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" Rogneuse automatique: --------------------------
La présente invention concerne une rogneuse automatique particulièrement caractérisée du fait que le papier est in- troduit dans la machine,sous forme,sous forme de rouleaux et est automatiquement découpé longitudinalement et transversa- lement et rassemblé sur une table spéciale laquelle commande un dispositif de compteur déterminant l'arrêt de la machine lorsque la quantité prédéterminée de feuilles de papier est obtenue.
D'autres caractéristiques de la machine consistent en le fait que celle-oi est automatiquement arrêtée lors du pas- sage,sous certains organes des déchirures éventuelles ou corps étrangers incorporés dans le papier.
Egalement la machine est pourvue d'un dispositif, suscep tible de redresser automatiquement la bande de papier,au cas où elle se présenterait devant les couteaux dans une mauvaise position,soit par exemple que l'axe de la bande de papier ne soit pas parallèle à l'axe d'avancement.
Enfin la machine est agencée de telle manière que mal- gré les temps d'arrêt de la bande de papier nécessités par le coupage transversal,la bobine soit déroulée d'une manière
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uniforme et d'une vitesse pratiquement constante.
L'invention est illustrée aux figures ci-jointes dans lesquelles: fig 1 est un schéma de l'ensemble des différents mécanismes de la machine.
Fig.2 est une vue en élévation,avec demi-coupe,de l'arbre principal de commande.
Fig.3 est une vue de profil de la fig. 2 fig.4.5.6 et 7 illustrent les détails du mécanisme de l'assembleur.
Fig.9 est une vue partielle détaillée de la machine.
Fig.8 sont des détails du mécanisme d'avancement du papier.
Fig.IO est une vue en élévation avec 1/2 coupe d'une partie de l'arbre général de commande. fig.11.12.13 et 14 sont des détails des couteaux circulaires pour la coupe longitudinale du papier.
Fig.15 et 16 sont des détails du dispositif de ré- glage du couteau circulaire pour la coupe transversale du papier.
Fig.17 est un schéma du dispositif du réglage du couteau circulaire.
Suivant ces figures,il appert que la rogneuse au- tome.tique,faisant l'objet de 1'invention,comporte sub- stantiellement en combinaison des organes portant la bo- bine de papier et en réglant les mouvements des organes contrôlant le passage dupapier,c'est à dire déterminant l'arrêt de la machine,lors du passage des déchirures ou corps étrangers incorporés dans le papier et en général par toute course fortuite similaire des éléments déter- minant le roulement continu de la bobine, tout en permet- tant le mouvement "pas à pas" du papier sous les
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couteaux transversaux,des éléments déterminant la recti- fication de la position du papier,des couteau-a. longitudi- naux,des rouleaux d'actionnement du papier,
des couteaux transversaux et enfin,un assembleur automatique pourvu d'un compteur adéquat.
Les parties essentielles de cette machine font l'objet de brevets d'invention individuels,lesquels dé- crivent,de façon complète,la composition essentielle et le fonctionnement de ces caractéristiques
L'ensemble de la machine,faisant l'objet de la présente invention,n'est donc qu'un mode de réalisation donné à titre d'exemple et incorporant les caractéristi- ques desdits brevets individuels ainsi que d'autres par- ticularités qui ressortiront de la description suivante.
Tel que schématisé à la fig.I,la machine com- porte un axe I,sur lequel est montée la bobine de papier dont le déroulement s'effectue automatiquement !j'axe I porte également une poulie étroite 2,disposée en regard d'une des faces de la bobine de papier.De part et d'au- tre de ladite bobine,sont disposées deux balanciers lé- gers 3 susceptibles de tourner autour des pivots 4 dispo- sés sous la poulie 2.Les deux balanciers 3 sont reliés l'un à l'autre par une entretoise inférieure 5 et supérieurement par un axe 6 autour duquel on peut tourner un rouleau 7 très léger et préférablement monté sur roement à billes.L'extrémité inférieure des balan- ciers 3 est sollicitée par un ressort réglable 8 travail- lant à la compression et tendant à faire tourner les balanciers 3 autour des pivots 4,
dans le sens de dérou- laient du papier.
Le balancier 3 disposé du côté de la poulie 2 porte,en un point intermédiaire,un letier 9 à deux
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branches. Ce levier 9 est monté sur un pivot 10 soliire dudit balancier 3 et assujetti contre une butée II par l'action d'un ressort réglable 12 rattaché d'une part à un point fixe du balan cier 3 et d'autre part,à l'extré- mité de la branche extérieure du levier 9.
La branche intérieure du levier 9 disposée en regard de la périphérie de la poulie 2,porte une pièce adhérente 13, par exemple en ferrodo,susceptible de réa- liser un frein pour la poulie 2,laquelle est solidaire de la bobine de papier.
Ce dispositif constitue un premier mode de régularisation de déroulement du papier.
En effet,pendant le fonctionnement de la machi- ne,la bande de papier s'avance entre les deux rouleaux 14 et 15,disposés à l'avant de la machine,lesquels sont recouverts d'une enveloppe en caoutchouc,de manière que, par leur adhérence,exercent sur le papier la traction requise pour l'obtention du déroulement de la bobine.
