BE377986A - - Google Patents

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BE377986A
BE377986A BE377986DA BE377986A BE 377986 A BE377986 A BE 377986A BE 377986D A BE377986D A BE 377986DA BE 377986 A BE377986 A BE 377986A
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    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04QSELECTING
    • H04Q3/00Selecting arrangements

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Sub-Exchange Stations And Push- Button Telephones (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  ARRANGEMENTS DE CIRCUITS POUR SYSTEMES   TEIEPHONIQUES   
 EMI1.1 
 AUTOMATIQUES OU SEMI-AUTOMATIQUES. 



  Cette invention se rapporte à des systèmes téléphoniques automatiques 
 EMI1.2 
 ou semi-automatiques. 



   Suivant le fait principal de l'invention, dans un système téléphonique automatique ou   semi-automatique   comprenant une série de lignes ou de circuits à travers lesquelles des.signaux à courant alternatif sont transmis, l'équipement récepteur pour les dits signaux est associé en commun avec les dites lignes ou cir- cuits. 



   Dans les arrangements décrits, une connexion peut   Etre   établie à tra- vers une ligne locale ou ligne reliant des bureaux, sous le contrôle de l'équipe- ment automatique, par une opératrice placée à l'extrémité de départ de la ligne, les signaux transmis à l'équipement automatique en réponse desquels ce contrôle est 

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 effectué, étant transmis directement du circuit connectant l'opératrice à l'équi- pement automatique. 



   Suivant un autre fait de l'invention, un arrangement est prévu par le- quel un groupe commun de mécanismes   enregistreurs-contrôleurs   est utilise pour pro- longer des appels sous le contrôle d'une opératrice locale, et aussi sous le contr8- le d'une opératrice d'un autre bureau. 



   L'invention envisage aussi un arrangement par lequel, tandis que les signaux qui   déterminent   là sélection numérique sont transmis directement à travers une ligne ou un circuit au moyen de dispositifs envoyeurs extérieurs à ce circuit, et/ou sont reçus à   l'extrémité   réceptrice sur un équipement extérieur au circuit, les signaux auxiliaires, tels que ceux contrôlant le rétablissement de l'équipement et de la supervision, sont transmis au moyen d'un équipement individuel au circuit. 



  Ce fait permet de réaliser une économique considérable puisqu'il permet à l'équipe- ment de ligne déjà en usage   d'être   modifié très simplement pour prévoir les nouvel- les facilités, tandis que tous les appareils spéciaux pour permettre le travail auto matique, au lieu   d'être   placés dans les lignes peuvent maintenant être placés dans les circuits connecteurs d'opératrices et dans des groupes communs de mécanismes enregistreurs-contrôleurs. 



   Les signaux contrôlant la sélection numérique peuvent être transmis au moyen de courants de fréquences phoniques, tandis que les signaux auxiliaires peu- vent être transmis au moyen de courants de fréquences phoniques, de courants à bas-   ses   fréquences, ou de courants continus.

   Bien que dans certains cas tous les sig- naux   puissent.être   transmis au moyen de courants de fréquences phoniques, la possi- bilité d'utiliser du courant à basse fréquence, ou du courant continu, est intéres- sants dan certains cas puisqu'elle permet aux signaux numériques d'être reproduits par les méthodes à fréquences phoniques plus exactes, tandis qu'en même temps elle permet d'utiliser des appareils bon marchés pour les signaux auxiliaires, puisque pour ces derniers des questions telles que l'ajustement des relais et le temps de réponse de l'équipement de signalisation sont moins importants.

   De plus l'équipe- ment qui est utilisé pour transmettre les signaux numériques n'est pas normalement sujet aux courants phoniques, tandis que l'appareil contrôlant les signaux auxiliai- res est sujet à ces courants.   C'est   un avantage considérable d'utiliser des appa- reils qui sont insensibles aux courants phoniques pour les signaux auxiliaires. 

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   Les signaux numériques, suivant la présente invention, peuvent être transmis soit au moyen d'impulsions directement marquées au disque, ou au moyen d'impulsions codées. 



