BE507288A - - Google Patents

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BE507288A
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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A43FOOTWEAR
    • A43BCHARACTERISTIC FEATURES OF FOOTWEAR; PARTS OF FOOTWEAR
    • A43B23/00Uppers; Boot legs; Stiffeners; Other single parts of footwear
    • A43B23/22Supports for the shank or arch of the uppers
    • A43B23/227Supports for the shank or arch of the uppers fixed on the outside of the shoe

Landscapes

  • Footwear And Its Accessory, Manufacturing Method And Apparatuses (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
    



  CHAUSSURE.   



   La présente invention se rapporte à de nouvelles chaussures de tous types, en particulier de chaussures orthopédiques pour la maison, le sport et l'usage ainsi que de sandales. 



   Un des buts de l'invention est la réalisation d'une chaussure ne nuisant pas à la forme naturelle du pied humain, même si l'usager doit se tenir immobile et debout ou marcher toute la journée sur un sol dur et plat. 



   Un autre but de l'invention est la réalisation d'une chaussure, en particulier d'une chaussure de type courant, qui améliore des performan- ces du pied humain, que celui-ci soit sain, faible ou malade. 



   Un autre but encore de l'invention est la réalisation d'une chaussure, en particulier d'une chaussure courante, qui soit facile à fa- briquer. 



   Encore un autre but de l'invention est la réalisation d'une chaussure ayant une aération efficace. 



   Quoique, pour la nouvelle chaussure objet de l'invention, on puisse utiliser de nouvelles formes et que ce n'est qu'avec de nouvelles formes qu'on puisse le mieux tirer   pleinement   parti des avantages de la nou- velle chaussure, l'agencement de la chaussure objet de'l'invention, en par- ticulier de sa semelle et de sa première (semelle première), a, pour le ré- sultat recherché, une importance bien plus grande que celle de la forme. 



   D'autres détails et avantages de l'invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description qui va suivre et qui se réfère au dessin annexé sur lequel : la figure 1 est une coupe, vue de l'intérieur, de la chaussure objet de l'invention; la figure la montre,, à titre de comparaison, un détail d'une chaussure de forme usuelle; 

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 la figure 2 est une coupe, analogue   à   celle de la figure 1, d'une variante de réalisation de la chaussure objet de l'invention; la figure 3 est une vue de dessous de la chaussure; la figure 4 est une coupe suivant la ligne 4-4 de la figure 3; la figure 5 est une vue en plan de la semelle devant être uti- lisée avec la chaussure représentée à la figure 2. 



   Sur la figure 1, la chaussure orthopédique, objet de l'inven- tion, comprend un talon 1 dont la face supérieure présente un creux 2 pour recevoir le tarse 3. On a désigné par a une ligne représentant la surface intérieure d'un talon usuel. 



   Le talon 2, la semelle 6 et la pièce d'articulation 5 sont avantageusement faits d'une seule pièce pour laquelle on peut utiliser comme matière, du caoutchouc naturel, du caoutchouc synthétique, des mélan- ges de caoutchouc ou une matière synthétique élastique. 



   Le bord avant   4   du creux 2 recevant le tarse peut être renforcé ou non et être muni d'une garniture rapportée ou d'un support élastique. 



   En avant de la pièce d'articulation   5,   on.a prévu un renforce- ment ou talon intérieur 7 sur lequel la voûte plantaire prend appui. L'em- peigne de la chaussure est désignée par 9 et le quartier par 10. Ainsi que le montre la figure 1, le quartier est particulièrement bas, étant donné que le tarse 3 repose profondément dans le creux 2 du talon 1. 



   Comme on le voit sur la figure 1, le poids du corps est reporté principalement sur le tarse qui, d'une façon toute nouvelle, se trouve em- boîté dans le talon de la chaussure. La pointe du pied n'a ainsi plus qu'à exercer des fonctions d'équilibrage et, pour une faible part, des fonctions portantes, fonctions pour lesquelles elle est particulièrement adaptée en raison de sa forme naturelle. 



   Par suite de la conformation particulière de la chaussure per- fectionnée, le bord de l'empeigne peut s'appliquer étroitement sur le coup de pied, même si la voûte plantaire n'a pas la forme normale. 