Cependant il est compréhensibel que la coupe transversalle du papier néessite, pendant le temps néces- saire à cette opérât ion,l'arrêt du papier.Celui-ci est donc devant le couteau transversal,animé d'un mouvement de translation à vitesse variable,pendant un demi-tour de la machine et est maintenu au repos pendant ladite coupe transversale.
Afin de pallier les inconvénients résultant de cette variation de vitesse et des efforts d'iner- tie en résultant$ladite vitesse est rendue uniforme par l'interposition entre la bobine et les rouleaux d'action- nement précités d'un dispositif susceptible de permettre à la bobine,d'être déroulée suivantun mouvement uniforme quelque soit l'état de mouvement ou de repos du papier
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au dessus des couteaux transversaux.
Ce dispositif est réalisé,par exemple,par une bielle 16,dont une extrémité est reliée à la bielle de commande 17 des rouleaux d'actionnement 14-15, tandis que l'autre extrémité de cette bielle 16 est reliée à un le- vier à deux branches 18.
Ce dernier est monté sur un pivot disposé à l'endroit de la connexion des deux branches.La seconde de celles-ci porte l'axe d'un rouleau léger 19.D'antre part,le dispositif de réglage du mouvement du papier est complété par deux autres rouleaux 20 et 21 tournat li brnent sur des roulements fixes.Ces deux rouleaux 20 et 21 sont disposés supérieurement et de part et d'autre du rouleau inférieur 19.De ce fait,le papier venant de la bobein, et passant au-dessus du reouleau 6, est guidé suc- cessivement par les rouleaux 21,19 et 20.
Il e st à remarquer que,par la combinaison des leviers et bielles susdécrits,le rouleau inférieur 19 peut être déplacé par rotation autour du pivot du le- vier à deux branches 18 et peut,de ce fait, faire varier la longueur de la bande de papier dispsée entre les rou- leaux à axes fixes 20 et 21 et le roule au à axe mobile 19.
Dès lors,ile est à remarquer que,pendant le fonctionnement de la machine,la position du pivot 22 du plateau 23 détermine la course d'avancement du papier et simultanément le déplacement du levier à deux branches
18,et conséquemment du rouleau inférieur 19.Le déplace- ment de ce dernier est effeotué,dans un sens pendant un quart de la course d'avancement du papier,d'OÙ il résulte que durant l'état de repos du papier au-dessus des couteaux transverseux,le papier peut encore,entre la bobine initiale et le rouleau 19,être animé
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du mono mouvement d'avancement,du fait de 1'augmentation de la distance le séparant des rouleaux 20 et 21.De cette manière,
la bobine de papier sera constamment en mouvement soit par déplcement au dessus du couteau transversal , soit par décernent du rouleau inférieur 19.La bande de papier
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sera uon::,CJ"1.tre ce roule au 1 et la boLme, animé d'un mouvement uniforme continu.Cependan t,en pratique le mou- vement du papier ainsi obtenu xxx ne serait pas rigoureu- sement uniforme,cette uniformité n'étant que relative et constituant un mouvement moyen entre les variations pro- duites par l'avancement périodique du papier entre les rouleaux tracteurs et le déplacement complémentaire du papier,sous la sollicitation du rouleau 19.Ces variations déterminent dans la bobine de papier des efforts d'iner- tie retardateurs et accélérateurs susceptibles de déré- gler la marche normale de la machine.
C'est à cet effet,que le dispositif de freinage décrit plus haut,a été prévu.Dès lors,lorsque la vitesse du papier augmente,le rouleau 7,ainsi que les balanciers 3 sont entraînés sous la sollicitation du papier,vu l'i- nertie de la bohine et l'application d'une augmentation brusque sur le papier.Dès lors, lorsque la vitesse de cette dernière est devenue trop grande par rapport à. la vitesse d'avancement du papier,le rouleau 7 est légèrement déplacé dans le sens de rotation de la bobine et la pièce 13 en ferrodo ,montée sur le levier du frein 9,produit un effort de freinage sur la.
poulie 2.Ce freinage est réglé à l'intervention du ressort réglable 12
Par ce fait, les variations de vitesse sont an- nulées et le papier se déroule suiant un mouvement uni- forme.Une autre caractéristique de l'invention consiste en le fait que les mouvents de tous les organes de la
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machine sont commandés par un même arbre principal de com- mande disposé normalement à l'axe de la machine.Celui-ci est particulièrement illustré aux figures 2,3 et 10 annexées.
Suivant ces figures,l'arbre principal de comman- est de 25/monté sur trois paliers 26j27 et 28.Sur cet arbre est monté le plateau susmentionné 23 tportant un moyeu excentrique 24.La couronne 30 de l'excentrique porte une tige 31 qui commande le dispositif de guidage de la bande de papier.Ce dispositif fait l'objet d'un brevet particulier.
