FR3032280A1 - Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique - Google Patents

Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique Download PDF

Info

Publication number
FR3032280A1
FR3032280A1 FR1550675A FR1550675A FR3032280A1 FR 3032280 A1 FR3032280 A1 FR 3032280A1 FR 1550675 A FR1550675 A FR 1550675A FR 1550675 A FR1550675 A FR 1550675A FR 3032280 A1 FR3032280 A1 FR 3032280A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
box
user
alert
geolocation
signal
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Granted
Application number
FR1550675A
Other languages
English (en)
Other versions
FR3032280B1 (fr
Inventor
Lionel Brunnengreber
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
My Angel
Original Assignee
My Angel
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by My Angel filed Critical My Angel
Priority to FR1550675A priority Critical patent/FR3032280B1/fr
Publication of FR3032280A1 publication Critical patent/FR3032280A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of FR3032280B1 publication Critical patent/FR3032280B1/fr
Active legal-status Critical Current
Anticipated expiration legal-status Critical

Links

Classifications

    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B21/00Alarms responsive to a single specified undesired or abnormal condition and not otherwise provided for
    • G08B21/02Alarms for ensuring the safety of persons
    • G08B21/0202Child monitoring systems using a transmitter-receiver system carried by the parent and the child
    • G08B21/0216Alarm cancellation after generation
    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B21/00Alarms responsive to a single specified undesired or abnormal condition and not otherwise provided for
    • G08B21/02Alarms for ensuring the safety of persons
    • G08B21/0202Child monitoring systems using a transmitter-receiver system carried by the parent and the child
    • G08B21/023Power management, e.g. system sleep and wake up provisions
    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B21/00Alarms responsive to a single specified undesired or abnormal condition and not otherwise provided for
    • G08B21/02Alarms for ensuring the safety of persons
    • G08B21/04Alarms for ensuring the safety of persons responsive to non-activity, e.g. of elderly persons
    • G08B21/0407Alarms for ensuring the safety of persons responsive to non-activity, e.g. of elderly persons based on behaviour analysis
    • G08B21/043Alarms for ensuring the safety of persons responsive to non-activity, e.g. of elderly persons based on behaviour analysis detecting an emergency event, e.g. a fall
    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B25/00Alarm systems in which the location of the alarm condition is signalled to a central station, e.g. fire or police telegraphic systems
    • G08B25/01Alarm systems in which the location of the alarm condition is signalled to a central station, e.g. fire or police telegraphic systems characterised by the transmission medium
    • G08B25/016Personal emergency signalling and security systems
    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B25/00Alarm systems in which the location of the alarm condition is signalled to a central station, e.g. fire or police telegraphic systems
    • G08B25/01Alarm systems in which the location of the alarm condition is signalled to a central station, e.g. fire or police telegraphic systems characterised by the transmission medium
    • G08B25/10Alarm systems in which the location of the alarm condition is signalled to a central station, e.g. fire or police telegraphic systems characterised by the transmission medium using wireless transmission systems

Landscapes

  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Business, Economics & Management (AREA)
  • Emergency Management (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Health & Medical Sciences (AREA)
  • General Health & Medical Sciences (AREA)
  • Child & Adolescent Psychology (AREA)
  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Computer Security & Cryptography (AREA)
  • Psychiatry (AREA)
  • Psychology (AREA)
  • Social Psychology (AREA)
  • Gerontology & Geriatric Medicine (AREA)
  • Alarm Systems (AREA)
  • Telephonic Communication Services (AREA)
  • Mobile Radio Communication Systems (AREA)

Abstract

Système radioélectrique comprenant un système de téléphonie sans fil, un système de géolocalisation par satellite, un centre de traitement d'alertes spécifique et au moins un boitier (80) d'alerte personnel porté par un utilisateur et configuré pour communiquer avec ledit centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire dudit système de téléphonie sans fil, et ledit système étant caractérisé en ce que ledit boitier comprend au moins : - une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, - un module (94) de géolocalisation par satellite, - au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique ; et - une interface homme-machine comprenant (i) des moyens (87a,b) pour émettre un signal pour l'utilisateur, et (ii) au moins un organe de commande (98,99), ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : ○ de déclencher une alerte, ○ de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et ○ d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; et ledit boitier (80) étant configuré pour transmettre au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire du système de téléphonique sans fil suite à un évènement déclencheur un signal d'alerte assorti: ○ de l'identifiant du boitier, ○ des données de géolocalisation par réseau de télécommunication et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, ○ d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, ○ d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ; - ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande par l'utilisateur et la détection autonome par l'un au moins desdits dispositifs de mesure d'un paramètre physique ou chimique du boitier.

