BE561399A - - Google Patents

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BE561399A
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sep
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    • GPHYSICS
    • G02OPTICS
    • G02CSPECTACLES; SUNGLASSES OR GOGGLES INSOFAR AS THEY HAVE THE SAME FEATURES AS SPECTACLES; CONTACT LENSES
    • G02C7/00Optical parts
    • G02C7/02Lenses; Lens systems ; Methods of designing lenses
    • G02C7/06Lenses; Lens systems ; Methods of designing lenses bifocal; multifocal ; progressive
    • G02C7/061Spectacle lenses with progressively varying focal power

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  • Health & Medical Sciences (AREA)
  • Ophthalmology & Optometry (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Health & Medical Sciences (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Optics & Photonics (AREA)
  • Eyeglasses (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



   La présente invention' a pour objet un nouveau système optique utilisable notamment en lunetterie, et des procédés peur sa réalisation . 



   On sait que les sujets atteints de presbytie qui ne veulent pas utiliser plusieurs verres de   lunettes   pour   vo@r   de loin et de près, ont recours à des verres spéciaux présentant des zones de puissances différentes . Le nombre de ces zones est généralement limité à deux ou trois et les verres sont alors appelés doubles foyers et triplex,foyers Dans de tels verres il y a discontinuité de puissance au passage de l'une à   l'autre   de oes zones ce qui présente un inconvénient évident pour les sujets utilisant' de tels verres , 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 On a déjà proposé   ds     proches     pair   obtenir des verres 
 EMI2.1 
 possédant une infinité de foyers et du.n3 lesquels let Yè',riti01l de puissance est continue;

   uiadLs dans les verres fabrjou1s selon i ces procédés l'une au moins des surfaces ne o3s3de pas la sirné- trie de révolution ce qui, e vc.ae on le sait, complique la fabri-   oation .    



   L'invention vise des lentilles optiques et   notassent   des 
 EMI2.2 
 lentilles cphtalmiques, qui évitent les inconvénients précités en ce qui concerne l'usager et dont le procédé de fabrication est d'autre part particulièrement simple, car les dioptres qu'elles comportent possèdent tou-9 la symétrie de révolution . 



   Les lentilles suivant   l'invention   sont limitées par des dioptres: de révolution dont l'un au moins est constitué par une 
 EMI2.3 
 surface ayant une méridienne dont le rayon de c <J>J.rl1.lro varie et dont la développée ne présente pas, ou peut présenter des points singuliers, la courbure de la méridienne variant donc   simplement   
 EMI2.4 
 de façon continue , ce dioptre présentant ai Lioinq dans une région de sa surface un astigmatisme constante cFest-è..-4ire étant tel qu" en tout point de la dite région , les rayons de   courbure   R et R',   évalués   respectivement suivant le plan méridien et le second plan de section principale, savoir le plan passant par la normale et perpendiculaire au plan méridien, sont différents et satisfont sensiblement à. la relation :

   
 EMI2.5 
 n - 1 - n - 1. = constante (1) R Ri n étant l'indice de réfraction de la matière constitutive de la lentille . 
 EMI2.6 
 



  On sait que si R et lit sont exp3?l,ii(--'s en inàtrex, la constante représente un nombre de dioptries K niosarant l'astigma- tisme de la surface . 



  Dans la peatjilize cette constance de l'astigmatisme peut n'être qu'approchée, c t e:t-..dxre qu'il fuiffit qa lu relation oi-dessus soit satisfaite avec la tolérance usuelle admise pour 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 les besoins de.   l'application   envisagée , par exemple 1/4 de dioptrie   s'@@ s'agöt de la lunetterie.   



   Il doit être entendu   que   le dioptre défini ci-dessus dont la méridienne est à courbure variable, peut être   indifférem-   ment convexe   ou.   concave . ' 
Grâce au fait que le dioptre caractéristique   du.   système optique objet de   l'invention   est d'astigmatisme constant, il est aisé de choisir un second dioptre à   lui'associer   en vue   d'obtenir   un système optique d'astigmatisme déterminé, éventuellement nul; ce second dioptre sera également d'astigmatisme constant . 



   On peut en particulier prendre pour second dioptre une portion de tore symétrique par rapport au plan équatorial du tore , surface particulièrement facile à réaliser, et qui, comme on le sait, est   d'astigmatisme   sensiblement   constant .   



   Dans le cas de l'optique médicale , le second dioptre pourra être choisi comme il va être expliqué   ci-après .   



