FR3070662A1

FR3070662A1 - Chariot de debarrassage

Info

Publication number: FR3070662A1
Application number: FR1758180A
Authority: FR
Inventors: Philippe Leclercq
Original assignee: Ph2 Int
Current assignee: Villard Fr
Priority date: 2017-09-05
Filing date: 2017-09-05
Publication date: 2019-03-08
Anticipated expiration: 2037-09-05
Also published as: FR3070662B1

Abstract

Le chariot comprend un bâti (5) avec des montants (45-1...45-4) supporté par un jeu de roues orientables (3). Le bâti (5) présente quatre faces latérales (11,13,15,17) opposées deux à deux, qui délimitent entre elles un volume interne (18). Le chariot comprend en outre un plan de travail (21) apte à recevoir des ustensiles de vaisselle. Le bâti (5) comprend encore des traverses (47-1...47-3) assemblées aux montants (45-1...45-4). Ces traverses (47-1...47-3 ) laissent libre l'une au moins des faces latérales (11,13,15,17) du bâti (5) pour former une ouverture sur le volume interne (18). Le chariot comprend enfin au moins une jonction d'un premier type (23) par l'intermédiaire de laquelle le plan de travail (21) est monté sur l'une au moins des faces latérales (11,13,15,17) du bâti (5). La jonction maintient ce plan de travail (21) en au moins une position par rapport au bâti (5) dans laquelle le plan de travail (21) libère au moins partiellement le volume intérieur (18) et ladite ouverture.

Description

Chariot de débarrassage

L'invention a trait à un chariot à usage notamment en tant que chariot d'assistance au débarrassage de lieux de restauration, par exemple en milieu hospitalier ou de soins, ou en restauration collective, cantine scolaire ou analogue.

Pour débarrasser de tels lieux, on utilise aujourd'hui principalement un chariot du type connu sous le terme de chariot de service ou encore guéridon de service.

Un guéridon de service comprend classiquement un jeu de roues orientables et un bâti monté sur ces roues. Le bâti comprend quatre faces latérales, deux à deux opposées, chacune comportant deux montants mutuellement opposés. Ces faces latérales délimitent entre elles un volume interne. Ce volume est occupé par une ou plusieurs surfaces utiles, sous forme de ce que l'on appelle généralement des plateaux ou des plans travail. Ces plateaux sont disposés en travers du volume interne, le cas échéant parallèlement les uns aux autres, et fixés, dans cette position, aux montants du bâti, de manière indémontable.

Un guéridon de service comprend généralement deux ou trois plateaux. L'un d'eux se trouve en une face supérieure du guéridon et offre alors à l'utilisateur une surface de travail à sa hauteur. C'est le plateau principal du guéridon, lequel forme un plan de travail à proprement parler. Les autres plateaux se trouvent à un niveau inférieur du guéridon et, de ce fait, sont plus adaptés à servir de surfaces auxiliaires. On peut parler de plateaux ou plans auxiliaires.

Les guéridons de service sont très répandus. Ils sont utilisés pour une grande variété de tâches, non seulement le débarrassage. Dans les faits, un guéridon est un chariot multi usage.

Pour utiliser un guéridon de service en tant que chariot d'assistance au débarrassage, on l'équipe d'au moins un réceptacle à déchets, par exemple un support apte à recevoir un sac poubelle. Un tel support peut se trouver sous la forme d'une structure filaire qui ressemble à un panier ou encore d'un bac de dimensions adaptées.

Généralement, un réceptacle à déchets est disposé sur une face latérale du bâti, à l'extérieur du guéridon et hors du volume interne de celui-ci. Le plus souvent, le réceptacle est attaché

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx à l'avant du guéridon, c'est-à-dire sur une face latérale opposée à une face munie d'une poignée de poussée ou de guidage. Le réceptacle peut être monté sur le bâti de manière amovible, pour conserver le caractère multi usage du guéridon.

Pour débarrasser un lieu de restauration, tel qu'un réfectoire ou des chambres d'un service hospitalier ou d'une maison de retraite par exemple, un ou plusieurs agents se rendent de place en place accompagnés du guéridon de service.

À chaque place, les agents déposent des ustensiles de vaisselle sales et les déchets, généralement regroupés sur un plateau-repas ou de service, sur le plateau principal du guéridon. Les déchets sont déposés dans le réceptacle prévu à cet effet. Ces déchets comprennent non seulement des restes de repas, mais aussi des emballages ou certains ustensiles de vaisselle dits jetables, comme des barquettes repas ou des couverts par exemple. Une fois débarrassés, les plateaux repas, et plus généralement les ustensiles de vaisselle non jetables, sont stockés dans sur un plateau auxiliaire du guéridon.

La Demanderesse a constaté que cette pratique est difficilement compatible avec une collecte sélective des déchets de restauration. À tout le moins, cette pratique s'y révèle plutôt inefficace.

Un guéridon de service peut être équipé de deux réceptacles à déchets distincts. La présence de deux réceptacles sur le guéridon de service permet de trier les déchets en deux catégories, typiquement les déchets recyclables et les autres, à savoir les déchets assimilés aux ordures ménagères (déchets dits DAOM).

Ce tri est cependant limité. Ainsi équipé, le guéridon de service n'est pas adapté à une collecte avec un tri des déchets en plus de deux catégories, comme c'est le cas, par exemple, lorsqu'il s'agit de séparer les déchets organiques, ou biodéchets, des déchets DAOM. Or, les collectes de ce type, et d'autres au moins aussi sélectives, se développent, à tel point qu'elles sont parfois rendues obligatoires. C'est le cas en Lrance par exemple, où les établissements produisant plus de dix tonnes de déchets par an, soit environ cent cinquante couverts par jour, sont aujourd'hui tenus de mettre en place une collecte dans laquelle les déchets sont triés selon les trois catégories en question.

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Pour répondre à cette exigence, la Demanderesse a d'abord envisagé d'équiper un guéridon de service de réceptacles à déchets plus nombreux, par exemple trois supports à sacs. Elle a cependant constaté que, l'encombrement du guéridon étant fixé, des supports ou des réceptacles plus nombreux impliquent d'en réduire le volume, et donc celui des sacs euxmêmes. Des sacs plus petits se remplissent plus vite : paradoxalement, en triant des déchets de manière très sélective, on tend à augmenter les volumes collectés. Cela est dû, par exemple, au fait qu'un contenant, tel qu'une barquette-repas, et son contenu se trouvent collectés séparément, ce qui correspond à un volume collecté qui peut presque doubler. En toute hypothèse, il faudrait donc ramener plus fréquemment le guéridon de service au lieu de collecte de niveau supérieur, ou utiliser un ou plusieurs guéridons auxiliaires pour y rassembler les réceptacles pleins.

La Demanderesse a aussi pensé utiliser le plateau principal et les plateaux auxiliaires du guéridon de service, équipés ou non de réceptacles à déchets, pour stocker ensemble les ustensiles de vaisselle sales et les déchets jusqu'à ce que le guéridon atteigne un lieu de collecte de niveau supérieur, où les déchets seraient alors triés. Cela implique cependant de revoir l'organisation de ces lieux de collecte, qui, aujourd'hui du moins, ne sont pas adaptés à mener un tri des déchets d'une telle ampleur.

La Demanderesse s'est fixée pour objectif d'améliorer la situation. À cette fin, elle propose un chariot d'un type nouveau, à usage notamment en tant que chariot d'assistance au débarras sage des lieux de restauration.

Le chariot proposé comprend un jeu de roues orientables et un bâti. Le bâti comprend un jeu de montants supporté par le jeu de roues. Le bâti présente quatre faces latérales opposées deux à deux, délimitant entre elles un volume interne. Le chariot comprend en outre au moins un plan de travail apte à recevoir des ustensiles de vaisselle. Le bâti comprend en outre un jeu de traverses assemblées aux montants, ces traverses laissant libre l'une au moins des faces latérales du bâti pour former une ouverture sur le volume interne. Le chariot comprend en outre au moins une jonction d'un premier type par l'intermédiaire de laquelle le plan de travail est monté sur l'une au moins des faces latérales du bâti. La jonction du premier type est agencée de manière à maintenir ce plan de travail en au moins une position

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx par rapport au bâti dans laquelle le plan de travail libère au moins partiellement le volume intérieur et ladite ouverture.