D' autre part, le plateau 23 comporte une rainure diamétrale 29,en forme de T et dans laquelle est suscep- tible de se déplier un coulisseau 32.Ce dernier est act tionné à l'intervention d'une vis micrométrique 33,la- quelle est maintenue en position par la rondelle 34 et les écrous 35.Le pivot 22,dont question plus haut,et auquel se rattachent les tiges 16 et 17 est également solidaire et se termine extérieurement par un bout file- té garni des rondelle 37 et écrou 38.Le bout intérieur engagé dans la rainure 29 est de section carrée et porte un orifice fileté traversé par la vis 33.Le bout carré susdit est parfaitement ajusté dans la rainure 29 du plateau.De cette façon,en tournant la vis 33,
on peut aisément faire varier la position du pivot 22 par rapport au centre du plateau, c'est-à-dire par rapport à l'arbre principal 25,les déplaoements des tiges 16 et 17 sont oonséquemment prédéterminables.
A l'effet de déterminer rapidement ces déplace- ments, ledit plateau est pouvreu, au droit de ce pivot;une échelle indicatrice par exemple métrique,ce qui permet de situer exactement le pivot 22 en correspondance xx du déplacement requis des tiges 16 et 17.
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Une fois la distance réglée, on peut fixer le pivot moyen d'une douille 39 et de l'écrou 38.Cette combinaison réalise donc un dispositif de préréglage de la vitesse d'avancement du papier au prorata,de la quantité et des dimensions de celui-ci ou de toute autre considération.
Le levier 17 commandant les rouleaux tracteurs est connecté au pivot 22 du plateau 23à l'intervention d'un coussinet 40 fixé à extrémité de ce levier.A ce même coussinet est fixé le balancier 16,lequel commande te que susdécrit,le levier à deux branches 18 et le rou- leau inférieur 19.Les modalités de connex -ion de ces différentes tiges et coussinets,se feront de toute ma nière,déterminés par les facilités de construction et suivant le principe de l'art de la mécanique.
D'autre part,sur l'arbre principal 25 est éga- lement monté un engrenage conique 43 qui engrène un pignon conique 44,dont le rapport avec le premier est 1/3.Le pignon denté 44 commande,par l'intermédiaire de l'arbre 41,les roues à chaînes 45 et 46 destinées à l' entraînement du couteau transversal.
Entre les deux coussinets 26 et 27,l'arbre principal 25 porte,rigidement vlavetée,une bride 42 de laquelle sont solidaires deux cames 47 et 48 qui sont rigidement fixées à la dite pièce 42 au moyen des goujons 49.D'autre part deux arbres 50 et 51 montés dans le bâti de la machine portent chacun un levier respectivement
52 et 53,lesquels reposent par leur extrémité sur les cames 47 et 48 susmentionnées.Une manivelle 53a est fixée sur le même arbre 51 et reliée par la tige 57 au levier à deux branches 56 et ce levier est fixé sur l'arbre 58 qui est disposé parallèlement au rouleau 15.Cet arbre porte sur l'autre extrémité un levier simple 56a .Le rouleau 15 est monté sur des roulements à billes à ro- tules.
qui sont montés dans les leviers de guidage F3
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Les leviers de guidage sont reliés par l'intermédiaire des pièces 59 aux leviers 56 et 56a.Les mouvements de monte et de baisse de ce rouleau supérieur sont donc déterminés par la came correspondante 48, laquelle est judicieusement établie au prorata de la marche du papier et plus particulièrement en fonction de la position des couteaux transversaux.
La manivelle 52a est reliée au levier à deux branches 60,par la tige 61.Ce levier à deux branches est fixé sur un arbre qui traverse la machine et qui porte également sur l'autre côté un levier simple.Ce dernier peut relever le barreau 94 susdit au moment propice.Le fonctionnenment du dispositif de coupe trans- versale fait également l'objet d'un brevet particulier dans lequel ce dispostif est décrit en détail.
L'arbre principal porte également le mécanisme de commande de 1'assembleur automatique.Ce mécanisme comporte substantiellement un excentrique 36 qui com- mande l'assembleur par l'intermédiaire de la tige 64.
Cet assembleur fait également l'objet d'un brevet indi- viduel,mais néanmoins le dispositif appliqué dans la présente machine,et illustré aux figures jointes,diffère quelque peu de celui faisant l'objet dudit brevet parti- culier,mais en a cependant conservé le principe.
suivant la nouvelle disposition, l'assembleur automatique comporte substantiellement une table 65, fixée par deux vis 66 disposées de part et d'autre de la table.Ces vis peuvent se déplacer dans les pièces de guidage 67 fixées sur le bâti de l'assembleur.Une roue hélicoïdale 68 est montée sur chacune des tiges filetées et est susceptible d'amener celles-ci d'un mouvement de rotation,dans les deux sens,
de telle manière que l'un ou
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l'autre de ces mouvements détermine un mouvement de monte ou de baisse de la table.Un arbre 69 porte deux autres roues hélicoïdales 70 qui engrènent lesdites roues 68 et entraînent celles-ci dans le mouvement requis sur le même arbre 69 est également fixé ure roue à rocher 71 D'autre part un secteur 72 est monté librement sur le même arbre à côté de la roue à rochet 71;à côté du sec- teur est disposé un levier à deux branches 73, également susceptible de tourner autour de l'arbre 69.Le levier 73 est relié à la tige 64,directement commandée par l'excentrique 36 monté sur l'arbre principal,et est animé d'un mouvement d'osscillation lui communiqué par ces organes.
