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PERFECTIONNEMENTS AUX SYSTEMES DE TRANSMISSION EN FAC-SIMILE.
La présente addition concerne des perfectionnements, modifica- tions, changements et additions à la demande de brevet déposée par la de- manderesse le'7 mai 1952,sous le même titre.
- Elle concerne des machines à fac-similé et plus particulière- ment une machine adaptée pour fonctionner en transmetteur et en récepteur, de manière à ce que la machine puisse être connectée à un système de trans- mission en fac-similé à deux sens, soit avec un bureau principal, soit di- rectement à une machine similaire disposée aubureau d'un abonné.
La machine, objet de l'invention, est un appareil compact pré- vu pour être disposé sur un pupitre ou une table de bureau et qui peut être alimenté à partir du courant lumière du secteur. Le mode de construction de cette machine met en application de nouvelles caractéristiques qui ac- croissent la stabilité de fonctionnement et éliminent certains inconvénients des transmetteurs-récepteurs de fac-similé fabriqués antérieurement.
La machine, objet de l'invention, comporte deux mécanismes d'exploration associés à un seul tambour, qui supporte la feuille qui doit être explorée aussi bien pour la transmission que pour la réception. Le mécanisme d'exploration utilisé pour la transmission est du type optique et l'enregistrement est effectué au moyen'd'un stylet électrique. Une seule monture supporte les deux dispositifs d'exploration de sorte que lors- que les pièces constitutives de ces dispositifs d'exploration sont assem- blées et ajustées, elles sont montées en bloc sur la base de la machine, de sorte qu'on peut les démonter et les remplacer facilement quand c'est nécessaire.
Le mécanisme d'enregistrement possède une nouvelle monture pour le stylet ainsi qu'un nouvel arrangement pour le maintenir en position
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de fonctionnement. Jusqu'alors, il a été de pratique courante de déplacer le stylet de manière à l'amener en contact avec le papier au moyen d'un électro-aimant, mais un tel dispositif fonctionne brusquement et le stylet est projeté en position de fonctionnement, le choc pouvant déchirer le papier qui est animé d'un mouvement de rotation rapide et même endommager la pointe du stylet.
L'inconvénient cité plus hautf a été éliminé au moyen d'un support de stylet montré' directement sur l'arbre d'un petit moteur synchro- ne dont l'arbre tourne à faible vitesse. Un ressort maintient normalement le support en dehors de la position de fonctionnement. Quand le moteur est actionné, il déplace lentement le stylet vers le tambour d'exploration de sorte que la pointe du stylet rencontre le papier avec une pression de con- tact progressive. Quand le stylet a été déplacé jusqu'à la position d'ex- ploration, le moteur ne peut plus tourner et est utilisé pour maintenir le stylet en contact avec le papier avec une pression constante au cours de l'opération d'enregistrement.
La machine, objet de l'invention, possède un tambour d'explo- ration rotatif déplacé par un chariot, susceptible de rotation, qui est suspendu à l'arbre du tambour. Ce chariot fonctionne lentement au moyen d'un système d'entraînement simple à pignon et à crémaillère. Le pignon est monté directement sur l'arbre d'un petit moteur synchrone à faible vitesse, de sorte qu'il n'est pas nécessaire d'introduire d'engrenages.
Le chariot d'exploration actionne également un marqueur qui trace une li- gne encrée en travers de la partie supérieure de la feuille du message sur le tambour de manière à indiquer au propriétaire de la machine que le mes- sage a bien été transmis sur la machine.
Des boutons poussoirs à blocage sont utilisés pour commander la machine de manière à ce qu'elle fonctionne en transmetteur ou en ré- cepteur. Il y a trois boutons,un pour la transmission, un pour la ré- ception et un pour arrêter la machine en relâchant l'un quelconque des boutons de commande. Un seul bouton peut être actionné à la fois du fait qu'un actionnant l'un quelconque des boutons de commande on provoque auto- matiquement le relâchement de l'autre. Pour arrêter automatiquement la machine à la fin d'un cycle d'exploration, soit pour la transmission soit pour la réception, on a prévu une connexion qui est commandée par le cha- riot d'exploration à la fin de son déplacement de manière à provoquer le relâchement du bouton de commande qui est actionné.
D'autres objets, caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront à la lecture de la description suivante d'un exem- ple de réalisation, la dite description étant faite en relation avec les dessins joints, dans lesquels la Fig. 1 représente une vue en plan de la machine ; la Fig. 2 représente une vue de face ;
La Fig. 3 est une vue en coupe suivant la ligne 3-3 de la Fig. 2, regardant vers la gauche ; la Fig. 4 montre une section suivant la ligne 4-4 regardant vers la droite ; la Figo 5 montre une vue en plan d'une partie de la machine comprenant le tambour et le dispositif de marquage de message ; la Fig. 6 est une section suivant la ligne 6-6 de la Fig. 5; la Fig. 7 est une section suivant la ligne 7-7 de la Fig. 3 ; la Fig. 8 est une section suivant la ligne 8-8 de la Fig. 7;
la Fig. 9 montre une vue latérale de la monture de stylet en position d'exploration; la Fig. 10 est une vue agrandie en perspective d'une partie
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du support de stylet ; la Fig. 11 est une section suivant-la ligne 11-11 de la Figo. 10; la Fig. 12 montre un ressort d'arrêt utilisé dans la monture de stylet ; les Figs. 13, 14 et 15 montrent la monture principale de la ma- chine respectivement en plan, de face et latéralement ; la,Fig. 16 est une vue en plan d'une forme du commutateur à trois boutons à enclenchement utilisé dans la-machine; la Fig. 17 montre les circuits de fonctionnement commandés par le commutateur.
