BE372020A - - Google Patents

Description

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  " perfectionnements apportés aux balles creuses en caoutchouc et à leur procédé de fabrication ". 



   L'invention est relative aux balles creuses en   ca-   outchouc convenant   plue)   spécialement pour jouer au tennis. 



   La balle,   établia   selon   l'invention,se   caractérise par le fait qu'elle ne comporte pas de nervure intérieure et que l'épaisseur du caoutchouc est constante en tous points. 



  Grâce à cette uniformité,la balle rebondit correctement et est très solide. 



   On a recours   à   du caoutchouc,  désigne   dans le com- merce par le terme "compound" mais dénommé simplement ci-après par le mot caoutchouc et on lui donne la forme   d'une   balle en le moulant sur un noyau sphérique et dans un moule dans lequel est ménagée une cavité sphérique et on vulcanise partielle- ment la balle ainsi obtenue.

   Celle-ci comporte donc un trou formé par le support du noyau et si on   intercale   une pièce d'écartement entre la face interne de la partie supérieure du moule et le noyau, cette pièce forme également un petit trou, 
On enlève la balle,  partiellement   constituée,du      

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 noyau et s'il est nécessaire d'appliquer sur la face interne de la balle un revêtement ou enduiten une matière propre   à   empêcher l'échappement de l'air ou d'un gaz comprimé, qui sera ultérieurement introduit dans la balle, on procède   à   cette application. Une petite nervure peut se former extérieurement sur la balle mais celle-ci peut être aisément enlevée par des procédés connus. 



   On égalise ensuite les bords du trou et on aplatit la balle en laissant le trou dégagé. On introduit dans le trou un bouchon, constitué en la même matière (ou sensiblenent la même) que celle constituant la balle. Un petit trou peut exis- ter dans la balle ou sinon on en perce un et l'air peut péné- trer au travers de ce trou pour donner à la balle sa   forme   sphérique normale. On a recours ensuite à un bouchon pour fer- mer ledit trou. 



   Avant de procéder au bouchage on fait passer la bal- le par une ouverture circulaire, ménagée dans une plaque-sup- port,  le   diamètre de cette ouverture étant légèrement moindre que celui de la balle et on introduit celle-ci dans une cavité sphérique dans laquelle elle s'emboîte exactement, On enlève la plaque pour permettre la fermeture de ladite cavité. Dans cette dernière est ménagée une ouverture qui se trouve en re- gard de celle menacée dans la balle en étant convenablement établie. Au travers du trou, ménagé dans la   chambre,   on in- traduit un poussoir pour refouler un bouchon propre à obturer le trou ménagé dans la balle mais avant de procéder à l'obtu- ration on introduit la pièce, dans laquelle est prévue la ca- vité, dans une enceinte dans laquelle on fait pénétrer de l'air ou un gaz sous pression.

   Quand le fluide gazeux a péné- tré dans la balle on agit sur la. tige pour enfoncer le bou- chon, ce qui déforme momentanément la balle. Quand on soulè- ve la tige. la balle est prête à subir la fin de l'opération de vulcanisation et on procède effectivement à cette opération      La balle pourrait être vulcanisée avant qu'on procède au rem- 

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 plissage avec de l'air ou un gaz comprimé et dans ce cas on a recours à un élément chauffe électriquement pour la mise en place du bouchon, 
Le dessin ci-annexé contre,à titre d'exemple,des appareils propres à la mise en oeuvre du procédé susdit, Il est à remarquer qu'en pratique on pourrait fabriquer plu- sieurs balles simultanément.

   On a jugé inutile de Montrer des appareils convenant à cet effet, 
Toutes les figures, que comporte ce dessin, montrent des coupes diamétrales à l'exception des fjg. 10 et 11.   Somme   des présses appropriées sont courament utilisées,il est inu- tile d'en montrer une sur le dessin. 



   La fig. 1 montre,en perspective,le moule et les éléments adjacents. 



   La fig, 2 montre,  9 en   élévation, la partie inférieure du moula, un noyau, du caoutchouc non moulé et du caoutchouc moulé. 



   La fig. 3 montre les organes représentés sur la fig. 



  21 le noyau, entouré de caoutchouc, ne trouvant dans le   moule.   



   La fig. 4 montre une variante du moule contenant un noyau et du caoutchouc prêts à subir l'action de la pres- sion. 