Au-dessus de la table de l'assembleur est dis- posé un levier 74,fixé sur l'axe 75,lequel porte des doigts 76;ceux-ci sont actionnés par le levier 73 solli- citant la tige 77 terminée en fourche et dans laquelle sont ajustés lesdits doigts.Ce mouvement détermire le relèvement des doigts 76 pendant un demi-tour de la machinerde manière à laisser librement passer la feuille de papier sur la table de l'assembleur.
De plus un levier très légerà deux branches 78 tournant autour du point fixe 79 est relié à une tige 80, laquelle est supérieurement terminée suivant une fourche dans laquelle est disposé un pivot terminât le levier 74.Les doigts 76 susnommés retombent après chaque tour sur la feuille débitée et,simultanément ,ces doigts appuient sur l'endroit de la fourche de la tige 80,la- quelle,en s'abaissant,agit sur le levier 78.La branche la plus longue de ce levier 78 s'écarte du secteur 72 dans lequel ladite branche et$ engagée par son extrémité libre.Pendant ce mouvement,le levier 73 est abaissé pax.
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la tige 77;le secteur 72 est mis en contact avec la butée 81,qui en limite la course;
le taquet 82 est dégagé de la roue à rochet 71,du fait que le tenon 83,solidaire du taquet 82,est guidé dans une découpure adéquate découpée dans le secteur 72(Ce dispositif est illustré aux figures 5,6,7 et 8)
D'autre part,le ressort 84 tend à maintenir le taquet engagé dans la roue rochet.Quand le levier 73 remonte,le secteur 72 suit ce mouvement,étant donné qu'il y est sollicité par la tension du ressort 85.Le taquet
82'reste/désengagé pendant toute la course du levier 73 susdit et ce,aussi longtemps que la branche du levier 78 ne s'interpose pas dans le mouvement du secteur 72,étant donné que ce dernier se déplace en même temps que le ta- quet et maintient donc celui-ci éloigné de la roue à rocher vu l'engagement de la butée 83.
De ce fait,la roue à rochet est immobilisée et la table 65 reste fixe aussi longtemps que le levier
78 peut se mouvoir/' Cependant,lorsque un certain nombre de feuilles ont été rejetées sur la table pendant un temps d'arrêt de celles-ci,les doigts 76 et par conséquent le levier 74 et la tige 80 ne s'abaissent plus suffisamment pour maintenir le levier 78 éloigné de l'arrêt 178.Par con- séquent,le secteur 72 sera immobilisé du fait que son extrémité libre enclenchera le secteur 72,ce qui per- mettra au taquet de dégager la butée 83 et de ce fait, ledit taquet pourra se mettre en contact avec la roue à rochet.72.
Il en résulte qu'à la moitié de la course du levier 73, pendant l'autre moitié,le taquet étant guidé par coulissage de la butée dans le secteur,le taquet
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étant remis en contact avec la roue à rochet,il fera avancer celle-ci, ce qui procure un abaissement corres- pondant de la table de l'assembleur.Ce mouvement de la table est obtenu par l'intermédiaire des roues 70,68 et des vis 66.
Ce n'est donc que,pendant la demi-course ascendante du levier,que la roue à rochet peut tour- ner.La longueur de la tige 77 est réglée ded manière que la fourche quitte le pivot du levier 74,c'est-à-dire que les doigts 76 reposent sur la feuille quand le levier 73 est à moitié de sa course descendante.Un compteur automatique, faisant l'objet d'un brevet d'invention individuel,occasionne l'arrêt de la machine lorsque le nombre prédéterminé de feuilles aura été déposé sur la table de l'assembleur.
Cependant, simultanément, l'assembleur agit sur le mécanisme de l'arrêt automatique, de manière à prévoir les défauts de réglage du compteur ou bien encore pour toute aute cause intempestive.
Enfin,avant que l'assembleur n' atteigne la fin de sa coruse, c'est-à=dire lorsqu'il est chargé de la quantité prédéterminée de feuilles,une petite butée 87, fixée à la table,est mise en contact avec le pivot 88 du levier 89,tel qu'illustré à la fig.6.
Cette butée écarte le levier 90 du compteur ce qui libère un autre levier 91,lequel,en retombant, occasionne l'arrêt de la machine,du fait que la tige 92 est reliée à la tige 93 commandant le dispositif d'arrêt automatique tel que décrit dans le brevet individuel correspondant.
Tel que renseigné ci-avant,le papier est animé d'un mouvement de translation qui communique du fait
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qu'il passe entre deux rouleaux 14 et 15 recouverts d'une enveloppe de caoutchouc et y exerçant un effort de trac- tion suffisant pour opérer le mouvement du papier.
D'autre part,après que celui-ci a été coupé transversalement,la pièce 94,destinée à maintenir fixe- ment le papier pendant l'opération de coupage transver- sal,est relevée et le papier libéré.