Description

Système et procédé d'alerte personnelle utilisant un boîtier d'alerte personnelle et un système radioélectrique Domaine technique de l'invention L'invention concerne le domaine des systèmes d'alerte personnelle, et plus particulièrement les boitiers d'alerte personnelle permettant à une personne en situation d'urgence d'alerter des secours par l'intermédiaire d'un réseau radioélectrique. L'invention porte sur un boitier d'alerte personnel associé à un service spécifique d'assistance personnelle et individuelle dans des situations d'urgence pouvant porter atteinte à l'intégrité physique de la personne. Etat de la technique L'état de la technique propose un grand nombre de documents de type conceptuel mais aussi des documents qui décrivent des modes de réalisation concrets. Par ailleurs, il existe un certain nombre de systèmes sur le marché, qui sont principalement utilisés par des personnes âgées. Le document US 5,838,237 décrit un boitier d'alerte personnel qui communique avec un réseau radioélectrique comprenant un système de GPS et un système de GSM. Le signal GPS est reçu indirectement car il est retransmis par le système GSM (système DGPS = Differential Global Positioning System). Le système comprend également un émetteur haute fréquence (VHF). Le boitier peut être activé par l'utilisateur. Une fonction d'annulation de l'alerte est prévue à l'aide d'un bouton spécifique. Le signal est transmis à un centre de traitement.
Le document US 6,445,300 décrit un boitier d'alerte personnel qui comporte des informations préenregistrées sur l'utilisateur (nom, adresse, téléphone, personne à contacter, informations médicales). Ces informations sont agencées selon deux niveaux, le deuxième niveau étant crypte et réservé au personnel médical d'un centre d'urgence.
Une communication directe bilatérale avec un centre de traitement est prévue. La géolocalisation du boitier est prévue. Le document US 7,126,472 décrit un boitier d'alerte personnel qui communique avec un centre de traitement via l'internet. Le boitier comprend également un récepteur GPS. Le boitier peut être relié à des capteurs biométriques qui communiquent sans fil avec le boitier. Le boitier peut être activé par un bouton, et sa désactivation peut être faite à l'aide de ce même bouton ou par un autre bouton. Après son activation, le centre de traitement peut soit prévenir une personne de contact préprogrammée (en puisant l'information dans une base de données d'utilisateurs), soit procéder à une enquête, ou encore clore l'incident. L'information de la personne de contact peut se faire par courriel ou SMS ou par téléphone. Des messages préenregistrés dans la base de données distante peuvent être transmis par le centre de traitement. La communication entre le centre de traitement et le boitier est bidirectionnelle, y compris pour des messages vocaux. Le centre de traitement peut également envoyer à l'utilisateur des rappels pour prendre des médicaments. Il peut également éditer des rapports d'activité.
Le document US 8,588,733 décrit un procédé de génération et de gestion d'alerte émanant d'un boitier d'alerte personnel qui communique avec un centre de traitement. Ce procédé implique un logiciel qui peut être installé a posteriori sur un téléphone portable ou être chargé dans la mémoire d'un boitier spécifique.
La demanderesse s'est rendu compte que tous ces systèmes ont certains inconvénients. Dans certains cas les boîtiers sont de construction complexe et présentent une consommation électrique élevée. Dans certains cas les réseaux radioélectriques et les procédés de transmission ne respectent pas toujours la vie privée du détenteur du boîtier qui ne souhaite pas être localisable à chaque instant. Dans certains cas, les procédés d'exploitation des alertes n'ont pas toujours une fiabilité suffisante : ils conduisent parfois à des interventions inutiles et parfois des interventions nécessaires n'ont pas lieu. L'invention vise à remédier à ces inconvénients. En particulier elle vise à simplifier le boîtier, notamment en ce qui concerne l'interface homme-machine, et elle vise à simplifier l'utilisation de ladite interface homme-machine. La conception du boitier simplifiée ainsi que la mise en oeuvre du procédé selon l'invention permettent également de réduire la consommation électrique et d'augmenter l'autonomie du boîtier. Le procédé selon l'invention comprend des parties d'échange de données permettant de respecter la vie privée du détenteur, mais comprend une base de données garantissant l'intervention prompte des services de secours publics en cas de besoin. Objets de l'invention Le problème est résolu par un système radioélectrique comprenant un système de téléphonie sans fil, un système de géolocalisation par satellite, au moins une plateforme d'e gestion d'alertes du boitier (appelée ici aussi « plateforme de télésurveillance ») spécifique et d'au moins un boitier d'alerte personnel (et de préférence d'une pluralité de tels boitiers, dont chacun dispose de son identifiant). Ledit boitier comprend au moins un microprocesseur. Plus précisément le système radioélectrique selon l'invention comprend un système de téléphonie sans fil, un système de géolocalisation par satellite, un centre de traitement d'alertes spécifique et au moins un boitier d'alerte personnel porté par un utilisateur, et ledit système étant caractérisé en ce que ledit au moins un boitier (80) d'alerte personnel est configuré pour communiquer avec ledit centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire dudit système de téléphonie sans fil, et ledit système étant caractérisé en ce que ledit boitier d'alerte personnel comprend au moins : une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, un module de géolocalisation par satellite, au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique, de préférence sélectionné parmi un accéléromètre, un capteur de température et un capteur optique capable de détecteur la présence d'une fumée ; et une interface homme-machine comprenant (i) des moyens pour émettre un signal acoustique et/ou des moyens pour émettre un signal vibratoire perceptible pour l'utilisateur, et (ii) au moins un organe de commande, ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : o de déclencher une alerte, o de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et o d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; et ledit boitier étant configuré pour transmettre au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire du système de téléphonique sans fil suite à un évènement déclencheur un signal d'alerte assorti: o de l'identifiant du boitier, o des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, o d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, o d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ; ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande dit « bouton panique » par l'utilisateur et la détection autonome par l'un au moins desdits dispositifs de mesure d'un paramètre physique ou chimique le boitier.
Selon l'invention le boitier n'émet des signaux que lors qu'il a été activé par un évènement déclencheur, c'est-à-dire par l'utilisateur qui actionne un organe de commande ou provoqué par la détection autonome d'une situation d'urgence, ou encore dans le cadre d'une procédure spécifique de localisation. Cette limitation de l'émission de signaux à certaines situations économise du courant de batterie, et préserve également la vie privée de l'utilisateur, le boitier n'étant pas traqué à l'insu de son utilisateur, sauf dans le cadre d'une procédure spécifique de localisation. Nous entendons ici par « détection autonome » la détection d'un paramètre physique ou chimique par un dispositif de mesure qui se trouve physiquement dans le boitier. Un tel dispositif de mesure peut être par exemple un accéléromètre intégré dans le boitier et/ou un capteur de température intégré dans le boitier et/ou un capteur de position ou de vitesse... L'évènement déclencheur provoqué par la détection autonome d'une situation d'urgence peut être la détection d'un choc par ledit accéléromètre, ou la détection d'une température critique (i.e. trop haute, ce qui indique une probabilité d'incendie, ou trop basse, ce qui indique un risque de gel) par ledit capteur de température. Dans les deux cas (détection de choc, détection de température) le microprocesseur du boitier compare la valeur mesurée par ledit dispositif de mesure à une valeur de seuil prédéterminée et rend une information considérée comme représentative d'une situation d'urgence, qui devient alors un évènement déclencheur dans le déroulement du procédé selon l'invention. D'autres capteurs qui peuvent être utilisés sont des capteurs optiques configurés pour détecter de la fumée.
Le système radioélectrique selon l'invention peut comprendre un nombre important de boitiers, chacun étant identifié par son identifiant ; par exemple le réseau peut comprendre cent, mille ou dix mille boitiers.
Un autre objet de l'invention est un boitier d'alerte personnel destiné à être porté par un utilisateur, ledit boitier comprenant au moins : une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, un module de géolocalisation par satellite, au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique, de préférence sélectionné parmi un accéléromètre, un capteur de température et un capteur optique capable de détecteur la présence d'une fumée ; et une interface homme-machine comprenant (i) des moyens pour émettre un signal acoustique et/ou des moyens pour émettre un signal vibratoire perceptible pour l'utilisateur, et (ii) au moins un organe de commande, ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : o de déclencher une alerte, o de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et o d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; caractérisé en ce que ledit boitier est configuré pour transmettre au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire du système de téléphonie sans fil suite à un évènement déclencheur un signal d'alerte assorti: o de l'identifiant du boitier, o des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, o d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, o d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ; ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande tactile dit « bouton panique » par l'utilisateur et la détection autonome par l'un au moins desdits dispositifs de mesure d'un paramètre physique ou chimique du boitier.
Dans une variante, ledit organe de commande tactile peut être remplacé par un organe de commande vocale, éventuellement associé à un analyseur de voix. Ledit boitier est avantageusement également configuré pour recevoir un message émis par ledit centre de traitement d'alertes.
