comptages peuvent s'effec  tuer simultanément par deux voies     diff-          rentes:     <B>10</B>     .Soit        électriquement    en munissant cha  que relais, non plus d'une, mais de huit Pa  lettes connectées de toutes les façons possi  bles, avec les plots des relais voisins,     d'oii     quatorze circuits dans lesquels on mettra  quatorze compte-tours à commande électri  que.  



  20 Soit à l'aide par exemple du sélection  neur multiple mécanique représenté aux       fig.    4 à 7. Il comporte quatre plaques mé  talliques rectangulaires<I>Pi,</I>     P2,        P3,        P4    su  perposées, munies d'encoches latérale.. e.     CFs     plaques peuvent rouler longitudinalement  l'une sur l'autre par l'intermédiaire de bil  les. Des butées extrêmes limitent leurs dé  placements. Le mouvement de chacune d'elles  est commandé par un     électro    polarisé R,,       R2,    R3,     R4        (fig.    5 et 6).

   Quand un balai  rencontre une perforation, il ferme le circuit  <B>-de</B> son     électro,    dont la palette, par l'inter  médiaire d'un basculeur b, provoque l'avan  cement de la plaque correspondante: Le  plaques peuvent prendre quinze positions re-           latives    dont quatorze utiles. La quinzième  position qui correspond au cas où aucune  plaque n'a été poussée ou bien .à celui où  toutes les plaques ont été poussées,     c'est-à-          dire    à 0 ou 4 perforations, n'est pas utilisée.  



  Les encoches e sont placées de telle sorte  que, pour chacune de ces quatorze positions,  il se forme une file verticale d'encoches et  une seule. -Sur un arbre M sont montées fol  les quatorze pièces H en forme de hache.  Un arbre N entraîné avec le cylindre C par  engrenages convenables fait un tour quand  C se déplace d'un interligne. Après que le  temps nécessaire au déplacement -des plaques  s'est écoulé, un doigt Dl     (fig.    5) porté par       N,    vient buter contre un doigt     DZ    lequel en  traîne alors l'arbre     ill    et, par l'intermédiaire  de la barre     Bl    et des ressorts à lame 1, les  pièces H sont aussi entraînées dans le sens  de la flèche.

   Comme ces pièces H sont si  tuées dans des plans qui passent respective  ment par les quatorze positions possibles     des     files d'encoche, il est clair qu'à chaque tour  de l'arbre     31,    c'est-à-dire pour chaque ligne  explorée dans une colonne sur C, une cer  taine pièce H et une seule rencontrant une  file .d'encoches s'enfoncera dans celles-ci:  les autres pièces H feront fléchir leurs res  sorts 1.     ,Si    alors on suppose que chaque pièce       H    commande, par tringle, un compte-tours  particulier, on voit que la sélection et le  comptage s'opéreront d'une façon continue  selon les quatorze signes de la colonne ex  plorée.  



  Il est clair que de nombreuses combinai  sons sont possibles. On peut par exemple  mettre en série, un sélectionneur multiple et  un sélectionneur simple et procéder ainsi en  quatorze passages à 196 sélections. On pour  rait aussi obtenir une rapidité plus grande  en groupant directement deux colonnes. Par  exemple en ne considérant que comme un  seul signe l'ensemble de deux d'entre eux,  soit huit     perforations,    on établirait un sélec  tionneur à huit     électros    et :deux cent cin  quante-quatre compteurs.  



  Enfin, s'il est utile de prendre connais  sance- de chaque ligne sélectionnée, on         pourra    remplacer le compte-cours par un  simple     électro    polarisé coupant le courant du  moteur entraînant le cylindre Cl.  



  Un autre dispositif sélectionneur est  montré schématiquement et à titre     d'exemple     sur la     fig.    8a.  



  Il utilise les quatre     électros        Rl    à     R,    de  la     fig.    2, commandés, comme précédemment,  par les quatre balais d'un groupe destiné à.  l'exploration d'une     colonne.     



  Le sélectionneur proprement dit est cons  titué par trois trains d'engrenages     épicy-          cloidaux    identiques     Ea,        Eb,        Ec.     



  Les électrodes     R,    et     Rg    commandent res  pectivement, par un dispositif convenable de       déclanchement    d'embrayage, les pignons cen  traux<I>Ca</I> et     Cb    des trains     Ea    et     Eb;        l'élec-          tro        Bl    contrôle directement<I>Ca;</I>     l'électro    R;  contrôle     Cb    qui, une fois embrayé, reçoit un  déplacement angulaire avec une multiplica  tion égale .à 2.

   Les     électros        R2    et     R.,    contrô  lent respectivement les couronnes de satel  lites Sa et Sb, le sens d'entraînement étant  d'ailleurs contraire au sens d'entraînement  des pignons centraux et une multiplication  "2" étant également prévue pour Sb.  