Les rouleaux tracteurs 14 et 15 font avancer et dérouler le papier de la bobine pendant un demi,tour de la machine.Cependant il y a lieu de faire se déplacer le papier se trouvant au devant des rouleaux 14 et 15 et ce jusqu'en regard du couteau circulaire.Ce papier déjà coupé longitudinalement,en ruban d'une largeur correspon- dant au format désiré,est aidé dans son mouvement par un mécanisme particulier(fig.8 et 9)amenant ces bandes entre une autre paire de rouleaux entraîneurs 95 et 96 A cet effet ce mécanisme particulier comporte un arbre 97 monté entre les deux flasques 98 et pouvant tourner librement tout en étant solidarisé avec les deux chappes 99,lesquelles portent les rouleaux 96 et 100 préférable- ment montés sur roulement à billes,tandis que le rouleau inféreur 95 est monté dans des roulements fixes.
Afin de réaliser l'adhérence requise pour 1 entraînement des bandes de papier, le rouleau 99 est gar ni d'une enveloppe de caoutchouc ou autre matière ana- logue et est assujetti contre le rouleau 95 pat l'inter- médiaire des ressorts IOI.Une poulie 102,est montée li- brement sur le prolongement de l'arbre du rouleau inféri- eur 95.Un manchon I03,coulissant sur ledit arbre et serré contre les pa rois intérieures de la poulie par un res- sort 104 maintenu par la rondelle 105 et l'écrou 106, assure l'entraînement du rouleau par l'intermédiaire d'une clavette fixe 107.
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Le rouleau 95 commande les deux autres rouleaux 96 et 100 à l'in stervantein des pignons @ 108,109,110.
Le mouvement de rotation de l'ensemble de la machine est obtenu par la commande directe d'un moteur quelconque actionna.nt l'arbre principal de la machine par courroie engrenage ou ,le toute autre manière.
La vitesse circonférentielle est toujours supérieure à la plus grande vitesse d'avancement du papier.
Le dispositif particulier assurant l'avancement du pa- -pier entre les rouleaux tracteurs 14 et 15 et la seconde paire de rouleaux 95 et 96 disposée entre les premiers et l'assembleur., comporte un arbre 112 tournant librement dans les supports 98,et portant un disque 94 fixé au moyen d'une clavette, d'une douille 113 et d'un écrou 1]4,D'autre part ce dispositif comporte également un pignon115 pouvant tourner librement autour de la susdite douille 113.
également une manivelle 116 est fixée centre le disque 115 au moyen d'un organe d'appui 117 et du pivot 118.Un petit balancier 119 tournant autour de ce pivot 118 est pourvu d'une dent qui s'engage dans une rainure 120,praitiquée dans ledisque 121 rigidement fixé sur l'arbre 112,17autre part,deux leviers 122 sont fixés sur le dit arbre 112 et ceux ci,en même temps que l'arbre auquel ils sont fixés,sont soildicités par un ressort 123 qui tend à les faire tourner dans le sens de la flèche indiquée à la figure 9
Un des leviers 122 est relié à une tige 124 faisant par- -tie d'un amortisseur qui consiste en un petit cylindre 125 pouvant osciller autour d'un point fixe 126,cet amortisseur comportant également un piston 127 et une fente étroite 128..
taillée dans le cylindre et susceptible de permettre l'échappement d'une certaine quantité d'air.Deux lames minces en aluminium 129 et 130 sont sus- -pendues entre les deux leviers susdits 122 et peuvent tourner libre- -ment autour des points fixes 131 et 132.De cette manière,quand le
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levier 122 se trouve dans la position de repos et que les rouleaux 14 et 15 se trouvent à leur point mort avant l'avancement, le balancier 119 s'engage exactement dans la rainure 120 du disque 121.Le déplacement de ce mécanisme peut être prédéterminé du fait que le dit disque 115 porte des graduations adéquates et la pièce 116 entraîne une aiguille 133 se déplaçant le long de la dite gradu -ation,
permettant ainsi de disposer la pièce 116 dans la position correspondante à la course d'avancement désirée de la bande de pap pier,ou plus exactemnet dans la position correspondante aux mou- -vemmts requis de la pièce d'appui 94.
Lorsque les rouleaux 14 et 15 commencent à entraîner le papier,ceux - ci,par l'intermédiaire d'un petit pignon à chaîne 134, porté par le rouleau 15, entraîne le pignon 135 par l'intermé -diaire d'une chaîne 136.Le pignon 135 est solidaire du disque gradué 115 et celui -ci peut être fixé à la pièce 116 après avoir opéré le réglage,au moyen de l'écrou 137.Cette pièce 116 porte le balancier 119 qui,à cet instant,est engagé dans la rainure 120 du disque 121,Par ce fait,les leviers 122 sont donc entraînés en même temps que commence 1*'avancement des rouleaux principaux 14 et 15,
Les lames en aluminium 129 et 130 entre lesquelles repose le papier,sont avancées avec une vitesse égale à celle de l'avancement du papier,étant donné que le nombre des dents des pignons 134 et 135,
et la distance prévue entre le levier 122, sont rigoureusement proportionnées au diamètre du rouleau 15. d'appui Ensuite,la pièce/94 est relevée par 1 intermédiaire du dispositif précédemment décrit,d'une quantité suffisante pour permettre le passage des deux lames 129 et 130 Après quoi,les rouleaux 95 et 96 sont libérés en même temps que les feuilles découpées,ces rouleaux se mettant à tourner du fait qu'ils sont entraînés par la friction opérant entre la poulie 102 et la manchon 103.