   La fig. 5 montre le noyau,   recouvert   de caoutchouc, après que le caoutchouc a été partiellement vulcanisé], le mou- le étant ouvert et ledit noyau étant dégagé de la partie infé- rieure du moule. 



   La fig. 6 montre le noyau,recouvert de caoutchouc, porté par une poignée et placé à coté d'un crochet propre à agrandir temporairement le trou ménagé dans la banle et per- mettre ainsi le dégagement du noyau. 



   La fig. ?montre la balle quand elle est dégagée et des moyens propres à préparer les bords du trou pour recevoir le bouchon. 



   La   fige   8 montre la balle aplatie, un bouchon et un 

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 poussoir pour refouler le bouchon dans le trou de façon à obturer celui-ci complètement et d'une manière   permanente.   



   La fig. 9 montre la balle dans laquelle est   ménagé   un petit trou pour permettre l'introduction   d'air   ou de gaz comprimé. 



   La fig. 10 montre, en perspective, une partie d'une plaque formant support. 



   La fig. 11 montre, à plus grande échelle, un pous- soir obturateur. 



   La fig. 12 montre une boite, constituée en deux par- ties, la partie inférieure portant la plaque-support et la balla telle que représentée sur la   fig.   9, ainsi que le   pous-   soir de la fig. 11 et un bouchon pour obturer le petit trou. 



   La fig. 13 montre les organes représentés sur la fig. 12, la plaque-support étant toutefois enlevée, ainsi que l'enceinte fermée dans laquelle se trouve la boite, le poussoir étant montré en deux positions caractéristiques dif- férentea. A ce moment de l'air ou un gaz comprimé est intro. duit dans l'enceinte pour remplir les   ballee.   



   La fig. 14 montre une partie d'une balle, établie comme à l'ordinaire, et présentant une nervure et un joint sur sa face interne sur tout le contour de la balle. 



   La fig. 15 montre une partie d'une autre balle éga-   lamant   établie comme connu et qui présente le défaut d'avoir une paroi d'épaisseur inégale. 



   La fig. 16 montre, à plus grande échelle, une pièce d'écartement utilisée dans certains cas pour centrer le noyau. 



   La fig.   17 ,   enfin, contre , à plus grande échelle, une partie d'une balle, fabriquée partiellement et dans   la-   quelle s'est formé un trou formé par ladite pièce d'écarte-. ment. 



   Les fig. 14 et 15 montrent une enveloppe en matière textile recouvrant généralement les balles   detennie.   Les bal- les, fabriquées selon l'invention, comportant des enveloppes analogues, 

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On a désigné par B1 une partie   d'une   balle connue, obtenue par l'assemblage de deux moitiés B2 et B3, ce qui for- me une nervure indésirable B4 et donne lieu à une rainure qui s'étend sur tout le contour circonférentiel de la balle. On a désigné par B5une balle connue ayant une paroi d'épaisseur irrégulière en B6. On a désigné par B7 un enduit qui empêche l'échappement de   l'air.   



   On a désigné par la et 1b respectivement les parties inférieure et supérieure d'un moule dans chacune desquelles est ménagée une cavité en forme de demi-sphère. Quand ces par- ties sont superposées il se forme une cavité sphérique 2 dans laquelle est centré un noyau sphérique 4 d'un diamètre   moin     dre.   



   Pour maintenir le noyau dans sa position centrée on a recours à un support 3 traversant la partie la du moule et dont l'extrémité 3a est constituée par exemple sous forme co- nique. Dans le noyau est ménagé un logement 4a   propre à,   rece- voir ledit support. Un passage 3b est prévu dans ce dernier pour permettre l'échappement de l'air hors du moule. La plus courte distance entre le noyau et le moule équivaut à l'épais- ceur du caoutchouc servant   à   former la   balle, à   part une lé- gère modification dans l'épaisseurs résultant du traitement ultérieur. 



   Les parties la et lb du moule sont, avantageusement, solidaires en pratique des éléments 6a et 6b d'une presse cou- ramment utilisée dans ce cas et qui comporte des chambres à vapeur 7a et 7b. 



