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DISJONCTEUR ELECTRIQUE DE mnxtwsrn.
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La dutande à* brevet principal conoeme an disjouct4ur '1o<tnquo de surintensité (mnitipeltirt) comportant des oinmto amitde par 14 courant principe et â1a ol"pM' de ...errollil1ap 081 de séparation dos contacta destinée à asan- rer une protection contre les effets des fore.. dl trodyna-
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miques soulevant les contact* au moment d'un court-circui
Ces organes produisent, losqu'ils sont actionnés par l'en cage des aimanta, au aoment ou avant que soit atteinte l' tensité électrodynamique de courant soulevant les contact un verrouillage des organes de commutation dans leur posi tion soulevée.
Conformément à la présente invention, la construction d'un disjoncteur de surintensité de ce genre, et notammen d'un appareil multipolaire, est simplifiée de maniât par culièrement Ingénieuse. Suivant l'invention les aimanta d courant principal, établis comme déclencheurs de court-ci. cuit, sont réunis avec les organea écartant les contacta qu'ila actionnent en un groupe interchangeable pour toua : pales qui est calculé pour l'intensité de courant nominal étalonnable séparément. Les éléments de ce dispositif peu. vent être groupée sur un socle, ou dans un boitier, hors @ quel font saillie les organes écartant les contacte et évé tuellement les organea servant au déclenchement du système de verrouillage du disjoncteur.
De cette manière, il est facile d'équiper rapidement un disjoncteur destiné à un cc rant nominal de 60 A suivant l'intenaité normale de régime du circuit à surveiller, qui peut varier par exemple de 10 60 A, et éventuellement à l'endroit où est inatallé le dia Joncteur, avec des aimanta de courant principal correspon- dant à cette intensité.
Ces pièces interchangeable. peuven par exemple être échelonnées suivant des intensités noaina les de 10 ... 16,16 ... 25, 25 ... 40 et 40 ... 64 A, cool il est d'usage pour les relais thermiques multipolaires se* vant à la surveillance des coupe-circuits ilectremagnétiqui
Le dessin annexé représente à titre d'exemple deux fo: mes d'exécution du disjoncteur :
La figure 1 représente une vue latérale d'un 41.jonc-
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teur tripolaire manoeuvré à la main ;
La figure 2 représente un coffret interchangeable au vant l'invention vu de l'avant ;
La figure 3 montre en coupe longitudinale une varian d'exécution.
Sur un socle isolé g, dont la partie extérieure gl e relevée en avant, cet monté entre deux flanques r, fixées des deux cotée du code q, et dont on ne voit sur le desse que celle de devant, l'axe U de l'accouplement polaire mo le y, qui consiste par exemple en une pièce unique en ma tière isolante comprimée. Il est actionné au moyen d'un v, rou non représenté, par exemple un levier à double coude, dont le coude est verrouillé avant le point mort, par l'a bre de commande u, actionné par la poignée du disjoncteur ou par un bouton-poussoir à deux positions "fermé" ou "ou- vert". Sur l'accouplement polaire y sont montés trois orge nes de commutation 5 dont chacun peut tourner autour d'un axe 1.
Ces organea sont poussée par des ressorts v dans le position de fermeture contre les contacts fixes 6, qui son amovibles et montés sur des barrea de connexion a placées sur la partie avant q1 du socle. Lea contacta mobiles 5 se reliés par des conducteur. mobiles t à des bornes s placée à la partie inférieure sur le socle,
Les aimanta de courant principal 10, constituée par d solénoïdes avec armature plongeante o, sont disposée dans boitier isolant commun 7 avec les pièce. 3 destinées à sép rer les contacta, qui constituent les prolongement. des or natures o.
Ce boitier est fixé derrière la partie q1 du so cle et .'appuie sur la partie moyenne de celui-ci, par exen ple la partie horizontale, de façon que chacune des trois barrée de connexion b aoit réunie par une via avec les bar. res correspondantes du disjoncteur. La connexion supérieure du disjoncteur .' effectue après la aise en place du boitie 7, sur les barrée arrière c. Chaque armature o de* aimante
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10 de courant principal est reliés par l'intermédiaire d' axe n avec chacun des leviers de verrouillage k ; ces le- viers tournent sur des axes fixes p et leur partie supérie re forme des cliqueta h.