À la différence des chariots connus, en particulier du guéridon de service, le chariot proposé est spécialement adapté au débarrassage de lieux de restauration. Le plan de travail peut être utilisé pour poser les ustensiles de vaisselle sales, notamment les plateaux-repas ou de service. Il existe au moins une position où le plan de travail libère le volume interne du chariot. Ce volume peut recevoir recevoir une pluralité de réceptacles à déchets, sous forme de sacs ou de bacs par exemple. Les réceptacles peuvent occuper l'ensemble du volume intérieur, le cas échéant sans priver l'opérateur de l'usage du plan de travail. On peut utiliser des réceptacles de grande contenance, à tout le moins de contenance classique, par exemple d'une trentaine de litres environ.

Libéré de ces réceptacles, le volume interne peut recevoir le volume interne libre d'un chariot analogue. On peut stocker deux chariots du type proposé dans un encombrement inférieur à celui de deux chariots, typiquement de deux guéridons de service.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés sur lesquels :

- la figure 1 représente un chariot de débarrassage dans une première configuration, vu en perspective isométrique ;

- la figure 2 représente un bâti de chariot vu en perspective isométrique ;

- la figure 3 représente le bâti de la figure 2, en vue face ;

- la figure 4 représente le bâti de la figure 2, en vue de gauche ;

- la figure 5 représente le bâti de la figure 2, en vue de dessous ;

- la figure 6 représente un plateau pour le chariot de la figure 1, en vue de face ;

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- la figure 7 est analogue à la figure 1, le chariot représenté se trouvant dans une seconde configuration ;

- la figure 8 est analogue à la figure 1, le chariot représenté se trouvant dans une troisième configuration ;

- la figure 9 représente une variante de bâti de chariot, vu en perspective isométrique ;

- la figure 10 représente la variante de la figure 9 en vue de face ;

- la figure 11 représente la variante de la figure 9 en coupe selon une ligne XI-XI ;

- la figure 12 représente la variante de la figure 9 en coupe selon une ligne XII-XII ;

- la figure 13 représente un chariot équipé du bâti de la figure 9 dans une première configuration, en perspective isométrique ;

- la figure 14 est analogue à la figure 13, le chariot représenté se trouvant dans une seconde configuration ;

- la figure 15 est analogue à la figure 14, le chariot étant représenté emboîté avec un chariot analogue.

Les dessins annexés contiennent des éléments de caractère certain. Ils pourront non seulement servir à compléter l'invention, mais aussi contribuer à sa définition, le cas échéant.

On fait référence à la figure 1.

Elle montre un chariot 1 à usage en particulier en tant que chariot d'assistance au débarrassage de lieux de restauration, tels que des chambres de service hospitalier ou de soins, salles à manger collectives, réfectoires ou cantines scolaires par exemple.

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Le chariot 1 comprend un jeu de roues orientables 3, ici au nombre de quatre, et un bâti 5 monté sur les roues orientables 3.

Le bâti 5 est réalisé ici sous la forme d'une structure mécano-soudée faite d'un assemblage de segments de profilés creux, en particulier de section rectangulaire ou carrée. Le bâti 5 est indémontable. Les profilés, et plus généralement le bâti 5, sont réalisés ici en acier inoxydable. Ceci permet de nettoyer ou de désinfecter aisément le chariot 1. Cela rend le chariot 1 utilisable en milieu hospitalier ou de soins, ou agro-alimentaire, dans un office ou une cuisine.

Le bâti 5 présente une allure généralement parallélépipédique avec une première grande face, ou face supérieure 7, généralement parallèle à un plan défini par les roues orientables 3, une seconde grande face opposée à la première, ou face inférieure 9, une première petite face latérale, ou face avant 11, une seconde petite face latérale opposée à la face avant 11, ou face arrière 13, une première grande face latérale reliant la face avant 11 à la face arrière 13, ou face droite 15 et une seconde grande face latérale, ou face gauche 17, reliant la face avant 11 à la face arrière 13 et opposée à la face de droite 15.

La face supérieure 7 du bâti 5 correspond à la face supérieure du chariot 1. La face inférieure 9 du bâti 5 reçoit les roues orientables 3. Les faces avant 11, arrière 13, droite 15 et gauche 17 correspondent respectivement aux faces avant, arrière, droite et gauche du chariot 1.

Le chariot 1 présente par exemple un encombrement correspondant à 960 millimètres de long, 560 millimètres de large et 900 millimètres de haut. Cet encombrement est voisin de celui d'un chariot de type guéridon de service classique.

Les faces avant 11, arrière 13, droite 15 et gauche 17 délimitent un volume intérieur 18. Le bâti 5 est ouvert sur la face supérieure 7 et inférieure 9. Le bâti 5 est aussi ouvert sur l'une de ses grandes faces latérales, ici la face gauche 17. La face gauche 17 du bâti 5 est libre de matière. La face gauche 17 permet l'accès au volume intérieur 18. Le volume intérieur 18 est ouvert sur la face gauche 17, laquelle forme une ouverture sur ce volume.

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Vu depuis la face supérieure 7, le bâti 5 présente une allure générale en forme de U, dont la base correspond ici à la face droite 15 et les branches aux faces avant 11 et arrière 13.

Le chariot 1 comporte une poignée de guidage 10. La poignée de guidage 10 est fixée, ici de manière indémontable, au bâti 5, sur la face arrière 13. La poignée de guidage 10 pourrait être amovible.

Le chariot 1 comprend en outre une première tablette 21. Cette première tablette 21 présente une forme et des dimensions telles que la première tablette 21 puisse recevoir des ustensiles de vaisselle, en particulier un ou plusieurs plateaux-repas ou de service.

Ici, la première tablette 21 présente une allure rectangulaire. La première tablette 21 s'étend par exemple sur 560 millimètres de longueur par 400 millimètres de largeur. La première tablette 21 est réalisée en un matériau rigide, compatible avec l'usage du chariot 1 en tant qu'assistant au débarrassage. La première tablette 21 est par exemple réalisée en matière plastique, typiquement en polychlorure de vinyle, en acier de type inoxydable ou en fibres de verre.

Le chariot 1 comprend un jeu de pièces formant une jonction d'un premier type, ou première jonction, qui relie la première tablette 21 à l'une des faces latérales du bâti 5, ici la face avant

11. En variante, la première jonction relie la première tablette 21 à la face droite 15.

La première jonction comprend ici un jeu d'attaches d'un premier type, ou premières attaches

23. Les premières attaches 23 sont adaptées à maintenir la première tablette 21 par rapport au bâti 5, au moins dans une première position, ou position déployée, où la première tablette 21 s'étend de manière généralement parallèle à la face supérieure 7 du bâti 5.

Ici, en position déployée, la première tablette 21 fait saillie de la face avant 11 du bâti 5, en s'éloignant du volume intérieur 18. La première tablette 21 s'étend entièrement hors du volume intérieur 18. Le volume intérieur 18 est libre de la première tablette 21.

Ici, les premières attaches 23 sont en outre adaptées à maintenir la première tablette 21 dans une seconde position par rapport au bâti 5, ou position escamotée, où la première tablette

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx 8 s'étend de manière généralement parallèle à la face avant 11 du bâti 5. Ici, en position escamotée, la première tablette 21 se trouve contre la face avant 11 du bâti 5, à l'extérieur du bâti 5. Les premières attaches 23 peuvent comprendre une articulation : l'escamotage de la première tablette 21 se fait en rabattant cette dernière par rapport au bâti 5. Le chariot 1 est équipé d'une première tablette 21 escamotable, ici rabattable. Les premières attaches 23 maintiennent sélectivement la première tablette 21 sur le bâti 5 dans la position déployée ou la position escamotée.

