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PISTOLET MITRAILLEUR.
Les constructions de différentes armes à feu,en particulier les pistolets mitrailleurs,sont connueso La plupart des pays civilisés ont fabriqué des armes de ce genre, qui conviennent plus ou moins à l'usage auquel on les destine, qui ont une puissance de tir plus ou moins bonne, possèdent une plus ou moins grande précision dans le tir,présentent de même plus ou moins de sécurité à l'emploi,et offre une position plus ou moins stable au tiro Les poids sont, en outre, très différents et sont plus ou moins en rapport avec la puissance de tira De plus,, la simplicité et la maniabilité ne correspondent pas toujours aux exigences de chaque cas par- ticuliero De même on n'est pas toujours assuré d'un fonctionnement sur dans le cas d'une arme quelque peu encrassée,
C'est pourquoi on a construit,
sur cette base, une arme à feu (pistolet mitrailleur) qui réduit au minimum les inconvénients précités.
Tout d'abord, le démontage aisé du pistolet mitrailleur est indispensableo Le pistolet mitrailleur décrit comme faisant l'objet de la présente invention,se laisse démonter en ses parties constitutives principa- les à l'aide de quelques manipulations,
Vis-à-vis des autres pistolets mitrailleurs,le canon 1 (figo 3) est monté de telle manière dans l'enveloppe 2 de la platine (figo 3) qu'il peut;, en dépit d'un très long guide qui, en tout cas,garantit une position précise, être enlevé simplement de l'enveloppe de la platine en dévissant un écrou à chapeau ou à raccord 3 (figo 3).
En desserrant l'obturateur 5 (figo 3) de l'enveloppe de la platineladite enveloppe de la platine se détache de la partie inférieure 6 (figo 4)o Contrairement à ce qui se passe dans les autres constructionsla poignée ou crosse 8 (figo 6), avec les
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leviers de gâchette, etc., peut être facilement enlevée sans-enrayage, hors de la partie inférieure dans laquelle est inséré également le magasin ou chargeur 7 (fig.
5). Toutes les pièces deviennent ainsi accessibleso Cependant,la crosse est malgré tout fixée de telle manière dans la partie inférieure-parune cheville 9 à deux gorges ou collets (figo' 19 et 20) que les collets s'engagent dans des fourches de la partie inférieure et calent de ce fait la crosse dans la partie inférieure, tout en empêchant en même temps cette dernière de s'ouvrir. Au contraire des autres formes de réalisation, la partie du canon saillant dans l'enveloppe de la platine présente un diamètre fortement réduit.. de sorte qu'en cas d'en- dommagement éventuel de l'enveloppe de la platine, le canon peut néanmoins en être retiré très aisément.
Comme le canon, par suite du long guide à l'intérieur de l'enveloppe de la platine, ne reçoit pas un refroidissement tout à fait satisfaisant, la partie du canon qui pénètre dans l'enveloppe de la platine, est fortement ondulée (fig. 2) pour en augmenter la surface extérieure et assurer ainsi le refroidissement nécessaire.
Sur la gueule du canon est montée une tête 4 (fig. 7,8, 9 et 10) qui, vis-à-vis des autres constructions, présente les avantages suivants : la tête de la gueule de canon possède tout d'abord une simple forme unie.
Elle possède en outre des trous appropriés dont la position et la grandeur sont calculées de telle manière qu'il est assuré par l'échappement dès gaz d'impulsion-, tout d'abord, une stabilisation de l'arme lors de l'emploi de celle-ci en position horizontale. Ceci est obtenu par le fait que la tête présente, dirigés vers le haut, deux ou plusieurs trous qui sont disposés sur la circonférence à environ 45 par rapport au centre (fige 9) et ont une section transversale calculée de telle façon que la force de recul des gaz qui s'échappent au travers, devient grande au point que la dévia- tion de la gueule du canon, créée par la décharge, est compensée vers le haut.
