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Vignette adhésive comportant un certificat rendu infalsifiable.
L'invention concerne une vignette adhésive comportant un certificat rendu innasifiable destiné à être visible sur, ou au travers du support sur lequel ladite vignette est apposée.
Dans le soucis de faciliter ! es contrôles. certaines réglementations obligent le propriétaire d'un véhicule à coller de manière visible sur celui-ci, un certificat prouvant qu'il est à jour avec sa compagnie d'assurances vis-à-vis dudit véhicule, ou qu'il a bien effectué un contrôle technique, ou réglé une certaine taxe,...
Le certificat peut notamment mentionner une période de validité, un numéro d'identification du véhicule, etc.
Le certificat apposé sur le véhicule ne dispense généralement pas te titulaire de posséder aussi une attestation ou récépissé.
L'attestation ou le récépissé reprend au moins en partie les indications du certificat et ces deux éléments sont généralement édités ou complétés en même
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Lorsqu'il s'agit d'une automobile, le certificat est apposé sur son pare-brise, le recto imprimé étant sur la face intérieure dudit pare-brise afin d'être visible de l'extérieur. D'une manière générale, on peut étendre cette application à tout véhicule muni d'un pare-brise, y compris donc les bateaux, etc.
Pour une motocyclette ou une remorque, régie au moins en partie par les mêmes règles, le certificat est appliqué, par exemple, sur le garde-boue.
Divers systèmes sont connus. Par exemple, un système consiste à fournir une pochette adhésive et transparente à coller sur le pare-brise de l'automobile ou le
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garde-boue de la motocyclette dans laquelle il suffit de glisser le certificat en faisant apparaître de manière visible la face imprimée (certaines pochettes dont seule une face est transparente, sont alors destinées à un seul type de véhicule à pare-brise ou sans).
Un tel système est onéreux, d'autant plus qu'à moins de distinguer un nouvel assuré et/ou un nouveau véhicule d'un ancien, on fournit souvent une nouvelle pochette pour chaque certificat concernant une période contractuelle. En outre, pour une motocyclette, la pochette n'est pas véritablement protectrice, notamment contre le vol, mais aussi contre les dégradations dues aux intempéries puisqu'elle est nécessairement ouverte d'un côté.
C'est pourquoi on a imaginé d'autres systèmes tels que, par exemple, celui décrit dans la demande de brevet Français publiée sous le numéro 2 581 226 destiné à l'apposition uniquement sur pare-brise, ou encore selon le brevet Français publié
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sous le numéro 2 593 120 dans lequel la vignette comporte une étiquette (certificat) qui est collée par son verso sur une feuille adhésive transparente destinée à être collée elle-même sur le pare-brise du véhicule, ou, après retournement, sur une motocyclette.
Qu'il s'agisse du système de pochette ouverte ou des systèmes selon les brevets précités, la face visible du certificat n'est jamais protégée de manière infalsifiable lorsqu'il s'agit de l'apposer sur un pare-brise. Il existe donc notamment des risques de fraude.
C'est en particulier la raison pour laquelle on a imaginé le système décrit dans le brevet publié sous le numéro 2 165 343 qui permet de pallier certains des inconvénients précités.
Le système décrit dans le document précité rend le certificat inviolable du fait que la face utile du certificat est appliquee sur un élément transparent aanebf ae protection.
De la sorte, on comprend que toute tentative d'enlèvement de l'élément adhésif de protection entraîne la destruction dudit certificat.
Pour améliorer encore l'inviolabilité d'un tel certificat, ou pour rendre inviolable ou infalsifiable de manière simple un certificat apposé de la manière décrite dans le document précité 2 593 120, c'est-à-dire appliqué directement sur son support, sa face utile n'étant alors pas protégée (dans le cas d'une apposition sur un pare-brise), l'inventeur a imaginé un système particulièrement simple.