   Le pied bénéficie néanmoins d'une grande liberté de mouvement sur la surface d'appui plastique alors que, dans les chaussures usuelles, il fallait-,pour conférer au pied un maintien suffisant, serrer très forte- ment les lacets, ce qui produisait un abaissement contraignant la voûte plan- taire à occuper une position abaissée pathologique avec tension musculaire, sans pouvoir cependant donner ainsi au pied un maintien suffisant ; 
Suivant la mesure dans laquelle le pied s'écarte de la forme normale, on peut disposer, dans le creux 2, des coussins ayant une épaisseur telle que le niveau de l'intérieur de la chaussure, niveau défini par les parties 4, 5 et   7,   s'adapte à la voûte plantaire plus ou moins concave du pied et ne donne lieu à aucune pression douloureuse.

   Il en résulte que les pieds malades ne sont pas refoulés de bas en haut hors de la chaussure par des pièces rapportées (comme c'était le cas jusqu'à présent) mais sont cin- trés vers le bas et enfoncés dans le creux de logement du tarse par le poids du corps. 



   Lorsque les coussins sont en une matière souple et élastique, la voûte plantaire est constamment anemée et se trouve par conséquent pro- gressivement massée à sa forme naturelle. Au fur et à mesure que les dou- leurs au pied diminuent, on peut utiliser des coussins moins épais ou fi-   nalement   les supprimer. 



   Etant donné que 'les différences individuelles dans la forme du pied peuvent être compensées uniquement par un enfoncement plus ou moins profond du tarse 3, l'intervalle (ligne b) entre la pièce d'articulation 5 et l'empeigne 9   de -la   chaussure reste constamment le même, ce qui fait que la chaussure peut dans tous les cas être complètement fermée et qu'il en résulte un meilleur aspect et un appui pour le pied. De cette façon, non seulement on supprime la compression produite par le laçage des chaussures 

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 normales eton rend au -pied la liberté de mouvement dans la chaussure, mais encore et avant tout on évite la déformation ultérieure de la chaus- sure, son pliage vers le haut ou la formation de plis. 



   Comme on l'a déjà indiquée le quartier peut être sensiblement plus bas que ce n'était le cas jusqu'à présenta le pied restant néanmoins soutenu d'une manière bien plus efficace, 
En outre;, il est possible de réaliser un   'quartier   souple et de faible poids sans que puisse surgir un risque quelconque de bosselle- ment, de déformation, .ou d'un arrachement du quartier. La nouvelle façon dont la chaussure est constituée conformément à l'invention est aussi par- ticulièrement avantageuse pour des escarpins, étant donné que la position enfoncée du tarse dans le creux du talon de chaussure procure une applica- tion. parfaite des parties latérales de la chaussure sur le pied et une bonne tenue du pied, de sorte que-les talons ne s'usent pas sur un seul   coté.   



   Dans les chaussures de dame à talons hauts, le tarse n'est par conséquent pas élevé de la hauteur totale du talon, de sorte que si ce der- nier a l'aspect extérieur   d'un   haut talon, le tarse se trouve néanmoins ré-   lativement   bas. 



   De cette façon le poids du corps. n'est pas reporté sur les os du tarse mais en majeure partie sur les parties souples du pied, en avant du tarse, parties qui prennent appui sur le bord avant   4 du   creux 2 ménagé dans le talon. Ceci présente également l'avantage que la surface de contact du talon 1 s'use d'une manière plus régulière et que le   .dit   talon se conser- ve bien   mieux.   



   Comme on le voit également sur la figure 1, une courbure par- tant du logement surbaissé du tarse s'élève au-dessus de la pièce d'arti-   culation  5 et se raccorde vers   l'avant,   au talon intérieur 7 et soutient ainsi d'une manière nouvelle l'extérieur de l'éminence du gros orteil et les métatarsiens   26   du pied. 



   Ce talon intérieur présente, dans le sens de sa largeur, une épaisseur inégale, comme on le voit particulièrement sur la figure   4.   Du côté extérieur  l'épaisseur   est relativement grande etne croit   qu'insen-   siblement jusque vers le milieu de la chaussure tandis qu'elle diminue assez rapidement vers le côté intérieur et laisse libres les os sésamoïdes du mé- tatarsien intérieur   27.   Vers l'arrière, ce talon intérieur s'étend sur une longueur appréciable vers l'arête extérieure 11 du talon.   Il   en résulte qu'il existe un faible intervalle (ligne c sur la figure   3)   entre l'extré- mité arrière du bord de semelle   12   et le point le plus avancé de la corne 11 du talon. 



   Ceci fait que la pièce   d'articulation   peut être assez légère tout en présentant néanmoins une élasticité et une force portante suffi-   santes.,   Dans certains cas,il peut toutefois être avantageux (en particu- lier dans le cas des pieds plats et d'abaissement de la voûte plantaire) d'augmenter la force portante de la pièce   d'articulation.   



