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"Perfectionnements apportés aux machines-outils¯avec outil rotatif, notamment à celles pour travailler du verre, du marbre ou matière analogue ".
L'invention est relative aux machines-outils avec outil rotatifs et elle concerne plus spécialement (parce que cest dans leur cas que son application paraît devoir offrir le plus d'intérêt), mais non exclusivement, parmi ces machi- nes, celles utilisées pour travailler le verre, le martre ou des matières analogues.
Elle a pour but, surtout. de rendre ces machines telles que tout en étant constituées d'une manière simple, pratique et peu encombrante, elles répondent, mieux que jus- qu'ici, aux divers desiderata de la pratique*
Elle consiste, principalement, à faire!comporter, aux machines du genre en question, un bâti articulé portant, d*une part, le mécanisme d'entraînement, par exemple un moteur, et,
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d'autre part, une tête agencée de manière telle, qu'on puisse y adapter, successivement ou simultanément, des outils ayant des fonctions différentes, ou des supports pour des pièces à travailler, de façon à obtenir ainsi une machine-outil avec outil rotatif, du genre dit *universel*.
Elle consiste, mise à part cette disposition princi- pale, en certaines autres dispositions, qui s'utilisent de préférence en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après, notamment: en une deuxième disposition -- plus specialement relative au cas où le support de l'outil ou de la pièce à travailler, doit suivre une trajectoire déterminée et, par exemple, curvi- ligne-- consistant à faire comporter, au bâti articulé des machines du genre en question, un dispositif de guidage, basé sur le principe du pentographe et qui, par une commande à la main ou automatique, permet de diriger ledit support le long de la trajectoire qu'il doit suivre;
en une troisième disposition-- plus spécialement relati- ve au cas où le support de l'outil ou de la pièce à travailler doit suivre, pendant son travail, une trajectoire curviligne-- consistant à faire agir, sur ledit support, des moyens, com- mandés à la main ou automatiquement, par lesquels le support peut être orienté différemment pour suivre tangentiellement la
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trajectoirell=escrite; en une quatrième disposition -- consistant à monter le support de l'outil ou de la pièce à travailler sur la tête, des machines du genre en question, par l'intermédiaire d*un dispositif à cardan, de façon à permettre que ledit support puisse occuper une position oblique par rapport à son arbre
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d'entrainement, sans que la liaison avec ledit arbre soit in- terrompue;
en une cinquième disposition -- plus spécialement rela- tive au cas où le support de l'outil ou de la pièce à travail- ler doit suivre une trajectoire suivant un mouvement rectili-
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gne alternatif consistant à guider ledit support le long une tige filetée coopérant avec un manchon rotatif/par le mécanisme moteur, dont le sens de marche est inversé, de pré férence, par des moyens (électriques ou mécaniques), de posi tion réglable,
sur lesquels agit ledit manchon aux exttémités de sa course= en une sixième disposition -- plus spécialement relative au cas ou le support de l'outil ou de la pièce à travailler doit effectuer un déplacement alternatif d*amplitude réduite -- consistant à commander automatiquement les déplacements dudit support par une came dé position réglable ; en une septième disposition consistant à établir, sur un même support, plusieurs outils ayant des caractéristiques identiques ou différentes et à entraîner lesdits outils par un mécanisme moteur commun et par l'intermédiaire de dispositifs daccouplement amovibles;
et en une huitième disposition, consistant à établir, sur le bâti des machines du genre en question, un support pour au moins une pièce à travailler et qui, suivant la position don- née audit bâti, peut venir occuper un emplacement pour lequel il est travaillé par au moins un outil porté par un bâti dis- tinct et qui peut faire partie d'une série doutils groupés au- tour dudit bâti.
Elle vise plus particulièrement certains modes d'ap- plication ainsi que certains modes de réalisation desdites dispositions; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux; les machines-outils du genre en question, comportant application de ces mêmes- dis- positions, les éléments et outils spéciaux propres à leur éta- blissement, les installations comportant de semblables machi- nes, ainsi que les articles en verre, en marbre, en métal ou en toute autre matière, travaillés à l'aide de ces machines,
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des
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dessins ci-annexés, lesquels complément et dessins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication.
Les fige 1 et 2, de ces dessins, montrent, respecti- vement en élévation (parties en coupe) et en plan, une machine établie conformément à l'invention et agencée pour fonctionner avec des meules ou analogues.
Les fig. 3 et 4 montrent, à plus grande échelle, res- pectivement en coupe verticale suivant III-III fig. 4 et en coupe horizontale suivant IV-IV fig. 3, la tête de cette même machine.