Il faut bien comprendre que le support sur lequel est apposée une telle vignette est tout à fait quelconque. En effet, pour une surface transparente, il peut s'agir d'un pare-brise, mais Il peut aussi, bien sûr, s'agir d'une installation fixe telle qu'une vitrine, un guichet, ou autre. D'une manière générale, on peut considérer toute surface puisque l'invention concerne aussi l'application de la vignette sur un support non transparent, notamment en vue de l'application, comme précité, pour les motocycletes.
En outre, il y a lieu de remarquer que le vocabulaire utilisé ici peut être diffé- rent de la littérature concernant ce sujet, étant donné l'extrême variété des mots utili- sés pour désigner souvent les mêmes choses.
C'est ainsi que le mot certificat doit être compris comme vignette pour cer- tains (ici le mot vignette désigne un tout) ou macaron, ou encore étiquette, récépissé, attestation,...
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La vignette selon l'invention comportant un certificat appliqué et collé sur une étiquette adhésive dont une partie libre est destinée à servir de zone adhésive pour fixer la vignette sur le support, est remarquable en ce la partie de l'étiquette constituant la zone adhésive de la vignette sur le support, est pourvue sur son pourtour de petites zones découpées partiellement, de manière telle que toute tentative de retrait de la vignette de son support entraîne le décollement de celle-ci à l'exception des zones découpées qui restent collées sur le support.
On comprend que tout enlèvement rend ainsi très difficile, voire impossible, tout repositionnement ultérieur de la vignette.
Selon un mode de réalisation tes zones découpées partiellement sont de nature à entraîner un déchirement de l'étiquette en cas de retrait de celle-ci par décollement.
Pour une vignette dont l'étiquette adhésive, sur laquelle le certificat est appli-
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, -'.... 1 - - - 4"" -... -" -' celles dudit certificat dont le recto ou le verso est collé sur ladite face adhésive, la zone de l'étiquette qui déborde de la surface du certificat constituant la zone adhésive de fixation de la vignette sur le support, ladite zone adhésive débordante est pourvue des petites zones découpées partiellement.
De la sorte, d'une vignette classique dont le certificat est falsifiable, sauf dans le cas où c'est le recto qui est collé (pour les motocyclettes par exemple), on obtient une vignette dont le certificat devient difficilement falsifiable du fait du recollement délicat, voire quasi impossible de la vignette après retrait de celle-ci.
Dans le cas précédent, si le recto du certificat est en outre pourvu d'un élément de protection rapporté et collé. on renforce quand même avec l'invention le caractère infalsifiable de la vignette.
C'est notamment le cas pour un mode particulier de vignette dont l'étiquette adhésive est transparente et forme un diptyque dont les deux volets sont au moins de largeurs inégales, les dimensions du petit volet étant au moins égales à celles du certificat qui est destiné à être disposé entre les faces adhésives des deux volets rabattus l'un sur l'autre par pliage autour de leur ligne de séparation, de telle sorte que chacune des faces du certificat-est revêtue par l'un des volets de l'étiquette, laquelle forme ainsi pour le certificat, une pochette fermée et collée, tandis que la zone du plus grand volet qui déborde de la surface du petit volet sert de zone adhésive de fixation de la vignette sur le support, cette zone adhésive débordante étant pourvue des petites zones dé- coupées partiellement.
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Dans ce cas et selon un premier mode de réalisation, le verso du certificat est appliqué de fabrication sur le plus grand volet de l'étiquette, tandis qu'un élément protecteur retirable est prévu pour protéger avant pliage la face adhésive du petit volet et la partie débordante de la face adhésive du grand volet, les zones découpées étant ménagées sur ce dernier mals pas sur l'élément protecteur, alors que selon un autre mode de réalisation, le verso du certificat est appliqué de fabrication sur le petit volet de l'étiquette, tandis qu'un élément protecteur retirable est prévu pour protéger avant pliage la face adhésive du grand volet et la partie éventuellement débordante de la face adhésive du petit volet, les zones découpées étant ménagées sur le grand volet mais pas sur l'élément protecteur.