Les premières attaches 23 sont agencées sur le bâti 5 de telle manière que, en position déployée, la première tablette 21 se trouve à hauteur d'homme par rapport aux roues orientables 3. La première tablette 21 se trouve alors à une hauteur adaptée au travail en position debout. Cette hauteur peut être définie par des normes. Ici, en position déployée, la première tablette 21 s'étend sensiblement au niveau de la face supérieure 7 du bâti 5 ou de la poignée 10.

La première tablette 21 met à disposition de l'utilisateur un plan de travail, utilisable en position déployée.

Ici, le chariot 1 comprend encore une seconde tablette 25, optionnelle.

La seconde tablette 25 présente une forme et des dimensions telles que la seconde tablette 25 puisse recevoir des ustensiles de vaisselle, en particulier des plateaux-repas ou de service. La seconde tablette 25 présente en particulier une forme et des dimensions similaires à celles de la première tablette 21. La seconde tablette 25 présente une résistance telle qu'elle puisse recevoir plusieurs ustensiles de vaisselle, en particulier un empilement de plateaux-repas ou de service. La seconde tablette 25 peut alors servir au stockage de ces ustensiles.

Ici, la seconde tablette 25 présente une allure rectangulaire. La seconde tablette 25 s'étend par exemple sur 560 millimètres de longueur par 400 millimètres de largeur. La seconde tablette 25 est réalisée en un matériau rigide, compatible avec l'usage du chariot 1 en tant qu'assistant au débarrassage. La seconde tablette 25 est par exemple réalisée en matière plastique, typiquement en polychlorure de vinyle, en acier de type inoxydable ou en fibres de verre.

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Le chariot 1 comprend aussi un jeu de pièces formant une jonction d'un second type, ou seconde jonction, qui relie la seconde tablette 25 à l'une des faces latérales du bâti 5. De préférence, il s'agit de la face latérale à laquelle la première tablette 21 est reliée, ici la face avant 11. En variante, la seconde jonction peut relier la seconde tablette 25 à la face droite

15.

Ici, la seconde jonction comprend un jeu d'attaches d'un second type, ou seconde attaches

27. Les secondes attaches 27 sont adaptées à maintenir la seconde tablette 25 par rapport au bâti 5 dans une première position au moins, ou position déployée, où la seconde tablette 25 s'étend de manière généralement parallèle à la face supérieure 7 du bâti 5. Ici, en position déployée, la seconde tablette 25 fait saillie de la face avant 11 du bâti 5 en s'éloignant du volume intérieur 18 : la seconde tablette 25 se trouve à l'extérieur du bâti 5, hors du volume intérieur 18. La seconde tablette 25 laisse libre le volume intérieur 18.

La seconde tablette 25 offre une surface de travail auxiliaire, ou plan de travail auxiliaire, utilisable en position déployée. La seconde tablette 25 peut être qualifiée de tablette auxiliaire.

Ici, les secondes attaches 27 sont en outre adaptées à maintenir la seconde tablette 25 par rapport au bâti 5 dans une seconde position, ou position escamotée, où la seconde tablette 25 s'étend de manière généralement parallèle à la face avant 11 du bâti 5.

Ici, en position escamotée, la seconde tablette 25 se trouve contre la face avant 11 du bâti 5. Les secondes attaches 27 peuvent comprendre une articulation : le passage de la position déployée à la position escamotée se fait en relevant la seconde tablette 25 par rapport au bâti 5. Le chariot 1 est ainsi équipé d'une seconde tablette 25 escamotable, ici relevable.

Les secondes attaches 27 sont fixées au bâti 5 dans une position telle que ces secondes attaches 27 se trouvent entre les premières attaches 23 et les roues orientables 3. En position utile, la première tablette 21 et la seconde tablette 25 se trouvent alors l'une au-dessus de l'autre. La première tablette 21 et la seconde tablette 25 sont alors séparées l'une de l'autre d'un espace qui peut être mis à profit pour stocker un ou plusieurs empilements d'ustensiles

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx de vaisselle, typiquement de plateaux-repas ou de service, reçus sur la tablette de stockage 25. Les secondes attaches 27 se trouvent de préférence éloignées des premières attaches 23. Le chariot 1 dispose ainsi d'un espace de stockage plus important, adapté à des empilements plus hauts. Ici, la seconde tablette 25 se trouve, dans sa position utile, un peu plus haut que de la face inférieure 9 du bâti 5. La face inférieure 9 du bâti 5 correspond sensiblement à une portion supérieure des roues orientables 3.

Ici, le chariot 1 comprend en outre au moins une troisième tablette 29, optionnelle. La forme et les dimensions de la troisième tablette 29 correspondent généralement à l'ouverture de la face supérieure 7 du châssis 5. Autrement dit, la troisième tablette 29 se trouve en correspondance de forme une section horizontale du volume intérieur 18 du bâti 5.

Ici, la troisième tablette 29 présente une allure rectangulaire. La troisième tablette 29 s'étend par exemple sur 720 millimètres de longueur et sur 500 millimètres de largeur. La troisième tablette 29 est réalisée en un matériau rigide, compatible avec l'usage du chariot 1 en tant qu'assistant à un service de restauration. La troisième tablette 29 est par exemple réalisée en matière plastique, typiquement en polychlorure de vinyle, en acier de type inoxydable, en fibres de verre ou autres.

Le chariot 1 comprend un jeu de pièces formant une jonction d'un troisième type (non visibles sur la figure 1), ou troisième jonction, qui relie la troisième tablette 29 au bâti 5.

Cette troisième jonction est adaptée à maintenir la troisième tablette 29 par rapport au bâti dans une première position au moins, ou position déployée, où la troisième tablette 29 s'étend de manière généralement parallèle à la face supérieure 7 du bâti 5, ici en travers de l'espace intérieur 18.

La troisième tablette 29 offre un autre plan de travail du chariot 1, accessoire, ou plan accessoire, utilisable en position déployée. Ici, en position déployée, la troisième tablette 29 s'étend sensiblement au niveau de la face supérieure 7 du bâti 5, entre la face avant 11 et la face arrière 13 de celui-ci. La troisième tablette 29 laisse libre une partie du volume intérieur 18 comprise entre la face supérieure 7 et la face inférieure 9 du chariot 1. Un bord de la troisième tablette 29 s'étend dans la face gauche 17, en reliant le premiers montants 45-1 au

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx quatrième montant 45-4. La troisième tablette 29 entrave l'ouverture sur le volume intérieur

18. En position déployée, la troisième tablette 29 recouvre ici le bâti 5.

La troisième jonction est adaptée à maintenir la troisième tablette 29 de manière amovible par rapport au bâti 5. Le chariot 1 est ainsi équipé d'une troisième tablette 29 qui forme un plan de travail amovible. La troisième tablette 29 peut être installée en face supérieure 7 du bâti 5, où la troisième tablette 29 occupe la face supérieure du chariot 1. La troisième tablette 29 peut être retirée de la face supérieure 7 du bâti 5 de manière à libérer/ouvrir cette face supérieure 7 du chariot 1, la totalité du volume intérieur 18 et la face gauche 17.

Le chariot 1 comprend encore un ensemble de supports d'un premier type, ou premiers supports, adaptés chacun à former un réceptacle à déchets respectif, ici en recevant un sac, en particulier de type communément connu sous le terme de sac poubelle. En particulier, certains au moins des premiers supports sont agencés pour recevoir des sacs définis par la norme française NE 082. Il peut s'agir par exemple de sacs présentant à plat un demipérimètre de 500 millimètres et une longueur de 700 millimètres, correspondant à une contenance d'environ trente litres.

Ici, l'ensemble des premiers supports comprend un premier support à sacs 33-1, un second support à sacs 33-2 et un troisième support à sacs 33-3.