     A   cet effet, on peut incorporer, par   vulcanisation,   dans la matière constituant la pièce   d'articulation.,   un ressort, par exemple un fil d'acier 13 en forme   d'ellipse:,   qui, de préférence, s'étend obliquement vers l'extérieur   depuis   la corne antérieure intérieure 11a du talon   jusqu'     au-dessous   de la corne postérieure 12 de la semelle 6. 



   En plus (ou à la place) du renforcement constitué par le res- sort, on peut également   prévoir,   sous la pièce d'articulation, une saillie 14 formant téton et s'étendant vers le bas d'une quantité suffisante pour venir dans un même plan avec le dessous du talon et de la semelle. 



   Cette saillie ou téton 14 est avantageusement disposée sur la ligne de   liais on d   reliant le point intérieur le plus avance du talon et le point extérieur le plus reculé de la semelle. 



   Gomme on le voit également sur la figure 1, la partie avant ou 

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 bout de la chaussure peut également être agencée d'une manière nouvelle pour donner ainsi un appui particulièrement favorable aux orteils et permettre par conséquent un "déroulement" sans gêne de l'ensemble du pied. 



   Le nouvel agencement, conforme à la présente invention, ressort tout particulièrement lorsqu'on compare la partie de droite de la figure 1 avec la figure la. Dans une chaussure normale, l'empeigne 9, la pointe 15 et la doublure 16 et, dans certains cas, une autre   couche,   par exemple une doublure en cuir 17, sont cousues sur la trépointe 18. Il en résulte un intervalle considérable entre la première 19 et la semelle 6, inter- valle qu'il faut remplir d'une masse de garnissage ou bourrage 20. 



   L'emploi de cette masse de garnissage présente toutefois ce grave inconvénient que le bourrage ne conserve pas sa position pendant toute la durée de là chaussure mais se déplace sous l'action du travail et de la chaleur du pied et a tendance à former des bourrelets. De plus, la distance entre le pied et le sol s'en trouve augmentée, de sorte que la sûreté du maintien et le déroulement du pied au cours de la marche se trouvent gênés. 



   Ainsi qu'on l'a constaté pratiquement, le pied est forcé dans la masse de garnissage et prend une forme pathologique: 
Au contraire, dans la chaussure conforme à l'invention, les bords de la première sont, tout au moins à proximité du bout de la chaussure, re- courbés vers le haut, de sorte qu'entre la semelle 6 et la première 19 re- posant directement sur la dite semelle 6, il existe un intervalle 21 suffi- sant pour insérer, par couture ou par collage, l'empeigne 9, le bout 15, la doublure 16 et éventuellement encore une doublure en cuir 17. De cette façon, on supprime le pli de couture formant bourrelet. La première 19 peut ainsi être placée dans le plan de la trépointe 18 et, dans certains cas, même en dessous de ce plan, étant donné que, suivant l'invention, le bourrage est supprimé.

   De plus, le bord avant 22 et, en partie, les bords latéraux de la semelle proprement dite 6 peuvent être biseautés et amincis vers le haut, de sorte que l'on obtient   une¯'forme   particulièrement avantageu- se et une faible résistance aux mouvements de déroulement, au sol, du pied portant la chaussure conforme à l'invention. A la place de la trépointe 18, on peut également prévoir, en remplacement, une semelle intermédiaire 
De cette manière, on obtient, pour les orteils, dans la partie avant de la chaussure, une certaine tenue et un certain appui, de sorte que les dits orteils participent, d'une manière bien plus efficace que ce n'était le cas jusqu'ici, au travail du pied pendant la station debout et la marche.

   Grâce au travail des orteils, le massage de la voûte plantaire est favorisé par la surélévation que constituent les parties   4,   5 et 7 et permet un développement efficace des muscles et ligaments ainsi qu'une gué- rison d'un pied malade. De toute évidence, ce travail naturel s'oppose aussi et puissamment aux maux pouvant toucher des pieds sains. 



   Pour rendre encore plus clair ce qui précède, on va exposer ci-après les mouvements naturels d'un pied non chaussé sur un terrain na-   turel.   



   Si le sol est, par exemple, constitué-par du sable humide, le tarse imprime d'abord une cavité plus ou moins profonde dans le sol, après quoi la voûte plantaire se déroule et se trouve soutenue et massée par la surélévation se trouvant en avant de-la cavuté précitée. Dès que les or- teils viennent en contact avec le sol, ils s'y   incrustent'et   donnent un meilleur appui au pied sur le sol. La contraction des muscles et des ten- dons correspondants fait se creuser et se soulever la voûte plantaire. 