Dans ces deux derniers cas et selon une variante, le verso du certificat est traité pour être peu adhésif afin de pouvoir être aisément retourné avant pliage et rabattement des volets de l'étiquette l'un sur l'autre. Avantageusement alors, le certificat
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Selon un autre mode de réalisation, toute la surface de la face adhésive de l'étiquette comporte un élément protecteur retirable, découpé ou prédécoupé à l'emplacement du certificat prévu sur le petit ou le grand volet, de manière à pouvoir appliquer ledit certificat, non prévu à cet endroit de fabrication, après enlèvement de la partie correspondante de l'élément protecteur, mais avant l'enlèvement du reste dudit élément protecteur.
L'invention sera bien comprise à la lecture de la description qui va suivre et qui se réfère aux dessins annexés dans lesquels : - les figures 1 et 2 montrent respectivement le recto et le verso d'une feuille destinée à comporter une vignette selon l'invention, les figures 3 et 4 correspondent aux figures 1 et 2 selon un autre mode de réalisation, - les figures 5 et 6 schématisent deux étapes successives de réalisation de la vignette du mode de réalisation des figures 1 et 2, - les figures 7 et 8 correspondent aux figures 5 et 6 pour le mode de réalisa- tion des figures 3 et 4,
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- les figures 9 et 10 montrent la vignette des figures 1 à 8 respectivement ap- piquée sur son support et en cours de retrait.
Les figures 1 à 5 et la figure 7 montrent une feuille 1 munie d'un recto 1 a (figures 1, 3, 5,7) et d'un verso 1 b (figures 2, 4,5, 7), ce dernier étant traité au moins en partie pour être peu adhésif (revêtement siliconé par exemple) et pour recevoir la face adhésive d'une étiquette transparente 2 (figures 1 à 10).
Comme le montrent les figures, l'étiquette 2 dont seule la face appliquée sur le verso 1 b de la feuille 1 est adhésive, présente la forme d'un diptyque constitué de deux volets 2a, 2b dont l'un 2a présente au moins une largeur inférieure et de préférence aussi une hauteur Inférieure aux dimensions correspondantes de l'autre volet 2b.
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.... ,. . iC ; Lj. \ < , t. c Lt Mctxct t. et. cu UUf < d dë SUDëSfVe 06 f'étiquette 2. l'étiquette 2.
Comme le montrent les figures 1 à 4, la feuille 1 présente une découpe ou pré découpe rectangulaire en regard du grand volet 2b (figures 1 et 2) ou du petit volet 2a (figures 3 et 4), l'un des bords de cette découpe étant sensiblement en coïncidence avec la ligne fictive de séparation 4 des volets 2a et 2b. Cette découpe ou prédécoupe forme un élément 3 destiné à constituer un certificat, ou l'emplacement d'un certificat, comme il sera expliqué d'après.
Dans tous les cas, les dimensions du petit volet 2a sont au moins égales à celles de "élément 3 (et de préférence supérieures, surtout dans le cas du mode de réalisation des figures 3 et 4).
En effet, de fabrication, le verso 1 a du feuillet 1 peut constituer par son élément 3, un certificat prédécoupé, lequel peut être complété manuellement ou à la machine.
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Dans ce cas, le verso de l'élément 3 peut ne pas être traité antiadhésif (la feuille 1 étant alors traitée antiadhésif par zone).
Au contraire, selon une variante, toute la surface du verso de la feuille 1 peut être traitée antiadhésif de telle sorte que l'élément 3 peut constituer un certificat aisément retournable ou un élément protecteur destiné à protéger l'emplacement prévu pour un certificat provenant d'un document plus complet ou d'un autre document.
En outre, sur les figures, on peut constater que le volet 2b de l'étiquette 2 présente à sa périphérie et sur trois côtés, à l'exception du côté contigu au volet 2a,
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des petites zones 5 découpées partiellement, c'est-à-dire avec quelques points d'atta- ches, pour les raisons qui seront développées ci-après, lesdites zones 5 n'étant pas ménagées sur la feuille 1 formant l'élément protecteur.
Dans les exemples représentés, les zones 5 sont en forme de losanges, mais elles peuvent être bien sûr de toute autre forme.
Les figures 5 à 8 schématisent l'utilisation des modes de réalisation précédemment décrits.