Ledit boitier est avantageusement également configuré pour désactiver, pendant un certain laps de temps, la configuration « utilisateur non joignable » après la transmission de son signal d'alerte au centre de traitement d'alertes. Ce laps de temps peut être prédéfini par l'utilisateur, ou peut être prédéfini par le centre de traitement d'alertes ; il peut également être défini par le centre de traitement d'alertes lorsqu'il reçoit le signal d'alerte, et l'information concernant ce laps de temps est dans ce cas immédiatement transmis par le centre de traitement d'alertes au boitier, par l'intermédiaire dudit réseau de téléphonie sans fil.
Un autre objet de l'invention est un procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte émis suite à un évènement déclencheur, par un boitier d'alerte personnel selon l'invention, détenu par un utilisateur, à un centre de traitement d'alertes, ledit boitier d'alerte personnel faisant partie du réseau radioélectrique selon l'invention, et ledit boitier d'alerte personnel comprenant au moins: une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, un module de géolocalisation par satellite, au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique, de préférence sélectionné parmi un accéléromètre, un capteur de température et un capteur optique capable de détecteur la présence d'une fumée, et une interface homme-machine comprenant au moins un organe de commande, ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : o de déclencher une alerte, o de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et o d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; et ledit boitier d'alerte personnel étant doté de moyens pour émettre un signal acoustique et/ou vibratoire perceptible pour l'utilisateur ; ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande dit « bouton panique » par l'utilisateur et la détection autonome par le boitier d'une situation d'urgence, sachant que pour ladite détection autonome par le boitier d'une situation d'urgence le microprocesseur du boitier est configuré pour comparer la valeur mesurée par ledit dispositif de mesure à une valeur de seuil prédéterminée et rendre une information considérée comme représentative d'une situation d'urgence, qui devient alors un évènement déclencheur, dans lequel procédé: (a) Lorsqu'au moins un desdits dispositifs de mesure effectue une mesure d'un paramètre physique: o ladite mesure est comparée à un seuil prédéfini, o en cas de dépassement dudit seuil on considère que l'évènement déclencheur est réalisé, o si ledit évènement déclencheur est réalisé, le boitier émet un signal acoustique et/ou vibratoire perceptible pour l'utilisateur, o si l'utilisateur n'empêche pas pendant un laps de temps prédéfini la transmission de l'alerte en actionnant un organe de commande, l'étape (b) est exécutée ; (b) le boitier, par l'intermédiaire de son module de géolocalisation par satellite, recherche le signal d'un satellite de géolocalisation et/ou, notamment si un tel signal est indisponible, effectue une géolocalisation par réseau de télécommunication ; (c) le boitier émet à un centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire d'un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM) un signal d'alerte assorti: o de l'identifiant du boitier, o des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, o d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, o d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ; (d) ledit centre de traitement d'alertes envoie par l'intermédiaire d'un réseau de télécommunication un message, de préférence assorti des coordonnées de géolocalisation, vers au moins un poste téléphonique, ledit poste téléphonique ayant été préalablement désigné par l'utilisateur ou sélectionné par ledit centre de traitement d'alertes.
Dans ce procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte, ledit dispositif de mesure est avantageusement un accéléromètre et ledit évènement déclencheur est alors la détection d'un choc dépassant un seuil prédéfini.
Dans ledit procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte, si le boitier se trouve en mode « utilisateur non joignable », ledit message envoyé à l'étape (d) est émis à destination d'un poste téléphonique fixe ou portable en possession d'une tierce personne. En revanche si boitier se trouve en mode « utilisateur joignable », ledit message envoyé à l'étape (d) est émis à destination d'un poste téléphonique fixe ou portable en possession de l'utilisateur. Un autre objet de l'invention est un procédé de localisation d'un boitier d'alerte personnel faisant partie du réseau radioélectrique selon l'invention, (a) Un demandeur transmet au centre de traitement d'alertes une requête de localisation du boitier assortie d'une information permettant d'identifier le boitier et d'un mot de passe ou d'une autorisation spécifique ; (b) le centre de traitement d'alertes transmet au boitier une requête de transmission du signal de géolocalisation assortie de l'identifiant dudit boitier ; (c) si le boitier est en mode « utilisateur joignable », ledit boitier reçoit ladite requête et, par l'intermédiaire de son module de géolocalisation par satellite, recherche le signal d'un satellite de géolocalisation et/ou, notamment si un tel signal est indisponible, effectue une géolocalisation par réseau de télécommunication et transmet au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire d'un réseau de télécommunication l'information des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite ; (d) le centre de traitement d'alertes transmet les données de géolocalisation au demandeur ; (e) si à l'étape (b) le boitier se trouve en mode « utilisateur non joignable » et/ou ne reçoit pas ladite requête, le centre de traitement d'alertes transmet au demandeur la position de géolocalisation correspondant à la dernière communication entre le boitier et le centre de télésurveillance.
Dans un mode de réalisation de ce procédé, ledit boitier émet un signal de géolocalisation uniquement avec un signal d'alerte ou dans le cadre de la procédure de localisation. Figures Les figures illustrent des modes de réalisation de l'invention, mais ne limitent pas la portée de l'invention.
La figure 1 montre de manière schématique trois vues d'un boitier selon l'invention : une vue frontale (1(b), deux vues latérales (1(a) et 1(c)). La figure 2 montre de manière schématique les composants électroniques contenus dans un boitier selon l'invention.
La figure 3 montre de manière schématique le réseau radioélectrique selon l'invention pour six différentes situations et scénarios expliqués en grand détail ci-dessous. La figure 4 montre de manière schématique les procédures opératoires pour différentes situations et scénarios expliqués en grand détail ci-dessous.
Description Le système selon l'invention comprend au moins un boîtier d'alerte personnel (et typiquement une pluralité de tels boîtiers), au moins un réseau radioélectrique (qui comprend au moins un réseau radiotéléphonique), et au moins un centre de gestion d'alertes spécifique qui est appelé ici « plateforme de télésurveillance », et qui comprend au moins un émetteur - récepteur apte à communiquer avec ledit boitier à travers ledit réseau radiotéléphonique. Le système selon l'invention met en oeuvre un procédé de communication et d'échange d'informations entre un boîtier d'alerte personnel de l'utilisateur (appelé ci-dessous le « boitier ») et une plateforme de télésurveillance, ce procédé mettant en oeuvre des scénarios selon les informations reçues ou non par le boitier, et - dans une certaine mesure - selon le choix de l'utilisateur du boitier. Le boitier d'alerte personnel intègre des technologies de communication connues et éprouvées, telles que : - la géolocalisation multi réseaux, en utilisant des données satellite (tels que : GPS / GLONASS / GALILEO) et/ou des données dérivées du réseau radiotéléphonique (tel que : GSM), - la technologie M2M (Machine to Machine) de type GSM multi opérateurs, Il comprend également un logiciel spécifique qui met en oeuvre les différents procédés d'alerte et de communication, tout en visant l'optimisation de l'autonomie électrique (2 à 4 semaines) et en permettant le paramétrage de certaines fonctionnalités du boitier par l'utilisateur. Le boitier dispose de plusieurs moyens qui constituent son interface homme - machine. A ce titre le boitier dispose d'au moins un élément de commande (typiquement sous la forme d'un bouton à presser) permettant le déclenchement volontaire d'une alerte par l'utilisateur. Le boitier dispose également d'au moins un émetteur de signaux acoustiques et/ou vibratoires et d'au moins un émetteur de signaux optiques, lesdits signaux acoustiques, vibratoires et optiques étant directement perceptibles par l'utilisateur. Le boîtier intègre des composants électroniques connus, qui sont contrôlés et exploités par un logiciel spécifique embarqué.
L'échange entre le boîtier et le centre de services se fait par l'intermédiaire d'un réseau radioélectrique de type connu qui comprend au moins un réseau radiotéléphonique (appelé aussi réseau de télécommunication sans fil). Ce réseau radioélectrique intègre des réseaux et composants existants, notamment par l'intermédiaire d'un système de serveur et de liaisons filaire et/ou sans fil (téléphonie, sms, internet), et qui met en oeuvre des procédés spécifiques contrôlés d'une part par des logiciels, et d'autre part par des procédures opératoires gérées par une plateforme de télésurveillance spécifique. Le système selon l'invention permet de rendre un ensemble de services d'assistance à la personne de type nouveau, qui sont sous liés au boitier, et qui sont décrits par des procédures spécifiques.
Une partie de ces procédés et procédures ainsi que la structure du réseau radioélectrique sont documentées dans des schémas qui font partie de l'invention, et qui seront expliqués ci-dessous. Le système selon l'invention présente au moins les fonctionnalités techniques et caractéristiques techniques suivantes (on ne prend pas en compte ici les fonctionnalités qui n'impliquent pas d'aspects techniques, comme la disponibilité de la plateforme de télésurveillance 24h/24 et 7j/7, ou la levée de doute physique par intervention d'un professionnel) : Il permet l'émission volontaire d'alertes de différents types (médicale, agression, ...) et par des voies différentes (SMS, courriel, GSM). Il permet la géolocalisation du boitier en cas d'alerte (ou en cas de recherche du boitier) par satellite (en utilisant des méthodes connues, notamment le GPS) et/ou par le réseau radiotéléphonique ; cette géolocalisation du boitier peut se faire également sur requête externe. Il permet la détection d'accident et envoi d'alerte automatiques. Il permet également localisation automatique d'une personne (i.e. de l'utilisateur du boitier) en cas de disparition (après un délai préfixe, qui peut être de 48h). L'utilisateur du boitier n'a pas besoin de disposer d'un téléphone portable (GSM). Le système est conçu de manière à ce que l'émission d'ondes par le boitier soit réduite ; de même la consommation électrique du boitier est faible, ce qui permet d'allonger son autonomie énergétique. Et finalement le système selon l'invention assure le respect de la vie privée de l'utilisateur du boiter, dans la mesure où le système ne traque pas en permanence sa position.