   Le caoutchouc à utiliser est plastique et se   défor-   me par la pression surtout si on le chauffe. Le moule est chauffé et le caoutchouc 8 est introduit dans la partie la (fig. 1). On abaisse ensuite le noyau 4 sur le caoutchouc jus- qu'à ce que les faces de moulage soient concentriques. Le ca- outchouc s'étale jusqu'en Sa et l'excès se répartit autour du bord du moule. On place une autre quantité de caoutchouc 9 sur 

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 le noyau   (fig.   2) et on abaisse la. partie supérieure 1b du moule de façon   à   étaler le caoutchouc en 9a, le caoutchouc constituant la partie supérieure s'unissant à celui   consti-   tuant la partie inférieure en formant ainsi une masse homogè- ne qui. remplit l'espace libre du moule.

   Tout excès de   caoub-   chouc est   recueilli   dans un canal 10 d'où il peut être aisé- ment enlevé. 



   Le moule établit selon la variante fig. 4 comporte une ouverture dans laquelle le caoutchouc 9b peut être in- troduit. Il est avantageux d'introduire dans ce trou un tube 11 dans lequel peut coulisser un poussoir 12 pour refouler le caoutchouc plastique dans la cavité du moule   à   l'exception de l'endroit   où   ae trouve le support 3, le caoutchouc en excès pénétrant par des trous 10a dans le canal 10. La surface de moulage 12a du poussoir 12 est concave de façon à correspon- dre à la face interne du moule. 



   Un revêtement en caoutchouc peut être appliqué de toute   maniera   convenable sur le noyau et est ensuite   seini-   vulcanisé pour permettre le dégagement du caoutchouc du no- yau, mais avant cette opération on ouvre le moule et on dégage le noyau   recouvert à   l'aide de moyens appropriés tels que ceux montrés sur la fig. 5 sur laquelle 13 désigne une tige propre   à   coulisser axialement dans le support. En appuyant sur le fond de la cavité 4a, cette tige 13 dégage le noyau du sup- port et de la partie inférieure du moule, 
Sur la fig, 6 on a montré une poignée 14 engagée dans la cavité 4a pour maintenir le noyau et la table quand cette dernière est séparée du noyau.

   Tout moyen approprié peut être utilisé à cet effet, par exemple un crochet 16 qui pénètre dans le trou 16, existant dans la table, peut élargir suffi- samment ledit trou. Les bords du trou sont rodés ou égalisés de toute manière appropriée, par exemple par un outil racleur   17.   Les bords égalisés s'adaptant exactement et fermement sur un bouchon 18 qui y est fixé par des moyens connus appropriés, 

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 par exemple par collage. Pour la mise en place de la pièce 
18 on aplatit la balle 9cet on l'adapte,, par exemple, sur une pièce convexe 19. Il est préférable de refouler le bou- chon dans un support tubulaire 20 à l'aide d'un poussoir 21. 



   Bien qu'un noyau métallique lourd, en étant utilisé comme dé- crit, vienne se placer généralement dans une position correc- te dans le moule, dans certains cas on peut avoir recours à un dispositif centreur comportant une pièce d'écartement 1c (fig. 16) porté par la partie 1b et pénétrant dans une ence- che 4b ménagée dans le noyau, Un des effets de cette pièce est de formerdans la balle un trou 22b fig. 17 ) qui,comme décrit ci-après, permet l'introduction de   l'air   pour que la balle puisse reprendre sa force normale. 



   Dans le cas où la pièce 18 ferme la balle et qu'il n'y a pas de trou 22b on perce un trou 22 par lequel l'air peut passer comme indiqué. Quand on doit percer le trou 22 on prévoit des moyens propres   à   indiquer l'endroit 22bl où ce trou doit être percé, ces moyens pouvant consister en une saillie 22a prévue sur la partie 1b du moule ou sur le pous- soit 12. 



   On introduit de l'air ou un gaz comprimé dans la balle avant de fermer le trou 22, On achève la vulcanisation de la talle et on la recouvre,si nécessaire,d'un revêtement en tissu. 



   On a désigné par 23 une mince plaque-support (fig. 



  10 à 13) dans laquelle sont ménagés des trous circulaires tels que, lorsqu'on introduit une balle dans un trou, eelle-ci soit légèrement serrée ou comprimée,, le trou d'air de la balle se trouvant à sa partie supérieure, Cette plaque comporte deux parties 23a et 23b reliées en 23c. On introduit la moitié in- férieure de la balle dans la partie inférieure d'une chambre dans laquelle elle s'adapte et on a recours   à   un bouchon 26, qui généralement a une for,ne tronconique, bouchon qu'on tient prêt à fermer le trou 22 en ayant ses borda recouverts d'une 

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 matière agglutinante. La partie supérieure de la chambre est ensuite mise en place, la plaque 23 est enlevée et la chambre est fermée. Celle-ci comporte un trou 28 qui se trouve en re- gard du trou 22. Un poussoir 29 est engage dans le trou 28. 