Les trois aimante de courant prit cipal de chaque pôle sont constituée de la même manière ei ila peuvent être séparés les une des autres dans le boiti<
7 par des cloisons isolantes. Un arbre de déclenchement f traverse le boîtier et peut par exemple être monté sur les deux parois latérales. Sur cet arbre sont fixés troi le- viere ou bras d'encliquetage g, et sur lea bras 8 trois ex centriques 9 réglables en commun, de sorte que les bras 8 peuvent tourner indépendamment dea bras g. Sur les excentr quea 9 agissent trois déclencheurs bimétalliques e, qui soi montés en série avec lea aimanta 10, et sont de même dispo. sée dans le boitier 7.
Le courant passe donc de la borne c par le déclencheur a, le bobinage de l'aimant 10, les barri de connexion b et a, les contacts fixes et mobiles 6, 5, le conducteur t et la borne s,
Sur l'arbre de déclenchement est en outre monté de ma- nière à pouvoir tourner un cliquet de verrouillage i, tiré par un ressort de traction i1 dans le sens des aiguilles d'une montre contre une équerre d'entraînement g1 du bras d'encliquetage g qui en est voisin et contre une équerre d'entraînement 81 du bras 8 ; dans son mouvement en sens co traire dea aiguilles d'une montre il 'entraine pas le bras 1 ni le bras 8.
Un levier avec deux braa, sollicité par l'a cumulation de force, m, tournant sur un axe 2, monté de pré. férence dans le boitier 7, est tiré par un ressort en sont contraire des aiguilles d'une montre contre le cliquet de verrouillage i. A son extrémité inférieure le levier m est muni d'une vis de réglage ! destinée à compenser le Jeu en- tre l'arbre de déclenchement f et un levier de déclenchement
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x du verrou du disjoncteur.
Le bottier 7 porte sur son co gauche un dispositif de réglage 11, commun pour les trois excentriques 9, ou des dispositifs de réglage analogues d la course 1 vide du déclencheur bimétallique a, et un dis eitif de réglage commun 12 pour les trois ressorts de rap d des armaturea plongeantes o. Les trois organes écartant les contacte 3 entrainé par les armatures c font saillie sur la paroi avant du boitier 7 dans la direction des con. tact. mobiles 5.
La socle'%1 présente aux endroit. correa- pondant. des fenêtres pour le passage de ces organes
Le fonctionnement est le suivant S'il sa produit ur surcharge les organe. bimétallique e ce courbent vers le bas et, par l'intermédiaire des excentriques 9 et des éque res 81, font tourner le cliquet i en sens contraire des ai guilles d'une montre. Le levier m est alors libéré et, aou l'action de traction du ressort , il frappe par la tige d la vis w sur le levier de déclenchement x du verrou, de so te qu'il déclenche le disjoncteur et l'accouplement polair y écarte en même temps les trois contacta mobiles des con- tacts fixes.
En cas de court-circuit, les armatures o des pôles intéressés sont attirées dans les bobines 10 de cou- rant principal correspondantes, et elles maintiennent, à l'aide des organes de blocage 3, les contacts mobiles 5 dai la position d'écartement provoquée par les forces électro- dynamiques, ou bien elles les amènent déjà dans cette posi- tion malgré l'action de ressorts v appuyant sur les contact avant que ces forces d'écartement électrodynamiques soient intervenues. Les leviers d'encliquetage k entrainés par les armatures o font donc tourner les bras 1 en sans contraire des aiguillée d'une montre et s'enclenchent par engagement mutuel des parties h et 1 dans la position d'attraction, de sorte que les contacta 5 ne peuvent pas rebondir.
Le bras g
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le plus en avant entrain* par son tcc d'entrainement g1 le cliquet i et dégage le levier m, En cas de court-circuit, aussitôt après le verrouillage des contacta mobiles 5 inté rossée dans la pétition d'ouverture, le disjoncteur est dé clenche de mime que par la libération du levier m, de sort que le* contacts passent tous les trois dans la position d'ouverture totale. Comme les bras 8 sont mobile. indépen- damment des organes g, l'échauffement des déclencheurs the miques e pendant la court-circuit n'a aucune influence sur lesdits organes g. Les leviers 8 et ! peuvent aussi être e une seule pièce.
