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PERFECTIONNEMENTS AUX FILMS SONORES SUBSTANDARDS ET APPAREILS
S'Y RAPPORTANT.
L'invention est relative à des perfectionnements aux films sonores de dimensions en dessous de la normale dits "substandards" et aux appareils s'y'rapportant.
Les films pour la projection cinématographique sont établis en diverses dimensions, qui se différencient entre elles par la largeur de la bande de filma
La plus grande dimension de film, tel que généralement employé dans les cinémas, a 35 m/m de large et est connue sous l'appellation de film standard, alors qu'il existe d'autres di- mensions de film, savoir, respectivement de 17,5 m/m, 16 m/m, 9,5 m/m et 8 m/m de large -qui''sont largement employés dans des buts éducatifs et pour la projection sur de, petits appareils
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dans les écoles, maisons privées, et analogues. Ces films de petites dimensions sont groupés sous l'appellation de films "sub- standards". Cette définition des expressions "standard" et "sub- standard s'applique à toute la description et aux revendications de la présente demande.
Il est bien connu de produire un film substandard par simple réduction optique à partir d'un négatif standard, Dans les films substandards usuels, de vues et'sonores combinés, dans lesquels une bande ou trace sonore est prévale long d'un des cotés du film, et est réduite tant en longueur qu'en largeur, beaucoup de détails de la trace sonore du film standard original se perdent, de sorte que la reproduction est médiocre, en particulier en ce qui concer- ne les fréquences élevées, et la qualité du son est inférieure à celle obtenue d'une trace sonore standard.
Avant l'emploi de films sonores, des images muettes de dimension standard étaient projetées à la vitesse de 30 cms par seconde, ou seize espaces de vue par seconde; cette vitesse procurait l'animation parfaite et était satisfaisante d'un point de vue purement visuel. Mais avec l'introduction de films d'images et sonores combinés, on a constaté qu'une vitesse de 45,7 cms ou 24 espaces de vue par seconde était nécessaire pour obtenir une reproduction sonore satisfaisante à partir d'une trace sonore standard.
On comprendra par suite que la vitesse linéaire de la trace sonore est un facteur important dans l'obtention d'une reproduction efficace.
Les films substandards, projetés à raison de 16 ou même de 24 espaces de vue par seconde, auront naturellement une vitesse linéaire considérablement moindre que 45,7 cms. par seconde et ceci tend à réduire encore plus la qualité de la reproduction que l'on peut obtenir.
Un objet de l'invention est de permettre la projection d'un film substandard à une vitesse .standard, de manière qu'il soit
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susceptible ci/une reproduction sonore égale en qualité à celle d'un film sonore standard.
Un¯autre objet de l'invention est de permettre la projection d'un film substandard sans qu'un ré-enroulement subséquent du film soit nécessaire-
Un autre objet de l'invention est de;permettre le passage d'un film substandard dans un appareil de projection d'une manière telle que l'espace de vue convenable ne puisse man- quer de correspondre avec l'ouverture de vue du.projecteur.
Un autre objet encore de l'invention est de permettre l'im- pression d'un film substandard 'sans qu'il puisse se produire de superposition d'images.
L'invention comprend un film substandard de vues et sonore combiné, caractérisé par une série damages dont l'intervalle d'ma- ge à image est double ou approximativement double, ou plus, de l'intervalle usuel, des perforations d'entrainement dans les espaces entre les images et une trace sonore d'un côté des images, qui est allongée de manière à correspondre avec l'espacement plus grand des vues.
Une caractéristique de l'invention réside dans le fait qu'en ' outre, .rime deuxième série d'images est intercalée entre l,es vues de la première série, et qu'une trace sonore correspondante est prévue pour cette seconde série.
Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait que la seconde série d'images peut être inversée par rapport à la. première série pour obvier à l'inconvénient du ré-enroulement'
Dans les dessins:
Fig. 1 est une représentation schématique d'un film de.vues et sonore combiné, pourvu d'une..,trace sonore et d'une série d'images;
Fig. 2 est une représentation schématique d'un film de vues et sonore combiné, pourvu de deux traces sonores et de deux séries d'images; ,
Fig.3 est une modification de la fig.2;
Fig.4 est une modification du film de la fig.2, pourvu d'une
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perforation supplémentaire)
Fig.5 est une modification du film de la fig.2, pourvu de perforations en forme de fentes;
Fig.6 est une élévation de côté d'un appareil imprimeur à contact, continu, pour trace sonore, montrant le trajet des films standard et substandard à travers l'appareil d'impression; Fig.7 est une élévation de côté d'une roue à dents composite, destinée à être employée dans un appareil imprimeur à contact, continu, de trace sonore;
Fig. 8 est une vue en plan des films standard et substandard passant sur la roue à dents illustrée dans la fig.7j
Fig. 9 est une élévation de face de l'ouverture d'un appareil de projection pour projeter des films substandards.
En se référant aux dessins, le film de la fig.l est constitué par une longueur de bande substandard 10 comportant, le long d'un des côtés, une trace sonore 11 et dans le milieu une série d'es- paces de vues 12, des perforations 13 étant prévues pour entrai- ner le film. La bande 10 est "substandard" en ce qu'elle porte des espaces de vues de dimension substandard, mais la trace sonore
11 est de dimension standard en ce qui concerne tant sa largeur que sa longueur, et la bande est destinée à être entrainée à une vitesse telle que celle normalement employée dans la projec- tion de films standards. Il ressort de ceci qu'en ce qui concerne la trace sonore 11, elle est en tous points exactement analogue à une trace sonore de dimension standard.
Par suite, il est nécessaire que la bande 10 se déplace dans un appareil de prise de vues ou projecteur, à une vitesse standard, c'est à dire à 46,7 cms. par seconde, et il est néces- saire également qu'un nombre correspondant d'espaces de vues, dans le présent cas 24, passe par l'ouverture d'images de l'appareil de prise ou du projecteur. Conformément, l'espacement des images substandards 12 est le même que celui se rapportant à une série d'images standards, et l'espacement des perforations
13 est organisé pour être un multiple convenable de l'espacement
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standard (quatre fois aussi grand dans le présent cas).
Si, par conséquent , un film substandard, tel que représenté dans la fig.l, est passé à la vitesse standard dans un projecteur, dont le guide d'images est pourvu d'une ouverture de dimension substandard, on obtiendra une projection d'images substandards ordinaire tandis qu'en même temps la reproduction du son à partir de la trace sonore du film substandard sera d'une qualité qui antérieurement ne se trouvait associée qu'à des films standards.
Bien que le problème d'obtention d'une reproduction sonore de première qualité, à partir de films substandards, soit ainsi résolu, il est visible que le film substandard du genre représenté dans la fig.l aura un peu plus que deux fois la longueur du film substan- dard ordinaire de 16 m/m 'portant le même nombre d'images, et que la bande comportera une grande -partie d'espace perdu.
La figure 2 montre un film possédant toutes les caractéristiques de celui représenté dans'la fig.l,. mais pourvu également d'une série supplémentaire d'images, 14, uniformément espacées, afin de cons- tituer une série continue d'images, capable de procurer l'animation lors de la projection, et occupant les espaces entre les images .12 de la première série et les perforations 13.
De plus, une deuxième trace sonore 15,-complémentaire de la deuxième série d'images 14, est disposée le long de l'autre bord de la bande.
La deuxième série d'images 14 est placée dans une position renversée par rapport à la première série d'images 12, et l'on comprendra que'lors de la projection, le film peut être entrainé, à partir d'une bobine d'alimentation vers une bobine d'enroulement, de manière que la première série d'images 12 soit présentée dans l'ordre convenable, après quoi la bobine d'enroulement peut être enlevée de l'appareil, sans nécessiter un ré.-enroulement quelcon- que, et immédiatement substituée à la bobine d'alimentation, de sorte que lorsque le film sera de nouveau passé dans le projecteur, il se trouvera dans une position renversée par rapport à son passa- ge précédent, et la seconde série d'images 14 sera projetée dans
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ou droites son ordre correct, le côte convenable en avant/,
et se trouvera, ' automatiquement, convenablement,repérée par rapport à l'ouverture d'image.