Le chariot 1 comprend un jeu de pièces formant une jonction d'un quatrième type (non visibles sur la figure 1), ou quatrième jonction, qui relie les premiers supports au bâti 5. La quatrième jonction est adaptée à maintenir les premiers supports par rapport au bâti 5, au moins dans une première position, ou position déployée, où une extrémité supérieure de ces premiers supports, laquelle maintient généralement l'embouchure des sacs, est accessible depuis la face supérieure 7 du chariot 1. Ici, en position déployée, les premiers supports 331...33-3 se trouvent dans le volume intérieur 18, entre les faces supérieure 7, inférieure 9, avant 11, arrière 13, droite 15 et gauche 17. Les premiers supports 33-1...33-3 sont entièrement contenus dans le volume intérieur 18, entre la face supérieure 7 et la face inférieure 9. Les premiers supports y sont répartis sensiblement sur un même niveau.

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De préférence, la quatrième jonction est adaptée à maintenir les premiers supports, du moins certains d'entre eux, de manière amovible par rapport au bâti 5. Les premiers supports peuvent être détachés du bâti 5. Les premiers supports 33 libèrent alors le volume intérieur 18.

La quatrième jonction est agencée de telle manière que, en position déployée, les premiers supports se trouvent sensiblement au niveau de la face supérieure 7 du bâti 5, notamment leur extrémité supérieure de ces premiers supports. Les premiers supports se trouvent alors, par rapport aux roues orientables 3, à hauteur de travail pour un homme debout.

Le chariot 1 comprend encore au moins un support supplémentaire 37, ici adapté à former un réceptacle supplémentaire, ici un bac récepteur 39. Le support supplémentaire 37 est optionnel. De préférence, le support supplémentaire 37 est configuré de manière à recevoir un réceptacle adapté au stockage d'ustensiles de vaisselle, notamment des couverts.

Le chariot 1 comprend un jeu de pièces formant une jonction d'un cinquième type (non référencées sur la figure 1), ou cinquième jonction, qui relie le support supplémentaire 37 au bâti 5. La cinquième jonction est adaptée à maintenir le support supplémentaire 37 au moins dans une première position, ou position déployée, par rapport au bâti 5, position dans laquelle le support supplémentaire 37 se trouve ici dans le volume intérieur 18, entre les faces supérieure 7, et inférieure 9, entièrement. Le support supplémentaire 37 se trouve au voisinage des supports de sacs 33, de préférence au même niveau que ceux-ci.

De préférence, la cinquième jonction est apte à maintenir le support supplémentaire 37 de manière amovible par rapport au bâti 5. Le support supplémentaire 37 peut être séparé du bâti 5 et libérer ainsi le volume intérieur 18.

La cinquième jonction est agencée de telle manière que, en position déployée, le support supplémentaire 37 se trouve sensiblement au niveau de la face supérieure 7 du bâti 5. Une extrémité supérieure de ce support, qui reçoit généralement un rebord du bac récepteur 39, se trouve alors sensiblement au niveau de la face supérieure 7 du chariot 1. Une embouchure du bac récepteur 39 se trouve alors hauteur d'homme par rapport aux roues orientables 3, sensiblement au niveau de la face supérieure du chariot 1.

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On fait référence aux figures 2 à 5.

Elles montrent un assemblage 50, à usage par exemple pour la réalisation du bâti 5 de la figure 1.

L'assemblage 50 comprend un jeu de montants et un jeu de traverses attachées chacune à l'un au moins des montants, ici de manière indémontable.

Ici, le jeu de montants comprend quatre montants 45-1 ... 45-4 qui s'étendent parallèlement les uns aux autres et de manière opposée deux à deux et sont maintenus dans cette position par les traverses.

Un premier montant 45-1 et un second montant 45-2 d'une part, et un troisième montant 453 et un quatrième montant 45-4 d'autre part, sont reliés à chaque fois entre eux par une traverse d'un premier type à l'une de leurs extrémités, ou petite traverse supérieure 47-1, et par une traverse d'un second type à leur extrémité opposée, ou petite traverse inférieure 472.

Le premier montant 45-1, le second montant 45-2, la petite traverse supérieure 47-1 et la petite traverse inférieure 47-2 qui relient chacune le premier montant 45-1 au second montant 45-2 forment un premier châssis 49. Le premier châssis 49 correspond à la face arrière 13 du bâti 5.

Le troisième montant 45-3, le quatrième montant 45-4, la petite traverse supérieure 47-1 et la petite traverse inférieure 47-2 qui relient chacune le troisième montant 45-3 au quatrième montant 45-4 forment un second châssis 51. Le second châssis 51 correspond à la face avant 11 du bâti 5.

Le jeu de traverses comprend un couple de traverses d'un troisième type, ou troisièmes traverses 47-3. Les troisièmes traverses 47-3 maintiennent le premier châssis 49 et le second châssis 51 parallèlement l'un à l'autre. L'une des troisièmes traverses 47-3 relie une extrémité de la petite traverse supérieure 47-1 du premier châssis 49 attachée au second

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx montant 45-2 à l'extrémité correspondante de la petite traverse supérieure 47-1 du second châssis 51. L'autre troisième traverse 47-3 relie une extrémité de la petite traverse inférieure 47-2 du premier châssis 49 attachée au second montant 45-2 à l'extrémité correspondante de la petite traverse inférieure 47-2 du second châssis 51.

Les troisièmes traverses 47-3, le second montant 45-2 et le troisième montant 45-3 forment un troisième châssis 53. Le troisième châssis 53 correspond à la face droite 15 du bâti 5.

Le premier montant 45-1 et le quatrième montant 45-4 correspondent à la face gauche 17 du bâti 5. La face de l'assemblage 50 correspondant à cette face gauche 17 est dépourvue de traverse. Le premier montant 45-1 et le quatrième montant 45-4 sont maintenus parallèlement l'un à l'autre de manière indirecte, par l'intermédiaire du premier châssis 49, du second châssis 51 et du troisième châssis 53. L'espace qui sépare le premier montant 451 du quatrième montant 45-4 est libre. Il donne accès à un volume intérieur de l'assemblage 50, par exemple le volume intérieur 18.

Les petites traverses supérieures 47-1 et la troisième traverse 47-3 qui se trouve à leur niveau forment ensemble un premier cadre, ou cadre supérieur 48-1, en forme générale de U.

Les petites traverses inférieures 47-2 et la troisième traverse 47-3 qui se trouve à leur niveau forment ensemble un second cadre, ou cadre inférieur 48-2, analogue au cadre supérieur 481.

L'assemblage 50 comprend encore un jeu de traverses secondaires. Une première traverse secondaire 55-1 relie le premier montant 45-1 au second montant 45-2. La première traverse secondaire 55-1 s'étend parallèlement à la petite traverse supérieure 47-1. La première traverse secondaire 55-1 se trouve à proximité de cette petite traverse supérieure 47-1. Une seconde traverse secondaire 55-2 relie le premier montant 45-1 au second montant 45-2. La seconde traverse secondaire 55-2 s'étend parallèlement à la première traverse auxiliaire 551. La seconde traverse secondaire 55-2 se trouve entre la première traverse secondaire 55-1 et la petite traverse inférieure 47-2. La seconde traverse secondaire 55-2 est proche de la première traverse secondaire 55-1.

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Une troisième traverse secondaire 55-3 et une quatrième traverse secondaire 55-4 relient chacune le troisième montant 45-3 au quatrième montant 45-4, au niveau respectivement de la première traverse secondaire 55-1 et de la seconde traverse secondaire 55-2.

Un montant secondaire 56 relie les troisièmes traverses 47-3 entre elles. Le montant secondaire 56 s'étend parallèlement aux montants 45-1.. .45-4. Ce montant secondaire 56 se trouve à proximité du troisième montant 45-3.

Les montants et les traverses sont ici réalisés à partir de profilés creux, typiquement de section carrée. Ici, la section présente un côté de 25 millimètres.