Nous entendons ici par « utilisateur du boitier » la personne qui va détenir le boitier, c'est-à-dire qui le porte sur elle-même (par exemple dans sa poche, fixé sur une cordelette autour du cou, ou sur un bracelet). De manière très préférée l'identité de l'utilisateur ainsi défini est connue de la plateforme de télésurveillance, qui dispose de certaines données personnelles de cet « utilisateur déclaré », comme il sera expliqué en plus grand détail ci- dessous. Il est également possible que cet utilisateur déclaré puisse mettre occasionnellement le boitier à la disposition d'une tierce personne, et ce sera cette dernière qui deviendra donc l'utilisateur au sens de la description qui suit. On peut prévoir que pour une telle mise à disposition occasionnelle l'utilisateur déclaré déclare les données personnelles de cet utilisateur occasionnel au centre de télésurveillance, afin que ce dernier puisse remplir au mieux ses missions. Les fonctionnalités du système selon l'invention seront expliquées en plus grand détail à l'aide des figures qui illustrent des modes de réalisation typiques.
La figure 1 montre un mode de réalisation du boîtier porté par l'utilisateur. Il comprend une interface homme-machine qui est d'une grande simplicité, et qui est commandée par l'intermédiaire d'un circuit électronique compris dans le boitier. La figure 2 montre les composants électroniques du boîtier selon un mode de réalisation avantageux de l'invention. Il comprend différents blocs électroniques de commande et d'affichage ainsi que des moyens de communications permettant de mettre en oeuvre le système d'alerte personnel. Le boitier 80 comprend avantageusement au moins : - un accéléromètre 81 et un module de géolocalisation 94 par satellite (tel que GPS - Global Positioning System) permettant de détecter la position du boitier, - un ensemble de composants permettant l'interconnexion des différents composant tel que la gestion des ports d'entrée-sortie du microcontrôleur 85 (GP10), la modulation de largueur d'impulsion 89 (PVVN), un émetteur-récepteur asynchrone 96 (UART), un gestionnaire de communication du bus interne 97 (120), un moniteur de charge 95, un bus de données série synchrone 90 (SPI), - un système de mise à jour 83 de l'ensemble électronique du boitier, - une interface extérieure 91 (par exemple de type USB) permettant de recharger le boîtier et d'accéder aux fonctions de mise à jour du produit, - un module de gestion de dialogue 92 ainsi qu'un modem 93 réalisant l'échange des données, - au moins un bouton (et de préférence deux boutons 98, 99), de préférence des boutons qui réagissent à une pression, un émetteur de signaux acoustiques 87a et/ou vibratoires 87b (tel qu'un buzzer) et au moins (et de préférence deux) émetteurs de signaux optiques 88a, 88b (tel qu'un LED), ces composants réalisant l'interface homme-machine, - un accumulateur électrique tel qu'une batterie rechargeable, - au moins un microprocesseur 86 capable de stocker et d'exécuter les instructions d'un programme informatique.
Le microprocesseur 86 comprend un programme informatique dont l'état peut évoluer en fonction d'évènements externes. Plus précisément, les paramètres d'entrées permettant de faire évoluer le programme sont définis selon des actions ou des états électriques de certains composants. Ces états permettent d'établir des scénarios auquel l'usager peut être confronté dans sa vie quotidienne. Chaque scénario va mettre en exécution une procédure spécifique faisant intervenir des moyens techniques et services particuliers pour répondre au scénario spécifique auquel l'usager est confronté. Les figures 3 montrent de manière schématique le réseau radioélectrique pour différentes situations et scénarios. On distingue deux modes dans lequel l'utilisateur peut se trouver : le « mode joignable » et le « mode non joignable ». Ce mode est sélectionné par l'utilisateur par l'intermédiaire de l'interface homme-machine du boitier. L'utilisateur peut sélectionner le mode « utilisateur joignable » lorsqu'il peut être joint par téléphone à un numéro connu de la plateforme de télésurveillance. Dans ce mode la plateforme de télésurveillance peut envoyer des messages directement au boitier et/ou recevoir des messages directement du boitier ; cette réception et cet envoi se font typiquement par la voie de messages alphanumériques ou binaires, notamment de type SMS (Short Message Service). Tout protocole de communication approprié peut être utilisé, notamment un protocole basé sur la norme de téléphonie mobile GSM 03.04 ou un protocole de type DATA (exécuté par exemple sur le réseau GPRS ou 3G).
La figure 3a correspond à deux scénarios différents qui surviennent lorsque le boitier se trouve dans le mode « utilisateur non joignable » : l'enclenchement du bouton panique par l'utilisateur, et la détection par le boîtier d'un choc violent, ces deux évènements sont appelés ici « évènement déclencheur ». La détection d'un choc violent utilise l'information fournie par l'accéléromètre qui est comparée avec un seuil prédéfini dont le dépassement correspond à l'évènement déclencheur. La détection d'un choc violent est suivie de l'émission d'un signal acoustique et/ou vibratoire à destination de l'utilisateur du boitier ; cela lui permet d'arrêter le boitier pendant un laps de temps prédéfini, comme sera expliqué en plus grand détail ci-dessous. A l'étape 10, le boitier recherche le signal d'un satellite de géolocalisation (GPS). A l'étape 11 ce signal de géolocalisation par satellite est trouvé et reçu par le boitier, ou un constat d'échec est enregistré par le boitier. A l'étape 12 le boitier émet vers un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM) un signal d'alerte assorti des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite. A l'étape 13 ce signal d'alerte avec ses coordonnées de géolocalisation est transmis par le réseau radiotéléphonique vers la plateforme de télésurveillance. A l'étape 14 la plateforme de télésurveillance envoie un message (typiquement de type SMS), de préférence assorti des coordonnées de géolocalisation, vers le réseau radiotéléphonique qui est transmis à l'étape 15 avec vers au moins un poste téléphonique d'une personne désignée par l'utilisateur (« personne à prévenir »). Il peut s'agir notamment d'un message SMS ou verbal, possiblement préenregistré, et/ou d'un message automatique. Dans un mode de réalisation avantageux, l'utilisateur peut annuler la procédure pendant un laps de temps t1 après l'évènement déclencheur, par exemple par l'arrêt du boitier en actionnant la commande « utilisateur non joignable ». Après l'émission du message par le centre de services à l'étape 14 l'arrêt du boitier est désactivé pendant un laps de temps t2. Le laps de temps t1 est prédéfini et peut éventuellement être modifié par l'utilisateur. Avantageusement t1 est compris entre 5 et 20 secondes (par exemple 10 secondes) et t2 (défini avantageusement par le centre de services) est compris entre 5 et 30 minutes (par exemple 15 minutes). Une présentation complémentaire de ce scénario « déclenchement du bouton panique en mode utilisateur non joignable » sera donnée ci-dessous en relation avec les figures 4a et 4b. La figure 3b correspond aux mêmes scénarios que la figure 3a, mais en mode « utilisateur joignable »: L'enclenchement du bouton panique par l'utilisateur, et la détection par le boîtier d'un choc violent, ces deux évènements sont appelés ici « évènement déclencheur ». La détection d'un choc violent utilise l'information fournie par l'accéléromètre 81 qui est comparée avec un seuil prédéfini dont le dépassement correspond à l'évènement déclencheur. La détection d'un choc violent est suivie de l'émission d'un signal acoustique et/ou vibratoire à destination de l'utilisateur du boitier ; cela lui permet d'arrêter le boitier pendant un laps de temps prédéfini, comme sera expliqué en plus grand détail ci-dessous.
A l'étape 20 le boitier recherche le signal d'un satellite de géolocalisation (GPS). A l'étape 21 ce signal de géolocalisation par satellite est trouvé et reçu par le boitier, ou un constat d'échec est enregistré par le boitier. A l'étape 22 le boitier émet un signal d'alerte assorti des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, vers un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM). A l'étape 23 le signal d'alerte avec ses coordonnées de géolocalisation est transmis par le réseau radiotéléphonique vers la plateforme de télésurveillance. A l'étape 24 la plateforme de télésurveillance envoie un appel destiné à l'utilisateur sur le réseau radioélectrique de son téléphone portable (GSM) qui lui est transmis par ledit réseau à l'étape 25; cet appel vise à valider la nécessité ou non de l'intervention d'un centre de secours. Cette validation peut se faire sous la forme d'un questionnaire et vise à déterminer s'il convient ou non d'alerter à l'étape 26 le centre de secours le plus approprié au type d'intervention nécessaire (du type force de l'ordre pour une agression, les pompiers ou un service médical d'urgence pour une urgence médicale, ou une demande d'assistance différente). L'étape 26 correspond à la restitution au moins partielle des informations collectées par la plateforme de télésurveillance au centre de secours approprié. Ces informations comprennent au moins la position GSM et/ou GPS, l'identité de la personne, et peuvent comprendre aussi des informations personnelles, tels que son numéro de sécurité sociale, son âge. Dans un mode de réalisation avantageux, l'utilisateur peut annuler la procédure pendant un laps de temps t1 après l'évènement déclencheur, par exemple par l'arrêt du boitier ; après l'émission du message par le centre de services à l'étape 24 l'arrêt du boitier est désactivé pendant un laps de temps t2. Comme indiqué ci-dessus en relation avec la figure 3a, le laps de temps t1 est prédéfini et peut éventuellement être modifiée par l'utilisateur ; Avantageusement t1 est compris entre 5 et 20 secondes (par exemple 10 secondes) et t2 (défini avantageusement par le centre de services) est compris entre 5 et 30 minutes (par exemple 15 minutes).