     S'il   s'agit de corriger en particulier la   presbytie ,   à l'exclusion d'un astigmatisme cristallinien ou cornéen, on associe au premier dioptre défini ci-dessus un second dioptre   dastigmatisme   constant constitué par une surface de révolution , l'astigmatisme de ce dioptre   étnt   choisi égal   à -   K 
S'il s'agit de corriger en plus de la presbytie un   astig-   matisme oornéen ou cristallinien, on associe au premier dioptre un second dioptre d'astigmatisme constant constitué par une surface de révolution, ce dioptre résultant de la composition , de façon connue, de deux dioptres d'astigmatisme constant,

   dont   l'un   est      d' astigmatisme égal à -K et l'autre d'astigmatisme égal et opposé à celui de   l'oeil .   



     Pour   des raisons pratiques de fabrication, il est commode de choisir pour le second dioptre une surface de révolution dont la méridienne a un rayon de   courbée  constant . 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 



     On voit   ainsi que la première lentille dont il a été question ci-dessus est une lentille non   astigmate,   étant donné que l'astigmatisme en premier dioptre est annulé par celui du second. 



   Au contraire , la deuxième lentille est ,une lentille astigmate,, mais cela précisément dans la mesure où elle permet de corriger 1''astigmatisme de l'oeil . 



     Etant   donné que les dioptres constituait les lentilles visées par l'invention sont tous de révolution, ils sont particu- lièrement faciles à réaliser . Un problème ne se pose que pour la réalisation du premier dioptre dont la méridienne .est à bour- bure variable . Il s'agit en effet, étant donné une courbe à rayon de courbure variable choisie à   l'avanoe,   de déterminer un axe de révolution tel qu'en faisant tourner cette courbe autour de cet axe on obtienne une surface qui délimite un dioptre d'astig- matisme constant. 



   On donne   ci-après  à titre d'exemples, en référence aux -dessins annexés , deux procédés pratiques pour la détermina- tion de cet   axe .   



   Selon un premier procédé , soit une courbe plane C (fig.1) continue et de courbure variable , deux points M1 et M2 sur cette courbe, N1 et N2 les normales à la courbe en ces points , 
Soit également O1 et O2 les centres de courbure de la courbe O en 
M1 et M2 respectivement .A un point O'1 choisi arbitrairement sur la normale N1 correspond un point O'2 situé sur la normale N2 tel que la relation suivante soit satisfaite : 
 EMI4.1 
 n - 1 - n - 1 a n - 1 - n - 1 (2)  1 Ml 0'1 .lV11 02 M2 C'2 M2 n étant l'indice de réfraction de la matière constituant la lentille. 



  La valeur commune des deux membres de   oetto   relation dépend du choix du point O'1. Daignons par   K   cette valeur   commue .   

 <Desc/Clms Page number 5> 

 



     L'on     considère   Nain-tenant la normale N3 à la courbe C   @   point M3 il est évident qu'il existe sur cette normale un point C3   qui est   le contre de courbure de la courbe C et un point C'3 tel que la   j'dation :   
 EMI5.1 
 n - 1 -!.L.::....1 ;::

   K (3) 03 ifl3 0', r soit encore rigoureusement vérifiée 
La demanderesse a trouvé   qu'en,   général ce point C'3  n'est   pas situé mir la droite O1' O'2 mais que l'on peut faire en sorte, par un choix judicieux du point O'1- c'est-à-dire de la valeur de K- que le point d'intersection I de la normale N3 avec la droite O'1 O'2 soit   situe  assez prés du point O'3 peur que la relation (3) soit encore vérifiée au moins dans les limites de l'approximation admise pour l'application envisagée ,quand on remplace dans cette relation le point   0'   par le point d'intersection I. 



   La surface   cherchée   est alors engendrée par la rotation de la courbe C autour de la droite O'1 O'2 comme axe de   révolu-Lion.   



   Il est à noter que l'on peut choisir tout-à-fait arbitrai- rement la valeur de K étant donné que cette constante représente l'astigmatisme du premier dioptre et que oet astigmatisme sera compensé soit par celui du second dioptre, soit par celui du second dioptre concurremment avec celui de l'oeil . Toutefois, dans la pratique , il n'y a pas d'intérêtà ohoisir une valeur de K trop élevée . Il ordre de grandeur de la valeur de K ne dépasse pas en général deux à trois dioptries , en valeur absolue . 