La base ou châssis B de la machine est une boite métallique peu profonde qui porte à l'intérieur et à l'extérieur l'équipement tout entier nécessaire au fonctionnement du transmetteur tel qu'un amplificateur de transmission, un amplificateur de réception et tous les autres disposi- tifs nécessaires à la connexion de la machine asystème. Toutefois, cet équipement électrique n'est pas représenté et ne sera pas décrit du fait que l'invention concerne la machins elle-même en tant qu'appareil séparé du système dans lequel elle est commercialement utilisée. De manière à donner une idée du peu d'encombrement de ce transmetteur-récepteur destiné à être utilisé dans un bureau, on peut mentionner que la base B n'a pas à dépasser douze pouces carrés (77 centimètres carrés environ).
Une pièce lourde fondue C, généralement en aluminium, sup- porte les deux mécanismes d'exploration et cette pièce est fixée à la ba- se de n'importe quelle manière convenable, par exemple au moyen des écrous 15 qui passent de l'intérieur de la base dans la pièce coulée.
On peut interposer des coussins de caoutchouc 16 sur lesquels repose la pièce C et qui fonctionnent comme amortisseurs, protégeant ainsi les élé- ments d'exploration contre les vibrations anormales.. La pièce C, comme il est monté clairement aux Figs. 13, 14 et 15, comprend une plaque de base 17, une plaque arrière verticale 18 et deux plaques latérales ou consoles 19 et 20.
Les consoles 19 et 20 portent des 'coussinets de manière à re- cevoir un arbre 21 sur lequel un tambour métallique d'exploration 22 est monté de manière à pouvoir glisser. Le tambour peut tourner librement sur l'arbre, d'un tour environ, et il y est relié par une broche radiale 23 vissée dans l'arbre à l'intérieur du tambour (Figs. 3, 7 et 9). Une tige 24 est maintenue à l'intérieur du tambour par les disques d'extrémité 25, parallèlement à l'arbre 21. Quand la broche 23 rencontre la tige 24, le tambour est entraîné en rotation par l'arbre à la vitesse d'exploration.
Le tambour est libre de tourner sur l'arbre pendant presque un tour complet de manière à permettre un réglage de la position du tam- bour par l'opérateur dans une position permettant un montage facile d'un support de message 26 en position correcte.: Comme il est représenté à la Fig. 1, l'extrémité extérieure 26' de la feuille enroulée doit coïncider avec le repère longitudinal 27 porté par le tambour. En pratique, la li- gne 27 est une rainure remplie avec une couleur, de préférence du rouge vif ou de l'orange. Quand on désigne la feuille 26 sous le nom de support, on comprend aussi bien la copie d'un message pour la transmission qu'un support pour la réception, tous les deux étant de la même taille.
L'arbre 21 du tambour est entraîné par un moteur synchrone DM monté derrière la paroi verticale 18 de la pièce C par les boulons 28 (Figs. 1 et 2). Le carter du moteur possède un prolongement 29 formant @ coussinet qui dépasse de l'autre côté de la paroi 18 par une ouverture 30 de manière à soutenir l'arbre 31 du moteur. Une vis sans fin 32, montée sur l'arbre 31 du moteur, s'engrène avec un pignon@de vis sans fin 33 fixé à l'arbre 21 du tambour, de sorte que ce dernier tourne à une vitesse re- lativement élevée (par exemple 180 tours à la minute) au cours de l'opéra-
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tion d'exploration. De manière à éviter les confusions, le.moteur du tam- bour sera désigné par DM.
La rotation du tambour 22 est accompagnée par un déplacement lent du tambour le long de l'arbre 21. Ce déplacement est effectué au moyen du chariot SK qui est un bâti en forme d'U comprenant une barre horizontale 34 et deux bras perpendiculaires 35 et 35', comme il est représenté aux Figs. 2 et 7. Les bras 35 et 35' passent de part et d'autre du tambour 22 et possèdent des ouvertures pour l'arbre 21 de sorte que le chariot est suspendu, de manière à pouvoir glisser, à l'arbre du tambour. Il n'y a pas de jeu axial entre les bras 35 et 35' et le tambour, de sorte que les bras 35 et 35' poussent le tambour en révolution sans modifier son mouve- ment de rotation.