  Dans ce poussoir est ménagée une rainure 29a pour permettre le passage de l'air, ce poussoir sert à la mise en place du bouchon 26 qui se trouve en dessous de lui. 



   La chambre est maintenue fermée (par exemple par l'intermédiaire de boulons 30 avec écrous 30a) et est placée dans une enceinte ou caisse   31,   étanche à l'air et dans la- quelle on introduit par 32 de l'air ou un gaz sous pression. 



  On a désigné par 33 un manomètre. Les balles sont remplies avec de l'air ou un gaz sous pression et le poussoir est abais- sé, par exemple par un organe refouleur 34. Ceci provoque une   défor,nation   locale de la balle, visible en 29b, mais cette déformation   disparait   dès que la poussée cesse. Le poussoir 29 est retenu, par exemple, par un doigt 37 pénétrant dans une encoche 36, quand le bouchon est engagé dans la balle B coin-   plètement   fermée. 



     La   caisse est ouverte, la chambre est enlevée et la vulcanisation de la balle est poursuivie   jusqu'à,   la fin, on ouvre la chambre et on enlève les balles, 
Dans les revendications ci-dessous on a désigné par le terne "balle" une balle creuse et élastique et par le terne "caoutchouc" toute matière constituée par du caoutchouc ou du "compound" et analogue à celle que tout homme du métier utili- serait pour cette application, On sait que du caoutchouc   plasti-   que et non vulcanisé est utilisé comme matière première pour la fabrication de balles, qu'il est vulcanisé partielle.nent à un certain stade de la fabrication et qu'à un stade ultérieur il est vulcanisé complètement. 
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Claims (1)

1. Un procédé pour fabriquer une balle creuse en caoutchouc suivant lequel du caoutchouc est pressé et remplit <Desc/Clms Page number 9> une cavité sphérique existant entre un noyau central amovible et un moule extérieur, 2. Le moulage de caoutchouc pour lui donner la forme d'une balle, dans un moule dont la surface interne est sphé- flue et autour d'un noyau amovible à l'exception de l'endnoit où se trouve le support du noyau et la vulcanisation partielle du caoutchouc recouvrant le noyau, 3.

Le moulage de caoutchouc pour lui donner la foras d'une balle dans laquelle est ménagée un trou, dans un moule dont la surfade interne est sphérique et autour d'un noyau cen- tral, la. vulcanisation partielle du caoutchouc, le dégagement du noyau par ledit trou, l'introduction dans ledit trou d'une masse de caoutchouc ayant sensiblement la même épaisseur que celle de la paroi de la balle, le percement d'un trou plus pe- tit dans la balle,l'introduction, par ce deuxième trou, d'air ou analogue sous pression et la fermeture de ce dernier trou.

4. Le mode de support concentrique d'un noyau sphé- rique dans une cavité sphérique ménagée dans un moule consti- tué par des éléments juxtaposés, l'introduction par pression de caoutchouc par un orifice ménagé dans la paroi dudit moule jusqu'à remplir l'intervalle existant entre le noyau et le moule pour obtenir une pièce affectant la forme d'une balle, la vulcanisation partielle de cette pièce et son enlèvement, de pair avec le noyau, hors dudit moule.

5. L'enlèvement de la balle, partiellement vulcani- sée, d'un noyau creux que cette balle entoure à l'exception de l'endroit où un support pénètre dans le creux du noyau, l'enlèvement ayant lieu par l'intermédiaire d'un crochet qui peut pénétrer dans l'ouverture ménagée dans la valle.

6. Le fait de constituer une balle avec un trou à l'aide de caoutchouc, le fait d'aplatir la balle et de remplir le trou avec du caoutchouc de façon à obtenir une paroi sensi- blement uniforme en tous points de la balle, <Desc/Clms Page number 10> 7. L'introduction d'une balle, partiellement vulca- nisée et dans laquelle est ménagée une petite ouverture, dans une chambre qui enrobe de près la balle, le logement de cette chambre dans une enceinte ou caisse, la fermeture de cette dernière,lfintroduction d'air ou d'un gaz sous pression dans l'enceinte et par suite la chambre et la balle, la fermeture du trou existant dans la balle de façon à fermer celle-ci, l'ouverture de l'enceinte, l'enlèvement de la chambre, la vul- canisation complète de la balle et 1'enlèvement de la balle hors de la chambre.