La fige 5 montre, en élévation (parties en coupe), la tête de cette même machine, sur laquelle est montrée une meule ou analogue orientable par rapport à l'axe d'entraîne- ment.
Les fige 6 et 7 montrent, respectivement en plan et en vue de coté, un dispositif qu'on peut faire comporter à la machine selon les fige 1 à 5, au cas où l'outil doit suivre une trajectoire rectiligne alternative.
La fige 8 montre, en vue de coté, une variante de cette dernière disposition pour obtenir un mouvement alterna- tif d'amplitude plus limitée, cornue dans le ces du polissage.
Les fig. 9 et 10 montrent, à plus grande échelle et toutes deux en élévation (parties en coupe), une partie de la tête de la même machine montrée sur les fige 1 et 2 et sur laquelle on a monté un outil traceur ou coupant (fig. 9) ou un outil perforateur (fig. 10).
Les fige 11 et 12 montrent, respectivement en vue de coté (part-ies en coupe) et en plan, un dispositif à faire com- porter à la même machine, pour faire suivre automatiquement, à un outil, une trajectoire en forme de courbe fermée (ovale).
Les fig. 13 et 14 montrent, respectivement en éléva- tion (parties en coupe) et en coupe transversale selon XIV- XIV fige 13, une autre disposition applicable au cas où la ma- chine selon les fige 1 et 2 comporte plusieurs outils dis-
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Les fig. 15 et 16, enfin, montrent, en vue de côté (parties en coupe) selon XV-XV dig. 16 et en coupe horizontale XVI-XVI fig. 15, une autre application de la machine établie conformément à l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement selon celui de ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de r.éali- sation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant de réaliser une machine-outil convenant au travail du verre, on s'y prend com- me suit, ou de façon analogue.
Sur un support approprié 1, tel qu'un mur, un bâti fixe, un bâti mobile, ou autre, on monte, par l'intermédiaire d'un axe vertical 3, une console 4 sur laquelle on établit le moteur d'entraînement 5, par exemple un moteur électrique, ou toute autre transmission motrice appropriée. Avantageusement on monte ledit moteur 5 sur la console 4, à proximité de l'axe vertical 5 et on le suspend par l'intermédiaire de bretelles 51 à ladite console.
A l'extrémité libre de la console 3, on articule, à un deuxième axe vertical 6, un châssis 7, sur l'extrémité li- bre duquel on monte, d'une manière amovible, la tête 8 de la machine-outil. A cet effet on termine le bras 7 par un manchon vertical 9 dans lequel on loge un deuxièmmanchon 10, suscep- tible d'être déplacé axialement dans le premier, tout en étant empêché de tourner grâce à un ergot 11 (fig. 3), engagé dans une rainure longitudinale. Le déplacement axial du manchon intérieur 10 est obtenu par l'intermédiaire d'une crémaillère 12 et d'un pignon ou secteur denté 13 dont l'axe 14 porte un levier de commande 15 avec un contrepoids 16.
Dans le manchon intérieur 10 peut tourner librement l'extrémité supérieure d'un arbre vertical 17 qui porte la tête 8 de la machine, des moyens appropriés tels qu'un emboîte- ment conique étant prévu pour empêcher tout déplacement axial de l'arbre 17 par rapport au manchon intérieur 10 et pour per-
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mettre, néanmoins, un démontage aisé de l'arbre 17 et, par suite, de la tête 8. En outre, on maintient sur l'arbre 17 un collier 44, fixé d'une manière amovible, par l'intermédiaire de boulons 45, sur une glissière qui permet les déplacements verticaux de la tête 8.
Sur l'arbre 17 est celé l'organe d'entraînement par le moteur 5, et qui pour l'exemple montré, est constitué par une poulie 18, sollicitée par une transmission à courroie 19.
Il résulte de ce qui précède, que si on amène le bras 15 dans la position montrée sur les fige 1 et 2 et si on immobilise ledit bras dans cette position par l'intermédiaire d'un verrou à tessort 21 susceptible de s'engager automatiquement derrière une partie fixe du châssis 7, on soulève simultanément, par le pignon 13 et la crémaillère 12, le manchon intérieur 10 ainsi que la tête 8 de la machine, pour l'amener à la position mon- trée sur les fig. 1 et 3, ce qui écarte le ou les outils, tels que la meule 201; de la pièce à travailler.
Par contre, en libérant le verrou 211, par exemple en agissant sur le déclic 22, le bras 15 est libéré et la tê- te 8 peut descendre jusqu'à venir en contact avec la pièce 2 en faisant agir l'outil avec une pression qui dépend de la position donnée au contrepoids 16. Le cas échéant, on peut adjoindre à la tête 8 un deuxième contrepoids par lequel on équilibre, tout au moins en partie, le poids de la tête 8, ce qui permet de faire varier la pression de l'outil 201 sur la pièce 2 depuis une valeur très réduite jusqu'à une valeur aus- si grande que jugée nécessaire.