Un bras à ressort 36 (Fig. 4) fixé au bras 35 porte un coussinet de friction convenable 3 6' qui presse constamment contre le dis- que adjacent du tambour de manière à agir comme un frein ou une charge pour maintenir le tambour feroeanent engagé avec l'arbre 21.
Le chariot d'exploration SK est actionné par un petit moteur synchrone FM qui sera désigné sous le nom de moteur d'alimentation. Ce mo- teur est situé dans la chambre de la base creuse B (Fig. 3) et est vissé à la partie intérieure de la base coulée 17 (Fig. 8). L'arbre d'entraîne- ment vertical 37 du moteur FM passe à travers une ouverture de la plaque de base 17 et son extrémité supérieure porte un pignon 38. Une crémaillè- re 39, fixée à l'extrémité verticale de la barre d'angle 34 est toujours engrenée avec le pignon 38, de sorte que le moteur FM entraîne le chariot SK à la vitesse désirée. Une roulette 40 en fibre ou en un matériau ana- logue est disposée à l'opposé du pignon 38 et est utilisée comme guide pour le chariot d'exploration qui parcourt ainsi une ligne droite parallèle à l'arbre du tambour.
On remarquera (Figs. 2 et 3) que la barre d'angle 34 du cha- riot SK est légèrement espacée de la plaque 17 de la base du fait que le chariot est suspendu à l'arbre du tambour 21, de sorte que le chariot glis- se avec peu de friction. Un ressort long 41, fixé à une extrémité à la broche 42 et à l'autre extrémité à la broche 43 de la plaque de base, ra- mène le chariot SK et en conséquence le tambour 22 en position normale quand le moteur d'alimentation n'est plus alimenté.
La crémaillère et le pignon d'entraînement 38-39 du chariot d'exploration SK, du fait qu'ils sont simples et compacts et peu couteux, possèdent des avantages sur les systèmes comportant un demi-écrou et un arbre fileté utilisé dans les machines à fac-similé autrefois utilisées.
Comme il est bien connu, l'utilisation d'un demi-écrou nécessite un dispo- sitif supplémentaire pour l'embrayer avec l'arbre fileté entraîné par un moteur qui était relié à l'arbre du tambour au moyen d'un système d'engre- nage pour obtenir la réduction de vitesse voulue.
D'autre part, la connexion à engrenages 38-39 de la machine décrite est permanente et ne nécessite donc pas de commande comme le dispo- sitif comportant un demi-écrou. De plus, le pignon 38 est monté directe- ment sur l'extrémité de l'arbre 37 d'un moteur à faible vitesse FM de sor- te qu'il n'est pas nécessaire d'utiliser des engrenages de réduction sup- plémentaires. Ce moteur, qui se trouva couramment sur le marché, permet au tambour SK et au tambour 22 d'être ramenés en position normale instan- tanément sous l'action du ressort 41 du fait qu'il n'y a pratiquement pas de résistance à la rotation inverse du pignon 38.
On décrira maintenant le mécanisme d'exploration optique.
La plaque verticale arrière 17 de la pièce coulée C possède une extension arrière horizontale 45 qui sert de plate-forme pour soute- nir toutes les parties optiques du mécanisme d'exploration utilisé pour la transmission. Certaines de ces parties sont de construction classique et ne nécessitent pas de description détaillée, telles que, par exemple, la lampe d'excitation 46, le tube\des lentilles du condensateur 47, le tu- be de lentilles du pick up 48, le disque d'obturation de la lumière 49 et
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la cellule photo-électrique 50.
On comprendra que ces éléments optiques sont disposés de manière à ce que le faisceau de lumière de la lampe 46 soit focalisé par le tube condensateur 47, de manière à donner un point d'ex- ploration sur la feuille 26 et que la lumière réfléchie par cette feuille passe par le tube pick up 48 atteignant la cellule photo-électrique 50 à travers le disque d'obturation 49.
Bien que les parties 46 à 50 soient, de manière générale,-des éléments classiques dans les explorateurs optiques des machines à fac-si- milé, on a prévu de nouveaux moyens pour le montage de ces parties, de ma- nière à obtenir une unité compacte facile à assembler et à régler.
La lampe d'excitation 46 et le tube condensateur 47 sont mon- tés sur une feuille de métal formant console 51 qui est fixée à la plate- forme 45 par des écrous 52. Ces écrous passent à travers les fentes 53 de la console, de manière à permettre un réglage axial des éléments optiques 46-47 qui forment une unité de focalisation du faisceau d'exploration sur le tambour 22. La plate-forme 45 de la pièce coulée C porte également une plaque 54 en forme de L qui s'étend vers l'arrière et supporte une cellule photo-électrique 50 disposée de manière à coopérer avec le tube pick up 48 et le disque d'obturation 49.
La boite de la cellule photo-électrique 50, possède une console angulaire 55 qui est munie de fentes'56 pour recevoir les écrous 57 au moyen desquels la cellule photo-électrique peut être ré- glée axialement pour corriger sa position.