Un autre mode de projection d'un film conforme à l'inven- tion consiste à organiser le projecteur de manière que lorsque le film y est passé une fois et est enroulé sur la bobine d'enroule- ment, la direction de mouvement du film est inversée, et il est à nouveau passé à travers le projecteur dans la direction opposée, de manière à être alimenté à partir de la bobine d'enroulement et repris sur la bobine d'alimentation.
Un exemple de film approprié à l'exécution de cette métho- de est représenté dans la fig.3. La bande 10 porte une série d'images 12, disposées d'une manière analogue aux images 12 dans la figure 1, ainsi qu'une trace sonore 11 supplémentaire. Une sé- rie supplémentaire d'images est intercalée entre la première série comme l'a été celle représentée dans la fig.2,mais les images 16 ne sont pas renversées par rapport aux images 12. En outre, on a prévu uneseconde trace sonore complémentaire 17 qui, à nouveau, n'est pas renversée par rapport à la trace sonore 11.
Lorsque le film a été passé à travers le projecteur à la manière usuelle, de manière que la série d'images 12 et la trace sonore 11 aient été présentées, et que le film a été complètement enroulé sur la bobine d'enroulement, la direction du mouvement du projecteur est inversée et l'ouverture de son est déplacée, de manière que dans sa nouvelle position elle explore la trace de son 17. Lorsque le film est passé en arrière à travers le projec- teur à partir de la bobine d'enroulement vers la bobine d'alimen- tation, la deuxième série d'images 16, et la trace de son 17 qui l'accompagne, sont présentées et, comme aucune inversion ne s'est produite soit dans la disposition de la seconde série d'images sur le film, soit dans la disposition du film dans le projecteur, les images 16 seront présentées convenablement.
Lorsqu'on projette de cette manière, il est nécessaire également de déplacer l'ouver- ture du projecteur après que le film u a été passé la première
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fois, ce qui sera décrit plus bas-
Dans la figure 4,.les séries d'images 12 et 14 et les traces sonores 11 et 16 sont disposées pour'la projection d'une manière analogue à celles prévues pour le film représenté dans la fig.2, bien que les images et la trace sonore puissent également bien être disposées comme illustré dans la fig.l ou la fig. 3. Ce film est cependant pourvu d'une série de perforations 18, en plus des perforations 13.
Les perforations 18 presentent entre elles un intervalle qui est quatre fois celui des films standards, mais elles sont disposées dans le centre de la bande, de sorte que le film peut être entrainé à travers la machine par des roues à dents dont chacune comporte une série supplémentaire de dents, en plus des deux séries usuelles déjà prévues dans le but de supprimer la tension sur le film.
La figure 5 montre une autre modification d'un film substan- dard qui porte une ou deux'traces sonores, et une ou deux séries d'images disposées comme montré dans l'une quelconque des figures précédentes, et comportant en outré une série de fentes allongées
19, espacées de quatre fois la distance standard-
De cette manière on voit que des films substandards suivant l'invention peuvent être passés à travers des machines ayant dif- férentes variétés de roues à dents, comme, par exemple, un appa- ceil à imprimer du type sans glissement, dans lequel les. roues à dents des c8tés standard et substandard de l'appareil ne doivent pas être les mêmes.
L'exposition d'un film substandard, avant son développement en vue; de l'impression, peut être exécutée d'une variété de manières bien connues pour produire un film conforme à l'invention.
Considérant d'abord l'impression optique, un positif stan- dard peut être optiquement réduit sur la bande substandard pour obtenir un négatif; à partir duquel un positif substandard peut être produit ultérieurement, ou bien un positif substandard peut être projeté optiquement sur la bande substandard sans réduction.