La cavité de la tête de la gueule du canon est maintenue conique et la surface intérieure avant est usinée de manière à présenter avec les trous de la tête un profil en aube dynamique (fig. 10) qui, par les gaz d'échappement, crée une réaction telle que le recul de l'arme est aussi compensé. Par cette disposition, il est possible de stabiliser le pistolet mitrailleur dans une mesure si parfaite qu'il permet alors d'effectuer un tir libre, d'une main, précis et automatique.
Dans la crosse 8 sont montés de manière normale le cran d'arrêt 10 et la gâchette 11 (figo 1, 6 , 15 , 16, 17).Il se trouve en outre dans la crosse une sûreté 12 (fig. 15,16, 17) pour le calage de la platine 13 (figo 15,16, 17) dans la position de tension extérieure. Cette sûreté est actionnée par un levier à cheville 14 (figo 15, 18) qui peut être tourné dans trois positions. Si le levier se trouve dans la position I (fig. 15, 16), la sûreté est alors en position de verrouillage. Simultanément, le levier de gâchette 11 est également verrouillé. En faisant glisser le levier dans la position II (fig. 17), ce qui peut aisément se faire avec le pouce de la main droite en préparation de tir, la platine sera dégagée et la gâchétte libérée.
Le pistolet mitrailleur se trouve alors avec son mécanisme de détente en position de tir à "coup après coup" ou à coup individuel.
Si l'on fait tourner davantage le levier jusqu'à l'amener dans la position terminale III (figo 17) ,le mécanisme de détente se trouve en position de tir automatique. Ces trois positions avec les verrouillages y relatifs sont atteintes grâce au fait qu'il est prévu des encoches dans la cheville du levier. Les encoches nécessaires sont disposées à trois distances différentes en longueur et conditionnent : la première encoche le verrouilla;ge de la platine, la deuxième la fixation de la position du levier et la troisième le verrouillage de la gâchette, de la position de-tir à coup individuel ou de la position de tir continu respectivement.
Il est prévu dans-la partie inférieure une deuxième sûreté 15
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(figo l, 11, 12), qui permet un verrouillage de la platine à l'état fermé.
En outre,cette sûreté peut aussi être utilisée pour se prémunir contre tout dégagement involontaire de la platine sous tensiono Cette sûreté est actionnée par une tête 16 saillant sur les deux côtés de la partie infé- rieure (fige 1, 11, 12, 13). La sûreté est fixée dans chacune de ses positions par un arret 17 (figo 1, 11, 12).
La partie inférieure porte des oeillets 18,19, 20 (figo 13, 14,
21) dans lesquels est disposée une tige télescopique 28 (fig. 13,21).
Cette tige télescopique est, lorsqu'elle est sortie, fixée dans sa posi- tion terminale. La fixation est réalisée à l'aide d'un dispositif de ver- rouillage 23 à contre-tête (figo 21).Ce dispositif de verrouillage est monté, contrairement à ce qui se passe dans les autres constructions, uniquement dans la partie inférieure, et la crosse peut dès lors être enlevée sans qu'il faille écarter éventuellement ledit dispositif de ver- rouillage.
En vue d'en assurer la rigidité, la partie inférieure est cou- dée vers l'intérieur à son bord supérieuro Le bord supérieur est de ce fait profiléo Simultanément, les bandes coudées 24 (figo 19, 21) forment des lèvres qui épousent la forme de l'enveloppe 2 de la platine (figo 1, 3 ,10 ,20, 21) o On obtient de ce fait une bonne étanchéité entre la par- tie inférieure et l'enveloppe de la platineo Contrairement aux autres formes de réalisation, la portion avant de la partie inférieure est sé- parée du reste de façon parfaitement étanche à la poussière par la par- tie 25 formant l'intérieur du magasin (figo 1)o Aucune souillure, qui peut éventuellement pénétrer par les trous de ventilation 26,27 (figo 1, 3) dans la portion avant de l'enveloppe de la platine et la partie in- férieure,
ne peut ainsi passer dans le magasina
Au lieu de la sûreté représentée aux figures 1, 11 et 12, on peut également prévoir une sûreté selon les figures 22, 23, 24 et 25, des- tinée à empêcher l'armement ou l'ouverture involontaires de la platine 13 (figo 1, 22, 23, 24,25) et réalisée par le fait qu'il est disposé sur le trou de l'éjecteur, un couvercle 28 (figo 22, 23, 24, 25), dans lequel se trouve une pièce de joint 29 (figo 22-25) qui saillit dans un évidement ménagé dans la platine 13 (figo 22-25).