  Les couronnes extérieures     Ka    et     Kb    en  grènent .à leur tour, respectivement:<I>Ka,</I>  avec la couronne de satellite     Sc,   <I>et</I>     Kb    (en  sens contraire) avec le pignon central Cc du  train     Bc.     



  Enfin, on choisit les diamètres des pi  gnons de telle façon que, pour des rotations  égales (mais de sens contraires) du pignon  central<I>Cc</I> et de la couronne de satellite<I>Se.</I>  la couronne extérieure     Kc    .du train     Bc.     tourne d'angles qui sont entre eux respective  ment comme 1 et 4.  



  D'après les     propriétés    bien connues des  trains de pignons et le montage indiqué, on  aura pour une rotation initiale l'unité des  rotations suivantes:       Ca-1        Cb=2    Sa=     1Sb=2     et, puisque     Ea    engrène avec la couronne de       Ec,    une rotation finale pour:

    <I>Ca = 1</I> rotation de     Bc   <I>= 4;</I>       Cb   <I>= 2</I> rotation de<B>El</B> c = 2 (car     Cb    en  grène avec le pignon central .de<B>EY</B>     c);_   <B>-</B>      <I>Sa = 1</I> rotation de     Ec   <I>-</I> 16 (car Sa en  grène avec la couronne<I>de</I>     Ec);          S$    = 2 rotation de     Ec    = 8 (car Sb en  grène avec le     pignon-central    de     Ec).-          On    voit donc que les rotations suivant.

    les     électros    excités seront comme 2, 4, 8, 16;  ou, ce qui revient au même, en prenant la  rotation 2 pour unité, comme 1, 2, 4, 8.  



  Dans le cas où les     électros        R,    et     R.,    sont  excités, c'est-à-dire où<I>Ca</I> et<B>Sb</B> agissent, la  rotation finale sera 4 plus 2     ou.    6 unités.  



  Dans ces conditions, en supposant un  instant que les     électros    Ri à.     R,,    soient ex  cités successivement, en supposant en outre  que, pendant l'excitation d'un     électro,    les  pignons ou couronnes de satellites comman  dés par les autres     électros    soient bloqués, il  est aisé de se rendre compte que, suivant       l'électro    excité, la. couronne extérieure du  train     Ec    aura tourné, soit de l'angle unité,  soit du double, soit du quadruple, soit de       l'octuple    de cet angle.  



  Au cours de l'exploration d'une colonne,  à chaque signe passant sous le groupe de  quatre balais, correspondra l'excitation, soit  d'un     électro,    soit d'une combinaison de deux  ou trois     électros,    chaque     électro    provoquant       une    rotation d'angle proportionnel aux nom  bres 1, 2, 4, 8. On voit donc que l'angle de  rotation total communiqué à la couronne     Kc     par le passage d'un signe, pourra prendre  quatorze valeurs différentes, c'est-à-dire le  nombre des combinaisons utiles d'un code  de base 4.  



  A titre d'indication, on pourrait arriver  au même résultat en utilisant un système de  composition de translations - parallèles par  fil et moufles, ou même simplement par le  viers.  



  On va décrire maintenant les applica  tions dérivées -du principe mis en valeur à  l'aide des montages précédents; on décrira en  premier lieu des exemples d'exécution qui  utilisent les fiches.  



  Une opération préalable nécessaire est  celle du tri ou de la sélection pour une co  lonne déterminée selon les divers signes de       cette    colonne.    Un dispositif     (fig.    8) comportant un       porte-fiches    2 animé d'un mouvement de     va-          et-vient    libère -les fiches f une à une et les  dirige sous un (ou des) groupe     F    de quatre  balais,     déplaçable    à la main en vue d'être  amené sur la. colonne considérée. Le     porte-          fiches    joue le rôle     électrique    du -cylindre C  du premier montage.

   Traversant les perfo  rations, les balais du (ou des) groupe fer  ment des circuits dans lesquels sont inter  calés -des sélectionneurs     Tr    identiques à ceux  des fia. 4 à 7.  



  Ces     sélectionneurs    comportent un dispo  sitif multiple mécanique seulement ou un de  ces dispositifs en série avec un ou plusieurs  sélectionneurs simples, selon que l'on veut  faire la sélection     suivant    une ou plusieurs  colonnes à la fois, et ils     contrôlent    une série  de pièces     H    comme précédemment. Après  passage sous les balais, chaque fiche est  poussée entre des rouleaux tournants     r    qui  l'entraînent (tout autre dispositif d'entraî  nement pourrait convenir) et elle chemine  ainsi au-dessus de petits casiers d affectés  chacun à recueillir les fiches portant un  certain signe.