Pour ramener la disjoncteur en position de fonctionne ment après un déclenchement par surintensité produit par 1 système bimétallique e, on peut prévoir un bouton de rappe 4, au moyen duquel on peut repousser le levier m derrière cliquet i, Afin qu'en poussant ce bouton, les contacts 5 ne puissent se refermer sur les contacta fixes 6, sur la tige du bouton est fixée une patte de verrouillage 2 qui vient pousser le levier x et maintient la système de verrouillage ouvert, tant que la bouton 4 est enfoncé et que le levier est empêché d'effectuer le mouvement de déclenchement, Ce n'est que lorsqu'on relâche le bouton 4 que le levier x re vient dans la position représentée, par exemple sous l'ao- tion d'un ressort, de aorte que le disjoncteur peut être à nouveau remis en circuit de la manière usuelle.
Après un court-circuit, il faut tout d'abord dégager 1 levier k qui verrouille l'armature de l'aimant. Pour cala. on peut disposer, par exemple sur l'arbre de déclenchement une touche 23; en appuyant sur cette touche on fait tourna l'arbre f en sens contraire des aiguilles d'une montre, de sorte qu'après un certain parcours à vide le bras g est *ou levé à l'aide d'un accouplement unilatéral non représenté,
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l'armature 0 et le levier k étant rappelés par le ressort .
Afin que le levier s puisse être repoussé pour le réenoliq tage, ou dans le cas où il devrait déjà être verrouillé pa: un autre moyen après le déclenchement, et être maintenu da la position d'encliquetage sans être de nouveau dégagé par le soulèvement du oliquet i, la touche 23 peut être établit de façon que lorsqu'on l'enfonce elle entraine au moyen d'@ ergot 27b le levier m dans le sens des aiguilles d'une mon- tre. En outre la touche 23 peut présenter un prolongement 2 qui, lorsqu'on abaisse la touche, appuie sur le levier x et maintient ouvert le système de verrouillage aussi longtemps qu'on appuie sur ladite touche. Le bouton 4 et la chape 2 peuvent alora être supprimés.
Il est souvent avantageux de provoquer le retour du le vier m, non pas au moyen d'un organe actionné à volonté, maisde l'assurer par le mouvement de coupure dea pièces de verrouillage ou de commutation, par exemple en même temps qu'un élément du verrou, déplacé par le déclenchement, par exemple x, revient buter contre la vis de réglage w ; par ce moyen le levier m est ramené derrière le cliquet 1. Le le- vier d'encliquetage k de l'armature de l'aimant et les piè- ces bloquant les contacts 3 restent au contraire en position de verrouillage, s'il* ont fonctionné, indépendamment du mouvement de déclenchement du disjoncteur et du mouvement de rappel.du levier m, de sorte qu'ils fournissent en même temps un verrouillage de court-circuit et un dispositif in- dicateur.
Pour pouvoir admettre le disjoncteur en circuit, après un court-circuit, ils doivent, comme on l'a indiqué, être au préalable débloqués par la touche 23.
Pour pouvoir relier le boitier 7 aux conducteurs par- tant des contacts biles 5, ce qui est déairable dans bien des cas, il peut être muni de raccorde intérieure représen
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tés figure 3. Le bottier 7* est muni de barres de connexio intérieures 14 et 15 qui sont reunies par des vis 16 aux conducteurs mobiles 13, et par des via 17 aux barres de co nexion de déport 18. Les barres 14, 15 traversent par des ouvertures correspondantes 19, 20 la partie horizontale du socle q.
Pour gagner de la place sous cette partie afin d', loger d'autres organes, par exemple des déclencheur@ de bas se tension ou autres, les barres de connexion de devant pet vent aussi être prolongées, comme il eat indiqué en pointi: lé, pour les barrea 21 qui sont vissées avec les conducteur mobiles22,
Pour remplacer les éléments contenus dana le boitier, il suffit simplement de dévisser les via des barrea a, figue re 1, ou les via 16 et 17, figure 3. On peut alors enlever le boitier avec le dispositif qu'il contient, et les remple cer par d'autres, puis remettre en place les vis ci-dessus et la. via w.
Sur le boitier on peut aussi évidemment monter un dis- positif connu destiné à compenser la température du déclen- cheur bimétallique, par exemple en donnant aux bras 8 la forme d'organes compensateurs bimétalliques, qui sont alors disposés hors du boitier, et exposés ainsi à la température ordinaire extérieure. Ces bras 8 sont dans ce cas établis d façon que, lors des variations de la température extérieure ils maintiennent pratiquement constant l'écartement des ban. des bimétalliquea e et de l'excentrique 9.