  Grâce à cette marche naturelle, le pied est protégé des dommages provo- qués par le poids du corps, en premier lieu par son travail musculaire propre et en second lieu par le massage efficace effectué par le sol sur la voûte plantaire. Ces conditions sont limitées d'une manière parfaite par la chaussure conforme à l'invention, ceci indépendamment de la nature du sol. 



   L'effet de massage, d'en bas, sur la voûte plantaire, et le tra- 

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 vail actifdu pied sont   p rovoqués  par la   chaussure.   même sur un sol plan et dur,   étant   donna que le pied tend à   s'incurver,  comme un poing, suivant le mouvement naturel. Pour cette raison, il est grandement en mesure de   supporter   le poids du corps sans être exposéaux dommages. usuels prove- nant de la vie de civiliser au contraire, même avec des pieds déjà abîmés, le poids   du corps.,   en raison de l'abaissement du tarse dans'son appui sur-   baissée   agit avec un certain bras de levier sur l'arête avant 4 du creux   du talon;   dans le sens d'un soulèvement de la voûte plantaire. 



   L'action de la chaussure sur le pied résulte clairement des   considérations suivantes :    
Le tarse enfoncé dans son appui surbaissé est d'abord posé sur 
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 le sol., 9 a.;P...s quoi le pied se déroule obliquanent, de l'intérieur vers 1ex- térieur   par   dessus l'arête avant   4 du   creux du tarse vers le talon inté- rieur 7 d'où   il est   dirigé de   nouveau   vers -l'avant et vers l'intérieur en direction de la proéminence du gros orteil. Il s'ensuit que les orteils., en particulier le gros orteil., sont amenés   à   participer activement au tra- vail du pied,pour maintenir ainsi .en bonne forme l'ensemble du  pied,   par   un   exercice continu.. 



   Le travail des orteils procure encore un autre avantage: 
 EMI5.2 
 1±n raison de l'BJl1incissement 21f du bord avant de la semelle. le sa cérosZe n7sas sur 1 1 ' considéré et l'action des orteilsa tendance tendre la chaussure dans le sens de sa   longueur,   d'a- baisser la pointede la dite   chaussure   et, par   conséquent:,   de .tendre l'em-   peigne   9. Il s'ensuit que les plis de marche sont effacés à   chaque   pas, voire   complètement     évités, en   même temps que se trouve supprimé le mou   désagréable   qui, sans cela, -se produit facilement vers le talon. 



   Par suite du collage, par en dessous, de l'ensemble plastique et orthopédique constitué par le talon 1,la pièce'd'articulation 5 et la semelle 6, tout le bas de la chaussure est achevé d'un coup de presse. 



   L'agencement de la   chaussure   conformément à l'invention donne 
 EMI5.3 
 également lieu, comme on l'a indiqué précéder:1Llent, à des avantages et à des simplifications pour sa fabrication, avantages   et   simplifications qui, entre   autres,   consistent dans le fait que le renforcement normal du bout et du   quartier   peuvent être supprimésde même l'emploi d'un bourrage devient 
 EMI5.4 
 tCS:i.IG?'1?.^v--1¯1t superflu. 



  La Î1'tlre correspond, dans ses détails, a la figure l' sauf que la semelle, le talon intérieur, la pièce   d'articulation   et'le bord du creux réservé au   tarse   comportent des évidements ou cavités 23 ,ayant la   profondeur   que permet l'épaisseur du   chaque   zone où sont prévuesles dites   cavités.   



   Ces   cavités   23 sont reliées entre elles, de préférence de l'a- 
 EMI5.5 
 vant vers l'arriére, par des canaux ou rainures 2.'.-. ' :il est possible   de     prévoir   ces cavités 23 ainsi   que   les canaux on   rainures     2..:-   sur la face   supérieure   de   l'ensemble   monobloc que   constitue   
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 la. semelle 6, l'articulation 5 et le 'uc.lon 1 et de recouvrir ces cavités par une première lisse 17. Dans une r2.r=tc^"iïeles cé.xrités, canaux,-rainures,   etc.,   peuvent également être   prévus   sur la face inférieure   d'une   première 
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 on d'une semelle inter'r1.'3d::!¯8.l.re de l'orme appropriée. 



   Il est   avantageux     de-prévoir   en un point   déterminée   de préfé- rence sur le côte du talon., des   ouvertures     25   grâce auxquelles le système   de   cavités 23, de rainures et de canaux 24   communique   avec l'intérieur de la   chaussure   ou   aussi     directement   avec   l'air     atmosphérique.   Ces orifi- ces 25   peuvent   comporter des   débouchés   relativement étroits. 