Selon le cas, une première étape préalable aux figures 5 et 7 peut être nécessaire.
En effet, si l'élément 3 des figures 1 à 4 constitue un élément protecteur pour la zone destinée à recevoir le certificat, il y a lieu préalablement de retirer ledit élément 3 pour y disposer le certificat provenant d'ailleurs, soit par son côté recto, soit par son côté verso, et on se retrouve alors au stade des figures 5 et 7.
SI le certificat est constitué de fabrication dans la feuille 1, on se retrouve directement au stade des figures 5 et 7, après retournement éventuel dudit certificat.
Il suffit alors de retirer le reste de la feuille protectrice 1 (figures 5,7) et de rabattre le petit volet 2a de l'étiquette transparente 2 sur le volet 2b (figures 6 et 8) autour d'une ligne de pliage qui coïncide avec la ligne de séparation 4 des deux volets.
Dans le cas de la figure 6, le certificat 3 est déjà collé sur le grand volet 2b et c'est le petit volet 2a qui vient en recouvrement, tandis que dans le cas de la figure 8,
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le certificat 3 est déjà collé sur le petit volet 2a. Dans tous les cas, c'est la partie dé- bordante du grand volet 2b par rapport au volet 2a qui permet de coller la vignette sur son support et comme le montrent les figures, c'est justement cette partie débordante qui présente les zones 5 découpées partiellement.
Il est important de remarquer que le certificat peut être de fabrication sur le grand volet 2b (figures 1,2, 5 et 6) ou le petit volet 2a (figures 3, 4, 7 et 8), et qu'il peut être retournable ou non (par traitement de son verso). Au contraire, l'élément 3 peut ne constituer qu'un élément protecteur pour un certificat appliqué par son recto ou son verso après enlèvement dudit élément protecteur.
Ainsi, il est clair que la vignette de la figure 6 constitue une vignette pour une surface transparente si le certificat 3 est collé sur le volet 2b par son verso (certificat non retourné) ou une vignette pour une surface non transparente dans le cas contraire (certificat collé par son recto).
Inversement, la vignette de la figure 8 constitue une vignette pour une surface non transparente sile certificat 3 est collé sur le volet 2a par son verso (certificat non
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retourné) ou une vignette pour une surface transparente dans le cas contraire (certificat collé par son recto).
On comprend qu'après scellement, on obtient un document infalsifiable (la face indicative du certificat étant collée sur une face adhésive de l'étiquette transparente), et qui est parfaitement étanche.
Les figures 9 et 10 montrent la vignette des modes de réalisation décrits précédemment, appliquée sur son support, celui-ci étant considéré comme représenté par la feuille de papier elle-même, sur laquelle lesdites figures sont dessinées.
On comprend qu'en cas de décollement du grand volet 2b collé sur ledit support par sa partie débordante précitée, les zones découpées 5 restent collées sur le support, comme le montre bien la figure 10.
Dans ce cas, les zones 5 découpées partiellement restent collées en formant
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des oastilles 5'sur le suooort nr n" 1 vtot ? h nra'-o a < nr r'a ? < rm . comme le montre bien la figure 10.
De la sorte, après retrait complet de la vignette, il est très difficile, voire impossible, de repositionner correctement la vignette en voulant faire correspondre les trous 5" avec les pastilles S', montrant automatiquement cette tentative de retrait qui pourrait être de nature indélicate.
Par ailleurs, pour renforcer encore le caractère infalsifiable, les zones 5 peuvent être faites d'une forme et d'une fréquence qui entraînent un déchirement de l'étiquette en cas de retrait par décollement.
Si dans les modes de réalisation décrits, la face indicative du certificat est recouverte d'un élément transparent collé pour la rendre infalsifiable, on comprend que l'invention concerne aussi une vignette plus simple qui ne comporterait par exemple que le volet 2b des figures 5 et 6.
En effet dans ce cas, comme déjà dit, le certificat 3 est de la même manière collé sur ledit volet 2b (pas forcément transparent) par son verso (certificat non retourné) pour une surface transparente, ou par son recto pour une surface transparente.