Cette pièce, outre la partie qui saillit dans la platine 13 (figo 22-25), présente une partie de joint qui est presque aussi longue que le trou de l'éjecteuro On obtient de ce fait que l'effort éventuel du couver- cle 28 (figo 22-25), lors du mouvement de la platine 13 (figo 22), n'agit pas sur l'articulation à charnière, mais s'exerce sur le bord du trou par l'intermédiaire de la partie de joint.
Le couvercle à charnière 28 (figo 22-25) qui est relevé mécaniquement par un ressort de torsion 30 (figo 22, 24) est, dans la position fermée, bloqué à l'état fermé par un verrou 31 (figo 22-25)o Ce verrou 31 (figo 22-25), qui porte à l'extérieur un bouton 32 pour ouvrir (figo 23, 25), est poussé dans la position de verrouillage par un ressort 33 (figo 22, 24, 25)
La platine 13 (figo 22-25) présente encore, outre l'évidement pour le verrouillage, un deuxième évidement qui va jusqu'à l'extrémité de la pla- tineo Cet évidement est réalisé en disposition oblique et ce, de telle ma- nière que la platine 13 (fig. 22-25), lorsqu'elle se déplace vers l'avant, ramène le verrou 31 (fig.
22-25), ce par quoi le couvercle 28 (figo 22-25) est libéré et peut sauter hors de sa position de fermetureo
Il résulte de cet agencement que la platine 13 (fige 22-25) ne peut pas être armée avec le couvercle 28 fermé (figo 22-25), et-est, par consé- quent,'bloquée contre tout déplacement axial involontaireo Le couvercle fer- mé 28 (figo 22-25) est, par contre, automatiquement ouvert en cas de déclen- chement voulu de la platine 13 (figo 22-25) pour le tiro
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-La douille 34 (fig.
26, 27) est, de façon normale, expulsée vers le trou de l'éjecteur, par le fait qu'après le tir, les gaz d'expansion repoussent la -douille 34 conjointement avec la platine 13 (figé 26, 27).Lors de ce mouvement de recul, la douille arrive à un éjecteur. Comme cette douille est saisie par ce qu'on appelle la griffe d'extracteur 35 (figo 26, 27), elle sera expulsée latéralement lors du choc sur le dispositif éjecteur. Mais si, d'autre part, l'on introduit dans la platine 13 (fig.
26, 27) une- tige 36 (fig. 26, 27) munie d'un dispositif à ressort 37 de puissance appropriée (fige 26, 27) et agissant à l'encontre de la griffe' d'extracteur 35 (fig. 26, 27) elle éjectera aussi latéralement la douille 34 (figo 26, 24) à sa sortie du canon 1 (figo 26, 27) et après relâchement de la pression des gazo
REVENDICATIONS.
1. Arme à feu, en particulier pistolet mitrailleur, caractérisée par le fait que le pistolet se laisse démonter en ses parties constitutives principales par desserrage de deux écrous à chapeau.
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SUBMISSION GUN.
The constructions of various firearms, in particular submachine guns, are well known. Most civilized countries have made weapons of this kind, which are more or less suitable for their intended use, which have more fire power. or less good, have a more or less great precision in the shot, have the same more or less safety in use, and offers a more or less stable position when shooting The weights are, moreover, very different and are more or less in relation to the pulling power. In addition, the simplicity and the maneuverability do not always correspond to the requirements of each particular case. Likewise one is not always assured of a safe operation in the case of a weapon somewhat dirty,
That's why we built,
on this basis, a firearm (submachine gun) which minimizes the aforementioned drawbacks.