   L'invention est mieux comprise de la description suivante basée sur les dessins ci-joints/ 
Une forme de réalisation de l'invention est montrée schématiquement sur la fig.l. Deux lignes téléphoniques L1 et L2 sont indiquées. Chaque ligne ap- partient   à   un groupe de lignes, toutes les lignes dans le groupe étant arrangées pour desservir le trafic dans la même direction. Associé avec chaque extrémité de chaque ligne est un groupe d'appareils de signalisation S qui servent à transmettre les signaux auxiliaires sur la ligne. Dans le cas présent les courants auxiliai- res consistent en un signal pour préparer l'équipement automatique, un signal pour libérer cet équipement, et deux signaux en directions opposées qui allument et éteig- nent la lampe de supervision.

   Ces signaus peuvent prendre an certain nombre de for- mes dont des exemples typiques sont donnés dans le tableau ci-après. Dans ce ta- bleau est montré le type de signal qui doit par exemple être utilisé quand l'équi- pement S utilise du courant continu sur des lignes courtes ou longues. 
 EMI3.1 
 
<tb> 



  Signaux <SEP> Circuits <SEP> courts <SEP> Circuits <SEP> longs <SEP> 50 <SEP> Cycles <SEP> 500 <SEP> Cycles <SEP> Quatre <SEP> fréquen-
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<tb> Courant <SEP> continu <SEP> Courant <SEP> continu <SEP> ces <SEP> W.X.Y.Z.
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  X indique que les précautions sont prises pour éviter le fonctionnement par des courants phoniques ou bruyants. 

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   D'autres arrangements peuvent facilement être établis. 



   Il est clair qu'une méthode quelconque pour transmettre ces signaux peut être utilisée sans se départir de l'esprit même de l'invention. A   l'extré-   mité de départ chaque ligne téléphonique se termine à une position d'opératrice, et à l'extrémité d'arrivée elle aboutit à des groupes de relais RG1 et RG4. Quand un signal d'appel est reçu, ces groupes de relais amènent un mécanisme contrôleur-en-   registreur   libre, tel que R1 ou R2 ,   d'être     connecte,   et l'opératrice peut alors actionner ces mécanismes au moyen des ensembles de clés KS1 ou K2, ou bien encore en manoeuvrant son disque au lieu des dits ensembles de clés* Les mécanismes en- registreus-contrrôleus amènent alors l'équipement automatique local à complèter l'appel.

   Les opératrices sont aptes à utiliser les mêmes mécanismes enregistreurs- contrôleurs et les mornes ensembles de clés ou disques, pour compléter aussi des connexions locales à travers un groupe de relais RG2 ou RG3. 



   La série complète des opérations nécessaires à un appel est maintenant décrite. Un abonné demandant un autre abonné distant obtient accès à une opératri- ce qui peut enregistrer le numéro demandé. Cette opératrice, dans certains cas, sera l'opératrice O1, mais dans la plupart des cas elle sera une opératrice enre- gistreuse séparée. Dans le premier cas l'opératrice O1 peut introduire sa fiche dans le jack de la ligne L2,et envoie l'appel directement sur cette ligne. Cepen- dant souvent elle peut avoir des appels en attente, et alors elle doit noter le numéro de l'abonné appelant. Donc dans la plupart des cas l'abonné appelant raccro- che et attend   d'être   rappelé.

   Quand l'appel est établi au moyen d'une opératrice enregistreuse, l'abonné raccroche toujours et le ticket est envoyé par l'opératri- ce-enregistreuse à l'opératrice 01, Celle-ci attend   jusqu'à,   ce qu'une ligne soit libre, et alors appelle les deux abonnés. Dans ce but elle introduit ses fiches dans le jack d'une ligne de jonction   librè   allant vers l'équipement local et dans le jack de la ligne libre L2. Une lampe de supervision SU1est associée avec le circuit de jonction, et une lampe de supervision SU2 est associée avec la ligne. 



  Quand l'opératrice se connecte au circuit de jonction, les méthodes de signalisa- tion normales à courant continu août utilisées pour contrôler RG3. Quand l'opéra- trice se connecte à la ligne L2, un signal est transmis entre les groupes d'équipe- ment S, comme indiqué sur le tableau ci-dessus, et ce signal amène RG4 à choisit un mécanisme libre tel que Quand R2 est connecté, les équipements   S,   sous le 

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 contr81e de RG4, transmettent vers l'arrière un signal pour allumer la lampe de supervision SR2, ainsi que cela est indiqué au tableau. 