   En raison du fait que l'aspiration a lieu (au moment où la 
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 chaussure est soulagée) à partir d'une cavité b.eTLSp'AI8-i'¯qllC,' la vitesse de l'air aspiré est sensiblement inférieure à   celle   de l'air chassé en jets par la pression du pied. Il en résulte que l'aspiration d'eau ou de boue est à peine possible. 

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   La figure 3 montre le dessous d'une chaussure dont le talon 1 comporte des cornes intérieure 11 et extérieure 11a et dont la semelle 6 comporte une corne extérieure 12. 



   Comme le montre clairement la figure, les quatre têtes exté- rieures 26 des métatarsiens sont efficacement soutenues par la semelle 6 et par le talon intérieur 7, tandis que le métatarsien intérieur 27 et les os sésamoides sont libres. 



   La figure 5 est une vue en plan d'un exemple de réalisation de la semelle dont la face supérieure comporte des cavités, des canaux et des rainures 23 et 24 représentés en coupe sur la figure 2. 



   Des différents exemples et détails de l'invention décrits ci- dessus, il est clair, pour tout homme de l'art, que l'invention n'est nul- lement limitée aux exemples représentés sur le dessin, et que l'on peut y apporter de nombreuses modifications de détail sans sortir du cadre de l'invention.

Claims (1)

  1. RESUME.
    La présente invention a pour objet une chaussure remarquable notamment par les points suivants considérés isolément ou en combinaisons ; 1.- La chaussure comporte une semelle, un talon et une pièce d'articulation disposée d'une manière flexible entre la semelle et le talon, lequel talon comporte une creusure qui sert de logement surbaissé au tarse, et également un moyen pour maintenir la chaussure au pied; 2. - la pièce d'articulation mentionnée sous 1 est d'une seule pièce avec le talon ; 3. - la pièce d'articulation flexible forme-une seule pièce avec la semelle; 4. - la pièce d'articulation forme une seule pièce avec la se- melle et avec le talon; 5.- la semelle est prolongée vers l'arrière sur le côté ex- térieur;
    6. - un talon intérieur s'étend partiellement sur la pièce d' articulation,l'agencement étant tel qu'il ne soutienne pas les os sésamoï- des du métatarsien intérieur, mais soutienne les têtes des autres métatar- siens ; 7. - le talon comporte, vers l'avant, un prolongement s'étendant sur au moins une partie de sa largeur ; 8.- le prolongement mentionné sous 7 est constitué par deux cornes sur les côtés intérieur et extérieur du talon, la corne extérieure pouvant s'étendre plus loin vers l'avant que la corne intérieure; 9. - une pièce rapportée en liège ou en tout autre produit ap- proprié est incorporée au talon, au-dessous de sa creusure; 10.- au-dessous de la pièce d'articulation est prévu un téton dont la face inférieure est située dans le même plan que le dessous de la semelle et du talon ;
    11.- au moins le talon et la pièce d'articulation sont en ca- outchouc naturel, en caoutchouc synthétique, en mélange de caoutchouc ou en matière synthétique élastique et la pièce d'articulation'est réalisée ou non avec un renforcement en acier ou un ressort en acier incorporé par vulcanisation ou,logé dans la dite pièce; 12. - la chaussure comprend une première et des cavités ou creux analogues sont prévues dans la semelle ou dans la première, lesquelles cavités sont destinées à procurer une plus grande flexibilité et une aé- ration pour le pied; 13.- les cavités et autres creux analogues ont des formes et/ou <Desc/Clms Page number 7> des dimensions ou une profondeur variables, laquelle profondeur est fonc- tion de l'épaisseur de la semelle;
    14.- les cavités communiquent entre elles par des rainures ou canaux; 15.- les cavités, creux, rainures ou canaux sont prévus dans la semelle tandis que des orifices étroits, prévus dans le talon, débou- chent dans la chaussure ou à l'air libre; 16.- des zones sensiblement triangulaires exemptes de cavités, de creux, de rainures ou de canaux sont prévues à l'avant de la semelle progressivement amincie vers l'avant, d'une première ou d'une semelle in- termédiaire; 17.- la chaussure comprend une première dont au moins le bord avant est cintré vers le haut, bord auquel sont cousus ou collés l'empeigne la doublure et éventuellement le bout qui s'y trouvent noyés;
    18.- la chaussure comprend une première et une semelle inter- médiaire, au moins le bord avant de la dite première étant courte vers le haut tandis que le quartier, la doublure et éventuellement le ou les bouts sont collés, sans bourrelets et sans bourrage, entre la première et la semelle intermédiaire qui remplace la trépointe de la chaussure.
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