   La surface ainsi obtenue peut être utilisée entre certaines limites qui correspondent sur la   e aurbe   C à deux points A et B qui ne sont pas nécessairement les points extrêmes tels que M1 et M2 ayant servi à la construction ci-dessus. Au contraire , il y a en général intérêt à effectuer comme ci-dessus la détermination de l'axe O'1 O'2 à partir de normales en des points de la courbe C situés à   1'intérieur   de l'aro A B .

   Dans ces conditions, en effet, 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 la relation (2) pourra se   -trouver   plus   rigoureusement   vérifiée dans la régi on centrale du système optique qui, pour un verre de lunette , est en général   plus   utilisée que les   bords ,   
Selon un   deuxième   procédé , on se donne au contraire priori la valeur de K,et 3.'on détermine par tâtonnement une courbe C (Fig.2) dont le rayon de courbure R varie d'une façon   continue  et qui peut engendrer par rotation auteur d'un axe un dioptre d'astigmatisme   constant K .   



   Pour 'déterminer une telle   courbe ,   on adopte à titre   d*essai   pour ces différents points des valeurs de R qu'on porte dans la formule (1), ainsi que la valeur de K choisie à priori et on déduit de la formule (1) les valeurs de R' et la position des centres de courbure O' correspondant à R'. 



   E.n définitive, on choisit pour méridienne celle des courbes C pour laquelle les centres O' ainsi déterminés sont   sensi   blement en ligne droite et dont la loi de variation de   courbure   convient pour l'utilisation envisagée . 



   On donne   ci-après ,  en référence à la Fig.2   ci-joints,   un exemple de détermination de la méridienne suivant ce procédé 
Il e st rappelé tout d'abord quela puissanceD en un point M est liée au rayon R par la   formule   D = n - 1 A une 
R puissance D envisagée pour un   point 11   de la méridienne correspond donc un rayon de courbure R . 



   Pour simplifier les constructions géométriques et les calculs on constitue la méridienne par la juxtaposition d'arcs de développantes de cercles, deux arcs consécutifs, tels que M1 M2 et M2 M3 ,se raccordant au point M2 de telle manière qu'en oe point M2 les normales aux deux   aros   soient confondues 
On commence la détermination de la méridienne en se donnant arbitrairement tous les éléments constitutifs d'un arc de   développante'   de cercle , tel que M1 M2 . 



   On se donne donc les deux points M1 et M2 avec les rayons de courbure correspondants R1 R2 ainsi que l'angle O1   qu'ils   

 <Desc/Clms Page number 7> 

 font entre eux 
 EMI7.1 
 l'arc Ni [2 étant u,ne dévelop:PD.l1te de cercle de centre 6-! et de rayon Fi . ,on a la relation .61 Pl =  1 MI - 02 M2 La longeu.1' au rayon RI, = 01, Ml se dé ui1 de celle du rayon 01 Il = RI Par axpp:ti6:a. tiJ:'1 de la foxmu.1e (1) :

   
 EMI7.2 
 n - 1. - !L.'::.-1 = K ty laI <1 Ml 
 EMI7.3 
 De même la  6"   rayon Rt 2 w 0' 2M2 se d6&"t de celle du rayon R2 02" par la foemale 3 
 EMI7.4 
 n - 1 - n-l= K fi2 alü2 flr 2 ''2   L'axe   de révolution est alors défini par le s points 
 EMI7.5 
 0*- et 0 * On se donne ensuite le rayon de c our1:ure R3 = 01ii de la m6 r idienne en 1 On pc end arbitrairement un rayon P 2 = 2  2 Sl1,r  2 4'1 6e qui définit un angle e2 oar on a P2 62 ;:;" 2 2-  , M:

  3 On met alors en place le segment O3 M3   On. en     de omit   la position du point O'3 par la relation 
 EMI7.6 
 r, - 1 - n - 1 = K 03 "5 " 13 M3 
 EMI7.7 
 Mais le point 0"3 ne se place pas nécessairement Stu le axe . l'ar des essais répéils , on cherche une valeur de f 2 qui permette, tout en mettant en place le segment O3M3, de situer   le point O'3 sar l'axe . 



  On procède de la même façon pour les segments suivants .    

 <Desc/Clms Page number 8> 

 



   Le lieu des points M oonstitue   ane   méridienne C qui par révolution autour de l'axe , engendre une surface d'astigmatisme pratiquement constant K en tous sesopoints. 



   'Pour d'autres valeurs des puissances D1 D2 D3   ....... ,   c'est-à-dire des rayons de courbure R1 R2 R3 .. et en choisissant les angles O1, O2, relatifs à des normales à C en M1 M2 M3 ....., on obtient , pour une même valeur' de   K ,  une autre courbe C, et on choisit parmi les courbes C obtenues celle qui confient le mieux pour la correction visée . 