Sur les fig. 1 à 4 on a montré, dans le prolongement de l'arbre 17, un outil 201 de forme cylindrique et destiné à être entraîné autour de son axe 21, place horizontalement, ledit outil pouvant être constitué par une pierre, un émeri, un feutre ou tout autre outil fonctionnant dans les mêmes con- ditions et qui convient au travail du verre, des miroirs ou des glaces. Pour faire tourner ledit outil autour de son axe 21, on fixe sur 1*extrémité inférieure de l'arbre 17, par
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exemple par des bras 22, une pièce annulaire 23, à un axe ver- tical et dont le bord inférieur comporte une denture conique 24.
On fait engrener cette denture avec un pignon 25, qui en- traîne l' axe 21, de l'outil 201 par l'intermédiaire d'un bout d'arbre 26 et d'un carré 27 ou analogue. Le bout d'arbre 26 prend appui, de préférence par l'intermédiaire d'un palier à billes, sur une pièce transversale 29, qui contourne l'outil 201 par le haut et qui est empêchée de se déplacer axialement par rapport à l'arbre 17 par des butées à billes et par des saillies 30 qu'on fait comporter intérieurement aux bras 22, ladite pièce 29 ne tournant donc pas avec ledit arbre. Sur la fig. on a désigné par 31 un logement axial, ménagé dans la- dite pièce 29 et dont le fond est constitué par un carré 32.
Ce logement est utilisé pour le maintien d'outils d'un autre genre, comme il sera expliqué ci-après à propos des fig. 5, 9 et 10, mais n'intervient pas pour l'appliation décrite en ce moment.
L'autre extrémité de l'axe 21 repose, également par l'intermédiaire d'un palier à billes, dans un logement axial ménagé dans un bouton moletté 28, vissé dans ladite pièce transversale 29, de sorte que le montage et le démontage de l'outil 201 sont rendus très simples et aisés.
Dans certains cas, on est amené à.faire tourner l'outil 20 , en plus de son mouvement de rotation, par rap- port à son axe 21, autour de l'arbre vertical 17, ce qui
1 se présente, notamment, quand l'outil rotatif 20 ,auquel on donne d'ailleurs une forme appropriée, est utilisé pour ména- ger une encoche ou cavité dans la pièce 2 ou pour percer un trou dans celle-ci.
Une telle rotation, qui a lieu à une vitesse rela" tivement lente, peut être obtenue, conformément à la présente invention, en calant, en un point intermédiaire sur l'arbre 17, un manchon 35 dont la face extérieure est constituée par une vis sans fin 36, dont le mouvement est transmis, par un
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des engrenages démultiplicateurs 37, à une roue dentée 38, enta- gée librement sur ledit arbre 17 et sur laquelle est calé un bras radial 39.
Ledit bras peut être rendu solidaire, par l'in- termédiaire d'une entretoise 40, de lextrémité extérieure de la pièce 25 en étant engagé, par exemple, sur un carré 41 que comporte ladite pièce* Il en résulte que la roue dentée 38, et, avec elle, l'axe 21 de l'outil 201 sont entraînés, d'une manière continue, autour de l'arbre 17 et que ledit outil ef- fectue les deux mouvements de rotation désirés. Les engrenages démultiplicateurs- 37 sont montés, d'une manière aisément amovi.
, ble et par exemple par des crous 33 (fig. 2) sur un support
34 solidaire de la tête 8.
Il peut être avantageux de monter l'outil 20par l'intermédiaire d'écrous 42, engagés de part et d'autre de l'outil, sur des parties filetées 43 de l'axe 21. Par cette disposition on peut, non:=seulement, remplacer aisément l'ou- til mais on peut, également, lui faire occuper une position axiale déterminée par rapport audit axe, ce qui, dans le cas envisagé en dernier lieu, permet d'obtenir une encoche ou un trou -- à ménager dans la pièce 2 -- qui a des dimensions plus ou moins grandes suivant l'écartement choisi entre le centre théorique de l'outil et l'axe théorique de l'arbre 17.
Dans le cas où on veut faire abstraction du deuxième mouvement de rotation de l'outil 201, c'est-@-dire celui au- tour de l'arbre 17, il suffit d'enlever, par dévissage.de s é- crous 33, au moins une des pièces de la transmission 37 pour interrompre la liaison entre la vis sans fin 36 et la roue den- tée 38.