Chacune des traverses secondaires 55-1 ... 55-4 porte ici une paire d'attaches respectives, écartées l'une de l'autre. Ici, les attaches sont réalisées sous la forme d'une section de profilé solidaire de sa traverse supplémentaire 55 respective. Le profilé en question présente ici une section rectangulaire, en particulier de 30 millimètres par 10 millimètres. La longueur de la section atteint par exemple 50 millimètres. Les attaches permettent de relier des supports à l'assemblage 50. Par exemple, les attaches sont adaptées pour coopérer avec des crochets qui équipent les supports en question afin de maintenir ces derniers sur l'assemblage 50.

La troisième traverse secondaire 55-3 et la quatrième traverse secondaire 55-4 portent chacune une première attache 57-1 respective. Les premières attaches 57-1 sont au droit l'une de l'autre. Ces premières attaches 57-1 forment une première paire d'attaches apte à recevoir un support à sacs, par exemple le premier support à sacs 33-1 de la figure 1.

La troisième traverse secondaire 55-3 et la quatrième traverse supplémentaire 55-4 portent chacune une seconde attache 57-2 respective. Les secondes attaches 57-2 se trouvent au droit l'une de l'autre. Ces secondes attaches 57-2 forment une seconde paire d'attaches apte à recevoir un support à sacs, par exemple le second support à sacs 33-2 de la figure 1.

La première traverse secondaire 55-1 et la seconde traverse secondaire 55-2 portent chacune une troisième attache 57-3 respective. Ces troisièmes attaches 57-3 forment une troisième paire d'attaches apte à recevoir un support à sacs, par exemple le troisième support à sacs 33-3 de la figure 1.

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La première traverse secondaire 55-1 et la seconde traverse secondaire 55-2 portent encore chacune une quatrième attache 57-4 respective. Les quatrièmes attaches 55-4 se trouvent au droit l'une de l'autre. Ces quatrièmes attaches 57-4 forment une quatrième paire d'attaches apte à recevoir un support à sacs, ou un support d'un type différent, par exemple le support supplémentaire 37 de la figure 1.

Le montant secondaire 56 porte une paire de cinquièmes attaches 57-5 qui sont disposées au droit l'une de l'autre. Ces cinquièmes attaches 57 forment une cinquième paire d'attaches apte à recevoir l’ensemble des supports à sacs 31-1...33-3 et du support supplémentaire 37 emboîtés (empilés) les uns dans les autres.

Les attaches 57-1 ... 57-5 sont réalisées de manière similaire, ce qui confère au chariot 1 un caractère modulable : chaque paire d'attache peut recevoir un support de type support de sacs, support de bac, ou un support d'un type différent tel qu'un support supplémentaire 37 par exemple. Les attaches 57-1 ... 57-5 participent à la réalisation d'une jonction du type de la quatrième jonction.

Certaines au moins des traverses du cadre supérieur 48-1 portent des pattes de support 59. Chaque patte support 59 fait saillie de sa traverse respective. Ici, les petites traverses supérieures 47-1 portent chacune deux pattes 59, tandis que la troisième traverse 47-3 en porte une.

Grâce aux pattes supports 59, le cadre supérieur 48-1 peut supporter un plateau pour former un plan de travail, comme la troisième tablette 29 de la figure 1 par exemple. Les pattes supports 59 contribuent ainsi au maintien du plateau sur l'assemblage 50. Les pattes 59 supports 59 opèrent à la manière d'une partie au moins de la troisième jonction décrite en relation avec la figure 1.

Certaines au moins des traverses du cadre inférieur 48-2 portent également des pattes de support 59. Ici, les petites traverses inférieures 47-2 portent chacune deux pattes supports 59, tandis que la troisième traverse 47-3 en porte une. Le cadre inférieur 48-2 peut ainsi supporter un plateau pour former un plan de travail, à la manière du cadre supérieur 48-1.

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Les pattes supports 59 du cadre inférieur 48-2 opèrent à la manière d'une partie au moins de la quatrième jonction décrite en relation avec la figure 1.

Une paire de chapes d'articulation d'un premier type, ou premières chapes 61, est fixée au second châssis 51. Ici, une première chape 61 respective est fixée sur chacun du troisième montant 45-3 et du quatrième montant 45-4, à un niveau intermédiaire entre la petite traverse supérieure 47-1 et la troisième traverse secondaire 55-3.

Les premières chapes 61 permettent d'attacher une tablette au second châssis 51 de manière articulée, typiquement la première tablette 21 de la figure 1. Les premières chapes 61 peuvent maintenir sélectivement la tablette en question par rapport à l'assemblage 50 dans une position escamotée où la tablette s'étend parallèlement au second châssis 51 et une position déployée où la tablette fait saillie de ce second châssis 51. Les premières chapes 61 agissent ainsi à la manière des premières attaches 23 de la figure 1.

Une paire de chapes d'articulation d'un second type, ou secondes chapes 63, est en outre fixée au second châssis 51. Ici, une seconde chape 63 respective est fixée sur chacun du troisième montant 45-3 et du quatrième montant 45-4, à un niveau intermédiaire entre la petite traverse inférieure 47-2 et la quatrième traverse secondaire 55-4.

Les secondes chapes 63 permettent d'attacher une tablette supplémentaire au second châssis 51 de manière articulée, typiquement la seconde tablette 25 de la figure 1. Les secondes chapes 63 peuvent maintenir sélectivement cette tablette supplémentaire par rapport à l'assemblage 50, dans une position escamotée où la tablette supplémentaire s'étend parallèlement au second châssis 51 et une position déployée où la tablette supplémentaire fait saillie de ce second châssis 51. Les secondes chapes 63 agissent ainsi à la manière des secondes attaches 27 de la figure 1.

Le cadre inférieur 48-2 est adapté pour recevoir un jeu de roues, par exemple les roues orientables 3 de la figure 1. Les roues peuvent être fixées sur des orifices 64 ménagés dans les traverses du cadre inférieur 48-2 ou aux extrémités correspondantes des montants 451.. .45-4, dans des platines par exemple.

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Ici, le cadre inférieur 48-2 comprend encore une paire de prolonges 65 qui font saillie chacune du second châssis 51, en s'éloignant du premier châssis 49. La paire de prolonges 65 est adaptée pour recevoir une paire de roues, par exemple deux des roues orientables 3 de la figure 1. Une fois équipé de ces prolonges 65, l'assemblage 50 permet d'obtenir un chariot avec une stabilité accrue, en particulier dans le cas où des tablettes font saillie du second châssis 51.

On fait référence à la figure 6.

Elle montre un plateau 67 à usage par exemple en tant que troisième tablette 29 des figures à 5.

Le plateau 67 comprend un plan classique 69 dont la forme et les dimensions correspondent à l'ouverture supérieure du bâti. Ici, le plan classique 69 est rectangulaire. Le plan classique 69 est par exemple réalisé en polychlorure de vinyle, en tôle d'acier inoxydable, en fibres de verre ou autre.

Le plateau 67 comprend un raidisseur 71, solidaire du plan classique 69, qui s'étend ici sur un bord longitudinal du plan classique 69. Le raidisseur 71 est par exemple réalisé sous la forme d'une section de profilé, dont la longueur correspond avantageusement à la longueur du plan classique 69. Par exemple, le profilé est de section pleine, typiquement un plat.

Le plateau 67 comprend encore un jeu d'attaches propres, ici solidaires du raidisseur 71. Ces attaches propres sont ici réalisées sous la forme d'une paire de crochets 73. Les crochets 73 s'écartent du raidisseur 71 d'une distance légèrement supérieure aux dimensions des profilés utilisés pour la réalisation du bâti du chariot. Ceci permet d'engager les crochets 73 sur des traverses du bâti afin d'y maintenir le plateau 67. Les crochets 73 agissent ainsi à la manière d'une partie au moins de la troisième jonction décrite en relation avec la figure 1.

On fait à nouveau référence à la figure 1.