   Dans le système de base 4, on  prévoira. quinze casiers d, les quatorze pre  miers affectés aux quatorze combinaisons  possibles des     perforations;    le quinzième, d,:.  reçoit les fiches à éliminer dans le cas A  l'on sélectionne sur plus d'une colonne et  par conséquent il est toujours ouvert. Les  autres ne s'ouvrent que pour recevoir les  fiches portant la combinaison à laquelle ils       sonb    respectivement affectés.  



  Les     fig.    9 et 10 montrent schématique  ment le mécanisme provoquant l'ouverture  opportune des casiers d. Le principe de ce  dispositif est le suivant: le passage de la  fiche sur les balais fait fonctionner un tra  ducteur à plaques comme celui décrit pré  cédemment; on obtient ainsi la rotation  d'une des pièces H de la description. Il s'agit  en quelque sorte de réserver cette traduction  pour le moment où la fiche qui vient d'être  traduite arrivera sur le casier qui doit la  recevoir.

   On utilise quatorze disques avec       culbuteurs    qui restent armés     pendant    une      durée égale .à celle qui met la fiche pour  parcourir la distance qui la sépare de son  casier; au moment     oii    elle     arrive    au-dessus  de son casier, le talon du culbuteur rencontre  une tige qui soulève le couvercle du casier.  



  L'arbre général de la machine entraîne  un arbre 3 sur lequel sont calés quatorze dis  ques identiques 4. Chaque disque porte vers  sa périphérie des petits leviers 5, équidis  tants, en nombre égal au moins à quatorze;  l'intervalle angulaire entre deux leviers con  sécutifs correspond .à une durée .de rotation  égale à l'intervalle de temps qui sépare le  passage de deux fiches consécutives sous les  balais. Chaque levier peut basculer     autour     de son axe fixe 6 situé dans le plan du dis  que, tangentiellement à sa. circonférence.  



       Chaque    levier est muni d'un talon 7 et  d'un     ressort;    de rappel 8. Le disque tourne  dans le plan d'une couronne fixe 9 interrom  pue sur un certain     arc    10. La queue 5 d'un  levier quelconque glisse normalement sur un  des côtés de la. couronne (droite par exem  ple).  



  Dans la partie interrompue est disposée  une tige 11 munie d'un petit talon. Cette tige  peut être déplacée     a.xialement    par la pièce II  du traducteur     correspondant    à une combi  naison (ce renvoi de mouvement est     figure     en traits mixtes sur les figures); dans ce  cas, la queue 5, en abordant la tige<B>11,</B> devra  passer de l'autre côté de la couronne, de  sorte que le talon 7 se trouvera soulevé.

    Quand le     disque    a, tourné d'un angle tel que  le temps correspondant soit égal à celui qu'a  mis la fiche pour parcourir le chemin com  pris entre les     balais    et le casier .dans     lequel     elle doit tomber, le talon soulevé     rencont1-:@     une tige 1<B>2</B> qui, par renvoi de     mouvement.          approprdétermine    l'ouverture de la cas       considérée.    Ensuite, le levier arrivant dans  la. première partie -de l'arc 10, le ressort 8  le fait repasser de l'autre côté. Naturelle  nient pour chacun des quatorze disques, la  distance angulaire entre les tiges 11 et     1'2     varie (en progression arithmétique).  



  Une trieuse,     fig.        8b,    plus simple que la  précédente, peut être     construite    au moyen du    sélectionneur progressif décrit plus haut       (fig.    8a). .  



  Les fiches d'un paquet, libérées une à une  par tout dispositif convenable sont prises par  un porte-fiches, animé d'un mouvement de  va-et-vient. Chaque fiche est ainsi dirigée  sous un (ou des) groupe de quatre balais,       déplaçable    à la. main, et pouvant être amené  sur la (ou les) colonne suivant laquelle on  désire faire le tri.

   Traversant les perfora  tions, les balais du (ou des) groupe, ferment  des circuits dans lesquels sont montés les       électros        Rl   <I>à</I>     Rç.    Puis la fiche est délivrée,  par des poussoirs, sur une plaquette horizon  tale J     pouvant    prendre un mouvement de  translation verticale, dont l'amplitude est  proportionnelle à la rotation imprimée à la  couronne     Ke    par le passage de la fiche.

   A  cet effet, la. plaquette J est supportée par  une tige de crémaillère Te engrenant avec       Ke.    Dans ce     mouvement,    la fiche se déplace  devant un groupe de quatorze tabliers dis  tributeurs superposés Ta, à Talc, séparés les  uns des autres par des espaces suffisants  pour permettre le passage d'une fiche.     Celle-          ci    s'arrête devant le tablier     correspondant    au  signe porté par la fiche. Ces tabliers for  ment guides pour les fiches et les dirigent  chacune vers un casier récepteur c     (un    casier  par tablier).

   Il va. de soi que des dispositifs  de rappel sont prévus pour ramener les trains       épicycloï-daux,à    leur position de départ après  passage d'une fiche.  