La figure 3c correspond au scénario mettant en oeuvre le mode « demande de localisation via le web » : l'utilisateur cherche à localiser un boitier. Il peut s'agir de son boitier personnel qu'il a perdu, ou qu'il a prêté (par exemple à son enfant ou son parent âgé). Il peut s'agir également du boitier d'une tierce personne (par exemple d'un ami parti en randonnée de montagne). A l'étape 30 l'utilisateur se connecte par une autre interface homme-machine, typiquement de type ordinateur, tablette ou Smartphone, à une application en ligne de recherche de positionnement du boitier. A l'étape 31 cette demande de localisation du boitier est transmise à la plateforme de télésurveillance. Cette demande doit comporter la transmission par l'utilisateur d'une information (typiquement d'un code alphanumérique) permettant d'identifier le boitier individuel. A l'étape 32 ladite plateforme de télésurveillance déclenche une demande de localisation sur le réseau radioélectrique (typiquement un réseau GSM). A l'étape 33 le réseau radioélectrique transmet cette demande au boitier. A réception de ce message, le boitier, selon s'il est en mode joignable ou non, et s'il se trouve dans une zone couverte par le réseau radioélectrique, mettra en oeuvre une procédure opératoire différente. Si le boitier est en mode « utilisateur joignable », le boitier recherche à l'étape 34 le signal d'un satellite de géolocalisation (GPS). Si à l'étape 34 ce signal de géolocalisation par satellite est trouvé et reçu à l'étape 35 par le boitier, le boitier émet à l'étape 36 un signal de retour assorti des données de géolocalisation par satellite ; si à l'étape 34 aucun signal de géolocalisation par satellite n'est trouvé ou si un tel signal est trouvé mais pas correctement reçu à l'étape 35, un constat d'échec est enregistré par le boitier, et le boitier émet à l'étape 36 un signal de retour assorti des données de géolocalisation GSM. Plus précisément, à l'étape 36 le boitier émet un signal de retour assorti des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, vers un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM). A l'étape 37 le signal de retour avec ses coordonnées de géolocalisation est transmis par le réseau radiotéléphonique vers la plateforme de télésurveillance. A l'étape 38 la plateforme de télésurveillance envoie une information concernant la position, de préférence assorti des coordonnées de géolocalisation au support d'application web, ce qui permet à l'utilisateur de la consulter à l'étape 39.
Dans une variante de ce procédé (non illustrée sur les figures) l'utilisateur adresse sa demande de localisation directement à la plateforme de télésurveillance via une liaison téléphonique.
Si le boitier est en mode « utilisateur non joignable », l'envoi de la demande de localisation à l'étape 33 n'est pas suivi d'une réponse. Dans ce cas, la plateforme de télésurveillance donne à l'utilisateur la dernière position de géolocalisation (par satellite ou par GSM) connue, avec la date et l'heure de cette position. Cette information sur la dernière position provient de la dernière communication entre la plateforme de télésurveillance et le boitier. On note que dans le cadre de la présente invention, la communication entre la plateforme de télésurveillance et le boitier se fait toujours par SMS. Dans un mode de réalisation avantageux de l'invention il n'y a pas d'enregistrement permanent de la position du boitier par la plateforme de télésurveillance ; cette option peut cependant être prévue.
La figure 3d correspond au scénario mettant en oeuvre le mode « demande de localisation par téléphone ». Dans ce mode de réalisation l'utilisateur cherche à localiser un boitier. Il peut s'agir de son boitier personnel qu'il a perdu, ou qu'il a prêté (par exemple à son enfant ou son parent âgé). Il peut s'agir également du boitier d'une tierce personne (par exemple d'un ami parti en randonnée de montagne). A l'étape 41 cette demande de localisation du boitier est transmise à la plateforme de télésurveillance. Cette demande doit comporter la transmission par l'utilisateur d'une information (typiquement d'un code alphanumérique) permettant d'identifier le boitier individuel. A l'étape 43 ladite plateforme de télésurveillance déclenche une demande de localisation sur le réseau radioélectrique (typiquement un réseau GSM). A l'étape 44 le réseau radioélectrique transmet cette demande au boitier. A réception de ce message, le boitier, selon s'il est en mode joignable ou non, et s'il se trouve dans une zone couverte par le réseau radioélectrique, mettra en oeuvre une procédure opératoire différente.
Si le boitier est en mode « utilisateur joignable », le boitier recherche à l'étape 47 le signal d'un satellite de géolocalisation (GPS). Si à l'étape 47 ce signal de géolocalisation par satellite est trouvé et reçu à l'étape 48 par le boitier, le boitier émet à l'étape 45 un signal de retour assorti des données de géolocalisation par satellite ; si à l'étape 47 aucun signal de géolocalisation par satellite n'est trouvé ou si un tel signal est trouvé mais pas correctement reçu à l'étape 48, un constat d'échec est enregistré par le boitier, et le boitier émet à l'étape 46 un signal de retour assorti des données de géolocalisation GSM.
Plus précisément, à l'étape 45 le boitier émet un signal de retour assorti des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, vers un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM). A l'étape 46 le signal de retour avec ses coordonnées de géolocalisation est transmis par le réseau radiotéléphonique vers la plateforme de télésurveillance. A l'étape 42 la plateforme de télésurveillance envoie une information concernant la position, de préférence assortie des coordonnées de géolocalisation à l'utilisateur.
Dans une variante de ce procédé (non illustrée sur les figures) l'utilisateur adresse sa demande de localisation directement à la plateforme de télésurveillance via une liaison téléphonique. Si le boitier est en mode « utilisateur non joignable », l'envoi de la demande de localisation à l'étape 44 n'est pas suivi d'une réponse. Dans ce cas, la plateforme de télésurveillance donne à l'utilisateur la dernière position de géolocalisation (par satellite ou par GSM) connue, avec la date et l'heure de cette position. Cette information sur la dernière position provient de la dernière communication entre la plateforme de télésurveillance et le boitier.
On note que dans le cadre de la présente invention, la communication entre la plateforme de télésurveillance et le boitier se fait toujours par SMS. Il n'y a pas d'enregistrement permanent de la position du boitier par la plateforme de télésurveillance. Une présentation complémentaire des scénarios illustrés sur les figures 3 c et 3d sera donnée ci-dessous en relation avec la figure 4c. La figure 3e correspond au scénario mettant en oeuvre le mode « demande de localisation sur procédure judiciaire ». Dans ce mode de réalisation l'utilisateur (qui peut être un représentant de l'organisation policière ou judiciaire) cherche à localiser un boitier. Il doit fournir à la plateforme de télésurveillance un document prouvant son habilitation pour procéder à cette recherche (correspondant en France par exemple à la procédure judiciaire de type main courante). Une présentation complémentaire de ce scénario sera donnée ci-dessous en relation avec la figure 4d.
L'étape 50 correspond au dépôt d'une requête (par exemple dans le cadre d'une procédure judiciaire) auprès d'un organisme des services de l'ordre ou des services judiciaires (par exemple un commissariat ou une gendarmerie) par un requérant ; la procédure se poursuit uniquement si cette requête est accordée et conduit à la délivrance d'un document valant habilitation à procéder à cette localisation. A l'étape 51 optionnelle, une communication (qui peut être téléphonique) met en relation le requérant et un opérateur de la plateforme de télésurveillance, le requérant lui faisant état de la demande de localisation du boitier sur procédure judiciaire. De manière optionnelle, on peut prévoir qu'a l'étape 52 le requérant doit envoyer à la plateforme de télésurveillance un document prouvant son habilitation pour procéder à cette recherche. Cet envoi peut être fait en même temps que la demande à l'étape 51; il peut être fait par télécopie ou un autre moyen sécurisé.
A l'étape 53 la plateforme de télésurveillance déclenche une demande de localisation sur le réseau radioélectrique (typiquement un réseau GSM). A l'étape 54 le réseau radioélectrique transmet cette demande au boitier. A réception de ce message, le boitier, selon s'il est en mode « utilisateur joignable » ou non, et s'il se trouve dans une zone couverte par le réseau radioélectrique, mettra en oeuvre une procédure opératoire différente. Si le boitier est en mode « utilisateur joignable », le boitier recherche à l'étape 57 le signal d'un satellite de géolocalisation (GPS). Si à l'étape 57 ce signal de géolocalisation par satellite est trouvé et reçu à l'étape 58 par le boitier, le boitier émet à l'étape 55 un signal de retour assorti des données de géolocalisation par satellite ; si à l'étape 57 aucun signal de géolocalisation par satellite n'est trouvé ou si un tel signal est trouvé mais pas correctement reçu à l'étape 58, un constat d'échec est enregistré par le boitier, et le boitier émet à l'étape 56 un signal de retour assorti des données de géolocalisation GSM. Plus précisément, à l'étape 55 le boitier émet un signal de retour assorti des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, vers un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM). A l'étape 56 le signal de retour avec ses coordonnées de géolocalisation est transmis par le réseau radiotéléphonique vers la plateforme de télésurveillance. A l'étape 59, la plateforme de télésurveillance envoie une information concernant la position, de préférence assorti des coordonnées de géolocalisation au requérant. Si le boitier est en mode « utilisateur non joignable », l'envoi de la demande de localisation à l'étape 54 n'est pas suivi d'une réponse. Dans ce cas, la plateforme de télésurveillance donne au requérant la dernière position de géolocalisation (par satellite ou par GSM) connue, avec la date et l'heure de cette position. Cette information sur la dernière position provient de la dernière communication entre la plateforme de télésurveillance et le boitier. On note que dans le cadre de la présente invention, la communication entre la plateforme de télésurveillance et le boitier se fait de préférence par SMS. Il n'y a pas d'enregistrement permanent de la position du boitier par la plateforme de télésurveillance. Vu de la plateforme de télésurveillance; le mode « utilisateur non joignable » est équivalent à une situation dans laquelle le boitier n'est plus capable d'émettre un signal, pour quelle raison que ce soit (défaut technique, manque d'alimentation électrique, localisation en dehors d'une zone de couverture par le réseau GSM etc.). Les figures 4 montrent les procédures opératoires de manière schématique pour les différentes situations et scénarios. Ces procédures sont gérées par un serveur informatique qui centralise les informations, affiche ces informations à l'opérateur du centre de secours et guide l'opérateur dans les étapes à mettre en oeuvre lors d'un nouvel événement. Les procédures opératoires montrées sur les figures 4a et 4b décrivent un mode de réalisation de la fonction de base du boitier, à savoir l'émission d'une alerte. Ces deux procédures ont des étapes communes, et il s'agit notamment des étapes suivantes : A l'étape dite « affichage paramètres boitier » 101 on affiche des informations propres au boitier, et notamment de son numéro identifiant et du type de scénario engagé. A l'étape dite « affichage données utilisateur » 102 on affiche des informations propres à l'utilisateur liées à la référence du boitier telles que son nom, numéro de sécurité