On comprend que dans le premier cas, la face indicative du certificat directement appliqué sur un pare-brise par exemple, serait alors facilement falsifiable sans l'invention.
Pour revenir aux modes de réalisation plus spécialement décrits sur les figu- res, si l'on désire un collage aussi sur au moins une partie du quatrième côté du petit volet 2a, le certificat peut être légèrement décalé par rapport à la ligne de séparation
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et de pliage 4 des volets tandis que ledit petit volet peut, par exemple, comporter au voisinage de cette ligne 4, une fenêtre (un cottage supplémentaire du grand volet 2b sur le support s'effectuant par cette fenêtre).
Par ailleurs, il est bien clair que d'autres moyens peuvent être prévus sans sortir du cadre de l'invention.
La feuille 1 telle que représentée dans ces exemples peut bien sûr faire partie d'un document plus complet comportant, par exemple, le certificat à déplacer vers la zone de collage ou d'autres éléments reprenant en commun certaines indications pour former des récépissé, duplicata, ou autre.
En outre, on peut aussi prévoir des moyens d'entraînement pour imprimantes, etc.
Dans les modes de réalisation décrits, une partie de la feuille 1 peut constituer à la fois un élément protecteur pour la face adhesive du volet 2a ae 1 etiquette mais aussi, par exemple, un certificat secondaire à conserver (récépissé ou autre).
Dans ce cas, ledit certificat secondaire peut être récupérable au moyen, par exemple, d'une ligne de rupture.
Dans le cas du mode de réalisation des figures 1 et 2, on peut aussi prévoir un prolongement du volet 2a (mais il pourrait s'agir du volet 2b), destiné à recevoir un autre document (duplicata par exemple), lequel peut en outre être conservé après retournement et collage sur ledit prolongement qui est alors séparé dudit volet 2a par une ligne de rupture. Le document précité peut bien sûr être directement confectionné par l'élément protecteur dudit prolongement.
II est donc clair que l'invention concerne l'apposition de tout certificat sur tout support, mals s'applique particulièrement bien aux véhicules qui doivent comporter de manière visible des certificats d'assurance, de contrôle technique, de paiement de taxes, etc.
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Adhesive sticker with a certificate made unforgeable.
The invention relates to an adhesive sticker comprising a certificate rendered unbreakable intended to be visible on, or through the support on which said sticker is affixed.
In order to facilitate! es controls. certain regulations oblige the owner of a vehicle to stick visibly on it, a certificate proving that he is up to date with his insurance company vis-à-vis said vehicle, or that he has indeed carried out a technical control, or settled a certain tax, ...
The certificate may in particular mention a period of validity, a vehicle identification number, etc.
The certificate affixed to the vehicle does not generally exempt the holder from also having a certificate or receipt.
The certificate or receipt takes at least part of the information from the certificate and these two elements are generally edited or completed at the same time
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In the case of an automobile, the certificate is affixed to its windshield, the printed front being on the inside of said windshield in order to be visible from the outside. In general, this application can be extended to any vehicle fitted with a windshield, including therefore boats, etc.
For a motorcycle or a trailer, governed at least in part by the same rules, the certificate is applied, for example, to the mudguard.
Various systems are known. For example, one system consists of providing an adhesive and transparent pouch to stick on the windshield of the automobile or the
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motorcycle mudguard in which it suffices to slip the certificate, making the printed side appear visible (certain pockets, only one side of which is transparent, are then intended for a single type of vehicle with or without windscreen).
Such a system is expensive, especially since unless a new insured and / or a new vehicle is distinguished from an old one, a new pocket is often provided for each certificate relating to a contractual period. In addition, for a motorcycle, the cover is not really protective, especially against theft, but also against damage due to bad weather since it is necessarily open on one side.
This is why we have imagined other systems such as, for example, that described in the French patent application published under the number 2,581,226 intended for affixing only on windshields, or even according to the published French patent.
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under the number 2 593 120 in which the sticker has a label (certificate) which is affixed by its back to a transparent adhesive sheet intended to be affixed itself on the windshield of the vehicle, or, after turning over, on a motorcycle .