Pendant cette opération les lames 129 et 130
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s'avancent vers les rouleaux 95 et 96 ;le bord du papier qui est resté en dehors des lames 129 et 130 est pincé entre les rouleax qui tournent alors à la même vitesse que le papier s'avançant en- tre eux.Le rouleau 100 tournant à la, même vitesse queles autres, n'a pour fonction que de diriger le papier sur le plan incliné de la table de l'assembleur.Au moment ou ¯ le bord du papier est rigidement pincé entre les rouleaux 95 et 96, le balancier 119 a quitté la rainure 120 du disque 121 du fait de l'intervention d' un galet 138 tournant sur un pivot fixé dans la plaque 98.Sous l'action des ressorts 123 correspondants,
les leviers122 sont ra- -menée dans leur position de repos.L'amortisseur 125 susdécrit annule l'accélération de vitesse de retour et assure de ce fait un fonctionnement plus régulier.Dès lors,quelle que soit la cour- -se devancement, ou la longueur des formats à couper, la pièce 116 poursuit sa course,le balancier glisse sur le disque 121 pendant le temps nécessaire aux rouleaux principaux 14 et 15 pour être ramené à leur point mort avant l'avancement suivante le balancier 124 retombe dans la rainure correspondante et le mécanisme est prêt pour la période d'avancement suivante,En outre,la machine faisant l'objet de l'invention,comporte également un dispositif de débrayage et de freinage de lafbre principal,
agencé de manière telle que la machine réalise d s mouvements dûment contrôlés et impliquant pour les différents organes une fatigue minimum.A cet effet,tel qu'illustré à la fig.3 l'arbre princjpal repose sur un troisième coussinet 28;Le dit arbre porte une poulie poire (fig.X) 139 dont une partie conique 140 pénètre dans un volant 141 qui est rigidement fixé sur cet arbre.Un disque 142 est fixé à, l' intérieur de la poulie 139 au moyen des goujons 143 .Ce disque porte quatre nervures 144 entre lesquelles peuvent osciller les deux leviers 145 montés sur les pivots 146.Deux leviers 147 disposés de part et dtautre de l'arbre principal,
sont reliés au volant 141 au moyen d' un élément 148 et d'un pivot 149 engagés dans %'une de leurs extré'- '-mités,,
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tandis que leur autre extrémité est fixée par une tige 150 et un pivot 151.L'élément 150 est terminé par un bout fileté et deux écrous 152.Les vis 153 disposées dans le milieu des leviers sus -dits,buttent contre le bord de la bague 154.De cette manière,on peut écarter ou rapprocher cette bague du volant,en réglant les écrous 152.Une butée à bil'es 155 est montée sur la même bague 154 et est retenue par un écrou 156.Une seconde bague 157 comportant une rainure extérieure et une rainure intérieure est reliée à la bague 159 au moyen de deux éléments 9 en forme de clavettes à deux têtes.
Ces pièces sont engagées et peuvent coulisser dans les rainures fraisées dans l'arbre,tandis que les extrémités,en forme de crochet, sont logées dans les rainures intérieures des bagues.
Un levier 160 susceptible de tourner autour d'un pivot 161 se termine par une fourche 162 qui peut être enclanchée par la rainure extérieure de la bague 157.L'autre extrémité du dit levier 160 est terminée par une poignée 163.Enfin,le levier 160 comporte une troisième branche 164 reliée par la tige 165 au levier 166.
D'autre part,un arbre 167 communique le mouvement requis à une deuxième manivelle 168 laquelle, eàt reliée à la bande de frein 169.Cette dernière supplique dans une rainure, pratiquée dans le volant, lors de la mise en marche de la machine,
Dès lors,il suffit d'exercer une pression sur le levier 160,dans le sens voulu,de telle manière que ce levier soit enclan -ché par le levier à crochet 170 et l'ergot 171.Pendant ce move -ment,la bague 157 glisse sur l'arbre est entraîne la seconde bague 159 par l'intermédiaire des pièces 158,
Enfin,les leviers 145 sont repoussés dans le sens correspondant par la partie conique de la bague 159,Egalement les crochets 172 des leviers 145 poussent contre la butée 155,
ce aui a pour effetde serrer fermement la partie conique 140 dans le volant.A cet instant,la machiàe est mise en mouvement.On peut régler facilement la tension du cône 174 situé dans le volant au
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moyan des écrous de réglage 175.
Lorsque l'arrêt automatique est sollicité pour l'une ou l'autre cause susmentionnée, le levier à crochet 170 s'efface et le levier 160 reprend sa position primitive sous Inaction du ressort 176.Simultanément la branche 164 du levier entraîne la tige 165, le levier 166,l'arbre 167 et la manivelle 168, ceel ci à son tour exerce la traction requise sur la bande de frein et effectue conséquemment le serrage du frein 169 et la machine s'arrête
Dès ce moment,la poulie 139 tourne librement sur son arbre.
La rogneuse automatique ainsi agencée constitue donc une machine,susceptible d'effectuer d'une façon régulière et rigoureusement automatique les différentes opérations re -quises,pour l'obtention de feuilles de papier de format déter- -miné en partant d'un rouleau.