L'invention permet donc de réaliser un disjoncteur dont les organes destinés à séparer et à déclencher les contacta sont rassemblée dans un boîtier commun et cet ensemble - prc portionné à la valeur nominale de l'intensité du courant don on dispose - est fixé dans le disjoncteur de façon à itre aisément interchangeable.
Cette partie de l'appareil est
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étalonnée à part, soit avec le levier d'accumulation de f ce m, !or.qu'il doit entrer dana la constitution des disj tours à encliquetage, ou bien, lorsqu'il doit être employ pour des déclenchement électriques$ avec un contact de d clenchement non représenté, commandé en mène temps que 1' des déclencheurs, au lieu du levier d'accumulation de for- constitué à cet effet de manière à être facilement amovil ou établi comme pièce rapportée.
On peut naturellement ac tionner le contact de déclenchement par ledit levier, bier qu'en conservant l'accumulation d'énergie, et on obtient, grâce au grand parcours d'ouverture et à la grande vitesse d'ouverture dea contacta, un contact de déclenchement ayan une puissance d'interruption relativement élevée, par exem ple pour les coupe-circuits sur courant continu. Le boitte ci-dessus peut donc être employé indifféremment pour des d joncteura ou coupe-circuits à verrouillage ou comme relais séparé pour différents usages.
Le disjoncteur peut, en out être utilisé sans aon boitier, par exemple dans des déclen. cheura de basse tension, de courant de retour, de tension @ dérangement et autres, lorsqu'il ne doit paa être déclenché par une surintensité ou assurer la coupure en cas de court- circuit.
Conformément à l'invention, il est en outre possible, en utilisant un ensemble ainai combiné, d'établir au choix un disjoncteur à verrouillage, ou même un coupe-circuit en conservant la plupart des éléments essentiels du disjoncteur en installant dans le boîtier 7, dana le cas de disjoncteur à verrouillage, le déclenchement à accumulation de force de crit ci-dessus. et dans le cas du coupe-circuit au contraire un déllenchement à contact.
Pour passer dit disjoncteur au coupe-circuit, il suffit donc en principe de supprimer le verrou du disjoncteur. et éventuellement les organes d'en-
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trainement placés entre le ver@ou et l'accouplement polair et de les remplacer par un électro de coupure po,ir actions le coupe-circuit.
Naturellement le socle ou plaque de suppc et l'accouplement des pôles doivent être disposés en consé- quence pour permettre cette double utilisation, ce qui est aisé à réaliser tans aurcroìt de dépenses inutièes, On a re présenté en pointillé figure 1, la position approximative d'un tel électro de coupure 24, avec bobine d'excitation 25 et armature 26 qui est reliée avec l'accouplement polaire y
Les boutons poussoirs "ferme" et "ouvert" sont placée avec leurs contacts de commande dans le circuit de la bobin 25 du coupe-circuit. Les organes de coupure peuvent aussi être constitués sous formed'interrupteur. dans l'huile ou coupe-circuit dans l'huile, et être muni., dans le cas du disjoncteur à verrouillage, de dispositifs télérupteurs.
L'armature de l'électro attaque de préférence l'accouplement dans la région du contact central, mais elle peut aussi être disposée sur le côté.
Juaqu'ici il n'était possible que dans une mesure très limitée d'établir à volonté, pour une double utilisation, des 6 lamenta constitutifs d'appareil. soit comme coupe-cir- cuits, soit comme disjoncteurs à verrouillage, parce que l'exécution des contacts, de l'accouplement polaire isolé, et d'autrea parties des disjoncteur. à verrouillage, était déterminée essentiellement, par la nécessité d'obtenir une pression de contact relativement très élevée. Cette pression élevée était indispensable surtout pour diminuer le danger de soudure lors de court-circuite, Pour limiter réchauffe- ment admissible, il aurait suffi au contraire d'une pression de contacta beaucoup plus faible, surtout lorsque le métal employé pour les contacta aux endroits de contact permanent est de l'argent.
Le danger de soudure étant écarté par les
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organes écartant les contacta sans augmenter la pression d contact au-delà de la mesure nécessité@ par la question d'échauffement, il est possible de réduire notablement la pression de contact dans les disjoncteurs à verrouillage, par suite d'employer les mêmes organes qui sont utilisée dans les coupe-circuita travaillant avec des contacta à fa ble pression. Grâce à cette double possibilité d'amploi des parties essentielles, la mise en stock de ces organes est grandement simplifiée et l'outillage de fabrication réduit d'une manière importante.