First of all, easy disassembly of the submachine gun is essential. The submachine gun described as forming the subject of the present invention can be disassembled into its main constituent parts with the aid of a few manipulations,
Vis-à-vis the other submachine guns, barrel 1 (figo 3) is mounted in such a way in the casing 2 of the lock (figo 3) that it can ;, despite a very long guide which, in any case, guarantees a precise position, being simply removed from the plate casing by unscrewing a cap or coupling nut 3 (figo 3).
By loosening the shutter 5 (figo 3) of the casing of the plate the said casing of the plate is detached from the lower part 6 (figo 4) o Contrary to what happens in other constructions the handle or butt 8 (figo 6 ), with the
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trigger levers, etc., can be easily removed without engagement, out of the lower part in which the magazine or magazine 7 is also inserted (fig.
5). All the parts thus become accessible o However, the stock is nevertheless fixed in such a way in the lower part - by a pin 9 with two grooves or collars (figo '19 and 20) that the collars engage in forks of the lower part and thereby wedge the butt in the lower part, while at the same time preventing the latter from opening. Contrary to the other embodiments, the part of the barrel protruding into the casing of the stage has a greatly reduced diameter, so that in the event of possible damage to the casing of the stage, the barrel can. nevertheless be removed very easily.
As the barrel, as a result of the long guide inside the lock casing, does not receive a completely satisfactory cooling, the part of the barrel which penetrates into the casing of the lock, is strongly corrugated (fig. 2) to increase the outer surface and thus provide the necessary cooling.
On the muzzle of the barrel is mounted a head 4 (fig. 7,8, 9 and 10) which, compared to other constructions, has the following advantages: the head of the muzzle has first of all a simple united form.
It also has appropriate holes, the position and size of which are calculated in such a way that it is ensured by the exhaust from the impulse gas - first of all, a stabilization of the weapon during use. of it in a horizontal position. This is achieved by the fact that the head has, facing upwards, two or more holes which are arranged on the circumference at about 45 from the center (fig 9) and have a cross section calculated in such a way that the force of recoil of gases escaping through, becomes great to the point that the deflection of the muzzle of the barrel, created by the discharge, is compensated upwards.
The cavity of the muzzle head of the barrel is kept tapered and the front inner surface is machined so as to present with the holes of the head a dynamic blade profile (fig. 10) which, by the exhaust gases, creates a reaction such as the recoil of the weapon is also compensated. By this arrangement, it is possible to stabilize the submachine gun to such a perfect extent that it then makes it possible to carry out free firing, with one hand, precise and automatic.
In the stock 8 are mounted in the normal way the stopper 10 and the trigger 11 (fig. 1, 6, 15, 16, 17). There is also a safety 12 in the stock (fig. 15,16, 17) for the setting of the plate 13 (figo 15,16, 17) in the external tension position. This safety is actuated by a pin lever 14 (figo 15, 18) which can be turned in three positions. If the lever is in position I (fig. 15, 16), then the safety is in the locked position. At the same time, the trigger lever 11 is also locked. By sliding the lever to position II (fig. 17), which can easily be done with the thumb of the right hand in preparation for shooting, the plate will be released and the trigger released.
The submachine gun is then with its trigger mechanism in "shot after shot" or single shot position.
If the lever is rotated further until it is in the terminal position III (figo 17), the trigger mechanism is in the automatic firing position. These three positions with the relative locks are achieved thanks to the fact that notches are provided in the pin of the lever. The necessary notches are arranged at three different distances in length and condition: the first notch locked it; ge of the plate, the second the fixing of the lever position and the third the locking of the trigger, from the firing position to individual shot or continuous shot position respectively.
A second safety 15 is provided in the lower part
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(figo l, 11, 12), which allows locking of the plate in the closed state.