  Pour le comptage des fiches dans cha  que casier, il est facile d'adjoindre à la  trieuse un mécanisme commandé par la cou  ronne     Kc.    Par exemple,     fig.    8c, une came  <I>Cm</I> sous le contrôle de l'arbre général de  l'appareil, commande le basculement d'un  bras<I>Br,</I> lequel peut, d'autre part, tourner  dans son plan autour de l'arbre<I>Ba,</I> entraîné       pa=r    la couronne     Kc    du train     Ec.    Le déplace  ment angulaire du bras<I>Br,</I> qui est propor  tionnel à l'angle dont a tourné ladite cou  ronne, a pour effet d'amener le bras devant  l'un des poussoirs d'une série de quinze  poussoirs Pot à Po,,

   agissant respectivement  sur l'un des compteurs d'une série de quinze      compteurs (non représentés). A ce     moment,     la came<I>Cm</I> fait .basculer le bras, ce qui       provoque    l'enfoncement du poussoir et le  fonctionnement du compteur correspondant.  



  Après l'opération de     sélection,    les opéra  tions d'addition sont possibles, moyennant  une     traduction    préalable. On pourra em  ployer, à cet effet, soit une traductrice     a.sso-          siée    à une machine à additionner ordinaire,  soit     une    traductrice     additionneuse    normale.  



  Dans le premier cas (figure schématique  11), s'il     s'agit        d'additionner,    par exemple,  des nombres de cinq chiffres, on disposera  un     groupe    de cinq balais quadruples     Pl    à F,.,  au-dessus respectivement des cinq colonnes c  de chiffres de la fiche f. Celle-ci demeure  sous cet     équipage,de    balais pendant la brève  durée d'exploration.  



  Les cinq balais quadruples F sont isolés  l'un de l'autre, mais les quatre balais 13  d'un groupe ne le ,sont pas. Le porte-fiches       comporte    quatre bandes, 14,     métalliques,     isolées entre elles, se présentant en regard des       quatre    positions .de perforations et chaque  bande est reliée électriquement avec un des  quatre     électros    R d'un traducteur     Tr    du type  des     fig.    4 à 6. Les cinq fils communs -des  balais quadruples F sont reliés respective  ment     aux    cinq plots     Pl    à     P,    .d'un distribu  teur 15 avec bras tournants 16 reliés à la  masse.

   Si les cames du traducteur     tournent     cinq fois plus     vite    que le bras du distribu  teur, le     traducteur    fonctionnera successive  ment pour chacune des cinq colonnes     @à    tra  duire. Dix des pièces     H    du traducteur     sont     reliées par tringles aux dix touches d'une ma  chine à additionner, -du type Dalton, par  exemple. Après chaque cycle de l'appareil.  un dispositif (non représenté), facile à con  cevoir, fait fonctionner le mécanisme d'ins  cription du nombre sur la machine à addi  tionner et éjecte la fiche.

   Les fiches suc  cessives seront ainsi     traduites    et les nom  bres qu'elles portent seront enregistrés sur       l'additionneuse    qui donnera, en fin de  compte, leur somme.  



  On pourrait transcrire aussi les caractè  res     d'écriture    par un dispositif analogue par    l'emploi du sélectionneur - progressif adapté  à six perforations, combiné avec un cylindre  porte-type convenablement commandé.  



  La traductrice     a4ditionneuse    normale     ci-          après    peut traduire     simultanément    tous les  signes d'une fiche et additionner les grou  pements qu'on désire.  



  Les     fig.    12 et 13 en donnent une repré  sentation schématique. Les fiches f sont  amenées successivement sous un système de  balais quadruples     .P    en nombre égal au nom  bre de colonnes de la fiche, cinquante par  exemple. Comme précédemment, les quatre  balais d'un groupe ne sont pas isolés, mais  les groupes sont isolés entre eux.

   Les     quatre     lames     @du    porte-fiches sont reliées respecti  vement à l'un des quatre plots     P,,        P2,        P3,        Vj,     d'un     distributeur    17, tel que les durées -des  courants lancés dans     chacune    des quatre  lignes soit entre elles comme 1, .2, 3, 4.

   Cha  que balai quadruple F est connecté à un     élec-          tro        R.    On comprend que selon la disposition  des perforations représentatives d'un signe,  la durée totale du courant passant dans     l'é-          lectro    R pourra être 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 ou  9 fois l'unité ;de durée.  



  Ces impulsions sont utilisées, au moyen  d'un dispositif convenable d'embrayage,  pour faire tourner d'un angle constant pour  chaque unité de temps, un pignon denté 19       (fig.    12 et 13),     entraînant    par encliquetage  à rochet une couronne chiffrée 20 tournant  devant une fenêtre de lecture 21; à cette cou  ronne est adjointe une roue convenablement  dentée 2-2 ou tout autre système     permettant     la remise à zéro.  