La disposition, telle que décrite ci-dessus, permet encore une autre application intéressante, qui est montrée également sur les fig. 1 à 4. Il s'agit, notamment, d'un ou- 2 til 20 constitué par exemple par une meule tronconique, éta- bli et entraîné en un endroit nettement écarté de l'arbre 17.
Il suffit, à cet effet, de donner au bras radial 39 une lon-
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gueur suffisante pour que ]*entretoise 40, en étant déplacée jusquà l'extrémité libre dudit braspuisse servir dappui à un bout d'un arbre intermédiaire 46, fileté sur toute sa longueur, l'autre bout dudit arbre étant engagé sur le carré 41 de la pièce 26. De cette manière on obtient la rotation de
2 l'outil 20 autour de son axe horizontal, par entraînement à l'aide de la pièce 26. Le filetage de l'arbre intermédiaire 46 permet, dailleurs, d'écarter l'outil 202 plus ou moins de l'arbre 17.
D'un autre côté, si on désire que 1 outil 20 tour- ne également autour dudit arbre 17, il suffit de faire inter- venir l'entraînement par la transmission 37 pour obtenir le mouvement désiré. On peut ainsi effectuer le travail de glaces circulaires, d'un diamètre plus ou moins grand, ou découper, dans la glace, des orifices circulaires dont le rayon est in- férieur à la longueur du bras 39.
En plus des deux mouvements rotatifs, dont question plus haut, on désire pouvoir déplacer l'outil 21 ou 202 sur la pièce 2 à travailler, suivant une trajectoire déterminée, qui peut être rectiligne, dans un seul sens ou suivant un mou- vement alternatif (polissage, biseautage, chamfreinage de par- ties droites) ou qui peut être curviligne en formant une cour- be fermée (ovale, ellipse etc. ) ou ouverte, des parties cour- bes de la trajectoire suivie pouvant d'ailleurs se raccorder à des parties rectilignes. cet effet et grâce au montage de la tête de la machine-outil sur un support articulé 4-7, on peut obtenir le déplacement de l'outil dans le sens voulu et suivant une direction convenable, par des moyens très simples et très ef- ficaces.
On peut, dans une partie tubulaire 47, prévue à l'ex- trémité libre du châssis (fig. 1 à 3, engager un manche ou bras de manoeuvre (non montré)qui permet à un ouvrier de dé- placer l'outil à volonté sur la surface de la pièce à tra- vailler, la double articulation 3 et 6 du support 4-7 de la
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machine permettant l'accès à une surface très grande de la pièce, sans qu'on éprouve une difficulté à effectuer ces dé- placements.
On peut également -- et ceci constitue une caracté- ristique particulièrement importante de l'invention dépla- cer la tête 8 de la machine-outil à l'aide d'un dispositif de guidage, basé sur le principe du pentographe et comportant, en coopération avec les deux parties articulées 4 et 7 du support, deux pièces ou lames 48 et 49 articulées entre elles au point 50, la lame 48 étant reliée, à son autre extrémité et par l'intermédiaire d'un pivot, à un coulisseau 51 qui peut cou- lisser librement sur une tringle 52, rendue* solidaire du châs- sis 7 et parallèle à celui-ci. Par contre, l'extrémité libre de la lame 49 peut coulisser dans une pièce 53, qui peut pivo- ter sur un axe porté par la console 4.
En un point approprié
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e l'ensemble articulé, ainsi réalisé, à proximi- té de l'articulation 50, on monte, d'une manière réglable, un pointeau 54, dont l'extrémité libre est, avantageusement, ter- minée par une flèche 551, la longueur dudit pointeau étant tel- le que ladite flèche puisse être déplacée le long d'un gabarit ou dessin, à échelle convenable, posé sur une table ou un pla- teau en dessous du pentographe. Louvrier, en faisant suivre. par la ±lèche, la ligne, de forme plus ou moins complexe, tra- cée sur le gabarit, provoque en même temps le déplacement de l'outil.20 1 ou 202 ou tout autre,monté sur la tête 8 de la ma- chine, et peut ainsi exécuter sur la pièce 2 le travail dési- re.
uand l'outil doit suivre une trajectoire curviligne, il est généralement nécessaire que ledit outil soit constamment orienté suivant la tangente à ladite ligne* A cet effet on mon- te sur le pointeau 54, une roue conique 55-'et un bouton 57, à l'aide duquel l'ouvrier peut orienter constamment la flèche du pointeau suivant la tangente à la courbe constituant le gaba- ri. La roue conique 56 agit sur une transmission souple 58
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qui, elle-même, aboutit, comme visible sur la fige 5, à une roue dentee 59 qu'on monte, par une vis 60, sur le support 34 des engrenages démultiplicateurs 37 et à la pla- ce de ceux-ci.