In addition, this safety can also be used to guard against any involuntary release of the live plate. This safety is actuated by a head 16 projecting on both sides of the lower part (fig 1, 11, 12, 13) . The safety is fixed in each of its positions by a stop 17 (figo 1, 11, 12).
The lower part has eyelets 18,19, 20 (figo 13, 14,
21) in which is disposed a telescopic rod 28 (fig. 13,21).
This telescopic rod is, when it is extended, fixed in its end position. The fixing is carried out using a locking device 23 against the head (figo 21). This locking device is mounted, unlike in other constructions, only in the lower part, and the butt can therefore be removed without having to optionally remove said locking device.
In order to ensure rigidity, the lower part is bent inwards at its upper edge o The upper edge is therefore profiled o Simultaneously, the bent strips 24 (figo 19, 21) form lips which follow the shape of the casing 2 of the plate (fig. 1, 3, 10, 20, 21) o A good seal is thereby obtained between the lower part and the casing of the plate o Unlike the other embodiments, the front portion of the lower part is separated from the rest in a perfectly dust-proof manner by the part 25 forming the interior of the magazine (figo 1) o No dirt, which can possibly penetrate through the ventilation holes 26 , 27 (figo 1, 3) in the front portion of the plate casing and the lower part,
can not pass in the magazine
Instead of the safety shown in Figures 1, 11 and 12, it is also possible to provide a safety according to Figures 22, 23, 24 and 25, intended to prevent the involuntary arming or opening of the plate 13 (figo 1, 22, 23, 24,25) and realized by the fact that it is arranged on the ejector hole, a cover 28 (figo 22, 23, 24, 25), in which there is a gasket part 29 (figo 22-25) which protrudes into a recess made in the plate 13 (figo 22-25).
This part, in addition to the part which protrudes into the plate 13 (figo 22-25), has a part of the seal which is almost as long as the hole of the ejector. As a result, the possible force of the cover is obtained. 28 (figo 22-25), during the movement of the plate 13 (figo 22), does not act on the hinged joint, but acts on the edge of the hole through the joint part.
The hinged cover 28 (figo 22-25) which is mechanically raised by a torsion spring 30 (figo 22, 24) is, in the closed position, locked in the closed state by a latch 31 (figo 22-25) o This lock 31 (figo 22-25), which carries a button 32 on the outside to open (figo 23, 25), is pushed into the locking position by a spring 33 (figo 22, 24, 25)
The plate 13 (figo 22-25) also has, in addition to the recess for the locking, a second recess which goes to the end of the plate. This recess is made in an oblique arrangement and this, in such a way. ensure that the plate 13 (fig. 22-25), when it moves forward, returns the latch 31 (fig.
22-25), whereby the cover 28 (figo 22-25) is released and can jump out of its closed position.
It follows from this arrangement that the plate 13 (freezes 22-25) cannot be armed with the cover 28 closed (figo 22-25), and is, therefore, blocked against any involuntary axial displacement. closed 28 (figo 22-25) is, on the other hand, automatically opened in the event of desired release of the plate 13 (figo 22-25) for the tiro
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-The socket 34 (fig.
26, 27) is normally expelled towards the ejector hole, by the fact that after firing, the expansion gases push back the -douille 34 together with the plate 13 (frozen 26, 27). During this backward movement, the sleeve arrives at an ejector. As this sleeve is gripped by what is called the extractor claw 35 (fig. 26, 27), it will be expelled laterally upon impact on the ejector device. But if, on the other hand, we introduce into plate 13 (fig.
26, 27) a rod 36 (fig. 26, 27) provided with a spring device 37 of suitable power (pin 26, 27) and acting against the extractor claw 35 (fig. 26). , 27) it will also laterally eject the sleeve 34 (figo 26, 24) when it exits the barrel 1 (figo 26, 27) and after releasing the gas pressure
CLAIMS.
1. Firearm, in particular submachine gun, characterized by the fact that the pistol can be dismantled in its main constituent parts by loosening two cap nuts.