   L'opératrice attend   jusqu'à   ce que les lampes de supervision s'allument pour indiquer qu'un enregistreur a été connecta et alors elle abaisse une clé dans son circuit de   cordo   qui connecte la table des clés KS1 à l'un ou l'autre des cotes de son circuit de cordon,et elle opère ses clés.. Elle peut alors trans mettre d'abord sur la ligne et ensuite sur le circuit de jonction local.

   La table des clés est connectée à un générateur à fréquences phoniques ou autre source de fréquences phoniques, de manière telle que quand une clé est abaissée, une courte impulsion d'une certaine combinaison de fréquences est envoyée. quatre fréquences sont utilisées pour obtenir des combinaisons suffisantes pour 10 chiffres, mais il est clair qu'un arrangement de signalisation quelconque, qui prévoit des impulsions codées dans une forme convenable de transmission du circuit de cordon vers les en- registreurs R1 et R2, peut   Etre   utilisé. Dans les enregistreurs R1 et   R ,   un équi- pement récepteur à fréquences phoniques est placé, sa forme préférée consistant en quatre relais à fréquences phoniques dont un est accordé à chacune des fréquen- ces mentionnées ci-dessus.

   Ces relais commandent des relais à courant continu en des combinaisons qui dépendent des chiffres, pour marquer à leur tour des disposi- tifs enregistreurs de chiffres, et les mécanismes R1 et R2 envoyent alors des im- pulsions vers les équipements automatiques locaux AS2 et AS. pour atteindre les deux abonnés. Aussitôt que l'opératrice a fini d'actionner ses clés, elle n'a aucu ne autre action 4 effectuer, et au moyen des lampes de supervision   SUl et   SUa elle peut contrôler visuellement la connexion. Quand l'abonné local répond, la lampe 
SU1 s'éteint de la manière habituelle. Quand l'abonné distant répond, la lampe 
SU2 est éteinte comme un résultat d'un signal reçu en retour travers la ligne entre les deux ensembles d'équipements S.

   Des arrangements typiques pour trans- mettre de tels signaux ont été indiqués sur le tableau   précédent.   Afin d'assurer que les courants de fréquences phoniques reçus par R1 sont toujours approximati- vement en morne niveau, des chemins d'atténuation AT peuvent   Etre   insérée dans les conducteurs entre les groupes de relais RG1. etc.. et les mécanismes R1 etc.... 



   Ces conducteurs sont individuels aux lignes et peuvent par conséquent Etre ajustés   . pour   répondre à chaque ligne ou à chaque circuit de jonction. 

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   Quand l'abonné appelé raccroche, l'équipement RG4 contrôle l'équipement de signalisation S pour transférer le signal à travers la ligne, ce qui allume la lampe de supervision SU2. quand l'abonné appelant raccroche, SU1 s'allume et l'opé ratrice est ainsi informée qu'elle peut déconnecter son circuit de cordon. Cette action libère les équipements automatiques locaux AS2 et RG3, et cela provoque l'é- quipement de signalisation S sur la ligne de transmettre un signal ultérieur qui libère les équipements automatiques distants RG4 et AS4. 



   Considérant maintenant un appel en direction opposée, cet appel est transmis par l'opératrice O2 qui se sert de la table des clés KS2 exactement de la même manière que celle déjà décrite. Dans ce cas cette opératrice utilise R2 pour son équipement local et Rl pour l'équipement distant. 



   La figure 2 des dessins montre schématiquement un système pourvu de lig- nes transmettant dans les deux sens. Il n'est pas nécessaire de décrire ce système puisque son fonctionnement peut se comprendre à la description donnée pour la fig.l Dans ce cas les deux opératrices 01 et O2 ont accès au même groupe de lignes, et les équipements S sont disposés de manière que quand une opératrice choisit un cir- cuit il est rendu occupé pour l'autre opératrice de la manière décrite dans le brevet Anglais   No.4740/30.   



   On peut voir qu'en utilisant la même groupe d'enregistreurs pour les ap ,pels envoyés et reçus, il est possible de simplifier considérablement les équipe- ments. De plus le type d'équipement à fréquences phoniques décrit, utilisant des relais à fréquences phoniques, peut âtre incorporé dans le circuit enregistreur presqu'à aussi bon compte que quelqu'autre forme d'équipement qui sort à transmet- tre des signaux d'une table de clés dans un enregistreur, et l'emploi d'un tel ar- rangement sur des lignes de jonction locale est économique.