social, téléphone portable, et toute informations nécessaires et utiles au déroulement des scénarios. A l'étape dite « affichage position sur cartographie/carte » 103 on affiche la position du boitier sur une carte provenant des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite. La figure 4a correspond à la procédure opératoire lorsque qu'il y a un appui sur le bouton panique du boitier en mode « utilisateur joignable ». Cette description est complémentaire à celle donnée ci-dessus en relation avec la figure 3b. A l'étape 100 à l'alerte volontaire en mode joignable est déclenchée ; elle déclenche systématiquement l'affichage « des paramètres boitiers » (étape 101), l'affichage des « données clients » (étape 102) ainsi que l'affichage « position sur cartographie/carte » (étape 103) auprès de la plateforme de télésurveillance. A l'étape 104 la plateforme de télésurveillance émet un appel sur le téléphone portable de l'utilisateur (cela correspond à l'étape 24 de la figure 3b). L'étape 105 correspond à une action de choix : - soit l'utilisateur décroche et la plateforme de télésurveillance vérifie à l'étape 106 l'identité de l'utilisateur (par exemple en lui demandant son identifiant et son mot de passe). Si l'utilisateur s'identifie correctement on passe à l'étape 108 sinon on passe à l'étape 107; - soit l'utilisateur ne décroche pas, on passe à l'étape 107 qui correspond à une action de choix concernant le centre de secours approprié à joindre : - soit la plateforme de télésurveillance considère que l'alerte est orientée sur un aspect médical auquel cas il valide l'étape 160; - soit la plateforme de télésurveillance considère que l'alerte est orientée sur un aspect sécurité auquel cas il valide l'étape 170.
L'étape 108 correspond au besoin d'intervention confirmé par l'utilisateur ; dans ce cas l'opérateur de la plateforme de télésurveillance, un professionnel formé à ce genre de situation, décide soit : - qu'il n'y a pas nécessité d'intervention, et l'opérateur valide donc l'étape 110; - qu'il doit faire intervenir un centre de secours approprié, et l'opérateur valide donc l'étape 109. A l'étape 109 l'opérateur de la plateforme de télésurveillance choisit de déclencher une intervention en fonction de son appréciation de la situation de l'utilisateur : (a) L'opérateur valide l'étape 170 lorsque l'alerte est de type demande d'assistance ; l'étape 170 correspond à la mise en relation avec un service de sécurité privé.
Après cette mise en relation, l'opérateur transmet les informations de type « données clients », « position sur cartographie/carte » et son diagnostic de la situation ; l'opérateur valide alors l'étape 110. (b) L'opérateur valide l'étape 160 lorsque l'alerte est de type urgence médicale ; l'étape 160 correspond à la mise en relation avec un service d'urgence de type pompier ou service de réanimation mobile. Après cette mise en relation, l'opérateur transmet les informations de type « données clients », « position sur cartographie/carte », et son diagnostic de la situation ; l'opérateur valide alors l'étape 110. (c) L'opérateur valide l'étape 180 lorsque l'alerte est de type agression ; l'étape 180 correspond à la mise en relation avec un service de force de l'ordre de type police, commissariat ou gendarmerie. Après cette mise en relation, l'opérateur transmet les informations de type « données clients », « position sur cartographie/carte », et son diagnostic de la situation ; l'opérateur valide alors l'étape 110. L'étape 110 correspond à la clôture de l'événement.
La figure 4b correspond à la procédure opératoire lorsque qu'il y a une alerte de choc violent en mode « utilisateur joignable » provenant du boitier. Cette description est complémentaire à celle donnée ci-dessus en relation avec la figure 3b. Selon l'invention, un choc violent est détecté en exploitant l'information fournie par l'accéléromètre qui est comparée avec un seuil prédéfini dont le dépassement correspond à l'évènement déclencheur. La détection d'un choc violent est suivie de l'émission d'un signal acoustique et/ou vibratoire à destination de l'utilisateur du boitier ; cela lui permet d'arrêter le boitier (et la procédure de la figure 4b) pendant un laps de temps prédéfini.
L'étape 120 correspond à l'alerte choc violent en mode « utilisateur joignable » qui déclenche systématiquement l'affichage « des paramètres boitiers » (étape 101), des « données clients » (étape 102) ainsi que l'affichage « position sur cartographie/carte » (étape 103) auprès de la plateforme de télésurveillance. A l'étape 104 la plateforme de télésurveillance émet un appel sur le téléphone portable de l'utilisateur. L'étape 105 correspond à une action de choix : - soit l'utilisateur décroche la plateforme de télésurveillance vérifie à l'étape 106 l'identité de l'utilisateur (par exemple en lui demandant son identifiant et son mot de passe). Si l'utilisateur s'identifie correctement on passe à l'étape 108 sinon on passe à l'étape 160; - soit l'utilisateur ne décroche pas, et on passe directement à l'étape 160. L'étape 160 correspond à la mise en relation avec un service d'urgence de type pompier ou service de réanimation mobile. Après cette mise en relation, l'opérateur transmet les informations de type « données clients », « position sur cartographie/carte », et son diagnostic de la situation ; l'opérateur valide alors l'étape 110. A l'étape 108 correspond au besoin d'intervention confirmé par l'utilisateur ; dans ce cas l'opérateur de la plateforme de télésurveillance, un, professionnel formé à ce genre de situation, décide soit : qu'il n'y a pas nécessité d'intervention, et l'opérateur valide donc l'étape 121 ; qu'il doit faire intervenir un centre de secours approprié, et l'opérateur valide donc l'étape 109.
A l'étape 109 l'opérateur de la plateforme de correspond au choix d'intervention en fonction de la situation. Les étapes 170, 160 et 180 sont identiques à celles de la figure 4a, et leur description ne sera pas répétée ici.
A l'étape 121 la plateforme de télésurveillance consulte l'historique des alertes émises par ce boitier. A l'étape 122 la plateforme de télésurveillance propose à l'utilisateur de procéder à des tests du boitier par l'opérateur avec l'utilisateur et / ou d'expliquer à l'utilisateur la notice d'utilisation du boitier. A l'étape 123 la plateforme de télésurveillance propose à l'utilisateur des tests pour décider s'il convient de modifier le paramétrage du boitier : soit l'opérateur considère que des modifications doivent être apportées, et il valide l'étape 124, soit l'opérateur considère qu'aucune modification n'est nécessaire, et l'opérateur valide l'étape 110.
A 1"étape 124 la plateforme de télésurveillance envoie un SMS via le réseau GSM ; ce SMS comprend les modifications à apporter au paramétrage du boitier. L'opérateur valide alors l'étape 110. L'étape 110 correspond à la clôture de l'événement.
La figure 4c correspond à la procédure opératoire de demande de localisation via téléphone ou via une interface homme-machine, qui peut par exemple être de type ordinateur, tablette, Smartphone. Cette demande de localisation peut émaner de toute personne habilitée (« demandeur »); en particulier elle peut émaner de l'utilisateur du boitier qui a égaré son boitier, ou encore par un proche (parent, enfant) de l'utilisateur. A l'étape 300 on établit une connexion pour saisie des identifiants. A l'étape 106 on vérifie l'identité de l'utilisateur, typiquement par l'intermédiaire de son identifiant et de son mot de passe. Si l'utilisateur s'identifie correctement on passe à l'étape 301 ; dans le cas contraire on passe à l'étape 311 correspondant à la fin du cycle d'identification pour cause de saisie de faux identifiant. A l'étape 301 on ouvre l'application permettant la localisation. A l'étape 302 on entre l'identifiant du boitier à localiser. A l'étape 304 on déclenche la localisation. A l'étape 305 on transmet au boitier une requête de transmission de sa position. A l'étape 310 on attend une réponse du boitier. Si le boitier répond, on enregistre à l'étape 312 cette réponse, la transmet au demandeur et clôt l'évènement.
Si après l'étape 305 le boitier ne répond pas, à l'étape 306 on recherche la date de la dernière position connue du boitier. Si la date de ladite dernière position connue est moins ancienne qu'un temps ta (qui peut être de 5 minutes par exemple) à l'étape 307 la plateforme de télésurveillance transmet au demandeur après un temps tb la nouvelle position connue du boitier (tb peut être de 10 minutes par exemple, et le demandeur peut rester en ligne pendant ce temps d'attente, ou de préférence la plateforme de télésurveillance le rappelle). Si la date de ladite dernière position connue est plus ancienne qu'un temps t, (qui peut être de 15 minutes par exemple) à l'étape 309 la plateforme de télésurveillance transmet au demandeur la nouvelle position connue du boitier, dès qu'il en aura connaissance ou à une heure fixée convenue avec le demandeur. Si la date de ladite dernière position connue est comprise entre ledit temps ta et ledit temps t, à l'étape 308 la plateforme de télésurveillance transmet au demandeur la nouvelle position du boitier dès qu'il en aura connaissance, le demandeur pouvant choisir de rester en ligne ou d'être rappelé. Dans tous ces trois cas l'évènement sera clôturé à l'étape 312, et la transmission de la position peut se faire par téléphone, par sms ou par une interface homme-machine, par exemple celle utilisée par le demandeur. La figure 4d correspond au scénario mettant en oeuvre le mode « demande de localisation sur procédure judiciaire ». A l'étape 400 le demandeur (qui peut être la plateforme de télésurveillance sur requête d'un requérant) établit une connexion pour saisie de ses identifiants. A l'étape 401 on vérifie l'identité du demandeur, typiquement par l'intermédiaire de son identifiant et de son mot de passe. Si le demandeur s'identifie correctement on passe à l'étape 402; dans le cas contraire on passe à l'étape 460 correspondant à la fin du cycle d'identification pour cause de saisie de faux identifiant. A l'étape 402 on ouvre l'application permettant la localisation. A l'étape 403 on entre l'identifiant du boitier à localiser. A l'étape 404 on déclenche la localisation. A l'étape 405 le requérant transmet au demandeur une preuve de son habilitation pour procéder à cette demande de localisation ; cette étape peut être exécutée à un autre moment dans le procédé. A l'étape 406 on transmet au boitier une requête de transmission de sa position. A l'étape 407 on attend une réponse du boitier. Si le boitier répond, on enregistre à l'étape 420 cette réponse et la transmet au requérant ; à l'étape 450 on clôt évènement.
Si après l'étape 407 le boitier ne répond pas, à l'étape 408 on recherche la date de la dernière position connue du boitier. Si une telle position peut être obtenue, elle sera transmise au requérant à l'étape 420. Dans le cas contraire on informe le requérant qu'aucune position n'a pu être obtenue (étape 415) et on clôt l'évènement à l'étape 450.