Le chariot 1 y est représenté dans une première configuration, où :

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- la première tablette 21 est maintenue parallèlement à la face supérieure du chariot 1, dans le prolongement de celui-ci ;

- la seconde tablette 25 est maintenue parallèlement à la première tablette 21 ;

- la troisième tablette 29 est maintenue en face inférieure 9 du chariot 1 ;

- les supports à sacs 33-1 ... 33-3 sont répartis en travers du volume intérieur 18 du chariot et maintenus sur le bâti 5 ;

- le support supplémentaire 37 se trouve dans le volume intérieur 18, au niveau des supports de sacs 33.

Un opérateur peut utiliser le chariot 1 pour :

- poser un plateau-repas ou de service à débarrasser sur la première tablette 21 ;

- trier des déchets présents sur ce plateau, par exemple en séparant les déchets recyclables d'une part et les déchets organiques d'autre part des déchets DAOM ;

- affecter les déchets à des sacs poubelles respectifs maintenus par les supports à sacs 33-

... 33-3 selon le tri effectué ;

- déposer d'éventuels ustensiles de vaisselle dans un bac maintenu par le support supplémentaire 37, comme le bac à couverts 39 par exemple ;

- déposer le plateau vide sur la seconde tablette 25, le cas échéant par-dessus des plateaux précédemment vidés.

Dans cette première configuration, le chariot 1 peut être avantageusement utilisé comme chariot auxiliaire pour débarrasser, ou chariot de débarrassage.

La troisième tablette 29 peut recevoir un ou plusieurs sacs poubelles pleins. Cette troisième tablette 29 est de préférence équipée d'un raidisseur, apte à compenser l'absence de support par le cadre inférieur sur l'un de ses côtés.

On fait référence à la figure 7.

Le chariot 1 y est représenté dans une seconde configuration, où :

- la première tablette 21 est maintenue de manière rabattue contre la face avant 11 du chariot 1;

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- la seconde tablette 25 est maintenue de manière relevée contre la première tablette 21 et/ou la face avant 11 du chariot 1 ;

- la troisième tablette 29 est maintenue en face supérieure 7 du chariot 1, par exemple sur un cadre du type du cadre supérieur 48-1 des figures 2 à 5 ;

- les supports à sacs 33-1 ... 33-3 sont répartis en travers du volume intérieur 18 du chariot 1;

- le support supplémentaire 37 se trouve dans le volume intérieur 18, à proximité des supports à sacs 33-1 ... 33-3 ;

- les supports à sacs 33-1 ... 33-3 et le support supplémentaire 37 sont recouverts de la troisième tablette 29 qui en interdit l'accès depuis la face supérieure du chariot 1.

Pour passer de la première configuration à la seconde, la troisième tablette 29 est retirée de la face inférieure 9 du chariot 1, typiquement du cadre inférieur 48-2, et montée sur la face supérieure 7, tandis que la première tablette 21 est rabattue et la seconde tablette 25 relevée.

Le chariot 1 peut être utilisé à la manière d'un guéridon de service classique. En particulier, la troisième tablette 29 offre un plan de travail principal, par exemple pour recevoir des ustensiles de vaisselle tels que des verres, des bros ou des carafes.

Dans cette seconde configuration, le chariot 1 peut être avantageusement utilisé comme chariot auxiliaire pour distribuer des boissons ou de la nourriture, en tant que chariot de distribution.

On fait référence à la figure 8.

Le chariot 1 y est représenté dans une troisième configuration, où :

- la troisième tablette 29 est maintenue contre la face droite 15 du chariot 1, par exemple supportée sur une traverse du type de la troisième traverse 47-3 du cadre supérieur 48-1 des

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx figures 2 à 5, par exemple au moyen de crochets du type des crochets 73 de la figure 6 engagés sur celle-ci ;

- l'un des supports à sacs 33-1 ... 33-3 est maintenu dans le volume intérieur 18, comme dans la première configuration du chariot, tandis que les supports à sacs 33-1 ... 33-3 restants sont emboîtés dans le support à sacs 33-1 ... 33-3 en place ;

- le support supplémentaire 37 se trouve installé dans l'un des supports à sacs 33-1 ... 33-3.

Dans cette troisième configuration, la face gauche 15 du chariot 1 est libre, comme une large portion du volume intérieur 18 de ce chariot. Un chariot analogue au chariot 1 peut venir s'emboîter dans le chariot 1, en faisant coïncider les volumes intérieurs 18 respectifs de ces chariots. Ces chariots 1 peuvent être rangés avec un gain de place par rapports aux guéridons de service classiques.

On fait référence aux figures 9 à 12.

Elles montrent un second assemblage 75 pour la réalisation d'un bâti de chariot, en tant que variante du premier assemblage 50 des figures 2 à 5. Les éléments de forme ou de fonction similaire portent des numéros de référence identiques.

Le second assemblage 75 est analogue au premier assemblage 50, excepté que :

- le second assemblage 75 est dépourvu d'attaches du type des attaches 57 ;

- le second assemblage 75 comprend une cinquième traverse secondaire 55-5 qui relie mutuellement le second montant 45-2 et le troisième montant 45-3 ;

- le montant secondaire 56 relie la troisième traverse secondaire 47-3 du cadre inférieur 48- à la cinquième traverse secondaire 55-5 du cadre supérieur 48-1 ;

- le montant secondaire 56 porte un cadre secondaire 77 qui fait saillie dans le volume intérieur 18, perpendiculairement au troisième châssis 53 ;

- le cadre supplémentaire 77 présente une forme de U dont les extrémités des branches sont solidaires du montant secondaire 56 ;

- une traverse supplémentaire 79 relie la base du cadre supplémentaire 77 au montant secondaire 56 ;

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- une barre isolée 80 fait saillie de la cinquième traverse secondaire 55-5 dans le volume intérieur 18, entre le cadre supplémentaire 77 et le premier châssis 49, perpendiculairement au troisième châssis 53 ;

- le second assemblage 75 comprend une paire de supports de bac d'un premier type, ou premiers supports de bac 81, maintenus dans l'espace intérieur 18, entre le second châssis 51 et le cadre supplémentaire 77 ;

- chacun des premiers supports de bac 81 présente ici une allure en forme de L et une structure filaire ;

- chaque premier support de bac 81 est fixé à l'une de ses extrémités à la quatrième traverse secondaire 55-4 ou à la traverse supplémentaire 79 et à son extrémité opposée au quatrième montant 45-4 ou à la base du cadre supplémentaire 77, respectivement ;

- le second assemblage 75 comprend une paire de supports de bac d'un second type, ou seconds supports de bac 83, maintenus dans l'espace intérieur 18, entre le second châssis 51 et le cadre supplémentaire 77, au-dessus des premiers supports de bac 81 ;

- les seconds supports de bac 83 présentent chacun une structure filaire, avec une extrémité solidaire de la cinquième traverse secondaire 55-5 et l'autre de la troisième traverse secondaire 55-3 ou d'une branche du cadre supplémentaire 77, respectivement.

Ici, les premiers supports de bac 81 et les seconds supports de bac 83 sont soudés aux traverses et montants auxquels ils sont reliés.

On fait référence à la figure 13.

En variante au chariot 1 de la figure 1, cette figure 13 montre un chariot d'un second type, ou second chariot 100, dont le bâti 5 est réalisé à partir du second assemblage 75 des figures 9 à 12. Les éléments de forme ou de fonction similaire portent des numéros de référence identiques.

Le second chariot 100 est représenté dans première configuration, où :

- la première tablette 21 est maintenue parallèlement à la face supérieure du bâti 5, dans le prolongement de celle-ci ;

- la troisième tablette 29 est maintenue contre la face droite du bâti 5 ;

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- quatre bacs à déchets 85, utilisables directement ou en combinaison d'un sac poubelle respectif, sont répartis dans le volume intérieur 18 — ces bacs à déchets 85 sont maintenus par leur rebords en appui contre la barre isolée 80 et la première traverse supplémentaire 55-1 ou la branche du cadre supplémentaire 77 - cette barre isolée 80, la première traverse supplémentaire 55-1 et la branche en question du cadre supplémentaire 77 correspondent à une partie au moins d'une seconde jonction qui maintient ces bacs à déchets 85 sur le bâti 5;

- un grand bac 87 est retenu dans le volume intérieur 18, ici légèrement incliné par rapport à la verticale, par les premiers supports de bac 81 ;

- un petit bac 89 est retenu dans le volume intérieur 18, ici à peu près horizontalement, par les seconds supports à sacs 83.