   En transmettant les signaux numériques directement du circuit de cordon dans les répéteurs, toute possi bilité de déformation des.signaux ou de défaut d'appareils sont réduites au mini- mum. ainsi sur la plupart des systèmes à disques numéroteurs, les impulsions sont répétées un certain nombre de fois et la déformation résultante est apte à endomma- ger le fonctionnement correct des appareils automatiques. Par la présente méthode, les impulsions provenant de la manoeuvre du disque sont transmises directement de la table des clés, ou enregistrées dans l'enregistreur comme des impulsions de fré- quences phoniques, sans équipement intermédiaire. 

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   Au point de vue du fonctionnement, le système a le grand avantage de permettre un contrôle entier de la connexion à une seule opératrice, et cette opéra- triée peut compléter un appel avec le minimum de temps et d'effort. 



   La forme de réalisation de l'invention montrée   fig.l   est maintenant dé- crite en détail d'après les figures 3 à 6. la fig.3 montre le circuit de cordon de l'opératrice et sa table des clés. 



   La fig.4 montre l'équipement de signalisation individuel à l'extrémité de départ d'une ligne L2 de la figure 1. 



   La fig.5 montre   l'équipement   de signalisation individuel à la ligne L1 à son extrémité d'arrivée. 



   La fig. 6 montre une partie suffisante des circuits de la ligne de jonc- tion d'arrivée RG4 et de l'enregistreur R2. 



   Le circuit de cordon de l'opératrice comprend les fiches PG1 et PG2 ain- si que les clés RK1 et RK2, au moyen desquelles la table des clés peut être connec- tée à l'une ou l'autre fiche. Quand l'opératrice 01,   fig.l,   veut envoyer un appel sur la ligne L2 elle insère la fiche PG2 dans le jack J2 de la ligne L2   (Fig.l)   et la fiche PG1 dans le jack J conduisant à l'équipement local automatique. L'opéra- trice établit alors les connexions vers les abonnés appelé et appelant au moyen de sa table des clés. L'établissement de l'appel vers l'abonné demandé sera d'abord décrit. 



   En faisant cela, elle complète un circuit pour le relais de supervi- sion S2 et l'enroulement inférieur du relais   OUA   en série via les manchons de la fiche et du jack vers oyl. Une fois que le relais OUA a opéré il le reste   à   tra- vers son enroulement supérieur à haute résistance, mais le relais de supervision   n'est   pas maintenu en série avec cette résistance. Dès lors si la terre est   éloign   née par le fonctionnement du relais OY, la relais OUA reste excité mais le relais de supervision 82 est libéré. 



   Le fonctionnement du relais S allume la lampe LP et le fonctionnement du relais OUA actionne le relais OZ avec les résultats suivants: 
1 ) Le relais OR opère :batterie, enroulement non inductif de 02, ozl, enroulement de   OR,   oq3, et terre. 



   2 ) Fermeture du circuit suivant pour le relais oq; batterie, OQ, ot1. ojl, oz2. et terre. 

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   Le relais OQ est à action lente de sorte que la relais OR opère avant que son circuit ne soit rompu par suite du fonctionnement de OQ. Le relais OR est cependant lent à se rétablir et pendant son rétablissement, le relais à temps OU'est excité via or1, ow, amenant le fonctionnement du relais   OX   et plaçant des courants de fréquences phoniques X et Y correspondant au signal d'appel sur la ligne. Cette impulsion est terminée par le rétablissement du   rwlais   OU, suivant le rétablissement du relais OR. Le relais OQ provoque aussi le fonctionnement de   OAG   qui actionne le relais OS, et ce dernier prépare un circuit pour le fonctionnement du relais   OT.   



   A l'extrémité d'arrivée, ce signal d'appel actionne les relais B et C Le fonctionnement de ces relais amène l'excitation des relais à courant continu F, G, amenant le rétablissement de   L.   Le rétablissement du relais L provoque l'excita- tion du relais Y à travers le circuti:terre, contact de repos de L, enroulement de Y, et batterie. Il en résulte les faits suivants : Le relais Y se bloque à travers le circuit   suivantt   batterie, deuxième enroulement de Y, y1, k1, et terre. 



   Un circuit est préparé pour le relais AD en y2. 