Whether it is the open pocket system or the systems according to the aforementioned patents, the visible face of the certificate is never protected in a falsifiable manner when it is a question of affixing it on a windshield. There are therefore in particular risks of fraud.
This is in particular the reason for which the system described in the patent published under the number 2 165 343 has been devised which makes it possible to overcome some of the abovementioned drawbacks.
The system described in the aforementioned document makes the certificate inviolable because the useful face of the certificate is applied to a transparent element aanebf ae protection.
In this way, it is understood that any attempt to remove the protective adhesive element leads to the destruction of said certificate.
To further improve the inviolability of such a certificate, or to make inviolable or tamper-proof in a simple manner a certificate affixed in the manner described in the aforementioned document 2,593,120, that is to say applied directly to its support, its the useful face is then not protected (in the case of an affixing to a windshield), the inventor imagined a particularly simple system.
It should be understood that the medium on which such a sticker is affixed is completely arbitrary. Indeed, for a transparent surface, it can be a windshield, but It can also, of course, be a fixed installation such as a display window, a window, or the like. In general, any surface can be considered since the invention also relates to the application of the sticker on a non-transparent support, in particular with a view to application, as mentioned above, for motorcycles.
Furthermore, it should be noted that the vocabulary used here may be different from the literature on this subject, given the extreme variety of words used to often refer to the same things.
This is how the word certificate must be understood as a sticker for some (here the word sticker designates a whole) or badge, or even label, receipt, attestation, ...
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The sticker according to the invention comprising a certificate applied and stuck on an adhesive label, a free part of which is intended to serve as an adhesive zone for fixing the sticker on the support, is remarkable in that the part of the label constituting the adhesive zone of the sticker on the support, is provided on its periphery with small partially cut areas, so that any attempt to remove the sticker from its support causes the peeling thereof with the exception of the cut areas which remain stuck on the support.
We understand that any removal thus makes it very difficult, if not impossible, any subsequent repositioning of the sticker.
According to one embodiment, your partially cut areas are likely to cause the label to be torn if it is removed by detachment.
For a sticker with the adhesive label, on which the certificate is applied
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, -'.... 1 - - - 4 "" -... - "- 'those of the said certificate, the front or back of which is stuck on the adhesive side, the area of the label extending beyond the surface of the certificate constituting the adhesive area for fixing the sticker on the support, said overflowing adhesive area is provided with small areas partially cut out.
In this way, from a classic sticker whose certificate is falsifiable, except in the case where it is the front which is stuck (for motorcycles for example), one obtains a sticker whose certificate becomes difficult to falsify due to gluing delicate, even almost impossible, of the sticker after its removal.
In the previous case, if the front of the certificate is also provided with a protective element attached and glued. nevertheless, the invention reinforces the tamper-proof nature of the sticker.
This is particularly the case for a particular mode of sticker whose adhesive label is transparent and forms a diptych whose two flaps are at least of unequal widths, the dimensions of the small flap being at least equal to those of the certificate which is intended to be disposed between the adhesive faces of the two flaps folded over one another by folding around their separation line, so that each of the faces of the certificate is coated with one of the flaps of the label, which thus forms for the certificate, a closed and glued pocket, while the area of the largest flap which projects beyond the surface of the small flap serves as an adhesive zone for fixing the sticker on the support, this overflowing adhesive zone being provided with small partially cut areas.
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In this case and according to a first embodiment, the back of the certificate is applied during manufacture to the largest flap of the label, while a removable protective element is provided to protect before folding the adhesive face of the small flap and the protruding part of the adhesive side of the large flap, the cut areas being provided on the latter not on the protective element, while according to another embodiment, the back of the certificate is applied from manufacturing to the small flap of the label, while a removable protective element is provided to protect before folding the adhesive face of the large flap and the possibly projecting part of the adhesive face of the small flap, the cut-out areas being provided on the large flap but not on the protective element .