Cette roue dentée 59 engrène constamment avec la roue 38 qui, pour l'exemple montré sur les fige 1 à 4, sert faire tourner l'outil autour de l'axe théorique de l'arbre
17. Par cette commande à distance on parvient ainsi à orienter l'outil dans le sens convenable puisque son orientation cor- respond, à tout instant, à celle que l'ouvrier donne à la flè- che 55.
On constate que, de cette manière, on peut faire suivre à l'outil avec certitude et sans difficulté des trajec- toires ayant des formes très simples ou très complexes, régu- lières ou irrégulières, quelles que soient la fonction de l'outil et la nature de la pièce à travailler. Comme l'ouvrier ne doit consacrer son attention qu'au chemin qu'il fait suivre par la flèche du pointeau, et que les autres opérationsse font automatiquement et de la façon voulue, le travail 'peut être exécuté rapidement et d'une manière très soignée.
Pour l'exemple montré sur la fig* 5, on a admis que
3 l'outil 20 , au lieu d'être entraînée par l'arbre 17, autour d'un axe 21.,%,perpendiculaire audit arbre, doit tourner autour d'un axe confondu avec celui de l'arbre 17. A cet effet, on enlève la roue d'entraînement 25 ainsi que l'axe d'entraînement
21 et on remplace ce dernier par un plateau de guidage 61, prenant appui sur la pièce transversale 29 et au centre duquel on fait passer la queue 62 de'l'outil, qu'on engage dans le logement 3132 dont il a été question plus haut, l'outil étant maintenu en place par une rondelle 63 fixée sur la pièce trans- versale 29 par des vis. De cette manière on obtient un entraî-
3 nement direct de la queue 62 par l'arbre 17.
L'outil 20peut être calé directement sur la queue 62 ou il peut être relié à celui-ci par un cardan 64, ledit outil étant maintenu dans une .position déterminée par l'intermédiaire d'une pièce 65, cour-
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bée en arc de cercle qt qui peut être immobilisée par rapport à un support fixe 66.
La pièce courbée 65 est elle-même re- liée à l'outil par l'intermédiaire d'un collier 67 convenable- ment retenu et qui n'empêche pas la rotation dudit outil-
Pour pouvoir orienter l'outil suivant des directions différentes, par l'intermédiaire de la commande 38, 39, 40 sur laquelle agit le train d'engrenages 37 (fig. 1 à 4) ou la transmission souple 58 (fig. 5), on monte le support fixe 66 sur le plateau de guidage 61 ou sur la pièce transversale 29 de façon qu'on puisse non seulement donner à l'outil une in- clinaison invariable par rapport à l'arbre 17 mais qu'on puis- se, en outré, obtenir un déplacement du flanc de l'outil sui- vant une génératrice du cône sur lequel se trouve la surface inclinée à façonner.
Pour l'exemple selon les fig. 6 et 7 on a admis que l'outil doive suivre une trajectoire rectiligne, avec mouve- ment alternatif, ainsi que cela se produit, par exemple, pour le biseautage ou le chanfreinage du bord rectiligne d'une gla- ce. Dans ce cas, on établit, à proximité de la tête 8 de la machine, un support fixe 68 sur lequel on monte une tige file- tée 69 dont la longueur est supérieure au chemin que l'outil doit parcourir. Sur ladite tige filetée, qui est immobilisée dans ses paliers 72, est engagé-: un manchon taraudé 70, dont la face extérieure porte une couronne dentée 71, entrafnée constamment par une des roues dentées de la transmission 37, dont question au sujet de la fig. 1.
Si la partie de la pièce
2 à travailler -- par exemple le bord à biseauter-- est dis- posée parallèlement à la tige de guidage 69, il est évident que, lors de la mise en marche du moteur 5, on obtient non seulement la rotation de l'outil autour de son axe mais égale- ment le déplacement de l'ensemble le long de la tige filetée
69. De préférence on monte les paliers 72 de ladite tige 69 de façon que leur position par rapport au support 68 puisse être réglée en hauteur- D'autre part, lesdits paliers pren- nent, avantageusement appui sur ledit support par des moyens
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élastiques, tels que'des ressorts 73.
Quand le manchon 70 est arrivé au bout de sa course, la marche du moteur 5 peut être inversée par une manoeuvre de l'ouvrier qui surveille le travail, toutefois il est préféra- ble de prévoir, aux deux extrémités de la course, des contacts électriques 74 qui, par des moyens appropriés, tels que des relais électriques, provoquent automatiquement l'inversion de marche. La position des contacts 74 est, bien entendu, régla- ble de'façon qu'on puisse prévoir entre eux un écartement qui dépende de la longueur de la pièce à travailler.