Claims (10)

  1. REVENDICATIONS1. Système radioélectrique comprenant un système de téléphonie sans fil, un système de géolocalisation par satellite, un centre de traitement d'alertes spécifique et au moins un boitier (80) d'alerte personnel porté par un utilisateur, ledit système étant caractérisé en ce que ledit au moins un boitier (80) d'alerte personnel est configuré pour communiquer avec ledit centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire dudit système de téléphonie sans fil, et ledit système étant caractérisé en ce que ledit boitier comprend au moins : une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, un module (94) de géolocalisation par satellite, au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique, de préférence sélectionné parmi un accéléromètre (81), un capteur de température et un capteur optique capable de détecteur la présence d'une fumée ; et une interface homme-machine comprenant (i) des moyens (87a, 87b) pour émettre un signal perceptible pour l'utilisateur (de préférence un signal acoustique et/ou un signal vibratoire), et (ii) au moins un organe de commande (98,99), ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : o de déclencher une alerte, o de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et o d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; et ledit boitier (80) étant configuré pour transmettre au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire du système de téléphonique sans fil suite à un évènement déclencheur un signal d'alerte assorti: o de l'identifiant du boitier, o des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, o d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, o d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ;ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande dit « bouton panique » par l'utilisateur et la détection autonome par l'un au moins desdits dispositifs de mesure d'un paramètre physique ou chimique du boitier.
  2. 2. Boitier (80) d'alerte personnel destiné à être porté par un utilisateur, ledit boitier comprenant au moins : une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, un module (94) de géolocalisation par satellite, au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique, de préférence sélectionné parmi un accéléromètre (81), un capteur de température et un capteur optique capable de détecteur la présence d'une fumée ; et une interface homme-machine comprenant (i) des moyens (87a) pour émettre un signal acoustique et/ou des moyens (87b) pour émettre un signal vibratoire perceptible pour l'utilisateur, et (ii) au moins un organe de commande (98,99), ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : o de déclencher une alerte, o de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et o d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; caractérisé en ce que ledit boitier (80) est configuré pour transmettre au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire du système de téléphonie sans fil suite à un évènement déclencheur un signal d'alerte assorti: o de l'identifiant du boitier, o des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, o d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, o d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ; ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande dit « bouton panique » par l'utilisateur et la détectionautonome par l'un au moins desdits dispositifs de mesure d'un paramètre physique ou chimique le boitier.
  3. 3. Boitier selon la revendication 2, caractérisé en qu'il est également configuré pour recevoir un message émis par ledit centre de traitement d'alertes.
  4. 4. Boitier selon la revendication 2 ou 3, caractérisé en ce qu'il est également configuré pour désactiver, pendant un certain laps de temps, la configuration « utilisateur non joignable » après la transmission de son signal d'alerte au centre de traitement d'alertes.
  5. 5. Procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte émis suite à un évènement déclencheur, par un boitier (80) d'alerte personnel selon l'une quelconque des revendications 2 à 4, détenu par un utilisateur, à un centre de traitement d'alertes, ledit boitier (80) d'alerte personnel faisant partie du réseau radioélectrique selon la revendication 1, et ledit boitier (80) d'alerte personnel comprenant au moins: une unité de mémoire contenant au moins un identifiant du boîtier, un module de géolocalisation par satellite, au moins un dispositif de mesure d'un paramètre physique ou chimique, de préférence sélectionné parmi un accéléromètre, un capteur de température et un capteur optique capable de détecteur la présence d'une fumée, et une interface homme-machine comprenant au moins un organe de commande, ladite interface homme-machine étant configurée pour permette à l'utilisateur au moins : o de déclencher une alerte, o de sélectionner au moins un état parmi un état dit « utilisateur joignable » et un état dit « utilisateur non joignable », et o d'empêcher, au moins pendant un temps prédéfini, la transmission de l'alerte déclenchée ; et ledit boitier d'alerte personnel étant doté de moyens pour émettre un signal acoustique et/ou vibratoire perceptible pour l'utilisateur ; ledit évènement déclencheur étant sélectionné parmi l'actionnement d'un organe de commande dit « bouton panique » par l'utilisateur et la détection autonome par le boitier d'une situation d'urgence,sachant que pour ladite détection autonome par le boitier d'une situation d'urgence le microprocesseur du boitier est configuré pour comparer la valeur mesurée par ledit dispositif de mesure à une valeur de seuil prédéterminée et rendre une information considérée comme représentative d'une situation d'urgence, qui devient alors un évènement déclencheur, dans lequel procédé: (e) Lorsqu'au moins un desdits dispositifs de mesure effectue une mesure d'un paramètre physique: o ladite mesure est comparée à un seuil prédéfini, o en cas de dépassement dudit seuil on considère que l'évènement déclencheur est réalisé, o si ledit évènement déclencheur est réalisé, le boitier émet un signal acoustique et/ou vibratoire perceptible pour l'utilisateur, o si l'utilisateur n'empêche pas pendant un laps de temps prédéfini la transmission de l'alerte en actionnant un organe de commande, l'étape (b) est exécutée ; (f) le boitier, par l'intermédiaire de son module de géolocalisation par satellite, recherche le signal d'un satellite de géolocalisation et/ou, notamment si un tel signal est indisponible, effectue une géolocalisation par réseau de télécommunication ; (g) le boitier émet à un centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire d'un réseau de télécommunication (de préférence le réseau GSM) un signal d'alerte assorti: o de l'identifiant du boitier, o des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite, o d'une information caractéristique de l'évènement déclencheur, o d'une information indiquant si le boitier se trouve en configuration « utilisateur joignable » ou « utilisateur non joignable » ; (h) ledit centre de traitement d'alertes envoie par l'intermédiaire d'un réseau de télécommunication un message, de préférence assorti des coordonnées de géolocalisation, vers au moins un poste téléphonique, ledit poste téléphonique ayant été préalablement désigné par l'utilisateur ou sélectionné par ledit centre de traitement d'alertes.
  6. 6. Procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte selon la revendication 5, dans laquelle ledit dispositif de mesure est un accéléromètre et ledit évènement déclencheur est la détection d'un choc dépassant un seuil prédéfini.
  7. 7. Procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte selon la revendication 5 ou 6, dans lequel, si le boitier se trouve en mode « utilisateur non joignable », ledit message envoyé à l'étape (d) est émis à destination d'un poste téléphonique fixe ou portable en possession d'une tierce personne.
  8. 8. Procédé de génération et de traitement d'un signal d'alerte selon la revendication 7, dans lequel, si le boitier se trouve en mode « utilisateur joignable », ledit message envoyé à l'étape (d) est émis à destination d'un poste téléphonique fixe ou portable en possession de l'utilisateur.
  9. 9. Procédé de localisation d'un boitier d'alerte personnel faisant partie du réseau radioélectrique selon la revendication 1, dans lequel : (a) Un demandeur transmet au centre de traitement d'alertes une requête de localisation du boitier assortie d'une information permettant d'identifier le boitier et d'un mot de passe ou d'une autorisation spécifique ; (b) le centre de traitement d'alertes transmet au boitier une requête de transmission du signal de géolocalisation assortie de l'identifiant dudit boitier ; (c) si le boitier est en mode « utilisateur joignable », ledit boitier reçoit ladite requête et, par l'intermédiaire de son module de géolocalisation par satellite, recherche le signal d'un satellite de géolocalisation et/ou, notamment si un tel signal est indisponible, effectue une géolocalisation par réseau de télécommunication et transmet au centre de traitement d'alertes par l'intermédiaire d'un réseau de télécommunication l'information des données de géolocalisation par réseau de télécommunication (typiquement des données de géolocalisation GSM, par exemple des données Cell-ID) et/ou, si disponible, des données de géolocalisation par satellite ; (d) le centre de traitement d'alertes transmet les données de géolocalisation au demandeur ; (e) si à l'étape (b) le boitier se trouve en mode « utilisateur non joignable » et/ou ne reçoit pas ladite requête, le centre de traitement d'alertes transmet au demandeur la position de géolocalisation correspondant à la dernière communication entre le boitier et le centre de télésurveillance.
  10. 10. Procédé selon l'une quelconque des revendications 4 à 9, dans laquelle ledit boitier émet un signal de géolocalisation uniquement avec un signal d'alerte ou dans le cadre de la procédure de localisation selon la revendication 9.5
FR1550675A 2015-01-29 2015-01-29 Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique Active FR3032280B1 (fr)