In the latter two cases and according to a variant, the back of the certificate is treated to be slightly adhesive so that it can be easily turned over before folding and folding of the flaps of the label one over the other. Advantageously then, the certificate
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According to another embodiment, the entire surface of the adhesive face of the label includes a removable protective element, cut or precut at the location of the certificate provided on the small or large flap, so as to be able to apply said certificate, not provided at this manufacturing location, after removal of the corresponding part of the protective element, but before removal of the rest of said protective element.
The invention will be clearly understood on reading the description which follows and which refers to the appended drawings in which: - Figures 1 and 2 respectively show the front and back of a sheet intended to include a sticker according to the invention, FIGS. 3 and 4 correspond to FIGS. 1 and 2 according to another embodiment, - FIGS. 5 and 6 schematize two successive stages of production of the sticker of the embodiment of FIGS. 1 and 2, - FIGS. 7 and 8 correspond to FIGS. 5 and 6 for the embodiment of FIGS. 3 and 4,
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- Figures 9 and 10 show the thumbnail of Figures 1 to 8 respectively applied on its support and being removed.
Figures 1 to 5 and Figure 7 show a sheet 1 with a front 1 a (Figures 1, 3, 5,7) and a back 1 b (Figures 2, 4,5, 7), the latter being treated at least in part to be slightly adhesive (silicone coating for example) and to receive the adhesive side of a transparent label 2 (Figures 1 to 10).
As the figures show, the label 2, of which only the face applied to the back 1 b of the sheet 1 is adhesive, has the form of a diptych consisting of two flaps 2a, 2b of which one 2a has at least one lower width and preferably also a height Less than the corresponding dimensions of the other flap 2b.
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....,. . iC; Lj. \ <, t. c Lt Mctxct t. and. cu UUf <d d SUDëSfVe 06 f'iquette 2. the label 2.
As shown in Figures 1 to 4, the sheet 1 has a rectangular cutout or precut opposite the large flap 2b (Figures 1 and 2) or the small flap 2a (Figures 3 and 4), one of the edges of this cutting being substantially in coincidence with the fictitious line of separation 4 of the flaps 2a and 2b. This cutting or precut forms an element 3 intended to constitute a certificate, or the location of a certificate, as will be explained below.
In all cases, the dimensions of the small flap 2a are at least equal to those of "element 3 (and preferably greater, especially in the case of the embodiment of Figures 3 and 4).
Indeed, manufacturing, the back 1a of the sheet 1 can constitute by its element 3, a pre-cut certificate, which can be completed manually or by machine.
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In this case, the back of element 3 may not be treated with non-stick (the sheet 1 then being treated with non-stick by area).
On the contrary, according to a variant, the entire surface of the back of the sheet 1 can be treated with non-stick so that the element 3 can constitute an easily returnable certificate or a protective element intended to protect the space provided for a certificate from 'a more complete document or another document.
Furthermore, in the figures, it can be seen that the flap 2b of the label 2 has at its periphery and on three sides, with the exception of the side contiguous to the flap 2a,
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small zones 5 partially cut out, that is to say with a few attachment points, for the reasons which will be developed below, said zones 5 not being provided on the sheet 1 forming the protective element .
In the examples shown, the zones 5 are in the form of diamonds, but they can of course be of any other shape.
Figures 5 to 8 show schematically the use of the embodiments described above.
Depending on the case, a first step prior to Figures 5 and 7 may be necessary.
Indeed, if the element 3 of FIGS. 1 to 4 constitutes a protective element for the zone intended to receive the certificate, it is necessary beforehand to remove said element 3 in order to place the certificate originating therefrom, either by its side. front, or by its back side, and we then find ourselves at the stage of Figures 5 and 7.
IF the certificate consists of manufacturing in sheet 1, we are directly at the stage of Figures 5 and 7, after possible reversal of said certificate.
It then suffices to remove the rest of the protective sheet 1 (FIGS. 5,7) and to fold the small flap 2a of the transparent label 2 onto the flap 2b (FIGS. 6 and 8) around a fold line which coincides. with the dividing line 4 of the two flaps.