  Une impulsion de courant d'une durée  égale à l'unité fait tourner la couronne chif  frée d'une     division.     



  Sur le même arbre que 19 est calé un  autre pignon 23     qui    engrène avec un pignon  identique 23'     utilisé    pour les totalisations  partielles. Celui-ci commande un montage  d'enregistrement et de lecture semblable au  précédent, et, en outre, il comporte un dispo  sitif de "retenues" décrit plus loin. Ce se  cond pignon 2.3' engrène avec un troisième  pignon identique 23" .donnant les totaux dé-           finitifs    et comportant le même jeu d'organes  que le second.     Il    va de soi que -chaque groupe  F de quatre balais commande un montage  semblable; la seconde série de pignons donne  les totaux partiels; la. troisième série donne  les totaux définitifs.  



  La machine se complète par un dispositif       décrit    schématiquement ci-dessous qui opère  simultanément l'addition de toutes les rete  nues, alors que dans les autres machines, en  général, les retenues se reportent successive  ment. Comme il ne s'agit jamais que d'ad  ditions successives de deux nombres seule  ment, il suffit de     considérer    les retenues  égales à l'unité.  



  Sur chaque cylindre ou couronne 20  portant les chiffres représentant une unité  de totalisateur est prévu un bossage 24 si  tué de façon telle que, quand le chiffre à lire  passe du 9 au zéro, ce bossage vient pousser  une tige 25     (fig.    14), celle-ci provoque alors  le déplacement, dans le sens de la flèche     j',.     d'un pignon 26 enfilé sur l'arbre carré 27  et ce pignon engrène alors avec un pignon 28  porté par un moyeu carré 29- fou sur un ar  bre 80.

   Le mouvement comporte un encli  quetage (non représenté) -de façon que, quand  la     tige    25 revient à sa position initiale (sois  l'action d'un ressort de rappel), les pignons  26 et 28 demeurent en     prise.    Quand les pi  gnons totalisateurs 19 ont enregistré tous les  chiffres, une came (non représentée), calée  sur l'arbre général de l'appareil, fait tourner  d'un certain angle l'arbre 27 et par suite les  pignons 26 qui entraînent les pignons 28.  Ceux-ci portent chacun un doigt 31 (articulé  sur un bras 32 solidaire du pignon 28), le  quel     doigt    vient pousser d'un cran le cylindre  chiffré 20 voisin de gauche de celui dont la  tige 25 a. causé la retenue. Celle-ci est donc  enregistrée.

   Ensuite la came libère     l'encli.-          quetage.    .  



  Chaque cylindre 20 porte également un  deuxième bossage<B>M</B> qui vient pousser une  tige 37 quand le chiffre marqué (c'est-à-dire  celui qui va, recevoir la retenue) .est un 9. La  tige 37 (sans encliquetage) vient tirer vers  la droite un collier 38 pouvant glisser sur    29, et dont les griffes 39 s'engagent alors  dans des trous correspondants 40 de la. pièce  29 de droite, de     façon    à solidariser les deux  pignons voisins 28. On voit donc que si le  chiffre de droite cause une retenue à son  voisin .de gauche, celui-ci la reportera sur son  propre voisin de gauche.  



       Etant    donné que les jeux des différents  organes     s'ajoutent,    il est nécessaire que le dé  placement du doigt 31 soit indépendant de  ces     jeux.    A cet effet, on interpose     (fig.    15)  entre le     doigt    31 et le rochet 19 du cylindre  chiffré, une pièce à bec     33    poussée par 31;  le bec de     33_    en avançant soulève un levier à  deux branches 34, pivoté en 35 et dont l'une  des branches fait avancer le rochet d'un cran  quand- l'autre branche s'est élevée sur le plat  supérieur du bec.  



  On comprend que, si     33    avance     d'une     distance égale ou supérieure à une distance  minimum prédéterminée, le levier 34 s'élè  vera de la. même quantité quel que soit l'a  vancement du bec.  



  On terminera ce qui concerne la traduc  trice     additionneuse    normale en indiquant que,  d'une part, pour couper s'ensemble en un point       quelconque,        c'est-.à-dire    pour utiliser     l'a.ddi=          tionneuse    par parties (et par exemple faire  passer dans la machine plusieurs fiches à la  fois si un     porte-fiches    multiple a été prévu),  il suffit de débrayer par tout moyen conve  nable les tiges 25 et 37.  



  Le montage de la     fig.    16 permet l'enre  gistrement des lettres dans certaines colonnes  (simultanément avec les chiffres dans d'au  tres colonnes; quittances, bordereaux, etc.).  