Priority Applications (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1550675A FR3032280B1 (fr) 2015-01-29 2015-01-29 Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1550675A FR3032280B1 (fr) 2015-01-29 2015-01-29 Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR3032280A1 true FR3032280A1 (fr) 2016-08-05
FR3032280B1 FR3032280B1 (fr) 2020-10-23

Family

ID=52808010

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR1550675A Active FR3032280B1 (fr) 2015-01-29 2015-01-29 Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique

Country Status (1)

Country Link
FR (1) FR3032280B1 (fr)

Cited By (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP3484130A4 (fr) * 2017-07-25 2019-09-11 E3 Co., Ltd. Dispositif de communication de message vocal
EP3606113A1 (fr) * 2018-08-01 2020-02-05 Horizon Telecom Dispositif d'avertissement de detresse comprenant un système de gestion de batterie
FR3115628A1 (fr) * 2020-10-26 2022-04-29 Yvette RAMOS Système de protection d’une personne victime de violences conjugales

Non-Patent Citations (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Title
No Search *

Cited By (4)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP3484130A4 (fr) * 2017-07-25 2019-09-11 E3 Co., Ltd. Dispositif de communication de message vocal
EP3606113A1 (fr) * 2018-08-01 2020-02-05 Horizon Telecom Dispositif d'avertissement de detresse comprenant un système de gestion de batterie
FR3084805A1 (fr) * 2018-08-01 2020-02-07 Horizon Telecom Dispositif d’avertissement de detresse comprenant un système de gestion de batterie
FR3115628A1 (fr) * 2020-10-26 2022-04-29 Yvette RAMOS Système de protection d’une personne victime de violences conjugales

Also Published As

Publication number Publication date
FR3032280B1 (fr) 2020-10-23

Similar Documents

Publication Publication Date Title
EP3410884B1 (fr) Article vestimentaire intelligent et communicant, procédé et installation de communication bidirectionnelle avec un tel article vestimentaire
US10176693B2 (en) Security and tracking systems and related methods
FR2906629A1 (fr) Procede et systeme pour la detection de situations anormales d'une personne dans un lieu de vie
EP2795588B1 (fr) Bracelet de surveillance electronique
WO2016087734A1 (fr) Procédé d'assistance à au moins un occupant d'un véhicule accidenté et système d'assistance dédié
FR3032280A1 (fr) Systeme et procede d'alerte personnelle utilisant un boitier d'alerte personnelle et un systeme radioelectrique
US20190114887A1 (en) Security and Tracking Systems and Associated Methods
EP3286741A1 (fr) Dispositif de géolocalisation pour la récupération d'objets volés
EP1632920A1 (fr) Dispositif portable de détection, d'alerte et de transmission d'informations relatives à une personne physique
CH711245A2 (fr) Système et procédé de surveillance électronique.
EP3729383A1 (fr) Agrégateur de dispositifs d'identification
WO2018234570A1 (fr) Geolocalisation sans gps par un traceur mixte wifi et lpwan
EP3613029B1 (fr) Identification à bord d'un véhicule
FR3076442A1 (fr) Chaussure comprenant un accelerometre et un gyroscope, ensemble et procede de detection de chute correspondant
FR3115628A1 (fr) Système de protection d’une personne victime de violences conjugales
FR2888940A1 (fr) Systeme de localisation par utilisation combinee de mesures de pression atmospherique et d'analyse de reception d'ondes electromagnetiques
FR3064101B1 (fr) Dispositif pour emettre une alerte lumineuse, systeme de gestion d'alerte associe
FR2943447A1 (fr) Systeme de surveillance de personnes
WO2010122079A2 (fr) Procédé de sécurité pour la sécurité et gestion des travailleurs isolés
FR3065105A1 (fr) Dispositif de localisation, procede et systeme associes
WO2008034274A2 (fr) Procede de teleassistance, equipement pour la mise en œuvre de ce procede et montre associee a un tel equipement
FR2963225A1 (fr) Dispositif de surveillance medicale
FR3098308A1 (fr) Dispositif de détection de risques, notamment de risques professionnels.
FR3038435B1 (fr) Procede de gestion de l'utilisation d'un espace stationnement et dispositifs associes
FR3093832A1 (fr) Procédé et dispositif de déclenchement acceléré de secours

Legal Events

Date Code Title Description
PLFP Fee payment

Year of fee payment: 2

PLSC Publication of the preliminary search report

Effective date: 20160805

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 3

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 4

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 6

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 7

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 8

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 9

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 10