In the case of FIG. 6, the certificate 3 is already pasted on the large flap 2b and it is the small flap 2a which overlaps, while in the case of FIG. 8,
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certificate 3 is already stuck on the small part 2a. In all cases, it is the overhanging part of the large shutter 2b relative to the shutter 2a which makes it possible to stick the sticker on its support and as the figures show, it is precisely this overhanging part which presents the zones 5 partially cut.
It is important to note that the certificate can be made on the large shutter 2b (figures 1,2, 5 and 6) or the small shutter 2a (figures 3, 4, 7 and 8), and that it can be returned or not (by processing its back). On the contrary, element 3 can only constitute a protective element for a certificate applied by its front or back after removal of said protective element.
Thus, it is clear that the sticker in FIG. 6 constitutes a sticker for a transparent surface if the certificate 3 is stuck on the flap 2b by its back (certificate not returned) or a sticker for a non-transparent surface in the opposite case ( certificate pasted by its front).
Conversely, the sticker in FIG. 8 constitutes a sticker for a non-transparent surface if certificate 3 is stuck on flap 2a by its back (certificate not
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returned) or a sticker for a transparent surface otherwise (certificate stuck on the front).
We understand that after sealing, we obtain a falsifiable document (the indicative side of the certificate being stuck on an adhesive side of the transparent label), and which is perfectly waterproof.
Figures 9 and 10 show the thumbnail of the embodiments described above, applied to its support, the latter being considered as represented by the sheet of paper itself, on which said figures are drawn.
It will be understood that in the event of detachment of the large flap 2b glued to said support by its above-mentioned projecting part, the cut-out zones 5 remain glued to the support, as shown in FIG. 10.
In this case, the partially cut zones 5 remain glued, forming
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of the ears 5 'on the suooort nr n "1 vtot? h nra'-o a <nr r'a? <rm. as shown in Figure 10.
In this way, after complete removal of the sticker, it is very difficult, if not impossible, to correctly reposition the sticker by trying to match the 5 "holes with the pellets S ', automatically showing this attempt at removal which could be indelicate in nature .
Furthermore, to further strengthen the tamper-evident nature, the zones 5 can be made of a shape and of a frequency which cause the label to be torn in the event of removal by peeling.
If in the embodiments described, the indicative side of the certificate is covered with a transparent element glued to make it tamper-proof, it is understood that the invention also relates to a simpler sticker which would include for example only the flap 2b of Figures 5 and 6.
Indeed in this case, as already said, the certificate 3 is similarly pasted on said flap 2b (not necessarily transparent) by its back (certificate not returned) for a transparent surface, or by its front for a transparent surface.
It is understood that in the first case, the indicative side of the certificate directly applied to a windshield for example, would then be easily falsifiable without the invention.
To return to the embodiments more specifically described in the figures, if it is desired to also glue on at least part of the fourth side of the small flap 2a, the certificate may be slightly offset from the dividing line
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and folding 4 shutters while said small shutter may, for example, comprise in the vicinity of this line 4, a window (an additional cottage of the large shutter 2b on the support being effected by this window).
Furthermore, it is quite clear that other means can be provided without departing from the scope of the invention.
Sheet 1 as shown in these examples can of course be part of a more complete document comprising, for example, the certificate to be moved to the bonding area or other elements jointly taking up certain indications to form receipts, duplicates , Or other.
In addition, it is also possible to provide drive means for printers, etc.
In the embodiments described, part of the sheet 1 can constitute both a protective element for the adhesive face of the shutter 2a ae 1 label but also, for example, a secondary certificate to be kept (receipt or other).
In this case, said secondary certificate can be recoverable by means, for example, of a breaking line.
In the case of the embodiment of Figures 1 and 2, one can also provide an extension of the shutter 2a (but it could be shutter 2b), intended to receive another document (duplicate for example), which can also be kept after turning and gluing on said extension which is then separated from said flap 2a by a breaking line. The aforementioned document can of course be directly made by the protective element of said extension.
It is therefore clear that the invention relates to the affixing of any certificate to any medium, but is particularly applicable to vehicles which must visibly include certificates of insurance, technical control, payment of taxes, etc.