Les premiers supports de bac 81 et les seconds supports à sacs 83 forment une partie au moins d'une jonction capable de maintenir des supports de sacs ou des bacs supplémentaires sur le bâti 5.

Un opérateur peut utiliser le second chariot 100 pour :

- trier des déchets présents sur le plateau, par exemple en séparant les déchets recyclables, d'une part, et les déchets organiques, d'autre part, des déchets DAOM ;

- affecter ces déchets à des bacs à déchets 85 respectifs, directement ou dans un sac poubelle reçu dans le bac à déchets 85 ;

- déposer une partie d'éventuels ustensiles de vaisselle, comme des ramequins ou des bols par exemple, dans le petit bac 89 ;

- déposer une partie au moins du reste d'éventuels ustensiles de vaisselle, comme des assiettes par exemple, dans le grand bac 87, en particulier avec empilement ;

- déposer le plateau vide sur la seconde tablette 25, le cas échéant en l'empilant sur des plateaux précédemment vidés.

Dans cette première configuration, le second chariot 100 peut être avantageusement utilisé comme chariot auxiliaire pour débarrasser, ou chariot de débarrassage.

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Le second chariot 100 peut présenter une seconde configuration non représentée, dans laquelle :

- la première tablette 21 est maintenue de manière rabattue contre la face avant bâti 5 ;

- la seconde tablette 25 est maintenue de manière relevée contre la première tablette 21 et/ou la face avant du bâti 5 ;

- la troisième tablette 29 est maintenue en face supérieure du chariot 1, par exemple sur un cadre du type du cadre supérieur 48-1 des figures 2 à 5, le cas échéant après retrait du petit bac 89 dans le cas où celui-ci dépasse de la face supérieure 7 du bâti 5 ;

- les bacs à déchets 85 et le grand bac 87 conservent leur position dans le volume intérieur du chariot 100.

Dans cette seconde configuration, le second chariot 100 peut être utilisé à la manière d'un guéridon de service classique.

On fait référence à la figure 14.

Le second chariot 100 y est représenté dans une troisième configuration, où :

- la première tablette 21 est maintenue de manière rabattue contre la face avant du bâti 5 ;

- la troisième tablette 29 est maintenue contre la face droite du bâti 5, par exemple sur une traverse du type de la troisième traverse 47-3 du cadre supérieur 48-1 des figures 2 à 5, par exemple au moyen de crochets du type des crochets 73 de la figure 6 ;

- les bacs à déchets 85, le grand bac 87 et le petit bac 89 sont absents.

Dans cette troisième configuration, la face gauche du second chariot 100 est libre, comme une large portion du volume intérieur 18.

La figure 15 montre qu'un troisième chariot 101 analogue au second chariot 100 et le second chariot 100 peuvent s'emboîter l'un dans l'autre, en faisant coïncider leurs volumes intérieurs 18 respectifs, ces volumes ayant été libérés par des bacs à déchets 85, du grand bac 87 et du petit bac 89. Le second chariot 100 et le troisième chariot 101 peuvent être ainsi être remisés avec un gain de place sensible en comparaison de deux chariots guéridons classiques.

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Les ouvertures homologues du troisième chariot 101 et du second chariot 100 sont agencées de manière que ces chariots puissent s'emboîter par l'intermédiaire leurs faces latérales homologues correspondant à ces ouvertures, au moins lorsque les volumes internes 18 correspondants sont libérés, au moins partiellement.

On vient de décrire plusieurs variantes d'un chariot adapté à un usage en tant que chariot d'assistance au débarrassage de lieux de restauration. Les chariots décrits sont spécialement prévus pour cet usage. Ils sont modulables et peuvent ainsi être utilisés à d'autres fins, à la manière d'un guéridon de service par exemple. L'allure en U du bâti de ces chariots, associé à des jonctions qui permettent de maintenir la première tablette 21, la seconde tablette 25 et la troisième tablette 29 hors du volume interne 18 du bâti 5 ou de l'en libérer, permet de stocker ces chariots avec un encombrement réduit.

Les modes de réalisations décrits plus haut ne sont pas limitatifs. L'invention englobe toute variante des chariots décrits.

On a décrit des réceptacles à déchets sous la forme de bacs aptes à recevoir directement des déchets ou accueillir un sac poubelle destiné à recevoir ces déchets. On a décrit aussi des réceptacles sous la forme de supports destinés à recevoir un sac poubelle. Les réceptacles à déchets peuvent prendre une forme encore différente, par exemple celle d'un support à bac.

Les matériaux des différentes surfaces, profilés ou supports peuvent être différents. La forme du chariot peut évoluer des lors que ses fonctions restent similaires.

On a décrit des traverses primaires 47-1...47-3 qui relient des montants 45-1...45-4 entre eux. Le terme traverse doit cependant être compris de manière large, une traverse pouvant être fixée à l'un des montants 45-1.. .45-4 seulement.

On a décrit un plan de travail principal porté par la première tablette 21 et relié à la face avant 11 du bâti 5 par une première jonction. Cette première jonction maintient le plan de travail principal sur la face avant 11, à l'opposé au volume intérieur 18. Il en résulte que le plan de travail principal se trouve à l'extérieur du bâti 5, hors du volume intérieur 18, que la

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx première jonction maintient ce plan de travail en position déployée, en saillie de cette face avant 11, ou escamotée, contre cette face avant 11. En variante, la première jonction peut maintenir le plan de travail principal derrière la face avant 11, à l'intérieur du bâti 5, dans le volume interne 18. La première jonction maintient alors le plan principal dans une position qui libère le volume interne 18 lorsque ce plan est escamoté contre la face avant 11 et en travers de ce volume interne 18 lorsque le plan est déployé. Autrement dit, dans la position escamotée de la première tablette 21 par rapport au bâti 5, cette première tablette libère le volume intérieur du bâti. Et cette position escamotée n'est pas limitée à celle représentée sur les figures, où la première tablette se trouve contre la face avant 11, à l'extérieur du bâti 5, mais s'étend au cas où la première tablette est contre l'arrière de la face avant 11, à l'intérieur du bâti 5.

On a décrit une première et une seconde jonction qui rendent la première tablette 21 et la seconde tablette 25 escamotables par rapport au bâti 5. Ce caractère escamotable pourrait être facultatif, en particulier lorsque la première tablette 21 et/ou la seconde tablette 25 sont accrochées sur l'une des faces latérales 11, 13, 15 et 17 du bâti 5 opposée à la face latérale ouverte, à l'extérieur du volume interne 18. Dans ce cas, la première tablette 21 ou la seconde tablette 25 peuvent être rendues solidaires du bâti 5, par exemple par soudage.

On a décrit des traverses primaires 47-1.. .47-3 et des traverses secondaires 55-1.. .55-5 qui s'étendent chacune entre des montants 45-1...45-4. Ces traverses primaires 47-1...47-3 et secondaires 55-1...55-5 rigidifient le bâti 5. Cela distingue le bâti 5 décrit ici du bâti d'un guéridon de service classique, dont la rigidité provient essentiellement d'une liaison mutuelle des montants par un ou plusieurs plateaux/plans de travail fixés à ces montants, en travers du volume interne. Cela permet ici de libérer le volume interne 18 du bâti 5 de tels plateaux/plan de travail ainsi que l'une au moins des faces latérales de ce bâti.