Le disque d'obturation 49 est entraîné par un moteur synchro- ne CM qui est fixé à la paroi arrière 18 en dessous de la plate-forme 45 par les écrous 58 (Fig. 3). Dans la machine décrite, le tube pick up 48 est fixé sur une plaque 60 montée sur la plate-forme 45 qui est fixée par les écrous 61 qui passent dans les fentes 62 de manière à permettre un ré- glage axial du tube pick up. La plaque 60 supporte également une petite boite 63 qui forme une chambre par laquelle le faisceau d'exploration pas- se du tube pick up 48 par le disque d'obturation 49 jusqu'à la cellule pho- to-électrique 50.
On décrira maintenant le mécanisme du stylet d'enregistrement.
Dans la description de ce mécanisme, on se référera principa- lement aux Figs. 3 et 9 qui montrent le mécanisme associé au stylet, en position de repos normale (Fig. 3) et en position d'enregistrement (Fig. 9).
Une console 65 est fixée à la base 17 de la pièce coulée C par les écrous 66 qui passent dans la partie inférieure horizontale 67 de la console. Comme il est représenté à la Fig. 13, la base coulée 17 est coupée en 68 de manière à former un rebord 69 contre lequel vient buter la console 65. Les écrous 66 passent à travers les trous 70 de la pièce cou- lée. Un petit moteur synchrone, du type moteur d'horloge, SM est fixé à la console 65 par les écrous 71 (Fig. 2), l'arbre d'entraînement court 72 étant en position horizontale. Dans ce cas, le train d'engrenage à l'in- térieur du carter du moteur est tel que l'arbre 72 fait seulement un tour à la minute, ce chiffre n'étant donné qu'à titre d'exemple.
Un bloc fendu 73 de matériau isolant est solidement fixé à l'arbre moteur 72 par un écrou 74 et un bras conducteur 75 est monté sur le bloc par un écrou 76 et par l'écrou de blocage 74. Le bras 75 s'étend vers l'arrière dans un plan perpendiculaire à l'arbre 21 du tambour et l'ex- trémité arrière 77 de ce bras est divisée en deux parties, comme il est re- présenté dans les vues partielles agrandies des Figs. 10 et 11. L'extrémi- té en fourchette 77 porte une goupille 78 sur laquelle est pivotée une ban- de 80 d'un ressort métallique (tel que du bronze phosphoreux) pour porter un stylet 82.
Comme il est clairement représenté à la Fig. 10, le support de stylet 80 porte à son extrémité libre une dent dentrale 83 et'une paire de dents latérales 84 qui ont été repliées en 85. Le stylet 82 est une pièce de fil d'acier ou de tungstène conformé de manière à avoir une par-
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tie avant droite qui est fixée entre les dents centrales 83 et les parties repliées des dents latérales 84, tandis que l'extension arrière 82' du fil est repliée autour de l'extrémité dépassante de la dent centrale. De cet- te manière, le fil du stylet est rigidement maintenu sur le support 80 par la pression du ressort constitué par ces trois dents 83 et 84 sans nécessi- ter de moyens de fixation séparés.
L'extrémité repliée 83' du fil bloque le stylet contre les déplacements axiaux. De plus, cette nouvelle fixation de stylet permet la pose et la dépose faciles du styleto
Le support de stylet 80 est maintenu contre le déplacement latéral sur le pivot 78 par un ressort à boudin 86. Un ressort en fil 87 en forme d'U porté par l'extrémité en forme de fourchette 77 du bras 75 fonctionne comme une butée élastique pour limiter les mouvements vers l'avant (à gauche à la Fig. 9) du support de stylet 80 sous l'action d'un ressort 88 qui est fixé à l'un de ses extrémités au support et à l'autre extrémité à une oreille 89 du bras 75. Il est clair que le ressort 88 maintient les pièces 75 et 80 de manière à ce qu'elles ne soient pas en ligne droite, de sorte qu'elles constituent une articulation à genou.
Un ressort fonctionnant à la contraction 90 est fixé à un prolongement du bras 75 et il tend constamment le bras vers le bas (dans le sens des aiguilles d'une montre, aux Figs. 3 et 9). L'extrémité su- périeure du ressort 90 est fixée à une bande isolante 92 qui est montée sur l'extrémité avant de la console 65 par les écrous 93. La bande 92 est également utilisée comme isolateur pour une borne métallique 94 à laquelle le stylet 82 est électriquement connecté par un conducteur fle- xible 95 et les pièces métalliques de fixation 75 et 80.
Normalement, le ressort 90 maintient le support du stylet en position de retrait, comme il est représenté à la Fig. 3, le bloc isolant 73 étant en contact avec un arrêt 96 qui, dans la machine décrite, est un écrou ajustable vissé dans la base fondue 17. Alors que le ressort 88 tend à appliquer le support pivotant 80 vers le tambour, l'arrêt élastique 87 limite le mouvement en avant du support de manière à maintenir le stylet 82 à une distance convenable du tambour. Le stylet 82, lorsqu'il est en position de retrait, ne modifie pas le fonctionnement de la machine comme transmetteur.