Sur la,fig. 8 on a montré une autre réalisation de même genre suivant laquelle la vis sans fin 36 de la fig. 1 entraîne une roue dentée 75 calée sur un axe 76 porté par un support 77, monté d'une manière amovible sur la tête 8 de la machine* Sur ledit axe 76 est également fixéeune came 78, avec rainure hélicoïdale 79 coopérant avec un galet 80 porté par un manchon taraudé 81, vissé sur la tige file-tée 69 des fig.
6 et 7. Le manchon est immobilisé par la tige 69 et, par suite de l'entraînement de la came hélicoïdale 78(la tête 8 ainsi que l'outil sont déplacés suivant un mouvement alternatif, d'amplitude réduite, ce qui convient, notamment, au polissage.
En faisant tourner la tige filetée, à l'aide d'un volant ou d'une manivelle (non montré) on peut d'ailleurs modifier ai- sément la position relative de l'outil par rapport à la pièce à travailler sans influencer le mouvement alternatif dudit outil.
Sur la fig- 9 on a montré une autre application de l'invention suivant laquelle, sur le plateau 61 de la tête 8 constitué comme indiqué sur la fig. 5, on fixe un outil tra- . -4 ceur ou coupeur, tel qu'un diamant 20 Cet outil ne tourne . pas comme pour les autres exemples autour de son axe mais il peut être dirigé par le pentographe 48-49 et orienté à volonté par la commande 38-39-40 (ces dispositifs étant montrés sur Lesfig. 1 à 5) de sorte que cette application peut être con-
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sidérée comme faisant également partie de l'invention.
Sur la fig. 10 on a montré une autre application de l'invention suivant laquelle on monte, sur la tête 8 de la
5 fig. 5, un outil perforateur ou perceur 20 , dont la tige 62 est entraînée directement par l'arbre 17 et est guidée par le plateau 61 susdit. La vitesse de rotation d'un tel outil est, bien entendu, choisie d'une manière convenant au travail à effectuer.
Sur les fig. 11 et 12 on a montré une application de l'invention suivant laquelle le dispositif de guidage (pen- tographe) de la tâte 8 de la machine est agencé de façon à permettre le traçage ou le travail suivant des courbes fermées en forme d'ovale, sans que l'ouvrier ait à intervenir pour di- riger un pointeau -- tel que celui désigne par 54 sur la fig.
1 -- le long d'un gabarit déterminé.
A cet effet on monte en un point approprié du pento-
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mr t----graphe, par exemple sur la lame 48Và proximité de l'articula- tion 50, un bras 82 dont l'extrémité libre est engagée, de préférence d'une manière réglable, dans un bouton b3, calé sur un axe 84 portant un excentrique 85 dont deux points, @iamé- tralement opposés de la périphérie,sont en contact, simultané- ment, avec deux parois parallèles fixes 861 et 86 2 d'un sup- port fixe 86. La paroi plane supérieure dudit support comporte une fente transversale 87 dans laquelle ledit axe est engagé.
Sur l'axe 84 et également calée une roue dentée 88 engrenant avec une vis sans fin 89, montée sur un arbe 90 entraîné sui- vant un mouvement de rotation continue par des moyens ùécrits ci-après- L'ensemble constitué par l'axe 84, l'excentrique 85 et les moyens d'entraînement 88-89 sont montés sur un chariot 91, qui est guidé, sur la paroi supérieure du support 86 par une glissière 92. quand l'axe 84 tourne, l'excentrique 85, en restant engagé entre les parois fixes 861 et 862, fait effec- tuer audit axe un mouvement alternatif dans la fente 87 et par ce déplacement combiné, l'extrémité du bras 82, reliée au pen-
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tographe, décrit une courbe fermée, en forme d'ovale et qui est indiquée en 93 sur la fig. 12.
Afin de pouvoir modifier la forme de la courbe, ce qu'on obtient en adoptant une excentricité différente, on mé- nage dans l'excentrique deux fentes parallèles 94 et 95- Dans une desdites fentes est engagé l'axe 84 et dans l'autre une vis de blocage 96 portée par un disque auxiliaire 97 rendu également solidaire de l'axe 84. S@ on desserre la vis 95 on peut faire coulisser l'axe 84 par rapport.à lexcentrique 85 pour modifier ainsi la valeur de l'excentricité.