   Un circuit de blocage est préparé pour AD et excite le relais R à tra- vers le circuit suivant : batterie, enroulement de R, q2, y3, et terre. 



   Un circuit est préparé pour le relais RE en y4. 



   Un circuit est préparé pour le fonctionnement des relais Q et M en y5. 



   A la fin de l'impulsion d'appel, le relais L est encore excite, et un circuit est complète pour le relais AD via 11, y2. 



   Le relais AD se bloque à la terre en y3, et en ad2 le circuit d'appel au bureau automatique est fermé à travers les conducteurs 9 et 11. 



   Cela complète un circuit : batterie, enroulement de St   (fig.6)   conduc- teur 11, ad2 (fig.5) conducteur 9, enroulement du relais de démarrage commun Fs, et terre. Le relais Fs s'excite et ferme les circuits de démarrage des électro- aimants tels que PF des communateurs chercheurs des circuits de connexion. Quand un chercheur a fait connexion avec la ligne appelante une terre à basse résistance est connectée via la came H du circuit de connexion   à   l'enroulement de gauche du relais 1 la came M1 le balai 1 en shunt, et le relais Fs qui se neutralise. Le relais St à présent s'excite sans effet.

   Un enregistreur est maintenant connecté au circuit de connexion par des moyens non montrés, et la terre est alors connecte via le balai rb de l'enregistreur connectant le commutateur, la came o, le balai b 

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 et le conducteur b pour actionner le relais KPR (fig.5). 



   Ce relais rompt le circuit d'opération normalement fermé du relais EJ, provoquant le rétablissement de celui-ci,  et   cela opère le relais KS. 



   Le rétablissement du relais   EJ   provoque le fonctionnement du relais BE via y1 et y4. 



   Le fonctionnement de BE provoque celui de P et de Qt batterie, enrou- lement de Q, j1, bel, et terre. 



   Le relais Q amène les groupes de relais R,S,T,U à envoyer une   impulsiop   de fréquence phonique de la manière suivante: sur le fonctionnement du relais Q à la terre est éloignée du relais à rétablissement lent R reliant cette terre aux relais S et U. Le relais U   excita   actionne aussi le relais X, et place dès lors la combinaison voulue de fréquences phoniques via la bobine répétitrice RP1, et les contacts de travail de X sur la ligne. L'impulsion est terminée par le réta- blissement de R et les relais U et X se libèrent. Par son excitation, le relais X excite aussi le relais J qui bloque le relais pour la durée de l'impulsion. 



   Cette impulsion provoque le fonctionnement des relais correspondants à fréquences phoniques de la fig.4 qui provoquent encore le fonctionnement des re- lais correspondants dans le groupe OE,OF.OG.OH. La combinaison de cette impulsion - (appelée signal d'extinction) est telle que le relais OL est libéré, ce qui amène le fonctionnement du relais OY. 



   Le relais Y se bloque et éloigne la terre du relais de supervision à travers l'enroulement inférieur à basse résistance du relais OUA. ce qui éteint la lampe. Cela indique à l'opératrice qu'elle peut actionner ses clés  
L'opératrice à présent abaisse les clés appropriées du groupe 1 ..O à tour de rôle et chaque clé actionne une combinaison de quatre relais W,X,Y,A. 



  Ceux-ci en agissant connectent les fréquences correspondantes sur la ligne via RP2 et les contacts de la clé de sonnerie RE2, qui est maintenue actionnée pendant la manoeuvre des clés. Le circuit de commande du relais PJ est aussi rompu ce qui termine l'impulsion par la rupture du   coté   commun de la source de fréquences de rétablissement. 



   Ces impulsions numériques opèrent la fréquence phonique correspondante et les relais à courant continu Sa, Sd, Ds, Dd dans l'enregistreur fig.6. Il en résulte que la terre est placée via les contacts de travail de Da.. Dd aux ensem- 

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 blés de relais enregistreurs de la manière habituelle. 



   A la fin de la manoeuvre des clés, le combineur du circuit de liaison est actionné. la terre via la came   H   est éloignée, mais le relais R1 reste excité batterie, enroulement de St. 11, ad2   (fig.5),     conducteur   9, enroulement de To. came M, les deux enroulements.de R1, résistance R, et rsl en parallèle à la terre. Le relais To opère de sorte que KPR se neutralisât Le relais Rs dans le circuit de liaison est excité, et l'ouverture de rsl libère SI pour éloigner la terre du con- ducteur 10. 