Son fonctionnement se comprend de la façon sui- -vante :
La bobine de papier est disposée sur un arbre spé -cial amovible,susceptible donc d'être mis en place ou enlevé.
Le papier issu de cette bobine passe successivement sur le rouleau tendeur 7,sur la traverse rainurée 196 du dispositif dtarrêt automatique,sur un rouleau 21,sur lerouleau 19, sur le rouleau 20,entre le mécanisme de guidage du papier,entre les couteaux longitudinaux, entre les rouleaux tracteurs 14 et15, entre les deux lames 129 et 130 du mécanisme d'avancement,en dessous de la pièce d'appui 177 ou le papier est coup é dtrans versalemnt entre les petits rouleaux d'avancement 95 et 96 et enfin, en dessous du rouleau 100 par lequel la. feuille finale est rejetée sur la table de l'assembleur automatique.
Quand la machine est en fonctioonement la bielle 17,dont l'ex -trémité est taillée à crémaillière est animée d'un/ mouvement
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alternatif,Cette crémaillère engrène un pignon 179 transformant ce mouvement alternatif rectiligne,en un mouvement rotatif,Le pignon 179 est entouré d'une boîte qui peut tourner autour de l'arbre du dit pignon Deux roulements à bil es 180 soutiennent la crémaillère 17.Des vis 181 peuvent faire monter les axes des roulements, de tellemanière qu'il soit possible de rattra- -par tout jeu éventuel entre les tendure les pignon 179 est mon té sur le même arbre que l'engrenage 182.Ce dernier entraîne respectivement le pignon 183 fixé sur l'arbre inférieur portant les cisailles circulaires du découpage longitudinal;
ce pignon 183 entraîne à son tour, par l'intermédaire d%n autre pignon 184,l'arbre des cisailles circulaires supérieures du dit décou- -page longitudinal;l'engrenage 185 du rouleau 14 entraîne à son tour le rouleau 15 supérieur,par l'intermédi -aire .de l'engrenage 186.Les rouleaux 14 et 15 sont donc animés d'un mouvement de rotation alternatif dont lamplitude est rigoureusement déterminée par la position du pivot régla ble 22.Les cisailles circulaires du découpage longitudinal ne sont'prévues que pour tourner dans un seul sens qui est celui requis pour le découpage de la feuille,
Ce mouvement unique est déterminé par interposition entre ces cisailles et l'arbre qui les supportentµd'un dispo- -sitif à cliquet terminant le calage des cisailles sur l'arbre, pour un sens et la totation folle pour 1 autre sens.
A cet effet,le pignon 183 étant solidaire d'un disque 187 peut tourner librement autour de l'arbre,tandis, qu'un autre disque 188 est rigidement fixé sur Marbre 189.Le disque 188 entoure complètement le premier.Des rainures obliques sont pratiquées dans ces disques et dans ceux - ci sont logés des petits rouleaux 190 maintenus en place à l'intervention des ressorts 191.Cet ensemble forme donc un système d'encliquetage qui sera entraîné pour un sens de rotation de l'arbre,et maintenu
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fixe pour l'autre sens.
Le log des arbres portant des cisailles circulaires 192 et 193 sont pratiquées des rainures 197 et 198 destinées au calage des outils,lesquels,pour ce faire,sont pourvus chacun d'une clavette fixe et dune via de fixation..Un ressort 194 et une bague de pression 195 assurent un frottement doux entre le bords des deux couteaux.On peut ainsi déclancher rapidement ces outils,le long des arbres 199 et 200 qui les supporte,de manière à les disposer aisément aux distances voulues détermi- -nées par le format à couper.
Afin de permettre l'enlèvemnt des outils,et leur remplacement, un des bouts des arbres 199 et 200 peut être libéré de manière à permettre l'enlèvement des dits outils par glissement,le long de leur arbre respectif.
Quand le papier ast entraîné par les rouleaux princi -paux,les cisailles 192 -193 sont entraînées à la même vitesse, étant donné que le diamètre desrouleaus et cisailles correspond exactement avec les diamètres primitifs des engrenages portés par le même arbre.Le papier est coupé longitudina.lement en pas- -sant antre les couples de cisailles.Le guidage automatique qui est disposé avant ce dernier,agit sur le rouleau tracteur supérieur 15 de la manière développée dans le brevet individuel correspondant,mais de telle manière que le papier se présente devant les)couteaux dans une position parfaite.
Le dit rouleau supérieur est enveloppé d'une couche . de caoutchouc spécial,assurant ainsi un bon contact avec le papier et un grand coefficient de frottemnt
D'autre part,lorsque les rouleaux 14 et 15 se trouvent à leur point mort,c.à d.à la fin de 1 avancement du papier, la pièce d'appui caoutchoutée 177 (décrit déjà sous le n 94 se trouve dans la position basse et fixe lepapier le rouleau 15 a été relevé d'une faible quantité pour libérer le papier de l'action d'entraînement et les rouleaux 14 et 15 sont entra!- -nés
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par un mouvement de rotation inverse du fait du retour de la crémaillère 17;
à ce moment,les cisailles circulaires pour le coupage longitudin al,sont immobiles et le couteau transversal 201 opère.La durée de la coupe transversale correspond à un tiers de tours de l'arbre principal.Lorsque les rouleaux trac- -teurs 14 et 15,dans leur mouvementde rotation inverse,sont revenus au point mort,c'est-à-dire, juste avant l'avancement, le rouleau 13 est abaissé sous l'action du ressort 202 et par l'action de la came 47.La pièce d'appui 177 ou 94 est également relevée à l'intervention de la came 48,ce qui libère le papier et en permet un nouvel avancement.Les couteaux opérant le coupa- -ge longitudin al,sont susceptibles d'être rigoureusement réglés.