On comprend aisément que plus cette valeur diminue et plus la forme de l'ovale se rapproche de celle d*une circonférence*
Pour obtenir un entraînement continu de l'arbre 90, malgré le mouvement alternatif du,chariot 91, on peut avoir recours à un entraînement par courroies 98 dont les poulies sont portées par des bras 99 articulés entre eux, un moteur électrique 51 (ou une transmission appropriée) étant utilisé pour entraîner les courroies 98.
En outre on a monté, sur l'extrémité libre du bras 82 qui décrit la courbe fermée 93, un engrenage conique 55 qui engrène le pignon 56 de la transmission souple 58, pour orienter automatiquement l'outil suivant la trajectoire cur- viligne qu'il doit suivre.
Dans ce qui précède, il a été constamment question d'un outil conique, monté sur la tête 8 de la machine, cet ou- til pouvant tourner sur lui-même autour d'un axe horizontal, vertical ou oblique et avoir une forme cylindrique, tronconique, bitronconique ou autre.
En'*plus de ce mouvement rotatif, on a prévu, dans certains cas, une rotation ou une orientation variable autour de l'arbre principal 17 ainsi qu'un déplacement de l'ensemble de la machine par le mouvement ou la déformation de son sup- port articulé 4-7, ce dernier déplacement étant obtenu, sous
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oc.. a aommande d+un ouvriervpar 1*intermédiaire d'un e,4-1 * ma-
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noeuvré par l'ouvrier ou automatiquement*
Il est bien entendu que la machine selon l'invention convient également au travail simultané avec plusieurs outils ou éléments de travail, comme il est d'un usage courant dans les miroiteries et les usines travaillant ou façonnant le ver- re ou analogue et toutes les dispositions indiquées plus haut, s'appliquent avec les mêmes avantages à un tel travail à l'ai- de plusieurs outils ou éléments.
En ce qui concerne la pièce à travailler 2, celle-ci est supportée, de la manière ordinaire, par des tables ou ca- dres diversement orientables et inclinables et qui peuvent ê- tre supportés par des bâtis fixes ou mobiles. Pour immobiliser la pièce à travailler, tout en lui donnant une inclinaison con- venable,- on a recours aux moyens habituels tels que des vis de blocage, des crochets, des ventouses etc.. L'inclinaison, qu'on est amené à donner au support de la pièce 2, dépend -- par exemple dans le cas du biseautage -- de la valeur de l'an- gle à biseauter, à l'aide d'un outil cylindrique, la forme du- dit outil étant ainsi indépendante de l'angle à obtenir.
Pour le chanfreinage, la pièce 2 est, de préférence, travaillée en étant placée de champ. [Sur les fig. 13 et 16, on a admis que la tête 8 de la machine ---7-qu'on suppose être guidée suivant un mouvement rectiligne alternatif le long de la tige filetée 69 des fige 6 et 7 -- porte plusieurs outils tels que 206, 207 et 208 supportés symétriquement par rapport à l'axe.de la machine par l'intermédiaire d'un longeron 100, perpendiculaire à l'arbre 17. Les outils peuvent être identi- ques entre eux ou peuvent être de constitutions différentes, les uns pouvant servir au dégrossissage ou doucissage et les autres au meulage, au polissage etc.
En outre on sarrange pour que les différents outils puissent travailler simultané- ment ou qu'on puisse, à volonté, mettre chacun de ceux-ci en ou hors action.
Le mode d'entraînement des différents outils, ainsi
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que leur accouplement au mécanisme moteur, tels que montrés sur les fige 13 et 14,ne sont, évidemment, donnés qu'à titre d'exemple, car on peut aisément imaginer d'autres dispositifs qui rempliraient les mêmes fonctions*
On a admis que l'arbre 17, entraîné , par l'inter- médiaire d'un engrenage 101, et d'une vis hélicoïdale, un ar- bre horizontal 102, portant d'autres roues dentées 103 des-
7 8 tinées respectivement à actionner les outils 20 et 20 . L'ou-
6 til central 20 est commandé directement par l'arbre 17, com- me sur la fige 5.
Par,contre, pour chacun des outils latéraux
7 8 20 et 20 on fait engrener la roue 103 avec un pignon 104 calé sur une pièce tubulaire 105 dans laquelle est engagée la queue 62 de l'outil correspondant* Ladite queue 62 porte un cône d'embrayage ou analogue, avec lequel coopère une couronne de friction 107 qui est entraîné en rotation par la pièce tu- bulaire 105.