   Le relais KPR libère le relais KS et excite le relais EJ à travers un circuit facile à établir et AC via pl, kprl. 



   Le relais EJ libère le relais BE qui à son tour libère le relais P. 



  Ce dernier est cependant à rétablissement lent et donne le temps au relais   AC   de s'exciter et de se bloquer en ad3. 



   Le rétablissement du relais BE permet au relais Q d'abandonner ses ar- matures et ainsi le relais T opère pour un court temps à travers les contacts du relais à rétablissement lent S. Le fonctionnement du relais T place une impulsion V.F. sur la ligne ainsi que cela a été décrit plus haut pour le relais U. Cela est le signal   *lumineux    qui indique à l'opératrice que le numéro a été reçu dana l'en- registrsur. Un aignali"d'extinctgio" est cependant envoyé immédiatement après par la réexcitation des relais Q et BE, due au rétablissement de EJ quand le relais   AC     s'excita.   



   Le relais AC change le contrôle du relais EJ du relais KPR au relais St dans le circuit de jonction à travers le conducteur 10. 



   Par sa neutralisation P excite les relais   M   et AB à travers* la terre kprl.pl, acl, et en parallèle, l'enroulement de M,y5, et l'enroulement de   AB,   et la batterie. 



   Le fonctionnement du relais M bloque à la fois M et   AB,   tandis que l'ex- citation de AB coupe la ligne au bureau automatique. 



   Pendant ce temps, l'enregistreur a été actionné et à la fin, le relais St du circuit de jonction est excité   dd   au rétablissement de Rs dans le circuit de connexion, via le conducteur 11,ad2 (fig.5), le conducteur   9,   et le conducteur à la terre 10. Le relais EJ s'excite encore et envoie un signal "lumieneux"par suite du rétablissement des relais BE et Q, et l'excitation du relais T comme précédememnt 

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Si l'abonné est libre cette terre est continue. 



   Trois signaux sont donc reçus en retour à travers la ligne de l'extré- mité distante: un signal "lumineux" suivi immédiatement par un signal d'extinction, lequel indique à l'opératrice que le numéro a été reçu dans l'enregistreur, et un autre signal "lumineux" quand la sélection est achevée. Chaque signaux lumineux libère le relais OK qui à son tour libère le relais   OY   et place une terre à travers l'enroulement à basse résistance du relais OUA sur le relais de supervision S qui opère et allume la lampe LP. Chaque signal d'extinction libère le relais   OL'   excil te le relais OY, et éloigne la terre du relais de supervision qui se neutralise et éteint la lampe. 



   Quand la lampe s'allume pour la deuxième fois, l'opératrice sonne en pressant sur la clé de sonnerie RI. Cela amène l'excitation du relais PH qui place une combinaison de deux courants de fréquence phonique sur la ligne. 



   Le ton de sonnerie opère les relais correspondants à fréquence   phoni-   que et à courant continu de la fig.5 pour rétablir la relais N. Le rétablissement de N complète un circuit de la terre via be2 pour l'excitation du relais EA qui place un courant de sonnerie de 20 cycles sur le circuit de l'abonné, Le relais EA reste excité aussi longtemps que l'opératrice sonne puis alors se libère. Quand l'abonné répond le relais St est libéré pour neutraliser le relais EJ: Un signal d'extinction est envoyé, et la lampe de l'opératrice est éteinte comme précédem- ment. 



   Si l'abonné est occupé, le relais Rs est connecté via la came P à la terre interrompue, et une terre de scintillement est reçue sur EJ à la quelle ce relais répond. Des signaux alternés *lumineux* et d'extinction sont envoyés avec pour résultat de faire scintiller la lampe de supervision de l'opératrice. 



   Si l'opératrice à présent sonne, elle peut de la manière bien connue rompre la connexion établie et offrir l'appel interurbain à l'abonné local à l'ex- trémité distante. Si elle sonne une deuxième fois, elle rompt la connexion locale   distante,   et la connexion interurbaine est complétée. 