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Des films substandards conformes à l'invention peuvent égale- ment être produits à partir de substandards positifs ou négatifs identiques, par impression par contact, avec ou sans inversion chimique de l'image. Pour ces méthodes, la seule modification nécessaire aux machines standards est d'y prévoir des moyens d'ali- mentation tels que des roues à dents substandards ayant un pas de denture correspondant à l'espacement des perforations du film, par exemple quatre fois le pas standard.
Il est souvent désirable toutefois d'être en mesure de re- produire une trace sonore à partir d'un film et une série d'images à partit d'un autre film, et les appareils décrits ci-après illus- trent une des manières permettant d'atteindre ce résultat.
La figure 6 montre un appareil imprimeur par contact, dans lequel on désire impimer uniquement une trace sonore standard, à partir d'un négatif standard, sur une bande substandard suivant l'invention, l'impression des espaces d'images comportant une opération différente . Une bande substandard vierge ou non expo- sée 20 est alimentée à partir d'une bobine d'alimentation (non représentée) autour d'un rouleau guide 21, sur une roue à dents d'alimentation 22, et une roue à dents de friction 23, par le travers d'un masque d'impression 24 pourvu d'une ouverture indi- quée en traits interrompus en 25; elle est enmenée par d'autres roues à dents, 26, 27 en passant autour d'un rouleau- guide 28, à une bobine d'enroulement (non représentée).
Un négatif standard 29 est mené autour d'un rouleau-guide 30, de la roue à dents 22, d'une roue à dents,de friction,31 et passe en travers du masque d'impression 24 et au dessus de l'ouverture 25, autour des roues à dents 26 et 27 et sort de l'appareil en passant autour d'un rouleau-guide 32 vers une bobine d'enroulement standard (non représentée). Une source lumineuse, représentée schématiquement en
33, a été prévue pour exposer le film.
Pendant leur passage à travers le dispositif imprimeur, les films substandard et standard se recouvrent dans une certaine mesure et sont maintenus en contact intime contre les roues à
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dents, par des rouleaux auxiliaires 34.
La manière suivant laquelle les films se recouvrent est illus- trée dans les figures 7 et 8. Les roues à dents 22, 26 et 27 com- portent les particularités indiquées dans la figure 7, dans laquelle chaque roue est pourvue de trois séries de dents, 35, 36 et 37.
Les dents 35 et 36 servent à entrainer le film substandard 20 et présentent un pas de denture égal à quatre fois le pas standard.
Les dents 37 sont disposées au pas standard et, avec les dents 36, elles servent à entrainer le négatif standard 29.
Le diamètre de la roue, en 38, est moindre que son diamètre en 39 de deux fois l'épaisseur du film standard, et l'on verra par suite qu'alors que le film 29 est supporté en 38, le film 20 est supporté en 39 et sur la portion.du film 29 qu'il recouvre. Les films sont ainsi disposés, relativement entre eux, de manière que la trace sonore 40 du film 29 se trouve, immédiatement en dessous de la portion 41 du film' 20 qui doit recevoir la trace sonore, et les roues à dents sont disposées de manière telle dans la machine que seule cette bande étroite de film passe au dessus de l'ouvertu- re 25.
Comme il a été indiqué plus haut, dans la projection d'un film tel que celui représenté dans la fig.3, il est nécessaire, après que le film a été passé dans le.projecteur pour la première fois, en projetant ainsi la première série d'images 12, d'inverser la,direc- 'tion de mouvement du projecteur et d'entraîner le film de l'autre façon en retour sur la ,bobina d'alimentation. Lorsque l'extrémité du film a été attéinte après le premier passage, la dernière image de la série 12 est projetée et si l'on désire projeter ensuite la première image de la série 16, il est nécessaire de déplacer l'ou- verture du projecteur, car cette image est voisine de la dernière image de la première série.