On a décrit des supports à sacs 33-1.. .33-3 maintenus dans le volume interne 18, de manière répartie dans celui-ci, par une quatrième jonction. Cette quatrième jonction assure un maintien des supports à sacs 33-1...33-3 de manière amovible, en sorte que le volume interne 18 puisse être libéré de ces supports 33-1...33-3. En variante, ces supports pourraient n'occuper le volume intérieur 18 que partiellement (une partie de sa section transversale) de façon à laisser libre une partie de ce volume. Dans ce cas, le caractère amovible de la

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx quatrième jonction devient facultatif. Il en est de même dans le cas où la quatrième jonction est agencée de manière à maintenir les supports à sacs 33-1...33-3 à l'extérieur du bâti, par exemple sur l'une des faces latérales de celui-ci.

On a décrit une première jonction qui maintient le plan de travail 21 dans une position par rapport au bâti 5 dans laquelle le plan de travail 21 s'étend sensiblement de manière perpendiculaire aux montants 45-1...45-4, vers l'extérieur du bâti 5 et une quatrième jonction qui maintient les supports à bacs 33-1...33-3 dans le volume intérieur. Plus généralement, il est avantageux que la première jonction et la seconde jonction soient agencées sur le bâti 5 de manière que l'un du réceptacle à déchets 33-1.. .33-3 et du plan de travail 21 se trouve dans le volume interne 18 tandis que l'autre se trouve hors de ce volume 18. Ceci permet de réduire l'encombrement du chariot.

On a décrit un bâti 5 à quatre montants principaux 45-1.. .45-4, chaque montant appartenant à deux faces latérales adjacentes du bâti 5. Le chariot proposé n'est pas limité à un bâti de ce type. Le bâti pourrait par exemple comporter deux montants principaux, appartenant respectivement à deux faces latérales opposées et supportant chacune une ou plusieurs traverses, par exemple s'étendant dans ces faces opposées. Dans ce cas, les faces latérales du bâti seraient définies par les extrémités des traverses, et/ou les roues orientables.

On décrit une réalisation de ces traverses primaires 47-1...47-3 et secondaires 55-1...55-5 sous la forme de sections de profilés. D'autres formes de réalisation sont envisageables, y compris sous la forme de parois.

Claims

1. Chariot du type comprenant un jeu de roues orientables (3) et un bâti (5) comprenant un jeu de montants (45-1...45-4) supporté par le jeu de roues (3), le bâti (5) présentant quatre faces latérales (11,13,15,17) opposées deux à deux, délimitant entre elles un volume interne (18), le chariot comprenant en outre au moins un plan de travail (21) apte à recevoir des ustensiles de vaisselle, caractérisé en ce que le bâti (5) comprend en outre un jeu de traverses (47-1...47-3) assemblées aux montants (45-1...45-4), ces traverses (47-1...47-3) laissant libre l'une au moins des faces latérales (11,13,15,17) du bâti (5) pour former une ouverture sur le volume interne (18), que le chariot comprend en outre au moins une jonction d'un premier type (23) par l'intermédiaire de laquelle le plan de travail (21) est monté sur l'une au moins des faces latérales (11,13,15,17) du bâti (5), et que la jonction du premier type (23) est agencée de manière à maintenir ce plan de travail (21) en au moins une position par rapport au bâti (5) dans laquelle le plan de travail (21) libère au moins partiellement le volume intérieur (18) et ladite ouverture.

2. Chariot selon la revendication 1 comprenant en outre une jonction d'un second type (57-

1...57-5,55-1,77,80) adaptée à au moins un réceptacle à déchets (33-1...33-3,85), dans lequel la jonction du premier type (23) est agencée de manière à maintenir le plan de travail (21) dans au moins une position par rapport au bâti (5) dans laquelle le plan de travail (21) s'étend sensiblement de manière perpendiculaire aux montants (45-1...45-4), et les jonctions du premier type (23) et du second type (57-1...57-5,55-1,77,80) sont agencées sur le bâti (5) de manière que l'un du réceptacle à déchets (33-1.. .33-3,85) et du plan de travail (21) se trouve dans le volume interne (18) tandis que l'autre se trouve hors de ce volume (18).

3. Chariot selon la revendication 2, dans lequel la jonction du second type (57-1.. .57-5,551,77,80) est agencée de manière à maintenir au moins trois réceptacles à déchets (33-1.. .333,85) par rapport au bâti (5) de manière que ces réceptacles (33-1...33-3,85) soient distribués en travers d'une partie au moins du volume interne (18).

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4. Chariot selon l'une des revendications 2 et 3, dans lequel la jonction du second type (57-

1...57-5,55-1,77,80) maintient l'un au moins des réceptacles à déchets (33-1...33-3,85) de manière amovible par rapport au bâti (5).

5. Chariot selon l'une des revendications 2 à 4, dans lequel la jonction du second type (57-

1...57-5,55-1,77,80) est agencée par rapport au bâti (5) dans une position telle que les réceptacles à déchets (33-1.. .33-3,85) se trouvent sensiblement au niveau du plan de travail (21).

6. Chariot selon l'une des revendications précédentes, dans lequel la jonction d'un premier type (23) est agencée de manière à maintenir le plan de travail (21) en saillie de l'une des faces latérales du bâti (5) en s'éloignant du volume intérieur (18).

7. Chariot selon l'une des revendications précédentes, dans lequel la jonction d'un premier type (23) maintient le plan de travail (21) sélectivement dans une position où le plan de travail (21) s'étend parallèlement à l'une au moins des faces latérales (11,13,15,17) et une position où ce plan de travail (21) fait saillie de cette face latérale (11,13,15,17).

8. Chariot selon l'une des revendications précédentes, dans lequel le bâti (5) comprend une paire de prolonges (65) assemblées à certains au moins des montants (45-1...45-4) et supportant chacune au moins une roue orientable (3) respective, et la paire de prolonges (65) fait saillie de l'une des faces latérales du bâti (5) en s'éloignant du volume interne (18).

9. Chariot selon l'une des revendications précédentes comprenant en outre un plan de travail auxiliaire (25) et une jonction d'un troisième type (27) reliant ce plan de travail auxiliaire (25) à l'une au moins des faces latérales du bâti (5), dans lequel la jonction du troisième type (27) est agencée de manière à maintenir le plan de travail auxiliaire (25) en au moins une position dans laquelle le plan de travail auxiliaire (25) libère au moins partiellement le volume intérieur (18) et ladite ouverture.

10. Chariot selon la revendication 9, dans lequel la jonction du troisième type (27) et la jonction du premier type (23) sont mutuellement agencées de manière à maintenir le plan de travail (21) et le plan de travail auxiliaire (25) par rapport au bâti (5) dans au moins une

122041_PH2_02_DÉBARRASSAGE.FRD.docx position où le plan de travail (21) et le plan de travail auxiliaire (25) s'étendent parallèlement l'un à l'autre.

11. Chariot selon l'une des revendications précédentes, dans lequel la jonction du premier type (23) est capable de maintenir le plan de travail (21) par rapport au bâti (5) en au moins une position, dans laquelle le plan travail (21) se trouve le long de certains au moins des montants (45-1.. .45-4) du bâti (5).

12. Chariot selon l'une des revendications précédentes comprenant en outre un plan de travail accessoire (29) et au moins une jonction d'un quatrième type (73 ;59) reliant le plan de travail accessoire (29) au bâti (5), la jonction du quatrième type (73 ;59) étant agencée de manière à maintenir le plan de travail accessoire (29) par rapport au bâti (5) en au moins une position dans laquelle le plan de travail accessoire (25) se trouve en travers du volume interne (18) et une position où le plan de travail accessoire (29) libère le volume interne (18) et ladite ouverture.

13. Chariot selon l'une des revendications précédentes, dans lequel ladite ouverture sur le volume interne (18) est agencée de manière que le chariot puisse s'emboîter par l'intermédiaire de la face latérale correspondant à cette ouverture avec la face latérale homologue d'un chariot analogue, au moins lorsque le plan de travail (21) libère au moins partiellement le volume intérieur (18) et ladite ouverture.