   On a assimilé les arcs M1 M2 ,M2 M39 etc   .. à   des déve- loppantes de cercles pour des raisons de simplification . On aurait pu les identifier à des développantes de courbes   quelconques ,   sans pour autant sortir du cadre de   l'invention .   



     On   peut encore tenir compte ,pour la détermination des courbes C, de la valeur de l'astigmatisme dû à l'obliquité des rayons lumineux utilisés par l'oeil et laisser subsister des résidus d'astigmatisme de surface pour compenser l'astigmatisme en vision . oblique . 



   La figure 3 représente une méridienne C obtenue   par',la   construction ci-dessus décrite pour un astigmatisme constant K - 3 dioptries et un indice de réfraction n =   1,523 .   'La. rotation de la méridienne C autour de l'axe   OX   engendre un dioptre d'astigma- tisme constant dont la puissancedans le plan méridien varie d'une façon continue . 



   On donne ci-après les coordonnées cartésiennes par rapport à l'axe de rotation OX et un axe   perpendiculaire   OY,des points de différentes   puissances   de la méridienne , ainsi que les écarts d'astigmatisme en ces points par rapport à la valeur   K==   3 . 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 
 EMI9.1 
 naissance . x (mm) y (mci) .

   Ecart par rappor-r, à ---- --------------- ------------------- ----------------.1 .:!-212;:; 1:E2 -'----- 
 EMI9.2 
 
<tb> 8,00 <SEP> 20,413 <SEP> 47,268 <SEP> + <SEP> o,064 <SEP> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 8,12 <SEP> 30,552 <SEP> 46,382 <SEP> - <SEP> 0,009
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 8,25 <SEP> 39,218 <SEP> 44,305 <SEP> + <SEP> 0,007
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 8,37 <SEP> 43,358 <SEP> 42,840 <SEP> - <SEP> 0,018 <SEP> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 8,50 <SEP> 48,298 <SEP> 40,,640 <SEP> + <SEP> 0,017 <SEP> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 8,75 <SEP> 53,824 <SEP> 37,515 <SEP> + <SEP> 0,007
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 9,00 <SEP> 58,037 <SEP> 34,568 <SEP> 0,002 <SEP> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 9,50 <SEP> 63,952 <SEP> 29,340 <SEP> - <SEP> 0,014
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 10,00 <SEP> 68,062 <SEP> 24,643 <SEP> + <SEP> 0,012
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 10,50 <SEP> 70,640 <SEP> 21,

  010 <SEP> 0,61
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 10,75 <SEP> 71,545 <SEP> 19,550 <SEP> 0,040
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> Il,50 <SEP> 73,849 <SEP> 15,196 <SEP> 0,056
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 12,50 <SEP> 75,551 <SEP> 10,955 <SEP> 0,093
<tb> 
 
On voit par ce tableau que les variations   d'astigmatisme   sur la méridienne et par conséquent sur la surface au'elle engendre par rotation auteur de OX n'atteignent pas 0,02 dioptrie dans la zone centrale , et 0,1 dioptrie en bordure . 



   La fig. 4 représente une vue de face de la surface du dioptre obtenue par révolution de la   méridienne.   C autour de l'axe OX . Les points de ce dioptre où la puissance est la même dans les différents plans méridiens ont été reliés par des courbes d'égale puissance qui ne sont autres que les parallèles de la surface   constituant   le dioptre de révolution   6 La   répartition de ces parallè- les permet d'apprécier l'allure de la variation de puissance sur la surface du dioptre 
On a représonté en perspective figure 5 -une lentille conforme à l'invention dont une faceest définie par un dioptre tel que celui des figs. 3 et 4.

   et l'autre face par un dioptre astigmate constitué par une portion de surface torique dont l'un des plans de sections principales est confondu avec le plan de la courbe méridienne C de la première surface   Ce   second dioptre prénente un astigmatisme constant égal et de singe contraire à celui du premier dioptre .

   La .lentille ainsi réalisée est apte à corriger les. 
 EMI9.3 
 défauts de la vue et notamment- la presbytie 1, à l'exclusion de 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 
 EMI10.1 
 l'astigmatisme 'crista1linien ou cornéen 
On a représenté fig. 6 une autre lentille conforme à l'invention dont une des faces est encore constituée par le dioptre représenté aux figs. 3 et 4 et l'autre faoe par un second dioptre astigmate constitué par une portion de surface torique présentant un astigmatisme de 3,16 dioptries, l'un des plans de sections 
 EMI10.2 
 principales de cette surface faisantun s,ngle de 54 15' avec le plan de la courbe méridienne C de la première surface .