  Il sera avantageux d'adopter, pour le  code, la base 6 et l'appareil précédent sera  transformé comme suit:  On divise les six perforations en deux  groupes de trois perforations avec lesquels  travaillent deux groupes isolés     Pz    et     F,    de  trois balais. Le porté-fiches comporte six  lames 14 reliées électriquement deux à deux       etr    la durée de courant transmis par chaque  groupe de deux lames sont entre elles comme  1, 2, 4. Chaque groupé de balais est relié par  cordons souples et fiches     à,    deux     électros              R,.    et     .1R2    et chacun de     ceux-ci    commande un  pignon 41.

   L'un -des pignons 41 entraîne un  pignon auxiliaire 42 solidaire du pignon cen  tral 43 d'un train     épicycloïdal;    l'autre pi  gnon entraîne un pignon auxiliaire     44    soli  daire du groupe intermédiaire du train. Les  dimensions des divers pignons sont telles que  pour la même rotation unité de chacun des pi  gnons 41, la couronne indicatrice fasse deux  rotations d'arcs qui sont entre eux comme 1  et 8. On peut se rendre compte que ce montage  permet de réaliser toutes les combinaisons  représentatives de chiffres et lettres. Il est  clair qu'on pourrait remplacer le système       épicycloïdal    par un système à leviers et cré  maillères.  



  Il peut- être avantageux, dans certains  cas, -de transcrire certaines lignes de fiches  en plusieurs lignes de langage clair, par  exemple pour établir à. la. fois des quittances  et des bordereaux. A cet effet, le cylindre       portant    le papier à imprimer est divisé en  deux parties indépendantes et     déplaçables    la  téralement, chaque partie recevant le mouve  ment utile. D'autre part,. la came provoquant  le     -déplacement    du     porte-fiches    est modifiée  et un distributeur est intercalé dans le cir  cuit de façon que les inscriptions s'effectuent  au moment voulu.  



  Les dispositifs de sélection, de traduc  tion et d'addition précédemment décrits peu  vent     évidemment    être combinés avec des dis  positifs d'inscription en vue de garder trace  du résultat des opérations statistiques ou  comptables auxquelles il a été procédé. Dans  ce cas, les roues -de types faisant elles-mêmes  l'office -des pignons dentés engrènent dans  une roue portant les     gravures    complémen  taires des types et pouvant être, par un dis  positif approprié, embrayées avec l'une ou  l'autre des roues chiffrées 28, 23', 23" sui  vant qu'il s'agit d'inscrire un nombre, un       sous-total    ou un total.  



  A     -titre    d'exemple est décrit ci-après un  dispositif qui     résoud    une difficulté particu  lière d'adaptation, savoir - l'inscription des  zéros seulement dans le cas où ils sont pré  cédés à. gauche d'un chiffre     significatif.       La roue de types 45     (fig.    17) entraînée  comme il a été dit, porte latéralement une  couronne 46 présentant sur sa périphérie une  encoche 47 située de telle sorte que, quand le  caractère zéro se trouve en face du     -papier     48, un levier 49,

       porté    par le support 50 de  l'axe 51 de la roue de types puisse basculer       autour    de son propre axe 52 en pénétrant par  son     extrémité    49' dans l'encoche 47. L'autre  extrémité de 49 reçoit, à chaque passage d'un  caractère sélectionné, la frappe du marteau  53 convenablement commandé par l'arbre gé  néral. Quand 49' se trouve devant 47, le le  vier bascule mais la roue de types et son  support restent immobiles. Quand 49' ne se  trouve pas devant 47, l'ensemble     roue-suppori\     bascule autour de l'axe 54, sous la frappe du  marteau, et l'impression se produit. Donc  l'impression a lieu pour tous les caractères  sauf le zéro.

   Toutefois on devra généralement  enregistrer les zéros quand ils seront pré  cédés à. .gauche d'un chiffre significatif.  



  Pour cela un petit     support55,    commandé     par     poussoir 56,     porte    l'axe 57 d'un levier coudé  58 dont on voit schématiquement la forme  et le mode d'action sur la     fig.    18. Une des  extrémités .de 58 porte contre l'élément su  périeur de 49 et l'autre extrémité     r@@rte    con  tre le talon du levier 499 de la roue voisine  à. gauche 459. Donc, si la roue de gauche ne  permet pas à, son levier 49b de basculer, le  levier de sa voisine de droite sera également  empêché de basculer et le zéro sera. inscrit.  



  Pour séparer les caractères, on déplace  l'axe du levier intermédiaire 58. Pour éviter  l'effet nuisible des jeux, on .donnera à une  petite portion du talon des leviers 49 le pro  fil d'une circonférence dont le centre est     sur     les axes 52. On voit qu'ainsi les leviers 49  peuvent légèrement tourner autour de leurs  axes sans que les leviers 58 soient     entraînés.     