Quand le moteur SM est actionné, pour une opération d'enre- gistrement, l'arbre du moteur 72 anime d'un mouvement de rotation les piè- ces 75 et 80 accouplées à leurs extrémités, très lentement, jusqu'à ce que le bloc 73 rencontre un arrêt isolant 98 qui est fixé au bord avant de la plaque de base 17 au mouen d'un écrou 98'. Toutefois, peu de temps avant que le bloc 73 rencontre l'arrêt fixe 98, le stylet vient en contact avec le support 26, de sorte que le mouvement du bras 75 jusqu'à sa position finale provoque la rotation du support 80 autour de son pivot 78 jusqu'à ce que le bloc 73 rencontre l'arrêt 98. A ce moment, le moteur SM action- né continue à exercer un couple sur le bras 75,maintenant ainsi la pointe du stylet avec une pression de contact constante sur la surface de la feuille explorée.
La pression exercée'par le stylet est déterminée par la force du ressort de tension 88 et est très faible.
On doit faire remarquer que le moteur SM est maintenu action- né pendant toute l'opération d'enregistrement, de sorte que l'arbre 72 tend constamment à tourner vers l'avant (vers la gauche, comme idest re- présenté à la Fig. 9) maintenant ainsi le bloc 73 solidement en contact avec l'arrêt 98. Ceci maintient le ressort 88 sous tension de manière à maintenir la pointe du stylet contre le papier avec une pression d'enre- gistrement uniforme. Par suite de la faible vitesse de l'arbre 72 du mo- teur (de un à dix tours par minute), le stylet 82 est déplacé lentement de manière à venir en contact avec le papier pour qu'il ne puisse pas se produire de détérioration du papier par la pointe du stylet.
Quand le mo- teur n'est plus alimenté, le ressort de tension 90 ramène immédiatement la monture du stylet (bloc 73, bras 75 et support 80) vers l'arrière d'un seul bloc jusqu'à ce que le bloc 73 rencontre l'arrêt 96 (Fig. 3).
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D'une manière générale, le mécanisme d'entraînement du 'stylet du transmetteur-récepteur utilise le couple du moteur SM pour maintenir le stylet en contact avec la feuille sur le tambour animé d'un mouvèment de rotation. C'est une des caractéristiques de la présente invention.-
On décrire maintenant les commutateurs de-mise en place (Fige.16 et 17). La machine est mise en position de fonctionnement à la' main, (transmission et enregistrement) par une unité de commutation 99- qui est montée par les écrous 99' (Fig. 2) dans la base creuse devant là machi- ne. Cette unité de commutation qui permet la sélection est actionnée par un bouton de transmission 100, un bouton de réception 101 et unbouton d'arrêt 102.
Ces trois boutons sont interconnectés de manière à ce qu'ùn seul bouton de commande puisse rester actionné à la fois et le bouton d'ar- rêt 102 relâche l'un ou l'autre des autres boutons qui'sont actionnés.
Ceci sera facilement compris à partir de la Fig. 16 qui montre une forme simple de commutateurs à enclenchement qui peut convenir pour la machine, objet de l'invention.
Chaque bouton 100-101 actionne une barre susceptible de glis- sement 103 et puisque ces barres sont identiques, on n'en décrira qu'une- seule, étant toutefois entendu que pour les distinguer, on désignera la barre du bouton de réception 101 par la référence 103'. Le bouton d'arrêt central 102 actionne une barre 104 qui est légèrement différente des bar- res 103-103'. Ces trois barres sont montées de manière à pouvoir glisser sur la partie rectangulaire qui comprend une plaque avant 105, une plaque arrière 106 et deux plaques latérales 107. Un ressort à boudin 108 retient normalement chaque barre poussé vers l'avant dans un état qui correspond à un circuit ouvert.
Une plaque transversale 110 est montée sur les plaques laté- rales 107, de manière à pouvoir glisser et un ressort à boudin 102 main- tient normalement la plaque transversale vers la droite. La plaque trans- versale 110 est fermée de manière à présenter trois cames 113, chacune arrangée de manière à pénétrer dans une fente 114 de la barre adjacente 103-103'-104, quand les boutons correspondants 100-101-102 sont en posi- tion normale. Les barres 103 et 103' des deux boutons de mise en place 100 et 101 possèdent chacune une fente peu importante 115, mais la barre 104 du bouton d'arrêt n'a pas de fente. Les fentes 114 et 115 de chaque barre sont séparées par un épaulement 116 disposé de manière à engager les cames associées 113.
Il est clair à partir de la Fig. 16 que lorsque l'un quelcon- que des boutons 100 ou 101 est poussé, l'épaulement 116 repousse la dent qui lui est associée 113 en dehors de la trajectoire, déplaçant ainsi la plaque transversale 110 vers la gauche. Quand le mouvement continu du bou- ton vers l'intérieur amène la fente 116 en face de la dent 113, cette der- nière pénètre dans la fente et bloque la barre de commutateur actionnée (103 ou 103') de manière à ce qu'elle ne puisse revenir en position de re- pos. La Fig. 16 montre le bouton de transmission 100 bloqué dans la posi- tion de fonctionnement ou dans la position dans laquelle il ferme le cir- cuit. Les commutateurs commandés par chacun de ces boutons 100-101 seront maintenant décrits.