   Ce dioptre torique résulte de la composition de deux dioptres toriques, l'un d'astigmatisme égal et de signe oontraire à celui du premier dioptre, soit -3 dioptries , et l'autre d'astigmatisme égal et opposé à celui de l'oeil , soit -1 dioptrie , ce dernier dioptre torique ayant ses plans- de sections principales faisant un angle de 45  avec ceux du. premier dioptre torique . 



   La lentille ainsi obtenue est apte à corriger les défauts de la   vue , .   notament la presbytie et en outre un   astigma-   tisme cornéen ou. cristallinien de 1 dioptrie 
 EMI10.3 
 R F V L N 7a I C .e'. 2' I 0 N S 
1.- Un système optique ,tel que lentille, en matière réfringente d'indice n , limité par des dioptres de révolution dont l'un au moins est constitué par une surface ayant une méri- dienne dont le rayon de courbure varie et dont la développée ne présente   pas, ou.   peut présenter des points singuliers la courbure de la méridienne variant donc simplement de façon continue ,   ce   dioptre étant, au moins dans une région de sa surface,   dtastigma.   tisme constant ,

   c'est-à-dire étant tel qu'en tout point de cette région les rayons de courbure exprimés en mètres R et R', évalués respectivement suivant le plan méridien et le second plan de section principale , savoir le plan passant par la normale et perpendiculaire au. plan méridien, sont différents et satisfont sensiblement à la relation : 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. EMI10.4 n 1 - n - 1 = constante = K dioptries ( 1) R RI <Desc/Clms Page number 11> 2..- Un système optique, tel que lentille, selon la reven- dication 1 , dont une face est constituée par un dioptre tel que défini dans cette revendication , et l'autre facepar un dioptre astigmate constitué par une surface de révolution qui présente un astigmatisme oonstant égale à -K cette lentille étant apte à corriger les défauts de la vue et notamment la presbytie , à l'exclusion de l'astigmatisme cristallinien ou cornéen , 3.- Un système optique ,tel que lentille, selon la reven- dication 1 , dont une faceest constituéepar un dioptretel que défini dans cette revendication ,
    et l'autre face par un dioptre astigmate constitué par une surface de révolution résultant de la co9mposition de deux dioptres astigmates , l'un d'astigmatisme égal à -K, l'autre d'astigmatisme- égal et opposé à celui de l'oeil,, la lentille ainsi obtenue étant apte à corriger les défauts de la vue, 'notamment la presbytie , et en outre l'astigmatisme' cornéen ou oristallinien.
    4.- Un système optique, tel que lentille , selon la revendication 2 ou la revendication 3 ,dans lequel la méridienne du second dioptrea un rayon de courbure constant 5.- Un procédé pour la détermination du premier dioptre d'astigmatisme pratiquement constant d'un système mptique, tel que lentille, selon une au moins des revendications 1 à 4 , consistant à déterminer , d'âpres une méridienne donnée à priori de ce dioptre, le lieu des centres de courbure définis par les rayons de courbure R' déduits de la formule (1) et en choisissant pour valeur de K l'une de celles pour lesquelles les dits centres de courbure sont situés le plus sensiblement suivant une ligne droite, ligne qui est alors adoptée comme axe de révolution .
    6.- Un procédé pour la détermination du premier dioptre d'astigmatisme pratiquement constant d'un système optique, tel que Ion-bille, selon une au moins des revendications 1 à 4, dans lequel - on,donne la valeur de K (valeur de l'astigmatisme <Desc/Clms Page number 12> constant) et on détermine par tâtonnement une courbe C dont le rayon de courbure R varie d'une façon continue et qui peut engen- drer par rotation autour d'un axe un dioptre d'astigmatisme K ; on détermine oette courbe C en utilisant à titre d'essai, pour ses différents points ,des valeurs de R qu'on porte dans la formule (1) EMI12.1 n-1 - n-1 = K R R ainsi que la valeur de K choisie et on déduit de la dite formule les valeurs de R' et la position des centres de courbure O' correspondant à R' ;
    on choisit pour méridienne celle des courbes C pour laquelle les oentres O' ainsi déterminés sont sensiblement en li- gne droite et dont la loi de variation de courbure convient pour la correction visée .
    7.- les systèmes optiques et la détermination d'un ou de dioptres de ces systèmes en substancecomme décrit ,
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