   A la fin de la conversation, l'abonné appelé raccroche et le relais St est encore neutralisé pour rétablir EJ. Les relais BE et Q se libèrent et un signal "lumineux" est envoyé amenant l'allumage de la lampe de supervision de l'o- pératrice. Celle-ci déconnecte le circuit de cordon qui permet au relais OUA de se 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 libérer, et cela libère en plus le relais OZ. Le rétablissement de ce dernier per- met au relais 10 de se neutraliser, complétant ainsi un circuit pour le relais OT via cla, oq3. Le relais OT excite le relais OX et place les courants de fréquences phoniques qui comprennent le signal de rétablissement sur la ligne. 



   Le rétablissement de CO rompt le circuit d'opération du relais CAG qui se neutralise lentement et rompt les circuits du relais OS qui est aussi lent à se neutraliser. Cependant quand ce dernier se neutralise, il rompt le circuit du re- lais OT qui abandonne ses armatures et interrompt le signal de rétablissement. 



  Tous les relais sont maintenant revenus à leurs positions normales. 



   L'impulsion de rétablissement opère les relais appropries à courant continu et à fréquences phoniques (fig.5) avec comme résultat la neutralisation du relais K. Le rétablissement de K rompt le circuit de blocage du relais   Y   qui se libère immédiatement et   rétablit.tous   les relais à leurs conditions normales. 



   Les arrangements récepteurs et transmetteurs pour signaux de supervis aion à fréquences phoniques, individuels aux lignes entre bureaux et montrés figu- res 4 et 5 peuvent être remplacés par un équipement quelconque pour transmettre et recevoir des signaux de supervision de courant à basse fréquence ou de courant con- tinu. 



   REVENDICATIONS. 



   1 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, comprenant une série de lignes ou circuits à travers lesquels les signaux à courant alternatif sont   transmis   caractérisé en ce que   l'équipement   récepteur pour les dits signaux est associé en commun avec les dites lignes ou circuits. 



   2 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, comprenant une série de lignes ou circuits à travers lesquels des signaux à courant alterna- tif, caractérisant une connexion déterminée, sont transmis, et un équipement récep- teur pour les dits signaux, associé en commun avec les dites lignes -ou circuits. 