En se référant à la figure 16, on verra que si le bouton de réception 101 doit être pressé, la plaque transversale 110 est déplacée sur le côté et relâche le bouton de transmission 100 avant que l'autre bou- ton n'atteigne sa position normale. Quand le bouton d'arrêt 102 est ac- tionné, la plaque transversale 110 est poussée vers la gauche pour relâcher le bouton actionné, mais le bouton d'arrêt lui-même retourne immédiatement en position normale quand il n'est plus actionné. Ceci est dù au fait que la barre 104 ne possède pas d'épaulement de blocage qui puisse coopérer avec la came associée 113.
Il est possible qu'un opérateur pousse par inadvertance les deux boutons 100 et 101 en même temps de sorte que le commutateur de mise
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en place se bloque en position de fonctionnement, mais les-circuits de com- mande de la machine, tels qu'ils sont connectés dans le système, sont tels que rien ne se produit dans ces conditions. Cette condition de sécurité ne fait pas partie de la présente invention et en décrivant les circuits de la Fig. 17 on peut supposer qu'un seul commutateur de commande est en posi- tion de fonctionnement à la fois.
La source de courant d'alimentation de la machine est indiquée à la Fige 17 par la paire de fils A-B qui sont enfichés dans une douille électrique convenable de la pièce où la machine est disposée. Le conduc- teur A est représenté des deux côtés du diagramme pour éviter le croise- ment des lignes du circuit. Le bouton de transmission 100 commande deux commutateurs 120 et 121, chacun de ces commutateurs est représenté schéma- tiquement par une paire de contacts et une pièce de connexion. Le bouton de réception 101 commande trois commutateurs 122-123-124. Tous les commu- tateurs 120 à 124 sont normalement ouverts.
Le circuit de la Figo 17 sera bien compris sans qu'il soit né- cessaire de décrire en détail les connexions. Quand le bouton de transmis- sion 100 est actionné, le moteur du tambour DM et le moteur d'alimentation FM sont actionnés de manière à animer le tambour d'un mouvement de rotation et à actionner le chariot d'exploration FK, de manière à déplacer le tam- bour latéralement le long de son arbre. En même temps, l'amplificateur de transmission et le mécanisme d'exploration optique sont actionnés. Toute- fois, les circuits du moteur du stylet FM et l'amplificateur de réception restent ouverts du fait que les commutateurs d'enregistrement 123 et 124 ne sont pas fermés.
D'autre part, quand le bouton de réception 101 est ac- tionné en réponse à un signal d'appel, les commutateurs 122-123-124 sont alors fermés et provoquent le fonctionnement des trois moteurs SM, DM et FM et de l'amplificateur d'enregistrement, tandis que les circuits de l'amplificateur de transmission et du mécanisme d'exploration optique res- tent ouverts.
Il est donc clair que l'amplificateur de transmission et l'explorateur optique ne sont actionnés que lorsque le bouton de transmis- sion 100 est manoeuvré, tandis que 7,'amplificateur d'enregistrement et le moteur du stylet SM ne sont actionnés que lorsque le bouton de réception 101 est actionné. Toutefois, le moteur de rotation du tambour DM et le moteur d'alimentation du tambour FM sont actionnés lorsque l'un quelconque des boutons 100 ou 101 est pressé. Ceci est dû au fait que la rotation et la translation du tambour sont nécessaires pour la transmission aussi bien que pour la réception.
Il apparaîtra clairement à l'homme de l'art que les circuits de la Fig. 17 ont été simplifiés et qu'on n'en a représenté que l'essentiel pour la compréhension de la description. Dans les systèmes commerciaux utilisant ces transmetteurs-récepteurs, il existe différents moyens de com- mande pour provoquer l'arrêt de certaines parties au bout d'un intervalle de temps prédéterminé, de manière à ce que les machines interconnectées fonctionnent dans une certaine,relation de phase. Les circuits de mise en phase sont commandés par un commutateur 130 de l'arbre 21 du tambour comme il est représenté aux Figso 1 et 2.
Dans la machine,objet de l'invention ce commutateur est un simple collier avec une came 131 qui ferme pendant un temps court, ou ouvre dans d'autres machines un commutateur 132 une fois à chaque tour du tam- bour. Le commutateur 132 est monté sur une petite console 133 fixée à la paroi arrière 18 de la pièce coulée C. Les circuits commandés par ce com- mutateur ne font pas partie de l'invention et ne seront pas décrits.
On décrira maintenant certaines caractéristiques spéciales qui ont été mises en oeuvre en relation avec le chariot d'exploration FK. Le mouvement de translation du chariot d'exploration SK est utilisé pour ac- tionner un commutateur 135 (Fig. 1) dès que l'exploration est commencée.