A cet effet ladite pièce 105 commande un manchon 106 par l'intermédiaire d'une nervure 107 engagée dans une fente longitudinale 108 de ladite pièce, de façon que ledit manchon 106 puisse coulisser axialement sur ladite pièce mais soit constamment entraîné en rotation par celle-ci:
Le déplacement axial du manchon est obtenu par exem- ple, par l'intermédiaire d'un levier 109 sur lequel agit un poussoir 110, engagé dans un logement 111 ménagé dans le lon- geron 100, ledit poussoir pouvant être immobilisé dans l'une ou l'autre de ses positions caractéristiques, par exemple par l'intermédiaire d'un ergot 112 qui p@nd appui sur la face su- périeure ou inférieure dudit longeron et qui peut traverser le logement 111 en passant dans une rainure 113 dans laquelle il s'engage après une rotation de 90 du poussoir.
Le levier 109 agit sur le manchon 106 par l'intermédiaire d'une fourchette 114 ou analogue.
Entre le manchon 106 et la pièce tubulaire 105 est logée une deuxième pièce tubulaire 115,entraînée par ledit
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manchon 106 emporte à son extrémité inférieure la couronne
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de friction 107, dont question ci-dessus* Un ressort 116 tend à écarter les pièces 106 et 115 axialement l'une de l'autre
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-f----et met la couronne 107 élastiquecn contact avec le cône d'em- bra@age 117, quand le poussoir 110 occupe sa position d'em- brayage.
Un certain jeu 118 subsiste entre les pièces 106 et 115 pour permettre au ressort 116 d'appliquer élastiquement l'outil sur la pièce à travailler. lorsque le poussoir 110 est abaissé et occupe ainsi sa position de débrayage, le manchon 106 est d'abord soulevé et, ensuite, la pièce tubulaire 115 est entraînée par le rebord inférieur du manchon 106, ce qui écar- te la couronne 107 du cône d'embrayage 117. La liaison est ain- si interrompue entre l'outil et son mécanisme d'entraînement.
On a indiqué plus haut que la pression convenable de l'outil ou des outils sur la pièce 2 est obtenue par l'inter- médiaire d'un contrepoids 16 ou analogue agissant sur le bras 15. Dans le cas où on utilise plusieurs éléments sur la même machine, les ressorts tels que 116 interviennent pour rendre les pressions,exercées par ces éléments, homogènes entre el- les ou, au contraire, différentes entre elles.
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Sur les fige 15 et 16, on a monté l'outil 20 ,,-rota- tif sur une. bât indépendant 120, alors que la tête 8 de la machine porte, par l'intermédiaire d'un support appro- prié 121, les pièces à travailler 2, par exemple plusieurs glaces , de petites dimensions, qu'on doit biseauter et qui sont, à cet effet, montées et immobilisées dans une position inclinée sur ledit support 121.
Au centre du support'121,constitué par exemple par plusieurs bras radiaux, est établi un manchon excentré 122, calé sur l'arbre principal 17 et dans le support est ménagée une rainure ou fente 123, dans laquelle pénètre un doigt 124 monté sur un point fixe, par exemple sur le support 34 des en- grenages 37 des fige 1 à 4.
Lorsque l'arbre 17 tourne et entraîne le manchon ex- centré 122, le support 121, retenu et guidé par le doigt 124,
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exécute un mouvement circulaire et excentre continu autour de l'arbre 17 et chaque point dudit support, ainsi que de la sur-
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face des glaces 2 qui est en contact avec dR.2Q , se dé- place suivant une SV4ùi É, ce qui est très favorable au travail, par exemple au biseautage à effectuer.
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On obtient ainsi une machine pour travailler les glaces, verres et autres matières qui permet, ainsi que tout homme de métier peut aisément s'en rendre compte, d'effectuer toutes les opérations qui sont à prévoir pour le travail ou le façonnage des matières en question, cette machine remplaçant donc toute une série de machines qui, actuellement, sont né- néssaires à cet effet-
Parmi les opérations qui peuvent être exécutées auto- matiquement, il y a lieu de citer le biseautage ou le chanfrei
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nage ligne droit suivant une courbe fermée ouverte, Onage en ligne droituivant une courbe fermée ou ouverte, le façonnage des circonférences,des ovales et de différentes au- tres courbes, le polissage, le percage de trous, le découpage du verre avec un diamant,
la gravure de dessins à l'aide d'une meule tournant sur un axe horizontal central, le dessin sur ver- re à l'acide fluorhydrique en traçant à l'aide d'une pointe, dans le revêtement de cire ou analogue, le dessin à exécutér en se servant du pentographe, etc.
Comme il va de soi, et comme il résulte déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réa- lisation de ses diverses parties, ayant plus spécialement été indiqués! elle en embrasse, au contraire, toutes les varian- tes.
R É S U M É.
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