   3 -Système téléphonique automatique ou semi-automatique, dans lequel l'établissement d'une connexion est contrôlé entièrement ou en partie par un con- trôleru-enregisteur qui est adapté pour enregistrer des impulsions du courant al- ternatif. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 4 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique' tel que reven diqué en 1 ou 2, caractérisé en ce que des signaux autres que les signaux à courant <Desc/Clms Page number 13> alternatif, caractérisant une connexion donnée, passent entre des appareils indi- viduels aux dits circuits.
    5 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué en 3, caractérisé en ce que le dit contrôleur-enregistreur est adapté pour tre utilisé à la fois pour des appels locaux et des appels entre bureaux.
    6 - Système téléphonique sdmi-automatique, tel que revendiqué en l, dans lequel une connexion peut être établie sous le contrôle de l'équipement auto- matique par une opératrice, caractérisé en cs que les signaux transmis à l'équipe- ment automatique, en réponse auxquels ce contrôle est effectué, sont transmis direc tement du circuit de connexion de l'opératrice vers l'équipement automatique.
    7 - Système téléphonique semi-automatique, tel que revendiqué en l, dans lequel un appel entre bureaux est établi par une opératrice à l'extrémité de départ d'une ligne de jonction, sous le contrôle de l'équipement automatique à l' extrémité d'arrivée, caractérisé en ce que les signaux transmis à l'équipement au- tmatique, en réponse auxquels le contrôle est effectué, sont transmis directement du circuit de connexion de l'opératrice à travers la ligne de jonction.
    8- Système téléphonique semi-automatique, dans lequel un enregistreur contrôleur à un bureau est. utilisé pour établir des appels à travers un équipement automatique sous le contrôle d'une opératrice locale au dit bureau, ou d'une opéra trice à un autre bureau connecte à celui considéré.
    9 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, dans lequel des appela locaux ou des appels entre-bureaux sont établis à travers un équipement automatique à l'extrémité réceptrice d'un circuit, caractérisé en ce que les sig- naux contrôlant l'équipement automatique sont transmis à travers le circuit venant de dispositifs envoyeurs extérieurs au circuit, tandis que les signaux de super- vision à travers le circuit passent entre les équipements individuels à chaque ex- trémité du circuit.
    10 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, dans leqael des appels locaux ou des appels entre-bureaux sont établis à travers un équipement automatique à, l'extrémité d'arrivée dun circuit, caractérisé en ce que les signaux contrôlant 1.équipement automatique sont reçus directement de l'extrémité de départ du circuit par l'équipement à l'extrémité d'arrivée, extérieur au circuit, tandis <Desc/Clms Page number 14> que les signaux de supervision à travers le circuit passent entre des équipements individuels à chaque extrémité du circuit.
    11 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, dans lequel des appels locaux ou des appels entre-bureaux son établis à travers un équipe- ment automatique à l'extrémité d'arrivée d'une ligne ou d'un circuit, caractérisé en ce que les signaux contrôlant l'équipement automatique sont transmis directe- ment entre des groupes d'équipements extérieurs au circuit, tandis que les signaux de supervision à travers le circuit passent entre des équipements individuels à chaque extrémité de la ligne ou du circuit.
    12 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, dans lequel une opératrice à un bureau peut établir des connexions automatiques vers des abon- nés de son propre bureau et d'un autre bureau, ou à d'autres bureaux au moyen du morne dispositif envoyeur d'impulsions ou autre dispositif contrôleur de sélection.
    13 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué dans l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que lessigneau contrôlant la sélection sont formés de fréquences phoniques.
    14 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué dans l'une quelconque des précédentes revendications, caractérisé en ce que les signaux de supervision utilisés pendant l'établissement¯d'une connexion sont formés de courants de fréquences phoniques.
    15 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué dans l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisé en ce que les signaux desupervision utilisés pendant l'établissement d'une connexion sont formés de courant alternatif à basses fréquences ou du courant continu.
    16 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué dans l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'opératrice transmet des signaux sélectifs d'un ensemble de clés ou d'un dis- que numéroteur, directement associé avec son circuit de cordon.
    17 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué dans l'une quelconque des revendications préédent caractérisé en ce que les signaux sélectifs sont reçus au bureau d'arrivée sur un mécanisme d'enregis- trement et de contrôle.
    18 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- <Desc/Clms Page number 15> vendiqué dans l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que quand une opératrice à un bureau utilise une ligne de jonction vers un autre bureau, un enregistreur au dit autre bureau est automatiquement connecté à la ligne de jonction.
    19 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que re- vendiqué en 18, caractérisé en ce que l'enregistreur comprend un groupe de relais à fréquences phoniques adaptés pour recevoir des signaux sélectifs formés de cou- rant de fréquences phoniques, transmis par l'opératrice au bureau d'où l'appel est envoyé.
    20 - Système téléphonique automatique ou semi-automatique, tel que revendiqué en 11, caractérisé en ce que la table des clés ou le disque numéroteur peut être connecté à l'une ou l'autre extrémité du circuit de cordon pour établir des connexions vers les abonnés appelant et appelé,respectivement au bureau local et à un bureau distant.
    21 - Système téléphonique automatique ou semi-automatiqe, tel que re- vendiqué en 1 à 12, et tel que décrit ci-dessus et représenté aux dessins ci-joints RESUME.
    L'invention se rapporte à des systèmes téléphoniques automatiques ou se mi-automatiques, et elle comprend les faits nouveaux décrits ci-dessus.
    Plus particulièrement elle comprend les faits suivants: 1) - Dans un système dans lequel du courant alternatif, de préférence dans la rangée des fréquences phoniques, est utilisé pour une signalisation sélec- tive, et si on le désire aussi pour une signalisation de supervision, les signaux sélectifs sont reçus directement d'une ligne ou circuit d'arrivée par un enregis- treur-contr8leur ou autre équipement associé en commun avec la ligne ou le circuit.
    2)- Un enregistreur-contr81eur, prévu dans un bureau d'un réseau, est utilisé pour établir des appels à travers un équipement automatique sous le conrô- le d'une opératrice locale ou d'une opératrice à un autre bureau connecté à celui envisagé.
    3) - Dans un système tel qu'établi en (1), les signaux sélectifs peu- vent être transmis directement de l'équipement connecté à un circuit de cordon d' <Desc/Clms Page number 16> opératrice vers un enregistreur-contrôleur à l'extrémité d'arrivée d'une ligne ou d'un circuit auquel le circuit de cordon est connecte, tandis que les signaux de supervision sont transmis entre l'équipement individuel vers les extrémités de la ligne ou du circuit.
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