Le commutateur 135 est normalement ouvert et est fermé au moyen d'un bras
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en fil flexible 136 disposé à l'extérieur du carter du commutateur de manié- re à se trouver dans la trajectoire de la barre 34 du chariot SK.' Bien que le bras 136 soit actionné dès que le chariot commence à se déplacer,'les contacts du commutateur commandés par ée bras ne sont pas fermés jusqu'à ce que le chariot se soit déplacé d'une certaine distance. Le commutateur 135 est maintenu fermé par la barre du chariot 34 au cours de l'opération ,de l'exploration toute entière et s'ouvre automatiquement quand le chariot re- vient en position normale.
La fonction du commutateur 135 est de prévoir un'circuit qui fait partie du système dans lequel cette machine est connectée. Puisque ce système ne fait pas partie de l'invention, le circuit commandé par le commutateur 135 ne sera pas décrit ici mais la commande mécanique dé ce' commutateur par le chariot d'exploration est une des caractéristiques de la présente invention.
Le chariot d'exploration SK commande'aussi le commutateur'99 de la Fig. 16 à la fin de l'opération d'exploration. A cet effet, la pla- que traversale 110 est prévue avec une broche 138 qui passe par l'ouvertu- re 139 (Fig. 1) à la partie supérieure de la base B. La plaque latérale 35 du chariot d'exploration possède un boulon ajustable 140 (Fig. 2) qui rencontre la broche 138 lorsque le chariot atteint l'extrémité-de sa'tra- jectoire vers l'avant. Comme il est représenté à la Fig. 16, un léger mouvement de la plaque 110 vers la gauche relâche immédiatement le bouton actionné 100 ou 101, de manière à couper l'alimentation de la machine.- En d'autres termes, la machine s'arrête automatiquement à la fin de l'opé- ration d'enregistrement ou de reproduction.
Quand le propriétaire de la machine possède un certain nombre de messages à transmettre par sa machine, une question se pose dans son esprit plus tard, à savoir si ce ou ces messages ont été transmis par fac- similé à l'enregistreur qui peut se trouver au bureau principal télégra- phique ou dans le bureau d'un autre abonné. Pour identifier un message comme ayant été transmis, on prévoit des moyens de marquage automatique du message commandés par le chariot d'exploration SK.
En se référant aux Figs. 1 à 6, on voit une petite console 142 en forme d'U-qui est fixée sur la plaque arrière'118 et porte une broche 143 sur laquelle est pivoté un bâti 144 en forme d'U. Une des ex- trémités de ce bâti s'étend vers le haut, de manière à former un bras 145 qui porte à sa partie supérieure un support 146 (Fig. 4). Ce support est en forme de V et est constitué par une pièce angulaire fixée au milieu du bras 145 par un écrou 147 qui passe à travers une fente 148 du bras. Cet- te monture, munie d'une fente, permet le.réglage du support 148 dans le sens de la longueur du bras aussi bien que du point de vue de sa position angulaire.
Une fois ajusté, le support 146 est fixé rigidement au bras.
Le support 146 possède, à sa partie supérieure, une broche 150 (Fig. 4) sur laquelle peut être monté, de manière à pivoter, un bras court 151 qui porte une roulette encrée 152 sur une broche 153. L'extré- mité inférieure du support 146 porte une broche 154 qui supporte une roue de marquage 155 disposée en contact avec la roulette encrée 152. La rou- lette 152 porte ainsi sous l'effet de la pesanteur sur la circonférence de la roue 155, de sorte que la rotation de la roue provoque automatiquement la rotation de la roulette qui assure ainsi l'alimentation en encre de la roue.
Le bâti 144 supporte une console 156 qui porte une oreille 157.
Une roulette 158, montée sur cette oreille, se déplace sur la barre 34 du chariot d'exploration SK. Un ressort fonctionnant à la torsion 159, fixé à une extrémité au bras 145, et dont l'autre extrémité est fixée à la plaque 18, presse constamment centre le bras de manière à le déplacer vers l'avant (vers la gauche à la Figa 6). En conséquence, la roulette 158 est toujours maintenue contre la barre du chariot 34 et la roue de marqua- ge 155 est maintenue à une certaine distance de la feuille montée sur le
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tambour 22.
La barre du chariot 34 est conformée de manière à avoir à sa partie supérieure une encoche ou un retrait 160 qui se trouve à une courte distance de la roulette 158 lorsque le chariot d'exploration SK est en posi- tion normale (Fig. 1). Quand le chariot se déplace vers l'avant d'une cour- te distance, par exemple environ un pouce (2,53 cm), la roulette 158 passe dans l'encoche 160 sous l'action du ressort 159, de sorte que le bras 158 se déplace vers le bas, de manière à presser la roue 155 contre la feuille du tambour animée d'un mouvement de rotation. Le mouvement continu vers l'avant de la barre du chariot 34 repousse la roulette 158 en dehors de l'encoche 160 et la roue 155 est déplacée en dehors du papier et revient en position normale.