8. Une balle partiellement vulcaniaée, percée d'un trou et façonnée comme spécifié dans l'une quelconque des re- vendications précédentes.

9. Une balle, dans laquelle est ménagé un trou, qui est ensuite fermé avec du caoutchouc dont l'épaisseur corres- pond sensiblement à celle de la paroi de ladite balle, la bal- le étant alors vulcanisée et percée d'un autre trou, rela- tivement petit, au travers duquel de l'air ou un gaz sous pres- sion est introduit, ce dernier trou étant ensuite fermé et la vulcanisation étant, finalement, complétée.

10. Dans un appareil pour la fabrication de balles, un moule dans lequel est ménagée une cavité sphérique dans la- quelle est logé, concentriquement, un noyau sphérique amovible comportant des moyens de support propres à être séparés du noyau.

11. La disposition selon la revendication 10 dans la- quelle une pièce d'écartement ou entretoise est établie entre la surface interne du moule et le noyau.

12. La disposition selon la revendication 10 dans la- quelle une tige traverse le support du noyau et qui permet de déplacer le noyau par rapport au moule.

13. Dans un appareil.pour fabriquer des balles, un noyau sphérique creux, une poignée amovible engagée dans ce- lui-ci, un revêtement en caoutchouc prévu sur ledit noyau, ce <Desc/Clms Page number 11> revêtement comportant une ouverture au travers de laquelle passe la poignée, ledit revêtement étant partiellement vulca- nisé et des moyens pour élargir l'ouverture pour permettre le dégagement du caoutchouc du noyau.

14. Dans un appareil pour fabriquer des balles,un support portant une balle aplatie et percée d'une ouverture, une pièce de remplissage ou bouchon pour fermer ladite ouver- tare, un élément presseur appliqué sur les borde de l'ouver- ture et ceux du bouchon et un plongeur pour presser le bouchon entre les bords de l'ouverture.

15. Dans un appareil pour fabriquer des balles,un moule dont la surface interne se trouve à une distance unifor- me d'un noyau central sphérique,ladite surface comportant des moyens pour marquer sur la balle, quand elle est fabriquée partiellement dans le moule, un endroit pour y percer un trou pour l'entrée de l'air dans ladite balle.

16. Dans un appareil pour fabriquer des balles, une plaque support comportant des parties séparables et dans laquel le est ménagée une ouverture pour entourer la balle diamétra- lainent et faciliter l'engagement de chaque balle dans une cham- bre qui l'enrobe de près.

17. Dans un appareil pour fabriquer des balles, une chambre constituée par des parties séparables et limitant un espace dans lequel s'adapte exaetement une balle, la chambre et la balle comportant des ouvertures pour permettre 19intro- duction d'air ou de gaz comprimé dans la balle, l'ouverture ménagée dans la chambre comportant des moyens pour boucher ou obturer l'ouverture ménagée dans laballe.

18. Une disposition telle que revendiquée sub 17 dans laquelle une tige coulissante peut se déplacer par rap- port , l'ouverture ménagée dans la chambre, cette tige traver- sant la paroi de l'enceinte dans laquelle la chambre est in- troduite et portant un bouchon propre à être engagé dans l'ou- verture, ménagée dans la balle, pendant que l'enceinte reste <Desc/Clms Page number 12> fermée, cette tige maintenant le bouchon dans sa position de fermeture jusqu'à ce que la vulcanisation du caoutchouc soit terminée, 19.

Un appareil pour fabriquer partiellement une bal- le sur un noyau, en substance tel que décrit à propos de la fig. 1 ou de la fig. 4 avec ou sans moyens pour indiquer l'en- droit où le deuxième trou doit être percé ou avec une entre- toise en gubstance telle que décrite à propos de la fig. 16.

20. Un appareil pour remplir des balles, fabriquées en partie, avec de l'air ou un gaz comprimé et pour obturer l'ouverture de remplissage, en substance tel que décrit à pro- pos de la fig. 13.