Lorsque l'ouverture a été- déplacée pour satisfaire à la condition indiquée, la seconde série d'images peut alors être projetée sans déplacement additionnel de l'ouverture, tandis que les images de la première série sont complètement masquées.
Un agencement pour la réalisation de ce qui précède est repré-
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senté dans la figure 9, qui illustre une portion d'un projecteur standard propre à projeter des films substandards conformes à l'invention.
Dans cette figure, aucun agencement destiné à la présentation de la trace sonore n'a été représenté, car il est bien connu qu'en raison de l'action intermittente du film à l'ouverture de vue, l'ouverture de son doit être située à une distance fixe en avant, en un.emplacement où le film se déplace continuellement.
Une roue à dents 42, de largeur substandard, et comportant deux séries de dents 43 disposées avec un pas qui est quatre fois aussi grand que le pas standard, est placée en dessous de l'ouverture pour amener le film d'une manière intermittente.
Lorsqu'on désire construire un projecteur réversible, tout mouvement intermittent, réversible, connu, peut être employé.
La roue à dents 44, tracée en traits mixtes, indique la position ordinaire d'une roue à dents standard. Le film est mené, au delà de l'objectif ou lentilles,indiqué en 45, sur une autre roue à dents 46.
Immédiatement derrière l'objectif ou lentilles, et légère- ment de côté, on a prévu deux guides verticaux 47 et 48 portant une plaque 49 qui peut glisser librement, en direction verticale, dans les guides. Cette plaque est pourvue d'une ouverture sub- standard 50. L'ouverture standard 51 est indiquée en traits mixtes pour la comparaison. La plaque 49 porte une crémaillère 52 disposée verticalement au long d'un côté, et engrenant avec un pignon 53 capable d'exécuter des mouvements de pivotement autour d'un pivot 54 du guide 47, grâce à une poignée 55 à portée de l'opérateur. Deux butées 56, 57 limitent le mouvement du pignon, et par conséquent de la crémaillère, et ces butées sont agencées de façon telle que, lorsque le pignon vient buter contre l'une d'elles, l'ouverture 50 de la plaque 49 occupe l'une des deux positions représentées.
L'opération de déplacement de l'ouverture au moment requis
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pendant la projection du film peut être exécutée d'un grand nombre d'autres manières, tant manuellement qu'automatiquement. prévu Un mode automatique consiste par exemple' en un moyen d'engagement sur le projecteur et actionné par le film pendant son passage dans le projecteur.
La prise de films conformes à l'invention , directement sur la bande substandard, peut,être aisément réalisée,par adaptation de l'appareil décrit plus haut pour le projecteur, de manière qu'il remplisse une fonction analogue dans'l'appareil de prise de vues, et le film peut être exposé conformément à l'une quelconque des méthodes indiquées plus haut pour la projection-
L'invention comprend également la prise d',images muettes soit sur bande standard ou sur bande substandard, en deux séries intercalées,'afin d'y ajouter ultérieurement une ou plusieurs traces sonores, disposées sur les c8tés de la bande.
Il est bien connu que l'agrandissement ou la réduction (de mettons 5% ou 10%) des dimensions d'un film peut être réalisé très simplement par des moyens optiques et la simple modification de l'appareil employé concurremment permet l'emploi satisfaisant de ce film. En ce qui concerne les dimensions des traces sonores et de séries d'images, de . l'espacement de celles-ci et des .perforations, comme décrit et revendiqué dans la présente spéci- fication, l'approximation peut être réalisée à la manière indiquée plus haut sans se départir de l'esprit de l'invention.
REVENDICATIONS ------------ Résumé= rev. 1+2+7+9 1.- Un film substandard de vues et sonore combiné, carac- +12+17+18 térisé par :une série d'images dont l'espacement d'image à image est double ou approximativement double, ou plus, de l'espacement usuel, des perforations dans les espaces entre les images et une trace sonore d'un coté des images, qui est allongée pour correspon- dre avec l'espacement amplifié des images.