Du fait que le chariot glisse lentement et que le tambour tour- ne rapidement, le contact rapide de la roue de marquage 155 sur le papier est suffisant pour imprimer un anneau caractéristique 162 sur la feuille (Fig. 5). Quand la feuille explorée est ôtée du tambour, cet anneau appa- raît comme une ligne droite, en général d'une couleur brillante telle que rouge,près de la partie supérieure de la feuille du télégramme et elle con- stitue une preuve enregistrée que le message a été transmis. Si l'encoche 160 est découpée de manière à être plus grande, le temps d'ancrage de la roue 155 est prolongé de sorte que la marque correspondante se fait sous la forme d'une bande plus large.
La feuille 26, qu'elle soit utilisée pour la transmission ou l'enregistrement, doit être correctement montée sur le tambour 22, de ma- nière à être maintenue fermement au cours du mouvement de translation du tambour animé d'un mouvement de rotation rapide. A cet effet, on utilise une paire de jarretières en ressort 165 et 166. Contrairement aux jarre- tières telles qu'elles étaient utilisées précédemment pour les tambours d'exploration, le présent arrangement et le fonctionnement des deux jarre- tières présentent des caractéristiques qui ne se trouvaient pas dans les machines à fac-similé telles qu'elles étaient fabriquées autrefois.
Pour enrouler une feuille autour du tambour, le préposé dé- place la jarretière 166 vers l'extrémité droite du tambour, comme il est indiqué par la ligne pointillée 166' à la Fig. 2. Ceci dégage le tambour pour le passage de la feuille qui est enroulée autour du tambour et pous- sée vers la gauche sous la jarretière en ressort 165 contre le bord gauche du tambour. La jarretière 165 maintient l'extrémité gauche de la feuille pressée contre le tambour et glisse l'autre jarretière 166 sur la feuille jusqu'à la position représentée aux Figs. 1 et 2.
En se référant à la vue en plan de la Fig. 1, on voit que deux consoles 167 et 168 sont fixées horizontalement à la paroi arrière 18 à une distance convenable l'une de l'autre. La console 167 maintient la jarretière 165 contre le bord gauche du tambour et l'autre console 168 ar- rête la jarretière 166 à une certaine distance de la droite qui vient en exploration 170 (qu'il s'agisse d'un explorateur optique ou du stylet d'en- registrement).
Quand le tambour 22 glisse vers la gauche, la jarretière 165 se déplace avec lui pour maintenir le bord gauche de la Quille expirée fermement contre le tambour, mais la jarretière 166 est maintenue en ar- rière par l'arrêt 168 et elle presse contre la feuille en déplacement à la même distance du plan d'exploration 170. En conséquence, la feuille sur le tambour présente une tension continue et une surface douce à l'élé- ment d'exploration au cours de sa trajectoire toute entière sur le tambour.
On comprendra naturellement que la jarretière en ressort 166 roule aisé- ment sur le papier sans relâcher la tension.
Il y a une troisième console d'arrêt 172 qui est également fi- xée à la plaque verticale 18 et qui est conformée de manière à dépasser dans la trajectoire de la jarretière 165 comme on peut le voir dans les
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Figs. 1 et 4. Toutefois, la console 172 est fixée'de manière à ce que la jarretière 165 ne la rencontre pas avant que la plupart'des messages aient été explorés ou enregistrés. A la Fig. 1, on peut supposer que la-ligne pointillée 170' représente la position du plan d'exploration 170 sur la feuille quand la jarretière 165 est dans la position 165'et rencontre l'ar- rêt 172.
Le mouvement continu vers la gauche du tambour ne modifié pas la position de la jarretière 165 quand elle roule sur la feuille en dépla- cement, de manière à éviter que la partie explorée ne se déroule ou ne'se détende sous l'effet de la force centrifuge due à la vitesse de rotation élevée du tambour. La position finale du tambour est ipdiquée à la Fig. 1 par le rebord en pointillé 173 et, à ce moment, la jarretière 166 est en dehors du-support 26. Quand le tambour qùi est relâché retourne'en posi- tion normale, la jarretière 165 est déplacée le long du tambour et rencon- tre l'arrêt 167 qui la maintient entre le bord gauche du tambour. Le pré- posé peut maintenant retirer la feuille d'en dessous de la jarretière 165 et séparer la feuille du tambour.
Dans la machine telle qu'elle est utilisée commercialement, il existe un carter qu'on peut soulever et qui enferme toutes les parties sauf le tambour 22 et les boutons de commutateurs 100, 101 et 102. Quand l'exploration commence, le tambour se déplace lentement vers la gauche sous le carter. A cet effet, le transmetteur-récepteur ressemble d'une manière générale à la machine décrite dans le brevet américain No. 2.315.361 accordé le 20 mars 1943. Toutefois, la présente machine présente des per- fectionnements importants qui en font un transmetteur-récepteur plus sûr pour être utilisé dans les circuits télégraphiques fac-similés modernes.
Bien que la présente invention ait été décrite en relation avec des exemples particuliers de réalisation, il est clair qu'elle n'est pas limitée aux dits exemples et qu'elle est susceptible de variantes et modifications sans sortir de son domaine.