A cet effet,la pièce 203 qui doit être réglable pour exercer une certaine pression contre les disques entraînant le couteau cir- culaire 201,est fixée entre les deux flasques qui enveloppent les chaînes Galles décrites particulièrement dans le brevet in- -dividuel indiquant le dispositif du couteau circulaire,
Le susdit dispositif réglable comporte substantiel- -lement une tringle 204 qui est fixée dans la pièce 203 au moyen d'un écrou 205.Les deux extrémités de la tringle 204 sont logées dans decoulisses pratiquées dnas les flasques 206 et 207;
la pièce 203 peut donc être montée ou descendue suivant les besoins, D'autre part, le dispositif de réglage comporte deux axes 208 pouvant tourner dans la dite pièce 203 et caractérisés en ce que ces deux extrémités sont excentriques et portent des coussinets 209 coulissant dans les rainures pratiquées dans les pièces 206 et 207,
Deux manivelles 210 disposées respectivement sur une des extrémités correspondante de chacun des deux arbres 208 sont reliées par une tringle 211 dont un bout 212 est fileté.
Cette dernière traverse un élément fixe 213.En réglant cette tige par les écrous 214,on fait s'élever ou s'abaisser la pièce centrale
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203 ce qui réalise le règlage des couteaux circulaires.
Enfin la bande de papier se déplaçant dans la ma -chine est serrée entre les deux rouleaux tracteurs 14 et 15 et tirée vers l'avant,ce qui lui imprime le mouvement longitu- -dinal requis.Au cours de l'avancement,le papier est coupé
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successivement, longitudinal erant et transversalement par les divers couteaux susdécrits ce papier est immobilisé pendant le temps requis au coupage transversal et à cet effet le rouleau tracteur supérieur est relevé.
Afin de donner un appui à la feuille de papier pendant le dit coupage transversal,la pièce caoutchoutée 177 ou 94 est abaissée et celle-ci comporte un évi'ement longitudinal per- -mettant le passage du couteau circulaire.D'autre part, le rouleau tendeur 7 ainsi que le système de freina susdécrits ont pour effet de rendre la vitesse de la bobine uniforme,
La machine, faisant l'objet de l'invention,peut évi- demment être employée à appuyer ou bien encore,ne comporter quelques parties des ménanismes décrits et illustrés.Egalement cette machine peut être employée avec l'adjonction d'autres mécanismes spéciaux tels,par exemple :
pour le cas ou il est fait emploi des cisailles circulaires pour la coupe longitudi- -nale,l'adjonction d'un dispositif spécial destiné à enrouler le papier éventuellement en excès lors du découpage longitu- -dinal;des outils spéciaux peuvent être montés sur les arbres porte -outils pour perforer et ligner le papier.La perforation et le lignage peuvent être appliqués dans ce cas, grâce au gui- -dage automatique, avant la coupe;
éventuellement, le couteau circulaite animé,dans le cas susdécrit d'un mouvement de rota- -tion et simultanément d'un mouvement de translation pourra, dans certains cas,,n'être animé qued'un mouvement de transia,- -tion,ce qui sera aisément réalisé par la fixation rigide de ce couteau sur ses organes d'appui;11 peut être fait emploi simul-
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-tanément de plusieurs bobines,ce qui permettra-, dans certains cas,d'obtenir un nombre de feuilles extrêmement grand résul- ...tant du découpage simultané de plusieurs bandes de papier.
D'autres variantes construcitionnelles peuvent encore être envisagées dans le but de rendre la machine ou partie de machine plus efficace encore,tel,par exemple,la provocation plus rapide et plus certaine de l'arrêt automatique de la machine.
A cet effet,les peignes ou dents du dispositif d'arrêt automa- -tique de la machine, lors du passage de déchirure ou corps étranger incoporés dans le papier,pourraient être doublés et animés d'un mouvement de translation alternatif,de manière à balayer toute la largeur de la bande et provoquer Instantané- -ment l'arrêt de la machine,quelle que soit l'importance de la déchirure et quelle que soit sa situation' dans le papier,
11 est compréhensible que toute combinaison méca -nique réalisant le même effet peut remplacer celle susdécrite
La rogneuse,faisant l'objet de l'invention,permet donc de découper des feuilles de papier sous tout format, et ce de façon rigoureusement automatique,
Il est entendu que la machine pourra être appliquée pour le découpage de toute autre matière analogue pouvant se laisser découper approximativement dans les conditions susmen -tionnées.
L'avantage principal,outre les conditions de fabri- cation,résulte du fait qu'il est possible d'obtenir des feuil- -les découpées sur tout format en partant des bobines de papier,ce qui implique pou'r la fabricant un gain sensible,