  On     terminera    en     dormant    quelques indi  cations essentielles concernant les appareil.  qui emploient, non plus les fiches, mais les  bandes continues de papier.     Das    ces appa  reils, l'appareil trieur des     fig.    8 à 10 est sup  primé. La bande se déplace sur un cylindre  et sur la. colonne pour laquelle doit s'effec-      tuer la sélection est installé un balai en liai  son avec un sélectionneur simple du type des       fig.    1 et 2.

   Chaque fermeture -de circuit de  ce sélectionneur provoque le débrayage du  mouvement d'avancement de la bande et l'em  brayage d'un mécanisme de traduction et  addition qui peut être l'un ou l'autre .des mé  canismes     décrits    précédemment pour les  fiches.  



  Dans le cas on le nombre des colonnes  n'est pas trop     considérable,    on peut placer les       perforations    latéralement et constituer le cy  lindre par -des disques isolés les uns des au  tres. En conjuguant avec chaque disque un  frotteur, à la partie qui ne porte pas de pa  pier, on peut, au moyen d'un     combinateur     convenable, former une combinaison -de cir  cuits évitant les relais.     Il    faut alors modi  fier les     dispositifs    électriques en tenant  compte de la modification apportée à la, dis  position des perforations.  



  On peut établir un trieur particulière  ment simple, à deux casiers. Les balais sont  connectés à un combinateur, comme prévu  ci-dessus. Quand le circuit est fermé, il libère  simplement le couvercle du     premir    casier.  Dans le cas contraire, la fiche tombe dans  l'autre casier. Cette trieuse opère quatorze  fois moins vite que celle décrite précédem  ment, mais sa     construction    est sensiblement  moins complexe.  



  Il est bien entendu que toutes les instal  lations décrites ci-dessus sont données ex  pressément ,à titre d'exemple.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Installation pour l'utilisation de données statistiques au moyen de documents perfo rés passant sur une surface conductrice, ca ractérisée en ce que ces documents, qui comportent un nombre suffisant de combi naisons réalisées par des perforations pas sent sous des balais analyseurs dont le nom bre correspond au nombre de base du code, ces balais fermant au passage de chaque combinaison un courant qui actionne les dis positifs enregistreurs de l'installation.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Installation suivant la revendication, permettant d'effectuer automatiquement les opérations simples de comptage, ca ractérisée par l'action combinée d'une surface conductrice (C) (fig. 2), de balais analyseurs (F) avec relais<B>(B.,, B"</B> _Rsl R4) placés en dérivation par rapport aux balais, et de commutateurs à main (Cl, C2, Cs, C4)
    de telle sorte que le courant n'est fermé et n'agit sur des appareils de contact que pendant le passage- des perforations sous les --balais analyseurs (F) et dans le cas où la combinaison -qui passé sous les balais est identique à - celle qui a été formée par les commutateurs (Ch Çzl cs, CJ 2 Installation suivant la revendication, ca ractérisée en ce que plusieurs groupes de relais sont disposés de façon à permettre -de réaliser simultanément plusieurs sélec tions simples.
    3 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par -des relais comportant une pluralité d'armatures reliées entre elles de façon à permettre -les comptages élec triques provenant d'une suite de passa ges des documents perforés. 4 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par la 'disposition de plaques métalliques (Pl-'1@\4) (fig. 4), en nombre correspondant au nombre de base du code, ces plaques superposées comportant des encoches (e) et étant mues par -des élec tro-aimants (Rl-R4) (fig. 6);
    et les en cochas étant disposées de telle sorte que, au passage de chaque combinaison de perforations pour la position relative correspondante des plaques, elles vien nent constituer une file et une seule, dif férente pour chaque combinaison. 5 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 2, caractérisée par la combinaison de pièces (H) en forme de hache portées par un arbre (M) (fig. 5), une seule de ces pièces pouvant pénétrer dans la file verticale d'encoches formée par des plaques (P1 P4) et actionnant ainsi un compte-tours particulier qui en registre la sélection.
    6 Installation suivant la revendication, comprenant un sélectionneur progressif, caractérisée par la combinaison de -trois trains épicvcloïdaux identiques (Ea, Eb, Ec) (fig. -8a), dont les pignons centraux et les couronnes de satellite sont commandés:
    savoir pour les .deux premiers respective- .ment. par quatre éleetros recevant leur courant des balais de contact et pour le troisième par les couronnes extérieures des -deux premières, par l'intermédiaire d'en greria,-o#es, de façon que, pour une ro tation unitaire respective produite par chacun des quatre électros (R1, R2, RS, R4),
    il en résulte pour la couronne exté rieure de Ec des rotations étant entre elles comme 1, 2, 4 -et 8. 7 Inqtallation suivant la revendication, ca- raetéris6e en ce que le déplacement des do cuments perforés est effectué par un sys tème d'entraînement, le dispositif sélec tionneur commandant l'ouverture de ca siers (d) (fiL. 8), en nombre égal au nombre de combinaisons aufrmenté ,d'une unité;
    de sorte qu'un seul de ces casiers, à savoir celui qui correspond à la combi naison portée -par le document, se trouve ouvert et le recoit. 8 Installation suivant la revendication, comprenant un dispositif sélectionneur, caractérisée par des disques (4) (fig. 9 et 10), avec leviers oscillants (5), tournant autour d'un arbre (3) dans le plan d'une couronne fixe (9) munie d'un évidement périphérique (10) dans lequel est dispo- s6e une tige (11) déplacée axialement par le traducteur et faisant passer la queue (5)
    -du levier de l'autre côté de la cou ronne (9), le talon (7) du levier (5) ren contrant, après une rotation convenable, une tige (12) qui .détermine l'ouverture du casier approprié. 9 Installation suivant la revendication et la- sous-revendication 6, comprenant une trieuse combinée avec le sélectionneur, caractérisée en ce que le document per- foré est porté par une plaquette hori zontale (J) (fig. 8b), animée d'un mou vement de translation verticale dont l'amplitude est proportionnelle à la ro tation imprimée à la couronne terminale .les trains épicycloïdaux,
    ce qui a .pour effet d'amener le document devant le ta blier distributeur correspondant au ca sier envisagé<I>(Ta,,</I> Ta,2. <I>.</I> Ta14). 10 Installation suivant la revendication et les sous-revendications -6 et- 9, compre nant un dispositif de comptage .des docu ments tombant dans chaque casier -de la trieuse., caractérisée par un bras (Br <I>)</I> (fig. 8e)
    commandée par les trains épi- cycloïdaux et agissant sur des compte- tours par l'intermédiaire de poussoirs (Pol . . Pois), sur lesqupls il s'abaisse en temps voulu sous l'action d'une came portée par l'arbre général de. l'appareil.
    1l. Installation suivant la revendication, ca ractérisée par la combinaison d'une ma chine à additionner ordinaire avec une traductrice comportant une surface de contacts munie ,de bandes métalliques (14) (fig. 11),. isolées entre elles, pla cées en dessous d'un certain nombre de balais multiples, ces balais multiples étant isolés l'un de l'autre alors que ceux d'un groupe ne le- sont pas, ainsi que par un distributeur rotatif coopérant avec la traductrice.
    12 Installation suivant la revendication, ca- ractérisée par une traductrice munie de balais (P) (fig. 12) non isolés, disposés en groupes isolés entre eux, chacun de ces groupes étant relié à un distributeur rotatif (17) dont les plots (P,-P,) ont des longueurs croissantes en progression géométrique de raison 2, de sorte que la durée totale du passage du courant dé pende de la combinaison des perforations du document, ce courant faisant tourner un. pignon denté (19) (fig. 13), qui en traîne par encliquetage à rochet,
    une cou ronne chiffrée (20). 13 Installation suivant la .revendication, pré sentant un dispositif . pour l'addition -des retenues, caractérisée en ce que cette ad dition se fait simultanément pour tous les chiffres .de la machine, les cylindres chif frés étant poussés d'une unité par un doigt (31) (fig. 14) actionné par un pi gnon, (28) qui reçoit son mouvement: soit d'un pignon (26) qui l'embraye quand le chiffre voisin à droite est passé .du 9 au 0, soit du pignon (2,8) voisin duquel il est .rendu solidaire quand le chiffre à sa droite est un 9.
    14 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 13, permettant d'é liminer l'action du jeu des pièces dans l'appareil précédent, caractérisée par un levier articulé (34) (fig. 15) en forme de <B>T,</B> dont le déplacement est indépendant du jeu des différents organes parce qu'il -est produit par une pièce à bec (33).
    7 5 Installation suivant la revendication, per mettant l'inscription des lettres et carac térisée par la combinaison de deux grou pes de trois balais isolés (Fi, F2) (fig. 1,6) réunis respectivement à deux électros <I>(Ri,</I> R2) qui commandent chacun un pi gnon (41) commandant à leur tour res- pectivement le pignon central et le sup port des satellites d'un train épicycloïdal, les dimensions des pignons de ce train étant telles que pour la même rotation unité de chacun -des pignons (41) la cou ronne extérieure fasse deux rotations qui soient entre elles comme 1 et 8.
    16 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par la possibilité d'inscription simultanée des résultats. 17 Installation suivant la revendication, per mettant d'inscrire les zéros seulement dans le cas où ils sont précédés d'un chif fre significatif, caractérisée par une en coche (47) (fig. 17), pratiquée à la péri phérie -de la roue des types (45) dans la quelle pénètre un levier (49) quand le ca ractère (0) se trouve en face du papier, de sorte que la roue des types ne se trouve mise en mouvement que lorsqu'un levier (58) mû par la roue voisine empêche le levier (49) de basculer.
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